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Accueil - Information professionnelle sur Hizentra - Changements - 22.02.2021
106 Changements de l'information professionelle Hizentra
  • -Principe(s) actif(s)
  • -Immunoglobuline humaine normale injectable sous-cutanée (IgSC).
  • -Protéine plasmatique humaine dont la teneur minimale en immunoglobuline G (IgG) est ≥98%.
  • -Distribution des sous-classes d'IgG (valeurs moyennes): IgG1 69%, IgG2 26%, IgG3 3%, IgG4 2%.
  • +Principes actifs
  • +Immunoglobuline humaine normale injectable par voie sous-cutanée (IgSC). Protéine plasmatique humaine dont la teneur minimale en immunoglobuline G (IgG) est ≥98%.
  • +Distribution approximative des sous-classes d'IgG: IgG1 69%, IgG2 26%, IgG3 3%, IgG4 2%.
  • -L-proline, polysorbate 80, hydroxyde de sodium (correspond à <10 mmol/l de sodium, acide chlorhydrique, eau pour préparations injectables.
  • +L-proline, polysorbate 80, hydroxyde de sodium (correspond à <10 mmol/l de sodium), acide chlorhydrique, eau pour préparations injectables.
  • -·Myélome ou la leucémie lymphoïde chronique avec hypogammaglobulinémie secondaire sévère et infections récurrentes.
  • -Traitement immunomodulateur
  • +·Myélome ou leucémie lymphoïde chronique avec hypogammaglobulinémie secondaire sévère et infections récurrentes.
  • +Immunmodulatorische Therapie:
  • -Posologie
  • +Posologie usuelle
  • +Pour assurer la traçabilité des médicaments biologiques, il est recommandé de documenter le nom commercial et le numéro de lot à chaque traitement.
  • -La dose peut être adaptée à chaque patient en fonction de la réponse clinique et des taux résiduels d'IgG. Les posologies suivantes sont données à titre indicatif:
  • -La thérapie de substitution administrée par voie sous-cutanée a pour but de maintenir un taux constant d'IgG. Une dose initiale d'au moins 0,2-0,5 g/kg (1,0-2,5 ml/kg) de poids corporel peut être nécessaire. Elle peut être répartie sur plusieurs jours. La dose mensuelle pour le maintien d'un taux d'IgG stable, est de l'ordre de 0,4-0,8 g/kg (2,0-4,0 ml/kg) de poids corporel et elle est fractionnée en plus petites doses qui sont administrées à intervalles répétés (voir le chapitre «Pharmacocinétique»).
  • +La dose peut être adaptée individuellement à chaque patient en fonction de l'évolution clinique et des taux sériques résiduels d'IgG. Les posologies suivantes sont données à titre indicatif:
  • +La thérapie de substitution par Hizentra administré par voie sous-cutanée a pour but de maintenir un taux constant d'IgG. La dose initiale est d'au moins 0,2-0,5 g/kg (1,0-2,5 ml/kg) de poids corporel. Elle peut être répartie sur plusieurs jours. La dose mensuelle pour le maintien d'un taux d'IgG stable, est de l'ordre de 0,4-0,8 g/kg (2,0-4,0 ml/kg) de poids corporel et elle est fractionnée en plus petites doses qui sont administrées à intervalles répétés (voir le chapitre «Pharmacocinétique»).
  • -Les taux résiduels doivent être mesurés et évalués en tenant compte de la réponse clinique du patient. Selon la réponse clinique (par ex. le taux d'infection), un ajustement des doses et/ou de l'intervalle entre les doses peut être envisagé pour atteindre des taux résiduels plus élevés.
  • +Les taux résiduels doivent être mesurés et évalués en tenant compte de l'évolution clinique de la maladie chez le patient. Selon l'évolution clinique (par ex. le taux d'infection), un ajustement des doses et/ou de l'intervalle entre les doses peut être envisagé pour atteindre des taux résiduels plus élevés.
  • -Quand un patient est cliniquement stable, la dose hebdomadaire de Hizentra peut être réduite à un minimum de 0,2 g/kg de poids corporel. En cas de rechute, après réduction de la dose à 0,2 g/kg de poids corporel par semaine, il convient de revenir à une dose sous-cutanée plus élevée de 0,4 g/kg de poids corporel par semaine. Si le patient ne répond pas ou si une rechute survient aux doses plus élevées, il convient de passer aux IgIV à une dose de saturation initiale. En cas de traitement de rattrapage avec des IgIV, un retour au traitement par IgSC ne peut être conseillé.
  • +Quand un patient est cliniquement stable, la dose hebdomadaire d'Hizentra peut être réduite à un minimum de 0,2 g/kg de poids corporel. En cas de rechute, après réduction de la dose à 0,2 g/kg de poids corporel par semaine, il convient de revenir à une dose sous-cutanée plus élevée de 0,4 g/kg de poids corporel par semaine. Si le patient ne répond pas ou si une rechute survient aux doses plus élevées, il convient de passer aux IgIV à une dose de saturation initiale. En cas de traitement de rattrapage avec des IgIV, un retour au traitement par IgSC ne peut pas être conseillé.
  • -L'efficacité d'Hizentra par rapport au placebo a été démontrée dans des études cliniques après un changement d'immunoglobulines intraveineuses.
  • -On ne dispose pas de données comparatives directes sur Hizentra par rapport aux IgIV.
  • -Posologie chez l'enfant et l'adolescent
  • -La posologie est calculée, comme chez l'adulte, en fonction du poids corporel et est ajustée selon l'évolution clinique de la maladie lors du traitement de substitution. Hizentra a été évalué chez 54 enfants âgés de 2 à 12 ans et 45 adolescents âgés de 12 à 18 ans atteints de DIP. Aucun ajustement relatif à la dose pédiatrique n'a été nécessaire pour atteindre les taux sériques d'IgG souhaités.
  • -À ce jour, Hizentra n'a pas été évalué dans des études cliniques chez des patients pédiatriques atteints de PIDC.
  • -Population âgée
  • +L'efficacité d'Hizentra par rapport au placebo a été démontrée dans des études cliniques après un changement d'immunoglobulines intraveineuses. On ne dispose pas de données comparatives directes sur Hizentra par rapport aux IgIV.
  • +Patients âgés
  • -Hizentra a fait l'objet d'études cliniques chez 9 patients atteints de DIP âgés de plus de 65 ans. Aucun ajustement de dose spécifique n'a été nécessaire pour atteindre les taux sériques d'IgG souhaités.
  • +Hizentra a fait l'objet d'études cliniques chez 13 patients atteints de DIP âgés de plus de 65 ans. Aucun ajustement de dose spécifique n'a été nécessaire pour atteindre les taux sériques d'IgG souhaités.
  • +Enfants et adolescents
  • +La posologie est calculée, comme chez l'adulte, en fonction du poids corporel et est ajustée selon l'évolution clinique de la maladie lors du traitement de substitution. Hizentra a été évalué chez 68 enfants âgés de 2 à 12 ans et 57 adolescents âgés de 12 à <18 ans atteints de DIP. Aucun ajustement de la dose relatif à la population pédiatrique n'a été nécessaire pour atteindre les taux sériques d'IgG souhaités.
  • +À ce jour, Hizentra n'a pas été évalué dans des études cliniques chez des patients pédiatriques atteints de PIDC.
