ch.oddb.org
 
Apotheken | Hôpital | Interactions | LiMA | Médecin | Médicaments | Services | T. de l'Autorisation
Accueil - Information professionnelle sur Edurant - Changements - 07.09.2023
58 Changements de l'information professionelle Edurant
  • -Principe actif: Rilpivirinum ut Rilpivirinum hydrochloridum.
  • -Excipients: Lactosum, Carmellosum natricum conexum (produit à partir de capsules de graines de coton génétiquement modifié), Excipiens pro compresso obducto.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Chaque comprimé pelliculé (blanc à crème, rond, biconvexe, de 6,4 mm de diamètre, gravé «TMC» sur une face et «25» sur l'autre face) contient du chlorhydrate de rilpivirine équivalent à 25 mg de rilpivirine.
  • -
  • +Principes actifs
  • +Rilpivirinum ut Rilpivirinum hydrochloridum.
  • +Excipients
  • +Lactosum monohydricum (correspond à 53.30 mg lactose), Carmellosum natricum conexum (correspond à 0.42 mg sodium, produit à partir de capsules de graines de coton génétiquement modifié), povidonum K30, polysorbatum 20, cellulosum microcristallinum (silificiée), magnesii stearas, hypromellosum, triacetinum, titanii dioxidum (E171, macrogolum 3000.
  • +
  • +
  • -Patients pédiatriques (de 12 ans à moins de 18 ans)
  • -Edurant, en association avec d'autres médicaments antirétroviraux, ne doit être utilisé dans le traitement de l'infection par le VIH-1 (virus de l'immunodéficience humaine de type 1) chez des patients pédiatriques de 12 ans à moins de 18 ans, naïfs de traitement antirétroviral et ayant une charge virale à l'inclusion ≤100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1, que lorsque d'autres traitements alternatifs ne sont pas envisageables en raison de mutations associées à des résistances, d'allergies connues ou d'intolérances présumées (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Comme avec les autres médicaments antirétroviraux, les tests de résistance génotypique sont conçus pour guider l'utilisation d'Edurant chez les adultes et les patients pédiatriques de 12 ans à moins de 18 ans (voir «Mises en garde et précautions» et «Propriétés/Effets»).
  • +Patients pédiatriques (de 12 ans à 17 ans)
  • +Edurant, en association avec d'autres médicaments antirétroviraux, ne doit être utilisé dans le traitement de l'infection par le VIH-1 (virus de l'immunodéficience humaine de type 1) chez des patients pédiatriques de 12 ans à 17 ans, naïfs de traitement antirétroviral et ayant une charge virale à l'inclusion ≤100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1, que lorsque d'autres traitements alternatifs ne sont pas envisageables en raison de mutations associées à des résistances, d'allergies connues ou d'intolérances présumées (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Comme avec les autres médicaments antirétroviraux, les tests de résistance génotypique sont conçus pour guider l'utilisation d'Edurant chez les adultes et les patients pédiatriques de 12 ans à 17 ans (voir rubrique «Mises en garde et précautions» et «Propriétés/Effets»).
  • -Posologie
  • +Posologie usuelle
  • -Adultes, patients pédiatriques (de 12 ans à moins de 18 ans)
  • +Adultes, patients pédiatriques (de 12 ans à 17 ans)
  • -Ajustement posologique
  • +Adaptation de la dose en cas d'administration concomitante de rifabutine
  • -Groupes de patients particuliers
  • +Instructions posologiques particulières
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
  • +Les informations concernant l'utilisation d'Edurant chez les patients atteints d'insuffisance hépatique légère ou modérée (Child-Pugh classe A ou B) sont limitées. Aucune adaptation posologique d'Edurant n'est nécessaire chez les patients atteints d'insuffisance hépatique légère ou modérée. Edurant doit être utilisé avec précaution chez les patients atteints d'insuffisance hépatique modérée. Edurant n'a pas été étudié chez les patients atteints d'insuffisance hépatique sévère (Child-Pugh classe C). Par conséquent, Edurant n'est pas recommandé chez les patients atteints d'insuffisance hépatique sévère (voir rubrique «Pharmacocinétique»).
