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Accueil - Information professionnelle sur Edurant - Changements - 01.11.2017
85 Changements de l'information professionelle Edurant
  • +Adultes
  • -Comme avec les autres médicaments antirétroviraux, les résultats du test de résistance génotypique doivent guider l'utilisation d'Edurant (voir «Mises en garde et précautions» et «Propriétés/Effets»).
  • +Patients pédiatriques (de 12 ans à moins de 18 ans)
  • +Edurant, en association avec d'autres médicaments antirétroviraux, ne doit être utilisé dans le traitement de l'infection par le VIH-1 (virus de l'immunodéficience humaine de type 1) chez des patients pédiatriques de 12 ans à moins de 18 ans, naïfs de traitement antirétroviral et ayant une charge virale à l'inclusion ≤100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1, que lorsque d'autres traitements alternatifs ne sont pas envisageables en raison de mutations associées à des résistances, d'allergies connues ou d'intolérances présumées (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Comme avec les autres médicaments antirétroviraux, les tests de résistance génotypique sont conçus pour guider l'utilisation d'Edurant chez les adultes et les patients pédiatriques de 12 ans à moins de 18 ans (voir «Mises en garde et précautions» et «Propriétés/Effets»).
  • -Adultes
  • -La posologie recommandée d'Edurant est d'un comprimé pelliculé à 25 mg une fois par jour. Edurant doit être pris avec un repas (voir rubrique «Pharmacocinétique»).
  • +Adultes, patients pédiatriques (de 12 ans à moins de 18 ans)
  • +La posologie recommandée d'Edurant chez les adultes est d'un comprimé pelliculé à 25 mg une fois par jour.
  • +La posologie recommandée d'Edurant chez les patients pédiatriques dès 12 ans et ayant un poids corporel d'au moins 32 kg est d'un comprimé pelliculé à 25 mg une fois par jour.
  • +Edurant doit être pris avec un repas (voir rubrique «Pharmacocinétique»).
  • -Enfants et adolescents
  • -La sécurité et l'efficacité d'Edurant chez les enfants âgés de moins de 18 ans n'ont pas encore été établies.
  • -Aucune donnée n'est disponible.
  • +Enfants (moins de 12 ans) et adolescents de moins de 32 kg
  • +La sécurité et l'efficacité d'Edurant chez les enfants âgés de moins de 12 ans et les adolescents de moins de 32 kg n'ont pas été établies. Aucune donnée n'est disponible.
  • +Enfants et adolescents (de 12 ans à moins de 18 ans)
  • +Dans l'étude clinique réalisée chez les enfants et les adolescents (de 12 ans à moins de 18 ans), la proportion de patients ayant obtenu une réponse virologique (<50 copies/ml d'ARN du VIH-1, TLOVR) au cours de la semaine 48 était inférieure à celle obtenue dans des études comparables chez les adultes (voir rubrique «Propriétés/Effets»).
  • +Cela devrait être pris en considération lors du choix d'un régime antirétroviral. Seuls les adolescents jugés susceptibles d'avoir une bonne observance du traitement antirétroviral doivent être traités par la rilpivirine, étant donné qu'une observance suboptimale peut entraîner le développement de résistances et restreindre les options thérapeutiques futures. Le développement de résistances a fréquemment été observé dans les études cliniques avec la rilpivirine.
  • -Dans l'analyse compilée de l'efficacité des études de phase III sur une durée de 96 semaines, le risque d'échec virologique a été plus élevé chez les patients traités par Edurant ayant une charge virale à l'inclusion >100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 (18,2% sous Edurant versus 7,9% sous éfavirenz) que chez les patients ayant une charge virale à l'inclusion ≤100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 (5,7% sous Edurant versus 3,6% sous éfavirenz). Le risque d'échec virologique observé chez les patients du bras Edurant a été plus élevé durant les 48 premières semaines de ces essais (voir rubrique «Propriétés/Effets»). Les patients ayant une charge virale à l'inclusion >100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 chez lesquels un échec virologique est survenu, ont présenté un taux plus élevé de résistances à la classe des INNTI survenues au cours du traitement. Quelle que soit la charge virale à l'inclusion, les patients ayant présenté un échec virologique sous Edurant ont développé plus fréquemment une résistance associée aux INTI que les patients ayant présenté un échec virologique sous éfavirenz (voir rubrique «Propriétés/Effets»).
