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Accueil - Information professionnelle sur Benlysta 120 mg - Changements - 08.03.2024
22 Changements de l'information professionelle Benlysta 120 mg
  • -·pour réduire l'activité de la maladie chez les patients à partir de 5 ans atteints de lupus érythémateux disséminé (LED) actif avec présence d'autoanticorps sous traitement de fond
  • +·pour réduire l'activité de la maladie chez les patients à partir de 5 ans atteints de lupus érythémateux disséminé (LED) actif avec présence d'auto-anticorps sous traitement de fond
  • -Dans le cas d'une réaction sévère, l'administration de Benlysta doit être interrompue et un traitement médical approprié doit être instauré. Un arrêt définitif du traitement a été rapporté chez 0,4% des patients traités par voie intraveineuse. Les patients qui ont des allergies médicamenteuses multiples ou des antécédents d'hypersensibilité significative peuvent présenter un risque accru.
  • +Dans le cas d'une réaction sévère, l'administration de Benlysta doit être interrompue et un traitement médical approprié doit être instauré. Un arrêt définitif du traitement a été rapporté chez 0,4% des patients dans les trois études cliniques sur le LED portant sur l'administration intraveineuse et réalisées avant l'autorisation. Les patients qui ont des allergies médicamenteuses multiples ou des antécédents d'hypersensibilité significative peuvent présenter un risque accru.
  • -Des cas de leucoencéphalopathie multifocale progressive (LEMP) ayant entraîné des déficits neurologiques, parfois avec une issue fatale, ont été rapportés chez des patients atteints de LED qui avaient reçu une pharmacothérapie immunosuppressive, entre autres par Benlysta. En principe, il faut toujours songer à la possibilité d'une LEMP chez les patients développant pour la première fois des signes et symptômes neurologiques ou subissant une aggravation de troubles neurologiques préexistants. Les patients concernés doivent être adressés à un neurologue ou à un autre spécialiste qualifié pour une évaluation approfondie. Si la suspicion de LEMP est confirmée, l'arrêt du traitement immunosuppresseur – y compris de Benlysta – doit être envisagé.
  • +Des cas de leucoencéphalopathie multifocale progressive (LEMP) ayant entraîné des déficits neurologiques, parfois avec une issue fatale, ont été rapportés chez des patients atteints de LED qui avaient reçu une pharmacothérapie immunosuppressive, entre autres par Benlysta. En principe, il faut toujours songer à la possibilité d'une LEMP chez les patients développant pour la première fois des signes et symptômes neurologiques ou subissant une aggravation de troubles neurologiques préexistants. En cas d'indication clinique, les patients concernés doivent être adressés à un neurologue ou à un autre spécialiste qualifié pour une évaluation approfondie. En cas de suspicion de LEMP, le traitement immunosuppresseur, y compris par Benlysta, doit être interrompu jusqu'à ce qu'une LEMP puisse être exclue. Si une LEMP est confirmée, le traitement immunosuppresseur – y compris Benlysta – doit être arrêté.
  • -La sécurité du bélimumab chez les patients atteints de LED a été évaluée dans 3 études contrôlées contre placebo portant sur l'administration intraveineuse, réalisées avant l'autorisation et dans une étude contrôlée contre placebo portant sur l'administration sous-cutanée ainsi que dans une étude contrôlée contre placebo portant sur l'administration intraveineuse, réalisée après la commercialisation. La sécurité d'emploi chez les patients atteints de néphrite lupique a été évaluée dans une étude contrôlée par placebo avec administration intraveineuse.
