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Accueil - Information professionnelle sur Fluconazol Pfizer 50 mg - Changements - 10.08.2017
72 Changements de l'information professionelle Fluconazol Pfizer 50 mg
  • -Principe actif:
  • +Principe actif
  • -Candidémie.
  • +Candidémie
  • -1.Candidose oropharyngée: 50100 mg une fois par jour pendant 7 à 14 jours. Si nécessaire, le traitement peut être poursuivi plus longtemps en cas d'immunodéficience sévère.
  • +1.Candidose oropharyngée: 50100 mg une fois par jour pendant 7 à 14 jours. Si nécessaire, le traitement peut être poursuivi plus longtemps en cas d'immunodéficience sévère.
  • -3.Autres candidoses des muqueuses (à l'exception de la candidose vaginale, cf. ci-dessous): 50 mg par jour pendant 14 à 30 jours.En cas de candidose œsophagienne, on peut en remplacement administrer une dose unique de 400 mg.
  • +3.Autres candidoses des muqueuses (à l'exception de la candidose vaginale, cf. ci-dessous): 50 mg par jour pendant 14 à 30 jours. En cas de candidose œsophagienne, on peut en remplacement administrer une dose unique de 400 mg.
  • -5.Prophylaxie des candidoses chez des patients avec une neutropénie induite par une chimiothérapie ou une radiothérapie: 200 à 400 mg une fois par jour.Le traitement sera commencé quelques jours avant la date prévue d'apparition de la neutropénie et poursuivi pendant encore 7 jours après l'atteinte d'un nombre de neutrophiles >1000/mm3.
  • +5.Prophylaxie des candidoses chez des patients avec une neutropénie induite par une chimiothérapie ou une radiothérapie: 200 à 400 mg une fois par jour. Le traitement sera commencé quelques jours avant la date prévue d'apparition de la neutropénie et poursuivi pendant encore 7 jours après l'atteinte d'un nombre de neutrophiles >1000/mm3.
  • -7.Dermatomycoses (p. ex. tinea pedis, tinea corporis, tinea cruris) et candidoses cutanées: 150 mg une fois par semaine ou 50 mg une fois par jour pendant 2 à 4 semaines.Le tinea pedis peut cependant nécessiter une durée de traitement allant jusqu'à 6 semaines.
  • -8.Pityriasis versicolor: 300 mg une fois par semaine pendant 2 semaines ou 50 mg une fois par jour pendant 2 à 4 semaines.Chez certains patients, une administration unique de 300 à 400 mg est suffisante. Dans d'autres cas, une troisième dose de 300 mg peut s'avérer nécessaire lors d'un schéma thérapeutique hebdomadaire.
  • +7.Dermatomycoses (p.ex. tinea pedis, tinea corporis, tinea cruris) et candidoses cutanées: 150 mg une fois par semaine ou 50 mg une fois par jour pendant 2 à 4 semaines.Le tinea pedis peut cependant nécessiter une durée de traitement allant jusqu'à 6 semaines.
  • +8.Pityriasis versicolor: 300 mg une fois par semaine pendant 2 semaines ou 50 mg une fois par jour pendant 2 à 4 semaines. Chez certains patients, une administration unique de 300 à 400 mg est suffisante. Dans d'autres cas, une troisième dose de 300 mg peut s'avérer nécessaire lors d'un schéma thérapeutique hebdomadaire.
  • -Instructions spéciales pour le dosage
  • +Instructions spéciales pour la posologie
  • -Le traitement doit commencer quelques jours avant le début prévu de la neutropénie et après avoir atteint un nombre de neutrophiles >1000 /mm³ doit encore être continué pendant 7 jours.
  • +Le traitement doit commencer quelques jours avant le début prévu de la neutropénie et après avoir atteint un nombre de neutrophiles >1000 /mm3 doit encore être continué pendant 7 jours.
  • -Clairance de la créatinine (ml/min) Pourcentage de la dose recommandée
  • +Clairance de la créatinine (ml/min) Pourcentage de la dose recommandée
  • -Hommes:
  • -Clcr (ml/min) = (140 - âge) × (poids en kg)
  • -72 × Ccr (mg/100 ml)
  • -
  • -
  • +(image)
  • +
  • -Données pharmacocinétiques chez les enfants présentant une insuffisance rénale ne sont pas disponibles. Par conséquent, il n'est pas possible d'établir des recommandations posologiques pour cette population.
