52 Änderungen an Fachinfo Rebif 8.8 und 22 RebiDose |
-Sclérose en plaque évoluant par poussées
-La posologie recommandée de Rebif en cas de sclérose en plaque évoluant par poussées est de 44 µg, administrés par voie sous-cutanée trois fois par semaine
- +Sclérose en plaques évoluant par poussées
- +La posologie recommandée de Rebif en cas de sclérose en plaques évoluant par poussées est de 44 µg, administrés par voie sous-cutanée trois fois par semaine
-Aucune étude clinique prospective ni aucune étude pharmacocinétique n’a été effectuée chez des enfants ou adolescents. Il n’existe à ce sujet que des données issues d’une analyse rétrospective chez des enfants et adolescents âgés de 2 à 17 ans (voir «Effets indésirables»). Les informations disponibles sur l’utilisation de Rebif chez les enfants de moins de 12 ans étant très limitées, Rebif ne doit pas être utilisé chez ce groupe de patients qu’avec prudence.
- +Aucune étude clinique prospective ni aucune étude pharmacocinétique n'a été effectuée chez des enfants ou adolescents. Il n'existe à ce sujet que des données issues d'une analyse rétrospective chez des enfants et adolescents âgés de 2 à 17 ans (voir «Effets indésirables»). Les informations disponibles sur l'utilisation de Rebif chez les enfants de moins de 12 ans étant très limitées, Rebif doit être utilisé avec prudence chez ce groupe de patients.
-La nouvelle formule sans SAH présente un profil d'effets indésirables analogue à la précédente formule contenant de la SAH, hormis les symptômes pseudo-grippaux qui se manifestent plus souvent et les réactions au site d'injection qui sont moins fréquentes (voir «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables»).
- +La formule sans SAH présente un profil d'effets indésirables analogue à la formule contenant de la SAH, hormis les symptômes pseudo-grippaux qui se manifestent plus souvent et les réactions au site d'injection qui sont moins fréquentes (voir «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables»).
-Des cas de microangiopathie thrombotique ont été rapportés, se présentant sous forme de purpura thrombotique thrombocytopénique (PTT) ou de syndrome hémolytique et urémique (SHU), incluant des cas de décès. Ces év��nements indésirables ont été signalés à différents moments du traitement et peuvent survenir après plusieurs semaines ou plusieurs années de traitement par Rebif. Les signes cliniques précoces incluent une hypertension de survenue récente, de la fièvre, des symptômes neurologiques (parésie ou confusion par exemple), une altération de la fonction rénale et une thrombocytopénie. Les bilans biologiques suggérant une MAT comportent une élévation du taux sérique de lactate déshydrogénase (LDH) due à une hémolyse, ainsi que la présence de schizocytes (fragments d’hématies) sur un frottis sanguin. Dès que le diagnostic de PTT/SHU est posé, un traitement adapté doit être rapidement instauré et l’arrêt immédiat du traitement par Rebif est recommandé.
- +Des cas de microangiopathie thrombotique ont été rapportés, se présentant sous forme de purpura thrombotique thrombocytopénique (PTT) ou de syndrome hémolytique et urémique (SHU), incluant des cas de décès. Ces év��nements indésirables ont été signalés à différents moments du traitement et peuvent survenir après plusieurs années de traitement par Rebif. Il est recommandé d'être attentif à la survenue de signes cliniques précoces, tels qu'une hypertension de survenue récente, de la fièvre, des symptômes neurologiques (parésie ou confusion par exemple), une altération de la fonction rénale et une thrombocytopénie. Les bilans biologiques suggérant une MAT comportent une élévation du taux sérique de lactate déshydrogénase (LDH) due à une hémolyse, ainsi que la présence de schizocytes (fragments d'hématies) sur un frottis sanguin. Dès que le diagnostic de PTT/SHU est posé, un traitement adapté doit être rapidement instauré et l'arrêt immédiat du traitement par Rebif est recommandé.
