82 Changements de l'information professionelle Clindamycin Zentiva 150 mg |
-Principe actif
- +Principes actifs
-Constituants de la capsule
- +Constituants de la gélules
-Traitement d'infections causées par des bactéries anaérobies et aérobies Gram positifs sensibles à la clindamycine, notamment des espèces de bactéroïdes, streptocoques microaérophiles, staphylocoques et pneumocoques, telles que:
-·Infections du tractus respiratoire supérieur comme amygdalite, pharyngite, sinusite, otite moyenne et scarlatine.
-·Infections du tractus respiratoire inférieur comme bronchite, pneumonie.
-·Infections de la peau et des parties molles comme acné, furoncle, cellulite, impétigo, abcès et infections de plaies. De par leur nature, les infections spécifiques de la peau et des parties molles telles que érysipèle et paronychie (panaris) devraient normalement bien répondre à un traitement par clindamycine.
-·En association avec un antibiotique d'un spectre antibactérien aérobie Gram négatif: infections du bassin et du tractus génital féminins telles qu'endométrite, paramétrite, salpingite, abcès tubo-ovariens (Pelvic Inflammatory Disease, PID) et infections vaginales post-opératoires.
-·Septicémie et endocardite. L'efficacité de la clindamycine dans le traitement de cas sélectionnés d'endocardite a été démontrée lorsque la clindamycine avait un effet bactéricide envers l'agent pathogène dans les tests in vitro reproduisant des concentrations sériques atteintes adéquates.
-·Infections dentaires comme abcès paradontal et périodontite.
-·Encéphalite toxoplasmique chez les sidéens. Un traitement aigu par la clindamycine en association à la pyriméthamine peut être administré aux patients ne tolérant pas un traitement conventionnel. Seules de faibles expériences issues d'études cliniques sont à disposition.
-·Pneumonie à Pneumocystis jiroveciii chez les sidéens. La clindamycine en association à la primaquine peut être administrée lors de réactions d'intolérance à un traitement conventionnel. Seules de faibles expériences issues d'études cliniques sont à disposition.
-Poursuite par voie orale du traitement des infections osseuses comme l'ostéomyélite après un traitement parentéral par la clindamycine.
-Comme pour tous les antibiotiques, l'exécution de tests de sensibilité in vitro est recommandée.
- +Traitement d'infections causées par des bactéries anaérobies et aérobies Gram positif sensibles à la clindamycine, notamment des espèces de bactéroïdes, streptocoques microaérophiles, staphylocoques et pneumocoques, telles que:
- +·Infections du tractus respiratoire supérieur telles qu'amygdalite, pharyngite, sinusite, otite moyenne et scarlatine.
- +·Infections du tractus respiratoire inférieur telles que bronchite, pneumonie.
- +·Infections de la peau et des tissus mous telles qu'acné, furoncle, cellulite, impétigo, abcès et infections de plaies. De par leur nature, les infections spécifiques de la peau et des tissus mous telles que l'érysipèle et périonyxis (panaritium) devraient bien répondre à un traitement par clindamycine.
- +·En association avec un antibiotique d'un spectre antibactérien aérobie Gram négatif: infections du bassin et du tractus génital féminins telles qu'endométrite, paramétrite, salpingite, abcès tubo-ovariens (Pelvic Inflammatory Disease, PID) et infections vaginales post-opératoires après traitement intraveneux.
- +·Septicémie et endocardite. L'efficacité de la clindamycine dans le traitement de cas sélectionnés d'endocardite a été documentée lorsque la clindamycine avait un effet bactéricide envers l'agent pathogène dans les tests in vitro reproduisant des concentrations sériques atteintes adéquates.
- +·Infections dentaires telles qu'abcès paradontal et périodontite.
- +·Encéphalite toxoplasmique chez les patients sidéens. Un traitement aigu par la clindamycine en association avec la pyriméthamine peut être administré aux patients ne tolérant pas un traitement conventionnel. Seules des expériences limitées issues d'études cliniques sont à disposition.
- +·Pneumonie à Pneumocystis jirovecii chez les patients sidéens. La clindamycine en association avec la primaquine peut être administrée lors de réactions d'intolérance à un traitement conventionnel. Seules des expériences limitées issues d'études cliniques sont à disposition.
- +·Poursuite du traitement par voie orale des infections osseuses telles que l'ostéomyélite, après traitement parenteérale par la clindamycine.
- +Comme pour tous les antibiotiques, la réalisation de tests de sensibilité in vitro est recommandée.
-Le dosage et le mode d'application doivent être choisis en fonction de la gravité de l'infection, de l'état du patient et de la sensibilité de l'agent pathogène.
-La prise des capsules peut se faire indépendamment des repas.
-Clindamycin Zentiva capsules ne convient pas aux enfants qui ne sont pas encore en mesure d'avaler les capsules entières.
-Les capsules ne permettant pas d'administrer une dose calculée avec précision en mg/kg, il est nécessaire dans certains cas d'utiliser clindamycine sous une autre forme galénique.
-Prendre les capsules avec un verre d'eau pour éviter l'apparition d'une oesophagite.
- +Le dosage et le mode d'application doivent être définis en fonction de la gravité de l'infection, de l'état du patient et de la sensibilité de l'agent pathogène.