  • -Mode dadministration
  • -Le fluconazole peut être administré par voie orale ou en perfusion intraveineuse à raison de 10 ml/min au maximum. La voie dadministration sera choisie en fonction de létat clinique du patient. Le passage dune administration intraveineuse à une administration orale, ou vice versa, ne nécessite aucune modification de la posologie journalière. Le fluconazole IV est disponible sous forme de solution de NaCl à 0,9%.
  • +Il n'existe pas de données pharmacocinétiques relatives aux enfants présentant une insuffisance rénale. Par conséquent, il n'est pas possible d'établir des recommandations posologiques pour cette population.
  • +Mode d'administration
  • +Le fluconazole peut être administré par voie orale ou en perfusion intraveineuse à raison de 10 ml/min au maximum. La voie d'administration sera choisie en fonction de l'état clinique du patient. Le passage d'une administration intraveineuse à une administration orale, ou vice versa, ne nécessite aucune modification de la posologie journalière. Le fluconazole IV est disponible sous forme de solution de NaCl à 0.9%.
  • -Le fluconazole est un inhibiteur puissant de l'iso-enzyme CYP2C9 du cytochrome P450 et dans une moindre mesure du CYP3A4. L'administration de fluconazole à des patients recevant en même temps des substances métabolisées par le CYP2C9 ou le CYP3A4 peut entraîner une élévation des taux sériques de ces substances. Lorsque ces substances ont une marge thérapeutique étroite, les patients seront attentivement surveillés (cf. chapitre «Interactions»).
  • -Certains dérivés azolés, dont le fluconazole, ont été mis en relation avec un allongement du segment QT sur l'ECG. Très rarement depuis l'introduction sur le marché, des allongements de l'intervalle QTc et des torsade de pointes ont été observés chez des patients sous fluconazole.
  • -Bien que l'existence d'un lien entre la prise de fluconazole et des allongements de l'intervalle QT ne soit pas établie, le fluconazole doit être utilisé avec prudence chez les patients ayant des facteurs de risque potientiels de proarythmies. Les facteurs de risque comprennent un allongement connu de l'intervalle QT, un syndrome du QT long congénital, une cardiomyopathie, des arythmies, des déséquilibres électrolytiques (en particulier, toute hypokaliémie, hypomagnésémie ou hypocalcémie doit être corrigée avant l'administration du fluconazole), des médicaments associés pouvant allonger l'intervalle QT (en particulier ceux qui sont métabolisés par le CYP3A4, tels que l'érythromycine; cf. «Interactions»). Le traitement concomitant par des médicaments de ce type est par conséquent contre-indiqué.
  • -Dans de cas rares, des patients ont développé, durant le traitement par le fluconazole, des réactions cutanées exfoliatives telles qu'un syndrome de Stevens-Johnson ou une nécrolyse épidermique toxique. Les patients sidéens sont davantage exposés à l'apparition de réactions cutanées graves. En cas d'apparition d'un exanthème pouvant être mis en relation avec le fluconazole chez un patient traité pour une infection fongique superficielle, le traitement doit être arrêté. Lorsqu'un exanthème apparaît chez un patient atteint d'une infection fongique invasive/systémique, une surveillance stricte s'impose et l'administration de fluconazole doit être arrêtée si des éruptions bulleuses ou un érythème multiforme se développe.
  • -De rares cas d'atteinte hépatotoxique sévère ont été observés avec le fluconazole, dont certains ont eu une issue fatale. Cependant, il s'agissait surtout de patients atteints de graves maladies de fond. Dans les cas d'hépatotoxicité liés au fluconazole, aucune relation manifeste avec la dose journalière totale, la durée du traitement, le sexe ou l'âge des patients n'a été mise en évidence. En règle générale, l'hépatotoxicité du fluconazole s'est montrée réversible après l'arrêt du traitement.
  • -Des tests de la fonction hépatique doivent être effectués régulièrement durant un traitement par fluconazole.
  • -Les patients qui, lors du traitement avec du fluconazole, présentent des valeurs anormales des tests de la fonction hépatique doivent être surveillés afin de prévenir une lésion hépatique plus grave. Le traitement par fluconazole doit être arrêté lors de l'apparition de signes ou symptômes cliniques d'une affection hépatique pouvant être imputée au fluconazole.