-Les patients souffrant de maladies cardiaques tels qu'angor, insuffisance cardiaque congestive ou arythmie doivent être étroitement surveillés au début du traitement par l'interféron bêta-1a, afin de détecter toute aggravation de leur état clinique. Les symptômes du syndrome pseudo-grippal peuvent se révéler encore plus éprouvants chez les patients cardiaques.
- +Les patients souffrant de maladies cardiaques telles qu'angor, insuffisance cardiaque congestive ou arythmie doivent être étroitement surveillés au début du traitement par l'interféron bêta-1a, afin de détecter toute aggravation de leur état clinique. Les symptômes du syndrome pseudo-grippal peuvent se révéler encore plus éprouvants chez les patients cardiaques.
-Le nombre le plus élevé de cas d'effets indésirables associés à un traitement par l'interféron bêta-1a concerne le syndrome pseudo-grippal dont les symptômes se manifestent généralement surtout en début de traitement et diminuent de fréquence par la suite.
-Avec la formule exempte de SAH, jusqu'à 70% des patients traités par Rebif présentent dans les six premiers mois du traitement le syndrome pseudogrippal typique associé à l'interféron. Par ailleurs, environ 30% des patients ou plus, selon la formule, présentent aussi des réactions au site d'injection, notamment des inflammations légères ou des érythèmes.
- +Le nombre le plus élevé de cas d’effets indésirables associés à un traitement par l’interféron bêta-1a concerne le syndrome pseudo-grippal dont les symptômes se manifestent généralement surtout en début de traitement et diminuent de fréquence par la suite.
- +Avec la formule exempte de SAH, jusqu’à 70% des patients traités par Rebif présentent dans les six premiers mois du traitement le syndrome pseudogrippal typique associé à l’interféron. Par ailleurs, environ 30% des patients ou plus, selon la formule, présentent aussi des réactions au site d’injection, notamment des inflammations légères ou des érythèmes.
-En cas d'effets secondaires sévères ou persistants, la posologie de Rebif peut être temporairement réduite ou le traitement interrompu, selon l'avis du médecin.
- +En cas d’effets secondaires sévères ou persistants, la posologie de Rebif peut être temporairement réduite ou le traitement interrompu, selon l’avis du médecin.
-Fréquents: ≥1/100-<1/10
-Occasionnels: ≥1/1'000-<1/100
-Rares: ≥1/10'000-<1/1'000
-Très rares: <1/10'000
-Les effets indésirables présentés ont été répertoriés au cours des études cliniques et dans le cadre de la pharmacovigilance (les effets indésirables répertoriés dans le cadre de la pharmacovigilance sont signalés par un astérisque [*]; le symbole suivant [‡] désigne les effets indésirables dont la fréquence n'était pas plus élevée que celle observée dans le groupe placebo).
-Infections et infestations
-Occasionnels: Infections au site d'injection*.
-Rares: cellulite au site d'injection pouvant être grave*.
-Troubles de la circulation sanguine et lymphatique
- +Fréquents: ≥1/100 - < 1/10
- +Occasionnels: ≥1/1’000 - < 1/100
- +Rares: ≥1/10’000 - < 1/1’000
- +Très rares: <1/10’000
- +Liste des effets indésirables
- +Les effets indésirables présentés ont été répertoriés au cours des études cliniques et dans le cadre de la pharmacovigilance (les effets indésirables répertoriés dans le cadre de la pharmacovigilance sont signalés par un astérisque [*]; le symbole suivant [‡] désigne les effets indésirables dont la fréquence n’était pas plus élevée que celle observée dans le groupe placebo).
- +Affections hématologiques et du système lymphatique
-Rares: microangiopathie thrombotique, incluant purpura thrombocytopénique/syndrome hémolytique et urémique* (voir rubrique «Mises en garde et précautions»), pancytopénie*.