  • +
  • -La perfusion pour le traitement à domicile doit être initiée et surveillée par un professionnel de la santé expérimenté. Le professionnel de la santé doit déjà avoir l'expérience de la prise en charge à domicile de patients atteints d'un déficit immunitaire primitif. Le patient ou le soignant doivent être formés à l'utilisation des dispositifs de perfusion, aux techniques de perfusion, à la tenue du carnet de traitement, à la reconnaissance des effets indésirables graves et aux mesures à prendre en cas de survenue de ces derniers.
  • -Hizentra peut être injecté dans des sites tels que la paroi abdominale, la cuisse, le bras, et la face latérale de la hanche (voir Figure 1). Si des quantités importantes (>25 ml de produit pour le traitement de substitution et >50 ml pour le traitement du PIDC doivent être administrées, il est conseillé de répartir les injections sur plusieurs sites. Chez les nourrissons et les enfants, le site d'injection peut être changé tous les 5-15 ml. Il n'y a pas de nombre limité de sites d'injection. Les sites d'injection doivent être espacés au minimum de 5 cm. Plus d'un dispositif de perfusion peut être utilisé simultanément. La quantité de produit injecté dans un site particulier peut varier.
  • +Hizentra peut être perfusé dans des sites tels que la paroi abdominale, la cuisse, le bras, et la face latérale de la hanche (voir Figure 1). Si des quantités importantes (>50 ml) doivent être administrées, il est conseillé de répartir les injections sur plusieurs sites. Chez les nourrissons et les enfants, le site d'injection doit être changé tous les 5-15 ml. Il n'y a pas de nombre limité de sites d'injection. Les sites d'injection doivent être espacés au minimum de 5 cm. Plusieurs' dispositifs de perfusion peuvent être utilisés simultanément. La quantité de produit injecté dans un site particulier peut varier. Il faut changer de site de perfusion en cas d'administrations successives.
  • -Débit de perfusion
  • +L'autotraitement à domicile doit être initié et accompagné au début par un professionnel de la santé. Le professionnel de la santé doit avoir l'expérience de la prise en charge de patients autotraités à domicile. Le patient ou le soignant doivent être formés et entraînés à l'utilisation des appareils de perfusion, aux techniques de perfusion, à la tenue du carnet de traitement, à la reconnaissance des effets indésirables graves et aux mesures à prendre en cas de survenue de ces derniers.
  • +·Débit de perfusion
  • +Hizentra peut être perfusé:
  • +·avec un appareil de perfusion (par ex. une pompe de perfusion)
  • +·en perfusion manuelle avec une seringue.
  • +Le débit de perfusion recommandé varie en fonction des besoins individuels de chaque patient.
  • +Perfusion avec un appareil de perfusion
  • +
  • -Le débit de perfusion initial recommandé dépend des besoins du patient et ne doit pas dépasser 15 ml/heure/site. S'il est bien toléré, le débit de perfusion peut ensuite être augmenté progressivement jusqu'à 25 ml/heure/site.
  • +Le débit de perfusion initial recommandé ne doit pas dépasser 20 ml/heure/site. S'il est bien toléré, le débit de perfusion peut ensuite être augmenté progressivement jusqu'à 100 ml/heure/site.
  • -Le débit de perfusion initial recommandé dépend des besoins individuels du patient et ne doit pas dépasser 20 ml/heure par site de perfusion. S'il est bien toléré, le débit de perfusion peut être progressivement augmenté jusqu'à 50 ml/heure/site de perfusion.
  • -Pour l'administration toutes les deux semaines, le volume nécessaire de Hizentra peut être administré en tant que de besoin en 4 séances maximum, p.ex. une fois le matin et une fois le soir et répété le lendemain ou au courant de la deuxième semaine.
  • +Le débit de perfusion initial recommandé ne doit pas dépasser 20 ml/heure par site de perfusion. S'il est bien toléré, le débit de perfusion peut être progressivement augmenté jusqu'à 50 ml/heure/site de perfusion.
  • +Pour l'administration toutes les deux semaines, le volume nécessaire d'Hizentra peut être administré au besoin en 4 séances maximum, p.ex. une fois le matin et une fois le soir et répété le lendemain ou au cours de la deuxième semaine.
  • +Perfusion manuelle
  • +Le débit de perfusion initial recommandé ne doit pas dépasser 0,5 ml/min par site de perfusion (30 ml/heure par site de perfusion).
  • +S'il est bien toléré, le débit de perfusion peut être progressivement augmenté jusqu'à 2,0 ml/min/site de perfusion (120 ml/heure par site de perfusion) en fonction de l'évaluation par le personnel médical et de la tolérance individuelle du patient.
  • +Il est recommandé d'utiliser des aiguilles d'injection de calibre 24 ou plus (donc avec une gauge plus petite) afin que les patients puissent perfuser manuellement avec un débit plus élevé. L'utilisation d'aiguilles d'injection plus petites (donc avec une gauge plus importante) peut rendre difficile la perfusion d'Hizentra.
  • +On ne peut perfuser manuellement avec une seringue qu'à un seul site de perfusion.
  • +Lorsqu'il est nécessaire d'administrer manuellement un volume supérieur à 20 ml, il est recommandé, en fonction de la dose individuelle à administrer, de perfuser la dose à plusieurs sites. Dans ce cas, une seringue d'Hizentra supplémentaire est nécessaire pour chaque site de perfusion. Si le volume est perfusé à plusieurs sites, il faut utiliser à chaque fois une nouvelle aiguille d'injection stérile pour chaque seringue de perfusion.
  • +Les kits d'administration avec plusieurs aiguilles de perfusion/cathéters ou les systèmes d'administration en Y ne doivent pas être utilisés.
  • -Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients (voir aussi le chapitre «Composition»).
  • +Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients selon la composition (voir aussi le chapitre «Composition»).
  • -L'administration accidentelle de Hizentra par voie intraveineuse peut entraîner un état de choc chez le patient.
  • +L'administration accidentelle d'Hizentra par voie intraveineuse peut entraîner un état de choc chez le patient.
  • -Hypersensibilité / réactions allergiques
  • -Les vraies réactions allergiques sont rares. Elles peuvent survenir notamment chez les patients présentant des anticorps anti-IgA. Les patients possédant des anticorps anti-IgA et chez qui l'administration d'IgG par voie sous-cutanée demeure la seule option, doivent être traités par Hizentra uniquement sous étroite surveillance médicale.
  • -Dans de rares cas, l'administration d'immunoglobuline d'origine humaine peut induire une chute de la pression artérielle associée à une réaction anaphylactique, même chez les patients ayant présenté une bonne tolérance à une administration antérieure d'immunoglobulines.
  • +Hypersensibilité/réactions allergiques
  • +Les vraies réactions allergiques sont rares. Elles peuvent survenir chez les patients présentant des anticorps anti-IgA. Les patients possédant des anticorps anti-IgA et chez qui l'administration d'IgG par voie sous-cutanée demeure la seule option, doivent être traités par Hizentra uniquement sous étroite surveillance médicale.
  • +Dans de rares cas, l'administration d'immunoglobuline d'origine humaine peut induire une chute soudaine de la pression artérielle associée à une réaction anaphylactique, même chez les patients ayant présenté une bonne tolérance à une administration antérieure d'immunoglobulines.