  • +Patients présentant des troubles de la function rénale
  • +Edurant a été principalement étudié chez les patients ayant une fonction rénale normale. Aucune adaptation posologique d'Edurant n'est nécessaire chez les patients atteints d'insuffisance rénale légère ou modérée. Chez les patients atteints d'insuffisance rénale sévère ou d'insuffisance rénale terminale, Edurant doit être utilisé avec précaution. Chez les patients atteints d'insuffisance rénale sévère ou d'insuffisance rénale terminale, l'association d'Edurant avec un inhibiteur puissant du CYP3A (par exemple, inhibiteur de la protéase du VIH boosté par le ritonavir) ne doit être utilisée que si le bénéfice attendu l'emporte sur le risque potentiel (voir rubrique «Pharmacocinétique»).
  • +Le traitement par Edurant a entraîné une augmentation faible et précoce des taux sériques moyens de créatinine, qui sont restés stables au cours du temps. Cette augmentation n'a pas été considérée comme cliniquement significative (voir rubrique «Effets indésirables»).
  • -Insuffisance hépatique
  • -Les informations concernant l'utilisation d'Edurant chez les patients atteints d'insuffisance hépatique légère ou modérée (Child-Pugh classe A ou B) sont limitées. Aucune adaptation posologique d'Edurant n'est nécessaire chez les patients atteints d'insuffisance hépatique légère ou modérée. Edurant doit être utilisé avec précaution chez les patients atteints d'insuffisance hépatique modérée. Edurant n'a pas été étudié chez les patients atteints d'insuffisance hépatique sévère (Child-Pugh classe C). Par conséquent, Edurant n'est pas recommandé chez les patients atteints d'insuffisance hépatique sévère (voir rubrique «Pharmacocinétique»).
  • -Insuffisance rénale
  • -Edurant a été principalement étudié chez les patients ayant une fonction rénale normale. Aucune adaptation posologique d'Edurant n'est nécessaire chez les patients atteints d'insuffisance rénale légère ou modérée. Chez les patients atteints d'insuffisance rénale sévère ou d'insuffisance rénale terminale, Edurant doit être utilisé avec précaution. Chez les patients atteints d'insuffisance rénale sévère ou d'insuffisance rénale terminale, l'association d'Edurant avec un inhibiteur puissant du CYP3A (par exemple, inhibiteur de la protéase du VIH boosté par le ritonavir) ne doit être utilisée que si le bénéfice attendu l'emporte sur le risque potentiel (voir rubrique «Pharmacocinétique»).
  • -Le traitement par Edurant a entraîné une augmentation faible et précoce des taux sériques moyens de créatinine, qui sont restés stables au cours du temps. Cette augmentation n'a pas été considérée comme cliniquement significative (voir rubrique «Effets indésirables»).
  • +Transmission du VIH
  • -Enfants et adolescents (de 12 ans à moins de 18 ans)
  • -Dans l'étude clinique réalisée chez les enfants et les adolescents (de 12 ans à moins de 18 ans), la proportion de patients ayant obtenu une réponse virologique (<50 copies/ml d'ARN du VIH-1, TLOVR) au cours de la semaine 48 était inférieure à celle obtenue dans des études comparables chez les adultes (voir rubrique «Propriétés/Effets»).
  • +Enfants et adolescents (de 12 ans à 17 ans)
  • +Dans l'étude clinique réalisée chez les enfants et les adolescents (de 12 ans à 17 ans), la proportion de patients ayant obtenu une réponse virologique (<50 copies/ml d'ARN du VIH-1, TLOVR) au cours de la semaine 48 était inférieure à celle obtenue dans des études comparables chez les adultes (voir rubrique «Propriétés/Effets»).
  • -L'analyse d'une étude ouverte de phase 2 réalisée à la semaine 48 chez des patients pédiatriques âgés de 12 ans à moins de 18 ans a montré que l'échec virologique était plus fréquent chez les patients ayant une charge virale à l'inclusion >100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 que chez les patients ayant une charge virale à l'inclusion ≤100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 (37,5% vs 17,9%). L'échec virologique avec des mutations associées à une résistance aux INTI était plus fréquent chez les patients ayant une charge virale à l'inclusion >100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 que chez les patients ayant une charge virale à l'inclusion ≤100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 (50,0% vs 25,0%). La proportion de patients présentant un échec virologique et la survenue d'une résistance à la classe des INNTI était similaire entre les patients ayant une charge virale à l'inclusion >100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 et les patients ayant une charge virale à l'inclusion ≤100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 (50,0% pour chaque catégorie).
