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Accueil - Information professionnelle sur Levetiracetam Rivopharm 250 - Changements - 03.07.2023
94 Changements de l'information professionelle Levetiracetam Rivopharm 250
  • -Principe actif: lévétiracétam.
  • -Excipients:
  • -Rivoleve comprimés pelliculés
  • -Dans le noyau du comprimé (pour tous les dosages): Amidon de maïs, povidone, silice colloïdale anhydre, talc et stéarate de magnésium.
  • +Principes actifs
  • +Lévétiracétam
  • +Excipients
  • +Dans le noyau du comprimé (pour tous les dosages): Amidon de maïs, povidone K30, silice colloïdale anhydre, talc et stéarate de magnésium.
  • -Rivoleve 250 mg comprimés pelliculés: alcool polyvinylique, polyethylenglycole, talc, colorants: dioxyde de titane (E 171) et indigotine (E 132).
  • -Rivoleve 500 mg comprimés pelliculés: alcool polyvinylique, polyethylenglycole, talc, colorants: dioxyde de titane (E 171) et oxyde de fer jaune (E 172).
  • -Rivoleve 1000 mg comprimés pelliculés: alcool polyvinylique, polyethylenglycole, talc, colorants: dioxyde de titane (E 171).
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Comprimés pelliculés (sécables) à 250, 500 ou 1000 mg de lévétiracétam.
  • +Levetiracetam Rivopharm 250 mg comprimés pelliculés: alcool polyvinylique, macrogol 3350, talc, dioxyde de titane (E 171) et indigotine (E 132).
  • +Levetiracetam Rivopharm 500 mg comprimés pelliculés: alcool polyvinylique, macrogol 3350, talc, dioxyde de titane (E 171) et oxyde de fer jaune (E 172).
  • +Levetiracetam Rivopharm 1000 mg comprimés pelliculés: alcool polyvinylique, macogol 3350, talc, dioxyde de titane (E 171).
  • -Rivoleve est indiqué en monothérapie dans le traitement des crises partielles avec ou sans généralisation secondaire chez les patients à partir de 16 ans avec épilepsie.
  • -Rivoleve est indiqué en association dans le traitement des crises partielles avec ou sans généralisation secondaire chez l’adulte et l’enfant à partir de 4 ans présentant une épilepsie.
  • -Rivoleve est indiqué en association dans le traitement des crises myocloniques de l’adulte et de l’adolescent à partir de 12 ans présentant une épilepsie juvénile myoclonique.
  • -Rivoleve est indiqué en association dans le traitement des crises généralisées tonico-cloniques primaires de l’adulte et de l’adolescent à partir de 12 ans présentant une épilepsie généralisée idiopathique.
  • +Levetiracetam Rivopharm est indiqué en monothérapie dans le traitement des crises focales avec ou sans généralisation secondaire chez les patients à partir de 16 ans avec épilepsie.
  • +Levetiracetam Rivopharm est indiqué en association dans le traitement des crises focales avec ou sans généralisation secondaire chez l’adulte et l’enfant à partir de 4 ans présentant une épilepsie.
  • +Levetiracetam Rivopharm est indiqué en association dans le traitement des crises myocloniques de l’adulte et de l’adolescent à partir de 12 ans présentant une épilepsie juvénile myoclonique.
  • +Levetiracetam Rivopharm est indiqué en association dans le traitement des crises généralisées tonico-cloniques primaires de l’adulte et de l’adolescent à partir de 12 ans présentant une épilepsie généralisée idiopathique.
  • -Les comprimés pelliculés doivent être avalés, sans être mâchés, avec un liquide. La dose journalière est fractionnée en deux doses égales. Rivoleve peut être pris indépendamment des repas. Lors de l'administration orale, le goût amer du lévétiracétam peut être perçu.
  • +Les comprimés pelliculés doivent être avalés, sans être mâchés, avec un liquide. La dose journalière est fractionnée en deux doses égales. Levetiracetam Rivopharm peut être pris indépendamment des repas. Lors de l'administration orale, le goût amer du lévétiracétam peut être perçu.
  • -Rivoleve comprimés pelliculés 250 mg Adultes et enfants à partir de 4 ans
  • -Rivoleve comprimés pelliculés 500 mg Adultes et enfants à partir de 10 ans
  • -Rivoleve comprimés pelliculés 1000 mg Adultes et enfants à partir de 12 ans
  • +Levetiracetam Rivopharm comprimés pelliculés 250 mg Adultes et enfants à partir de 4 ans
  • +Levetiracetam Rivopharm comprimés pelliculés 500 mg Adultes et enfants à partir de 10 ans
  • +Levetiracetam Rivopharm comprimés pelliculés 1000 mg Adultes et enfants à partir de 12 ans
  • -Monothérapie
  • -Adultes et adolescents à partir de 16 ans
  • -Le traitement devra débuter avec 2× 250 mg/jour et après 2 semaines, la dose sera augmentée à 2× 500 mg/jour. Selon la réponse clinique la dose peut être adaptée par paliers de 2× 250 mg/jour toutes les 2 semaines jusqu’à un maximum de 2× 1500 mg/jour.
  • -Enfants et adolescents <16 ans
  • -Parce qu’aucune expérience sur l’administration de lévétiracétam en monothérapie chez les enfants et les adolescents <16 ans n’est actuellement disponible, l’emploi n’est pas recommandé.
