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Accueil - Information professionnelle sur Irbesartan-Mepha 150 mg - Changements - 18.11.2016
44 Changements de l'information professionelle Irbesartan-Mepha 150 mg
  • -Irbesartan-Mepha 150: comprimés filmés à 150 mg d'irbésartan.
  • -Irbesartan-Mepha 300: comprimés filmés à 300 mg d'irbésartan.
  • +Irbesartan-Mepha 150: comprimés pelliculés à 150 mg d'irbésartan.
  • +Irbesartan-Mepha 300: comprimés pelliculés à 300 mg d'irbésartan.
  • -Dosage usuel
  • +Posologie usuelle
  • -Instructions spéciales pour le dosage
  • -Hypovolémie: En présence d'une déplétion hydrosodée et/ou d'une hypovolémie, celles-ci doivent être corrigées avant la prise d'Irbesartan-Mepha. (Voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Instructions spéciales pour la posologie
  • +Hypovolémie: En présence d'une déplétion hydrosodée et/ou d'une hypovolémie, celles-ci doivent être corrigées avant la prise d'Irbesartan-Mepha (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -·Patients présentant un angio-œdème héréditaire ou chez lesquels un œdème angioneurotique s'est développé lors d'un traitement antérieur avec des inhibiteurs de l'ECA ou des antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II.
  • +·Co-administration avec des inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (ECA) chez des patients souffrant de néphropathie diabétique.
  • +·Patients présentant un angio-oedème héréditaire ou chez lesquels un oedème angioneurotique s'est développé lors d'un traitement antérieur avec des inhibiteurs de l'ECA ou des antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II.
  • -Double blocage du système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA): voir «Interactions»
  • -Le double blocage du SRAA en combinant Irbesartan-Mepha avec l'aliskiren n'est pas recommandé en raison de l'augmentation du risque d'hypotension, d'hyperkaliémie et de modifications de la fonction rénale. L'utilisation d'Irbesartan-Mepha en association avec l'aliskiren est contre-indiqué chez les patients diabétiques ou insuffisant rénaux (TFG <60 ml/min/1,73 m2).
  • +Double blocage du système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA): voir rubrique «Interactions»
  • -Lorsque Irbesartan-Mepha est administré à des patients présentant une insuffisance rénale, un contrôle régulier de la kaliémie et de la créatininémie est recommandé. On ne dispose pas d'expériences sur l'administration d'Irbesartan-Mepha après une transplantation rénale récente.
  • +Lorsqu'Irbesartan-Mepha est administré à des patients présentant une insuffisance rénale, un contrôle régulier de la kaliémie et de la créatininémie est recommandé. On ne dispose pas d'expériences sur l'administration d'Irbesartan-Mepha après une transplantation rénale récente.
  • -Chez les patients dont la fonction rénale dépend de l'activité du système rénine-angiotensine-aldostérone (par ex. les patients présentant une insuffisance cardiaque sévère ou une maladie rénale sousjacente, y compris une sténose des artères rénales), le traitement par d'autres produits agissant sur ce système a été associé à une azotémie, une oligurie ou rarement une insuffisance rénale aiguë. Bien que l'on ne dispose pas de preuve concernant Irbesartan-Mepha, la possibilité de survenue d'un effet similaire avec les antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II ne peut être exclue.
  • +Chez les patients dont la fonction rénale dépend de l'activité du système rénine-angiotensine-aldostérone (par ex. les patients présentant une insuffisance cardiaque sévère ou une maladie rénale sous-jacente, y compris une sténose des artères rénales), le traitement par d'autres produits agissant sur ce système a été associé à une azotémie, une oligurie ou rarement une insuffisance rénale aiguë. Bien que l'on ne dispose pas de preuve concernant Irbesartan-Mepha, la possibilité de survenue d'un effet similaire avec les antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II ne peut être exclue.
  • -Nouveaunés
  • -Tous les nouveau-nés, dont les mères ont été traitées avec Irbesartan-Mepha durant la grossesse, doivent être soigneusement examinés quant à une excrétion urinaire suffisante, une hyperkaliémie et la tension artérielle. Des mesures médicales adéquates, comme par ex. une réhydratation, peuvent être nécessaires pour éliminer le médicament (voir «Grossesse/Allaitement»).