  • -La prudence est de rigueur lors de l'administration de fluconazole à des patients présentant des troubles de la fonction hépatique.
  • -La prudence est de rigueur lors de l'administration de fluconazole à des patients présentant des troubles de la fonction rénale (voir aussi «Instructions spéciales pour la posologie»). De rares cas d'anaphylaxie ont été rapportés.
  • -Les capsules de Fluconazol Pfizer 50/150/200 mg contiennent respectivement 49,7/149,1/198,8 mg de lactose par capsule. Les patients présentant la rare intolérance au galactose, un déficit en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose doivent tenir compte de ces quantités.
  • +Intervalle QT
  • +Certains dérivés azolés, dont le fluconazole, ont été mis en relation avec un allongement du segment QT sur l'ECG. Très rarement depuis l'introduction sur le marché, des allongements de l'intervalle QTc et des torsades de pointes ont été observés chez des patients sous fluconazole.
  • +Bien que l'existence d'un lien entre la prise de fluconazole et des allongements de l'intervalle QT ne soit pas établie, le fluconazole doit être utilisé avec prudence chez les patients ayant des facteurs de risque potentiels de proarythmies. Les facteurs de risque comprennent un allongement connu de l'intervalle QT, un syndrome du QT long congénital, une cardiomyopathie, des arythmies, des déséquilibres électrolytiques (en particulier, toute hypokaliémie, hypomagnésémie et hypocalcémie doit être corrigée avant l'administration du fluconazole), des médicaments associés pouvant allonger l'intervalle QT (en particulier ceux qui sont métabolisés par le CYP3A4, tels que l'érythromycine; cf. «Interactions»). Le traitement concomitant par des médicaments de ce type est par conséquent contre-indiqué.
  • +Hépatotoxicité
  • +De rares cas d'atteinte hépatotoxique sévère ont été observés avec le fluconazole, dont certains ont eu une issue fatale. Cependant, il s'agissait surtout de patients atteints de graves maladies de fond. Dans les cas d'hépatotoxicité liés au fluconazole, aucune relation manifeste avec la dose journalière totale, la durée du traitement, le sexe ou l'âge des patients n'a été mise en évidence. En règle générale, l'hépatotoxicité du fluconazole était réversible après l'arrêt du traitement.
  • +Des tests de la fonction hépatique doivent être effectués régulièrement durant un traitement par le fluconazole. Les patients qui, lors du traitement avec du fluconazole, présentent des valeurs anormales des tests de la fonction hépatique doivent être surveillés afin de prévenir une lésion hépatique plus grave. Le traitement par le fluconazole doit être arrêté lors de l'apparition d'indices cliniques d'une affection hépatique pouvant être imputée au fluconazole.
  • +La prudence est de rigueur lors de l'administration de fluconazole à des patients présentant des troubles préexistants de la fonction hépatique.
  • +Réactions cutanées
  • +Dans des cas rares, des patients ont développé, durant le traitement par le fluconazole, des réactions cutanées exfoliatives telles qu'un syndrome de Stevens-Johnson ou une nécrolyse épidermique toxique. Les patients sidéens sont davantage exposés à l'apparition de réactions cutanées graves. En cas d'apparition d'un exanthème pouvant être mis en relation avec le fluconazole chez un patient traité pour une infection fongique superficielle, le traitement doit être arrêté. Lorsqu'un exanthème apparaît chez un patient atteint d'une infection fongique invasive/systémique, une surveillance stricte s'impose et l'administration de fluconazole doit être arrêtée si des éruptions bulleuses ou un érythème multiforme se développent.
  • +Hypersensibilité
  • +De rares cas d'anaphylaxie ont été rapportés.
  • +Interactions (voir aussi «Interactions»)
  • +Le fluconazole est un inhibiteur puissant de l'iso-enzyme CYP2C9 du cytochrome P450 et dans une moindre mesure du CYP3A4. L'administration de fluconazole à des patients recevant en même temps des substances métabolisées par le CYP2C9 ou le CYP3A4 peut entraîner une élévation des taux sériques de ces substances. Lorsque ces substances ont une marge thérapeutique étroite, les patients seront attentivement surveillés.
  • +Insuffisance rénale
  • +Chez les patients présentant des troubles de la fonction rénale, la prudence est de rigueur lors de l'administration de fluconazole (voir aussi «Instructions spéciales pour la posologie»).