  • -Thérapie en association
  • +Crises focales
  • +La posologie recommandée pour la monothérapie (à partir de 16 ans) et la thérapie complémentaire est la même que celle décrite cidessous:
  • +Toutes les indications:
  • -La posologie est de 1000 mg par jour (500 mg deux fois par jour) en complément thérapeutique. Cette posologie peut être utilisée dès le premier jour de traitement. Selon l’efficacité clinique et la tolérance, la dose journalière peut être augmentée jusqu’à 3000 mg. Les augmentations ou diminutions de posologie peuvent s’effectuer par paliers de 1000 mg toutes les 2 à 4 semaines.
  • -Recommandations posologiques particulières
  • +La dose thérapeutique initiale est de 500 mg deux fois par jour.
  • +La posologie est de 1000 mg par jour (500 mg deux fois par jour). Cette posologie peut être utilisée dès le premier jour de traitement. Une dose initiale plus faible de 250 mg deux fois par jour peut être administrée selon l'évaluation du médecin (réduction des crises versus effets secondaires possibles). Après deux semaines, la dose peut être augmentée à 500 mg deux fois par jour.
  • +Selon l’efficacité clinique et la tolérance, la dose journalière peut être augmentée jusqu’à 1500 mg deux fois par jour. Les augmentations ou diminutions de posologie peuvent s’effectuer par paliers de 250 mg ou 500 mg deux fois par jour toutes les 2 à 4 semaines.
  • +Adolescents (12 à 17 ans) de moins de 40 kg
  • +Le médecin doit prescrire la forme pharmaceutique, la présentation et le dosage les plus appropriés en fonction du poids, de l'âge et de la dose. Voir la section Instructions spéciales de dosage pour les ajustements de dosage en fonction du poids
  • +Instructions posologiques particulières
  • -En fonction de la réponse clinique et de la tolérance, la dose peut être augmentée jusqu’à 30 mg/kg 2 fois par jour. Les augmentations ou diminutions de posologie peuvent s’effectuer par paliers de 10 mg/kg 2 fois par jour toutes les 2 à 4 semaines. La plus petite dose efficace doit être utilisée.
  • +En fonction de la réponse clinique et de la tolérance, la dose peut être augmentée de 10 mg/kg deux fois par jour toutes les 2 semaines, jusqu’à 30 mg/kg deux fois par jour. Les augmentations et diminutions de doses ne doivent pas dépasser10 mg/kg 2 fois par jour toutes les 2 à 4 semaines. La plus petite dose efficace doit être utilisée.
  • -Sujets âgés (à partir de 65 ans)
  • +Patients âgés (à partir de 65 ans)
  • -Patients dont la fonction rénale est diminuée
  • -Chez l’adulte, la posologie journalière (dose d’entretien) de Rivoleve doit être fixée individuellement selon la fonction rénale.
  • +Patients présentant des troubles de la fonction rénaleLa posologie journalière (dose d’entretien) de Levetiracetam Rivopharm doit être fixée individuellement selon la fonction rénale.
  • -CLcr = [(140-âge (années)) × poids (kg)] : [72 × créatinine sérique (mg/dl)] (× 0,85 pour la femme).
  • +CLcr (ml/min)= [(140-âge (années)) × poids (kg)] : [72 × créatinine sérique (mg/dl)] (× 0,85 pour la femme).
  • -Adaptation posologique chez l'adulte et l'adolescent atteints d'insuffisance rénale, pesant plus de 50 kg:
  • +Adaptation posologique chez l'adulte et l'adolescent à partir de 16 ans atteints d'insuffisance rénale, pesant plus de 50 kg:
  • -Normale >80 500–1500 mg deux fois par jour
  • -Insufficance légère 5079 500–1000 mg deux fois par jour
  • -Insufficance modérée 3049 250750 mg deux fois par jour
  • -Insufficance sévère <30 250500 mg deux fois par jour
  • +Fonction rénale normale 80 500–1500 mg deux fois par jour
  • +Insufficance rénalelégère 5079 500–1000 mg deux fois par jour
  • +Insufficance rénale modérée 3049 250750 mg deux fois par jour
  • +Insufficance rénale sévère <30 250500 mg deux fois par jour
  • -La CLcr en ml/min/1,73 m² peut être déterminée pour les adolescents, les enfants sur la base de la créatinine sérique (mg / dl), selon la formula suivante (formule de Schwartz):
  • +La CLcr en ml/min/1,73 m² peut être déterminée pour les adolescents, les enfants sur la base de la créatinine sérique (mg / dl), selon la formula suivante (formule de Schwartz):
  • -Patients dont la fonction hépatique est diminuée
  • -Une adaptation posologique n’est pas nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée. Dans les cas d’insuffisance hépatique sévère, la clairance de la créatinine peut conduire à une fausse estimation du degré d’insuffisance rénale. C’est pourquoi une réduction de moitié de la dose d’entretien quotidienne est recommandé si la clairance de la créatinine est inférieure à 60 ml/min/1,73 m2.
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
  • +Une adaptation posologique n’est pas nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée. Dans les cas d’insuffisance hépatique sévère, la clairance de la créatinine peut conduire à une fausse estimation du degré d’insuffisance rénale. C’est pourquoi une réduction de moitié de la dose d’entretien journalier est recommandé si la clairance de la créatinine est inférieure à 60 ml/min/1,73 m2.