  • +Dans l'analyse compilée de l'efficacité des études de phase III chez les adultes sur une durée de 96 semaines, le risque d'échec virologique a été plus élevé chez les patients traités par Edurant ayant une charge virale à l'inclusion >100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 (18,2% sous Edurant versus 7,9% sous éfavirenz) que chez les patients ayant une charge virale à l'inclusion ≤100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 (5,7% sous Edurant versus 3,6% sous éfavirenz). Le risque d'échec virologique observé chez les patients du bras Edurant a été plus élevé durant les 48 premières semaines de ces essais (voir rubrique «Propriétés/Effets»). Les patients ayant une charge virale à l'inclusion >100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 chez lesquels un échec virologique est survenu, ont présenté un taux plus élevé de résistances à la classe des INNTI survenues au cours du traitement. Quelle que soit la charge virale à l'inclusion, les patients ayant présenté un échec virologique sous Edurant ont développé plus fréquemment une résistance associée aux INTI que les patients ayant présenté un échec virologique sous éfavirenz (voir rubrique «Propriétés/Effets»).
  • +L'analyse d'une étude ouverte de phase 2 réalisée à la semaine 48 chez des patients pédiatriques âgés de 12 ans à moins de 18 ans a montré que l'échec virologique était plus fréquent chez les patients ayant une charge virale à l'inclusion >100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 que chez les patients ayant une charge virale à l'inclusion ≤100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 (37,5% vs 17,9%). L'échec virologique avec des mutations associées à une résistance aux INTI était plus fréquent chez les patients ayant une charge virale à l'inclusion >100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 que chez les patients ayant une charge virale à l'inclusion ≤100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 (50,0% vs 25,0%). La proportion de patients présentant un échec virologique et la survenue d'une résistance à la classe des INNTI était similaire entre les patients ayant une charge virale à l'inclusion >100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 et les patients ayant une charge virale à l'inclusion ≤100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 (50,0% pour chaque catégorie).
  • +Réactions cutanées et d'hypersensibilité
  • +Au cours de la surveillance post-commercialisation, des réactions cutanées et d'hypersensibilité sévères ont été rapportées lors du traitement par la rilpivirine, comme par exemple des cas de DRESS (Drug Rash with Eosinophilia and Systemic Symptoms). Certaines réactions cutanées ont été associées à des symptômes constitutionnels tels que la fièvre, d'autres à un dysfonctionnement des organes, y compris des valeurs hépatiques sériques élevées. Dans les études cliniques de phase 3, des exanthèmes de grade 2 au moins liés au traitement ont été rapportés chez 3% des sujets recevant Edurant. Des exanthèmes de grade 4 n'ont pas été décrits. Dans l'ensemble, la plupart des exanthèmes étaient de grade 1 ou 2 et sont survenus dans les quatre à six premières semaines de traitement. Edurant doit être arrêté immédiatement si des signes ou des symptômes de réactions cutanées ou d'hypersensibilité sévères se manifestent, notamment des exanthèmes sévères ou des exanthèmes accompagnés de fièvre, de vésicules, d'atteinte des muqueuses, de conjonctivite, d'œdème facial, d'angio-œdème, d'hépatite ou d'éosinophilie. L'état clinique et les valeurs de laboratoire doivent être surveillés et un traitement approprié doit être initié.
  • +
  • -Autres INTI (abacavir, emtricitabine, lamivudine, stavudine et zidovudine) La rilpivirine et ces autres INTI ayant des voies d'élimination différentes, aucune interaction cliniquement significative n'est attendue entre ces médicaments et Edurant.
  • +Autres INTI (abacavir, emtricitabine, lamivudine, stavudine et zidovudine) La rilpivirine et ces autres INTI ayant des voies d'élimination différentes, aucune interaction cliniquement significative n'est attendue entre ces médicaments et Edurant.
  • -INNTI (délavirdine, éfavirenz, étravirine, névirapine) L'utilisation simultanée d'Edurant et d'INNTI n'est pas recommandée.
  • +INNTI (délavirdine, éfavirenz, étravirine, névirapine) L'utilisation simultanée d'Edurant et d'INNTI n'est pas recommandée.