  • -Les données présentées ci-dessous reposent sur le traitement intraveineux de 674 patients atteints de LED (10 mg/kg administrés sur une période de 1 heure, aux jours 0, 14, 28 et ensuite tous les 28 jours, sur une période de 52 semaines) et sur le traitement sous-cutané de 556 patients atteints de LED (200 mg une fois par semaine sur une période allant jusqu'à 52 semaines). Les données de sécurité présentées pour le traitement intraveineux englobent aussi des données qui s'étendent au-delà de la période de 52 semaines pour certains patients atteints de LED. En outre, il y a aussi des données de 224 patients atteints de néphrite lupique qui ont reçu Benlysta par voie intraveineuse (10 mg/kg sur une période allant jusqu'à 104 semaines). Les données provenant d'annonces reçues après la mise en circulation ont également été prises en compte. La plupart des patients ont reçu également une ou plusieurs des médications concomitantes suivantes pour traiter le LED: corticostéroïdes, immunomodulateurs, antipaludiques et AINS.
  • +La sécurité du bélimumab chez les patients atteints de LED a été évaluée dans 3 études contrôlées contre placebo portant sur l'administration intraveineuse, réalisées avant l'autorisation, dans une étude régionale subséquente contrôlée contre placebo portant sur l'administration intraveineuse et dans une étude contrôlée contre placebo portant sur l'administration sous-cutanée ainsi que dans deux études contrôlées contre placebo portant sur l'administration intraveineuse, réalisées après la commercialisation. La sécurité d'emploi chez les patients atteints de néphrite lupique a été évaluée dans une étude contrôlée par placebo avec administration intraveineuse.
  • +Les données présentées ci-dessous reposent sur le traitement intraveineux de 674 patients atteints de LED des trois études cliniques menées avant l'autorisation et de 470 patients de l'étude subséquente contrôlée contre placebo (10 mg/kg administrés sur une période de 1 heure, aux jours 0, 14, 28 et ensuite tous les 28 jours, sur une période de 52 semaines) et sur le traitement sous-cutané de 556 patients atteints de LED (200 mg une fois par semaine sur une période allant jusqu'à 52 semaines). Les données de sécurité présentées pour le traitement intraveineux englobent aussi des données qui s'étendent au-delà de la période de 52 semaines pour certains patients atteints de LED. En outre, il y a aussi des données de 224 patients atteints de néphrite lupique qui ont reçu Benlysta par voie intraveineuse (10 mg/kg sur une période allant jusqu'à 104 semaines). Les données provenant d'annonces reçues après la mise en circulation ont également été prises en compte. La plupart des patients ont reçu également une ou plusieurs des médications concomitantes suivantes pour traiter le LED: corticostéroïdes, immunomodulateurs, antipaludiques et AINS.
  • -Occasionnels: Éruption cutanée, urticaire.
  • +Fréquents: Éruption cutanée, urticaire.
  • -Dans les études cliniques portant sur l'administration intraveineuse, réalisées avant l'autorisation, l'incidence d'infections a été de 70% au total dans le groupe sous bélimumab et de 67% dans le groupe sous placebo. Les infections survenues chez au moins 3% des patients sous bélimumab et qui étaient au moins 1% plus fréquentes que chez les patients sous placebo étaient des rhinopharyngites, des bronchites, des pharyngites, des cystites et des gastro-entérites virales. Des infections graves ont été observées chez 5% des patients, aussi bien sous bélimumab que sous placebo. Les infections graves les plus fréquentes étaient des pneumonies et des infections des voies urinaires (fréquence >0,5%). Une partie de ces infections a eu une évolution sévère ou fatale.
  • +Dans les trois études cliniques portant sur l'administration intraveineuse, réalisées avant l'autorisation, l'incidence d'infections a été de 70% au total dans le groupe sous bélimumab et de 67% dans le groupe sous placebo. Les infections survenues chez au moins 3% des patients sous bélimumab et qui étaient au moins 1% plus fréquentes que chez les patients sous placebo étaient des rhinopharyngites, des bronchites, des pharyngites, des cystites et des gastro-entérites virales. Des infections graves ont été observées chez 5% des patients, aussi bien sous bélimumab que sous placebo. Les infections graves les plus fréquentes étaient des pneumonies et des infections des voies urinaires (fréquence >0,5%). Une partie de ces infections a eu une évolution sévère ou fatale.