- +Les gélules peuvent être prises indépendamment des repas.
- +Clindamycin Zentiva gélules ne convient pas aux enfants qui ne sont pas encore en mesure d'avaler les capsules entières.
- +Les gélules ne permettant pas d'administrer une dose calculée avec précision en mg/kg, il est nécessaire dans certains cas d'utiliser clindamycine sous une autre forme galénique.
- +Prendre les gélules avec un verre d'eau pour éviter l'apparition d'une œsophagite.
-Posologie en cas d'amygdalite/pharyngite aiguës dues aux streptocoques:
-En cas d'hypersensibilité à la pénicilline et aux antibiotiques bêta-lactames, (hypersensibilité de type I), il faut envisager d'utiliser Clindamycin Zentiva comme traitement de remplacement chez les adultes présentant une pharyngite à streptocoques confirmée ou suspectée. Dans ce cas, la posologie est d'une capsule de Clindamycin Zentiva 300 mg deux fois par jour pendant 10 jours. Le traitement devrait être poursuivi pendant au moins 10 jours en cas d'infection due aux streptocoques bêta-hémolytiques.
-Traitement associé
-Infections gynécologiques (Pelvic Inflammatory Disease, PID)
- +Posologie en cas d'amygdalite/pharyngite aiguës dues aux streptocoques
- +En cas d'hypersensibilité à la pénicilline et aux antibiotiques bêta-lactames, (hypersensibilité de type I), il faut envisager d'utiliser Clindamycin Zentiva comme traitement de remplacement chez les adultes présentant une pharyngite à streptocoques confirmée ou suspectée. Dans ce cas, la posologie est d'une capsule de Clindamycin Zentiva 300 mg 2 fois par jour pendant 10 jours. Le traitement doit être poursuivi pendant au moins 10 jours en cas d'infection due aux streptocoques bêta-hémolytiques.
- +Thérapies combinées
- +Infections gynécologiques (Pelvic Inflammatory Disease, PID):
-Pneumonie à Pneumocystis jirovecii chez les sidéens
- +Pneumonie à Pneumocystis jirovecii chez les patients sidéens:
-Encéphalite toxoplasmique chez les sidéens
-Association de clindamycine à la pyriméthamine: Clindamycine, 600 à 1200 mg 4 fois par jour oralement pendant 2 semaines, suivi de 300 à 600 mg 4 fois par jour.
-Pyriméthamine: 25 à 75 mg 1 fois par jour. Lors d'un dosage supérieur de pyriméthamine, l'administration de 10 à 20 mg d'acide folique par jour devrait être instaurée.
- +Encéphalite toxoplasmique chez les patients sidéens:
- +Association de la clindamycine à la pyriméthamine: Clindamycine, 600 à 1200 mg 4 x par jour par voie orale pendant deux semaines, suivi de 300 à 600 mg 4 x par jour.
- +Pyriméthamine: 25 à 75 mg 1 x par jour. Lors d'un dosage supérieur de pyriméthamine, l'administration de 10 à 20 mg d'acide folique par jour doit être instaurée.
-Patients présentant des troubles de la fonction rénale
-En cas d'insuffisance rénale grave, la demi-vie de la clindamycine est allongée. Pendant un traitement à hautes doses, il faut donc surveiller le taux de clindamycine chez ces patients.
-En cas d'insuffisance rénale légère à modérée, aucun ajustement posologique n'est nécessaire.
-En cas d'insuffisance hépatique grave (score Child Pugh C), la demi-vie de la clindamycine est allongée. Pendant un traitement à hautes doses, il faut donc surveiller le taux de clindamycine chez ces patients.
- +En cas d'insuffisance hépatique sévère (score Child Pugh C), la demi-vie de la clindamycine est allongée. Pendant un traitement à hautes doses, le taux de clindamycine doit être surveillé chez ces patients.
- +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
- +En cas d'insuffisance rénale sévère, la demi-vie de la clindamycine est allongée. Pendant un traitement à hautes doses, le taux de clindamycine doit être surveillé chez ces patients.
- +En cas d'insuffisance rénale légère à modérée, aucun ajustement posologique n'est nécessaire.
-De graves réactions d'hypersensibilité, y compris des réactions cutanées sévères telles que le syndrome DRESS (drug rash with eosinophilia and systemic symptoms), le syndrome de Stevens-Johnson, la nécrolyse épidermique toxique (syndrome de Lyell) et la pustulose exanthémateuse aiguë généralisée (PEAG) ont été signalées chez des patients traités par la clindamycine. Si des réactions d'hypersensibilité ou des réactions cutanées sévères se produisent, il faut cesser l'administration de clindamycine et instaurer un traitement approprié. Parce que la clindamycine ne diffuse pas en quantités suffisantes dans le liquide cérébro-rachidien, le médicament ne devrait pas être utilisé dans le traitement de la méningite.
-Comme pour presque tous les agents antibactériens, le traitement par clindamycine a été mis en rapport avec l'apparition d'une colite pseudomembraneuse attribuée aux toxines du Clostridium difficile. Le traitement par des agents antibactériens modifie la flore colique normale, ce qui entraîne un envahissement par C. difficile.