  • -Autres IP boostés (atazanavir/ritonavir, fosamprénavir/ritonavir, saquinavir/ritonavir, tipranavir/ritonavir) L'administration simultanée d'Edurant et d'IP boostés peut entraîner une augmentation des concentrations plasmatiques de rilpivirine (inhibition des enzymes du CYP3A). Aucun effet d'Edurant sur les concentrations plasmatiques d'IP administrés simultanément n'est attendu.
  • +Autres IP boostés (atazanavir/ritonavir, fosamprénavir/ritonavir, saquinavir/ritonavir, tipranavir/ritonavir) L'administration simultanée d'Edurant et d'IP boostés peut entraîner une augmentation des concentrations plasmatiques de rilpivirine (inhibition des enzymes du CYP3A). Aucun effet d'Edurant sur les concentrations plasmatiques d'IP administrés simultanément n'est attendu.
  • -IP non boostés (atazanavir, fosamprénavir, indinavir, nelfinavir) L'administration simultanée d'Edurant et d'IP non boostés peut entraîner une augmentation des concentrations plasmatiques de rilpivirine (inhibition des enzymes du CYP3A). Aucun effet d'Edurant sur les concentrations plasmatiques d'IP administrés simultanément n'est attendu.
  • +IP non boostés (atazanavir, fosamprénavir, indinavir, nelfinavir) L'administration simultanée d'Edurant et d'IP non boostés peut entraîner une augmentation des concentrations plasmatiques de rilpivirine (inhibition des enzymes du CYP3A). Aucun effet d'Edurant sur les concentrations plasmatiques d'IP administrés simultanément n'est attendu.
  • -Maraviroc Aucune interaction cliniquement significative n'est attendue lors de l'administration simultanée d'Edurant et de maraviroc.
  • +Maraviroc Aucune interaction cliniquement significative n'est attendue lors de l'administration simultanée d'Edurant et de maraviroc.
  • -Ribavirine Aucune interaction cliniquement significative n'est attendue lors de l'administration simultanée d'Edurant et de ribavirine.
  • +Ribavirine Aucune interaction cliniquement significative n'est attendue lors de l'administration simultanée d'Edurant et de ribavirine.
  • -Non étudié; l'évaluation repose sur une extrapolation et doit être interprétée avec prudence.
  • +Non étudié; l'évaluation repose sur une extrapolation et doit être interprétée avec prudence.
  • -Carbamazépine Oxcarbazépine Phénobarbital Phénytoïne Edurant ne doit pas être utilisé en association avec ces anticonvulsivants, car une utilisation simultanée peut entraîner une réduction significative des concentrations plasmatiques de rilpivirine (induction des enzymes du CYP3A). Il peut donc y avoir une perte de l'effet thérapeutique d'Edurant.
  • +Carbamazépine Oxcarbazépine Phénobarbital Phénytoïne Edurant ne doit pas être utilisé en association avec ces anticonvulsivants, car une utilisation simultanée peut entraîner une réduction significative des concentrations plasmatiques de rilpivirine (induction des enzymes du CYP3A). Il peut donc y avoir une perte de l'effet thérapeutique d'Edurant.
  • -Fluconazole Itraconazole Posaconazole Voriconazole L'administration simultanée d'Edurant et d'antifongiques azolés peut entraîner une augmentation des concentrations plasmatiques de rilpivirine (inhibition des enzymes du CYP3A). Aucun ajustement posologique n'est nécessaire lors de l'administration simultanée d'Edurant et d'antifongiques azolés.
  • +Fluconazole Itraconazole Posaconazole Voriconazole L'administration simultanée d'Edurant et d'antifongiques azolés peut entraîner une augmentation des concentrations plasmatiques de rilpivirine (inhibition des enzymes du CYP3A). Aucun ajustement posologique n'est nécessaire lors de l'administration simultanée d'Edurant et d'antifongiques azolés.
  • -Rifapentine Edurant ne doit pas être utilisé en association avec la rifampicine ou la rifapentine, car une utilisation simultanée peut entraîner une réduction significative des concentrations plasmatiques de rilpivirine (induction des enzymes du CYP3A). Il peut donc y avoir une perte de l'effet thérapeutique d'Edurant.
  • +Rifapentine Edurant ne doit pas être utilisé en association avec la rifampicine ou la rifapentine, car une utilisation simultanée peut entraîner une réduction significative des concentrations plasmatiques de rilpivirine (induction des enzymes du CYP3A). Il peut donc y avoir une perte de l'effet thérapeutique d'Edurant.
