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Accueil - Information professionnelle sur Levetiracetam Desitin 250 mg - Changements - 12.07.2018
45 Changements de l'information professionelle Levetiracetam Desitin 250 mg
  • +Povidone K30, cellulose microcristalline, silice colloϊdale anhydre, stéarate de magnésium [d’origine végétale], poly(alcool vinylique), dioxyde de titane (E171), macrogol 3350, talc
  • -Arômes; conservateurs: propylparabène (E 216), méthylparabène (E 218)
  • +Acide citrique monohydraté, hydroxyde de sodium, eau purifiée, acésulfame potassique (E 950), arôme de raisins, conservateurs: parahydroxybenzoate de méthyle (E 218), parahydroxybenzoate de propyle (E 16)
  • -Les mini-comprimés pelliculés doivent être avalés sans être mâchés avec suffisamment de liquide (p. ex. un verre d'eau). La solution peut être prise non diluée ou diluée dans un verre d'eau. La dose journalière est à fractionner en deux doses égales. Levetiracetam DESITIN peut être pris indépendamment des repas.
  • +Les mini-comprimés pelliculés doivent être avalés sans être mâchés avec suffisamment de liquide (p. ex. un verre d'eau). La solution peut être prise non diluée ou diluée dans un verre d'eau. La dose journalière est à fractionner en deux doses égales. Levetiracetam DESITIN peut être pris indépendamment des repas. Lors de l’administration orale, le goût amer du lévétiracétam peut être perçu.
  • -Le traitement devrait commencer par 2× 250 mg/jour et augmenter à 2× 500 mg/jour après 2 semaines. En fonction de la réponse clinique, la dose peut être augmentée par paliers de 2× 250 mg/jour toutes les 2 semaines jusqu'à un maximum de 2× 1500 mg/jour.
  • +Le traitement devrait commencer par 2× 250 mg/jour et la posologie sera augmentée à 2× 500 mg/jour après 2 semaines. En fonction de la réponse clinique, la dose peut être augmentée par paliers de 2× 250 mg/jour toutes les 2 semaines jusqu'à un maximum de 2× 1500 mg/jour.
  • -La sécurité et l'efficacité du lévétiracétam n'ont pas été complètement établies chez le nourrisson âgé de moins d'un an. Seulement 35 nourrissons de moins de 1 an ont été étudiés au cours des essais cliniques, parmi eux 13 étaient âgés de moins de 6 mois.
  • +La sécurité et l'efficacité du lévétiracétam n'ont pas été complètement établies chez le nourrisson âgé de moins d'un an. Seulement 35 nourrissons de moins de 1 an ont été étudiés au cours des essais cliniques, parmi lesquels13 étaient âgés de moins de 6 mois.
  • +Hémogramme
  • +Des cas de diminution du nombre de cellules sanguines (neutropénie, agranulocytose, leuecopénie, thrombocytopénie et pancytopénie) ont été décrits en rapport avec la prise de lévétiracétam et ce généralement au début du traitement. Une numération formule sanguine complète est recommandée chez les patients présentant une faiblesse significative, une pyrexie, des infections récurrentes ou des troubles de la coagulation (voir «Effets indésirables»)
  • +
  • -Des cas de réactions cutanées susceptibles d'entraîner la mort, dont le syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) et la nécrolyse épidermique toxique (NET, ou syndrome de Lyell), ont été rapportés chez des malades (adultes et enfants) traités au lévétiracétam. Le risque de survenue d'un SSJ ou d'une NET est le plus élevé dans les premières semaines du traitement (déclenchement en moyenne entre le 14e et le 17e jour). Des cas se produisant après plus de quatre mois de prise ont cependant été observés. Il convient d'informer les patients des signes avant-coureurs et des symptômes de ces effets secondaires graves, et de les surveiller étroitement, en particulier au début du traitement, afin de détecter toute réaction cutanée. Les signes ou symptômes des syndromes de Stevens-Johnson ou de Lyell (tel un exanthème d'extension progressive, s'accompagnant souvent de vésicules ou de lésions des muqueuses) doivent entraîner l'abandon du traitement au lévétiracétam, sauf si l'exanthème n'est clairement pas d'origine médicamenteuse. L'évolution du SSJ et de la NET dépend très largement de la rapidité du diagnostic et de l'arrêt immédiat de tous les médicaments suspects. Plus le traitement est interrompu tôt, meilleur est le pronostic. La survenue d'un SSJ ou d'une NET provoqués par la prise de lévétiracétam interdit toute administration ultérieure de cette molécule au malade concerné.