-Le tableau clinique de la diarrhée associée à Clostridium difficile (CDAD) peut aller d'une légère diarrhée liquide jusqu'à des cas sévères potentiellement mortels avec une diarrhée persistante (parfois accompagnée de sang et de mucus dans les selles), des crampes abdominales sévères, de la fièvre et une leucocytose. Des complications, comme une péritonite, un mégacôlon toxique ou un état de choc, peuvent survenir. Chez les patients âgés ou affaiblis, la maladie a vraisemblablement une évolution plus grave.
-Le diagnostic d'une CDAD est généralement établi grâce aux symptômes cliniques. Il peut être confirmé endoscopiquement par la présence d'une colite pseudomembraneuse et/ou par la mise en évidence du C. difficile dans les cultures de selles sur des milieux nutritifs sélectifs et par la détection d'une ou de plusieurs toxines de C. difficile.
-Arrêter le traitement lors de l'apparition d'une diarrhée persistante sous clindamycine, et instaurer un traitement adapté. Mises à part les évolutions très bénignes, dans tous les cas associés à l'utilisation d'antibiotiques, un traitement par antibiotiques (métronidazole ou vancomycine) est recommandé. Dans les cas de gravité légère à modérée, un traitement initial par métronidazole per os est recommandé. Chez les patients présentant une infection grave à C. difficile, le traitement approprié est la vancomycine (125 mg, 4× par jour pendant 10 jours, avec possibilité d'augmenter jusqu'à 500 mg, 4× par jour) De plus, en cas de CDAD grave, une substitution adéquate des liquides, des électrolytes et des protéines est nécessaire. Le traitement par vancomycine permet généralement d'observer la disparition rapide de la toxine dans les prélèvements de selles et la guérison clinique de la diarrhée. Dans de rares cas, la colite peut récidiver après l'arrêt de la vancomycine.
- +De graves réactions d'hypersensibilité, y compris des réactions cutanées sévères telles que le syndrome DRESS (syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques), le syndrome de Stevens-Johnson, la nécrolyse épidermique toxique (syndrome de Lyell) et la pustulose exanthémateuse aiguë généralisée (PEAG) ont été signalées chez des patients traités par la clindamycine. Si des réactions d'hypersensibilité ou des réactions cutanées sévères surviennent, il faut cesser l'administration de clindamycine et instaurer un traitement approprié.
- +Étant donné que la clindamycine ne diffuse pas en quantité suffisante dans le liquide cérébro-rachidien, Clindamycin Zentiva ne doit pas être utilisé dans le traitement de la méningite.
- +Comme pour presque tous les agents antibactériens, le traitement par clindamycine a été mis en rapport avec l'apparition d'une colite pseudomembraneuse attribuée aux toxines du Clostridium difficile. Le traitement par des agents antibactériens modifie la flore colique normale, ce qui entraîne une colonisation par C. difficile.
- +Le tableau clinique de la diarrhée associée à Clostridium difficile (CDAD) peut aller d'une légère diarrhée liquide jusqu'à des cas sévères potentiellement mortels présentant une diarrhée persistante (occasionnellement accompagnée de sang et de mucus dans les selles), des crampes abdominales sévères, de la fièvre et une leucocytose. Des complications, comme une péritonite, un mégacôlon toxique ou un état de choc, peuvent survenir. Chez les patients âgés ou présentant un état général affaibli, une évolution plus grave de la maladie est à attendre.
- +Le diagnostic d'une CDAD est généralement établi grâce aux symptômes cliniques. Il peut être confirmé lors d'un examen endoscopique par la présence d'une colite pseudomembraneuse et/ou par la mise en évidence du C. difficile dans les cultures de selles sur des milieux nutritifs sélectifs et par la détection d'une ou de plusieurs toxines de C. difficile.
- +Lors de l'apparition d'une diarrhée persistante sous clindamycine, le traitement doit être arrêté et un traitement adapté doit être instauré. À l'exception des évolutions très bénignes, un traitement par antibiotiques (métronidazole ou vancomycine) est recommandé dans tous les cas associés à l'utilisation d'antibiotiques. Dans les cas de gravité légère à modérée, un traitement initial par métronidazole per os est recommandé. Chez les patients présentant une infection sévère à C. difficile, le traitement approprié est la vancomycine (125 mg, 4× par jour pendant 10 jours, avec possibilité d'augmenter la posologie jusqu'à 500 mg, 4× par jour) De plus, en cas de CDAD sévère, une substitution adéquate des liquides, des électrolytes et des protéines est nécessaire. Le traitement par vancomycine permet généralement d'observer la disparition rapide de la toxine dans les prélèvements de selles et la guérison clinique de la diarrhée. Dans de rares cas, la colite peut récidiver après l'arrêt de la vancomycine.
-Une CDAD doit être envisagée chez tous les patients présentant une diarrhée post-antibiotique; des cas de CDAD ont été décrits plus de deux mois après un traitement antibiotique.
-En cas de suspicion de CDAD (c.-à-d. en cas de toute diarrhée grave sous/après antibiothérapie), les inhibiteurs du péristaltisme (par ex. le lopéramide) sont contre-indiqués.