  • -·ne sont pas hypersensibles aux immunoglobulines d'origine humaine; pour cela on commencera par injecter lentement le produit (≤15 ml/heure/site);
  • -·sont étroitement surveillés afin de détecter la survenue de tout symptôme pendant toute la durée de la perfusion et au moins 20 minutes après. Plus particulièrement et ce afin de déceler de potentiels effets indésirables, des patients qui reçoivent pour la première fois de l'immunoglobuline d'origine humaine, qui ont été préalablement traités par une autre préparation d'immunoglobuline, ou pour lesquels un long intervalle de temps s'est écoulé depuis le traitement précédent, doivent être surveillés au cours de la première perfusion et pendant l'heure qui suit.
  • -Toute suspicion de réaction allergique ou anaphylactique exige un arrêt immédiat de l'injection. En cas d'état de choc, les traitements médicaux standards doivent être mis en œuvre.
  • +·ne sont pas hypersensibles aux immunoglobulines d'origine humaine; pour cela on commencera par administrer lentement le produit lors de la première perfusion (≤15 ml/heure/site);
  • +·sont étroitement surveillés afin de détecter la survenue de tout symptôme pendant toute la durée de la perfusion et au moins 20 minutes après. Plus particulièrement et ce afin de déceler de potentiels effets indésirables, les patients qui reçoivent pour la première fois de l'immunoglobuline d'origine humaine, qui ont été préalablement traités par une autre préparation d'immunoglobuline, ou pour lesquels un long intervalle de temps s'est écoulé depuis le traitement précédent, doivent être surveillés au cours de la première perfusion et pendant l'heure qui suit.
  • +Toute suspicion de réaction allergique ou anaphylactique exige un arrêt immédiat de l'injection. En cas d'état de choc, les traitements médicaux standards actuels doivent être mis en œuvre.
  • -Il existe des preuves cliniques d'une association entre l'administration d'immunoglobulines et des événements emboliques/thromboemboliques tels qu'infarctus du myocarde, accident vasculaire cérébral, thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire. La prudence s'impose chez les patients présentant des facteurs de risque préexistants d'événements thrombotiques (tels que âge avancé, hypertension, diabète sucré et antécédents de maladie vasculaires ou d'épisodes thrombotiques, risques de thromboses héréditaires ou acquis, immobilité pendant de longues périodes, hypovolémie sévère, et maladies augmentant la viscosité du sang). Il convient d'indiquer aux patients quels sont les premiers symptômes des événements thromboemboliques, tels qu'essoufflement, douleur et gonflement d'un membre, déficits neurologiques centraux et douleur thoracique, et de leur conseiller de contacter leur médecin dès qu'apparaissent ces symptômes. Les patients doivent être suffisamment hydratés avant d'utiliser des immunoglobulines.
  • +Il existe des preuves cliniques d'une association entre l'administration d'immunoglobulines et des événements emboliques/thromboemboliques tels qu'infarctus du myocarde, accident vasculaire cérébral, thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire. La prudence s'impose donc tout particulièrement chez les patients présentant des facteurs de risque préexistants d'événements thrombotiques (tels qu'âge avancé, hypertension, diabète sucré, antécédents de maladie vasculaire ou d'épisodes thrombotiques, risques de thromboses héréditaires ou acquises, immobilité pendant de longues périodes, hypovolémie sévère et maladies augmentant la viscosité du sang). Il convient d'indiquer aux patients quels sont les premiers symptômes des événements thromboemboliques, tels qu'essoufflement, douleur et gonflement d'un membre, déficits neurologiques centraux et douleur thoracique, et de leur conseiller de contacter leur médecin dès qu'apparaissent ces symptômes. Les patients doivent être suffisamment hydratés avant d'utiliser des immunoglobulines.
  • -Des cas de SMA sont survenus lors de l'utilisation des IGIV ou des IGSC. Généralement, le syndrome survient quelques heures à 2 jours après le traitement par immunoglobulines. Le SMA se caractérise par les signes et symptômes suivants: maux de tête sévères, raideur de la nuque, somnolence, fièvre, photophobie, nausée et vomissement. Les patients présentant des signes et symptômes du SMA doivent faire l'objet d'un examen neurologique approfondi, incluant des examens du liquide céphalo rachidien (LCR), afin d'écarter toute autre cause d'une méningite. L'interruption du traitement par immunoglobulines conduit à la rémission du SMA en l'espace de quelques jours et sans laisser de séquelles.
  • +Des cas de SMA sont survenus lors de l'utilisation des IGIV ou des IGSC. Généralement, le syndrome survient quelques heures à 2 jours après le traitement par immunoglobulines. Le SMA se caractérise par les signes et symptômes suivants: maux de tête sévères, raideur de la nuque, somnolence, fièvre, photophobie, nausée et vomissement. Les patients présentant des signes et symptômes du SMA doivent faire l'objet d'un examen neurologique approfondi, incluant des examens du liquide céphalo-rachidien (LCR), afin d'écarter toute autre cause de la méningite. L'interruption du traitement par immunoglobulines conduit à la rémission du SMA en l'espace de quelques jours et sans laisser de séquelles.
  • -Des cas d'effets indésirables rénaux graves ont été rapportés chez des patients sous traitement par immunoglobulines, en particulier dans le cas de préparations contenant du saccharose (Hizentra ne contient pas de saccharose). Il s'agit notamment de: insuffisance rénale, aigüe nécrose tubulaire rénale aiguë, tubulopathie proximale et néphrose osmotique. Les facteurs qui augmentent le risque de complications rénales sont en autres une insuffisance rénale préexistante, un diabète sucré, une hypovolémie, des médicaments concomitants néphrotoxiques, un âge supérieur à 65 ans, une septicémie, une hyperviscosité ou une paraprotéinémie.
  • +Des cas d'effets indésirables rénaux graves ont été rapportés chez des patients sous traitement par immunoglobulines, en particulier dans le cas de préparations contenant du saccharose (Hizentra ne contient pas de saccharose). Il s'agit notamment de: insuffisance rénale aiguë, nécrose tubulaire rénale aiguë, tubulopathie proximale et néphrose osmotique. Les facteurs qui augmentent le risque de complications rénales sont, entre autres, une insuffisance rénale préexistante, un diabète sucré, une hypovolémie, des médicaments concomitants néphrotoxiques, un âge supérieur à 65 ans, une septicémie, une hyperviscosité ou une paraprotéinémie.
  • -Information concernant la prévention du risque de transmission d'agents infectieux
  • -Hizentra est préparé à partir de plasma humain. Les mesures habituelles de prévention des infections induites par l'utilisation de médicaments préparés à partir de sang ou de plasma humain comprennent la sélection des donneurs, la recherche des marqueurs spécifiques d'infection sur chaque don et sur les mélanges de plasma ainsi que l'inclusion dans le procédé de fabrication d'étapes efficaces pour l'inactivation/élimination virale. Cependant, lorsque des médicaments préparés à partir de sang ou de plasma humain sont administrés, le risque de transmission d'agents infectieux ne peut pas être totalement exclu. Ceci s'applique également aux virus inconnus ou émergents et aux autres agents pathogènes.
  • +Information concernant la prévention du risque de transmission virale
  • +Hizentra est préparé à partir de plasma humain. Les mesures habituelles de prévention des infections induites par l'utilisation de médicaments préparés à partir de sang ou de plasma humain comprennent la sélection des donneurs, la recherche des marqueurs spécifiques d'infection sur chaque don et sur les mélanges de plasma ainsi que l'inclusion dans le procédé de fabrication d'étapes efficaces pour l'inactivation/élimination virale (voir également le chapitre «Propriétés/Effets»). Cependant, lorsque des médicaments préparés à partir de sang ou de plasma humain sont administrés, le risque de transmission d'agents infectieux ne peut pas être totalement exclu. Ceci s'applique également aux virus inconnus ou émergents et aux autres agents pathogènes.