  • -Conformément à la pratique clinique usuelle, l’arrêt éventuel du traitement par Rivoleve doit être réalisé de manière progressive (cf. «Posologie/Mode d’emploi»).
  • +Conformément à la pratique clinique usuelle, l’arrêt éventuel du traitement par Levetiracetam Rivopharm doit être réalisé de manière progressive (cf.«Posologie/Mode d’emploi»).
  • -14% des patients adultes et enfants (de 4 à 16 ans) présentant des crises partielles sous lévétiracétam ont rapporté une augmentation de plus de 25% de la fréquence des crises, contre respectivement 26% et 21% sous placebo.
  • +14% des patients adultes et enfants (de 4 à 16 ans) présentant des crises focalessous lévétiracétam ont rapporté une augmentation de plus de 25% de la fréquence des crises, contre respectivement 26% et 21% sous placebo.
  • -Dans le cadre d’un entretien détaillé, les patients et leurs proches ainsi que les référents devraient par conséquent être avertis, en particulier aussi avant le début du traitement, de contacter immédiatement un médecin en cas d’aggravation de l’humeur et/ou de retrait social et/ou de survenue de symptômes dépressifs et/ou d’hostilité/agressivité ou d’autres modifications comportementales ou de la personnalité, mais également lors d’idées suicidaires. Il ne faut pas oublier que la suicidalité ne peut dans certains s’annoncer que par des modifications comportementales. Avant le début du traitement, il convient de déterminer s’il existe des facteurs de risques de suicidalité scientifiquement prouvés (par ex. antécédents de maladies psychiatriques, de suicidalité, etc.) et le rapport bénéfice-risque doit être soigneusement évalué en particulier aussi de ce point de vue.
  • +Dans le cadre d’un entretien détaillé, les patients et leurs proches ainsi que les référents devraient par conséquent être avertis, en particulier aussi avant le début du traitement, de contacter immédiatement un médecin en cas d’aggravation de l’humeur et/ou de retrait social et/ou de survenue de symptômes dépressifs et/ou d’hostilité/agressivité ou d’autres modifications comportementales ou de la personnalité, mais également lors d’idées suicidaires. Il ne faut pas oublier que la suicidalité ne peut dans certains cas s’annoncer que par des modifications comportementales. Avant le début du traitement, il convient de déterminer s’il existe des facteurs de risques de suicidalité scientifiquement prouvés, p. ex. antécédents de maladies psychiatriques, de suicidalité, et le rapport bénéfice-risque doit être soigneusement évalué en particulier aussi de ces point de vue.
  • +Réactions psychiatriques et troubles du comportement:
  • +Le levetiracetam peut provoquer des changements de comportement (par exemple, agression, agitation, colère, anxiété, apathie, dépression, hostilité et irritabilité) et des symptômes psychotiques. Les patients traités au levetiracetam doivent être surveillés pour détecter les signes et symptômes psychiatriques indiquant des changements significatifs de l'humeur et/ou de la personnalité. Si un tel comportement est constaté, le traitement au levetiracetam doit être adapté ou progressivement interrompu.
  • +Aggravation des crises
  • +Une réaction paradoxale d'aggravation des crises peut être observée surtout au début du traitement ou à l'augmentation de la dose.
  • +Allongement de l'intervalle QT à l'électrocardiogramme
  • +De rares cas d'allongement de l'intervalle QT à l'ECG ont été observés depuis la mise sur le marché. La prudence s'impose lors du traitement de patients présentant un allongement de l'intervalle QTc, de patients traités en association avec des médicaments modifiant l'intervalle QTc, ou de patients présentant une pathologie cardiaque pré-existante ou des troubles électrolytiques.
  • +
  • -In vitro, le lévétiracétam et son métabolite principal n’inhibent ni les isoformes les plus importantes du cytochrome P450 (CYP3A4, 2A6, 2C9, 2C19, 2D6, 2E1 et 1A2) ni la glucuronyltransférase (UGT1A1 et UGT1A6) ou l’activité de l’hydroxylase époxyde. En outre, le lévétiracétam n’affecte pas la glucuronidation in vitro de l’acide valproïque. Dans les cultures d’hépatocytes humains, le lévétiracétam n’a entraîné aucun effet ou un effet minime sur la conjugaison de l’éthinylestradiol.
  • -À des concentrations élevées (680 μg/ml), le lévétiracétam a provoqué une légère induction du CYP2B6 et du CYP3A4; lors de concentrations plasmatiques maximales telles qu’elles ont été observées lors d’une administration répétée de 1’500 mg deux fois par jour, ces effets ont été jugés comme étant sans pertinence biologique. C’est pourquoi des interactions entre lévétiracétam et d’autres médicaments dues à une inhibition ou à une induction enzymatique sont assez improbables.
  • -Le probénécide inhibe la clairance rénale du métabolite principal, mais pas celle du lévétiracétam. Néanmoins, la concentration du métabolite principal reste faible. Il semble vraisemblable que d’autres substances éliminées par sécrétion tubulaire active diminuent également la clairance rénale de ce métabolite. L’effet du lévétiracétam sur le probénécide n’a pas été étudié et l’effet du lévétiracétam sur d’autres médicaments sécrétés activement comme les AINS, les sulfonamides et le méthotrexate est inconnu.