  • +Des cas de réactions cutanées susceptibles d'entraîner la mort, dont le syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) et la nécrolyse épidermique toxique (NET, ou syndrome de Lyell), ont été rapportés chez des malades (adultes et enfants) traités au lévétiracétam. Le risque de survenue d'un SSJ ou d'une NET est le plus élevé dans les premières semaines du traitement (déclenchement en moyenne entre le 14e et le 17e jour). Des cas se produisant encore après quatre mois de prise et plus tard ont cependant été observés. Il convient d'informer les patients des signes avant-coureurs et des symptômes de ces effets secondaires graves, et de les surveiller étroitement, en particulier au début du traitement, afin de détecter toute réaction cutanée. Les signes ou symptômes des syndromes d’une SSJ ou d’une NETs (tel un exanthème d'extension progressive, s'accompagnant souvent de vésicules ou de lésions des muqueuses) doivent entraîner l'abandon du traitement au lévétiracétam, sauf si l'exanthème n'est clairement pas d'origine médicamenteuse. L'évolution du SSJ et de la NET dépend très largement de la rapidité du diagnostic et de l'arrêt immédiat de tous les médicaments suspects. Plus le traitement est interrompu tôt, meilleur est le pronostic. La survenue d'un SSJ ou d'une NET provoqués par la prise de lévétiracétam interdit toute administration ultérieure de cette molécule au patientconcerné.
  • -Il a été démontré in vitro que le lévétiracétam et son métabolite principal n'inhibent chez l'homme ni l'activité des principales iso-enzymes du cytochrome P450 (CYP3A4, 2A6, 2C9, 2C19, 2D6, 2E1 et 1A2) ni la glucuronyltransférase (UGT1A1 et UGT1A6) ou l'époxyde hydrolase. Le lévétiracétam n'influence pas non plus la glucuronidation in vitro de l'acide valproïque et n'exerce qu'un effet faible ou nul sur la conjugaison d'éthinylestradiol en cultures d'hépatocytes humains.
  • +Il a été démontré in vitro que le lévétiracétam et son métabolite principal n'inhibent chez l'homme ni l'activité des principales iso-enzymes du cytochrome P450 (CYP3A4, 2A6, 2C9, 2C19, 2D6, 2E1 et 1A2) ni la glucuronyltransférase (UGT1A1 et UGT1A6) ou l'époxyde hydrolase. Le lévétiracétam n'influence pas non plus la glucuronidation in vitro de l'acide valproïque et n'a exercé qu'un effet faible ou nul sur la conjugaison d'éthinylestradiol en cultures d'hépatocytes humains.
  • -On ne dispose pas d'études suffisantes et fiables concernant l'utilisation de lévétiracétam chez la femme enceinte. Les données post-marketing de trois registres des grossesses à caractère prospectif permettent de connaître l'issue de la grossesse chez plus d'un millier de femmes enceintes ayant suivi une monothérapie au lévétiracétam.
  • -Si la plupart des données n'indiquent pas d'augmentation substantielle du risque de malformations congénitales, il est impossible d'exclure absolument tout effet tératogène. En outre, les données tirées de ces registres et d'autres études montrent que les combinaisons thérapeutiques avec divers autres anti-épileptiques induisent un risque plus élevé d'effets tératogènes. Il convient par conséquent, lorsque cela est possible et indiqué, de choisir une monothérapie.
  • -Les expérimentations animales ont révélé une toxicité sur la reproduction (voir «Données précliniques»).
  • -Levetiracetam DESITIN ne doit pas être administré pendant la grossesse, à moins que le médecin ne l'estime indispensable.