  • -L'expérience clinique montre que la transmission du virus de l'hépatite A ou du parvovirus B19 par des immunoglobulines est inexistante. De plus on admet que les anticorps présents contribuent fortement à la sécurité virale.
  • +L'expérience clinique montre que la transmission du virus de l'hépatite A ou du parvovirus B19 par des immunoglobulines est inexistante. De plus, on suppose que les anticorps présents contribuent fortement à la sécurité virale.
  • -Il n'existe pas de données cliniques contrôlées concernant l'administration d'Hizentra chez la femme enceinte ou allaitante, c'est pourquoi ce médicament doit être administré avec précaution au cours de la grossesse et de l'allaitement.
  • -La longue expérience clinique acquise dans le domaine des immunoglobulines ne suggère aucun effet délétère sur le déroulement de la grossesse, sur le fœtus ou sur le nouveau-né.
  • -La poursuite du traitement chez la femme enceinte est important afin d'assurer la mise en place d'une immunité passive chez le nouveau-né.
  • +Il n'existe pas de données cliniques contrôlées concernant l'administration d'Hizentra chez la femme enceinte ou allaitante, c'est pourquoi ce médicament doit être administré avec précaution au cours de la grossesse et de l'allaitement. La longue expérience clinique acquise dans le domaine des immunoglobulines ne suggère néanmoins aucun effet délétère sur le déroulement de la grossesse, sur le fœtus ou sur le nouveau-né.
  • +La poursuite du traitement chez la femme enceinte est importante afin d'assurer la mise en place d'une immunité passive correspondante chez le nouveau-né.
  • -Lors de l'administration sous-cutanée d'immunoglobulines d'origine humaine des effets indésirables (EI) de type frissons, céphalée, fièvre, vomissement, réactions allergiques, nausée, arthralgie, hypotension artérielle et lombalgie modérée peuvent survenir occasionnellement.
  • +Lors de l'administration d'immunoglobulines d'origine humaine, des effets indésirables (EI) de type frissons, céphalée, fièvre, vomissement, réactions allergiques, nausée, arthralgie, hypotension artérielle et lombalgie modérée peuvent survenir occasionnellement.
  • -Parmi les réactions locales observées aux sites de perfusion figurent: gonflement, douleur, rougeur, induration, sensation de chaleur locale, démangeaisons, ecchymose et éruption cutanée.
  • -Effets indésirables (EI) dans des études cliniques et pendant l'expérience post-commercialisation avec Hizentra:
  • -Dans sept études cliniques de phase III menées chez des patients atteints de déficit immunitaire primaire (n=231) et dans deux études de phase III menée chez des patients atteints de PIDC (n=197) traités par Hizentra (total n=428) les effets indésirables suivants ont été rapportés et sont présentés par classe de systèmes d'organes (terminologie MedDRA) et par fréquence.
  • -La fréquence par patient a été évaluée selon les critères suivants: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1000 à <1/100), rares (≥1/10'000 à <1/1'000), très rares (<1/10'000). Pour les EI spontanés post-commercialisation, la fréquence est indiquée sous forme de cas isolés.
  • -Infections et infestations
  • -Très fréquents: rhinopharyngite (20,3%).
  • +Parmi les réactions locales observées aux sites de perfusion, figurent: gonflement, douleur, rougeur, induration, sensation de chaleur locale, démangeaisons, ecchymose et éruption cutanée.
  • +Effets indésirables (EI) dans des études cliniques et pendant la surveillance post-commercialisation avec Hizentra
  • +Dans sept études cliniques de phase III menées chez des patients atteints de déficit immunitaire primaire DIP (n=231), deux études de phase IV auprès de patients atteints de DIP (n=74), une étude de phase III menée chez des patients atteints de PIDC (n=197) et une étude de prolongation menée auprès de patients atteints de PIDC (n=82) et traités par Hizentra (total n=502), les effets indésirables suivants ont été rapportés et sont présentés par classe de systèmes d'organes (terminologie MedDRA) et par fréquence.
  • +La fréquence par patient a été évaluée selon les critères suivants: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1000 à <1/100), rares (≥1/10 000 à <1/1000), très rares (<1/10 000). Pour les EI spontanés post-commercialisation, la fréquence est indiquée sous forme de cas isolés.
  • +Infections et infestations:
  • +Très fréquents: rhinopharyngite (19,3%).
  • -Occasionnels: augmentation du lactate déshydrogénase sanguin.
  • +Occasionnels: augmentation de la lactate déshydrogénase sanguine.
  • -Très fréquents: céphalées (y compris migraines) (14,0%).
  • -Fréquents: vertiges.
  • +Très fréquents: céphalées (12,5%)
  • +Fréquents: vertiges, migraines
  • -Affections respiratoires, thoraciques et médiasténales:
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales:
  • -Affections de la peau et des tissus sous-cutanés:
  • -Très fréquents: éruption cutanée (y compris érythème) (10,7%).
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané:
  • +Très fréquents: éruption cutanée (y compris érythème) (10,4%).
  • -Affections musculo-squelettiques, du tissu conjonctif et osseuses:
  • -Très fréquents: douleurs musculo-squelettiques (y compris spasmes musculaires et faiblesse musculaire) (11,4%).
  • -Fréquents: arthralgie.
  • -Peu fréquents: arthrite.
  • -Occasionnels: augmentation de la créatine phosphokinase sanguine.
  • +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif:
  • +Fréquents: douleurs musculo-squelettiques, arthralgie.
  • +Occasionnels: arthrite, spasmes musculaires, faiblesse musculaire, augmentation de la créatine phosphokinase sanguine.
  • -Affections générales et anomalies au site d'administration:
  • -Très fréquents: réactions locales au site de perfusion (y compris contusion et hématome (43,9%).
  • -Fréquents: fièvre (y compris augmentation de la température corporelle), fatigue (y compris malaise), douleurs thoraciques, syndrome grippal, douleurs.
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration:
  • +Très fréquents: réactions au site de perfusion (y compris contusion et hématome) (42,2%).
  • +Fréquents: fatigue (y compris sensation de malaise), fièvre (y compris augmentation de la température corporelle), douleurs thoraciques, syndrome grippal, douleurs.
  • -Code ATC:
  • +Code ATC
  • -Hizentra contient un large spectre d'anticorps IgG opsonisants et neutralisants contre une variété d'agents bactériens et viraux.
  • -Hizentra contient les anticorps IgG présents dans la population normale. Hizentra est préparé à partir de pools de plasma provenant d'un minimum de 1000 donneurs. La répartition des sous-classes d'immunoglobulines G est étroitement proportionnelle à celle du plasma humain natif.
  • -Des doses appropriées de Hizentra sont susceptibles de ramener des taux anormalement bas d'anticorps IgG à des valeurs normales et ainsi aider à combattre les infections.
  • -Le mécanisme d'action de Hizentra chez les patients atteints de PIDC n'est pas entièrement élucidé, mais peut inclure des effets immunomodulateurs.
  • +Hizentra contient un large spectre d'anticorps IgG opsonisants et neutralisants contre de nombreux agents bactériens et viraux.
  • +Hizentra contient les anticorps IgG présents dans la population normale. Hizentra est préparé à partir de pools de plasma provenant d'un minimum de 1000 donneurs. La répartition des sous-classes d'immunoglobulines G correspond approximativement à celle du plasma humain natif.
