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Accueil - Information professionnelle sur Valsartan Sandoz 40 - Changements - 15.12.2015
28 Changements de l'information professionelle Valsartan Sandoz 40
  • -Insuffisance cardiaque légère à moyenne (NYHA II et III) chez l'adulte, normalement en association à un diurétique et à un digitalique, lorsqu'un traitement par inhibiteur de l'ECA n'est pas indiqué à cause d'effets indésirables spécifiques aux inhibiteurs de l'ECA (toux). Les effets indésirables issus d'un traitement par inhibiteurs de l'ECA qui apparaissent suite à l'action générale sur le système rénine-angiotensine-aldostérone (comme par ex. une insuffisance rénale progressive, une hyperkaliémie) ne représentent pas une indication pour un traitement par Valsartan Sandoz.
  • +Insuffisance cardiaque légère à moyenne (NYHA II et III) chez l'adulte, normalement en association à un diurétique et à un digitalique, lorsqu'un traitement par inhibiteur de l'ECA n'est pas indiqué à cause d'effets indésirables spécifiques aux inhibiteurs de l'ECA (toux) ou chez les patients présentant une intolérance aux bêtabloquants comme traitement d'appoint aux inhibiteurs de l'ECA, lorsque des antagonistes du récepteur des minéralocorticoïdes ne peuvent pas être utilisés. Les effets indésirables issus d'un traitement par inhibiteurs de l'ECA qui apparaissent suite à l'action générale sur le système rénine-angiotensine-aldostérone (comme par ex. une insuffisance rénale progressive, une hyperkaliémie) ne représentent pas une indication pour un traitement par Valsartan Sandoz.
  • -La triple association inhibiteur de l'ECA + bêta-bloquant + valsartan sera administrée avec une prudence particulière chez les patients insuffisants cardiaques, car la morbidité liée à l'insuffisance cardiaque et la mortalité sont accrues lors de l'administration simultanée de bêta-bloquants et d'inhibiteurs de l'ECA en comparaison à un placebo.
  • +Chez les patients insuffisants cardiaques, aucune utilité clinique n'a pu être prouvée pour la triple association d'un inhibiteur de l'ECA, d'un bêtabloquant et du valsartan. Cette association augmente manifestement le risque d'événements indésirables et n'est donc pas recommandée. Une triple association d'un inhibiteur de l'ECA, d'un antagoniste du récepteur des minéralocorticoïdes et du valsartan n'est pas recommandée non plus.
  • +De telles combinaisons ne devraient être utilisées que sous la surveillance d'un spécialiste et en effectuant des contrôles étroits de la fonction rénale, des électrolytes et de la tension artérielle.
  • -L'administration concomitante d'ARA, y compris de Valsartan Sandoz, et d'autres principes actifs bloquant le SRAA, tels que les ICE ou l'aliskirène n'est pas recommandée. Cette association est contre-indiquée chez certains patients (cf. «Contre-indications» et «Interactions», sous-section «Double blocage du SRAA»).
  • +(Cf. «Contre-indications», «Interactions», sous-section «Double blocage du SRAA».)
  • -On ne dispose d'aucune expérience sur l'administration simultanée de valsartan et de lithium. C'est pourquoi un contrôle régulier de la lithémie est recommandé lors de l'administration simultanée de lithium et de Valsartan Sandoz.
