48 Changements de l'information professionelle Olanzapin Zentiva 2.5 mg |
-Psychose chez les patients souffrant de la maladie de Parkinson:
- +Psychose chez les patients souffrant de la maladie de Parkinson
-Syndrome neuroleptique malin (SNM):
-De rares cas de SNM ont été signalés chez des patients sous olanzapine. Le SNM est une affection susceptible de constituer un danger vital, en rapport avec la prise de neuroleptiques. Cliniquement, le SNM se manifeste par une augmentation de la température corporelle (hyperthermie), une rigidité musculaire, une modification de l'état mental et une instabilité du système nerveux autonome (pulsations ou tension artérielle irrégulières, tachycardie, sueurs et troubles du rythme cardiaque). D'autres symptômes peuvent être une augmentation de la créatinine-phosphokinase, une myoglobinurie (rhabdomyolyse) et une insuffisance rénale. En pareil cas ou face à une fièvre inexpliquée même sans manifestations cliniques concomitantes de SNM, le traitement de tous les neuroleptiques, incluant l'olanzapine, doivent être interrompus.
-Hyperglycémie/Diabète:
-Chez les patients diabétiques ou présentant une légère élévation de la glycémie (100–126 mg/dl à jeun, 140–200 mg/dl non à jeun), l'olanzapine ne sera prescrite qu'après une évaluation soigneuse du rapport bénéfices/risques.
- +Syndrome neuroleptique malin (SNM): de rares cas de SNM ont été signalés chez des patients sous olanzapine. Le SNM est une affection susceptible de constituer un danger vital, en rapport avec la prise de neuroleptiques. Cliniquement, le SNM se manifeste par une augmentation de la température corporelle (hyperthermie), une rigidité musculaire, une modification de l'état mental et une instabilité du système nerveux autonome (pulsations ou tension artérielle irrégulières, tachycardie, sueurs et troubles du rythme cardiaque). D'autres symptômes peuvent être une augmentation de la créatinine-phosphokinase, une myoglobinurie (rhabdomyolyse) et une insuffisance rénale. En pareil cas ou face à une fièvre inexpliquée même sans manifestations cliniques concomitantes de SNM, le traitement de tous les neuroleptiques, incluant l'olanzapine, doivent être interrompus.
- +Hyperglycémie/Diabète
- +Chez les patients diabétiques ou présentant une légère élévation de la glycémie (100-126 mg/dl à jeun, 140-200 mg/dl non à jeun), l'olanzapine ne sera prescrite qu'après une évaluation soigneuse du rapport bénéfices/risques.
-Des augmentations indésirables des triglycérides, du cholestérol total et du cholestérol LDL ont été observées chez les patients sous olanzapine.
-Il convient de surveiller toute modification des taux sanguins de lipides d'un point de vue clinique.
- +Des augmentations indésirables des triglycérides, du cholestérol total et du cholestérol LDL ont été observées chez les patients sous olanzapine. Il convient de surveiller toute modification des taux sanguins de lipides d'un point de vue clinique.
-Activité anticholinergique:
- +Activité anticholinergique
-Les données sur l'association avec le lithium ou le valproate sont limitées (voir «Propriétés/Effets»). Une étude pharmacocinétique a été conduite sur la combinaison d'olanzapine et de carbamazépine.
- +Les données sur l'association avec le lithium ou le valproate sont limitées (voir «Propriétés/Effets»).Une étude pharmacocinétique a été conduite sur la combinaison d'olanzapine et de carbamazépine.
-Des atteintes thromboemboliques veineuses ont été très rarement rapportées avec l'olanzapine (<0.01%). Il n'a pas été établi de lien de causalité entre la survenue de ces atteintes et le traitement par l'olanzapine.
-Cependant les patients schizophrènes présentant souvent des facteurs de risque thromboembolique veineux, tout facteur de risque potentiel d'atteintes thromboemboliques veineuses, p.ex l'immobilisation prolongée, doit être identifié et des mesures préventives mises en oeuvre.