  • +Des doses suffisantes d'Hizentra peuvent ramener des taux anormalement bas d'anticorps IgG à des valeurs normales et ainsi aider à combattre les infections.
  • +Le mécanisme d'action d'Hizentra chez les patients atteints de PIDC n'est pas entièrement élucidé, mais peut inclure des effets immunomodulateurs.
  • -La sécurité et l'efficacité de Hizentra pour le traitement des déficits immunitaires primaires ont été évaluées dans quatre études prospectives ouvertes, non contrôlées et multicentriques menées en Europe et aux USA.
  • -Dans l'étude européenne pivot, 51 sujets atteints de déficit immunitaire primaire, âgés de 3 à 60 ans, ont été traités par Hizentra pendant une période allant jusqu'à 41 semaines. La dose moyenne administrée chaque semaine était de 119 mg/kg de poids corporel. Ainsi, il a été possible de maintenir des taux résiduels d'IgG à des concentrations moyennes comprises entre 7,99 et 8,25 g/l tout au long de la durée du traitement. Les sujets ont reçu au total 1'831 perfusions de Hizentra chaque semaine.
  • +La sécurité et l'efficacité d'Hizentra pour le traitement des déficits immunitaires primaires ont été évaluées dans sept études de phase III et deux études de phase IV auprès de patients atteints de DIP.
  • +Dans l'étude européenne pivot prospective, ouverte, en groupe unique et multicentrique, 51 sujets atteints de DIP, âgés de 3 à 60 ans, ont été traités par Hizentra pendant une période allant jusqu'à 41 semaines. La dose moyenne administrée chaque semaine était de 119 mg/kg de poids corporel. Ainsi, il a été possible de maintenir des taux résiduels d'IgG à des concentrations moyennes comprises entre 7,99 et 8,25 g/l tout au long de la durée du traitement. Les sujets ont reçu au total 1831 perfusions d'Hizentra chaque semaine.
  • -Durant la période de traitement un taux résiduels d'IgG il a été possible de maintenir des concentrations moyennes d'IgG de 7,5-8,5 g/l, confirmant ainsi les résultats de l'étude principale. Le taux d'infections bactériennes aiguës graves (IBA) était de 0,0478 par patient et par an, avec un intervalle de confiance (IC) supérieur à 99% de 0.1252%.
  • -Dans l'étude américaine, 49 sujets atteints de déficit immunitaire primaire, âgés de 5 à 72 ans, ont été traités par Hizentra pendant une période allant jusqu'à 15 mois. La dose moyenne administrée chaque semaine était de 228 mg/kg de poids corporel. Ainsi, il a été possible de maintenir des taux résiduels d'IgG à une concentration moyenne de 12,53 g/l tout au long de la durée du traitement. Les sujets ont reçu au total 2264 perfusions de Hizentra chaque semaine.
  • -Ultérieurement, lors l'étude d'extension américaine, un total de 21 patients (âge: 5-69 ans) préalablement traités lors de l'étude de base, ont été inclus et traités jusqu'à 87 semaines avec un dosage constant. Les patients ont reçu un total de 1735 perfusions hebdomadaires de Hizentra.
  • -Durant de la période de traitement, il a été possible de maintenir des concentrations moyennes d'IgG de 11,71-12,76 g/l, (11,98 g/l de moyenne générale), confirmant ainsi les résultats de l'étude principale. Chez aucun des patients, le taux résiduels d'IgG n'est descendu en-dessous de 5 g/l durant le traitement. Le taux d'IBA était de 0,06 par patient et par an, avec un intervalle de confiance supérieure à 99% de 0,257%.
  • -Enfants et adolescents
  • +Durant toute la période de traitement, il a été possible de maintenir des concentrations résiduelles moyennes d'IgG de 7,5-8,5 g/l, confirmant ainsi les résultats de l'étude principale. Le taux d'infections bactériennes aiguës graves (IBA) était de 0,0478 par patient et par an, avec un intervalle de confiance (IC) supérieur à 99% de 0,1252.
  • +Dans l'étude américaine prospective, ouverte, en groupe unique et multicentrique, 49 sujets atteints de déficit immunitaire primaire, âgés de 5 à 72 ans, ont été traités par Hizentra pendant une période allant jusqu'à 15 mois. La dose moyenne administrée chaque semaine était de 228 mg/kg de poids corporel. Ainsi, il a été possible de maintenir des taux résiduels d'IgG à une concentration moyenne de 12,53 g/l tout au long de la durée du traitement. Les sujets ont reçu au total 2264 perfusions d'Hizentra chaque semaine.
  • +Ultérieurement, lors de l'étude d'extension américaine, un total de 21 patients (âge: 5-69 ans) préalablement traités lors de l'étude de base ont été inclus et traités jusqu'à 87 semaines avec un dosage constant. Les patients ont reçu un total de 1735 perfusions hebdomadaires d'Hizentra.
  • +Durant toute la période de traitement, il a été possible de maintenir des concentrations résiduelles moyennes d'IgG de 11,71-12,76 g/l, (11,98 g/l de moyenne générale), confirmant ainsi les résultats de l'étude principale. Chez aucun des patients, le taux résiduel d'IgG n'est descendu en dessous de 5 g/l durant le traitement. Le taux d'IBA était de 0,06 par patient et par an, avec un intervalle de confiance à 99% supérieur de 0,257.
  • +Pour l'évaluation de la sécurité et de la tolérance des vitesses de perfusion élevées utilisées avec des méthodes d'administration manuelles (push) ou avec des pompes, 49 patients atteints de DIP âgés de 2 à 75 ans ont été inclus dans une étude de phase IV multicentrique, non randomisée et en open-label (HiLo) et traités par Hizentra pendant au moins 12 semaines (11 enfants âgés de 2 à < 18 ans, 35 adultes âgés de 18 à 65 ans et 3 patients gériatriques de plus de 65 ans). Dans le premier groupe de patients ayant reçu Hizentra par une méthode manuelle push (n=16), 2 à 7 perfusions ont été administrées par semaine avec des vitesses de 30, 60 et 120 ml/heure/site de perfusion (voir chapitre «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Dans le deuxième groupe de patients ayant reçu Hizentra avec une pompe de perfusion (n=18), des perfusions hebdomadaires ont été administrées à des vitesses de 25, 50, 75 et 100 ml/heure/site de perfusion. Dans le troisième groupe de patients (n=15), des volumes de perfusion de 25, 40 et 50 ml par site ont été perfusés en plus avec administration par pompe de doses hebdomadaires d'Hizentra. Dans les trois groupes, chaque paramètre de perfusion a été utilisé pendant 4 semaines. Ensuite, les patients ayant bien toléré le traitement (répondeurs) pouvaient passer au paramètre de perfusion suivant plus élevé. Le critère primaire était le pourcentage de patients répondeurs après le passage au paramètre de perfusion plus élevé:
  • +Groupe Paramètre de perfusion et taux de répondeurs* (%) Tolérance**
  • +1. Vitesse de perfusion avec push manuel 30 ml/heure 100,0% 60 ml/heure 100,0% 120 ml/heure 87,5% - 1,0
  • +2. Vitesse de perfusion avec pompe 25 ml/heure 77,8% 50 ml/heure 77,8% 75 ml/heure 66,7% 100 ml/ heure 61,1% 1,0 (0,98 – 1,0)
  • +3. Volumes perfusés avec pompe 25 ml 86,7% 40 ml 73,3% 50 ml 73,3% - 1,0
  • +
  • +* Répondeur: dans le groupe avec perfusion par pompe: patient ayant reçu ≥3 perfusions sur 4 valides pour un paramètre de perfusion; dans le groupe avec push manuel: patient ayant reçu un nombre minimal de perfusions valides (≥60%) pour un paramètre de perfusion.