  • -Double blocage du système rénine-angiotensine-aldostérone avec des ARA, des IEC ou de l'aliskirène: L'administration concomitante d'ARA, y compris de Valsartan Sandoz, avec d'autres médicaments agissant sur le SRAA est associée à une augmentation de l'incidence de l'hypotension, des syncopes, de l'hyperkaliémie et de l'insuffisance rénale (y compris d'une défaillance rénale aigüe) par rapport à une monothérapie. Chez les patients recevant Valsartan Sandoz et d'autres médicaments agissant sur le SRAA, il est recommandé de surveiller régulièrement la tension artérielle, la fonction rénale et le statut électrolytique (cf. rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Double blocage du système rénine-angiotensine-aldostérone avec des ARA, des IEC ou de l'aliskirène
  • +L'administration concomitante d'ARA, y compris de Valsartan Sandoz, avec d'autres médicaments agissant sur le SRAA est associée à une augmentation de l'incidence de l'hypotension, des syncopes, de l'hyperkaliémie et de l'insuffisance rénale (y compris d'une défaillance rénale aigüe) par rapport à une monothérapie. Un double blocage du SRAA par l'utilisation concomittante d'un inhibiteur de l'ECA, d'un ARA ou de l'aliskirène n'est par conséquent pas recommandé. Lorsque le traitement avec un double blocage est considéré comme absolument nécessaire, celui-ci doit se faire sous la surveillance d'un spécialiste et en effectuant des contrôles étroits de la fonction rénale, des électrolytes et de la tension artérielle. (cf. rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Lithium: Une augmentation réversible de la concentration sérique de lithium et de la toxicité du lithium a été observée lors de l'administration concomitante de lithium et d'inhibiteurs de l'ECA ou d'antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, dont Valsartan Sandoz. Une surveillance étroite de la concentration sérique de lithium est donc recommandée en cas d'administration concomitante. Le risque de toxicité du lithium peut encore être augmenté lors de l'administration concomitante de diurétiques et de Valsartan Sandoz.
  • -Potassium: L'administration simultanée de diurétiques d'épargne potassique (par ex. la spironolactone, le triamtérène, l'amiloride), de suppléments en potassium ou de substituts de sel contenant du potassium peut provoquer une élévation de la kaliémie, et une augmentation de la créatininémie chez les patients insuffisants cardiaques. La prudence est recommandée lors d'administration simultanée.
  • -Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), y compris inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase-2 (inhibiteurs de la COX-2): l'administration d'AINS et d'inhibiteurs de la COX-2 peut diminuer l'effet antihypertenseur des antagonistes des récepteurs de l'angiotensine-II (ARA). Chez les patients âgés, les patients insuffisants rénaux et ceux présentant une hypovolémie (aussi sous traitement diurétiques), l'administration concomitante d'AINS (ou d'inhibiteurs de la COX-2) et d'un ARA peut augmenter le risque de dégradation de la fonction rénale (y compris d'une insuffisance rénale aigüe). Chez de tels patients, la prudence est donc recommandée et la fonction rénale doit être régulièrement contrôlée, lors de l'association avec ces médicaments.
  • +Les inhibiteurs d'ECA – y compris le Valsartan Sandoz – et les antagonistes du récepteur de l'angiotensine (ARA) ne devraient pas être utilisés de manière concomitante chez les patients présentant une néphropathie diabétique.
  • +Lithium
  • +Une augmentation réversible de la concentration sérique de lithium et de la toxicité du lithium a été observée lors de l'administration concomitante de lithium et d'inhibiteurs de l'ECA ou d'antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, dont Valsartan Sandoz. Une surveillance étroite de la concentration sérique de lithium est donc recommandée en cas d'administration concomitante. Le risque de toxicité du lithium peut encore être augmenté lors de l'administration concomitante de diurétiques et de Valsartan Sandoz.
  • +Potassium
  • +L'administration simultanée de diurétiques d'épargne potassique (par ex. la spironolactone, le triamtérène, l'amiloride), de suppléments en potassium, de substituts de sel contenant du potassium ou d'autres médicaments qui peuvent augmenter la kaliémie (par exemple, héparine) peut provoquer une élévation de la kaliémie, et une augmentation de la créatininémie chez les patients insuffisants cardiaques. La prudence est recommandée lors d'administration simultanée.
