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Accueil - Information professionnelle sur Co-Valsartan Sandoz 80/12.5 - Changements - 24.12.2020
70 Changements de l'information professionelle Co-Valsartan Sandoz 80/12.5
  • -Excipients: Excipiens pro compresso obducto.
  • +Excipients: Excip. pro compr. obduct.
  • -Co-Valsartan Sandoz 80/12,5: Comprimés pelliculés à 80 mg de Valsartanum et 12,5 mg de Hydrochlorothiazidum. Comprimés pelliculés ovales, légèrement convexe, non sécables, orange pâle. D'un côté est gravé HGH et de l'autre CG.
  • -Co-Valsartan Sandoz 160/12,5: Comprimés pelliculés à 160 mg de Valsartanum et 12,5 mg de Hydrochlorothiazidum. Comprimés pelliculés ovales, légèrement convexe, non sécables, rouge foncé. D'un côté est gravé HHH et de l'autre CG.
  • -Co-Valsartan Sandoz 160/25: Comprimés pelliculés à 160 mg de Valsartanum et 25 mg de Hydrochlorothiazidum. Comprimés pelliculés ovales, légèrement convexe, non sécables, brun orange. D'un côté est gravé HXH et de l'autre NVR.
  • +Co-Valsartan Sandoz 80/12.5
  • +Comprimés pelliculés à 80 mg de Valsartanum et 12.5 mg de Hydrochlorothiazidum.
  • +Comprimés pelliculés ovales, légèrement convexe, non sécables, orange pâle. D'un côté est gravé HGH et de l'autre CG.
  • +Co-Valsartan Sandoz 160/12.5
  • +Comprimés pelliculés à 160 mg de Valsartanum et 12.5 mg de Hydrochlorothiazidum.
  • +Comprimés pelliculés ovales, légèrement convexe, non sécables, rouge foncé. D'un côté est gravé HHH et de l'autre CG.
  • +Co-Valsartan Sandoz 160/25
  • +Comprimés pelliculés à 160 mg de Valsartanum et 25 mg de Hydrochlorothiazidum.
  • +Comprimés pelliculés ovales, légèrement convexe, non sécables, brun orange. D'un côté est gravé HXH et de l'autre NVR.
  • -La posologie recommandée est de 1 comprimé pelliculé de Co-Valsartan Sandoz 80/12,5 par jour. En cas de baisse insuffisante de la pression artérielle après 3 à 4 semaines de traitement, la poursuite du traitement par 1 comprimé pelliculé de Co-Valsartan Sandoz 160/12,5 par jour peut s'avérer nécessaire. Le traitement par 1 comprimé pelliculé de Co-Valsartan Sandoz 160/25 par jour est réservé aux patients qui ont présenté une baisse insuffisante de la pression artérielle sous Co-Valsartan Sandoz 160/12,5. L'effet antihypertenseur maximal est observé au bout de 2-4 semaines.
  • +La posologie recommandée est de 1 comprimé pelliculé de Co-Valsartan Sandoz 80/12.5 par jour. En cas de baisse insuffisante de la pression artérielle après 3 à 4 semaines de traitement, la poursuite du traitement par 1 comprimé pelliculé de Co-Valsartan Sandoz 160/12.5 par jour peut s'avérer nécessaire. Le traitement par 1 comprimé pelliculé de Co-Valsartan Sandoz 160/25 par jour est réservé aux patients qui ont présenté une baisse insuffisante de la pression artérielle sous Co-Valsartan Sandoz 160/12.5. L'effet antihypertenseur maximal est observé au bout de 2-4 semaines.
  • -·Co-Valsartan Sandoz est contre-indiqué chez les patients présentant un angiodème héréditaire ou chez ceux ayant développé un œdème angioneurotique lors d'un traitement antérieur par un inhibiteur de l'ECA ou un antagoniste des récepteurs de l'angiotensine II.
  • +·Co-Valsartan Sandoz est contre-indiqué chez les patients présentant un angiooedème héréditaire ou chez ceux ayant développé un oedème angioneurotique lors d'un traitement antérieur par un inhibiteur de l'ECA ou un antagoniste des récepteurs de l'angiotensine II.
  • -·Administration concomitante d'antagonistes des récepteurs de l'angiotensine (ARA), y compris Co-Valsartan Sandoz, ou d'inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (IEC) avec l'aliskirène chez les patients atteints de diabète sucré (de type 1 ou de type 2) ainsi que chez les patients atteints d'insuffisance rénale (TFG <60 ml/min) (cf. rubrique «Interactions», sous-section «Double blocage du SRAA»).
  • +·Administration concomitante d'antagonistes des récepteurs de l'angiotensine (ARA), y compris Co-Valsartan Sandoz, ou d'inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (IEC) avec l'aliskirène chez les patients atteints de diabète sucré (de type 1 ou de type 2) ainsi que chez les patients atteints d'insuffisance rénale (TFG < 60 ml/min) (cf. rubrique «Interactions», sous-section «Double blocage du SRAA»).
  • -Chez les patients insuffisants rénaux (TFG <60 ml/min), l'administration concomitante d'ARA, y compris de Co-Valsartan Sandoz, ou d'IEC avec l'aliskirène est contre-indiquée (cf. rubrique «Interactions», sous-section «Double blocage du SRAA»).
  • +Chez les patients insuffisants rénaux (TFG < 60 ml/min), l'administration concomitante d'ARA, y compris de Co-Valsartan Sandoz, ou d'IEC avec l'aliskirène est contre-indiquée (cf. rubrique «Interactions», sous-section «Double blocage du SRAA»).