-Si l'une des affections ou situations à risque suivantes est présente, l'administration de Clindamycin Zentiva nécessite une prudence particulière: maladies du tractus gastro-intestinal (surtout s'il s'agit d'une colite), également en tant qu'antécédents; maladies rénales ou hépatiques sévères préexistantes; troubles de la transmission neuromusculaire (par ex. myasthénie grave, syndrome de Parkinson); diathèse atopique; asthme bronchique.
-Si le traitement dure plus de 10 jours, il faudra surveiller la formule sanguine ainsi que la fonction hépatique et rénale.
- +Une CDAD doit être envisagée chez tous les patients lors de l'apparition d'une diarrhée post-antibiotique; des cas de CDAD ont été décrits plus de deux mois après un traitement antibiotique.
- +En cas de suspicion de CDAD (c.-à-d. pour toute diarrhée sévère sous/après antibiothérapie), les inhibiteurs du péristaltisme (par ex. le lopéramide) sont contre-indiqués.
- +Clindamycin Zentiva doit être utilisé avec prudence en présence de l'une des affections ou situations à risque suivantes: maladies du tractus gastro-intestinal (surtout s'il s'agit d'une colite), également en tant qu'antécédents; affections rénales ou hépatiques sévères préexistantes; troubles de la transmission neuromusculaire (par ex. myasthénie grave, syndrome de Parkinson); diathèse atopique; asthme bronchique.
- +Si le traitement dure plus de 10 jours, l'hémogramme ainsi que la fonction hépatique et rénale doivent être surveillés.
-Ce médicament contient du lactose. Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne devraient pas prendre ce médicament.
- +Clindamycin Zentiva gélules contient du lactose. Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne devraient pas prendre ce médicament.
-La clindamycine est principalement métabolisée par le CYP3A4 et, dans une moindre mesure, par le CYP3A5. Son métabolite principal est le sulfoxyde de clindamycine et son métabolite mineur est la N-deméthyl-clindamycine. La clairance de la clindamycine peut donc être ralentie par des inhibiteurs du CYP3A4 et du CYP3A5 et accélérée par des inducteurs de ces isoenzymes.
- +La clindamycine est principalement métabolisée par le CYP3A4 et, dans une moindre mesure, par le CYP3A5. Son métabolite principal est le sulfoxyde de clindamycine et son métabolite mineur est la N-déméthyl-clindamycine. La clairance de la clindamycine peut donc être ralentie par des inhibiteurs du CYP3A4 et du CYP3A5, et accélérée par des inducteurs de ces isoenzymes.
- +Études in vitro
- +
-Chez les patients ayant reçu de la clindamycine en même temps que des antagonistes de la vitamine K (par ex. warfarine, acénocoumarol ou fluindione), des valeurs de coagulation élevées (TP/INR) et/ou des hémorragies ont été constatées. La coagulation doit donc, chez ces patients ayant reçu des antagonistes de la vitamine K, être contrôlée fréquemment.
- +Chez les patients ayant reçu de la clindamycine en même temps que des antagonistes de la vitamine K (par ex. warfarine, acénocoumarol ou fluindione), des valeurs de coagulation accrues (TP/INR) et/ou des hémorragies ont été rapportées. Par conséquent, la coagulation doit être contrôlée fréquemment chez les patients ayant reçu des antagonistes de la vitamine K.
-Il n'existe pas d'études contrôlées adéquates pour le premier trimestre de la grossesse. Les résultats des études cliniques portant sur l'administration de clindamycine lors du deuxième et/ou du troisième trimestre(s) de la grossesse n'ont fourni aucune preuve de lésions fœtales.
- +Il n'existe pas d'études contrôlées adéquates chez les femmes enceintes pendant le premier trimestre de la grossesse. Les résultats des études cliniques portant sur l'administration de clindamycine lors du deuxième et/ou du troisième trimestre(s) de la grossesse n'ont fourni aucun indice de lésions fœtales.
-La clindamycine est excrétée dans le lait maternel à une concentration pouvant atteindre 3.8 µg/ml. Pour une quantité bue de 500 ml, cela correspondrait à la prise de 1,9 mg de clindamycine par jour.
-La clindamycine peut avoir un effet sur la flore intestinale de l'enfant allaité, ce qui peut entraîner des symptômes tels que diarrhée, hématochézie et/ou rash cutanés. Les enfants nés avant terme immatures pourraient particulièrement présenter un risque accru de tels effets indésirables.
- +La clindamycine est excrétée dans le lait maternel et à été retrouvée à une concentration pouvant atteindre 3.8 µg/ml. Une quantité de lait de 500 ml par jour correspondrait à l'absorption de 1.9 mg de clindamycine par jour.
- +La clindamycine peut exercer une influence sur la flore intestinale de l'enfant allaité, ce qui peut entraîner des symptômes tels que diarrhée, hématochézie et/ou rash cutané. Les enfants nés avant terme immatures pourraient présenter un risque particulièrement accru de développer de tels effets indésirables.
-Aucune étude correspondante n'a été effectuée. L'utilisation de clindamycine a cependant été associée à des étourdissements et une somnolence influençant la capacité de concentration et le temps de réaction et pouvant, par conséquent, nuire à l'aptitude à la conduite et à l'utilisation de machines.