  • +Une perfusion a été considérée comme valide lorsque ≥95% de la vitesse et du volume prévus pour ≥1 site de perfusion ont été atteints.
  • +** Tolérance: nombre de perfusions sans réaction locale grave divisé par le nombre total de perfusions.
  • +Globalement, le nombre de perfusions sans réaction locale grave par rapport au nombre total de perfusions (tolérance) dans tous les groupes pour tous les paramètres de perfusion a été supérieur ou égal à ≥0,98.
  • +Entre la valeur initiale au jour 1 et à la fin de l'étude, aucune différence cliniquement pertinente n'a été notée en termes de concentrations résiduelles d'IgG sériques chez tous les patients.
  • +Patients âgés
  • +En termes de sécurité et d'efficacité, aucune différence globale n'a été observée entre les patients atteints de DIP âgés de plus de 65 ans et les patients atteints de DIP âgés de 18 à 65 ans. Lors des essais cliniques, Hizentra a été étudié auprès de 13 patients atteints de DIP et âgés de plus de 65 ans.
  • +Pédiatrie
  • -Hizentra a été évalué chez 54 patients pédiatriques âgés de 2 à <12 ans et chez 45 patients pédiatriques âgés de 12 à <18 ans.
  • +Hizentra a été évalué chez 68 patients pédiatriques atteints de DIP âgés de 2 à <12 ans et chez 57 patients pédiatriques âgés de 12 à <18 ans.
  • -Patients âgés
  • -En termes de sécurité et d'efficacité, aucune différence globale n'a été observée entre les patients atteints de DIP âgés de plus de 65 ans et les patients atteints de DIP âgés de 18 à 65 ans. Lors des essais cliniques, Hizentra a été étudié sur 9 patients atteints de DIP et âgés de plus de 65 ans.
  • -La sécurité d'emploi, l'efficacité et la tolérance de Hizentra chez des patients atteints de PIDC ont été évaluées dans l'étude PATH [Polyneuropathy and Treatment with Hizentra] de phase III, multicentrique, en double aveugle, randomisée, contrôlée contre placebo, en groupes parallèles. 172 participants à l'étude traités préalablement avec des IgIV ont été randomisés dans des groupes recevant Hizentra à raison de 0,2 g/kg de poids corporel par semaine, de 0,4 g/kg de poids corporel ou le placebo, et ensuite ils ont été traités pendant 24 semaines. La durée d'exposition moyenne dans le groupe sous 0,2 g/kg de poids corporel était de 118,9 jours et de 129 jours dans le groupe sous 0,4 g/kg de poids corporel (l'exposition maximale dans chaque groupe allait jusqu'à 167 jours et 166 jours respectivement). Les participants à l'étude ont utilisé en général 4 sites de perfusion simultanément (au maximum 8 sites simultanément).
  • +La sécurité, l'efficacité et la tolérance d'Hizentra chez des patients atteints de PIDC ont été évaluées dans l'étude PATH [Polyneuropathy and Treatment with Hizentra] de phase III, multicentrique, en double aveugle, randomisée, contrôlée contre placebo, en groupes parallèles. 172 participants à l'étude traités préalablement avec des IgIV ont été randomisés dans des groupes recevant Hizentra à raison de 0,2 g/kg de poids corporel par semaine, de 0,4 g/kg de poids corporel ou le placebo. Ces patients ont ensuite été traités pendant 24 semaines. La durée d'exposition moyenne dans le groupe sous 0,2 g/kg de poids corporel était de 118,9 jours et de 129 jours dans le groupe sous 0,4 g/kg de poids corporel (l'exposition maximale dans chaque groupe allait jusqu'à 167 jours et 166 jours respectivement). Les participants à l'étude ont utilisé en général 4 sites de perfusion simultanément (au maximum 8 sites simultanément).
  • -Le critère d'évaluation de l'efficacité principal était le pourcentage de participants à l'étude qui ont présenté une récidive de la PIDC (définie comme une augmentation de ≥1 point sur l'échelle INCAT ajustée (Inflammatory Neuropathy Cause and Treatment) par rapport à la valeur initiale) ou qui ont été retirés de la phase de traitement par Hizentra pour une autre raison.
  • -Les deux doses de Hizentra se sont avérées supérieures au placebo pour le critère d'évaluation principal de l'efficacité.
  • -Un pourcentage significativement plus faible statistiquement de patients traités par Hizentra ont présenté une récidive de la PIDC ou ont été retirés de l'étude pour d'autres raisons: 32,8% sous 0,4 g/kg de poids corporel et 38,6% sous 0,2 g/kg de poids corporel, comparé aux 63,2% des participants à l'étude traités par placebo [p <0,001 ou p = 0,007]. Si les récidives sont considérées séparément, les taux de récidives de PIDC étaient de 19,0% pour la dose de Hizentra de 0,4 g/kg de poids corporel et de 33,3% pour la dose de Hizentra de 0,2 g/kg de poids corporel comparé à 56,1% pour le placebo (p <0,001 ou p = 0,012). Par conséquent, Hizentra a empêché des récidives pendant une période de traitement allant jusqu'à 24 semaines chez 81% et 67% respectivement des participants à l'étude dans les groupes sous 0,4 g/kg de poids corporel ou sous 0,2 g/kg de poids corporel. Dans le groupe sous placebo, aucune récidive n'est survenue chez 44% des participants à l'étude.
  • -Le délai jusqu'à la récidive de la PIDC a été évalué et les possibilités de récidive de la PIDC correspondantes en fonction des estimations de Kaplan-Meier étaient les suivantes: placebo 58,8%; Hizentra à raison de 0,2 g/kg de poids corporel, 35,0% et Hizentra à raison de 0,4 g/kg de poids corporel, 22,4%.
  • -Les risques relatifs (IC à 95%) pour la dose la plus faible et la plus forte comparé au placebo s'élevaient respectivement à 0,48 (0,27; 0,85) et 0,25 (0,12; 0,49).
  • +Le critère primaire d'évaluation de l'efficacité était le pourcentage de participants à l'étude qui ont présenté une récidive de la PIDC (définie comme une augmentation de ≥1 point sur l'échelle INCAT ajustée (Inflammatory Neuropathy Cause and Treatment) par rapport à la valeur initiale) ou qui ont été retirés de la phase de traitement par Hizentra pour une autre raison.
  • +Les deux doses d'Hizentra se sont avérées supérieures au placebo pour le critère d'évaluation principal de l'efficacité.
  • +Un pourcentage statistiquement significativement plus faible de patients traités par Hizentra ont présenté une récidive de la PIDC ou ont été retirés de l'étude pour d'autres raisons: 32,8% sous 0,4 g/kg de poids corporel et 38,6% sous 0,2 g/kg de poids corporel, contre 63,2% des participants à l'étude traités par placebo [p <0,001 et p = 0,007 respectivement]. Si les récidives sont considérées séparément, les taux de récidives de PIDC étaient de 19,0% pour la dose d'Hizentra de 0,4 g/kg de poids corporel et de 33,3% pour la dose d'Hizentra de 0,2 g/kg de poids corporel contre 56,1% pour le placebo (p <0,001 et p = 0,012 respectivement). Par conséquent, Hizentra a empêché des récidives pendant une période de traitement allant jusqu'à 24 semaines chez 81% et 67% respectivement des participants à l'étude dans les groupes sous 0,4 g/kg de poids corporel ou sous 0,2 g/kg de poids corporel. Dans le groupe sous placebo, aucune récidive n'est survenue chez 44% des participants à l'étude.