  • -La prudence est recommandée lors du traitement de patients atteints d'insuffisance hépatique. Chez ces patients, les thiazides peuvent déclencher des déséquilibres électrolytiques, des encéphalopathies hépatiques ainsi qu'un syndrome hépatorénal. L'administration de
  • -Co-Valsartan Sandoz à ces patients nécessite une évaluation préalable précise du rapport bénéfice/risque, ainsi que le contrôle des paramètres cliniques et biochimiques. Co-Valsartan Sandoz est contre-indiqué chez les patients avec cirrhose biliaire et cholestase.
  • +La prudence est recommandée lors du traitement de patients atteints d'insuffisance hépatique. Chez ces patients, les thiazides peuvent déclencher des déséquilibres électrolytiques, des encéphalopathies hépatiques ainsi qu'un syndrome hépatorénal. L'administration de Co-Valsartan Sandoz à ces patients nécessite une évaluation préalable précise du rapport bénéfice/risque, ainsi que le contrôle des paramètres cliniques et biochimiques. Co-Valsartan Sandoz est contre-indiqué chez les patients avec cirrhose biliaire et cholestase.
  • -Myopie aiguë et glaucome secondaire aigu par fermeture de l'angle
  • -L'hydrochlorothiazide, le sulfonamide présent dans Co-Valsartan Sandoz, peut provoquer des réactions idiosyncrasiques susceptibles d'induire une myopie aiguë passagère ou un glaucome aigu par fermeture de l'angle. Ceci se manifeste par une diminution subite de l'acuité visuelle ou des douleurs oculaires aiguës survenant typiquement dans les heures ou semaines suivant le début de la prise du médicament. Non traité, un glaucome aigu par fermeture de l'angle peut entraîner une perte visuelle permanente. Le traitement initial consiste à arrêter le médicament le plus rapidement possible. Des mesures chirurgicales et médicales doivent être envisagées si la pression intraoculaire ne parvient pas à être contrôlée d'une autre manière. Une allergie préexistante aux sulfonamides ou aux pénicillines pourrait être un facteur de risque de survenue d'un glaucome par fermeture de l'angle au cours d'un traitement par l'hydrochlorothiazide.
  • +Effusion choroïdienne, myopie aiguë et glaucome secondaire aigu par fermeture de l'angle
  • +Les sulfonamides ainsi que les médicaments dérivés des sulfonamides peuvent provoquer une réaction idiosyncrasique susceptible d'entraîner une effusion choroïdienne accompagnée d'une dégradation du champ visuel, d'une myopie passagère et d'un glaucome aigu par fermeture de l'angle. Les symptômes comprennent une perte de l'acuité visuelle ou des douleurs oculaires aiguës et se manifestent généralement dans les heures à semaines qui suivent le début du traitement. Non traité, un glaucome aigu par fermeture de l'angle peut entraîner une perte d'acuité visuelle permanente.
  • +Le traitement primaire consiste à arrêter immédiatement le médicament. Si la pression intraoculaire reste élevée, un traitement médical immédiat ou une intervention chirurgicale doivent être envisagés. Les facteurs de risque de développement d'un glaucome aigu par fermeture de l'angle peuvent être des antécédents d'allergie aux sulfonamides ou à la pénicilline.
  • -(cf. «Contre-indications» et «Interactions», sous-section «Double blocage du SRAA».)
  • +(cf. «Contre-indications» et «Interactions», sous-section «Double blocage du SRAA»).
  • -Les interactions susceptibles de survenir lors de l'utilisation des deux composants (valsartan et/ou hydrochlorothiazide) de Co-Valsartan Sandoz sont les suivantes
  • +Les interactions susceptibles de survenir lors de l'utilisation des deux composants (valsartan et/ou hydrochlorothiazide) de Co-Valsartan Sandoz sont les suivantes:
  • -Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), y compris inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase 2 (inhibiteurs de la COX-2)
  • +Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), y compris inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase 2 (inhibiteurs de la COX-2):
  • -Autres antihypertenseurs
  • -L'utilisation de Co-Valsartan Sandoz renforce l'effet antihypertenseur d'autres médicaments hypotenseurs (p.ex. bêtabloquants, vasodilatateurs, inhibiteurs des canaux calciques, inhibiteurs de l'ECA, antagonistes des récepteurs de l'angiotensine (ARA) et inhibiteurs directs de la rénine (IDR)).
  • +Autres antihypertenseurs: L'utilisation de Co-Valsartan Sandoz renforce l'effet antihypertenseur d'autres médicaments hypotenseurs (p.ex. bêtabloquants, vasodilatateurs, inhibiteurs des canaux calciques, inhibiteurs de l'ECA, antagonistes des récepteurs de l'angiotensine (ARA) et inhibiteurs directs de la rénine (IDR)).
  • -Double blocage du système rénine-angiotensine-aldostérone avec des ARA, des IEC ou l'aliskirène
  • -L'administration concomitante d'ARA, y compris de Co-Valsartan Sandoz, avec d'autres médicaments agissant sur le SRAA est associée à une augmentation de l'incidence de l'hypotension, des syncopes, de l'hyperkaliémie et de l'insuffisance rénale (y compris d'une défaillance rénale aigüe) par rapport à une monothérapie. Un double blocage du SRAA par l'utilisation concomittante d'un inhibiteur de l'ECA, d'un ARA ou de l'aliskirène n'est par conséquent pas recommandé. Lorsque le traitement avec un double blocage est considéré comme absolument nécessaire, celui-ci doit se faire sous la surveillance d'un spécialiste et en effectuant des contrôles étroits de la fonction rénale, des électrolytes et de la tension artérielle. (cf. rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Chez les patients insuffisants rénaux (TFG <60 ml/min), l'utilisation concomitante d'ARA, y compris de Co-Valsartan Sandoz, ou d'IEC avec l'aliskirène est contreindiquée (cf. rubriques «Mises en garde et précautions» et «Contre-indications»).