  • +L'analyse d'une étude ouverte de phase 2 réalisée à la semaine 48 chez des patients pédiatriques âgés de 12 ans à 17 ans a montré que l'échec virologique était plus fréquent chez les patients ayant une charge virale à l'inclusion >100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 que chez les patients ayant une charge virale à l'inclusion ≤100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 (37,5% vs 17,9%). L'échec virologique avec des mutations associées à une résistance aux INTI était plus fréquent chez les patients ayant une charge virale à l'inclusion >100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 que chez les patients ayant une charge virale à l'inclusion ≤100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 (50,0% vs 25,0%). La proportion de patients présentant un échec virologique et la survenue d'une résistance à la classe des INNTI était similaire entre les patients ayant une charge virale à l'inclusion >100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 et les patients ayant une charge virale à l'inclusion ≤100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 (50,0% pour chaque catégorie).
  • -Redistribution des graisses
  • -Chez les patients recevant un traitement antirétroviral, une redistribution/accumulation de graisses corporelles, y compris une augmentation des graisses au milieu du corps (obésité tronculaire) ainsi que dans la région du cou (bosse de bison), une perte de graisses au niveau des extrémités et du visage, une hypertrophie mammaire et un aspect cushingoïde, ont été observées. Les mécanismes et les conséquences à long terme de ces manifestations sont actuellement inconnus. Un lien de causalité n'est pas démontré (voir rubrique «Effets indésirables»).
  • +Excipients
  • +Sodium
  • +Ce médicament contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par comprimé pelliculé, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
  • +Lactose
  • +Les comprimés pelliculés contiennnent du lactose. Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
  • -# Cette étude d'interactions a été réalisée avec une dose supérieure à celle recommandée pour Edurant (150 mg par jour), afin de mesurer l'effet maximal sur le médicament administré simultanément.
  • -La dose recommandée d'Edurant se rapporte à une posologie de 25 mg par jour.
  • +# Cette étude d'interactions a été réalisée avec une dose supérieure à celle recommandée pour Edurant (150 mg par jour), afin de mesurer l'effet maximal sur le médicament administré simultanément. La dose recommandée d'Edurant se rapporte à une posologie de 25 mg par jour.
  • -Millepertuis† (Hypericum perforatum) Edurant ne doit pas être utilisé en association avec des produits contenant du millepertuis, car l'utilisation simultanée peut entraîner une réduction significative des concentrations plasmatiques de rilpivirine (induction des enzymes du CYP3A). Il peut donc y avoir une perte de l'effet thérapeutique d'Edurant.
  • +Millepertuis† (Hypericum perforatum) Edurant ne doit pas être utilisé en association avec des produits contenant du millepertuis (Hypericum perforatum), car l'utilisation simultanée peut entraîner une réduction significative des concentrations plasmatiques de rilpivirine (induction des enzymes du CYP3A). Il peut donc y avoir une perte de l'effet thérapeutique d'Edurant.
  • -Grossesse/Allaitement
  • +Grossesse, allaitement
  • -Edurant ne doit être utilisé pendant la grossesse que si le bénéfice éventuel l'emporte sur le risque potentiel pour le fœtus.
  • +Edurant ne doit être utilisé pendant la grossesse que si le bénéfice éventuel l'emporte sur le risque potentiel.
  • -·de la faible exposition à la rilpivirine au cours de la grossesse (voir «Pharmacocinétique») et
  • +·de la faible exposition à la rilpivirine au cours de la grossesse (voir rubrique «Pharmacocinétique») et
  • -Fécondité
  • -Il n'existe pas de données concernant les effets de la rilpivirine sur la fécondité chez l'être humain. Une étude réalisée chez le rat n'a révélé aucun effet sur l'accouplement ou la fertilité lors de l'administration d'une dose de rilpivirine allant jusqu'à 400 mg/kg/jour, dose à laquelle une toxicité maternelle a été constatée (voir rubrique «Données précliniques»). Cette dose est associée à une exposition environ 40 fois supérieure à l'exposition observée chez l'être humain à la dose recommandée de 25 mg une fois par jour.