  • +Nouveau-nés
  • +Tous les nouveau-nés, dont les mères ont été traitées avec Irbesartan-Mepha durant la grossesse, doivent être soigneusement examinés quant à une excrétion urinaire suffisante, une hyperkaliémie et la tension artérielle. Des mesures médicales adéquates, comme par ex. une réhydratation, peuvent être nécessaires pour éliminer le médicament (voir aussi «Grossesse/Allaitement»).
  • -Voir sous «Posologie/Mode d'emploi: Instructions spéciales pour le dosage».
  • +Voir sous «Posologie/Mode d'emploi: Instructions spéciales pour la posologie».
  • -Double blocage» du système rénine-angiotensine-aldostérone (RAA) par un inhibiteur de l'ECA (I-ECA), un antagoniste des récepteurs de l'angiotensine II (ARA) ou l'aliskirène
  • -Par rapport à une monothérapie par l'une de ces substances, le «double blocage» du système RAA par un ARA, un I-ECA ou l'aliskirène a augmenté la fréquence des cas d'hypotension, de syncope, d'hyperkaliémie et de troubles de la fonction rénale (y compris une défaillance rénale aigüe), en particulier en début de traitement chez les patients normotendus ou hypotendus.
  • -Un double blocage du système RAA doit se limiter à des patients définis au cas par cas, sous contrôle de la pression artérielle, du potassium sérique et de la fonction rénale de chaque patient.
  • -La prise simultanée d'Irbesartan-Mepha et de l'aliskirène n'est pas recommandée. Cette association est contre-indiquée chez certains patients (voir «Contre-indications»).
  • +Double blocage du système rénine-angiotensine-aldostérone (RAA) par un inhibiteur de l'ECA (I-ECA), un antagoniste des récepteurs de l'angiotensine II (ARA II) ou l'aliskirène
  • +Par rapport à une monothérapie par l'une de ces substances, le «double blocage» du SRAA par un ARA II, un inhibiteur de l'ECA ou l'aliskirène a augmenté la fréquence des cas d'hypotension, de syncope, d'hyperkaliémie et de troubles de la fonction rénale (y compris une défaillance rénale aig), en particulier en début de traitement chez les patients normotendus ou hypertendus. En conséquence, le double blocage du SRAA par l'association d'un inhibiteur de l'ECA, ARA II ou d'aliskirène n'est pas recommandé (voir «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
  • +Néanmoins, si une telle association est considérée comme absolument nécessaire, elle doit se limiter à des patients définis au cas par cas, et ne pourra se faire que sous la surveillance d'un spécialiste avec un contrôle étroit et fréquent de la pression artérielle, de l'ionogramme sanguin et de la fonction rénale.
  • +La prise simultanée d'Irbesartan-Mepha et de l'aliskirène n'est pas recommandée. Cette association est contre-indiquée chez certains patients (voir sous «Contre-indications»). La prise simultanée d'Irbesartan-Mepha et d'inhibiteurs de l'ECA est contre-indiquée chez les patients souffrant de néphropathie diabétique et n'est pas recommandée chez les autres patients.
  • -Irbesartan-Mepha a été associé sans problème à d'autres antihypertenseurs tels que bêtabloquants, antagonistes calciques à longue durée d'action et diurétiques thiazidiques. Lorsque Irbesartan-Mepha est administré de façon concomitante à des diurétiques thiazidiques, les effets antihypertenseurs sont additifs. Un traitement préalable par des diurétiques à une dose élevée peut provoquer une hypovolémie et un risque d'hypotension, lorsqu'un traitement par Irbesartan-Mepha est initié (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Irbesartan-Mepha a été associé sans problème à d'autres antihypertenseurs tels que bêtabloquants, antagonistes calciques à longue durée d'action et diurétiques thiazidiques. Lorsqu'Irbesartan-Mepha est administré de façon concomitante à des diurétiques thiazidiques, les effets antihypertenseurs sont additifs. Un traitement préalable par des diurétiques à une dose élevée peut provoquer une hypovolémie et un risque d'hypotension, lorsqu'un traitement par Irbesartan-Mepha est initié (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -En vertu de l'expérience acquise avec les autres substances intervenant dans le système rénine-angiotensine, l'administration concomitante de diurétiques d'épargne potassique ou une supplémentation en potassium ou des sels de régime contenant du potassium peut donner lieu à une élévation de la kaliémie.