  • +Double blocage du système rénine-angiotensine-aldostérone avec des ARA, des IEC ou l'aliskirène: L'administration concomitante d'ARA, y compris de Co-Valsartan Sandoz, avec d'autres médicaments agissant sur le SRAA est associée à une augmentation de l'incidence de l'hypotension, des syncopes, de l'hyperkaliémie et de l'insuffisance rénale (y compris d'une défaillance rénale aigüe) par rapport à une monothérapie. Un double blocage du SRAA par l'utilisation concomittante d'un inhibiteur de l'ECA, d'un ARA ou de l'aliskirène n'est par conséquent pas recommandé. Lorsque le traitement avec un double blocage est considéré comme absolument nécessaire, celui-ci doit se faire sous la surveillance d'un spécialiste et en effectuant des contrôles étroits de la fonction rénale, des électrolytes et de la tension artérielle. (cf. rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Chez les patients insuffisants rénaux (TFG < 60 ml/min), l'utilisation concomitante d'ARA, y compris de Co-Valsartan Sandoz, ou d'IEC avec l'aliskirène est contre-indiquée (cf. rubriques «Mises en garde et précautions» et «Contre-indications»).
  • -Potassium
  • -L'association thérapeutique d'antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II et d'autres médicaments susceptibles d'augmenter le potassium sérique (par ex. diurétiques d'épargne potassique, produits contenant du potassium, héparine) peut augmenter le risque d'une hyperkaliémie. L'administration de valsartan, un composant de Co-Valsartan Sandoz, doit être prudente dans de tels cas et impose le contrôle de la kaliémie.
  • -Transporteurs
  • -Des études in vitro avec du tissu hépatique humain indiquent que le valsartan est un substrat du transporteur hépatique d'influx OATP1B1 et du transporteur hépatique d'efflux MRP2. C'est pourquoi l'exposition systémique au valsartan peut augmenter en cas d'administration concomitante d'inhibiteurs des transporteurs OATP1B1 (rifampicine, ciclosporine) ou MRP2 (ritonavir).
  • +Potassium: L'association thérapeutique d'antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II et d'autres médicaments susceptibles d'augmenter le potassium sérique (par ex. diurétiques d'épargne potassique, produits contenant du potassium, héparine) peut augmenter le risque d'une hyperkaliémie. L'administration de valsartan, un composant de Co-Valsartan Sandoz, doit être prudente dans de tels cas et impose le contrôle de la kaliémie.
  • +Transporteurs: Des études in vitro avec du tissu hépatique humain indiquent que le valsartan est un substrat du transporteur hépatique d'influx OATP1B1 et du transporteur hépatique d'efflux MRP2. C'est pourquoi l'exposition systémique au valsartan peut augmenter en cas d'administration concomitante d'inhibiteurs des transporteurs OATP1B1 (rifampicine, ciclosporine) ou MRP2 (ritonavir).
  • -Médicaments ayant une influence sur le taux sérique de potassium ou de magnésium
  • -Les pertes en potassium et/ou en magnésium peuvent être augmentées par l'administration simultanée d'hydrochlorothiazide et de diurétiques kaliurétiques (par ex. furosémide), de glucocorticoïdes, d'ACTH, d'amphotéricine B, de carbénoxolone, de pénicilline G, de salicylates ou d'antiarrythmiques.
  • -Glucosides cardiotoniques (digitaliques)
  • -Une hypokaliémie ou une hypomagnésiémie provoquée par des thiazides peut favoriser l'apparition d'arythmies induites par les digitaliques.
  • -Relaxants musculaires squelettiques
  • -Les diurétiques thiazidiques, y compris l'hydrochlorothiazide, potentialisent l'effet des relaxants musculaires squelettiques de type curare.
  • -Antidiabétiques
  • -Les thiazides peuvent modifier la tolérance au glucose. Un ajustement de la posologie de l'insuline et des antidiabétiques oraux peut s'avérer nécessaire.
  • -Allopurinol
  • -L'administration simultanée de diurétiques thiazidiques, y compris l'hydrochlorothiazide, peut augmenter la probabilité de réactions d'hypersensibilité à l'allopurinol.
  • -Amantadine
  • -L'administration simultanée de diurétiques thiazidiques, y compris de l'hydrochlorothiazide, peut augmenter le risque d'effets indésirables dus à l'amantadine.
  • -Diazoxide
  • -Les diurétiques thiazidiques peuvent renforcer l'effet hyperglycémiant du diazoxide.
  • -Antinéoplasiques (par ex. cyclophosphamide, méthotrexate):
  • -Le traitement simultané par des diurétiques thiazidiques peut diminuer l'excrétion rénale des médicaments cytotoxiques et augmenter leurs effets myélosuppresseurs.
  • -Anticholinergiques
  • -La biodisponibilité des diurétiques thiazidiques peut être augmentée par l'administration simultanée d'anticholinergiques (par ex. atropine, bipéridène), vraisemblablement suite à une diminution de la motilité gastro-intestinale et à un ralentissement de la vidange gastrique. Inversement, les médicaments prokinétiques tels que le cisapride peuvent diminuer la biodisponibilité des diurétiques thiazidiques.