  • +Fertilité
  • +Il n'existe pas de données concernant les effets de la rilpivirine sur la fertilité chez l'être humain. Une étude réalisée chez le rat n'a révélé aucun effet sur l'accouplement ou la fertilité lors de l'administration d'une dose de rilpivirine allant jusqu'à 400 mg/kg/jour, dose à laquelle une toxicité maternelle a été constatée (voir rubrique «Données précliniques»). Cette dose est associée à une exposition environ 40 fois supérieure à l'exposition observée chez l'être humain à la dose recommandée de 25 mg une fois par jour.
  • -Tableau récapitulatif des effets indésirables
  • -Les effets indésirables rapportés chez les patients adultes traités par Edurant sont récapitulés dans le tableau 3. Les anomalies biologiques particulières (grade 3 ou grade 4) liées au traitement et considérées comme des effets indésirables, sont incluses dans la note en bas du tableau 3. Les effets indésirables sont présentés par classe de systèmes d'organes (SOC) et par fréquence. Les fréquences sont définies de la manière suivante: très fréquent (≥1/10), fréquent (≥1/100 et <1/10) et occasionnel (≥1/1000 et <1/100). Dans chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre décroissant de fréquence.
  • -Tableau 3: Effets indésirables rapportés chez des patients adultes infectés par le VIH-1 naïfs de traitements antirétroviraux et traités par Edurant(données compilées de l'analyse à 96 semaines des études de phase III ECHO et THRIVE) N=686
  • +Résumé du profil de sécurité
  • +Liste des effets indésirables
  • +Les effets indésirables rapportés chez les patients adultes traités par Edurant sont récapitulés dans le tableau 3. Les anomalies biologiques particulières (grade 3 ou grade 4) liées au traitement et considérées comme des effets indésirables, sont incluses dans la note en bas du tableau 3. Les effets indésirables sont présentés par classe de systèmes d'organes (SOC) du MedDRA et par fréquence selon la convention suivante: très fréquent (≥1/10), fréquent (≥1/100, <1/10) et occasionnel (≥1/1000 et <1/100). Dans chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre décroissant de fréquence.
  • +Tableau 3: Effets indésirables rapportés chez des patients adultes infectés par le VIH-1 naïfs de traitements antirétroviraux et traités par Edurant (données compilées de l'analyse à 96 semaines des études de phase III ECHO et THRIVE) N=686
  • -Réactions médicamenteuses indésirables d'une étude clinique chez des patients pédiatriques (de 12 ans à moins de 18 ans)
  • -L'évaluation de la sécurité est basée sur l'analyse menée à la semaine 48 de l'étude de phase 2, ouverte, à un seul bras TMC278-C213 réalisée chez 36 patients âgés de 12 à moins de 18 ans, pesant au moins 32 kg, infectés par le VIH-1 et naïfs de traitement antirétroviral, qui ont reçu Edurant (une fois par jour, 25 mg) en association avec d'autres médicaments antirétroviraux (voir «Propriétés/Effets, Efficacité et sécurité cliniques»). La durée médiane d'exposition des patients était de 63,5 semaines. Aucun des patients n'a cessé le traitement en raison de réactions médicamenteuses indésirables. Aucune nouvelle réaction médicamenteuse indésirable n'a été identifiée par rapport à celles survenues chez les adultes.
  • +Réactions médicamenteuses indésirables d'une étude clinique chez des patients pédiatriques (de 12 ans à 17 ans)
  • +L'évaluation de la sécurité est basée sur l'analyse menée à la semaine 48 de l'étude de phase II, ouverte, à un seul bras TMC278-C213 réalisée chez 36 patients âgés de 12 à 17 ans, pesant au moins 32 kg, infectés par le VIH-1 et naïfs de traitement antirétroviral, qui ont reçu Edurant (une fois par jour, 25 mg) en association avec d'autres médicaments antirétroviraux (voir «Propriétés/Effets, Efficacité cliniques»). La durée médiane d'exposition des patients était de 63,5 semaines. Aucun des patients n'a cessé le traitement en raison de réactions médicamenteuses indésirables. Aucune nouvelle réaction médicamenteuse indésirable n'a été identifiée par rapport à celles survenues chez les adultes.