  • -Clarithromycine Érythromycine L'administration simultanée d'Edurant et de clarithromycine ou d'érythromycine peut entraîner une augmentation des concentrations plasmatique de rilpivirine (inhibition des enzymes du CYP3A). Dans la mesure du possible, il convient d'envisager d'autres traitements tels que l'azithromycine.
  • +Clarithromycine Érythromycine L'administration simultanée d'Edurant et de clarithromycine ou d'érythromycine peut entraîner une augmentation des concentrations plasmatique de rilpivirine (inhibition des enzymes du CYP3A). Dans la mesure du possible, il convient d'envisager d'autres traitements tels que l'azithromycine.
  • -Dexaméthasone (systémique) Edurant ne doit pas être utilisé en association avec la dexaméthasone systémique, car une utilisation simultanée peut entraîner une réduction significative des concentrations plasmatiques de rilpivirine (induction des enzymes du CYP3A). Il peut donc y avoir une perte de l'effet thérapeutique d'Edurant. D'autres traitements doivent être envisagés, en particulier pour une utilisation à long terme.
  • +Dexaméthasone (systémique) Edurant ne doit pas être utilisé en association avec la dexaméthasone systémique, car une utilisation simultanée peut entraîner une réduction significative des concentrations plasmatiques de rilpivirine (induction des enzymes du CYP3A). Il peut donc y avoir une perte de l'effet thérapeutique d'Edurant. D'autres traitements doivent être envisagés, en particulier pour une utilisation à long terme.
  • -Lansoprazole Rabéprazole Pantoprazole Esoméprazole Edurant ne doit pas être utilisé en association avec des inhibiteurs de la pompe à protons, car une utilisation simultanée peut entraîner une réduction significative des concentrations plasmatiques de rilpivirine (augmentation du pH gastrique). Il peut donc y avoir une perte de l'effet thérapeutique d'Edurant.
  • +Lansoprazole Rabéprazole Pantoprazole Esoméprazole Edurant ne doit pas être utilisé en association avec des inhibiteurs de la pompe à protons, car une utilisation simultanée peut entraîner une réduction significative des concentrations plasmatiques de rilpivirine (augmentation du pH gastrique). Il peut donc y avoir une perte de l'effet thérapeutique d'Edurant.
  • -Famotidine* Dose unique de 40 mg, la prise a lieu 12 heures avant la prise de la rilpivirine Rilpivirine ↔ ↓ 9% n.a.
  • +Famotidine* Dose unique de 40 mg, la prise a lieu 12 heures avant la prise de la rilpivirine Rilpivirine ↔ ↓ 9% n.a.
  • -Cimétidine Nizatidine Ranitidine La prudence est recommandée lors de l'association d'Edurant et d'antagonistes des récepteurs H2, car l'utilisation simultanée peut entraîner une réduction significative des concentrations plasmatiques de rilpivirine (augmentation du pH gastrique). Les antagonistes des récepteurs H2 doivent toujours être pris au moins 12 heures avant ou au plus tôt 4 heures après Edurant.
  • +Cimétidine Nizatidine Ranitidine La prudence est recommandée lors de l'association d'Edurant et d'antagonistes des récepteurs H2, car l'utilisation simultanée peut entraîner une réduction significative des concentrations plasmatiques de rilpivirine (augmentation du pH gastrique). Les antagonistes des récepteurs H2 doivent toujours être pris au moins 12 heures avant ou au plus tôt 4 heures après Edurant.
  • -Antiacides (p.ex. hydroxyde d'aluminium ou de magnésium, carbonate de calcium) La prudence est recommandée lors de l'association d'Edurant et d'antiacides, car l'utilisation simultanée peut entraîner une réduction significative des concentrations plasmatiques de rilpivirine (augmentation du pH gastrique). Les antiacides doivent toujours être pris au moins 2 heures avant ou au plus tôt 4 heures après la prise d'Edurant.
  • +Antiacides (p.ex. hydroxyde d'aluminium ou de magnésium, carbonate de calcium) La prudence est recommandée lors de l'association d'Edurant et d'antiacides, car l'utilisation simultanée peut entraîner une réduction significative des concentrations plasmatiques de rilpivirine (augmentation du pH gastrique). Les antiacides doivent toujours être pris au moins 2 heures avant ou au plus tôt 4 heures après la prise d'Edurant.