  • +Femmes en âge de procréer
  • +Les femmes en âge de procréer doivent être conseillées par un spécialiste. Il est recommandé d’utiliser une méthode de contraception sûre pendant toute la durée du traitement. Si une femme planifie une grossesse, le traitement par le lévétiracétam doit être reconsidéré. Comme avec d’autres médicaments antiépileptiques, un arrêt soudain de la prise du lévétiracétam doit être évité car cela peut provoquer des crises de sevrage et un état de mal épileptique, qui peuvent avoir de graves conséquences pour la femme et l’enfant à naître. Une monothérapie est à privilégier dans la mesure du possible, car un traitement par plusieurs médicaments antiépileptiques pourrait être asssocié – selon sa combinaison – à un risque plus élevé de malformations congénitales que la monothérapie.
  • +Grossesse
  • +Une forte proportion des données post-marketing sur les femmes enceintes qui ont reçu une monothérapie par le lévétiracétam (sur plus de 1800 femmes, 1500 femmes ont pris due lévétiracétam au cours du primier trimestre de la grossesse), n’indique pas d’augmentation du risque de malformations congénitales sévères. Il n’existe que peu dedonnées sur le développement neurologique chez les enfants exposés in utero à Levetiracetam DESITIN en monothérapie avec lévétiracétam DESITIN. Les études épidémiologiques actuelles (portant sur eviron 100 enfants) n’indiquent pas d'un risque de troubles ou de retards du développement neurologique.
  • +Le lévétiracétam peut être utilisé pendant la grossesse si, après une évaluation minutieuse, il est considéré comme cliniquement nécessaire. Dans ce cas, la dose efficace la plus faible est recommandée.
  • -L'interruption d'un traitement antiépileptique peut conduire à une aggravation de la maladie avec des conséquences négatives pour la mère et l'enfant à naître.
  • +Chez les femmes enceintes traitées par le lévétiracétam, une surveillance clinique appropriée doit être assurée.
  • -Le lévétiracétam passe dans le lait maternel. L'allaitement n'est donc pas recommandé.
  • +Le lévétiracétam est excrétédans le lait maternel. L'allaitement n'est donc pas recommandé. Cependant, si le traitement de lévétiraceétam devait être nécessaire pendant l’allaitement, il faudra évaluer les bénéfices et les risques du traitement en considérant l’importance de l’allaitement pour le nourrisson.
  • +Fertilité
  • +Il n’existe pas de données cliniques. Le risque potentiel pour l’être humain est inconnu.
  • -Les données de sécurité et de tolérance recueillies au cours des essais cliniques menées chez des patients adultes montrent que des effets indésirables sont survenus chez 46,4% des patients adultes du groupe lévétiracétam et 42,2% des patients du groupe placebo; 2,4% des patients du groupe lévétiracétam et 2,0% des patients du groupe placebo ont souffert d'effets indésirables graves.
  • +Les données de sécurité et de tolérance recueillies au cours des étudesmenées chez des patients adultes ayant des crises partielles ont montré que des effets indésirables sont survenus chez 46,4% des patients adultes du groupe lévétiracétam et 42% des patients du groupe placebo; 2,4% des patients du groupe lévétiracétam et 2,0% des patients du groupe placebo ont souffert d'effets indésirables graves.
  • -Les effets indésirables observés au cours d'essais cliniques (adultes, adolescents et enfants) et signalés dans les rapports de pharmacovigilance sont listés en fonction des classes d’organes et par fréquence dans le tableau suivant. Pour les essais cliniques, la fréquence d'effets indésirables est définie comme suit: très fréquents: ≥1/10; fréquents: ≥1/100, <1/10; occasionnels: ≥1/1000, <1/100; rares: ≥1/10’000, <1/1’000; très rares: <1/10’000, cas isolés inclus.
  • +Les effets indésirables observés au cours d'essais cliniques (adultes, adolescents,enfants et nourrissons à partir d’un mois) et issus de l’expérience post-commercialisation sont listés en fonction des classes d’organes et par fréquence dans le tableau suivant. Pour les essais cliniques, la fréquence d'effets indésirables est définie comme suit: très fréquents: ≥1/10; fréquents: ≥1/100, <1/10; occasionnels: ≥1/1000, <1/100; rares: ≥1/10’000, <1/1’000; très rares: <1/10’000, cas isolés inclus.