  • -Description d'effets indésirables particuliers
  • -Lipodystrophie
  • -Le traitement par une combinaison de thérapies antirétrovirales (cART) a été associé à une redistribution de la masse grasse corporelle (lipodystrophie) chez les patients infectés par le VIH, incluant une perte du tissu adipeux souscutané facial et périphérique, une augmentation de la masse grasse intraabdominale et viscérale, une hypertrophie mammaire et une accumulation de la masse grasse au niveau dorsocervical (bosse de bison) (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Description d'effets indésirables spécifiques et informations complémentaires
  • -Autres groupes de patients particuliers
  • +Population particulières
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • -Code ATC: J05AG05
  • -Groupe pharmacothérapeutique: antiviral à usage systémique, INNTI (inhibiteur non nucléosidique de la transcriptase inverse).
  • -Mécanisme d'action
  • +Code ATC
  • +J05AG05
  • +Groupe pharmacothérapeutique:
  • +Antiviral à usage systémique, INNTI (inhibiteur non nucléosidique de la transcriptase inverse).
  • +Mécanisme d'action/Pharmacodynamique
  • -En prenant en compte l'ensemble des données in vitro et in vivo disponibles chez les sujets naïfs de traitement, il est possible que les mutations associées à une résistance suivantes, lorsqu'elles sont présentes à l'inclusion, diminuent l'activité de la rilpivirine: K101E, K101P, E138A, E138G, E138K, E138R, E138Q, V179L, Y181C, Y181I, Y181V, Y188L, H221Y, F227C, M230I et M230L. Ces mutations associées à une résistance à la rilpivirine doivent guider l'utilisation d'Edurant uniquement dans la population naïve de traitement. Ces mutations associées à une résistance à la rilpivirine proviennent de données in vivo se rapportant uniquement à des sujets naïfs de traitement et ne peuvent, par conséquent, pas être utilisées pour prédire l'activité de la rilpivirine chez les patients ayant présenté un échec virologique à un traitement antirétroviral.
  • +En prenant en compte l'ensemble des données in vitro et in vivo disponibles chez les sujets naïfs de traitement, il est possible que les mutations associées à une résistance suivantes, lorsqu'elles sont présentes à l'inclusion, diminuent l'activité de la rilpivirine: K101E, K101P, E138A, E138G, E138K, , E138Q, E138R, V179L, Y181C, Y181I, Y181V, Y188L, H221Y, F227C, M230I et M230L. Ces mutations associées à une résistance à la rilpivirine doivent guider l'utilisation d'Edurant uniquement dans la population naïve de traitement. Ces mutations associées à une résistance à la rilpivirine proviennent de données in vivo se rapportant uniquement à des sujets naïfs de traitement et ne peuvent, par conséquent, pas être utilisées pour prédire l'activité de la rilpivirine chez les patients ayant présenté un échec virologique à un traitement antirétroviral.
  • -Efficacité et sécurité cliniques
  • +Efficacité clinique
  • -Patients pédiatriques (de 12 ans à moins de 18 ans) infectés par le VIH-1, naïfs de traitement
  • -La pharmacocinétique, la sécurité, la tolérance et l'efficacité de 25 mg d'Edurant pris une fois par jour, en association avec un TO (traitement optimisé) sélectionné par l'investigateur contenant deux INTI, ont été évaluées dans l'étude de phase 2 TMC278-C213, ouverte, à un seul bras, chez des enfants et adolescents âgés de 12 ans à moins de 18 ans et pesant au moins 32 kg, infectés par le VIH-1, naïfs de traitement antirétroviral. Cette analyse portait sur 36 patients qui avaient reçu le traitement pendant au moins 48 semaines ou qui avaient arrêté le traitement plus tôt. Les 36 patients avaient un âge médian de 14,5 ans (intervalle: 12 à 17 ans). Parmi ceux-ci, 55,6% étaient de sexe féminin, 88,9% étaient noirs et 11,1% étaient asiatiques. Le taux médian initial d'ARN du VIH-1 dans le plasma était de 4,8 log10 copies/ml et le taux médian initial de cellules CD4 positives était de 414× 106 cellules/l (intervalle: 25 à 983× 106 cellules/l).