  • -Méthyldopa
  • -Des cas isolés d'anémie hémolytique ont été décrits suite à l'association de méthyldopa et d'hydrochlorothiazide.
  • -Résines échangeuses d'ions
  • -La coléstyramine ou le colestipol diminuent la résorption des diurétiques thiazidiques, y compris de l'hydrochlorothiazide. C'est pourquoi il convient d'espacer la prise de l'hydrochlorothiazide de l'administration d'une résine échangeuse d'ions. L'intervalle de temps le plus long possible doit être choisi afin de minimiser les interactions.
  • -Vitamine D
  • -L'utilisation simultanée de diurétiques thiazidiques, y compris l'hydrochlorothiazide, et de vitamine D ou de sels de calcium peut entraîner une forte élévation de la calcémie.
  • -Ciclosporine
  • -Le risque d'une hyperuricémie est vraisemblablement accru par l'administration simultanée de ciclosporine et des symptômes de goutte peuvent se manifester.
  • -Sels de calcium
  • -En raison de l'augmentation de la réabsorption tubulaire de calcium, l'administration simultanée de diurétiques de type thiazidique peut entraîner une hypercalcémie.
  • -Médicaments ayant une influence sur le taux sérique de sodium
  • -L'administration simultanée de médicaments tels qu'antidépresseurs, antipsychotiques, antiépileptiques, etc. peut renforcer l'effet hyponatrémiant des diurétiques. La prudence est recommandée en cas d'utilisation à long terme de ces médicaments.
  • -Alcool, barbituriques ou narcotiques
  • -L'administration simultanée de diurétiques thiazidiques et d'alcool, de barbituriques ou de narcotiques peut aggraver une hypotension orthostatique.
  • -Amines hypertensives
  • -L'hydrochlorothiazide peut réduire la réponse aux amines hypertensives telles que la noradrénaline. La pertinence clinique de cette action ne suffit cependant pas à exclure leur utilisation.
  • -Grossesse/Allaitement
  • +Médicaments ayant une influence sur le taux sérique de potassium ou de magnésium: Les pertes en potassium et/ou en magnésium peuvent être augmentées par l'administration simultanée d'hydrochlorothiazide et de diurétiques kaliurétiques (par ex. furosémide), de glucocorticoïdes, d'ACTH, d'amphotéricine B, de carbénoxolone, de pénicilline G, de salicylates ou d'antiarrythmiques.
  • +Glucosides cardiotoniques (digitaliques): Une hypokaliémie ou une hypomagnésiémie provoquée par des thiazides peut favoriser l'apparition d'arythmies induites par les digitaliques.
  • +Relaxants musculaires squelettiques: Les diurétiques thiazidiques, y compris l'hydrochlorothiazide, potentialisent l'effet des relaxants musculaires squelettiques de type curare.
  • +Antidiabétiques: Les thiazides peuvent modifier la tolérance au glucose. Un ajustement de la posologie de l'insuline et des antidiabétiques oraux peut s'avérer nécessaire.
  • +Allopurinol: L'administration simultanée de diurétiques thiazidiques, y compris l'hydrochlorothiazide, peut augmenter la probabilité de réactions d'hypersensibilité à l'allopurinol.
  • +Amantadine: L'administration simultanée de diurétiques thiazidiques, y compris de l'hydrochlorothiazide, peut augmenter le risque d'effets indésirables dus à l'amantadine.
  • +Diazoxide: Les diurétiques thiazidiques peuvent renforcer l'effet hyperglycémiant du diazoxide.
  • +Antinéoplasiques (par ex. cyclophosphamide, méthotrexate): Le traitement simultané par des diurétiques thiazidiques peut diminuer l'excrétion rénale des médicaments cytotoxiques et augmenter leurs effets myélosuppresseurs.
  • +Anticholinergiques: La biodisponibilité des diurétiques thiazidiques peut être augmentée par l'administration simultanée d'anticholinergiques (par ex. atropine, bipéridène), vraisemblablement suite à une diminution de la motilité gastro-intestinale et à un ralentissement de la vidange gastrique. Inversement, les médicaments prokinétiques tels que le cisapride peuvent diminuer la biodisponibilité des diurétiques thiazidiques.
  • +Méthyldopa: Des cas isolés d'anémie hémolytique ont été décrits suite à l'association de méthyldopa et d'hydrochlorothiazide.
  • +Résines échangeuses d'ions: La coléstyramine ou le colestipol diminuent la résorption des diurétiques thiazidiques, y compris de l'hydrochlorothiazide. C'est pourquoi il convient d'espacer la prise de l'hydrochlorothiazide de l'administration d'une résine échangeuse d'ions. L'intervalle de temps le plus long possible doit être choisi afin de minimiser les interactions.
  • +Vitamine D: L'utilisation simultanée de diurétiques thiazidiques, y compris l'hydrochlorothiazide, et de vitamine D ou de sels de calcium peut entraîner une forte élévation de la calcémie.
  • +Ciclosporine: Le risque d'une hyperuricémie est vraisemblablement accru par l'administration simultanée de ciclosporine et des symptômes de goutte peuvent se manifester.
  • +Sels de calcium: En raison de l'augmentation de la réabsorption tubulaire de calcium, l'administration simultanée de diurétiques de type thiazidique peut entraîner une hypercalcémie.