  • +En vertu de l'expérience acquise avec les autres substances intervenant dans le système rénine-angiotensine, l'administration concomitante de diurétiques d'épargne potassique, une supplémentation en potassium, des sels de régime contenant du potassium ou de tout autre médicament susceptible d'induire une élévation de la kaliémie peut donner lieu à une augmentation du potassium sérique, parfois sévère. Une telle association avec l'irbésartan requiert une surveillance étroite du taux sérique de potassium.
  • +Lithium
  • +Une augmentation réversible de la concentration sérique de lithium et de la toxicité du lithium a été observée lors de l'administration concomitante de lithium et d'inhibiteurs de l'ECA ou d'antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, dont Irbesartan-Mepha. Une surveillance étroite de la concentration sérique de lithium est donc recommandée en cas d'administration concomitante. Le risque de toxicité du lithium peut encore être augmenté lors de l'administration concomitante de diurétiques et d'Irbesartan-Mepha.
  • -Il n'existe pas d'études contrôlées chez la femme, mais des études chez l'animal avec irbésartan ont montré des effets toxiques (augmentation de volume des calices rénaux, hydruretère ou œdèmes sous-cutanés) chez les fœtus de rats. Ces effets étaient réversibles et disparaissaient après la naissance. Les données épidémiologiques concernant le risque tératogène après une exposition aux inhibiteurs de l'ECA lors du premier trimestre de la grossesse ne sont pas concluantes; cependant, une légère augmentation du risque n'est pas à exclure. Bien qu'il n'existe aucune étude épidémiologique contrôlée concernant l'utilisation des antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, un risque similaire aux inhibiteurs de l'ECA ne peut être exclu pour cette catégorie de médicaments.
  • -2 et 3 trimestres:
  • -Une exposition in utero aux inhibiteurs de l'ECA administrés au cours des 2 et 3 trimestres de la grossesse a entraîné des lésions et la mort du fœtus.
  • -Le traitement par les antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II au cours des 2 et 3 trimestres de la grossesse est connu pour entraîner une fœtotoxicité (diminution de la fonction rénale, oligohydramnios, retard de formation des os du crâne) et une toxicité néonatale (insuffisance rénale, hypotension, hyperkaliémie).
  • +Il n'existe pas d'études contrôlées chez la femme, mais des études chez l'animal avec irbésartan ont montré des effets toxiques (augmentation de volume des calices rénaux, hydruretère ou oedèmes sous-cutanés) chez les foetus de rats. Ces effets étaient réversibles et disparaissaient après la naissance. Les données épidémiologiques concernant le risque tératogène après une exposition aux inhibiteurs de l'ECA lors du premier trimestre de la grossesse ne sont pas concluantes; cependant, une légère augmentation du risque n'est pas à exclure. Bien qu'il n'existe aucune étude épidémiologique contrôlée concernant l'utilisation des antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, un risque similaire aux inhibiteurs de l'ECA ne peut être exclu pour cette catégorie de médicaments.
  • +2ème et 3ème trimestres:
  • +Une exposition in utero aux inhibiteurs de l'ECA administrés au cours des 2ème et 3ème trimestres de la grossesse a entraîné des lésions et la mort du foetus.
  • +Le traitement par les antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II au cours des 2ème et 3ème trimestres de la grossesse est connu pour entraîner une foetotoxicité (diminution de la fonction rénale, oligohydramnios, retard de formation des os du crâne) et une toxicité néonatale (insuffisance rénale, hypotension, hyperkaliémie).
  • -En cas d'administration d'un antagoniste des récepteurs de l'angiotensine II pendant le 2 trimestre de la grossesse, il est recommandé de faire une échographie fœtale afin de vérifier la fonction rénale et les os du crâne.