-Troubles du système immunitaire
-Rares: réactions anaphylactiques*, lupus érythémateux d'origine médicamenteuse*.
-Très rares: formation d'autoanticorps*, thyroïdite*.
-Troubles endocriniens
- +Rares: Microangiopathie thrombotique, incluant purpura thrombocytopénique/syndrome hémolytique et urémique* (voir «Mises en garde et précautions»), pancytopénie*.
- +Affections du système immunitaire
- +Rares: réactions anaphylactiques*.
- +Très rares: formation d’auto-anticorps*, thyroïdite*.
- +Affections endocriniennes
-Troubles psychiques
- +Affections psychiatriques
-Troubles du système nerveux
- +Affections du système nerveux
- +Très fréquents: céphalées (46.5%).
- +
-Dans le cadre de la surveillance post-marketing, des cas de symptômes neurologiques transitoires (comme hypoesthésie, spasmes musculaires, paresthésie, difficulté à la marche, raideur musculosquelettique) pouvant imiter l'exacerbation d'une sclérose en plaques ont été rapportés.
-Troubles oculaires
-Occasionnels: troubles vasculaires rétiniens* (par ex. rétinopathie, nodules cotonneux, occlusion d'une veine ou d'une artère rétinienne.
-Troubles cardiaques
- +Dans le cadre de la surveillance post-marketing, des cas de symptômes neurologiques transitoires (comme hypoesthésie, spasmes musculaires, paresthésie, difficulté à la marche, raideur musculo-squelettique) pouvant imiter l’exacerbation d’une sclérose en plaques ont été rapportés.
- +Affections oculaires
- +Occasionnels: troubles vasculaires rétiniens* (par ex. rétinopathie, nodules cotonneux, occlusion d’une veine ou d’une artère rétinienne).
- +Affections cardiaques
-Troubles vasculaires
-Occasionnels: év��nements thromboemboliques*.
-Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinales
- +Affections vasculaires
- +Occasionnels: év��nements thromboemboliques*.
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
-Troubles gastro-intestinaux
- +Affections gastro-intestinales
-Troubles hépato-biliaires
- +Affections hépatobiliaires
-Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
-Troubles musculo – squelettiqies et systémiques
- +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
-Troubles rénaux et des voies urinaires
-Rares: syndrome néphrotique*, glomérulosclérose* (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
-Troubles généraux et accidents liés au site d'administration
-Très fréquents: inflammations au site d'injection (53.2%), céphalées (46.5%), symptômes pseudo-grippaux (38.1%), réactions cutanées au site d'injection (28.6%).
-Fréquents: douleurs au site d'injection, fatigue, rigidité, fièvre.
-Occasionnels: nécrose au site d'injection, abcès au site d'injection, tuméfaction au site d'injection, augmentation de la sudation*.
- +Rares: lupus érythémateux d’origine médicamenteuse*.
- +Affections du rein et des voies urinaires
- +Rares: Syndrome néphrotique*, glomérulosclérose* (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Troubles généraux et anomalies au site d’administration
- +Très fréquents: inflammations au site d’injection (53.2%), symptômes pseudo-grippaux (38.1%), réactions cutanées au site d’injection (28.6%).
- +Fréquents: douleurs au site d’injection, fatigue, rigidité, fièvre.
- +Occasionnels: nécrose au site d’injection, abcès au site d’injection, tuméfaction au site d’injection, infections au site d’injection*, augmentation de la sudation*.
- +Rares: cellulite au site d’injection pouvant être grave*.
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-Comme d'autres interférons-bêta, Rebif peut provoquer des lésions hépatiques sévères (y compris hépatite auto-immune, hépatite, insuffisance hépatique). Le mécanisme d'action de ces rares cas d'atteinte symptomatique de la fonction hépatique est encore inconnu. La plupart de ces cas de lésion hépatique sévère se sont manifestés pendant les premiers six mois du traitement. Aucun facteur de risque spécifique n'a été identifié.
