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Accueil - Information professionnelle sur Co-Valsartan Sandoz 80/12.5 - Changements - 04.05.2016
64 Changements de l'information professionelle Co-Valsartan Sandoz 80/12.5
  • -Excipients: Excip. pro compr. obducto.
  • +Excipients: Excipiens pro compresso obducto.
  • -Comprimés pelliculés à 80 mg de Valsartanum et 12.5 mg de Hydrochlorothiazidum.
  • -Comprimés pelliculés ovales, non sécables, orange pâle. D'un côté est gravé HGH et de l'autre CG.
  • +Comprimés pelliculés à 80 mg de Valsartanum et 12,5 mg de Hydrochlorothiazidum.
  • +Comprimés pelliculés ovales, légèrement convexe, non sécables, orange pâle. D'un côté est gravé HGH et de l'autre CG.
  • -Comprimés pelliculés à 160 mg de Valsartanum et 12.5 mg de Hydrochlorothiazidum.
  • -Comprimés pelliculés ovales, non sécables, rouge foncé. D'un côté est gravé HHH et de l'autre CG.
  • +Comprimés pelliculés à 160 mg de Valsartanum et 12,5 mg de Hydrochlorothiazidum.
  • +Comprimés pelliculés ovales, légèrement convexe, non sécables, rouge foncé. D'un côté est gravé HHH et de l'autre CG.
  • -Comprimés pelliculés ovales, non sécables, brun orange. D'un côté est gravé HXH et de l'autre NVR.
  • +Comprimés pelliculés ovales, légèrement convexe, non sécables, brun orange. D'un côté est gravé HXH et de l'autre NVR.
  • -·Co-Valsartan Sandoz est contre-indiqué chez les patients présentant un angioœdème héréditaire ou chez ceux ayant développé un œdème angioneurotique lors d'un traitement antérieur par un inhibiteur de l'ECA ou un antagoniste des récepteurs de l'angiotensine II.
  • +·Co-Valsartan Sandoz est contre-indiqué chez les patients présentant un angio-œdème héréditaire ou chez ceux ayant développé un œdème angioneurotique lors d'un traitement antérieur par un inhibiteur de l'ECA ou un antagoniste des récepteurs de l'angiotensine II.
  • -La prudence est recommandée lors du traitement de patients atteints d'insuffisance hépatique. Chez ces patients, les thiazides peuvent déclencher des déséquilibres électrolytiques, des encéphalopathies hépatiques ainsi qu'un syndrome hépatorénal. L'administration de Co-Valsartan Sandoz à ces patients nécessite une évaluation préalable précise du rapport bénéfice/risque, ainsi que le contrôle des paramètres cliniques et biochimiques. Co-Valsartan Sandoz est contre-indiqué chez les patients avec cirrhose biliaire et cholestase.
  • +La prudence est recommandée lors du traitement de patients atteints d'insuffisance hépatique. Chez ces patients, les thiazides peuvent déclencher des déséquilibres électrolytiques, des encéphalopathies hépatiques ainsi qu'un syndrome hépatorénal. L'administration de
  • +Co-Valsartan Sandoz à ces patients nécessite une évaluation préalable précise du rapport bénéfice/risque, ainsi que le contrôle des paramètres cliniques et biochimiques. Co-Valsartan Sandoz est contre-indiqué chez les patients avec cirrhose biliaire et cholestase.
  • -L'administration concomitante d'ARA, y compris de Co-Valsartan Sandoz, et d'autres principes actifs bloquant le SRAA, tels que les ICE ou l'aliskirène n'est pas recommandée. Cette association est contre-indiquée chez certains patients (cf. «Contre-indications» et «Interactions», sous-section «Double blocage du SRAA»).
  • +(cf. «Contre-indications» et «Interactions», sous-section «Double blocage du SRAA».)
  • -Les interactions susceptibles de survenir lors de l'utilisation des deux composants (valsartan et/ou hydrochlorothiazide) de Co-Valsartan Sandoz sont les suivantes: Une augmentation réversible de la concentration sérique de lithium et une toxicité du lithium ont été observées lors de l'administration concomitante de lithium et d'inhibiteurs de l'ECA, d'antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II ou de thiazidiques. Les thiazidiques réduisant la clairance rénale du lithium, la toxicité du lithium peut être plus élevée après l'utilisation de Co-Valsartan Sandoz. Une surveillance étroite de la concentration sérique de lithium est donc recommandée en cas d'administration concomitante.