  • +En cas d'administration d'un antagoniste des récepteurs de l'angiotensine II pendant le 2ème trimestre de la grossesse, il est recommandé de faire une échographie foetale afin de vérifier la fonction rénale et les os du crâne.
  • -Hypertension essentielle
  • -Les effets indésirables suivants sont cliniquement significatifs, leur lien de causalité avec le traitement par l'irbésartan a été jugé possible, probable ou incertain, et ils sont survenus fréquemment (c'est-à-dire chez au moins 1% des patients), mais sans différence significative par rapport au groupe placebo:
  • -·Système nerveux central: céphalées, vertiges, fatigue.
  • -·Troubles gastro-intestinaux: nausées/vomissements.
  • -Les effets indésirables suivants sont survenus occasionnellement (c'est-à-dire avec une fréquence de 0,5 à <1%) avec une fréquence similaire ou légèrement supérieure sous irbésartan que sous placebo, bien que la différence ne soit pas statistiquement significative:
  • -·Système nerveux central: vertige orthostatique.
  • -·Troubles gastro-intestinaux: diarrhée, dyspepsie/ brûlures d'estomac.
  • -·Cœur: tachycardie.
  • -·Appareil respiratoire: toux.
  • -·Organes de la reproduction et sein: douleur pectorale, troubles sexuels.
  • -Paramètres biologiques: aucune variation significative des paramètres biologiques n'est survenue au cours des essais cliniques contrôlés. Aucune surveillance biologique particulière des patients hypertendus traités par Irbesartan-Mepha n'est donc nécessaire.
  • -Néphropathie diabétique
  • -Dans les deux essais cliniques IDNT et IRMA 2 chez les patients hypertendus présentant un diabète de type 2, le profil d'effet secondaire était comparable à celui observé chez les patients hypertendus non diabétiques (à l'exception des symptômes orthostatiques).
  • -Dans l'essai IDNT, on a observé des symptômes orthostatiques plus fréquemment sous irbésartan que sous placebo:
  • - Irbésartan contre Placebo
  • -Vertige (fréquent): 10.2% 6.0%
  • -Vertige orthostatique (fréquent): 5.4% 2.7%
  • -Hypotension orthostatique (fréquent): 5.4% 3.2%
  • -
  • -Paramètres biologiques: les taux d'incidence de l'hyperkaliémie (>5,5 mmol/l) étaient les suivants:
  • - Irbésartan contre Placebo
  • -Essai IDNT 46.3% 26.3%
  • -Essai IRMA 2 (300 mg) 29.4% 22%
  • -
  • -Pharmacovigilance
  • -Comme avec d'autres antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, de rares cas de réactions d'hypersensibilité (urticaire, angio-œdème) ont été rapportés depuis la mise sur le marché de l'irbésartan.
  • -Lors de la phase de commercialisation, les effets secondaires suivants ont été rapportés (sans relation de cause à effet établie): vertige, asthénie, hyperkaliémie, myalgie, jaunisse, augmentation des valeurs hépatiques, hépatite, atteinte de la fonction rénale (y compris des cas d'insuffisance rénale).
  • +Chez les patients hypertendus diabétiques présentant une microalbuminurie et une fonction rénale normale, des vertiges orthostatiques et des hypotensions orthostatiques ont été rapportés chez 0,5% (c'està-dire, occasionnellement) des patients, mais en excès par rapport au placebo.
  • +Les effets indésirables suivants ont été rapportés au cours des études cliniques versus placebo dans lesquelles 1965 patients ont reçu de l'irbésartan.
  • +Chez les patients hypertendus diabétiques ayant une insuffisance rénale chronique et une protéinurie patente, les effets indésirables marqués d'une (*) ont été rapportés en plus chez plus de 2% des patients et en excès par rapport au placebo.
  • +Indication de fréquence des effets indésirables: très fréquents (≥1/10), fréquents (<1/10, ≥1/100), occasionnels (<1/100, ≥1/1'000), rares (<1/1'000, ≥1/10'000), très rares (<1/10'000).
  • +Les effets indésirables supplémentaires rapportés après commercialisation sont également listés. Ces effets indésirables proviennent des déclarations spontanées.
  • +Affections du système immunitaire
  • +Rares: réactions d'hypersensibilité (angio-oedème, rash, urticaire).