  • -L’administration concomitante d’autres antiépileptiques (carbamazépine, phénytoïne, acide valproïque, lamotrigine, primidone et gabapentine) ne modifie pas les paramètres pharmacocinétiques du lévétiracétam et inversement, le lévétiracétam n’influence également pas la concentration sérique de ces antiépileptiques.
  • +In vitro, le lévétiracétam et son métabolite principal n’inhibent ni les isoformes les plus importantes du cytochrome P450 du foie humain (CYP3A4, 2A6, 2C9, 2C19, 2D6, 2E1 et 1A2) ni la glucuronyltransférase (UGT1A1 et UGT1A6) ou l’activité de l’hydroxylase époxyde. En outre, le lévétiracétam n’affecte pas non plus la glucuronidation in vitro de l’acide valproïque et, le lévétiracétam n’a entraîné aucun effet ou un effet minime sur la conjugaison de l’éthinylestradiol dans les cultures d’hépatocytes.
  • +À des concentrations élevées (680 μg/ml), le lévétiracétam a provoqué une légère induction du CYP2B6 et du CYP3A4; lors de concentrations plasmatiques maximales telles qu’elles ont été observées lors d’une administration répétée de 1’500 mg deux fois par jour, ces effets ont été jugés comme étant sans pertinence clinique. C’est pourquoi des interactions entre lévétiracétam et d’autres médicaments dues à une inhibition ou à une induction enzymatique sont assez improbables.
  • +Le probénécide diminue la clairance rénale du métabolite principal, mais pas celle du lévétiracétam. Néanmoins, la concentration du principal métabolite reste faible. Il semble vraisemblable que d’autres substances éliminées par sécrétion tubulaire active diminuent également la clairance rénale de ce métabolite. L’effet du lévétiracétam sur le probénécide n’a pas été étudié et l’effet du lévétiracétam sur d’autres médicaments sécrétés activement comme les AINS, les sulfonamides et le méthotrexate est inconnu.L’administration concomitante d’autres antiépileptiques (carbamazépine, phénytoïne, acide valproïque, phénobarbital, lamotrigine, primidone et gabapentine) ne modifie pas les paramètres pharmacocinétiques du lévétiracétam et inversement, le lévétiracétam n’influence également pas la concentration sérique de ces antiépileptiques.
  • -Les études pharmacocinétiques ne montrent pas d’interaction avec la digoxine, les contraceptifs oraux (éthinylestradiol et lévonorgestrel) ni la warfarine. Les paramètres endocriniens (LH et progestérone), ainsi que le temps de prothrombine ne sont pas modifiés.
  • +Les études pharmacocinétiques ne montrent pas d’interaction avec la digoxine, les contraceptifs oraux (éthinylestradiol et lévonorgestrel) ni avec la warfarine. Les paramètres endocriniens (LH et progestérone), ainsi que le temps de prothrombine ne sont pas modifiés.
  • -Grossesse/Allaitement
  • +Grossesse, Allaitement
  • -Les femmes en âge de procréer doivent être conseillées par un spécialiste. Pour la durée du traitement, il est recommandé d'utiliser une méthode de contraception sûre. Si une femme envisage de devenir enceinte, le traitement au lévétiracétam devrait être reconsidéré. Comme cela se fait pour d'autres médicaments antiépileptiques, un arrêt soudain du lévétiracétam doit être évité car cela peut provoquer des crises de sevrage et de mal épileptique, qui peuvent avoir de graves conséquences pour la femme et l'enfant à naître. Une monothérapie est à privilégier dans la mesure du possible, vu qu'une thérapie à plusieurs médicaments antiépileptiques, est liée - selon sa combinaison - à un risque plus élevé de malformations congénitales.
  • +Les femmes en âge de procréer doivent être conseillées par un spécialiste. Pour la durée du traitement, il est recommandé d'utiliser une méthode de contraception sûre. Si une femme envisage de devenir enceinte, le traitement au lévétiracétam devrait être reconsidéré. Comme cela se fait pour d'autres médicaments antiépileptiques, un arrêt soudain de lévétiracétam doit être évité car cela peut provoquer des crises de sevrage et de mal épileptique, qui peuvent avoir de graves conséquences pour la femme et l'enfant à naître. Une monothérapie est à privilégier dans la mesure du possible, vu qu'une thérapie à plusieurs médicaments antiépileptiques, est liée - selon sa combinaison - à un risque plus élevé de malformations congénitales.
  • -Il existe des rapports relatifs à la diminution de la concentration plasmatique du lévétiracétam pendant la grossesse.
  • +Une diminution de la concentration plasmatique de lévétiracétam a été observée pendant la grossesse.
  • -Prise pendant l’allaitement
  • +Allaitement
  • -L’influence de lévétiracetam sur l’aptitude à la conduite et l’utilisation de machines n’a pas fait l’objet d’étude. En raison de la possibilité de différences individuelles en matière de sensibilité, certains patients peuvent présenter un état de somnolence ou d’autres troubles du système nerveux central en début de traitement ou après une augmentation de la dose. C’est pourquoi la prudence s’impose lors d’activités nécessitant une attention accrue, comme par exemple la conduite d’un véhicule ou l’utilisation de machines.