  • -La proportion de patients avec une charge virale d'ARN du VIH-1<50 copies/ml à la semaine 48 (TLOVR) était de 72,2% (26/36). La proportion de répondeurs était supérieure chez les patients ayant une charge virale initiale ≤100'000 copies/ml (78,6%, 22/28) en comparaison avec ceux ayant une charge virale initiale >100'000 copies/ml (50,0%, 4/8). La proportion d'échecs virologiques était de 22,2% (8/36). La proportion d'échecs virologiques était inférieure chez les patients avec une charge virale initiale ≤100'000 copies/ml (17,9%, 5/28) en comparaison à ceux ayant une charge virale initiale >100'000 copies/ml (37,5%, 3/8). Un patient a arrêté le traitement en raison d'un événement indésirable et un patient a arrêté le traitement pour des raisons autres qu'un événement indésirable ou un échec virologique. À la semaine 48, l'augmentation moyenne du taux de cellules T CD4 positives par rapport à la valeur initiale était de 201,2× 106 cellules/l. Un échec virologique avec des mutations associées à une résistance aux INTI est plus fréquemment survenu chez les patients dont la charge virale initiale était >100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 que chez les patients ayant une charge virale initiale ≤100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 (50,0% vs 25,0%). La proportion de patients pédiatriques (âgés de 12 ans à moins de 18 ans) présentant un échec virologique et la survenue d'une résistance à la classe des INNTI était comparable chez les patients avec une charge virale initiale de >100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 et chez les patients avec une charge virale initiale ≤100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 (50,0%, à chaque fois).
  • +Patients pédiatriques (de 12 ans à 17 ans) infectés par le VIH-1, naïfs de traitement
  • +La pharmacocinétique, la sécurité, la tolérance et l'efficacité de 25 mg d'Edurant pris une fois par jour, en association avec un TO (traitement optimisé) sélectionné par l'investigateur contenant deux INTI, ont été évaluées dans l'étude de phase II TMC278-C213, ouverte, à un seul bras, chez des enfants et adolescents âgés de 12 ans à 17 ans et pesant au moins 32 kg, infectés par le VIH-1, naïfs de traitement antirétroviral. Cette analyse portait sur 36 patients qui avaient reçu le traitement pendant au moins 48 semaines ou qui avaient arrêté le traitement plus tôt.
  • +Les 36 patients avaient un âge médian de 14,5 ans (intervalle: 12 à 17 ans). Parmi ceux-ci, 55,6% étaient de sexe féminin, 88,9% étaient noirs et 11,1% étaient asiatiques. Le taux médian initial d'ARN du VIH-1 dans le plasma était de 4,8 log10 copies/ml et le taux médian initial de cellules CD4 positives était de 414× 106 cellules/l (intervalle: 25 à 983× 106 cellules/l).
  • +La proportion de patients avec une charge virale d'ARN du VIH-1<50 copies/ml à la semaine 48 (TLOVR) était de 72,2% (26/36). La proportion de répondeurs était supérieure chez les patients ayant une charge virale initiale ≤100'000 copies/ml (78,6%, 22/28) en comparaison avec ceux ayant une charge virale initiale >100'000 copies/ml (50,0%, 4/8). La proportion d'échecs virologiques était de 22,2% (8/36). La proportion d'échecs virologiques était inférieure chez les patients avec une charge virale initiale ≤100'000 copies/ml (17,9%, 5/28) en comparaison à ceux ayant une charge virale initiale >100'000 copies/ml (37,5%, 3/8). Un patient a arrêté le traitement en raison d'un événement indésirable et un patient a arrêté le traitement pour des raisons autres qu'un événement indésirable ou un échec virologique. À la semaine 48, l'augmentation moyenne du taux de cellules T CD4 positives par rapport à la valeur initiale était de 201,2× 106 cellules/l.