  • -Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), y compris inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase 2 (inhibiteurs de la COX-2):
  • +Les interactions susceptibles de survenir lors de l'utilisation des deux composants (valsartan et/ou hydrochlorothiazide) de Co-Valsartan Sandoz sont les suivantes
  • +Une augmentation réversible de la concentration sérique de lithium et une toxicité du lithium ont été observées lors de l'administration concomitante de lithium et d'inhibiteurs de l'ECA, d'antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II ou de thiazidiques. Les thiazidiques réduisant la clairance rénale du lithium, la toxicité du lithium peut être plus élevée après l'utilisation de Co-Valsartan Sandoz. Une surveillance étroite de la concentration sérique de lithium est donc recommandée en cas d'administration concomitante.
  • +Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), y compris inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase 2 (inhibiteurs de la COX-2)
  • -Autres antihypertenseurs:
  • +Autres antihypertenseurs
  • -Double blocage du système rénine-angiotensine-aldostérone avec des ARA, des IEC ou l'aliskirène: L'administration concomitante d'ARA, y compris de Co-Valsartan Sandoz, avec d'autres médicaments agissant sur le SRAA est associée à une augmentation de l'incidence de l'hypotension, des syncopes, de l'hyperkaliémie et de l'insuffisance rénale (y compris d'une défaillance rénale aigüe) par rapport à une monothérapie. Chez les patients recevant Co-Valsartan Sandoz et d'autres médicaments agissant sur le SRAA, il est recommandé de surveiller régulièrement la tension artérielle, la fonction rénale et le statut électrolytique (cf. rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Double blocage du système rénine-angiotensine-aldostérone avec des ARA, des IEC ou l'aliskirène
  • +L'administration concomitante d'ARA, y compris de Co-Valsartan Sandoz, avec d'autres médicaments agissant sur le SRAA est associée à une augmentation de l'incidence de l'hypotension, des syncopes, de l'hyperkaliémie et de l'insuffisance rénale (y compris d'une défaillance rénale aigüe) par rapport à une monothérapie. Un double blocage du SRAA par l'utilisation concomittante d'un inhibiteur de l'ECA, d'un ARA ou de l'aliskirène n'est par conséquent pas recommandé. Lorsque le traitement avec un double blocage est considéré comme absolument nécessaire, celui-ci doit se faire sous la surveillance d'un spécialiste et en effectuant des contrôles étroits de la fonction rénale, des électrolytes et de la tension artérielle. (cf. rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -L'utilisation concomitante d'ARA, y compris de Co-Valsartan Sandoz, ou d'IEC avec l'aliskirène est contre-indiquée chez les patients atteints de diabète de type 1 ou de type 2 (cf. rubrique «Contre-indications»).
  • -Potassium: L'association thérapeutique d'antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II et d'autres médicaments susceptibles d'augmenter le potassium sérique (par ex. diurétiques d'épargne potassique, produits contenant du potassium, héparine) peut augmenter le risque d'une hyperkaliémie. L'administration de valsartan, un composant de Co-Valsartan Sandoz, doit être prudente dans de tels cas et impose le contrôle de la kaliémie.
  • -Transporteurs: Des études in vitro avec du tissu hépatique humain indiquent que le valsartan est un substrat du transporteur hépatique d'influx OATP1B1 et du transporteur hépatique d'efflux MRP2. C'est pourquoi l'exposition systémique au valsartan peut augmenter en cas d'administration concomitante d'inhibiteurs des transporteurs OATP1B1 (rifampicine, ciclosporine) ou MRP2 (ritonavir).
  • +L'utilisation concomitante d'ARA, y compris de Co-Valsartan Sandoz, ou d'IEC avec l'aliskirène est contre-indiquée chez les patients atteints de diabète de type 1 ou de type 2 (cf. rubrique «Contre-indications»). Les inhibiteurs d'ECA – y compris le Co-Valsartan Sandoz – et les antagonistes du récepteur de l'angiotensine (ARA) ne devraient pas être utilisés de manière concomitante chez les patients présentant une néphropathie diabétique.