  • +Troubles du métabolisme et de la nutrition
  • +Fréquence indéterminée: hyperkaliémie.
  • +Affections du système nerveux
  • +Fréquents: céphalées, vertige orthostatique*, sensation de vertige.
  • +Affections de l'oreille et du labyrinthe
  • +Fréquence indéterminée: tinnitus.
  • +Affections cardiaques
  • +Occasionnels: tachycardie.
  • +Affections vasculaires
  • +Fréquents: hypotension orthostatique*.
  • +Occasionnels: rougeur cutanée.
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • +Occasionnels: toux.
  • +Affections gastro-intestinales
  • +Fréquents: nausées, vomissements.
  • +Occasionnels: diarrhée, dyspepsie, brûlures d'estomac.
  • +Affections hépatobiliaires
  • +Occasionnels: ictère.
  • +Fréquence indéterminée: hépatite, augmentation des valeurs hépatiques.
  • +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
  • +Fréquents: douleurs musculo-squelettiques*.
  • +Fréquence indéterminée: arthralgie, myalgie (associée dans certains cas à une augmentation des taux plasmatiques de créatine kinase), crampe musculaire.
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • +Fréquence indéterminée: altération de la fonction rénale y compris des cas d'insuffisance rénale chez des patients à risque (voir «Mise en garde et précautions»
  • +Affections des organes de reproduction et du sein
  • +Occasionnels: troubles sexuels.
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • +Fréquents: fatigue.
  • +Occasionnels: douleur thoracique.
  • +Investigations
  • +Très fréquents: Une hyperkaliémie* est survenue plus souvent chez les patients diabétiques traités par l'irbésartan que chez ceux traités par placebo. Chez les patients hypertendus diabétiques ayant une microalbuminurie et une fonction rénale normale, une hyperkaliémie (≥5,5 mEq/l) est survenue chez 29,4% (c'est-à-dire très fréquemment) des patients du groupe irbésartan 300 mg et chez 22% des patients du groupe placebo.
  • +Chez les patients hypertendus diabétiques ayant une insuffisance rénale chronique et une protéinurie patente, une hyperkaliémie (≥5,5 mEq/l) est survenue chez 46,3% des patients du groupe irbésartan et 26,3% des patients du groupe placebo.
  • +Fréquents: des augmentations significatives de la créatine kinase plasmatique ont été observées fréquemment (1,7%) chez les sujets traités par l'irbésartan. Aucune de ces augmentations n'a été associée à des événements musculo-squelettiques cliniquement identifiables.
  • +Chez 1,7% des patients hypertendus ayant une atteinte rénale diabétique avancée traitée par l'irbésartan, une diminution de l'hémoglobine*, non cliniquement significative a été observée.
  • +Phase après commercialisation
  • +Comme avec d'autres antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, de rares cas de réactions d'hypersensibilité (urticaire, angio-oedème) ont été rapportés depuis la mise sur le marché de l'irbésartan.
  • +Lors de la phase après commercialisation, les effets secondaires suivants ont été rapportés: vertige, asthénie, hyperkaliémie, myalgie, jaunisse, augmentation des valeurs hépatiques, hépatite, atteinte de la fonction rénale (y compris des cas d'insuffisance rénale).
  • -L'essai clinique IDNT réalisé sur l'irbésartan et portant sur la néphropathie diabétique («Irbesartan Diabetic Nephropathy Trial»), était une étude contrôlée en double aveugle sur la morbidité et la mortalité, au cours de laquelle l'irbésartan, l'amlodipine et un placebo ont été comparés. Dans les trois groupes de traitement, un médicament adjuvant était autorisé (tous les antihypertenseurs excepté les antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, les inhibiteurs de l'ECA et les inhibiteurs du canal calcique). Chez 1715 patients randomisés atteints d'hypertension et de diabète de type 2, avec protéinurie ≥900 mg/jour et créatinine sérique comprise entre 1,0 et 3,0 mg/dl, les effets à long terme (en moyenne, 2,6 ans) d'irbésartan sur la progression de la néphropathie et de la mortalité totale ont été étudiés. En fonction de la tolérance au produit, les patients sont passés d'une dose de 75 mg à une dose d'entretien de 300 mg d'irbésartan, de 2,5 mg à 10 mg d'amlodipine ou de placebo. Alors que dans le groupe irbésartan et dans le groupe amlodipine des taux d'hypertension comparables ont été atteints, l'irbésartan a obtenu, outre l'abaissement de la tension artérielle, une diminution significative du risque relatif par rapport au critère d'évaluation primaire combiné (doublement de la créatininémie, néphropathie terminale ou mortalité totale): diminution du risque relatif de 20% contre le placebo (p= 0,024) et de 23% par rapport à l'amlodipine (p= 0,006). Entre les trois groupes, on n'a pas observé de différences significatives en ce qui concerne le critère d'évaluation secondaire (évènements cardiovasculaires fatals ou non fatals).