  • +L’influence de lévétiracetam sur l’aptitude à la conduite et l’utilisation de machines n’a pas fait l’objet d’étude. Parce qu'une éventuelle sensibilité peut varier individuellement, certains patients peuvent présenter un état de somnolence ou d’autres troubles du système nerveux central en début de traitement ou après une augmentation de la dose. C’est pourquoi la prudence s’impose lors d’activités nécessitant une attention accrue, comme par exemple la conduite d’un véhicule ou l’utilisation de machines.
  • -Les données sur la sécurité d’emploi et la tolérance obtenues lors de ces études menées chez des patients adultes présentant des crises partielles, ont montré l’apparition d’effets secondaires chez 46,4% des patients du groupe lévétiracétam et chez 42% des patients du groupe placebo; 2,4% des patients sous lévétiracétam et 2,0% des patients sous placebo ont présenté des effets indésirables graves.
  • +Les données sur la sécurité d’emploi et la tolérance obtenues lors de ces études menées chez des patients adultes présentant des crises focales, ont montré l’apparition d’effets secondaires chez 46,4% des patients du groupe lévétiracétam et chez 42% des patients du groupe placebo; 2,4% des patients sous lévétiracétam et 2,0% des patients sous placebo ont présenté des effets indésirables graves.
  • -Une étude menée chez des adultes et des adolescents présentant des crises myocloniques (âgés de 12 à 65 ans) montre que 33,3% des patients dans le groupe lévétiracétam et 30,0% des patients dans le groupe placebo ont eu des effets indésirables considérés comme liés au traitement. Les effets indésirables rapportés le plus souvent ont été des maux de tête et de la somnolence. La fréquence des effets indésirables chez des patients souffrant de crises myocloniques était plus faible que chez des patients souffrant de crises partielles (33,3% versus 46,4%).
  • +De plus, des symptômes psychopathologiques tels qu'agitation, dépersonnalisation, mouvements réflexes (hyperkinésie), troubles de la personnalité, ont été rapportés. De telles manifestations comportementales et psychopathologiques étaient plus fréquentes chez les enfants que chez les adultes (38,6% versus 18,6%).
  • +Une étude menée chez des adultes et des adolescents présentant des crises myocloniques (âgés de 12 à 65 ans) montre que 33,3% des patients dans le groupe lévétiracétam et 30,0% des patients dans le groupe placebo ont eu des effets indésirables considérés comme liés au traitement. Les effets indésirables rapportés le plus souvent ont été des maux de tête et de la somnolence. La fréquence des effets indésirables chez des patients souffrant de crises myocloniques était plus faible que chez des patients souffrant de crises focales(33,3% versus 46,4%).
  • -De plus, des symptômes psychopathologiques tels qu’agitation, dépersonnalisation, mouvements réflexes (hyperkinésie), troubles de la personnalité, ont été rapportés. De telles manifestations comportementales et psychopathologiques étaient plus fréquentes chez les enfants que chez les adultes (38,6% versus 18,6%).
  • -Une étude de tolérance dans la population pédiatrique, étude de non infériorité, en double aveugle, contrôlée contre placebo, a permis d’évaluer les effets cognitifs et neuropsychologiques de lévétiracétam chez les enfants de 4 à 16 ans ayant des crises partielles. Il a été conclu que lévétiracétam n’était pas différent (non inférieur) du placebo pour la modification du score Leiter-R Attention and Memory, Memory Screen Composite dans la population per protocole par rapport au score à l’inclusion. Les résultats concernant les fonctions comportementale et émotionnelle ont indiqué une aggravation du comportement agressif chez les patients traités par lévétiracétam, selon une mesure standardisée et systématique utilisant un instrument validé, la Child Behavior CheckList d’Achenbach (CBCL). Cependant, les sujets traités par lévétiracétam dans l’étude de suivi à long terme en ouvert n’ont pas présenté, en moyenne, d’altération des fonctions comportementale et émotionnelle, en particulier, les mesures du comportement agressif n’ont pas montré d’aggravation par rapport aux valeurs à l’inclusion.
  • +Une étude de tolérance dans la population pédiatrique, étude de non infériorité, en double aveugle, contrôlée contre placebo, a permis d’évaluer les effets cognitifs et neuropsychologiques de lévétiracétam chez les enfants de 4 à 16 ans ayant des crises focales. Il a été conclu que lévétiracétam n’était pas différent (non inférieur) du placebo pour la modification du score Leiter-R Attention and Memory, Memory Screen Composite dans la population per protocole par rapport au score à l’inclusion. Les résultats concernant les fonctions comportementale et émotionnelle ont indiqué une aggravation du comportement agressif chez les patients traités par lévétiracétam, selon une mesure standardisée et systématique utilisant un instrument validé, la Child Behavior CheckList d’Achenbach (CBCL). Cependant, les sujets traités par lévétiracétam dans l’étude de suivi à long terme en ouvert n’ont pas présenté, en moyenne, d’altération des fonctions comportementale et émotionnelle, en particulier, les mesures du comportement agressif n’ont pas montré d’aggravation par rapport aux valeurs à l’inclusion.