  • +Potassium
  • +L'association thérapeutique d'antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II et d'autres médicaments susceptibles d'augmenter le potassium sérique (par ex. diurétiques d'épargne potassique, produits contenant du potassium, héparine) peut augmenter le risque d'une hyperkaliémie. L'administration de valsartan, un composant de Co-Valsartan Sandoz, doit être prudente dans de tels cas et impose le contrôle de la kaliémie.
  • +Transporteurs
  • +Des études in vitro avec du tissu hépatique humain indiquent que le valsartan est un substrat du transporteur hépatique d'influx OATP1B1 et du transporteur hépatique d'efflux MRP2. C'est pourquoi l'exposition systémique au valsartan peut augmenter en cas d'administration concomitante d'inhibiteurs des transporteurs OATP1B1 (rifampicine, ciclosporine) ou MRP2 (ritonavir).
  • -Médicaments ayant une influence sur le taux sérique de potassium ou de magnésium: Les pertes en potassium et/ou en magnésium peuvent être augmentées par l'administration simultanée d'hydrochlorothiazide et de diurétiques kaliurétiques (par ex. furosémide), de glucocorticoïdes, d'ACTH, d'amphotéricine B, de carbénoxolone, de pénicilline G, de salicylates ou d'antiarrythmiques.
  • -Glucosides cardiotoniques (digitaliques): Une hypokaliémie ou une hypomagnésiémie provoquée par des thiazides peut favoriser l'apparition d'arythmies induites par les digitaliques.
  • -Relaxants musculaires squelettiques: Les diurétiques thiazidiques, y compris l'hydrochlorothiazide, potentialisent l'effet des relaxants musculaires squelettiques de type curare.
  • -Antidiabétiques: Les thiazides peuvent modifier la tolérance au glucose. Un ajustement de la posologie de l'insuline et des antidiabétiques oraux peut s'avérer nécessaire.
  • -Allopurinol: L'administration simultanée de diurétiques thiazidiques, y compris l'hydrochlorothiazide, peut augmenter la probabilité de réactions d'hypersensibilité à l'allopurinol.
  • -Amantadine: L'administration simultanée de diurétiques thiazidiques, y compris de l'hydrochlorothiazide, peut augmenter le risque d'effets indésirables dus à l'amantadine.
  • -Diazoxide: Les diurétiques thiazidiques peuvent renforcer l'effet hyperglycémiant du diazoxide.
  • -Antinéoplasiques (par ex. cyclophosphamide, méthotrexate): Le traitement simultané par des diurétiques thiazidiques peut diminuer l'excrétion rénale des médicaments cytotoxiques et augmenter leurs effets myélosuppresseurs.
  • -Anticholinergiques: La biodisponibilité des diurétiques thiazidiques peut être augmentée par l'administration simultanée d'anticholinergiques (par ex. atropine, bipéridène), vraisemblablement suite à une diminution de la motilité gastro-intestinale et à un ralentissement de la vidange gastrique. Inversement, les médicaments prokinétiques tels que le cisapride peuvent diminuer la biodisponibilité des diurétiques thiazidiques.
  • -Méthyldopa: Des cas isolés d'anémie hémolytique ont été décrits suite à l'association de méthyldopa et d'hydrochlorothiazide.
  • -Résines échangeuses d'ions: La coléstyramine ou le colestipol diminuent la résorption des diurétiques thiazidiques, y compris de l'hydrochlorothiazide. C'est pourquoi il convient d'espacer la prise de l'hydrochlorothiazide de l'administration d'une résine échangeuse d'ions. L'intervalle de temps le plus long possible doit être choisi afin de minimiser les interactions.
  • -Vitamine D: L'utilisation simultanée de diurétiques thiazidiques, y compris l'hydrochlorothiazide, et de vitamine D ou de sels de calcium peut entraîner une forte élévation de la calcémie.
  • -Ciclosporine: Le risque d'une hyperuricémie est vraisemblablement accru par l'administration simultanée de ciclosporine et des symptômes de goutte peuvent se manifester.
  • -Sels de calcium: En raison de l'augmentation de la réabsorption tubulaire de calcium, l'administration simultanée de diurétiques de type thiazidique peut entraîner une hypercalcémie.
  • -Médicaments ayant une influence sur le taux sérique de sodium: L'administration simultanée de médicaments tels qu'antidépresseurs, antipsychotiques, antiépileptiques, etc. peut renforcer l'effet hyponatrémiant des diurétiques. La prudence est recommandée en cas d'utilisation à long terme de ces médicaments.