- +Aucune étude correspondante n'a été effectuée. L'utilisation de clindamycine a cependant été associée à des effets indésirables tels que des vertiges et une envie de dormir influençant la capacité de concentration et le temps de réaction et pouvant, par conséquent, nuire à l'aptitude à la conduite et à l'utilisation de machines.
-Ci-dessous figurent, par système d'organe et fréquence, les effets indésirables qui ont été observés lors d'études cliniques et/ou pendant la surveillance de l'utilisation de Clindamycin Zentiva après sa commercialisation.
-Définition des catégories de fréquence: fréquents (≥1/100 à <1/10); occasionnels (≥1/1'000 à <1/100); rares (≥1/10'000 à <1/1'000); très rares (<1/10'000); fréquence indéterminée: la fréquence ne peut être donnée de façon précise car elle provient des déclarations spontanées issues de la surveillance post-marketing.
- +Ci-dessous figurent, par système d'organe et fréquence, les effets indésirables qui ont été observés lors d'études cliniques et/ou de la surveillance de l'utilisation de Clindamycin Zentiva après sa commercialisation.
- +Définition des catégories de fréquence: «fréquents» (≥1/100 à <1/10); «occasionnels» (≥1/1'000 à <1/100); «rares» (≥1/10'000 à <1/1'000); «très rares» (<1/10'000); «fréquence inconnue»: la fréquence ne peut être donnée de façon précise car elle provient des déclarations spontanées issues de la surveillance post-marketing.
-Fréquence indéterminée: colite à Clostridium difficile.
- +Fréquence inconnue: colite à Clostridium difficile.
-Fréquent: éosinophilie.
-Rare: agranulocytose (uniquement signalée lors de la surveillance post-marketing), leucopénie, thrombopénie, neutropénie.
- +Fréquents: éosinophilie.
- +Rares: agranulocytose (uniquement signalée lors de la surveillance du marché), leucopénie, thrombopénie, neutropénie.
-Rare: angioœdème.
-Fréquence indéterminée: choc anaphylactique réactions anaphylactoïdes, réactions anaphylactiques, hypersensibilité.
- +Rares: angio-œdème.
- +Fréquence inconnue: choc anaphylactique réactions anaphylactoïdes, réactions anaphylactiques, hypersensibilité.
-Occasionnel: dysgueusie.
-Fréquence indéterminée: céphalées, vertige, somnolence.
- +Occasionnels: dysgueusie.
- +Fréquence inconnue déterminée: céphalées, vertiges, envie de dormir.
-Occasionnel: hypotension (surtout en cas d'administration parentérale), arrêt cardiaque/respiratoire (après une administration intraveineuse [trop] rapide).
- +Occasionnels: hypotension (surtout en cas d'administration parentérale), arrêt cardiaque/respiratoire (après une administration intraveineuse [trop] rapide).
-Fréquent: diarrhée, colite pseudomembraneuse.
-Occasionnel: douleurs abdominales, nausées, vomissements (surtout en cas d'administration orale).
-Fréquence indéterminée: œsophagite et ulcères œsophagiens (surtout observés en cas d'administration orale).
- +Fréquents: diarrhée, colite pseudomembraneuse.
- +Occasionnels: douleurs abdominales, nausées, vomissements (surtout en cas d'administration orale).
- +Fréquence inconnue: œsophagite et ulcères œsophagiens (surtout observés en cas d'administration orale).
-Fréquent: anomalies des tests de la fonction hépatique (bilirubine, ASAT, phosphatase alcaline).
-Très rare: hépatite.
-Fréquence indéterminée: ictère (dont ictère cholestatique).
- +Fréquents: anomalies des tests de la fonction hépatique (bilirubine, ASAT, phosphatase alcaline).
- +Très rares: hépatite.
- +Fréquence inconnue: ictère (y compris ictère cholestatique).
-Fréquent: exanthème maculopapuleux, exanthème morbilliforme (uniquement signalés lors de la surveillance post-marketing).
-Occasionnel: urticaire (plus fréquente pour l'administration parentérale que pour l'administration orale).
-Rare: prurit, érythème polymorphe, dermite exfoliative, dermatite vésiculobulleuse, syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique (syndrome de Lyell) (uniquement signalés lors de la surveillance post-marketing).
-Fréquence indéterminée: pustulose exanthémateuse aiguë généralisée (PEAG), syndrome DRESS (drug rash with eosinophilia and systemic symptoms).
-Affections musculo-squelettiques et systémiques
-Très rare: polyarthrite.
- +Fréquents: exanthème maculopapuleux, exanthème morbilliforme (uniquement signalés lors de la surveillance du marché).
- +Occasionnels: urticaire (plus fréquente en cas d'administration parentérale que d'administration orale).
- +Rares: prurit, érythème polymorphe, dermatite exfoliatrice, dermatite vésiculobulleuse, syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique (syndrome de Lyell) (uniquement signalés lors de la surveillance du marché).
- +Fréquence inconnue: pustulose exanthémateuse aiguë généralisée (PEAG), syndrome DRESS (syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques).
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
- +Très rares: polyarthrite.
-Rare: vaginite.
- +Rares: vaginite.
-Le principe actif de Clindamycin Zentiva est la clindamycine (Chloro-7-désoxy-7-lincomycine), un dérivé de la lincomycine, obtenue à partir du Streptomyces lincolnensis.