  • +Utilisation chez les femmes en âge de procréer
  • +Des cas d'anomalies congénitales ont été rapportés chez des enfants dont les mères avaient été exposées au fluconazole pendant la grossesse (surtout pendant le premier trimestre) (voir «Grossesse/Allaitement»). Des cas d'avortements spontanés ont également été rapportés. Par conséquent, les femmes en âge de procréer doivent utiliser une méthode de contraception fiable pendant le traitement et jusqu'à environ 1 semaine (c.-à-d. 5 à 6 demi-vies) après la dernière dose du traitement.
  • +Les capsules de Fluconazol Pfizer 50/150/200 mg contiennent respectivement 49.7/149.1/198.8 mg de lactose par capsule. Les patients présentant la rare intolérance au galactose, un déficit en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose doivent tenir compte de ces quantités.
  • -L'administration concomitante de fluconazole et de rifampicine a entraîné une réduction de 25% de l'AUC du fluconazole (aire sous la courbe de concentration en fonction du temps) et de 20% de la demivie du fluconazole. Lors d'un traitement concomitant par la rifampicine, une augmentation de la dose de fluconazole peut donc s'avérer nécessaire.
  • +L'administration concomitante de fluconazole et de rifampicine a entraîné une réduction de 25% de l'AUC du fluconazole (aire sous la courbe de concentration en fonction du temps) et de 20% de la demi-vie du fluconazole. Lors d'un traitement concomitant par la rifampicine, une augmentation de la dose de fluconazole peut donc s'avérer nécessaire.
  • -Lors de l'administration concomitante de fluconazole et d'inhibiteurs de la HMG-CoA-réductase, qui sont métabolisés par le CYP3A4 (p.ex. atorvastatine, simvastatine) ou le CYP2C9 (p. ex. fluvastatine), il existe un risque accru de myopathie ou de rhabdomyolyse. Si un traitement concomitant s'avère nécessaire, il convient de contrôler les concentrations de créatine-kinase (CK) et de surveiller les patients à la recherche de signes de myopathie ou de rhabdomyolyse (douleurs ou sensibilité musculaires, faiblesse musculaire). Le traitement par l'inhibiteur de l'HMG-CoA réductase doit être arrêté si le taux de créatine kinase (CK) augmente fortement ou en cas de suspicion d'une myopathie ou d'une rhabdomyolyse.
  • +Lors de l'administration concomitante de fluconazole et d'inhibiteurs de la HMG-CoA-réductase, qui sont métabolisés par le CYP3A4 (p.ex. atorvastatine, simvastatine) ou le CYP2C9 (p.ex. fluvastatine), il existe un risque accru de myopathie ou de rhabdomyolyse. Si un traitement concomitant s'avère nécessaire, il convient de contrôler les concentrations de créatine-kinase (CK) et de surveiller les patients à la recherche de signes de myopathie ou de rhabdomyolyse (douleurs ou sensibilité musculaires, faiblesse musculaire). Le traitement par l'inhibiteur de l'HMG-CoA réductase doit être arrêté si le taux de créatine kinase (CK) augmente fortement ou en cas de suspicion d'une myopathie ou d'une rhabdomyolyse.
  • -Deux études pharmacocinétiques ont été menées chez des sujets recevant conjointement un contraceptif oral combiné (0,03 mg d'éthinylestradiol + 0,15 mg de lévonorgestrel) et des doses multiples de fluconazole. Aucune modification pertinente des taux hormonaux n'a été observée lors de l'administration de 50 mg de fluconazole par jour. Après la prise de 200 mg/jour de fluconazole, l'AUC de l'éthinylestradiol et du lévonorgestrel a augmenté respectivement de 40% et 24%. Une influence sur l'efficacité contraceptive est donc improbable.
  • +Deux études pharmacocinétiques ont été menées chez des sujets recevant conjointement un contraceptif oral combiné (0.03 mg d'éthinylestradiol + 0.15 mg de lévonorgestrel) et des doses multiples de fluconazole. Aucune modification pertinente des taux hormonaux n'a été observée lors de l'administration de 50 mg de fluconazole par jour. Après la prise de 200 mg/jour de fluconazole, l'AUC de l'éthinylestradiol et du lévonorgestrel a augmenté respectivement de 40% et 24%. Une influence sur l'efficacité contraceptive est donc improbable.
