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Accueil - Information professionnelle sur Trajenta - Changements - 30.03.2019
12 Changements de l'information professionelle Trajenta
  • -La linagliptine est indiquée en monothérapie associée à un régime alimentaire et à la pratique d'une activité physique pour améliorer le contrôle glycémique chez les adultes présentant un diabète de type 2 (DMT2).
  • -Chez les patients pour lesquels une monothérapie ne permet pas un contrôle glycémique satisfaisant, la linagliptine peut être administrée en association avec la metformine, des sulfonylurées, des thiazolidinediones, une insuline basale (avec ou sans metformine) ou bien avec la metformine plus une sulfonylurée.
  • +Trajenta est indiqué, en plus d’un régime alimentaire et de la pratique dune activité physique, pour le traitement de patients adultes présentant un diabète de type 2 (DMT2) insuffisamment contrôlé
  • +·en monothérapie chez les patients présentant une intolérance ou une contre-indication à la metformine
  • +·en association avec d’autres médicaments hypoglycémiants (voir rubrique «Propriétés/Effets», section «Efficacité cliniques» pour les associations étudiées dans des études cliniques et leurs résultats)
  • -Trajenta 5 mg une fois par jour en monothérapie a été examiné au cours de trois études contrôlées par placebo avec traitement de courte durée (jusqu'à 4 semaines) ainsi qu'au cours de quatre autres études contrôlées par placebo avec traitement d'une durée de ≥12 semaines. L'utilisation de Trajenta en association avec d'autres agents hypoglycémiants a été examinée au cours de onze études contrôlées par placebo, dont cinq en association avec la metformine (traitement d'une durée de 12, 24 et 54 semaines), une en association avec une sulfonylurée (traitement d'une durée de 18 semaines), une en association avec la metformine et une sulfonylurée (traitement d'une durée de 24 semaines), une en association avec une pioglitazone (traitement d'une durée de 24 semaines) et trois en association avec de l'insuline (traitement d'une durée de 24 et 52 semaines).
  • +Trajenta 5 mg une fois par jour en monothérapie a été examiné au cours de trois études contrôlées par placebo avec traitement de courte durée (jusqu'à 4 semaines) ainsi qu'au cours de quatre autres études contrôlées par placebo avec traitement d'une durée de ≥12 semaines. L'utilisation de Trajenta en association avec d'autres agents hypoglycémiants a été examinée au cours de 12 études contrôlées par placebo, dont cinq en association avec la metformine (traitement d'une durée de 12, 24 et 54 semaines), une en association avec une sulfonylurée (traitement d'une durée de 18 semaines), une en association avec la metformine et une sulfonylurée (traitement d'une durée de 24 semaines), une en association avec une pioglitazone (traitement d'une durée de 24 semaines) et trois en association avec de l'insuline (traitement d'une durée de 24 et 52 semaines) et une avec de la metformine et de l'empagliflozine.
  • -La linagliptine est un inhibiteur de la DPP-4 (dipeptidyl peptidase 4, EC 3.4.14.5), une enzyme qui participe à l'inactivation des hormones incrétines GLP-1 et GIP (glucagon like peptide-1, glucose-dependent insulinotropic polypeptide). Ces hormones sont rapidement dégradées par l'enzyme DPP-4. Ces deux hormones incrétines sont impliquées dans la régulation physiologique de l'homéostasie du glucose. Les incrétines sont sécrétées à un faible niveau basal tout au long de la journée et leurs taux augmentent immédiatement après la prise d'un repas. Le GLP-1 et le GIP augmentent la biosynthèse et la sécrétion d'insuline par les cellules bêta du pancréas, en présence de taux normaux et élevés de glucose dans le sang. De plus, le GLP-1 réduit la sécrétion de glucagon par les cellules alpha du pancréas, entraînant une réduction de la production hépatique de glucose. La linagliptine (Trajenta) se lie à la DPP-4 de façon réversible, entraînant ainsi une augmentation durable des concentrations d'incrétines et à un prolongement de leur activité. Trajenta augmente l'insulinosécrétion et diminue la sécrétion de glucagon de façon gluco-dépendante, entraînant ainsi une amélioration du contrôle de la glycémie sanguine. La linagliptine se lie de manière sélective à la DPP-4 et fait preuve in vitro d'une sélectivité pour la DPP-4 plus de 10'000 fois supérieure à celle envers la DPP-8 ou la DPP-9.