  • -Alcool, barbituriques ou narcotiques: L'administration simultanée de diurétiques thiazidiques et d'alcool, de barbituriques ou de narcotiques peut aggraver une hypotension orthostatique.
  • -Amines hypertensives: L'hydrochlorothiazide peut réduire la réponse aux amines hypertensives telles que la noradrénaline. La pertinence clinique de cette action ne suffit cependant pas à exclure leur utilisation.
  • +Médicaments ayant une influence sur le taux sérique de potassium ou de magnésium
  • +Les pertes en potassium et/ou en magnésium peuvent être augmentées par l'administration simultanée d'hydrochlorothiazide et de diurétiques kaliurétiques (par ex. furosémide), de glucocorticoïdes, d'ACTH, d'amphotéricine B, de carbénoxolone, de pénicilline G, de salicylates ou d'antiarrythmiques.
  • +Glucosides cardiotoniques (digitaliques)
  • +Une hypokaliémie ou une hypomagnésiémie provoquée par des thiazides peut favoriser l'apparition d'arythmies induites par les digitaliques.
  • +Relaxants musculaires squelettiques
  • +Les diurétiques thiazidiques, y compris l'hydrochlorothiazide, potentialisent l'effet des relaxants musculaires squelettiques de type curare.
  • +Antidiabétiques
  • +Les thiazides peuvent modifier la tolérance au glucose. Un ajustement de la posologie de l'insuline et des antidiabétiques oraux peut s'avérer nécessaire.
  • +Allopurinol
  • +L'administration simultanée de diurétiques thiazidiques, y compris l'hydrochlorothiazide, peut augmenter la probabilité de réactions d'hypersensibilité à l'allopurinol.
  • +Amantadine
  • +L'administration simultanée de diurétiques thiazidiques, y compris de l'hydrochlorothiazide, peut augmenter le risque d'effets indésirables dus à l'amantadine.
  • +Diazoxide
  • +Les diurétiques thiazidiques peuvent renforcer l'effet hyperglycémiant du diazoxide.
  • +Antinéoplasiques (par ex. cyclophosphamide, méthotrexate):
  • +Le traitement simultané par des diurétiques thiazidiques peut diminuer l'excrétion rénale des médicaments cytotoxiques et augmenter leurs effets myélosuppresseurs.
  • +Anticholinergiques
  • +La biodisponibilité des diurétiques thiazidiques peut être augmentée par l'administration simultanée d'anticholinergiques (par ex. atropine, bipéridène), vraisemblablement suite à une diminution de la motilité gastro-intestinale et à un ralentissement de la vidange gastrique. Inversement, les médicaments prokinétiques tels que le cisapride peuvent diminuer la biodisponibilité des diurétiques thiazidiques.
  • +Méthyldopa
  • +Des cas isolés d'anémie hémolytique ont été décrits suite à l'association de méthyldopa et d'hydrochlorothiazide.
  • +Résines échangeuses d'ions
  • +La coléstyramine ou le colestipol diminuent la résorption des diurétiques thiazidiques, y compris de l'hydrochlorothiazide. C'est pourquoi il convient d'espacer la prise de l'hydrochlorothiazide de l'administration d'une résine échangeuse d'ions. L'intervalle de temps le plus long possible doit être choisi afin de minimiser les interactions.
  • +Vitamine D
  • +L'utilisation simultanée de diurétiques thiazidiques, y compris l'hydrochlorothiazide, et de vitamine D ou de sels de calcium peut entraîner une forte élévation de la calcémie.
  • +Ciclosporine
  • +Le risque d'une hyperuricémie est vraisemblablement accru par l'administration simultanée de ciclosporine et des symptômes de goutte peuvent se manifester.
  • +Sels de calcium
  • +En raison de l'augmentation de la réabsorption tubulaire de calcium, l'administration simultanée de diurétiques de type thiazidique peut entraîner une hypercalcémie.
  • +Médicaments ayant une influence sur le taux sérique de sodium
  • +L'administration simultanée de médicaments tels qu'antidépresseurs, antipsychotiques, antiépileptiques, etc. peut renforcer l'effet hyponatrémiant des diurétiques. La prudence est recommandée en cas d'utilisation à long terme de ces médicaments.
  • +Alcool, barbituriques ou narcotiques
  • +L'administration simultanée de diurétiques thiazidiques et d'alcool, de barbituriques ou de narcotiques peut aggraver une hypotension orthostatique.