  • +Un échec virologique avec des mutations associées à une résistance aux INTI est plus fréquemment survenu chez les patients dont la charge virale initiale était >100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 que chez les patients ayant une charge virale initiale ≤100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 (50,0% vs 25,0%). La proportion de patients pédiatriques (âgés de 12 ans à 17 ans) présentant un échec virologique et la survenue d'une résistance à la classe des INNTI était comparable chez les patients avec une charge virale initiale de >100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 et chez les patients avec une charge virale initiale ≤100'000 copies/ml d'ARN du VIH-1 (50,0%, à chaque fois).
  • -Pharmacocinétique chez les enfants et adolescents (17 ans et plus jeunes)
  • -La pharmacocinétique de la rilpivirine chez des patients pédiatriques âgés de 12 ans à moins de 18 ans infectés par le VIH-1, naïfs de traitement antirétroviral, traités par 25 mg d'Edurant une fois par jour était comparable à celle des adultes infectés par le VIH-1 et traités par 25 mg d'Edurant une fois par jour.
  • -À l'instar des adultes, aucune influence du poids corporel (33 à 93 kg) sur la pharmacocinétique de la rilpivirine n'a été observée chez les patients pédiatriques de l'étude C213.
  • -Les données actuellement disponibles sont insuffisantes pour recommander une posologie chez les patients pédiatriques de moins de 12 ans ou de moins de 32 kg de poids corporel (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Patients âgés
  • -L'analyse pharmacocinétique de population effectuée chez des patients infectés par le VIH a montré que la pharmacocinétique de la rilpivirine ne varie pas dans les tranches d'âge étudiées (de 18 à 78 ans). Aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez les patients âgés (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Sexe
  • -Aucune différence cliniquement significative dans la pharmacocinétique de la rilpivirine n'a été observée entre les hommes et les femmes.
  • -Appartenance ethnique
  • -L'analyse pharmacocinétique de population de la rilpivirine chez les patients infectés par le VIH a indiqué que l'appartenance ethnique n'avait aucun effet significatif sur l'exposition à la rilpivirine.
  • -Insuffisance hépatique
  • +Cinétique pour certains groupes de patients
  • +Troubles de la fonction hépatique
  • -Insuffisance rénale
  • +Troubles de la fonction rénale
  • +Patients âgés
  • +L'analyse pharmacocinétique de population effectuée chez des patients infectés par le VIH a montré que la pharmacocinétique de la rilpivirine ne varie pas dans les tranches d'âge étudiées (de 18 à 78 ans). Aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez les patients âgés (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Enfants et adolescents (12 à 17 ans)
  • +La pharmacocinétique de la rilpivirine chez des patients pédiatriques âgés de 12 ans à moins de 18 ans infectés par le VIH-1, naïfs de traitement antirétroviral, traités par 25 mg d'Edurant une fois par jour était comparable à celle des adultes infectés par le VIH-1 et traités par 25 mg d'Edurant une fois par jour.
  • +À l'instar des adultes, aucune influence du poids corporel (33 à 93 kg) sur la pharmacocinétique de la rilpivirine n'a été observée chez les patients pédiatriques de l'étude TMC278-C213.
  • +Enfants (moins de 12 ans) et adolescents de moins de 32 kg
  • +Les données actuellement disponibles sont insuffisantes pour recommander une posologie chez les patients pédiatriques de moins de 12 ans ou de moins de 32 kg de poids corporel (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Groupes de patients particulières
  • +Sexe
  • +Aucune différence cliniquement significative dans la pharmacocinétique de la rilpivirine n'a été observée entre les hommes et les femmes.
  • +Appartenance ethnique
  • +L'analyse pharmacocinétique de population de la rilpivirine chez les patients infectés par le VIH a indiqué que l'appartenance ethnique n'avait aucun effet significatif sur l'exposition à la rilpivirine.
  • -Remarques concernant le stockage
  • -Conserver entre 15 et 30 °C. Conserver dans l'emballage d'origine pour protéger le contenu de la lumière.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +Conserver à 15-30 °C. Conserver le récipient dans son carton pour le protéger de la lumière. Tenir hors de portée des enfants.
  • -Emballages de 30 comprimés pelliculés.
  • +Flacon de 30 comprimés pelliculés.
  • -Avril 2019.
  • +Janvier 2023
2025 ©ywesee GmbH
Einstellungen | Aide | FAQ | Identification | Contact | Home