- +Le principe actif de Clindamycin Zentiva est la clindamycine (chloro-7-désoxy-7-lincomycine), un dérivé de la lincomycine, obtenue à partir du Streptomyces lincolnensis.
-Dans la plupart des cas, la résistance à la clindamycine repose sur des mutations au niveau du site de liaison des antibiotiques sur le rRNA ou sur la méthylation de certains nucléotides dans le RNA 23S de la sous-unité 50S du ribosome. De telles modifications peuvent déterminer la résistance croisée aux antibiotiques de type macrolide et streptogramine B (phénotype MLSB) in vitro. La majorité des S. aureus résistants à la méthicilline (MRSA) présentent le phénotype MLSB constitutif et sont donc résistants à la clindamycine. Les infections dues à des staphylocoques résistants aux macrolides ne devraient pas être traitées par la clindamycine en 'absence d'un test adéquat de la sensibilité, y compris un test de la résistance inductible à la clindamycine. Des modifications au niveau des protéines ribosomiques induisent également occasionnellement une résistance.
- +Dans la plupart des cas, la résistance à la clindamycine repose sur des mutations au niveau du site de liaison des antibiotiques sur l'ARNr ou sur la méthylation de certains nucléotides dans l'ARN 23S de la sous-unité 50S du ribosome. De telles modifications peuvent déterminer la résistance croisée aux antibiotiques de type macrolide et streptogramine B (phénotype MLSB) in vitro. La majorité des S. aureus résistants à la méthicilline (SARM) présentent le phénotype MLSB constitutif et sont donc résistants à la clindamycine. Les infections dues à des staphylocoques résistants aux macrolides ne doivent pas être traitées par la clindamycine en l'absence d'un test adéquat de la sensibilité, y compris un test de la résistance inductible à la clindamycine. Des modifications au niveau des protéines ribosomiques induisent également occasionnellement une résistance.
-Une activité in vitro dirigée contre la plupart des souches des agents pathogènes suivants a pu être démontrée pour la clindamycine: microorganismes aérobies Gram positifs, des microorganismes anaérobies Gram positifs et Gram négatifs, ainsi que certaines souches de Chlamydia trachomatis. Les germes aérobies Gram négatifs ne sont généralement pas sensibles à la clindamycine.
- +Une activité in vitro dirigée contre la plupart des souches des agents pathogènes suivants a pu être démontrée pour la clindamycine: microorganismes aérobies Gram positif, des microorganismes anaérobies Gram positif et Gram négatif, ainsi que certaines souches de Chlamydia trachomatis. Les germes aérobies Gram négatif ne sont généralement pas sensibles à la clindamycine.
-Selon des rapports publiés, la clindamycine en association possède également un effet thérapeutique lors d'infections dues à certains germes non bactériens. Des études, pour la plupart très petites et menées à l'encontre des standards actuels, ont montré un certain effet de la clindamycine contre Toxoplasma gondii (agent pathogène de l'encéphalite toxoplasmique, uniquement en association à la pyriméthamine) et contre Pneumocystis jirovecii (agent pathogène de la pneumonie, uniquement en association à la primaquine)
-Germes habituellement sensibles
-Bactéries aérobies
-Bactéries Gram positif
-·Staphylococcus aureus (souches sensibles à la méthicilline)
-·Staphylococci à coagulase négative (souches sensibles à la méthicilline)
-·Streptococcus pneumoniae (souches sensibles à la pénicilline)
-·Streptococci bêta-hémolytiques des groupes A, B, C et G
-·Streptococci du groupe Viridans
-·Corynebacterium diphtheriae
-Bactéries Gram négatif
-·Chlamydia trachomatis
-Bactéries anaérobies
-Bactéries Gram positif
-·Actinomyces israelii
-·Clostridium perfringens
-·Eggerthella (Eubacterium) spp.
-·Peptococcus spp.
-·Peptostreptococcus spp. (Finegoldia magna, Micromonas micros)
-·Propionibacterium acnes
-Bactéries Gram négatif
-·Bacteroides spp.
-·Fusobacterium spp.
-·Gardnerella vaginalis
-·Prevotella spp.
-·Veillonella spp.
-Champignons
-·Pneumocystis jirovecii
-Protozoaires
-·Toxoplasma gondii
-Espèces pour lesquelles les résistances acquises peuvent poser problème lors de l'utilisation
-Bactéries aérobies
-Bactéries Gram positif
-·Staphylococcus aureus (résistant à la méthicilline)
-·Staphylococci à coagulase négative (résistant à la méthicilline)
-Bactéries anaérobies
-Bactéries Gram négatif
-·Bacteroides fragilis
-Germes naturellement résistants
-Bactéries aérobies
-Bactéries Gram positif
-·Enterococcus spp.