  • +La linagliptine est un inhibiteur de la DPP-4 (dipeptidyl peptidase 4, EC 3.4.14.5), une enzyme qui participe à l'inactivation des hormones incrétines GLP-1 et GIP (glucagon like peptide-1, glucose-dependent insulinotropic polypeptide). Ces hormones sont rapidement dégradées par l'enzyme DPP-4. Ces deux hormones incrétines sont impliquées dans la régulation physiologique de l'homéostasie du glucose. Les incrétines sont sécrétées à un faible niveau basal tout au long de la journée et leurs taux augmentent immédiatement après la prise d'un repas. Le GLP-1 et le GIP augmentent la biosynthèse et la sécrétion d'insuline par les cellules bêta du pancréas, en présence de taux normaux et élevés de glucose dans le sang. De plus, le GLP-1 réduit la sécrétion de glucagon par les cellules alpha du pancréas, entraînant une réduction de la production hépatique de glucose. La linagliptine se lie à la DPP-4 de façon réversible, entraînant ainsi une augmentation durable des concentrations d'incrétines et à un prolongement de leur activité. La linagliptine augmente l'insulinosécrétion et diminue la sécrétion de glucagon de façon gluco-dépendante, entraînant ainsi une amélioration du contrôle de la glycémie sanguine. La linagliptine se lie de manière sélective à la DPP-4 et fait preuve in vitro d'une sélectivité pour la DPP-4 plus de 10'000 fois supérieure à celle envers la DPP-8 ou la DPP-9.
  • -L'efficacité et la sécurité de l'addition de linagliptine 5 mg à l'insuline basale seule ou à l'insuline basale en association avec la metformine ou la pioglitazone ont été évaluées au cours d'une étude en double aveugle contrôlée par placebo et menée pendant une période de 24 semaines. L'abaissement de l'HbA1c (par rapport au placebo) pour la linagliptine en association avec l'insuline basale au bout de 24 semaines (LOCF) a été de -0,65% (IC à 95% -0,74; -0,55; p <0,0001) pour une valeur initiale d'HbA1c de 8,3% en moyenne. La dose d'insuline ne devait pas être modifiée dans cette étude. La modification moyenne de la valeur d'HbA1c par rapport à la période antérieure au traitement a été en général supérieure chez les patients qui présentaient des valeurs d'HbA1c initiales élevées. Sous linagliptine, des améliorations significatives du glucose plasmatique à jeun ont été également constatées, à savoir -0,62 mmol/l (IC à 95% -0,9; -0,35; p <0,0001) par rapport au placebo, et une plus grande part des patients a atteint une valeur cible d'HbA1c de <7,0% par rapport au placebo. A l'issue de 24 semaines de traitement, la dose d'insuline quotidienne moyenne était de 42 unités chez les patients traités à la linagliptine, et de 40 unités chez les patients qui recevaient le placebo. En ce qui concerne le poids, aucune différence significative n'a été notée entre les groupes. Les effets sur les lipides plasmatiques ont été neutres. L'incidence de l'hypoglycémie a été semblable dans les deux groupes de traitement (linagliptine: 22,2%; placebo: 21,2%).