  • +Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), y compris inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase-2 (inhibiteurs de la COX-2)
  • +L'administration d'AINS et d'inhibiteurs de la COX-2 peut diminuer l'effet antihypertenseur des antagonistes des récepteurs de l'angiotensine-II (ARA). Chez les patients âgés, les patients insuffisants rénaux et ceux présentant une hypovolémie (aussi sous traitement diurétiques), l'administration concomitante d'AINS (ou d'inhibiteurs de la COX-2) et d'un ARA peut augmenter le risque de dégradation de la fonction rénale (y compris d'une insuffisance rénale aigüe). Chez de tels patients, la prudence est donc recommandée et la fonction rénale doit être régulièrement contrôlée, lors de l'association avec ces médicaments.
  • -Transporteurs: Des études in vitro avec du tissu hépatique humain indiquent que le valsartan est un substrat du transporteur hépatique d'influx OATP1B1 et du transporteur hépatique d'efflux MRP2. Pour cette raison, l'exposition systémique au valsartan peut augmenter en cas d'administration concomitante d'inhibiteurs du transporteur OATP1B1 (rifampicine, ciclosporine) ou MRP2 (ritonavir).
  • +Transporteurs
  • +Des études in vitro avec du tissu hépatique humain indiquent que le valsartan est un substrat du transporteur hépatique d'influx OATP1B1 et du transporteur hépatique d'efflux MRP2. Pour cette raison, l'exposition systémique au valsartan peut augmenter en cas d'administration concomitante d'inhibiteurs du transporteur OATP1B1 (par exemple, rifampicine, ciclosporine) ou MRP2 (par exemple, ritonavir).
  • -Fréquent: augmentation des valeurs de la créatinine et de l'urée dans le sang.
  • -Très rare: augmentation des valeurs de la bilirubine, diminution des valeurs de l'hémoglobine et de l'hématocrite dans le sang, valeurs hépatiques anormales.
  • +Fréquent: valeurs de la créatinine et de l'urée sanguine augmentées.
  • +Très rare: valeurs de la bilirubine augmentées, valeurs de l'hémoglobine et de l'hématocrite sanguins diminuées, valeurs hépatiques anormales.
  • -Etude clinique: L'étude Val-HeFT (Valsartan Heart Failure Trial, étude dans l'insuffisance cardiaque) est une étude internationale à double insu avec 5'010 patients présentant une insuffisance cardiaque au stade NYHA II (62%) à IV (2%) et une fraction d'éjection ventriculaire gauche <40%. Le traitement de base avait été choisi par le médecin traitant et les patients ont reçu de façon randomisée un placebo ou le valsartan, selon une titration de 40 mg 2×/jour jusqu'à la plus haute dose tolérée ou 160 mg 2×/jour. Sans traitement concomitant par inhibiteur de l'ECA, la répartition était de 181 patients sous placebo et 185 patients sous valsartan. La durée de l'observation a été en moyenne d'environ deux années. Deux critères d'évaluation principaux étaient définis, tous deux enregistrés comme le temps jusqu'au premier événement: la mortalité globale et la morbidité liée à l'insuffisance cardiaque, celle-ci définie comme englobant la mortalité globale, l'arrêt cardiaque avec réanimation, l'hospitalisation due à l'insuffisance cardiaque ou la nécessité d'administrer par voie intraveineuse un médicament inotrope ou vasodilatateur pendant au moins quatre heures.
  • +Etude clinique
  • +L'étude Val-HeFT (Valsartan Heart Failure Trial, étude dans l'insuffisance cardiaque) est une étude internationale à double insu avec 5'010 patients présentant une insuffisance cardiaque au stade NYHA II (62%) à IV (2%) et une fraction d'éjection ventriculaire gauche <40%. Le traitement de base avait été choisi par le médecin traitant et les patients ont reçu de façon randomisée un placebo ou le valsartan, selon une titration de 40 mg 2×/jour jusqu'à la plus haute dose tolérée ou 160 mg 2×/jour. Sans traitement concomitant par inhibiteur de l'ECA, la répartition était de 181 patients sous placebo et 185 patients sous valsartan. La durée de l'observation a été en moyenne d'environ deux années. Deux critères d'évaluation principaux étaient définis, tous deux enregistrés comme le temps jusqu'au premier événement: la mortalité globale et la morbidité liée à l'insuffisance cardiaque, celle-ci définie comme englobant la mortalité globale, l'arrêt cardiaque avec réanimation, l'hospitalisation due à l'insuffisance cardiaque ou la nécessité d'administrer par voie intraveineuse un médicament inotrope ou vasodilatateur pendant au moins quatre heures.