  • -Expérience après commercialisation: exanthème médicamenteux avec éosinophilie et symptômes systémiques (syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse [SHM] ou syndrome DRESS [Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms], voir «Mises en gare et précautions»).
  • +Expérience après commercialisation: exanthème médicamenteux avec éosinophilie et symptômes systémiques (syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse [SHM] ou syndrome DRESS [Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms], voir «Mises en gare et précautions»), réactions anaphylactiques.
  • -Expérience après commercialisation: choréoathétose, dyskinésie, paresthésie, léthargie.
  • +Expérience après commercialisation: choréoathétose, dyskinésie, paresthésie, léthargie, troubles de la marche.
  • -Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • +Affections de la peau et du tissu souscutané
  • -Expérience après commercialisation: nécrolyse épidermique toxique, syndrome de Stevens-Johnson (voir «Mises en garde et précautions»), érythème multiforme et alopécie. Dans plusieurs cas d'alopécie, une amélioration a été observée après l'arrêt du lévétiracétam.
  • +Expérience après commercialisation: nécrolyse épidermique toxique, syndrome de Stevens-Johnson (voir «Mises en garde et précautions»), érythème multiforme et alopéciedans plusieurs cas d'alopécie, une amélioration a été observée après l'arrêt du lévétiracétam), angioœdème.
  • -Expérience après commercialisation: faiblesse musculaire.
  • +Expérience après commercialisation: faiblesse musculaire, rhabdomyolyse et augmentation du taux de créatine phosphokinase dans le sang1.
  • +Description d’effets indésirables sélectionnés:
  • +1La rhabdomyolyse et l’augmentation du taux de créatine phosphokinase dans le sang sont significativement plus fréquentes chez les patients japonais que chez les patients non japonais.
  • -Des études in vitro montrent que le lévétiracétam influence le taux intraneuronal de Ca2+ en inhibant partiellement le flux de Ca2+ médié par les canaux de type N et en diminuant la libération de Ca2+ de ses réserves intraneuronales. Il inverse en outre la diminution des flux médiés par GABA et glycine induits par le zinc et les β-carbolines. Par ailleurs, des études in vitro montrent que le lévétiracétam se lie à un site spécifique dans le tissu cérébral de rongeurs. Il s'agit de la protéine 2A de la vésicule synaptique qui semble être impliquée dans la fusion vésiculaire et l'exocytose de neurotransmetteurs.
  • +Des études in vitro montrent que le lévétiracétam influence le taux intraneuronal de Ca2+ en inhibant partiellement le flux de Ca2+ médié par les canaux de type N et en diminuant la libération de Ca2+ de ses réserves intraneuronales. Il inverse en outre la diminution des flux médiés par GABA et glycine induits par le zinc et les βcarbolines. Par ailleurs, des études in vitro montrent que le lévétiracétam se lie à un site spécifique dans le tissu cérébral de rongeurs. Il s'agit de la protéine 2A de la vésicule synaptique qui semble être impliquée dans la fusion vésiculaire et l'exocytose de neurotransmetteurs.
  • -Chez les jeunes enfants (de 1 mois à moins de 4 ans), l'efficacité du lévétiracétam a été établie au cours d'une étude en double aveugle, contrôlée contre placebo, incluant 116 patients avec une durée de traitement de 5 jours. Au cours de cette étude, les patients ont reçu une dose quotidienne de 20 mg/kg, 25 mg/kg, 40 mg/kg ou 50 mg/kg de solution buvable, conformément à la recommendation posologique en fonction de l’âge. Dans cette étude, une dose de 20 mg/kg/jour allant jusqu'à 40 mg/kg/jour a été utilisée pour les nourrissons de 1 mois à moins de 6 mois et une dose de 25 mg/kg/jour allant jusqu'à 50 mg/kg/jour a été utilisée pour les nourrissons et les enfants de 6 mois à moins de 4 ans. La dose quotidienne totale a été administrée en deux prises par jour.