  • +Médicaments ayant une influence sur le taux sérique de sodium: L'administration simultanée de médicaments tels qu'antidépresseurs, antipsychotiques, antiépileptiques, etc. peut renforcer l'effet hyponatrémiant des diurétiques. La prudence est recommandée en cas d'utilisation à long terme de ces médicaments.
  • +Alcool, barbituriques ou narcotiques: L'administration simultanée de diurétiques thiazidiques et d'alcool, de barbituriques ou de narcotiques peut aggraver une hypotension orthostatique.
  • +Amines hypertensives: L'hydrochlorothiazide peut réduire la réponse aux amines hypertensives telles que la noradrénaline. La pertinence clinique de cette action ne suffit cependant pas à exclure leur utilisation.
  • +Grossesse, allaitement
  • -En raison du mécanisme d'action des antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, un risque pour l'embryon et le fœtus ne peut pas être exclu. En se basant sur des données rétrospectives, l'utilisation d'inhibiteurs de l'ECA pendant le 1er trimestre a été associée à un risque potentiel de malformations du nouveau-né. Selon certains rapports, la prise de médicaments agissant directement sur le système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA) au cours des 2ème et 3ème trimestres de la grossesse a en outre provoqué des lésions et la mort du fœtus. La perfusion rénale, chez le fœtus humain, dépend du développement du système RAA et commence au cours du 2ème trimestre de la grossesse. C'est pourquoi les risques liés à un traitement par valsartan augmentent pendant les 2ème et 3ème trimestres de la grossesse. Des avortements spontanés, oligoamnios et troubles de la fonction rénale chez le nouveau-né ont été rapportés lorsque des femmes avaient pris du valsartan par mégarde.
  • +En raison du mécanisme d'action des antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, un risque pour l'embryon et le fœtus ne peut pas être exclu. En se basant sur des données rétrospectives, l'utilisation d' inhibiteurs de l'ECA pendant le 1er trimestre a été associée à un risque potentiel de malformations du nouveau-né. Selon certains rapports, la prise de médicaments agissant directement sur le système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA) au cours des 2ème et 3ème trimestres de la grossesse a en outre provoqué des lésions et la mort du fœtus. La perfusion rénale, chez le fœtus humain, dépend du développement du système RAA et commence au cours du 2ème trimestre de la grossesse. C'est pourquoi les risques liés à un traitement par valsartan augmentent pendant les 2ème et 3ème trimestres de la grossesse. Des avortements spontanés, oligoamnios et troubles de la fonction rénale chez le nouveau-né ont été rapportés lorsque des femmes avaient pris du valsartan par mégarde.
  • -«Très fréquent» (≥1/10), «fréquent» (<1/10, ≥1/100), «occasionnel» (<1/100, ≥1/1'000), «rare» (<1/1'000, >1/10'000), «très rare» (<1/10'000), «fréquence inconnue» (ne peut pas être mesurée avec les dates disponibles).
  • +«Très fréquent» (≥1/10), «fréquent» (<1/10, ≥1/100), «occasionnel» (<1/100, ≥1/1000), «rare» (<1/1000, >1/10'000), «très rare» (<1/10'000), «fréquence inconnue» (ne peut pas être mesurer avec les dates disponibles).
  • -Occasionnel: œdèmes, hypotension, hyperhidrose.
  • +Occasionnel: oedèmes, hypotension, hyperhidrose.
  • -Troubles musculo-squelettiques
  • +Troubles musculoquelettiques
  • -Occasionnel: fatigue.
  • +Occasionnel: fatigue
  • -Une diminution de la kaliémie de plus de 20% a été constatée chez 3,7% des patients traités par Co-Valsartan Sandoz et chez 3,1% des patients sous placebo.
  • -Lors d'études cliniques contrôlées, une augmentation de la créatinine et une augmentation de l'azote uréique a été observée chez 1,9% resp. 14,7% des patients traités par Co-Valsartan Sandoz et chez 0,4% resp. 6,3% des patients sous placebo.
  • +Une diminution de la kaliémie de plus de 20% a été constatée chez 3.7% des patients traités par Co-Valsartan Sandoz et chez 3.1% des patients sous placebo.
  • +Lors d'études cliniques contrôlées, une augmentation de la créatinine et une augmentation de l'azote uréique a été observée chez 1.9% resp. 14.7% des patients traités par Co-Valsartan Sandoz et chez 0.4% resp. 6.3% des patients sous placebo.
  • -Dans de rares cas, une diminution des taux d'hémoglobine et de l'hématocrite peuvent accompagner un traitement par valsartan. Au cours d'études cliniques contrôlées, une baisse significative de l'hématocrite (>20%) chez 0,8% des patients et une baisse des taux d'hémoglobine chez 0,4% des patients ont été observées. En comparaison, ces deux paramètres étaient abaissés chez 0,1% des patients sous placebo.
  • -Une neutropénie est apparue chez 1,9% des patients sous valsartan contre 1,6% sous inhibiteur de l'ECA.
  • -Dans des études cliniques contrôlées, une hausse significative de la concentration sanguine de la créatinine, du potassium et de la bilirubine totale a été observée chez respectivement 0,8%, 4,4% et 6% des patients sous valsartan contre 1,6%, 6,4% et 12,9% des patients sous inhibiteur de l'ECA.
  • +Dans de rares cas, une diminution des taux d'hémoglobine et de l'hématocrite peuvent accompagner un traitement par valsartan. Au cours d'études cliniques contrôlées, une baisse significative de l'hématocrite (>20%) chez 0.8% des patients et une baisse des taux d'hémoglobine chez 0.4% des patients ont été observées. En comparaison, ces deux paramètres étaient abaissés chez 0.1% des patients sous placebo.