-Bactéries Gram négatif
-·Enterobacteriaceae
-·Haemophilus influenzae
-·Moraxella catarrhalis
-Bactéries anaérobies
-Bactéries Gram positif
-·Clostridium difficile
-Bactéries Gram négatif
-·Eikenella corrodens
-·Fusobacterium varium
- +Selon des rapports publiés, la clindamycine en association possède également un effet thérapeutique lors d'infections dues à certains germes non bactériens. Des études, pour la plupart très petites et menées à l'encontre des standards actuels, ont montré une certaine efficacité de la clindamycine contre Toxoplasma gondii (agent pathogène de l'encéphalite toxoplasmique, uniquement en association avec la pyriméthamine) et contre Pneumocystis jirovecii (agent pathogène de la pneumonie, uniquement en association avec la primaquine)
- +Germes habituellement sensibles Bactéries aérobies Bactéries Gram positif ·Staphylococcus aureus (souches sensibles à la méthicilline) ·Staphylococci à coagulase négative (souches sensibles à la méthicilline) ·Streptococcus pneumoniae (souches sensibles à la pénicilline) ·Streptococci bêta-hémolytiques des groupes A, B, C et G ·Streptococci du groupe Viridans ·Corynebacterium diphtheriae Bactéries Gram négatif ·Chlamydia trachomatis
- +Bactéries anaérobies Bactéries Gram positif ·Actinomyces israelii ·Clostridium perfringens ·Eggerthella (Eubacterium) spp. ·Peptococcus spp. ·Peptostreptococcus spp. (Finegoldia magna, Micromonas micros) ·Propionibacterium acnes Bactéries Gram négatif ·Bacteroides spp. ·Fusobacterium spp. ·Gardnerella vaginalis ·Prevotella spp. ·Veillonella spp.
- +Autres Champignons ·Pneumocystis jirovecii Protozoaires ·Toxoplasma gondii
- +Espèces pour lesquelles les résistances acquises peuvent poser problème lors de l'utilisation Bactéries aérobies Bactéries Gram positif ·Staphylococcus aureus (résistant à la méthicilline) ·Staphylococci à coagulase négative (résistant à la méthicilline)
- +Bactéries anaérobies Bactéries Gram négatif ·Bacteroides fragilis
- +Germes naturellement résistants Bactéries aérobies Bactéries Gram positif ·Enterococcus spp. Bactéries Gram négatif ·Enterobacteriaceae ·Haemophilus influenzae ·Moraxella catarrhalis
- +Bactéries anaérobies Bactéries Gram positif ·Clostridium difficile Bactéries Gram négatif ·Eikenella corrodens ·Fusobacterium varium
- +
- +
-Anaérobies Gram positifs 4 4
-Anaérobies Gram négatifs 4 4
- +Anaérobies Gram positif 4 4
- +Anaérobies Gram négatif 4 4
-La prévalence des résistances acquises peut varier sur le plan géographique et temporel pour certaines espèces; les données locales sur la résistance apportent donc un avantage, en particulier pour le traitement d'infections sévères. Lorsque la pertinence du traitement antibiotique est à mettre en question en raison de la prévalence locale des résistances pour au moins certains types d'infection, il convient éventuellement de demander conseil à un expert. En particulier en cas d'infections sévères ou d'échec thérapeutique, un diagnostic différentiel microbien avec identification de l'agent pathogène et vérification de la réponse à la clindamycine est recommandé.
-Un antagonisme entre la clindamycine et l'érythromycine a été mis en évidence in vitro. Cette observation ayant vraisemblablement une importance clinique, les deux substances ne seront pas administrées simultanément.
- +La prévalence des résistances acquises peut varier sur le plan géographique et temporel pour certaines espèces; les données locales sur la résistance représentent donc un avantage, en particulier pour le traitement d'infections sévères. Lorsque la pertinence du traitement antibiotique est à remettre en question en raison de la prévalence locale des résistances pour au moins certains types d'infection, il convient éventuellement de demander conseil à un expert. En particulier en cas d'infections sévères ou d'échec thérapeutique, un diagnostic différentiel microbien avec identification de l'agent pathogène et vérification de la réponse à la clindamycine est recommandé.
- +Un antagonisme entre la clindamycine et l'érythromycine a été mis en évidence in vitro. Cette observation ayant vraisemblablement une importance clinique, les deux substances ne doivent pas être administrées simultanément.
-La clindamycine administrée oralement est rapidement et presque totalement (90%) résorbée. L'administration orale de 150 mg produit chez l'adulte une concentration sérique de 2,5 µg/ml en moyenne après 45 à 60 minutes. Après 3 heures, la concentration sérique s'élève à 1,5 µg/ml et atteint 0,7 µg/ml après 6 heures.
-La prise simultanée de nourriture n'influence pas de manière quantitativement importante la résorption de la clindamycine administrée oralement. Toutefois, la résorption peut être un peu ralentie.
-Aucune accumulation de la substance n'a été observée après application orale pendant 14 jours.
- +La clindamycine administrée par voie orale est rapidement et presque totalement (90%) résorbée. L'administration orale de 150 mg produit chez les adultes une concentration sérique de 2,5 µg/ml en moyenne après 45 à 60 min. Après 3 h, la concentration sérique s'élève à 1,5 µg/ml et atteint 0.7 µg/ml après 6 h.
- +La prise simultanée de nourriture n'influence pas de manière quantitativement importante la résorption de la clindamycine administrée par voie orale. Toutefois, la résorption peut être un peu ralentie.
- +Aucune accumulation de la substance n'a été observée après administration orale pendant 14 jours.