  • -Millepertuis (Hypericum perforatum) Edurant ne doit pas être utilisé en association avec des produits contenant du millepertuis, car l'utilisation simultanée peut entraîner une réduction significative des concentrations plasmatiques de rilpivirine (induction des enzymes du CYP3A). Il peut donc y avoir une perte de l'effet thérapeutique d'Edurant.
  • +Millepertuis (Hypericum perforatum) Edurant ne doit pas être utilisé en association avec des produits contenant du millepertuis, car l'utilisation simultanée peut entraîner une réduction significative des concentrations plasmatiques de rilpivirine (induction des enzymes du CYP3A). Il peut donc y avoir une perte de l'effet thérapeutique d'Edurant.
  • -Fluvastatine Lovastatine Pitavastatine Pravastatine Rosuvastatine Simvastatine Aucun ajustement posologique n'est nécessaire lors de l'administration simultanée d'Edurant et d'inhibiteurs de la HMG-CoA réductase.
  • +Fluvastatine Lovastatine Pitavastatine Pravastatine Rosuvastatine Simvastatine Aucun ajustement posologique n'est nécessaire lors de l'administration simultanée d'Edurant et d'inhibiteurs de la HMG-CoA réductase.
  • -Sildénafil* Dose unique de 50 mg Sildénafil ↔ ↔ n.a.
  • +Sildénafil*§ Dose unique de 50 mg Sildénafil ↔ ↔ n.a.
  • -Vardénafil Tadalafil Aucun ajustement posologique n'est nécessaire lors de l'administration simultanée d'Edurant et d'un inhibiteur de la PDE-5.
  • +Vardénafil Tadalafil Aucun ajustement posologique n'est nécessaire lors de l'administration simultanée d'Edurant et d'un inhibiteur de la PDE-5.
  • -Non étudié; l'évaluation repose sur une extrapolation et doit être interprétée avec prudence.
  • -#, Cette étude d'interactions a été réalisée avec une dose supérieure à celle recommandée pour Edurant (# 150 mg par jour; § 75 mg par jour) afin de mesurer l'effet maximal sur le médicament administré simultanément. La dose recommandée d'Edurant est de 25 mg par jour.
  • +Non étudié; l'évaluation repose sur une extrapolation et doit être interprétée avec prudence.
  • +#, § Cette étude d'interactions a été réalisée avec une dose supérieure à celle recommandée pour Edurant (# 150 mg par jour; § 75 mg par jour) afin de mesurer l'effet maximal sur le médicament administré simultanément. La dose recommandée d'Edurant est de 25 mg par jour.
  • -Cette étude d'interactions a été réalisée avec une dose unique d'Edurant; dans toutes les autres études, Edurant a été dosé à l'état d'équilibre.
  • +Cette étude d'interactions a été réalisée avec une dose unique d'Edurant; dans toutes les autres études, Edurant a été dosé à l'état d'équilibre.
  • -Résumé du profil de sécurité d'emploi
  • +Effets indésirables dans les études cliniques chez les patients adultes
  • -A la semaine 96, la variation moyenne des taux de cortisol stimulé par l'ACTH par rapport aux taux initiaux, était plus faible dans le groupe Edurant (+18,4 ± 8,36 nmol/l) que dans le groupe éfavirenz (+54,1 ± 7,24 nmol/l). Les valeurs moyennes des taux de cortisol basal et de cortisol stimulé par l'ACTH à la semaine 96 étaient dans les limites de la normale. Ces variations des paramètres de tolérance surrénaliens n'étaient pas cliniquement significatives. Il n'y eu aucun signe ou symptôme clinique suggérant un dysfonctionnement surrénalien ou gonadique chez les adultes
  • +À la semaine 96, la variation moyenne des taux de cortisol stimulé par l'ACTH par rapport aux taux initiaux, était plus faible dans le groupe Edurant (+18,4 ± 8,36 nmol/l) que dans le groupe éfavirenz (+54,1 ± 7,24 nmol/l). Les valeurs moyennes des taux de cortisol basal et de cortisol stimulé par l'ACTH à la semaine 96 étaient dans les limites de la normale. Ces variations des paramètres de tolérance surrénaliens n'étaient pas cliniquement significatives. Il n'y eu aucun signe ou symptôme clinique suggérant un dysfonctionnement surrénalien ou gonadique chez les adultes
  • +Dans l'étude TMC278-C213, le changement total moyen du cortisol basal à la semaine 48 a montré une augmentation de 1,59 (0,24; 2,93) nmol/ml. Six patients sur 30 (20%) ayant un test de stimulation à l'ACTH normal au début de l'étude ont développé au cours de l'étude un test de stimulation à l'ACTH anormal (pic de cortisol <500 nmol/ml). Trois de ces patients ont eu un test de stimulation à l'ACTH anormal à la semaine 48. Dans l'ensemble, aucun événement indésirable grave, aucun décès ou arrêt du traitement, qui pourrait clairement être attribué à une insuffisance surrénalienne, n'a été observé. La signification clinique des tests de stimulation à l'ACTH anormaux n'est pas connue.