  • -Chez la femme enceinte, on ne dispose que de données limitées issues d'études cliniques. Lors de l'administration d'une dose unique de 150 mg de fluconazole à 42 femmes enceintes dans le cadre d'une étude observationnelle conduite après l'autorisation de mise sur le marché, aucun effet néfaste sur la grossesse ou le fœtus n'a été observé.
  • -Chez des femmes enceintes qui ont reçu des doses standard (<200 mg) de fluconazole, en dose unique ou en doses répétées durant le premier trimestre, aucun effet indésirable sur le fœtus n'a non plus été enregistré.
  • -En revanche, des cas d'anomalies congénitales multiples ont été rapportés chez des enfants dont les mères avaient été traitées (surtout pendant le premier trimestre de la grossesse) pendant trois mois ou plus par des doses élevées de fluconazole (400 à 800 mg/jour). Il s'agit ici d'un schéma de malformations caractéristique rare qui a comporté les anomalies suivantes: brachycéphalie, fentes palatines et autres malformations faciales, développement anormal de la voûte crânienne, os anormalement longs, côtes anormalement minces, fémurs arqués et arthrogrypose, ainsi que des anomalies cardiaques congénitales. Un lien entre l'administration du fluconazole et ces événements indésirables ne peut pas être exclu.
  • -Dans les études chez l'animal, des effets indésirables sur le fœtus ont été observés lorsque des doses élevées, toxiques pour la mère, étaient administrées (cf. «Données précliniques»).
  • -Une grossesse doit être exclue avant le début d'un traitement par le fluconazole à fortes doses. Dans une telle situation (c.-à-d. à des doses quotidiennes >200 mg/jour), les femmes en âge de procréer doivent utiliser des méthodes contraceptives efficaces pendant le traitement et jusqu'à 7 jours après la fin du traitement.
  • -L'utilisation du fluconazole à des doses standard (c.-à-d. ≤200 mg/jour) pendant la grossesse doit être évitée sauf si, en présence d'une infection fongique sévère ou potentiellement létale, les bénéfices attendus du fluconazole l'emportent sur les risques encourus par le fœtus.
  • +L'utilisation du fluconazole pendant la grossesse doit être évitée sauf si, en présence d'une infection fongique sévère ou potentiellement létale, les bénéfices attendus du fluconazole l'emportent sur les risques encourus par le fœtus. Une grossesse doit être exclue avant le début du traitement. (Pour l'utilisation chez les femmes en âge de procréer, voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Des cas d'anomalies congénitales multiples ont été rapportés chez des enfants dont les mères avaient été traitées (surtout pendant le premier trimestre de la grossesse) pendant trois mois ou plus par des doses élevées de fluconazole (400 à 800 mg/jour). Il s'agit ici d'un schéma de malformations caractéristique rare qui a comporté les anomalies suivantes: brachycéphalie, fentes palatines et autres malformations faciales, développement anormal de la voûte crânienne, os anormalement longs, côtes anormalement minces, fémurs arqués et arthrogrypose, ainsi que des anomalies cardiaques congénitales. Un lien entre l'administration du fluconazole et ces événements indésirables ne peut pas être exclu.
  • +Des cas d'avortements spontanés et d'anomalies congénitales (en particulier du système cardiovasculaire) chez des enfants ont également été rapportés quand les mères avaient été traitées par seulement 150 mg de fluconazole en doses uniques ou multiples au cours du premier trimestre de grossesse.
  • +Dans les études chez l'animal, des effets indésirables sur le fœtus ont également été observés lorsque des doses élevées, toxiques pour la mère, étaient administrées (cf. «Données précliniques»).
  • -Rares: neutropénie, leucopénie, thrombocytopénie, agranulocytose
  • +Rares: neutropénie, leucopénie, thrombocytopénie, agranulocytose.
  • -Rares: anaphylaxie, angioœdème
  • +Rares: anaphylaxie, angioœdème.
  • -Rares: hypokaliémie, hypertriglycéridémie, hypercholestérolémie
  • +Rares: hypokaliémie, hypertriglycéridémie, hypercholestérolémie.
  • -Occasionnels: insomnie, somnolence
  • +Occasionnels: insomnie, somnolence.
  • -Fréquents: céphalées
  • -Occasionnels: vertiges, paresthésies, dysgueusie, convulsions
  • -Rares: tremblements
  • +Fréquents: céphalées.