  • +Une neutropénie est apparue chez 1.9% des patients sous valsartan contre 1.6% sous inhibiteur de l'ECA.
  • +Dans des études cliniques contrôlées, une hausse significative de la concentration sanguine de la créatinine, du potassium et de la bilirubine totale a été observée chez respectivement 0.8%, 4.4% et 6% des patients sous valsartan contre 1.6%, 6.4% et 12.9% des patients sous inhibiteur de l'ECA.
  • -Depuis la mise sur le marché de la préparation, la survenue de syncopes, de très rares cas d'angiodème, rash et prurit ainsi que d'autres réactions d'hypersensibilité comme la maladie sérique et vascularite ont été rapportés. De très rares cas de troubles de la fonction rénale ont aussi été observés.
  • +Depuis la mise sur le marché de la préparation, la survenue de syncopes, de très rares cas d'angiooedème, rash et prurit ainsi que d'autres réactions d'hypersensibilité comme la maladie sérique et vascularite ont été rapportés. De très rares cas de troubles de la fonction rénale ont aussi été observés.
  • -Occasionnel: œdèmes, asthénie, insomnie, exanthème, diminution de la libido, vertiges.
  • +Occasionnel: oedèmes, asthénie, insomnie, exanthème, diminution de la libido, vertiges.
  • -Un seul cas d'angiodème a été décrit.
  • +Un seul cas d'angiooedème a été décrit.
  • +Fréquence inconnue: effusion choroïdienne.
  • +
  • -Très rare: difficulté respiratoire y compris pneumopathie inflammatoire et œdème pulmonaire.
  • +Très rare: difficulté respiratoire y compris pneumopathie inflammatoire et oedème pulmonaire.
  • -Les études cliniques comparant le valsartan et un inhibiteur de l'ECA ont montré que l'incidence d'une toux sèche était significativement plus faible (p <0,05) chez les patients traités par valsartan que ceux traités par un inhibiteur de l'ECA (2,6% contre 7,9%). Au cours d'une étude clinique incluant des patients avec des antécédents de toux sèche sous inhibiteur de l'ECA, cette toux est apparue chez 19,5% des sujets sous valsartan, chez 19% des sujets sous diurétique thiazidique et chez 68,5% des patients sous inhibiteurs de l'ECA (p <0,05). Dans des études cliniques contrôlées, la fréquence de toux chez les patients traités par le valsartan et l'hydrochlorothiazide en association a été de 2,9%.
  • +Les études cliniques comparant le valsartan et un inhibiteur de l'ECA ont montré que l'incidence d'une toux sèche était significativement plus faible (p <0.05) chez les patients traités par valsartan que ceux traités par un inhibiteur de l'ECA (2.6% contre 7.9%). Au cours d'une étude clinique incluant des patients avec des antécédents de toux sèche sous inhibiteur de l'ECA, cette toux est apparue chez 19.5% des sujets sous valsartan, chez 19% des sujets sous diurétique thiazidique et chez 68.5% des patients sous inhibiteurs de l'ECA (p <0.05). Dans des études cliniques contrôlées, la fréquence de toux chez les patients traités par le valsartan et l'hydrochlorothiazide en association a été de 2.9%.
  • -Les données disponibles issues d'études épidémiologiques indiquent un rapport dépendant de la dose cumulée entre l'exposition à l'hydrochlorothiazide et le développement du CPNM. L'une des études comprenant une population de 71'533 cas de carcinome basocellulaire et 8629 cas de carcinome épidermoïde, ainsi que respectivement 1'430'833 et 172'462 personnes dans les populations témoins correspondantes. Une exposition élevée à l'hydrochlorothiazide (dose cumulée ≥50'000 mg) était associée à un OR ajusté de 1,29 (IC à 95%: 1,23-1,35) pour un carcinome basocellulaire et 3,98 (IC à 95%: 3,68-4,31) pour un carcinome épidermoïde. Dans le cas du carcinome basocellulaire comme dans le cas du carcinome épidermoïde, une relation évidente entre dose cumulée et effet a été constatée. Dans une étude supplémentaire, un rapport potentiel entre le carcinome des lèvres (carcinome épidermoïde) et l'exposition à l'hydrochlorothiazide a été démontré: 633,cas de carcinome des lèvres et 63'067,personnes de la population témoin ont été comparés en utilisant une stratégie de «Risk-Set-Sampling». Une relation évidente entre dose cumulée et effet avec une augmentation de l'OR ajusté de 2,1 (IC à 95%: 1,7-2,6) à 3,9 (3,0-4,9) dans le cas d'une dose cumulée élevée (≥25'000,mg) et une augmentation de l'OR ajusté de 7,7 (5,7-10,5) dans le cas de la dose cumulée la plus élevée (≥100'000,mg) a pu être démontrée. Exemple: une dose cumulée de 100'000,mg correspond à l'utilisation quotidienne d'une dose journalière définie de 25,mg sur une période de >10,ans (voir rubrique «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables»).