  • +Liste des effets indésirables
  • +
  • -Très fréquent: (≥1/10); fréquent: (≥1/100 à <1/10); peu fréquent: (≥1/1000 à <1/100); rare: (≥1/10 000 à <1/1 000); très rare: (<1/10 000); (cas isolés inclus).
  • -Les données recueillies depuis la commercialisation sont insuffisantes pour déterminer leur incidence dans la population traitée.
  • -Infections et affections parasitaires
  • -Très fréquent: rhinopharyngite.
  • -Rare: infection
  • +très fréquents: (≥1/10); fréquents: (≥1/100 à <1/10); occasionnels: (≥1/1000 à <1/100); rares: (≥1/10 000 à <1/1 000); très rares: (<1/10 000); (cas isolés inclus); « Fréquence inconnue » (ne peut être estimée sur la base des données disponibles)
  • +Infections et infestations
  • +Très fréquents: nasopharyngite.
  • +Rares: infection
  • -Peu fréquent: thrombocytopénie.
  • -Expérience après commercialisation: pancytopénie (avec aplasie médullaire dans quelques cas), agranulocytose, leucopénie, neutropénie.
  • -Affections du système immunitaire
  • -Expériences après commercialisation: exanthème médicamenteux avec éosinophilie et symptômes systémiques (syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse [SHM] ou syndrome DRESS [Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms], voir «Mises en gare et précautions»), réaction anaphylactique.
  • +Occasionnels: thrombocytopénie.
  • +Affections cardiaques
  • +Rares: Allongement de l'intervalle QT (ECG).
  • -Peu fréquent: prise de poids.
  • -Expérience après commercialisation: perte de poids, hyponatrémie.
  • +Occasionnels: prise de poids.
  • -Fréquent: dépression, hostilité, agressivité, insomnie, nervosité, irritabilité.
  • -Peu fréquent : labilité émotionnelle/sautes d’humeur, agitation.
  • -Rare: troubles de la personnalité, pensées anormales.
  • -Expérience après commercialisation: trouble du comportement, colère, accès de panique, anxiété, état de confusion, hallucination, trouble psychotique, idée suicidaire, tentative de suicide, suicide, délire.
  • -
  • +Fréquents: dépression, hostilité, agressivité, insomnie, nervosité, irritabilité.
  • +Occasionnels: labilité émotionnelle/sautes d’humeur, agitation.
  • +Rares: troubles de la personnalité, pensées anormales.
  • -Très fréquent: somnolence céphalée.
  • -Fréquent: convulsion, étourdissement, tremblement, troubles de l’équilibre.
  • -Peu fréquent : amnésie, troubles de la coordination/ataxie, troubles de l’attention, troubles de la mémoire.
  • -Rare : hyperkinésie.
  • -Expérience après commercialisation: choréoathétose, dyskinésie, paresthésie, léthargie, problème dans la démarche
  • -
  • +Très fréquents: somnolence céphalée.
  • +Fréquents: convulsion, étourdissement, tremblement, troubles de l’équilibre.
  • +Occasionnels: amnésie, troubles de la coordination/ataxie, troubles de l’attention, troubles de la mémoire.
  • +Rares : hyperkinésie.
  • -Peu fréquent: diplopie, vision trouble.
  • +Occasionnels: diplopie, vision trouble.
  • -Fréquent: vertige.
  • +Fréquents: vertige.
  • -Fréquent: toux.
  • +Fréquents: toux.
  • -Expérience après commercialisation: pancréatite.
  • -Affections hépato-biliaires
  • -Expérience après commercialisation: insuffisance hépatique, hépatite, anomalies des tests de la fonction hépatique.
  • -Affections du rein et des voies urinaires
  • -Expérience après commercialisation: insuffisance rénale aiguë.
  • -Fréquent: éruption cutanée.
  • -Peu fréquent: eczéma, prurit.
  • -Expérience après commercialisation: nécrolyse épidermique toxique, syndrome de Stevens-Johnson (voir «Mises en garde et précautions»), érythème polymorphe et alopécie (dans plusieurs cas d’alopécie, une amélioration a été observée après l’arrêt du lévétiracétam), angioedème.
  • -Affections musculosquelettiques et systémiques
  • -Peu fréquent: myalgie.
  • -Expérience après commercialisation: faiblesse musculaire, rhabdomyolyse et augmentation du taux de créatine phosphokinase dans le sang1.
  • -Troubles généraux et anomalies au site d'administration¨
  • +Fréquents: éruption cutanée.
  • +Occasionnels: eczéma, prurit.
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • +Occasionnels: myalgie.
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • -Peu fréquent: blessures.
  • -Description des effets indésirables sélectionnés:
  • -1 La rhabdomyolyse et l'augmentation du taux de créatine phosphokinase dans le sang sont significativement plus fréquentes chez les patients japonais que chez les patients non japonais.
  • +Occasionnels: blessures.
  • +Effets indésirables identifiés après la mise sur le marché
  • +Les données recueillies depuis la commercialisation sont insuffisantes pour déterminer leur incidence dans la population traitée.
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • +Occasionnels: thrombocytopénie. Pancytopénie (avec aplasie médullaire dans quelques cas), agranulocytose, leucopénie, neutropénie.