  • +Amines hypertensives
  • +L'hydrochlorothiazide peut réduire la réponse aux amines hypertensives telles que la noradrénaline. La pertinence clinique de cette action ne suffit cependant pas à exclure leur utilisation.
  • -«Très fréquent» (≥1/10), «fréquent» (<1/10, ≥1/100), «occasionnel» (<1/100, ≥1/1000), «rare» (<1/1000, >1/10'000,), «très rare» (<1/10'000), «fréquence inconnue» (ne peut pas être mesurée avec les dates disponibles).
  • +«Très fréquent» (≥1/10), «fréquent» (<1/10, ≥1/100), «occasionnel» (<1/100, ≥1/1'000), «rare» (<1/1'000, >1/10'000), «très rare» (<1/10'000), «fréquence inconnue» (ne peut pas être mesurée avec les dates disponibles).
  • -Occasionnel: hypokaliémie, déshydratation.
  • -Fréquence inconnue: hyponatrémie.
  • +Occasionnel: déshydratation.
  • +Fréquence inconnue: hypokaliémie, hyponatrémie.
  • -Occasionnel: oedèmes, hypotension, hyperhidrose.
  • +Occasionnel: œdèmes, hypotension, hyperhidrose.
  • -Occasionnel: bronchite, dyspnée, sinusite, douleurs pharyngolaryngées, sécheresse buccale.
  • +Occasionnel: bronchite, dyspnée, sinusite, douleurs pharyngo-laryngées, sécheresse buccale.
  • -Troubles musculoquelettiques
  • +Troubles musculo-squelettiques
  • -Dans des études cliniques contrôlées, une hausse significative de la concentration sérique de la créatinine, du potassium et de la bilirubine totale a été observée chez respectivement 0,8%, 4,4% et 6% des patients sous valsartan contre 1,6%, 6,4% et 12,9% des patients sous inhibiteur de l'ECA.
  • +Dans des études cliniques contrôlées, une hausse significative de la concentration sanguine de la créatinine, du potassium et de la bilirubine totale a été observée chez respectivement 0,8%, 4,4% et 6% des patients sous valsartan contre 1,6%, 6,4% et 12,9% des patients sous inhibiteur de l'ECA.
  • -Depuis la mise sur le marché de la préparation, la survenue de syncopes, de très rares cas d'angiooedème, rash et prurit ainsi que d'autres réactions d'hypersensibilité comme la maladie sérique et vascularite ont été rapportés. De très rares cas de troubles de la fonction rénale ont aussi été observés.
  • +Depuis la mise sur le marché de la préparation, la survenue de syncopes, de très rares cas d'angiodème, rash et prurit ainsi que d'autres réactions d'hypersensibilité comme la maladie sérique et vascularite ont été rapportés. De très rares cas de troubles de la fonction rénale ont aussi été observés.
  • -Occasionnel: oedèmes, asthénie, insomnie, exanthème, diminution de la libido, vertiges.
  • +Occasionnel: œdèmes, asthénie, insomnie, exanthème, diminution de la libido, vertiges.
  • -Un seul cas d'angiooedème a été décrit.
  • +Un seul cas d'angiodème a été décrit.
  • -Très rare: réactions d'hypersensibilité.
  • +Très rare: vasculite nécrosante, réactions d'hypersensibilité.
  • -Fréquent: hyponatrémie, hypomagnésiémie et hyperuricémie.
  • +Fréquent: hyponatrémie, hypomagnésiémie, hyperuricémie et diminution de l'appétit.
  • +Troubles psychiatriques
  • +Rares: insomnie.
  • -Rare: céphalées, vertiges ou obnubilation, troubles du sommeil, dépression et paresthésies.
  • +Rare: céphalées, vertiges ou obnubilation, dépression et paresthésies.
  • -Fréquent: manque d'appétit, légère nausée et vomissements.
  • +Fréquent: légère nausée et vomissements.
  • -Très rare: vasculite nécrosante et nécrolyse épidermique toxique, réactions cutanées semblables au lupus érythémateux, réactivation d'un lupus érythémateux cutané.
  • +Très rare: nécrolyse épidermique toxique, réactions cutanées semblables au lupus érythémateux, réactivation d'un lupus érythémateux cutané.