- +Des atteintes thromboemboliques veineuses ont été très rarement rapportées avec l'olanzapine (<0,01%). Il n'a pas été établi de lien de causalité entre la survenue de ces atteintes et le traitement par l'olanzapine. Cependant les patients schizophrènes présentant souvent des facteurs de risque thromboembolique veineux, tout facteur de risque potentiel d'atteintes thromboemboliques veineuses, p.ex. l'immobilisation prolongée, doit être identifié et des mesures préventives mises en oeuvre.
-Convulsions:
-L'olanzapine doit être administrée avec prudence chez les patients ayant des antécédents de convulsions ou chez ceux qui présentent une diminution du seuil convulsif. Des convulsions n'ont été que rarement signalées.
-Dyskinésies tardives:
- +Convulsions
- +L'olanzapine doit être administrée avec prudence chez les patients ayant des antécédents de convulsions ou chez ceux qui présentent une diminution du seuil convulsif. Des convulsions ont été occasionnellement signalées.
- +Dyskinésies tardives
- +Réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms, DRESS)
- +Des DRESS ont été observées durant l'exposition à l'olanzapine. La DRESS est une combinaison de trois ou plus des symptômes suivants: réaction cutanée (comme une éruption ou une dermatite exfoliative), éosinophilie, fièvre, lymphadénopathie, et une ou plusieurs complications systémiques telles que hépatite, néphrite, pneumonite, myocardite et péricardite. En cas de suspicion de DRESS Zyprexa doit être interrompu.
-Phénylalanine: les comprimés orodispersibles Olanzapin Helvepharm contiennent de l'aspartame, qui libère de la phénylalanine.
- +Phénylalanine: Les comprimés orodispersibles Olanzapin Helvepharm contiennent de l'aspartame, qui libère de la phénylalanine.
- +Propylparahydroxybenzoate de sodium et méthylparahydroxybenzoate de sodium: les comprimés orodispersibles Olanzapin Helvepharm contiennent du sel sodique de propylparahydroxybenzoate de sodium et du méthylparahydroxybenzoate de sodium. Ces conservateurs sont connus comme étant susceptibles de provoquer des urticaires. En général, des réactions tardives peuvent apparaître, avec dermite de contact, mais les réactions immédiates comme le bronchospasme sont rares.
- +
-L'olanzapine étant métabolisée par le cytochrome CYP 1A2, les produits qui stimulent ou inhibent spécifiquement cette isoenzyme peuvent modifier les paramètres pharmacocinétiques de l'olanzapine.
-Induction du CYP 1A2: la métabolisation de l'olanzapine peut être favorisée par le tabagisme (chez les non-fumeurs, la clairance est inférieure de 33%, et la demi-période d'élimination terminale allongée de 21%, par rapport aux fumeurs) et par la carbamazépine (lors d'une administration simultanée de carbamazépine, la clairance est augmentée de 44% et la demi-période d'élimination terminale est raccourcie de 20%). L'association thérapeutique à la carbamazépine entraîne une induction significative du métabolisme de l'olanzapine. En cas d'administration concomitante de carbamazépine, on a observé une réduction de l'exposition d'environ 50%. Une surveillance clinique est recommandée. Si nécessaire, on envisagera d'augmenter la dose d'olanzapine (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
-Inhibition du CYP 1A2: il a été montré que la fluvoxamine, inhibiteur spécifique du CYP 1A2, inhibe significativement le métabolisme de l'olanzapine. La fluvoxamine entraîne une augmentation moyenne du Cmax de l'olanzapine de 54% chez les femmes non-fumeuses et de 77% chez les hommes fumeurs. L'augmentation moyenne de l'ASC de l'olanzapine était respectivement de 52% et de 108%. Une posologie initiale plus faible de l'olanzapine doit être envisagée chez les patients traités par la fluvoxamine ou tout autre inhibiteur du CYP 1A2 telle la ciprofloxacine. Une diminution de la posologie de l'olanzapine doit être envisagée si un traitement par un inhibiteur du CYP 1A2 est instauré.
-Diminution de la biodisponibilité: le charbon activé diminue la biodisponibilité de l'olanzapine par voie orale de 50 à 60% et doit être pris au moins 2 heures avant ou après l'administration de l'olanzapine.