  • +Réactions médicamenteuses indésirables d'une étude clinique chez des patients pédiatriques (de 12 ans à moins de 18 ans)
  • +L'évaluation de la sécurité est basée sur l'analyse menée à la semaine 48 de l'étude de phase 2, ouverte, à un seul bras TMC278-C213 réalisée chez 36 patients âgés de 12 à moins de 18 ans, pesant au moins 32 kg, infectés par le VIH-1 et naïfs de traitement antirétroviral, qui ont reçu Edurant (une fois par jour, 25 mg) en association avec d'autres médicaments antirétroviraux (voir «Propriétés/Effets, Efficacité et sécurité cliniques»). La durée médiane d'exposition des patients était de 63,5 semaines. Aucun des patients n'a cessé le traitement en raison de réactions médicamenteuses indésirables. Aucune nouvelle réaction médicamenteuse indésirable n'a été identifiée par rapport à celles survenues chez les adultes.
  • +La plupart des réactions médicamenteuses indésirables étaient de grade 1 ou 2.
  • +Les réactions médicamenteuses indésirables les plus fréquentes (tous grades confondus, au moins 10%) étaient les céphalées (19,4%), la dépression (19,4%), la somnolence (13,9%) et la nausée (11,1%). Aucun résultat d'analyse anormal de grade 3-4 concernant les ASAT/ALAT et aucune réaction médicamenteuse indésirable de grade 3-4 concernant des transaminases élevées n'ont été rapportés.
  • +
  • -Enfants et adolescents
  • -La sécurité et l'efficacité d'Edurant chez les enfants âgés de moins de 18 ans n'ont pas encore été établies.
  • +Enfants (de moins de 12 ans) et adolescents de moins de 32 kg
  • +La sécurité et l'efficacité d'Edurant chez les enfants âgés de moins de 12 ans et les adolescents de moins de 32 kg n'ont pas été établies.
  • -Chez les patients naïfs de traitement
  • +Chez les patients adultes naïfs de traitement
  • -Patients infectés par le VIH-1, naïfs de traitement
  • +Patients adultes infectés par le VIH-1, naïfs de traitement
  • -Patients infectés par le VIH-1, naïfs de traitement
  • +Patients adultes infectés par le VIH-1, naïfs de traitement
  • -Tableau 5: Réponse virologique dans les études ECHO et THRIVE(données compilées des analyses à la semaine 48 (principale) et à la semaine 96; ITT-TLOVR*)
  • +Tableau 5: Réponse virologique dans les études ECHO et THRIVE chez les adultes(données compilées des analyses à la semaine 48 (principale) et à la semaine 96; ITT-TLOVR*)
  • -Edurant + TO N=686 Efavirenz + TO N=682 Différence observée (IC à 95%) Edurant + TO N=686 Efavirenz + TO N=682 Différence observée (IC à 95%)
  • -Réponse (confirmée ARN du VIH-1 <50 copies/ml) 84,3% (578/686) 82,3% (561/682) 2,0 (-2,0; 6,0) 77,6% (532/686) 77,6% (529/682) 0 (-4,4; 4,4)
  • +Edurant + TO N=686 Efavirenz + TO N=682 Différence observée (IC à 95%)± Edurant + TO N=686 Efavirenz + TO N=682 Différence observée (IC à 95%)±
  • +Réponse (confirmée ARN du VIH-1 <50 copies/ml)§# 84,3% (578/686) 82,3% (561/682) 2,0 (-2,0; 6,0) 77,6% (532/686) 77,6% (529/682) 0 (-4,4; 4,4)
  • -Echec virologique
  • +Echec virologique
  • -Arrêt du traitement pour une raison autre qu'un EI 4,5% (31/686) 5,7% (39/682) ND 7,0% (48/682) 8,1% (55/682) ND
  • +Arrêt du traitement pour une raison autre qu'un EI 4,5% (31/686) 5,7% (39/682) ND 7,0% (48/682) 8,1% (55/682) ND
  • -Basé sur une approximation normale
  • -Sujets ayant atteint une réponse virologique (deux charges virales consécutives <50 copies/ml) et l'ayant maintenue jusqu'à la semaine 48/96.