  • +Occasionnels: vertiges, paresthésies, dysgueusie, convulsions.
  • +Rares: tremblements.
  • -Occasionnels: vertiges rotationnels
  • +Occasionnels: vertiges rotationnels.
  • -Rares: allongement de QT, torsade de pointes
  • +Rares: allongement de QT, torsade de pointes.
  • -Fréquents: douleurs abdominales, diarrhée, nausées, vomissements
  • -Occasionnels: dyspepsie, flatulence, sécheresse buccale
  • +Fréquents: douleurs abdominales, diarrhée, nausées, vomissements.
  • +Occasionnels: dyspepsie, flatulence, sécheresse buccale.
  • -Fréquents: augmentation des l'alanine aminotransférase, augmentation de l'aspartate aminotransférase, augmentation des phosphatases alcalines
  • -Occasionnels: cholestase, ictère, augmentation de la bilirubine
  • -Rares: hépatite, nécrose hépatocellulaire, insuffisance hépatique (avec issue fatale dans des cas isolés)
  • +Fréquents: augmentation de l'alanine aminotransférase, augmentation de l'aspartate aminotransférase, augmentation des phosphatases alcalines.
  • +Occasionnels: cholestase, ictère, augmentation de la bilirubine.
  • +Rares: hépatite, nécrose hépatocellulaire, insuffisance hépatique (avec issue fatale dans des cas isolés).
  • -Fréquents: exanthème
  • -Occasionnels: prurit, urticaire, transpiration accrue, exanthème médicamenteux
  • -Rares: alopécie, œdème facial, dermatite exfoliative, syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique, pustulose exanthématique aiguë généralisée
  • +Fréquents: exanthème.
  • +Occasionnels: prurit, urticaire, transpiration accrue, exanthème médicamenteux.
  • +Rares: alopécie, œdème facial, dermatite exfoliative, syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique, pustulose exanthématique aiguë généralisée.
  • -Occasionnels: myalgie
  • +Occasionnels: myalgie.
  • -Occasionnels: fatigue, malaise, asthénie, fièvre
  • -Chez certains patients, notamment chez ceux souffrant de maladies primaires sévères telles que SIDA ou cancer, des anomalies des fonctions rénale et hépatique et des troubles hématologiques telles qu'une éosinophilie et une anémie (cf. «Mises en garde et précautions») ont été observées pendant un traitement par Fluconazol Pfizer ou par d'autres préparations comparables. Leur signification clinique et leur lien de causalité avec le traitement par Fluconazol Pfizer ne sont toutefois pas clairs.
  • +Occasionnels: fatigue, malaise, asthénie, fièvre.
  • +Chez certains patients, notamment chez ceux souffrant de maladies primaires sévères telles que SIDA ou cancer, des anomalies des fonctions rénale et hépatique et des troubles hématologiques tels qu'une éosinophilie et une anémie (cf. «Mises en garde et précautions») ont été observés pendant un traitement par Fluconazol Pfizer ou par d'autres préparations comparables. Leur signification clinique et leur lien de causalité avec le traitement par Fluconazol Pfizer ne sont toutefois pas clairs.
  • -Les propriétés pharmacocinétiques du fluconazole en administration intraveineuse et orale sont semblables. Après administration orale, le fluconazole est bien résorbé, les concentrations plasmatiques et la biodisponibilité systémique atteignent plus de 90% de celles obtenues après administration intraveineuse. La résorption après administration orale nest pas influencée par la prise simultanée de nourriture. Chez le sujet à jeun, les concentrations plasmatiques maximales surviennent environ 0,5 à 1,5 heures après ladministration. Les concentrations plasmatiques sont proportionnelles à la dose administrée. Les pics de concentration plasmatique après une administration unique orale de 100 mg et de 400 mg de fluconazole sont de 1,9 mg/l et de 6,7 mg/l respectivement. Une administration orale pendant 6 à 10 jours conduit à une concentration plasmatique maximale 2,5 fois plus élevée que celle obtenue après une dose unique. Les concentrations plasmatiques 15 minutes après une perfusion de 50 mg et de 100 mg sur 30 minutes sont de 0,94 mg/l et de 2,1 mg/l respectivement. Une administration quotidienne unique permet datteindre 90% de la concentration plasmatique à létat déquilibre après 4 à 5 jours. Si la dose est doublée le premier jour, les 90% de la concentration plasmatique observée à létat déquilibre sont atteints dès le 2ème jour déjà.