  • +Affections du système immunitaire
  • +Exanthème médicamenteux avec éosinophilie et symptômes systémiques (syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse [SHM] ou syndrome DRESS [Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms], voir «Mises en gare et précautions»), réaction anaphylactique.Troubles du métabolisme et de la nutrition
  • +Perte de poids, hyponatrémie
  • +Affections psychiatriques
  • +Trouble du comportement, rage, accès de panique, anxiété, état de confusion, hallucination, trouble psychotique, idée suicidaire, tentative de suicide, suicide, délire.
  • +Affections du système nerveux
  • +Choréoathétose, dyskinésie, paresthésie, léthargie, problème dans la démarche, déficit d'attention encéphalopathie1, aggravation des crises.
  • +Affections gastro-intestinales
  • +Pancréatite.
  • +Affections hépatobiliaires
  • +Insuffisance hépatique, hépatite, anomalies des tests de la fonction hépatique.
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • +Insuffisance rénale aiguë.
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • +Nécrolyse épidermique toxique, syndrome de Stevens-Johnson (voir «Mises en garde et précautions»), érythème polymorphe et alopécie (dans plusieurs cas d’alopécie, une amélioration a été observée après l’arrêt du lévétiracétam), angioedème.
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • +Faiblesse musculaire, rhabdomyolyse et augmentation du taux de créatine phosphokinase dans le sang2.
  • +Description des effets indésirables sélectionnés :
  • +1 Les cas d'encéphalopathie sont généralement apparus au début du traitement (quelques jours à quelques mois) et étaient réversibles après l'arrêt du traitement.
  • +2 La rhabdomyolyse et l'augmentation du taux de créatine phosphokinase dans le sang sont significativement plus fréquentes chez les patients japonais que chez les patients non japonais.
  • +Il existe également des preuves d'une possible prédisposition de la population japonaise au syndrome malin des neuroleptiques (SMN).
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +
  • -Code ATC: N03AX14
  • +Code ATC
  • +N03AX14
  • -Pharmacodynamie
  • -Le lévétiracétam est inactif dans les modèles de screening classiques pour inhibiteurs des convulsions. Cependant, le lévétiracétam assure une haute protection contre les crises dans de nombreux modèles animaux de crises partielles et de crises primaires généralisées, associée à une marge de sécurité particulièrement importante entre les doses thérapeutiques et les doses pouvant provoquer des effets secondaires.
  • +Pharmacodynamique
  • +Le lévétiracétam est inactif dans les modèles de screening classiques pour inhibiteurs des convulsions. Cependant, le lévétiracétam assure une haute protection contre les crises dans de nombreux modèles animaux de crises focales et de crises primaires généralisées, associée à une marge de sécurité particulièrement importante entre les doses thérapeutiques et les doses pouvant provoquer des effets secondaires.
  • -En association dans le traitement de crises partielles avec ou sans généralisation secondaire chez les adultes et les enfants épileptiques à partir de 4 ans
  • +En association dans le traitement de crises focales avec ou sans généralisation secondaire chez les adultes, les adolescents les enfants épileptiques à partir de 4 ans.
  • -Chez les enfants (de 4 à 16 ans), l’efficacité du lévétiracétam a été établie lors d’une étude en double aveugle contrôlée versus placebo incluant 198 patients sur 14 semaines de traitement. Dans cette étude, les patients recevaient du lévétiracétam à dose fixe soit 60 mg/kg/jour (répartis en 2 prises). 44,6% des patients traités par lévétiracétam et 19,6% des patients sous placebo ont présenté une réduction de 50% ou plus par rapport à la valeur de base de la fréquence des crises partielles par semaine. Avec un traitement maintenu à long terme, 11,4% des patients étaient libres de crise depuis au moins 6 mois et 7,2% des patients depuis au moins un an.
  • +Chez les enfants (de 4 à 16 ans), l’efficacité du lévétiracétam a été établie lors d’une étude en double aveugle contrôlée versus placebo incluant 198 patients sur 14 semaines de traitement. Dans cette étude, les patients recevaient du lévétiracétam à dose fixe soit 60 mg/kg/jour (répartis en 2 prises). 44,6% des patients traités par lévétiracétam et 19,6% des patients sous placebo ont présenté une réduction de 50% ou plus par rapport à la valeur de base de la fréquence des crises focales par semaine. Avec un traitement maintenu à long terme, 11,4% des patients étaient libres de crise depuis au moins 6 mois et 7,2% des patients depuis au moins un an.
  • -Monothérapie dans le traitement des crises partielles avec ou sans généralisation secondaire chez les patients à partir de 16 ans avec épilepsie
  • -L’efficacité du lévétiracétam en monothérapie a été établie au cours d’un essai comparatif de non infériorité en double aveugle, groupes parallèles, versus carbamazépine à libération contrôlée (controlled release, CR) chez 576 patients de 16 ans et plus présentant une épilepsie nouvellement ou récemment diagnostiquée. Les patients devaient avoir des crises partielles non provoquées ou des crises généralisées tonico-cloniques. Les patients étaient randomisés pour recevoir carbamazépine CR 400–1200 mg/jour ou lévétiracétam 1000–3000 mg/jour. La durée du traitement pouvait aller jusqu’à 121 semaines en fonction de la réponse thérapeutique. 73,0% des patients sous lévétiracétam et 72,8% des patients traités par carbamazépine CR ont été libres de crise pendant 6 mois; la différence absolue ajustée entre les traitements était de 0,2% (IC 95%: –7,8 8,2). Plus de la moitié des sujets sont restés libres de crise pendant 12 mois (56,6% et 58,5% des patients sous lévétiracétam et sous carbamazépine CR respectivement).