  • +Le délai jusqu'à la récidive de la PIDC a été évalué et les probabilités de récidive de la PIDC correspondantes en fonction des estimations de Kaplan-Meier étaient les suivantes: placebo 58,8%; Hizentra à raison de 0,2 g/kg de poids corporel, 35,0% et Hizentra à raison de 0,4 g/kg de poids corporel, 22,4%.
  • +Les risques relatifs (IC à 95%) pour la dose la plus faible et la plus forte comparée au placebo s'élevaient respectivement à 0,48 (0,27; 0,85) et 0,25 (0,12; 0,49).
  • -Les participants à l'étude sont restés stables en ce qui concerne les résultats d'efficacité (échelle INCAT, force de préhension moyenne et échelle sommaire du Medical Research Council) dans les deux groupes posologiques de Hizentra comparé au groupe sous placebo, dont les résultats s'étaient dégradés. Les participants à l'étude du groupe sous Hizentra à forte dose sont restés stables sur l'échelle Rasch-built Overall Disability Scale (R-ODS).
  • -Les paramètres électrophysiologiques sont restés stables chez les participants de l'étude dans les deux groupes de dose de Hizentra.
  • -82 patients de l'étude PIDC issus de l'essai PATH ont été inclus dans l'étude d'extension de phase III, multicentrique et en ouvert, d'une durée de 48 semaines. L'étude d'extension a examiné la sécurité et l'efficacité à long terme du traitement d'entretien Hizentra avec deux posologies hebdomadaires différentes de 0,2 g/kg et 0,4 g/kg de poids corporel, respectivement. En raison de la conception de l'étude, le même patient pouvait recevoir les deux doses pendant l'étude; 72 patients ont reçu une dose de 0,4 g/kg de poids corporel et 73 patients ont reçu une dose de 0,2 g/kg de poids corporel. La durée moyenne du traitement était de 125,8 jours (plage: 1 à 330) dans le groupe de 0,2 g/kg de poids corporel et de 196,1 jours (plage: 1 à 330) dans le groupe de 0,4 g/kg de poids corporel.
  • +Les participants à l'étude sont restés stables en ce qui concerne les résultats d'efficacité (échelle INCAT, force de préhension moyenne et échelle sommaire du Medical Research Council) dans les deux groupes posologiques d'Hizentra comparés au groupe sous placebo, dont les résultats s'étaient dégradés. Les participants à l'étude du groupe sous Hizentra à forte dose sont restés stables sur l'échelle Rasch-built Overall Disability Scale (R-ODS).
  • +Les paramètres électrophysiologiques sont restés stables chez les participants de l'étude dans les deux groupes de dose d'Hizentra.
  • +82 patients de l'étude PIDC issus de l'essai PATH ont été inclus dans l'étude d'extension de phase III, multicentrique et en ouvert, d'une durée de 48 semaines. L'étude d'extension a examiné la sécurité et l'efficacité à long terme du traitement d'entretien par Hizentra avec deux posologies hebdomadaires différentes de 0,2 g/kg et 0,4 g/kg de poids corporel, respectivement. En raison de la conception de l'étude, le même patient pouvait recevoir les deux doses pendant l'étude; 72 patients ont reçu une dose de 0,4 g/kg de poids corporel et 73 patients ont reçu une dose de 0,2 g/kg de poids corporel. La durée moyenne du traitement était de 125,8 jours (intervalle: 1 à 330) dans le groupe de 0,2 g/kg de poids corporel et de 196,1 jours (intervalle: 1 à 330) dans le groupe de 0,4 g/kg de poids corporel.
  • -Sur l'ensemble des patients ayant reçu 0,2 g/kg de poids corporel dans l'étude de prolongation, 47,9% (35 patients sur 73) ont présenté une récidive. La réduction de la dose de 0,4 g/kg de poids corporel à 0,2 g/kg de poids corporel dans l'étude d'extension sans rechute a été possible chez 67,9% des patients (19 patients sur 28). Tous les patients ayant fait une récidive se sont rétablis dans les 4 semaines suivant le traitement à la dose de 0,4 g/kg de poids corporel.
  • -La force de préhension, le score cumulatif MRC et le score de la valve R-ODS sont restés stables par rapport à la référence chez les patients qui n'ont pas fait de récidive dans l'étude d'extension
  • -Enfants et adolescents
  • -À ce jour, le traitement par Hizentra des patients pédiatriques atteints de PIDC n'a pas été étudié dans des études cliniques.
  • +Sur l'ensemble des patients ayant reçu 0,2 g/kg de poids corporel dans l'étude de prolongation, 47,9% (35 patients sur 73) ont présenté une récidive. La réduction de la dose de 0,4 g/kg de poids corporel à 0,2 g/kg de poids corporel dans l'étude d'extension sans rechute a été possible chez 67,9% des patients (19 patients sur 28). Tous les patients ayant présenté une récidive se sont rétablis dans les 4 semaines suivant le traitement à la dose de 0,4 g/kg de poids corporel.
  • +La force de préhension, le score cumulatif MRC et le centile R-ODS sont restés stables par rapport à la référence chez les patients qui n'ont pas présenté de récidive dans l'étude d'extension.
  • -Au niveau de la sécurité d'emploi et de l'efficacité, dans l'ensemble on n'a observé aucune différence entre les patients âgés de plus de 65 ans et les patients entre 18 et 65 ans. Dans les études cliniques chez des patients atteints de PIDC, 61 patients traités par Hizentra étaient âgés de plus de 65 ans.
  • +Globalement, au niveau de la sécurité et de l'efficacité, aucune différence entre les patients âgés de plus de 65 ans et les patients entre 18 et 65 ans n'a été notée. Dans les études cliniques chez des patients atteints de PIDC, 61 patients traités par Hizentra étaient âgés de plus de 65 ans.
  • +Pédiatrie
  • +À ce jour, le traitement par Hizentra des patients pédiatriques atteints de PIDC n'a pas été étudié dans des études cliniques.
  • +
  • -Après administration par voie sous-cutanée de Hizentra, les pics plasmatiques d'IgG sont atteints en 2 jours environ.
  • -Les IgG et les complexes IgG sont dégradés dans les cellules du système réticulo-endothélial.
  • +Absorption
  • +Après administration par voie sous-cutanée d'Hizentra, les pics plasmatiques d'IgG sont atteints en 2 jours environ.
  • +Distribution
  • -L'oubli de 2 ou 3 doses journalières dans le cadre d'une administration quotidienne continue des doses se traduit par des simulations d'une baisse du taux d'IgG sérique médian d'environ ≤4% par rapport à une administration quotidienne constante. Lorsque l'administration quotidienne des doses reprend, avec, le premier jour, l'administration ultérieure des doses oubliées en plus de la dose quotidienne, le profil de concentration médiane se rétablit dans les 2-3 jours. Cependant, si les doses oubliées ne sont pas remplacées lors de la reprise de l'administration quotidienne des doses, les taux résiduels d'IgG à l'état d'équilibre pourront être obtenus après une durée de traitement de 5 à 6 semaines.