  • -L'essai concernant l'effet de l'irbésartan sur la micro-albuminurie, IRMA 2 («Irbesartan MicroAlbuminuria in Type 2 Diabetes»), était une étude contrôlée en double aveugle de la morbidité, réalisée auprès de 590 patients atteints d'hypertension artérielle et de diabète de type 2, avec micro-albuminurie (30–300 mg/jour) et fonction rénale normale (créatininémie ≤1,5 mg/dl chez l'homme et ≤1,1 mg/dl chez la femme). L'étude a évalué les effets à long terme (2 ans) d'irbésartan sur la progression vers une protéinurie clinique (manifeste): élimination d'albumine dans l'urine (EUA) >300 mg/jour et augmentation de l'EUA d'au moins 30% par rapport à la valeur de départ. Dans les 3 groupes de traitement, l'effet de l'irbésartan 150 mg, 300 mg et du placebo a été étudié, sachant que dans les trois branches de l'étude, un médicament adjuvant était autorisé (tous les antihypertenseurs, excepté les antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, les inhibiteurs de l'ECA et les inhibiteurs calciques dihydropyridine). Alors que des pressions artérielles comparables ont été atteintes dans tous les groupes de traitement l'irbésartan 300 mg a diminué de manière significative le risque relatif de 70% vs placebo (p= 0,0004) et l'irbésartan 150 mg de manière non significative de 39% (p= 0,085) vs placebo. Au bout de trois mois, il était déjà possible d'identifier un ralentissement de la progression vers une protéinurie clinique, qui s'est maintenu sur la durée de l'étude de 2 ans. Une régression à une albuminurie normalisée (<30 mg/jour) a été observée plus souvent sous irbésartan 300 mg (34%) que sous placebo (21%).
  • +L'essai clinique IDNT réalisé sur l'irbésartan et portant sur la néphropathie diabétique («Irbesartan Diabetic Nephropathy Trial»), était une étude contrôlée en double aveugle sur la morbidité et la mortalité, au cours de laquelle l'irbésartan, l'amlodipine et un placebo ont été comparés. Dans les trois groupes de traitement, un médicament adjuvant était autorisé (tous les antihypertenseurs excepté les antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, les inhibiteurs de l'ECA et les inhibiteurs du canal calcique). Chez 1715 patients randomisés atteints d'hypertension et de diabète de type 2, avec protéinurie ≥900 mg/jour et créatinine sérique comprise entre 1,0 et 3,0 mg/dl, les effets à long terme (en moyenne, 2,6 ans) d'irbésartan sur la progression de la néphropathie et de la mortalité totale ont été étudiés. En fonction de la tolérance au produit, les patients sont passés d'une dose de 75 mg à une dose d'entretien de 300 mg d'irbésartan, de 2,5 mg à 10 mg d'amlodipine ou de placebo. Alors que dans le groupe irbésartan et dans le groupe amlodipine des taux d'hypertension comparables ont été atteints, l'irbésartan a obtenu, outre l'abaissement de la tension artérielle, une diminution significative du risque relatif par rapport au critère d'évaluation primaire combiné (doublement de la créatininémie, néphropathie terminale ou mortalité totale): diminution du risque relatif de 20% contre le placebo (p=0,024) et de 23% par rapport à l'amlodipine (p=0,006). Entre les trois groupes, on n'a pas observé de différences significatives en ce qui concerne le critère d'évaluation secondaire (évènements cardiovasculaires fatals ou non fatals).