- +L'olanzapine étant métabolisée par le cytochrome CYP1A2, les produits qui stimulent ou inhibent spécifiquement cette isoenzyme peuvent modifier les paramètres pharmacocinétiques de l'olanzapine.
- +Induction du CYP1A2: la métabolisation de l'olanzapine peut être favorisée par le tabagisme (chez les non-fumeurs, la clairance est inférieure de 33%, et la demi-période d'élimination terminale allongée de 21%, par rapport aux fumeurs) et par la carbamazépine (lors d'une administration simultanée de carbamazépine, la clairance est augmentée de 44% et la demi-période d'élimination terminale est raccourcie de 20%). L'association thérapeutique à la carbamazépine entraîne une induction significative du métabolisme de l'olanzapine. En cas d'administration concomitante de carbamazépine, on a observé une réduction de l'exposition d'environ 50%. Une surveillance clinique est recommandée. Si nécessaire, on envisagera d'augmenter la dose d'olanzapine (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Inhibition du CYP1A2: Il a été montré que la fluvoxamine, inhibiteur spécifique du CYP1A2, inhibe significativement le métabolisme de l'olanzapine. La fluvoxamine entraîne une augmentation moyenne du Cmax de l'olanzapine de 54% chez les femmes non-fumeuses et de 77% chez les hommes fumeurs. L'augmentation moyenne de l'ASC de l'olanzapine était respectivement de 52% et de 108%. Une posologie initiale plus faible de l'olanzapine doit être envisagée chez les patients traités par la fluvoxamine ou tout autre inhibiteur du CYP1A2 telle la ciprofloxacine. Une diminution de la posologie de l'olanzapine doit être envisagée si un traitement par un inhibiteur du CYP1A2 est instauré.
- +Diminution de la biodisponibilité: Le charbon activé diminue la biodisponibilité de l'olanzapine par voie orale de 50 à 60% et doit être pris au moins 2 heures avant ou après l'administration de l'olanzapine.
-Grossesse
-Des études animales ont mis en évidence des effets secondaires affectant le foetus et il n'existe aucune étude contrôlée et suffisamment documentée chez les femmes enceintes. L'attention des patientes sera donc attirée sur le fait qu'elle doivent avertir leur médecin en cas de grossesse débutante ou de projet de grossesse en cours de traitement au olanzapine. L'expérience chez l'homme étant limitée, ce médicament ne sera administré lors d'une grossesse que si les avantages éventuels justifient le risque foetal potentiel.
- +Grossesse: des études animales ont mis en évidence des effets secondaires affectant le foetus et il n'existe aucune étude contrôlée et suffisamment documentée chez les femmes enceintes. L'attention des patientes sera donc attirée sur le fait qu'elle doivent avertir leur médecin en cas de grossesse débutante ou de projet de grossesse en cours de traitement au olanzapine. L'expérience chez l'homme étant limitée, ce médicament ne sera administré lors d'une grossesse que si les avantages éventuels justifient le risque foetal potentiel.
-Allaitement
-Une étude sur des femmes qui allaitaient a montré que l'olanzapine était excrétée dans le lait maternel. On a mesuré que la quantité moyenne absorbée par les nourrissons (mg/kg) était, au steady-state, de 1,8% environ de la dose d'olanzapine d'origine maternelle. On recommandera aux patientes de ne pas allaiter lorsqu'elles prennent de l'olanzapine.
-Accouchement et naissance
-Chez le rat, le déroulement de l'accouchement n'est pas influencé par l'olanzapine. Mais, chez la femme, l'effet de l'olanzapine sur la délivrance n'est pas connu.
- +Allaitement: une étude sur des femmes qui allaitaient a montré que l'olanzapine était excrétée dans le lait maternel. On a mesuré que la quantité moyenne absorbée par les nourrissons (mg/kg) était, au steady-state, de 1,8% environ de la dose d'olanzapine d'origine maternelle. On recommandera aux patientes de ne pas allaiter lorsqu'elles prennent de l'olanzapine.