-La clindamycine se lie principalement à l'alpha-1-glycoprotéine acide; la liaison aux protéines dépend de la concentration et va de 60 à 94% dans la fourchette thérapeutique. La clindamycine pénètre facilement dans la plupart des liquides et tissus corporels. Le volume de distribution VdSS s'élève à 43–74 l. La concentration atteinte dans le tissu osseux représente environ 40% (20–75%) de celle obtenue dans le sérum, elle atteint dans le lait maternel 50–100%, dans la synovie 50%, dans l'expectoration 30–75% et dans le liquide péritonéal 50–90% de la concentration sérique. Toutefois, la clindamycine ne traverse pas le barrière hémato-encéphalique, même lors de méningite.
- +La clindamycine se lie principalement à l'alpha-1-glycoprotéine acide; la liaison aux protéines dépend de la concentration et s'étend de 60 à 94% dans la fourchette thérapeutique. La clindamycine pénètre facilement dans la plupart des liquides et tissus corporels. Le volume de distribution VdSS s'élève à 43–74 l. La concentration atteinte dans le tissu osseux représente environ 40% (20–75%) de celle obtenue dans le sérum, elle atteint dans le lait maternel 50–100%, dans la synovie 50%, dans l'expectoration 30–75% et dans le liquide péritonéal 50–90% de la concentration sérique. Toutefois, la clindamycine ne traverse pas la barrière hémato-encéphalique, même lors d'une méningite.
-La clindamycine est métabolisée dans le foie par le CYP3A4 dans une proportion relativement large, et dans une moindre mesure, par le CYP3A5. Ses produits de dégradation possèdent des effets antibactériens variables comme la N-deméthyl-clindamycine (pharmacologiquement plus active que la clindamycine) et le sulfoxyde de clindamycine (moins actif que la clindamycine).
-Elimination
-L'excrétion s'effectue principalement sous la forme de métabolites inactifs par voie biliaire dans les fèces (Q0 = 0.9). Seul un quart de la dose administrée est excrété sous forme de molécule mère ou de métabolites pharmacologiquement actifs (10 à 20% dans l'urine et 4% dans les fèces). La demi-vie d'élimination est de 1.5 à 3.5 h.
- +La clindamycine est métabolisée dans le foie par le CYP3A4 dans une proportion relativement large, et dans une moindre mesure, par le CYP3A5. Ses produits de dégradation possèdent des effets antibactériens variables comme la N-déméthyl-clindamycine (pharmacologiquement plus active que la clindamycine) et le sulfoxyde de clindamycine (moins actif que la clindamycine).
- +Élimination
- +L'excrétion s'effectue principalement sous la forme de métabolites inactifs par voie biliaire dans les fèces (Q0 = 0.9). Seul env. un quart de la dose administrée est excrété sous forme de molécule mère ou de métabolites pharmacologiquement actifs (10 à 20% dans l'urine et 4% dans les fèces). La demi-vie d'élimination est de 1.5 à 3.5 h.
-Troubles de la fonction rénale
-La demi-vie de la clindamycine est prolongée chez les patients présentant une forte limitation de la fonction rénale. La pharmacocinétique de la clindamycine n'a pas été spécifiquement étudiée chez les patients présentant une insuffisance rénale légère à modérée.
-La clindamycine n'est pas dialysable.
-Patients âgés:
- +Troubles de la fonction rénale
- +La demi-vie de la clindamycine est prolongée chez les patients présentant une forte limitation de la fonction rénale. La pharmacocinétique de la clindamycine n'a pas été étudiée chez les patients présentant une insuffisance rénale légère à modérée.
- +La clindamycine n'est pas dialysable.
- +Patients âgés
-Cancérogénicité, mutagénicité
- +Carcinogénicité, mutagénicité
-Les essais sur la fertilité menés chez le rat après traitement par voie orale de doses allant jusqu'à 300 mg/kg/jour (correspondant à environ 1,1 fois la dose maximale recommandée chez le patient adulte, en se basant sur les mg/m²) n'ont montré aucun effet sur la fertilité ou la disposition à l'accouplement.
- +Les essais sur la fertilité menés chez le rat après traitement par voie orale avec des doses allant jusqu'à 300 mg/kg/jour (correspondant à environ 1,1 fois la dose maximale recommandée chez les patients adultes, en se basant sur les mg/m²) n'ont montré aucun effet sur la fertilité ou la disposition à l'accouplement.
-Les études de développement embryo-fœtal avec administration orale de clindamycine chez le rat ou administration sous-cutanée de clindamycine chez le rat et le lapin n'ont pas révélé de toxicité sur le développement, sauf à des doses entraînant une toxicité chez la mère. Pourtant, les écarts de sécurité par rapport aux expositions cliniques étaient très minces.
- +Les études de développement embryo-fœtal avec administration orale de clindamycine chez le rat ou administration sous-cutanée de clindamycine chez le rat et le lapin n'ont pas révélé de toxicité sur le développement, sauf à des doses entraînant une toxicité chez la mère. Les écarts de sécurité par rapport aux expositions cliniques étaient cependant très minces.
-Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'amballage.
-Remarques concernant le stockage
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
- +Remarques particulières concernant le stockage
-Avril 2019.
- +Janvier 2021.
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