  • +Les propriétés pharmacocinétiques du fluconazole en administration intraveineuse et orale sont semblables. Après administration orale, le fluconazole est bien résorbé, les concentrations plasmatiques et la biodisponibilité systémique atteignent plus de 90% de celles obtenues après administration intraveineuse. La résorption après administration orale n'est pas influencée par la prise simultanée de nourriture. Chez le sujet à jeun, les concentrations plasmatiques maximales surviennent environ 0.5 à 1.5 heure après l'administration. Les concentrations plasmatiques sont proportionnelles à la dose administrée. Les pics de concentration plasmatique après une administration unique orale de 100 mg et de 400 mg de fluconazole sont de 1.9 mg/l et de 6.7 mg/l respectivement. Une administration orale pendant 6 à 10 jours conduit à une concentration plasmatique maximale 2.5 fois plus élevée que celle obtenue après une dose unique. Les concentrations plasmatiques 15 minutes après une perfusion de 50 mg et de 100 mg sur 30 minutes sont de 0.94 mg/l et de 2.1 mg/l respectivement. Une administration quotidienne unique permet d'atteindre 90% de la concentration plasmatique à l'état d'équilibre après 4 à 5 jours. Si la dose est doublée le premier jour, les 90% de la concentration plasmatique observée à l'état d'équilibre sont atteints dès le 2ème jour déjà.
  • -Le volume de distribution est proche de celui de l'eau corporelle totale (0,8 l/kg). La liaison aux protéines plasmatiques est faible (12%). Les concentrations dans la salive et dans les expectorations sont semblables aux concentrations plasmatiques. Chez les patients atteints de méningite fongique, les concentrations de fluconazole dans le liquide céphalorachidien atteignent 80% des concentrations plasmatiques. En l'absence d'inflammation méningée, les concentrations dans le liquide céphalorachidien représentent 60% des concentrations plasmatiques.
  • -Dans la couche cornée, dans l'épiderme et dans les glandes sudoripares de la peau, le fluconazole atteint des concentrations élevées, qui dépassent les concentrations sériques. Le fluconazole s'accumule dans la couche cornée. Lors de l'administration d'une dose journalière de 50 mg en une seule prise pendant 12 jours, les concentrations de fluconazole dans la couche cornée étaient de 73,3 µg/g après 12 jours; elles atteignaient encore 5,8 µg/g sept jours après l'arrêt du traitement. Pour une posologie de 150 mg une fois par semaine pendant 2 semaines, la concentration maximale dans la couche cornée était de 23,4 µg/g le 7ème jour et de 7,1 µg/g 7 jours après la deuxième dose.
  • +Le volume de distribution est proche de celui de l'eau corporelle totale (0.8 l/kg). La liaison aux protéines plasmatiques est faible (12%). Les concentrations dans la salive et dans les expectorations sont semblables aux concentrations plasmatiques. Chez les patients atteints de méningite fongique, les concentrations de fluconazole dans le liquide céphalorachidien atteignent 80% des concentrations plasmatiques. En l'absence d'inflammation méningée, les concentrations dans le liquide céphalorachidien représentent 60% des concentrations plasmatiques.
  • +Dans la couche cornée, dans l'épiderme et dans les glandes sudoripares de la peau, le fluconazole atteint des concentrations élevées, qui dépassent les concentrations sériques. Le fluconazole s'accumule dans la couche cornée. Lors de l'administration d'une dose journalière de 50 mg en une seule prise pendant 12 jours, les concentrations de fluconazole dans la couche cornée étaient de 73.3 µg/g après 12 jours; elles atteignaient encore 5.8 µg/g sept jours après l'arrêt du traitement. Pour une posologie de 150 mg une fois par semaine pendant 2 semaines, la concentration maximale dans la couche cornée était de 23.4 µg/g le 7ème jour et de 7.1 µg/g 7 jours après la deuxième dose.
  • -Une réduction de la fonction rénale influence considérablement la pharmacocinétique du fluconazole. Il existe un rapport inverse entre la demi-vie d'élimination de la substance et la clairance de la créatinine. En cas d'insuffisance rénale, il peut s'avérer nécessaire de réduire la dose de Fluconazol Pfizer (cf. «Instructions spéciales pour le dosage: Patients présentant une fonction rénale réduite»).