  • +L'oubli de 2 ou 3 doses journalières dans le cadre d'une administration quotidienne continue se traduit lors des simulations par une baisse du taux d'IgG sérique médian ≤4% par rapport à une administration quotidienne constante. Lorsque les doses oubliées sont administrées ensuite le premier jour de la reprise de l'administration quotidienne en plus de la dose quotidienne normale, le profil de concentration moyenne des IgG se rétablit en 2-3 jours. Cependant, si les doses oubliées ne sont pas remplacées lors de la reprise de l'administration quotidienne des doses, les taux résiduels d'IgG à l'état d'équilibre ne pourront être de nouveau obtenus qu'après une durée de traitement de 5 à 6 semaines.
  • +Patients âgés
  • +Dans l'ensemble, aucune différence n'a été observée dans les paramètres pharmacocinétiques des patients atteints de DIP âgés de plus de 65 ans et de ceux âgés de 18 à 65 ans.
  • +
  • -Patients âgés
  • -Dans l'ensemble, aucune différence n'a été observée dans les paramètres pharmacocinétiques des patients atteints de DIP âgés de plus de 65 ans et ceux âgés de 18 à 65 ans.
  • -Dans l'étude PATH, les participants à l'étude (n = 172) ont atteints des taux résiduels durables sur une période de 24 semaines, lorsqu'ils ont reçu des doses hebdomadaires de 0,2 g/kg de poids corporel ou de 0,4 g/kg de poids corporel. Les concentrations résiduelles moyennes (ET) d'IgG après un traitement par Hizentra s'élevaient dans le groupe sous 0,4 g/kg de poids corporel à 20,4 (3,24) g/l et dans le groupe sous 0,2 g/kg de poids corporel à 15,4 (3,06) g/l. Les simulations basées sur des modèles pharmacocinétiques de population dans l'étude PATH suggéraient qu'une exposition similaire aux IgG (Cmax, AUC0-14 jours, Cmin, 14 jours) est obtenue lorsque les participants à l'étude atteints de PIDC reçoivent toutes les deux semaines le double de la dose de Hizentra. Ces simulations suggèrent en outre que chez la population de patients atteints de PIDC, une exposition comparable aux IgG est par conséquent obtenue lorsque la dose d'entretien hebdomadaire de Hizentra est fractionnée en plusieurs doses plus fréquentes (2 à 7 fois par semaine).
  • +Dans l'étude PATH, les participants à l'étude (n = 172) ont atteint des taux résiduels durables sur une période de 24 semaines, lorsqu'ils ont reçu des doses hebdomadaires de 0,2 g/kg de poids corporel ou de 0,4 g/kg de poids corporel. Les concentrations résiduelles moyennes (ET) d'IgG après un traitement par Hizentra s'élevaient dans le groupe sous 0,4 g/kg de poids corporel à 20,4 (3,24) g/l et dans le groupe sous 0,2 g/kg de poids corporel à 15,4 (3,06) g/l. Les simulations basées sur des modèles pharmacocinétiques de population dans l'étude PATH suggéraient qu'une exposition similaire aux IgG (Cmax, AUC0-14 jours, Cmin, 14 jours) est obtenue lorsque les participants à l'étude atteints de PIDC reçoivent toutes les deux semaines le double de la dose d'Hizentra. Ces simulations suggèrent en outre que chez la population de patients atteints de PIDC, une exposition comparable aux IgG est par conséquent obtenue lorsque la dose d'entretien hebdomadaire de Hizentra est fractionnée en plusieurs doses plus fréquentes (2 à 7 fois par semaine).
  • -Dans l'ensemble, aucune différence n'a été observée dans les paramètres pharmacocinétiques des patients atteints de PIDC âgés de plus de 65 ans et ceux âgés de 18 à 65 ans.
  • +Dans l'ensemble, aucune différence n'a été observée dans les paramètres pharmacocinétiques des patients atteints de PIDC âgés de plus de 65 ans et de ceux âgés de 18 à 65 ans.
  • +Élimination
  • +Les IgG et les complexes d'IgG sont dégradés dans les cellules du système réticulo-endothélial.
  • +
  • -La sécurité de Hizentra a été testée dans plusieurs études précliniques, avec une attention particulière pour l'excipient L-proline. Les données non cliniques obtenues sur la base des études de pharmacologie de sécurité et de toxicologie conventionnelles n'ont pas révélé de risque particulier pour l'homme.
  • +La sécurité d'Hizentra a été testée dans plusieurs études précliniques, avec une attention particulière pour l'excipient L-proline. Les données précliniques obtenues sur la base des études de pharmacologie de sécurité et de toxicologie n'ont pas révélé de risque particulier pour l'homme.
  • -La transmission passive d'anticorps anti-érythrocytaires, tels que les anticorps anti-A, anti-B ou anti-D, peut interférer avec certains tests sérologiques de recherche d'allo-anticorps contre les globules rouges (par exemple le test de Coombs), avec le comptage des réticulocytes et avec le test à l'haptoglobine.
  • +La transmission passive d'anticorps anti-érythrocytaires, tels que les anticorps anti-A, anti-B ou anti-D, peut interférer avec certains tests sérologiques de recherche d'allo-anticorps contre les globules rouges (par exemple le test de Coombs), le comptage des réticulocytes et le test à l'haptoglobine.
  • -La date limite de conservation de Hizentra est indiquée sur l'étiquette et l'emballage extérieur sous la mention «EXP». Le médicament ne peut être utilisé au-delà de la date (EXP) imprimée sur l'emballage.
  • +La date limite de conservation d'Hizentra est indiquée sur l'étiquette et l'emballage extérieur sous la mention «EXP». Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • +Stabilité après ouverture
  • +Hizentra est destiné à un usage unique. Comme la solution ne contient pas de conservateur, Hizentra doit être utilisé/perfusé dès que possible après ouverture du flacon.
  • -Ne pas conserver à plus de 25 °C. Ne pas congeler.
  • -Tenir hors de la portée des enfants.
  • -Conserver le flacon dans le blister scellé dans l'emballage d'origine afin de protéger le contenu de la lumière.
  • -Stabilité après ouverture de l'emballage
  • -Hizentra est destiné à un usage unique. Comme la solution ne contient pas de conservateur, Hizentra doit être utilisé/perfusé dès que possible après ouverture du flacon dans le blister scellé.
  • +Ne pas conserver au-dessus de 25 °C. Ne pas congeler.
  • +Conserver le flacon dans l'emballage d'origine afin de protéger le contenu de la lumière.
  • +Tenir hors de portée des enfants.
  • -61547 (Swissmedic)
  • +61547 (Swissmedic).
  • -1 × 5 ml (1 g) flacon-ampoule perforable (B)
  • -1 × 10 ml (2 g) flacon-ampoule perforable (B)
  • -1 × 20 ml (4 g) flacon-ampoule perforable (B)
  • -1 × 50 ml (10 g) flacon-ampoule perforable (B)
  • +1 × 5 ml (1 g) flacon perforable (B)
  • +1 × 10 ml (2 g) flacon perforable (B)
  • +1 × 20 ml (4 g) flacon perforable (B)
  • +1 × 50 ml (10 g) flacon perforable (B)
  • -CSL Behring AG, Berne
  • +CSL Behring AG, Berne.
  • -Août 2019
  • +Janvier 2021.
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