  • +± Basé sur une approximation normale
  • +§ Sujets ayant atteint une réponse virologique (deux charges virales consécutives <50 copies/ml) et l'ayant maintenue jusqu'à la semaine 48/96.
  • -L'échec virologique dans l'analyse d'efficacité compilée comprend les patients avec rebond (charge virale confirmée ≥50 copies/ml après avoir été répondeurs) ou ceux n'ayant jamais répondu (pas de charge virale confirmée <50 copies/ml, traitement en cours ou arrêté en raison du manque ou de la perte d'efficacité).
  • -Par exemple, perte de suivi, défaut d'observance, retrait du consentement.
  • +L'échec virologique dans l'analyse d'efficacité compilée comprend les patients avec rebond (charge virale confirmée ≥50 copies/ml après avoir été répondeurs) ou ceux n'ayant jamais répondu (pas de charge virale confirmée <50 copies/ml, traitement en cours ou arrêté en raison du manque ou de la perte d'efficacité).
  • +¶ Par exemple, perte de suivi, défaut d'observance, retrait du consentement.
  • +Patients pédiatriques (de 12 ans à moins de 18 ans) infectés par le VIH-1, naïfs de traitement
  • +La pharmacocinétique, la sécurité, la tolérance et l'efficacité de 25 mg d'Edurant pris une fois par jour, en association avec un TO (traitement optimisé) sélectionné par l'investigateur contenant deux INTI, ont été évaluées dans l'étude de phase 2 TMC278-C213, ouverte, à un seul bras, chez des enfants et adolescents âgés de 12 ans à moins de 18 ans et pesant au moins 32 kg, infectés par le VIH-1, naïfs de traitement antirétroviral. Cette analyse portait sur 36 patients qui avaient reçu le traitement pendant au moins 48 semaines ou qui avaient arrêté le traitement plus tôt. Les 36 patients avaient un âge médian de 14,5 ans (intervalle: 12 à 17 ans). Parmi ceux-ci, 55,6% étaient de sexe féminin, 88,9% étaient noirs et 11,1% étaient asiatiques. Le taux médian initial d'ARN du VIH-1 dans le plasma était de 4,8 log10 copies/ml et le taux médian initial de cellules CD4 positives était de 414× 106 cellules/l (intervalle: 25 à 983× 106 cellules/l).
  • +La proportion de patients avec une charge virale d'ARN du VIH-1<50 copies/ml à la semaine 48 (TLOVR) était de 72,2% (26/36). La proportion de répondeurs était supérieure chez les patients ayant une charge virale initiale ≤100'000 copies/ml (78,6%, 22/28) en comparaison avec ceux ayant une charge virale initiale >100'000 copies/ml (50,0%, 4/8). La proportion d'échecs virologiques était de 22,2% (8/36). La proportion d'échecs virologiques était inférieure chez les patients avec une charge virale initiale ≤100'000 copies/ml (17,9%, 5/28) en comparaison à ceux ayant une charge virale initiale >100'000 copies/ml (37,5%, 3/8). Un patient a arrêté le traitement en raison d'un événement indésirable et un patient a arrêté le traitement pour des raisons autres qu'un événement indésirable ou un échec virologique. À la semaine 48, l'augmentation moyenne du taux de cellules T CD4 positives par rapport à la valeur initiale était de 201,2× 106 cellules/l. Un échec virologique avec des mutations associées à une résistance aux INTI est plus fréquemment survenu chez les patients dont la charge virale initiale était >100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 que chez les patients ayant une charge virale initiale ≤100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 (50,0% vs 25,0%). La proportion de patients pédiatriques (âgés de 12 ans à moins de 18 ans) présentant un échec virologique et la survenue d'une résistance à la classe des INNTI était comparable chez les patients avec une charge virale initiale de >100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 et chez les patients avec une charge virale initiale ≤100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 (50,0%, à chaque fois).