  • - Placebo(n=181) Valsartan(n=185) Risque relatif(95% IC)
  • + Placebo (n= 181) Valsartan (n= 185) Risque relatif (95% IC)
  • -Après administration intraveineuse, la clairance plasmatique est d'environ 2 l/h et la clearance rénale de 0,62 l/h (environ 30% de la clairance). La demi-vie du valsartan est de 6 heures.
  • +Après administration intraveineuse, la clairance plasmatique est d'environ 2 l/h et la clairance rénale de 0,62 l/h (environ 30% de la clairance). La demi-vie du valsartan est de 6 heures.
  • -Mise à part une toxicité foetale chez le lapin, aucune indication de toxicité systémique ou de toxicité d'organes cibles n'a été observée dans les différentes études précliniques de sécurité conduites chez plusieurs espèces d'animaux.
  • -Dans les études de mutagénicité, de clastogénicité, de capacité de reproduction et de carcinogénicité, les résultats se sont avérés négatifs pour le valsartan.
  • -Lors des études précliniques de sécurité, l'administration de doses élevées de valsartan (200-600 mg/kg de poids corporel) chez le rat a entraîné une diminution des paramètres relatifs aux globules rouges (érythrocytes, hémoglobine, hématocrite) et des modifications de l'hémodynamique rénale (légère augmentation des taux plasmatiques d'urée ainsi qu'hyperplasie tubulaire rénale et basophilie chez les animaux mâles). Ces doses chez le rat (200 et 600 mg/kg/jour) représentent environ 6 à 18 fois la dose recommandée pour l'être humain sur la base de mg/m² (le calcul repose sur une dose orale de 320 mg/jour et un patient de 60 kg). Des doses similaires chez le ouistiti ont entraîné des modifications semblables, mais plus sévères, en particulier au niveau des reins où les modifications ont évolué vers une néphropathie avec augmentation des taux d'urée et de créatinine. En outre, une hypertrophie des cellules rénales juxtaglomérulaires a été observée dans les deux espèces. Toutes ces modifications résultent probablement de l'effet pharmacologique du valsartan, qui provoque une hypotension persistante, particulièrement chez les ouistitis. L'hypertrophie des cellules rénales juxtaglomérulaires ne semble pas présenter d'importance aux doses thérapeutiques chez l'être humain. Au cours des études sur le développement embryofÅ“tal (segment II) menées chez la souris, le rat et le lapin, une fÅ“totoxicité a été observée parallèlement à une toxicité maternelle à des doses de valsartan ≥200 mg/kg/jour chez le rat et ≥10 mg/kg/jour chez le lapin.
  • -Les descendants des rates traitées pendant le dernier trimestre de la gestation et la lactation par 600 mg/kg ont montré un taux de survie légèrement diminué et un léger retard du développement (cf. «Grossesse/Allaitement»). Les principales découvertes précliniques concernant la sécurité sont à mettre au compte de l'action pharmacologique de la substance et n'ont aucune signification clinique.
  • -Aucune indication d'effets mutagènes, clastogènes ou carcinogènes n'a été mis en évidence chez la souris et le rat.
  • +Sur base des études classiques pour la pharmacologie de sécurité, la génotoxicité, la carcinogénicité et la fertilité, et mise à part une toxicité fÅ“tale chez le lapin, les données précliniques ne laissent présager aucun danger particulier pour l'homme.