  • +L'essai concernant l'effet de l'irbésartan sur la micro-albuminurie, IRMA 2 («Irbesartan MicroAlbuminuria in Type 2 Diabetes»), était une étude contrôlée en double aveugle de la morbidité, réalisée auprès de 590 patients atteints d'hypertension artérielle et de diabète de type 2, avec micro-albuminurie (30–300 mg/jour) et fonction rénale normale (créatininémie ≤1,5 mg/dl chez l'homme et ≤1,1 mg/dl chez la femme). L'étude a évalué les effets à long terme (2 ans) d'irbésartan sur la progression vers une protéinurie clinique (manifeste): élimination d'albumine dans l'urine (EUA) >300 mg/jour et augmentation de l'EUA d'au moins 30% par rapport à la valeur de départ. Dans les 3 groupes de traitement, l'effet de l'irbésartan 150 mg, 300 mg et du placebo a été étudié, sachant que dans les trois branches de l'étude, un médicament adjuvant était autorisé (tous les antihypertenseurs, excepté les antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, les inhibiteurs de l'ECA et les inhibiteurs calciques dihydropyridine). Alors que des pressions artérielles comparables ont été atteintes dans tous les groupes de traitement l'irbésartan 300 mg a diminué de manière significative le risque relatif de 70% vs placebo (p=0,0004) et l'irbésartan 150 mg de manière non significative de 39% (p=0,085) vs placebo. Au bout de trois mois, il était déjà possible d'identifier un ralentissement de la progression vers une protéinurie clinique, qui s'est maintenu sur la durée de l'étude de 2 ans. Une régression à une albuminurie normalisée (<30 mg/jour) a été observée plus souvent sous irbésartan 300 mg (34%) que sous placebo (21%).
  • -Après administration orale ou intraveineuse d'irbésartan marqué au 14C, 80 à 85% de la radioactivité plasmatique circulante appartenaient à l'irbésartan inchangé. L'irbésartan est métabolisé par le foie par glycuronoconjugaison et oxydation. Le métabolite circulant principal est le glucuronide d'irbésartan (env. 6%). Des études in vitro ont montré que l'irbésartan est oxydé principalement par l'isoenzyme CYP2C9 du cytochrome P450. L'isoenzyme CYP3A4 a un effet négligeable.
  • +Après administration orale ou intraveineuse d'irbésartan marqué au 14C, 80 à 85% de la radioactivité plasmatique circulante appartenaient à l'irbésartan inchangé. L'irbésartan est métabolisé par le foie par glucuronoconjugaison et oxydation. Le métabolite circulant principal est le glucuronide d'irbésartan (env. 6%). Des études in vitro ont montré que l'irbésartan est oxydé principalement par l'isoenzyme CYP2C9 du cytochrome P450. L'isoenzyme CYP3A4 a un effet négligeable.
  • -Chez le lapin, des avortements ou des résorptions précoces (y compris létaux pour le fœtus) ont été observés à des doses significativement toxiques pour la lapine.
  • +Chez le lapin, des avortements ou des résorptions précoces (y compris létaux pour le foetus) ont été observés à des doses significativement toxiques pour la lapine.
  • -Conservation
  • +Stabilité
  • -Veuillez consulter la notice demballage. Conserver le médicament hors de portée des enfants. Ne pas conserver au-dessus de 30 °C.
  • +Veuillez consulter la notice d'emballage. Conserver le médicament hors de portée des enfants. Ne pas conserver au-dessus de 30 °C.
  • -Irbesartan-Mepha 150 mg: 28 et 98 comprimés filmés [B]
  • -Irbesartan-Mepha 300 mg: 28 et 98 comprimés filmés [B]
  • +Irbesartan-Mepha 150 mg: 28 et 98 comprimés pelliculés. [B]
  • +Irbesartan-Mepha 300 mg: 28 et 98 comprimés pelliculés. [B]
  • -Janvier 2014.
  • -Numéro de version interne: 3.2
  • +Décembre 2015.
  • +Numéro de version interne: 4.2
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