  • +Les données disponibles issues d'études épidémiologiques indiquent un rapport dépendant de la dose cumulée entre l'exposition à l'hydrochlorothiazide et le développement du CPNM. L'une des études comprenant une population de 71 533 cas de carcinome basocellulaire et 8629 cas de carcinome épidermoïde, ainsi que respectivement 1 430 833 et 172 462 personnes dans les populations témoins correspondantes. Une exposition élevée à l'hydrochlorothiazide (dose cumulée ≥50 000 mg) était associée à un OR ajusté de 1.29 (IC à 95%: 1.23-1.35) pour un carcinome basocellulaire et 3.98 (IC à 95%: 3.68-4.31) pour un carcinome épidermoïde. Dans le cas du carcinome basocellulaire comme dans le cas du carcinome épidermoïde, une relation évidente entre dose cumulée et effet a été constatée. Dans une étude supplémentaire, un rapport potentiel entre le carcinome des lèvres (carcinome épidermoïde) et l'exposition à l'hydrochlorothiazide a été démontré: 633 cas de carcinome des lèvres et 63 067 personnes de la population témoin ont été comparés en utilisant une stratégie de «Risk-Set-Sampling». Une relation évidente entre dose cumulée et effet avec une augmentation de l'OR ajusté de 2.1 (IC à 95%: 1.7-2.6) à 3.9 (3.0-4.9) dans le cas d'une dose cumulée élevée (≥25 000 mg) et une augmentation de l'OR ajusté de 7.7 (5.7-10.5) dans le cas de la dose cumulée la plus élevée (≥100 000 mg) a pu être démontrée. Exemple: une dose cumulée de 100 000 mg correspond à l'utilisation quotidienne d'une dose journalière définie de 25 mg sur une période de > 10 ans (voir rubrique «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables»).
  • -Elimination
  • -Le valsartan se caractérise par une décroissance cinétique multi-exponentielle (demi-vie plasmatique primaire <1 h et demi-vie plasmatique terminale bêta de 9 h environ). Le valsartan est essentiellement éliminé par les fèces (environ 83% de la dose) et l'urine (environ 13% de la dose), essentiellement sous forme inchangée. Après administration intraveineuse, la clairance plasmatique du valsartan est d'environ 2 l/h et sa clairance rénale de 0,62 l/h (environ 30% de la clairance totale). La demi-vie du valsartan est de 6 h.
  • +Élimination
  • +Le valsartan se caractérise par une décroissance cinétique multi-exponentielle (demi-vie plasmatique primaire <1 h et demi-vie plasmatique terminale bêta de 9 h environ). Le valsartan est essentiellement éliminé par les fèces (environ 83% de la dose) et l'urine (environ 13% de la dose), essentiellement sous forme inchangée. Après administration intraveineuse, la clairance plasmatique du valsartan est d'environ 2 l/h et sa clairance rénale de 0.62 l/h (environ 30% de la clairance totale). La demi-vie du valsartan est de 6 h.
  • -Valsartan/Hydrochlorothiazide
  • -Il ne ressort des différentes études précliniques menées auprès de plusieurs espèces animales aucun résultat indiquant que les doses thérapeutiques de valsartan/hydrochlorothiazide ne doivent pas être utilisées chez l'être humain.
  • +Valsartan:Hydrochlorothiazide
  • +Il ne ressort des différentes études précliniques menées auprès de plusieurs espèces animales aucun résultat indiquant que les doses thérapeutiques de valsartan:hydrochlorothiazide ne doivent pas être utilisées chez l'être humain.
  • -Toxicité chronique
  • -Lors des études précliniques de sécurité, l'administration de doses élevées de valsartan (200-600 mg/kg de poids corporel/jour) chez le rat a entraîné une diminution des paramètres relatifs aux globules rouges (érythrocytes, hémoglobine, hématocrite) et des modifications de l'hémodynamique rénale (légère augmentation des taux sanguins d'urée ainsi qu'hyperplasie tubulaire rénale et basophilie chez des animaux mâles). Ces doses chez le rat (200 et 600 mg/kg/jour) représentent environ 6 à 18 fois la dose recommandée pour l'être humain sur la base de mg/m² (le calcul repose sur une dose orale de 320 mg/jour et un patient de 60 kg). Des doses similaires chez le ouistiti ont entraîné des modifications semblables, mais plus sévères, en particulier au niveau des reins où les modifications ont évolué vers une néphropathie avec augmentation des taux d'urée et de créatinine. En outre, une hypertrophie des cellules rénales juxtaglomérulaires a été observée dans les deux espèces. Toutes ces modifications résultent probablement de l'effet pharmacologique du valsartan, qui provoque une hypotension persistante, particulièrement chez le ouistiti. L'hypertrophie des cellules rénales juxtaglomérulaires ne semble pas être pertinente aux doses thérapeutiques chez l'être humain.
  • -Toxicité de reproduction
  • -Le valsartan n'a aucun effet indésirable sur la performance de reproduction de rats mâles et femelles à des doses orales de jusqu'à 200 mg/kg/jour. Au cours des études sur le développement embryofœtal (segment II) menées chez la souris, le rat et le lapin, une fœtotoxicité a été observée parallèlement à une toxicité maternelle, à des doses de valsartan ≥600 mg/kg/jour chez le rat et 10 mg/kg/jour chez le lapin. Dans une étude de toxicité sur le développement périnatal et postnatal (segment III), les ratons dont les parents avaient reçu 600 mg/kg/jour durant le dernier trimestre et pendant la lactation ont présenté une légère diminution du taux de survie et un léger retard de développement.
  • -Mutagénicité
  • -Aucun potentiel mutagène n'a pu être établi pour le valsartan, que ce soit au niveau génique ou au niveau chromosomique dans différentes études standards in vitro et in vivo de génotoxicité.