  • +Toxicité chronique: Lors des études précliniques de sécurité, l'administration de doses élevées de valsartan (200-600 mg/kg de poids corporel/jour) chez le rat a entraîné une diminution des paramètres relatifs aux globules rouges (érythrocytes, hémoglobine, hématocrite) et des modifications de l'hémodynamique rénale (légère augmentation des taux d'urée dans le sang ainsi qu'hyperplasie tubulaire rénale et basophilie chez les animaux mâles). Ces doses chez le rat (200 et 600 mg/kg/jour) représentent environ 6 à 18 fois la dose recommandée pour l'être humain sur la base de mg/m² (le calcul repose sur une dose orale de 320 mg/jour et un patient de 60 kg). Des doses comparables chez le ouistiti ont entraîné des modifications semblables, mais plus sévères, en particulier au niveau des reins où les modifications ont évolué vers une néphropathie avec augmentation des taux d'urée et de créatinine. En outre, une hypertrophie des cellules rénales juxtaglomérulaires a été observée dans les deux espèces. Toutes ces modifications résultent probablement de l'effet pharmacologique du valsartan, qui provoque une hypotension persistante, particulièrement chez les ouistitis. L'hypertrophie des cellules rénales juxtaglomérulaires ne semble pas présenter d'importance aux doses thérapeutiques chez l'être humain.
  • +Toxicité de reproduction: Le valsartan n'a aucun effet indésirable sur la performance de reproduction de rats mâles et femelles à des doses orales de jusqu'à 200 mg/kg/jour.
  • +Au cours des études sur le développement embryofÅ“tal (segment II) menées chez la souris, le rat et le lapin, une fÅ“totoxicité a été observée parallèlement à une toxicité maternelle à des doses de valsartan ≥600 mg/kg/jour chez le rat et ≥10 mg/kg/jour chez le lapin.
  • +Les descendants des rates traitées pendant le dernier trimestre de la gestation et la lactation par 600 mg/kg/jour ont montré un taux de survie légèrement diminué et un léger retard du développement. Les principales découvertes précliniques concernant la sécurité sont à mettre au compte de l'action pharmacologique de la substance et n'ont aucune signification clinique.
  • +Mutagénicité: Aucun potentiel mutagène n'a pu être établi pour le valsartan, que ce soit au niveau génique ou au niveau chromosomique dans différentes études standards in vitro et in vivo de génotoxicité.
  • +Carcinogénicité: Il ne ressort aucun indice de carcinogénicité lors de l'administration du valsartan avec la nourriture à des dosages de jusqu'à 160 et respectivement, 200 mg/kg/jour pendant 2 ans à des souris et des rats.
  • -Valsartan Sandoz 40, comprimés pelliculés à 40 mg (emballage calendrier pour l'instauration du traitement dans l'infarctus du myocarde): 28 [B]
  • -Valsartan Sandoz 80, comprimés pelliculés à 80 mg (emballage calendrier): 28 et 98. [B]
  • -Valsartan Sandoz 160, comprimés pelliculés à 160 mg (emballage calendrier): 28 et 98. [B]
  • +Valsartan Sandoz 40
  • +Comprimés pelliculés à 40 mg (emballage calendrier pour l'instauration du traitement dans l'infarctus du myocarde): 28. [B]
  • +Valsartan Sandoz 80
  • +Comprimés pelliculés à 80 mg (emballage calendrier): 28 et 98. [B]
  • +Valsartan Sandoz 160
  • +Comprimés pelliculés à 160 mg (emballage calendrier): 28 et 98. [B]
  • -Sandoz Pharmaceuticals AG, Risch; domicile: Rotkreuz.
  • +Sandoz Pharmaceuticals AG, Risch; Domicile: Rotkreuz.
  • -Août 2014.
  • +Septembre 2015.
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