  • +La proportion d'adolescents avec une charge virale initiale ≤100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 qui ont obtenu une réponse virologique à la semaine 48 (<50 copies/ml d'ARN du VIH-1, TLOVR) était inférieure à celle observée chez les adultes (groupe RPV) avec une charge virale initiale de la même catégorie (22/28 [78,6%] patients {IC: 63,4;93,8} par rapport à 332/368 [90,2%] patients {IC: 87,2;93,3}).
  • +La proportion des patients présentant un échec virologique et le développement d'une résistance était comparable entre les adolescents et les adultes dans l'analyse de la semaine 48. Parmi les patients présentant un échec virologique et une charge virale initiale ≤100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1, 3/8 (37,5%) des adolescents et 6/16 (37,5%) des adultes avaient, la dernière fois où des données génotypiques étaient disponibles, développé de nouvelles RAM (mutations associées à une résistance) associées à la rilpivirine. De plus, de nouvelles RAM associées aux INNTI ont été retrouvées chez 4/8 (50,0%) adolescents et 6/16 (37,5%) adultes ainsi qu'une nouvelle RAM associée à l'INTI chez 2/8 (25,0%) adolescents et 7/16 (43,8%) adultes.
  • -Les propriétés pharmacocinétiques de la rilpivirine ont été évaluées chez des adultes sains et chez des patients adultes infectés par le VIH-1 et naïfs de traitement antirétroviral. L'exposition à la rilpivirine a généralement été plus faible chez les patients infectés par le VIH-1 que chez les sujets sains.
  • +Les propriétés pharmacocinétiques de la rilpivirine ont été évaluées chez des adultes sains et chez des patients adultes infectés par le VIH-1 et naïfs de traitement antirétroviral. L'exposition à la rilpivirine a généralement été plus faible chez les patients infectés par le VIH-1 dès 12 ans que chez les sujets sains.
  • -L'exposition à la rilpivirine a été diminuée d'environ 40% lorsque Edurant a été administré à jeun par rapport à une prise au cours d'un repas calorique normal (533 kcal) ou d'un repas hautement calorique (928 kcal) et riche en graisses. Lorsque Edurant a été administré uniquement avec une boisson nutritionnelle riche en protéines, l'exposition a été inférieure de 50% à celle observée avec une prise au cours d'un repas.
  • +La disponibilité de la rilpivirine était inférieure d'environ 40% lorsqu'Edurant a été administré à jeun par rapport à une prise au cours d'un repas ayant une teneur calorique normale (533 kcal) ou d'un repas riche en calories et riche en graisses (928 kcal).
  • +Lorsque Edurant a été administré uniquement avec une boisson nutritionnelle riche en protéines, l'exposition a été inférieure de 50% à celle observée avec une prise au cours d'un repas.
  • -Cinétique pour certains groupes de patients
  • -Enfants et adolescents
  • -La pharmacocinétique de la rilpivirine chez l'enfant et l'adolescent est en cours d'étude. Les données actuellement disponibles sont insuffisantes pour recommander une posologie chez l'enfant et l'adolescent (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Pharmacocinétique chez les enfants et adolescents (17 ans et plus jeunes)
  • +La pharmacocinétique de la rilpivirine chez des patients pédiatriques âgés de 12 ans à moins de 18 ans infectés par le VIH-1, naïfs de traitement antirétroviral, traités par 25 mg d'Edurant une fois par jour était comparable à celle des adultes infectés par le VIH-1 et traités par 25 mg d'Edurant une fois par jour.
  • +À l'instar des adultes, aucune influence du poids corporel (33 à 93 kg) sur la pharmacocinétique de la rilpivirine n'a été observée chez les patients pédiatriques de l'étude C213.
  • +Les données actuellement disponibles sont insuffisantes pour recommander une posologie chez les patients pédiatriques de moins de 12 ans ou de moins de 32 kg de poids corporel (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Avril 2014.
  • +Octobre 2017.
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