  • -Les études cliniques comparant le valsartan et un inhibiteur de l'ECA ont montré que l'incidence d'une toux sèche était significativement plus faible (p <0,05) chez les patients traités par valsartan que ceux traités par un inhibiteur de l'ECA (2,6% contre 7,9%). Au cours d'une étude clinique incluant des patients avec des antécédents de toux sèche sous inhibiteur de l'ECA, cette toux est apparue chez 19,5% des sujets sous valsartan, chez 19,0% des sujets sous diurétique thiazidique et chez 68,5% des patients sous inhibiteurs de l'ECA (p <0,05). Dans des études cliniques contrôlées, la fréquence de toux chez les patients traités par le valsartan et l'hydrochlorothiazide en association a été de 2,9%.
  • +Les études cliniques comparant le valsartan et un inhibiteur de l'ECA ont montré que l'incidence d'une toux sèche était significativement plus faible (p <0,05) chez les patients traités par valsartan que ceux traités par un inhibiteur de l'ECA (2,6% contre 7,9%). Au cours d'une étude clinique incluant des patients avec des antécédents de toux sèche sous inhibiteur de l'ECA, cette toux est apparue chez 19,5% des sujets sous valsartan, chez 19% des sujets sous diurétique thiazidique et chez 68,5% des patients sous inhibiteurs de l'ECA (p <0,05). Dans des études cliniques contrôlées, la fréquence de toux chez les patients traités par le valsartan et l'hydrochlorothiazide en association a été de 2,9%.
  • -Élimination
  • +Elimination
  • -Dans les études de mutagénicité, de clastogénicité, de capacité de reproduction et de carcinogénicité, les résultats se sont avérés négatifs pour le valsartan.
  • -Il ne ressort des différentes études précliniques menées auprès de plusieurs espèces animales aucun résultat indiquant que les doses thérapeutiques de valsartan ne pouvaient pas être utilisées chez l'être humain. Lors des études précliniques de sécurité, l'administration de doses élevées de valsartan (200-600 mg/kg de poids corporel) chez le rat a entraîné une diminution des paramètres relatifs aux globules rouges (érythrocytes, hémoglobine, hématocrite) et des modifications de l'hémodynamique rénale (légère augmentation des taux plasmatiques d'urée ainsi qu'hyperplasie tubulaire rénale et basophilie chez des animaux mâles). Ces doses chez le rat (200 et 600 mg/kg/jour) représentent environ 6 à 18 fois la dose recommandée pour l'être humain sur la base de mg/m² (le calcul repose sur une dose orale de 320 mg/jour et un patient de 60 kg). Des doses similaires chez le ouistiti ont entraîné des modifications semblables, mais plus sévères, en particulier au niveau des reins où les modifications ont évolué vers une néphropathie avec augmentation des taux d'urée et de créatinine. En outre, une hypertrophie des cellules rénales juxtaglomérulaires a été observée dans les deux espèces. Toutes ces modifications résultent probablement de l'effet pharmacologique du valsartan, qui provoque une hypotension persistante, particulièrement chez le ouistiti. L'hypertrophie des cellules rénales juxtaglomérulaires ne semble pas être pertinente aux doses thérapeutiques chez l'être humain. Au cours des études sur le développement embryofœtal (segment II) menées chez la souris, le rat et le lapin, une fœtotoxicité a été observée parallèlement à une toxicité maternelle, à des doses de valsartan ≥200 mg/kg/jour chez le rat et 10 mg/kg/jour chez le lapin. Dans une étude de toxicité sur le développement périnatal et postnatal (segment III), les ratons dont les parents avaient reçu 600 mg/kg durant le dernier trimestre et pendant la lactation ont présenté une légère diminution du taux de survie et un léger retard de développement.
  • +Sur base des études classiques pour la pharmacologie de sécurité, la génotoxicité, la carcinogénicité et la fertilité, et mise à part une toxicité fœtale chez le lapin, les données précliniques ne laissent présager aucun danger particulier pour l'homme.