- +Accouchement et naissance: chez le rat, le déroulement de l'accouchement n'est pas influencé par l'olanzapine. Mais, chez la femme, l'effet de l'olanzapine sur la délivrance n'est pas connu.
-Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés (≥1% des patients) au cours des essais cliniques ont été: somnolence, prise de poids, éosinophilie, augmentation des taux de prolactine, de cholestérol, de la glycémie et de la triglycéridémie (voir «Mises en garde et précautions»), glucosurie, augmentation de l'appétit, sensation vertigineuse, akathisie, parkinsonisme leucopénie, neutropénie (voir «Mises en garde et précautions»), dyskinésie, hypotension orthostatique, effets anticholinergiques, élévations transitoires asymptomatiques des aminotransférases hépatiques (voir «Mises en garde et précautions»), rash, asthénie, fatigue, pyréxie, arthralgie, phosphatase alcaline sanguine augmentée, gamma-glutamyltransférase augmentée, uricémie augmentée, créatine phosphokinase sanguine augmentée et oedème.
- +Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés (≥1% des patients) au cours des essais cliniques ont été: somnolence, prise de poids, éosinophilie, augmentation des taux de prolactine, de cholestérol, de la glycémie et de la triglycéridémie (voir «Mises en garde et précautions»), glucosurie, augmentation de l'appétit, sensation vertigineuse, acathisie, parkinsonisme leucopénie, neutropénie (voir «Mises en garde et précautions»), dyskinésie, hypotension orthostatique, effets anticholinergiques, élévations transitoires asymptomatiques des aminotransférases hépatiques (voir «Mises en garde et précautions»), rash, asthénie, fatigue, pyréxie, arthralgie, phosphatase alcaline sanguine augmentée, gamma-glutamyltransférase augmentée, uricémie augmentée, créatine phosphokinase sanguine augmentée et oedème.
-Fréquents (1–10%): Eosinophilie, leucopénie, neutropénie.
-Rares (0,01–0,1%): Thrombocytopénie (voir note 7 ci-dessous).
- +Fréquent (1–10%): Eosinophilie, leucopénie, neutropénie.
- +Rare (0,01–0,1%): Thrombocytopénie (voir note 7 ci-dessous).
-Très fréquents (>10%): Somnolence (17,6%). Chez les patients souffrant de la maladie de Parkinson, on a rapporté plus souvent une péjoration des symptômes de Parkinson et des hallucinations.
-Fréquents (1–10%): Vertiges, acathisie, parkinsonisme, dyskinésie (voir note 6 ci-dessous).
- +Très fréquent (>10%): Somnolence (17,6%). Chez les patients souffrant de la maladie de Parkinson, on a rapporté plus souvent une péjoration des symptômes de Parkinson et des hallucinations.
- +Fréquent (1–10%): Vertiges, acathisie, parkinsonisme, dyskinésie (voir note 6 ci-dessous).
-Rare (0,01–0,1%): syndrôme malin des neuroleptiques (voir «Mises en garde et précautions»).
-Symptômes à l'arrêt du traitement: des symptomes aigus tels que sueurs, insomnie, tremblement, anxiété, nausée ou vomissement ont été rapportés lors de l'arrêt brutal de l'olanzapine. Une réduction graduelle de la dose doit être envisagée lors de l'arrêt du traitement avec l'olanzapine.
- +Rare (0,01–0,1%): syndrome malin des neuroleptiques (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Symptômes à l'arrêt du traitement: des symptômes aigus tels que sueurs, insomnie, tremblement, anxiété, nausée ou vomissement ont été rapportés lors de l'arrêt brutal de l'olanzapine. Une réduction graduelle de la dose doit être envisagée lors de l'arrêt du traitement avec l'olanzapine.
-Occasionnel (0,1–1%): epistaxis.
- +Occasionnel (0,1–1%): Epistaxis.
-Occasionnels (0,1–1%): Bradycardie, allongement de l'intervalle QTc (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Occasionnel (0,1–1%): Bradycardie, allongement de l'intervalle QTc (voir «Mises en garde et précautions»).