  • +Monothérapie dans le traitement des crises focales avec ou sans généralisation secondaire chez les patients à partir de 16 ans avec épilepsie
  • +L’efficacité du lévétiracétam en monothérapie a été établie au cours d’un essai comparatif de non infériorité en double aveugle, groupes parallèles, versus carbamazépine à libération contrôlée (controlled release, CR) chez 576 patients de 16 ans et plus présentant une épilepsie nouvellement ou récemment diagnostiquée. Les patients devaient avoir des crises focales non provoquées ou des crises généralisées tonico-cloniques. Les patients étaient randomisés pour recevoir carbamazépine CR 400–1200 mg/jour ou lévétiracétam 1000–3000 mg/jour. La durée du traitement pouvait aller jusqu’à 121 semaines en fonction de la réponse thérapeutique. 73,0% des patients sous lévétiracétam et 72,8% des patients traités par carbamazépine CR ont été libres de crise pendant 6 mois; la différence absolue ajustée entre les traitements était de 0,2% (IC 95%: –7,8 8,2). Plus de la moitié des sujets sont restés libres de crise pendant 12 mois (56,6% et 58,5% des patients sous lévétiracétam et sous carbamazépine CR respectivement).
  • -Elimination
  • -La demi-vie plasmatique est de 7,2 heures. La clairance corporelle totale s’élève en moyenne à 0,96 ml/min/kg.
  • +Élimination
  • +La demi-vie plasmatique chez les adultes est de 7,2 heures. La clairance corporelle totale s’élève en moyenne à 0,96 ml/min/kg.
  • +Troubles de la fonction hépatique
  • +Chez les patients avec altération de la fonction hépatique légère à modérée, la clairance du lévétiracétam est pratiquement inchangée.Par contre, chez la plupart des patients atteints d’une affection hépatique sévère, la clairance du lévétiracétam est diminuée de plus de 50% en raison d’une détérioration concomitante de la fonction rénale (voir «Posologie/Mode d’emploi»).
  • +Troubles de la fonction rénale
  • +La clairance corporelle totale du lévétiracétam et de son métabolite principal est en corrélation avec la clairance de la créatinine. C’est pourquoi un ajustement du dosage d’entretien journalières de Levetiracetam Rivopharm en fonction de la clairance de la créatinine est recommandé chez les patients présentant des troubles de la fonction rénale modérée à graves (voir «Posologie/Mode d’emploi»).
  • +Chez les patients anuriques adultes en stade terminal d’affection rénale, la demi-vie est d’environ 25 heures entre deux séances de dialyse et de 3,1 heures pendant la dialyse. Au cours d’une dialyse classique de 4 heures, 51% de la dose de lévétiracétam sont éliminés du plasma.
  • +
  • -Patients dont la fonction rénale est diminuée
  • -La clairance corporelle totale du lévétiracétam et de son métabolite principal est en corrélation avec la clairance de la créatinine. C’est pourquoi un ajustement des doses journalières d’entretien de Rivoleve en fonction de la clairance de la créatinine est recommandé chez les patients atteints d’insuffisance rénale modérée à sévère (voir «Posologie/Mode d’emploi»).
  • -Chez les patients adultes anuriques en stade terminal d’affection rénale, la demi-vie est d’environ 25 heures entre deux séances de dialyse et de 3,1 heures pendant la dialyse. Au cours d’une dialyse classique de 4 heures, 51% de la dose de lévétiracétam sont éliminés du plasma.
  • -Patients dont la fonction hépatique est diminuée
  • -Chez les patients avec altération de la fonction hépatique légère à modérée, la clairance du lévétiracétam est pratiquement inchangée. En revanche, chez la plupart des patients atteints d’une affection hépatique sévère, la clairance du lévétiracétam est diminuée de plus de 50% en raison d’une insuffisance rénale associée (voir «Posologie/Mode d’emploi»).
  • -Remarques concernant le stockage
  • -Conserver à température ambiante (15–25 °C) dans l’emballage original. Le médicament doit être conservé hors de portée des enfants.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +Conserver à température ambiante (15–25 °C) dans l’emballage original pour protéger le contenu de la lumière. Le médicament doit être conservé hors de portée des enfants.
  • -Rivoleve 250 mg comprimés pelliculés (sécables): emballage de 30 comprimés pelliculés.
  • -Rivoleve 500 mg comprimés pelliculés (sécables): emballages de 20, 100 et 200 comprimés pelliculés.
  • -Rivoleve 1000 mg comprimés pelliculés (sécables): emballages de 30, 100 et 200 comprimés pelliculés.
  • +Levetiracetam Rivopharm 250 mg comprimés pelliculés (sécables): emballage de 30 comprimés pelliculés.
  • +Levetiracetam Rivopharm 500 mg comprimés pelliculés (sécables): emballages de 20, 100 et 200 comprimés pelliculés.
  • +Levetiracetam Rivopharm 1000 mg comprimés pelliculés (sécables): emballages de 30, 100 et 200 comprimés pelliculés.
  • -Décembre 2018.
  • +Avril 2022.
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