  • +Toxicité chronique
  • +Lors des études précliniques de sécurité, l'administration de doses élevées de valsartan (200-600 mg/kg de poids corporel/jour) chez le rat a entraîné une diminution des paramètres relatifs aux globules rouges (érythrocytes, hémoglobine, hématocrite) et des modifications de l'hémodynamique rénale (légère augmentation des taux sanguins d'urée ainsi qu'hyperplasie tubulaire rénale et basophilie chez des animaux mâles). Ces doses chez le rat (200 et 600 mg/kg/jour) représentent environ 6 à 18 fois la dose recommandée pour l'être humain sur la base de mg/m² (le calcul repose sur une dose orale de 320 mg/jour et un patient de 60 kg). Des doses similaires chez le ouistiti ont entraîné des modifications semblables, mais plus sévères, en particulier au niveau des reins où les modifications ont évolué vers une néphropathie avec augmentation des taux d'urée et de créatinine. En outre, une hypertrophie des cellules rénales juxtaglomérulaires a été observée dans les deux espèces. Toutes ces modifications résultent probablement de l'effet pharmacologique du valsartan, qui provoque une hypotension persistante, particulièrement chez le ouistiti. L'hypertrophie des cellules rénales juxtaglomérulaires ne semble pas être pertinente aux doses thérapeutiques chez l'être humain.
  • +Toxicité de reproduction
  • +Le valsartan n'a aucun effet indésirable sur la performance de reproduction de rats mâles et femelles à des doses orales de jusqu'à 200 mg/kg/jour. Au cours des études sur le développement embryofœtal (segment II) menées chez la souris, le rat et le lapin, une fœtotoxicité a été observée parallèlement à une toxicité maternelle, à des doses de valsartan ≥600 mg/kg/jour chez le rat et 10 mg/kg/jour chez le lapin. Dans une étude de toxicité sur le développement périnatal et postnatal (segment III), les ratons dont les parents avaient reçu 600 mg/kg/jour durant le dernier trimestre et pendant la lactation ont présenté une légère diminution du taux de survie et un léger retard de développement.
  • +Mutagénicité
  • +Aucun potentiel mutagène n'a pu être établi pour le valsartan, que ce soit au niveau génique ou au niveau chromosomique dans différentes études standards in vitro et in vivo de génotoxicité.
  • +Carcinogénicité
  • +Il ne ressort aucun indice de carcinogénicité lors de l'administration du valsartan avec la nourriture à des dosages de jusqu'à 160 et respectivement, 200 mg/kg/jour pendant 2 ans à des souris et des rats.
  • +L'hydrochlorothiazide ne s'est pas avéré tératogène et n'a pas eu d'effet sur la fertilité et la conception. Aucun potentiel tératogène n'a été mis en évidence chez trois espèces animales étudiées, qui avaient reçu au moins 10 fois la dose recommandée pour l'homme de 1 mg/kg environ. Une prise de poids réduite chez de jeunes rats allaités a été attribuée aux doses élevées (15 fois la dose clinique pour l'homme) et à l'effet diurétique de l'hydrochlorothiazide, avec les conséquences correspondantes sur la production de lait.
  • +
  • -Co-Valsartan Sandoz 80/12,5 cpr pell 28 (emballage calendrier) [B]
  • -Co-Valsartan Sandoz 80/12,5 cpr pell 98 (emballage calendrier) [B]
  • -Co-Valsartan Sandoz 160/12,5 cpr pell 28 (emballage calendrier) [B]
  • -Co-Valsartan Sandoz 160/12,5 cpr pell 98 (emballage calendrier) [B]
  • -Co-Valsartan Sandoz 160/25 cpr pell 28 (emballage calendrier) [B]
  • -Co-Valsartan Sandoz 160/25 cpr pell 98 (emballage calendrier) [B]
  • +Co-Valsartan Sandoz 80/12,5 comprimés pelliculés: 28 (emballage calendrier). [B]
  • +Co-Valsartan Sandoz 80/12,5 comprimés pelliculés: 98 (emballage calendrier). [B]
  • +Co-Valsartan Sandoz 160/12,5 comprimés pelliculés: 28 (emballage calendrier). [B]
  • +Co-Valsartan Sandoz 160/12,5 comprimés pelliculés: 98 (emballage calendrier). [B]
  • +Co-Valsartan Sandoz 160/25 comprimés pelliculés: 28 (emballage calendrier). [B]
  • +Co-Valsartan Sandoz 160/25 comprimés pelliculés: 98 (emballage calendrier). [B]
  • -Sandoz Pharmaceuticals AG, Risch; domicile: Rotkreuz.
  • +Sandoz Pharmaceuticals SA, Risch; domicile: Rotkreuz.
  • -Avril 2014.
  • +Septembre 2015.
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