  • -Carcinogénicité
  • -Il ne ressort aucun indice de carcinogénicité lors de l'administration du valsartan avec la nourriture à des dosages de jusqu'à 160 et respectivement, 200 mg/kg/jour pendant 2 ans à des souris et des rats.
  • +Toxicité chronique: Lors des études précliniques de sécurité, l'administration de doses élevées de valsartan (200 - 600 mg/kg de poids corporel/jour) chez le rat a entraîné une diminution des paramètres relatifs aux globules rouges (érythrocytes, hémoglobine, hématocrite) et des modifications de l'hémodynamique rénale (légère augmentation des taux sanguins d'urée ainsi qu'hyperplasie tubulaire rénale et basophilie chez des animaux mâles). Ces doses chez le rat (200 et 600 mg/kg/jour) représentent environ 6 à 18 fois fois la dose recommandée pour l'être humain sur la base de mg/m² (le calcul repose sur une dose orale de 320 mg/jour et un patient de 60 kg). Des doses similaires chez le ouistiti ont entraîné des modifications semblables, mais plus sévères, en particulier au niveau des reins où les modifications ont évolué vers une néphropathie avec augmentation des taux d'urée et de créatinine. En outre, une hypertrophie des cellules rénales juxtaglomérulaires a été observée dans les deux espèces. Toutes ces modifications résultent probablement de l'effet pharmacologique du valsartan, qui provoque une hypotension persistante, particulièrement chez le ouistiti. L'hypertrophie des cellules rénales juxtaglomérulaires ne semble pas être pertinente aux doses thérapeutiques chez l'être humain.
  • +Toxicité de reproduction: Le valsartan n'a aucun effet indésirable sur la performance de reproduction de rats mâles et femelles à des doses orales de jusqu'à 200 mg/kg/jour. Au cours des études sur le développement embryofœtal (segment II) menées chez la souris, le rat et le lapin, une fœtotoxicité a été observée parallèlement à une toxicité maternelle, à des doses de valsartan ≥600 mg/kg/jour chez le rat et 10 mg/kg/jour chez le lapin. Dans une étude de toxicité sur le développement périnatal et postnatal (segment III), les ratons dont les parents avaient reçu 600 mg/kg/jour durant le dernier trimestre et pendant la lactation ont présenté une légère diminution du taux de survie et un léger retard de développement.
  • +Mutagénicité: Aucun potentiel mutagène n'a pu être établi pour le valsartan, que ce soit au niveau génique ou au niveau chromosomique dans différentes études standards in vitro et in vivo de génotoxicité.
  • +Carcinogénicité: Il ne ressort aucun indice de carcinogénicité lors de l'administration du valsartan avec la nourriture à des dosages de jusqu'à 160 et respectivement, 200 mg/kg/jour pendant 2 ans à des souris et des rats.
  • -Toxicité pour la reproduction: L'hydrochlorothiazide ne s'est pas avéré tératogène et n'a pas eu d'effet sur la fertilité et la conception. Aucun potentiel tératogène n'a été mis en évidence chez trois espèces animales étudiées, qui avaient reçu au moins 10 fois la dose recommandée pour l'homme de 1 mg/kg environ. Une prise de poids réduite chez de jeunes rats allaités a été attribuée aux doses élevées (15 fois la dose pour l'homme) et à l'effet diurétique de l'hydrochlorothiazide, avec les conséquences correspondantes sur la production de lait.
  • +Toxicité pour la reproduction: L'hydrochlorothiazide ne s'est pas avéré être tératogène et n'a pas eu d'effet sur la fertilité et la conception. Aucun potentiel tératogène n'a été mis en évidence chez trois espèces animales étudiées, qui avaient reçu au moins 10 fois la dose recommandée pour l'homme de 1 mg/kg environ. Une prise de poids réduite chez de jeunes rats allaités a été attribuée aux doses élevées (15 fois la dose pour l'homme) et à l'effet diurétique de l'hydrochlorothiazide, avec les conséquences correspondantes sur la production de lait.
  • -Co-Valsartan Sandoz 80/12,5 comprimés pelliculés: 28 (emballage calendrier). [B]
  • -Co-Valsartan Sandoz 80/12,5 comprimés pelliculés: 98 (emballage calendrier). [B]
  • -Co-Valsartan Sandoz 160/12,5 comprimés pelliculés: 28 (emballage calendrier). [B]
  • -Co-Valsartan Sandoz 160/12,5 comprimés pelliculés: 98 (emballage calendrier). [B]
  • -Co-Valsartan Sandoz 160/25 comprimés pelliculés: 28 (emballage calendrier). [B]
  • -Co-Valsartan Sandoz 160/25 comprimés pelliculés: 98 (emballage calendrier). [B]
  • +Co-Valsartan Sandoz 80/12.5 cpr pell 28 (emballage calendrier) [B]
  • +Co-Valsartan Sandoz 80/12.5 cpr pell 98 (emballage calendrier) [B]
  • +Co-Valsartan Sandoz 160/12.5 cpr pell 28 (emballage calendrier) [B]
  • +Co-Valsartan Sandoz 160/12.5 cpr pell 98 (emballage calendrier) [B]
  • +Co-Valsartan Sandoz 160/25 cpr pell 28 (emballage calendrier) [B]
  • +Co-Valsartan Sandoz 160/25 cpr pell 98 (emballage calendrier) [B]
  • -Sandoz Pharmaceuticals SA, Risch; domicile: Rotkreuz.
  • +Sandoz Pharmaceuticals AG, Risch; domicile: Rotkreuz.
  • -Janvier 2019.
  • +Septembre 2020.
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