  • -Dans les études cliniques avec administration intraveineuse dans le LED (n=2133), réalisées avant l'autorisation, des événements psychiatriques ont été rapportés plus fréquemment sous Benlysta (16%) que sous placebo (12%), ceux-ci ayant été essentiellement des événements liés à une dépression (6,3% sous Benlysta et 4,7% sous placebo), de l'insomnie (6,0% sous Benlysta et 5,3% sous placebo) et une anxiété (3,9% sous Benlysta et 2,8% sous placebo). Des événements psychiatriques sévères ont été rapportés chez 0,8% des patients sous Benlysta (0,6% avec 1 mg/kg, 1,2% avec 10 mg/kg) et chez 0,4% des patients sous placebo. Des dépressions sévères sont survenues chez 0,4% (6/1458) des patients sous Benlysta et chez 0,1% (1/675) des patients sous placebo. Deux suicides (0,1%) ont été recensés chez les patients sous Benlysta.
  • +Dans les trois études cliniques avec administration intraveineuse dans le LED (n=2133), réalisées avant l'autorisation, des événements psychiatriques ont été rapportés plus fréquemment sous Benlysta (16%) que sous placebo (12%), ceux-ci ayant été essentiellement des événements liés à une dépression (6,3% sous Benlysta et 4,7% sous placebo), de l'insomnie (6,0% sous Benlysta et 5,3% sous placebo) et une anxiété (3,9% sous Benlysta et 2,8% sous placebo). Des événements psychiatriques sévères ont été rapportés chez 0,8% des patients sous Benlysta (0,6% avec 1 mg/kg, 1,2% avec 10 mg/kg) et chez 0,4% des patients sous placebo. Des dépressions sévères sont survenues chez 0,4% (6/1458) des patients sous Benlysta et chez 0,1% (1/675) des patients sous placebo. Deux suicides (0,1%) ont été recensés chez les patients sous Benlysta.
  • -On dispose d'une expériences limitée en ce qui concerne un surdosage de bélimumab. Les effets indésirables rapportés en lien avec des cas de surdosage reflétaient le profil de sécurité connu du bélimumab.
  • +On dispose d'une expérience limitée en ce qui concerne un surdosage de bélimumab. Les effets indésirables rapportés en lien avec des cas de surdosage reflétaient le profil de sécurité connu du bélimumab.
  • -Dans des analyse descriptives de sous-groupes, les taux de PERR et de CRR ont été examinés par régime d'induction (mycophénolate ou cyclophosphamide), par classe de biopsie (classe III ou IV, classe III + V ou classe IV + V ou classe V et selon les valeurs initiale de l'uPCR (<3 g/g ou ≥3 g/g; analyse post-hoc) (Figure 2).
  • +Dans des analyses descriptives de sous-groupes, les taux de PERR et de CRR ont été examinés par régime d'induction (mycophénolate ou cyclophosphamide), par classe de biopsie (classe III ou IV, classe III + V ou classe IV + V ou classe V et selon les valeurs initiales de l'uPCR (<3 g/g ou ≥3 g/g; analyse post-hoc) (Figure 2).
  • -D'après des simulations de pharmacocinétique de population, les patients atteints de néphrite lupique qui passent de 10 mg/kg par voie intraveineuse une à deux semaines après la fin des deux premières doses intraveineuses à 200 mg par voie sous-cutanée chaque semaine devraient avoir des concentrations sériques moyennes de belimumab similaires à celles des patients ayant reçu 10 mg/kg par voie intraveineuse toutes les 4 semaines (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +D'après des simulations de pharmacocinétique de population, les patients atteints de néphrite lupique qui passent de 10 mg/kg par voie intraveineuse une à deux semaines après la fin des deux premières doses intraveineuses à 200 mg par voie sous-cutanée chaque semaine devraient avoir des concentrations sériques moyennes de bélimumab similaires à celles des patients ayant reçu 10 mg/kg par voie intraveineuse toutes les 4 semaines (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Avril 2023
  • +Février 2024
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