  • +L'efficacité et la sécurité de l'addition de linagliptine 5 mg à l'insuline basale seule ou à l'insuline basale en association avec la metformine ou la pioglitazone ont été évaluées au cours d'une étude en double aveugle contrôlée par placebo et menée pendant une période de 24 semaines. La dose d'insuline ne devait pas être modifiée dans cette étude. L'abaissement de l'HbA1c (par rapport au placebo) pour la linagliptine en association avec l'insuline basale au bout de 24 semaines (LOCF) a été de -0,65% (IC à 95% -0,74; -0,55; p <0,0001) pour une valeur initiale d'HbA1c de 8,3% en moyenne. La modification moyenne de la valeur d'HbA1c par rapport à la période antérieure au traitement a été en général supérieure chez les patients qui présentaient des valeurs d'HbA1c initiales élevées. Sous linagliptine, des améliorations significatives du glucose plasmatique à jeun ont été également constatées, à savoir -0,62 mmol/l (IC à 95% -0,9; -0,35; p <0,0001) par rapport au placebo, et une plus grande part des patients a atteint une valeur cible d'HbA1c de <7,0% par rapport au placebo. A l'issue de 24 semaines de traitement, la dose d'insuline quotidienne moyenne était de 42 unités chez les patients traités à la linagliptine, et de 40 unités chez les patients qui recevaient le placebo. En ce qui concerne le poids, aucune différence significative n'a été notée entre les groupes. Les effets sur les lipides plasmatiques ont été neutres. L'incidence de l'hypoglycémie a été semblable dans les deux groupes de traitement (linagliptine: 22,2%; placebo: 21,2%).
  • +Linagliptine en traitement d'appoint à une association de metformine et d'empagliflozine
  • +Chez les patients dont le métabolisme du glucose n'était pas suffisamment contrôlé avec la metformine et l'empagliflozine (10 mg [n = 247] ou 25 mg [n = 217]), un traitement de 24 semaines par linagliptine 5 mg comme traitement d'appoint en comparaison avec le traitement d'appoint par placebo a entraîné une diminution significativement plus forte de l'HbA1c par rapport à la valeur initiale (différences de traitement -0,32% [IC à 95%: -0,52, -0,13] resp. -0,47% [IC à 95%: -0,66; -0,28]). Parmi les patients présentant une valeur initiale d'HbA1c ≥7,0%, une proportion significativement plus élevée de patients ayant reçu un traitement supplémentaire à la linagliptine ont atteint une valeur cible d'HbA1c <7% par rapport au placebo.
  • +
  • -La linagliptine chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère; résultats d'une étude de 12 semaines, contrôlée par placebo (avec traitement de fond stable), et d'un suivi consécutif de 40 semaines contrôlé par placebo (avec traitement de fond ajustable).
  • -L'efficacité et la sécurité de la linagliptine ont été également examinées au cours d'une étude en double aveugle de 12 semaines versus placebo, y compris chez des patients présentant un diabète sucré de type 2 avec insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min selon la formule MDRD); pendant la durée de l'étude, le traitement antidiabétique de fond ne devait pas être modifié. Il comprenait différents antidiabétiques, y compris l'insuline, des sulfonylurées, des glinides et la pioglitazone. Pendant la phase de suivi consécutive de 40 semaines, l'adaptation des doses des traitements antidiabétiques de fond était autorisée.
  • -Chez les patients dont la valeur initiale d'HbA1c moyenne était de 8,2%, la linagliptine a entraîné une amélioration significative des valeurs d'HbA1c (changement de -0,59% par rapport au placebo). Par rapport au placebo, une augmentation du nombre de patients ayant atteint la plage cible d'HbA1c (<7,0%) a pu être enregistrée sous linagliptine. Au bout de 52 semaines, la différence des valeurs d'HbA1c par rapport au placebo était de -0,72%.
  • +La linagliptine chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère
  • +L'efficacité et la sécurité de la linagliptine ont été également examinées au cours d'une étude en double aveugle de 12 semaines versus placebo, y compris chez des patients présentant un diabète sucré de type 2 avec insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min selon la formule MDRD); pendant la durée de l'étude, le traitement antidiabétique de fond ne devait pas être modifié. Il comprenait différents antidiabétiques, y compris l'insuline, des sulfonylurées, des glinides et la pioglitazone. Pendant la phase de suivi consécutive de 40 semaines, l'adaptation des doses des traitements antidiabétiques de fond était autorisée. La valeur initiale d'HbA1c moyenne était de 8,2%.
  • +La linagliptine a entraîné une amélioration significative des valeurs d'HbA1c (changement de -0,59% par rapport au placebo). Par rapport au placebo, une augmentation du nombre de patients ayant atteint la plage cible d'HbA1c (<7,0%) a pu être enregistrée sous linagliptine. Au bout de 52 semaines, la différence des valeurs d'HbA1c par rapport au placebo était de -0,72%.
  • -Avril 2018.
  • +Janvier 2019.
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