-Fréquents (1–10%): Effets anticholinergiques légers et transitoires tels que constipation et bouche sèche.
- +Fréquent (1–10%): Effets anticholinergiques légers et transitoires tels que constipation et bouche sèche.
-Très rares (<0,01%): Jaunisse.
- +Très rare (<0,01%): Jaunisse.
- +Très rare (<0.01%): réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms, DRESS) (voir «Mises en garde et précautions»).
- +
-Très fréquent: Prise de poids ≥7% observée chez 22,2% des patients.
-Fréquent: Prise de poids ≥15% observée chez 4,2% des patients.
-Occasionnel: Prise de poids ≥25% observée chez 0,8% des patients.
- +Très fréquent: prise de poids ≥7% observée chez 22,2% des patients.
- +Fréquent: prise de poids ≥15% observée chez 4,2% des patients.
- +Occasionnel: prise de poids ≥25% observée chez 0,8% des patients.
-6 Au cours d'essais cliniques, l'incidence des troubles parkinsoniens et des dystonies chez les patients traités par l'olanzapine n'était pas significativement différente de celle du groupe placebo. Les patients traités par l'olanzapine ont présenté une plus faible incidence de troubles parkinsoniens, d'akathisie et de dystonie que les patients traités par l'halopéridol à des posologies comparables. En l'absence d'information précise concernant les antécédents de mouvements anormaux extrapyramidaux de survenue aiguë ou tardive, on ne peut conclure à ce jour que l'olanzapine entraîne moins de dyskinésies tardives et/ou de syndromes extrapyramidaux tardifs.
- +6 Au cours d'essais cliniques, l'incidence des troubles parkinsoniens et des dystonies chez les patients traités par l'olanzapine n'était pas significativement différente de celle du groupe placebo. Les patients traités par l'olanzapine ont présenté une plus faible incidence de troubles parkinsoniens, d'acathisie et de dystonie que les patients traités par l'halopéridol à des posologies comparables. En l'absence d'information précise concernant les antécédents de mouvements anormaux extrapyramidaux de survenue aiguë ou tardive, on ne peut conclure à ce jour que l'olanzapine entraîne moins de dyskinésies tardives et/ou de syndromes extrapyramidaux tardifs.
-La proportion de patients ayant présenté des modifications indésirables cliniquement significatives du poids (augmentation), du glucose, du cholestérol total/HDL/LDL ou des triglycérides a augmenté au cours du temps. Chez les patients adultes qui ont suivi 9-12 mois de traitement, le taux d'augmentation de la glycémie sanguine moyenne a diminué après 4–6 mois environ.
- +La proportion de patients ayant présenté des modifications indésirables cliniquement significatives du poids (augmentation), du glucose, du cholestérol total/HDL/LDL ou des triglycérides a augmenté au cours du temps. Chez les patients adultes qui ont suivi 9-12 mois de traitement, le taux d'augmentation de la glycémie sanguine moyenne a diminué après 4-6 mois environ.
-L'olanzapine est un neuroleptique atypique avec une action antimaniaque et stabilisatrice de l'humeur, présentant une affinité pour le 5HT2A/2C, le 5HT3 et le 5HT6, la dopamine D4, D3, D1, D2, les récepteurs muscariniques cholinergiques (m1–m5), les récepteurs adrénergiques α1 et les récepteurs histaminiques H1. Des études cliniques observant le comportement des patients réalisées avec l'olanzapine concordent avec les profils de liaisons aux récepteurs.
- +L'olanzapine est un neuroleptique atypique avec une action antimaniaque et stabilisatrice de l'humeur, présentant une affinité pour le 5HT2A/2C, le 5HT3 et le 5HT6, la dopamine D4, D3, D1, D2, les récepteurs muscariniques cholinergiques (m1 – m5), les récepteurs adrénergiques α1 et les récepteurs histaminiques H1. Des études cliniques observant le comportement des patients réalisées avec l'olanzapine concordent avec les profils de liaisons aux récepteurs.
-Juin 2013.
- +Octobre 2016.
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