  • +Une réduction de la fonction rénale influence considérablement la pharmacocinétique du fluconazole. Il existe un rapport inverse entre la demi-vie d'élimination de la substance et la clairance de la créatinine. En cas d'insuffisance rénale, il peut s'avérer nécessaire de réduire la dose de Fluconazol Pfizer (cf. «Instructions spéciales pour la posologie: Patients présentant une fonction rénale réduite»).
  • -* Déterminée le dernier jour.
  • +* Déterminée le dernier jour
  • -Des prématurés ont été traités par ladministration intraveineuse de 6 mg/kg PC de fluconazole tous les trois jours. Le traitement intraveineux a duré au maximum 5 jours, période durant laquelle les prématurés se trouvaient en unité de soins intensifs. La demi-vie moyenne du fluconazole était de 74 heures (44-185 heures) le premier jour. Celle-ci a ensuite diminué au fil du temps et était de 53 heures en moyenne (30-131 heures) au 7ème jour et de 47 heures en moyenne (27-68 heures) au 13ème jour.
  • -LAUC (aire sous la courbe) était de 271 mcg∙h/ml (173-385) le premier jour. Elle a tout dabord augmenté pour atteindre 490 mcg∙h/ml (292-734) en moyenne au 7ème jour. Elle a ensuite diminué et était de 360 mcg∙h/ml (167-566) en moyenne au 13ème jour.
  • -Le volume de distribution était de 1183 ml/kg (1070-1470 ml/kg) le premier jour; avec le temps, il a augmenté pour atteindre 1184 ml/kg (510-2130 ml/kg) au 7ème jour et 1'328 ml/kg (1040-1680 ml/kg) au 13ème jour.
  • +Des prématurés ont été traités par l'administration intraveineuse de 6 mg/kg PC de fluconazole tous les trois jours. Le traitement intraveineux a duré au maximum 5 jours, période durant laquelle les prématurés se trouvaient en unité de soins intensifs. La demi-vie moyenne du fluconazole était de 74 heures (44-185 heures) le premier jour. Celle-ci a ensuite diminué au fil du temps et était de 53 heures en moyenne (30-131 heures) au 7ème jour et de 47 heures en moyenne (27-68 heures) au 13ème jour.
  • +L'AUC (aire sous la courbe) était de 271 mcg∙h/ml (173-385) le premier jour. Elle a tout d'abord augmenté pour atteindre 490 mcg∙h/ml (292-734) en moyenne au 7ème jour. Elle a ensuite diminué et était de 360 mcg∙h/ml (167-566) en moyenne au 13ème jour.
  • +Le volume de distribution était de 1183 ml/kg (1070-1470 ml/kg) le premier jour; avec le temps, il a augmenté pour atteindre 1184 ml/kg (510-2130 ml/kg) au 7ème jour et 1328 ml/kg (1040-1680 ml/kg) au 13ème jour.
  • -Des études au long cours menées sur des souris et des rats qui ont reçu du fluconazole durant 24 mois à des doses journalières orales de 2,5 mg/kg, 5 mg/kg ou 10 mg/kg (environ 2 à 7 fois la dose recommandée chez l'homme) n'ont mis en évidence aucun indice de potentiel cancérogène du fluconazole.
  • +Des études au long cours menées sur des souris et des rats qui ont reçu du fluconazole durant 24 mois à des doses journalières orales de 2.5 mg/kg, 5 mg/kg ou 10 mg/kg (environ 2 à 7 fois la dose recommandée chez l'homme) n'ont mis en évidence aucun indice de potentiel cancérogène du fluconazole.
  • -Les études cytogénétiques in vivo (cellules de moelle osseuse de souris après administration orale de fluconazole) et les études in vitro (lymphocytes humains dans un solution contenant 1000 µg/ml de fluconazole) n'ont mis en évidence aucun indice de mutations chromosomiques.
  • +Les études cytogénétiques in vivo (cellules de moelle osseuse de souris après administration orale de fluconazole) et les études in vitro (lymphocytes humains dans une solution contenant 1000 µg/ml de fluconazole) n'ont mis en évidence aucun indice de mutations chromosomiques.
  • -Juin 2016.
  • -LLD V006
  • +Mars 2017.
  • +LLD V007
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