-Le traitement par Rebif doit être interrompu en cas d'ictère ou d'autres signes cliniques d'un dysfonctionnement hépatique (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Comme d’autres interférons-bêta, Rebif peut provoquer des lésions hépatiques sévères (y compris hépatite auto-immune, hépatite, insuffisance hépatique). Le mécanisme d’action de ces rares cas d’atteinte symptomatique de la fonction hépatique est encore inconnu. La plupart de ces cas de lésion hépatique sévère se sont manifestés pendant les premiers six mois du traitement. Aucun facteur de risque spécifique n’a été identifié.
- +Le traitement par Rebif doit être interrompu en cas d’ictère ou d’autres signes cliniques d’un dysfonctionnement hépatique (voir «Mises en garde et précautions»).
-Vertiges, états anxieux, arythmies et palpitations ont été associés à l'administration d'interférons.
-La production d'auto-anticorps peut s'accroître pendant le traitement par interféron bêta.
- +Vertiges, états anxieux, arythmies et palpitations ont été associés à l’administration d’interférons.
- +La production d’auto-anticorps peut s’accroître pendant le traitement par interféron bêta.
-Par rapport au placebo, Rebif 44 µg trois fois par semaine a entraîné un retard statistiquement et cliniquement significatif de la progression du premier événement clinique vers une sclérose en plaques selon les critères de McDonald sur une période de 24 mois (test du Log-Rank: p<0.001). La réduction du risque était de 51% (HR = 0.49; IC à 95% [0.38; 0.64]) pour Rebif 44 µg trois fois par semaine par rapport au placebo.
- +Par rapport au placebo, Rebif 44 µg trois fois par semaine a entraîné un retard statistiquement et cliniquement significatif de la progression du premier événement clinique vers une sclérose en plaques selon les critères de McDonald sur une période de 24 mois (test du Log-Rank: p <0.001). La réduction du risque était de 51% (HR = 0.49; IC à 95% [0.38; 0.64]) pour Rebif 44 µg trois fois par semaine par rapport au placebo.
-De même, la progression du premier év��nement clinique vers une sclérose en plaques cliniquement définie (CDMS) a été retardée d'une manière statistiquement et cliniquement significative dans le groupe traité par Rebif 44 µg trois fois par semaine par rapport au placebo.
- +De même, la progression du premier év��nement clinique vers une sclérose en plaques cliniquement définie (CDMS) a été retardée d'une manière statistiquement et cliniquement significative dans le groupe traité par Rebif 44 µg trois fois par semaine par rapport au placebo.
-Sclérose en plaques évoluant par poussées et secondairement progressive
- +Sclérose en plaques évoluant par poussées et sclérose en plaques secondairement progressive
-Rebif n'a pas encore été étudié chez des patients atteints de sclérose en plaques primaire progressive et ne devrait pas être administré à ces patients.
- +Rebif n'a pas été étudié chez des patients atteints de sclérose en plaques primaire progressive et ne devrait pas être administré à ces patients.
-S'il n'est transitoirement pas possible de conserver Rebif multidose au réfrigérateur (à 2-8 °C), les patients peuvent conserver les cartouches de Rebif comme l'auto-injecteur RebiSmart™ avec cartouche de Rebif montée à température ambiante (max. 25 °C) durant 14 jours au maximum. Après ce délai de 14 jours, le médicament doit être replacé au réfrigérateur et utilisé avant la date de péremption.
- +S'il n'est transitoirement pas possible de conserver Rebif multidose au réfrigérateur (à 2-8 °C), les patients peuvent conserver les cartouches de Rebif comme l'auto-injecteur RebiSmart™ avec cartouche de Rebif montée, jusqu'à 14 jours à température ambiante (max. 25 °C). Après ce délai de 14 jours, le médicament doit être replacé au réfrigérateur et utilisé avant la date de péremption.
-Septembre 2015.
- +Juin 2018.
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