  • -Le critère principal d'efficacité a été le taux de patients répondeurs présentant une réduction de la fréquence quotidienne moyenne des crises partielles d’au moins 50%, par rapport aux valeurs initiales, évalué par une lecture centralisée en aveugle sur une vidéo-EEG de 48 heures. L'analyse de l'efficacité a porté sur 109 patients ayant eu au moins une vidéo-EEG de 24 heures pendant la période de référence et pendant la période d'évaluation. 43,6% des patients traités par le lévétiracétam et 19,6% des patients sous placebo ont été considérés comme répondeurs. Les résultats sont concordants dans tous les groupes d'âge. Lors de la poursuite du traitement à long terme, 8,6% des patients étaient libres de crise pendant au moins 6 mois et 7,8% pendant au moins 1 an.
  • +Chez les patients pédiatriques(de 1 mois à moins de 4 ans), l'efficacité du lévétiracétam a été établie au cours d'une étude en double aveugle, contrôlée contre placebo, incluant 116 patients avec une durée de traitement de 5 jours. Au cours de cette étude, les patients ont reçu une dose quotidienne de 20 mg/kg, 25 mg/kg, 40 mg/kg ou 50 mg/kg de solution buvable, conformément à la recommandation posologique en fonction de l’âge. Dans cette étude, une dose de 20 mg/kg/jour allant jusqu'à 40 mg/kg/jour a été utilisée pour les nourrissons de 1 mois à moins de 6 mois et une dose de 25 mg/kg/jour allant jusqu'à 50 mg/kg/jour a été utilisée pour les nourrissons et les enfants de 6 mois à moins de 4 ans. La dose quotidienne totale a été administrée en deux prises.
  • +Le critère principal d'efficacité a été le taux en pourcentage de patients répondeurs chez lesquels de la fréquence des crises partielles quotidiennes a diminué d’au moins 50%, par rapport aux valeurs initiales, cette fréquence ayant été évaluée par une lecture centralisée en aveugle sur une vidéo-EEG de 48 heures. L'analyse de l'efficacité a porté sur 109 patients ayant eu au moins une vidéo-EEG de 24 heures pendant la période de référence et pendant la période d'évaluation. 43,6% des patients traités par le lévétiracétam et 19,6% des patients sous placebo ont été considérés comme répondeurs. Les résultats sont concordants et homogènes dans tous les groupes d'âge. Lors de la poursuite du traitement à long terme, 8,6% des patients étaient libres de crise pendant au moins 6 mois et 7,8% pendant au moins 1 an.
  • -Dans cette étude, la dose de lévétiracétam était de 3000 mg par jour pour l’adulte et l’adolescent et de 60 mg/kg/jour chez l’enfant répartis en 2 prises égales. 72,2% des patients traités par le lévétiracétam et 45,2% des patients sous placebo avaient une diminution de la fréquence des crises GTCP de 50% ou plus par semaine.
  • +Dans cette étude, la dose de lévétiracétam était de 3000 mg par jour pour l’adulte et l’adolescent et de 60 mg/kg/jour chez l’enfant et a été répartie en 2 prises quotidiennes égales. 72,2% des patients traités par le lévétiracétam et 45,2% des patients sous placebo avaient une diminution de la fréquence des crises GTCP de 50% ou plus par semaine.
  • -Après l'administration orale répétée (20 à 60 mg/kg/jour) à des enfants épileptiques (4 à 12 ans), le lévétiracétam a été rapidement absorbé. Les concentrations plasmatiques maximales ont été observées 0,5–1,0 heure après la prise. La demi-vie d'élimination se situe à environ 5 heures. La clairance corporelle totale est de 1,1 ml/min/kg.
  • +Après l'administration orale répétée (20 à 60 mg/kg/jour), le lévétiracétam a été rapidement absorbé chez les enfants épileptiques (4 à 12 ans). Les concentrations plasmatiques maximales ont été observées 0,5–1,0 heure après la prise. La demi-vie d'élimination se situe à environ 5 heures. La clairance corporelle totale est de 1,1 ml/min/kg.
  • -Les effets secondaires survenus chez le rat et en moindre mesure chez la souris après exposition aux doses utilisées en thérapeutique humaine, lesquels n'ont pas été observés dans les essais cliniques mais pourraient être pertinents pour l’utilisation clinique, concernaient des modifications hépatiques suggérant une réaction d'adaptation, comme p. ex. augmentation du poids du foie, hypertrophie centrolobulaire, infiltration adipeuse et élévation des enzymes hépatiques plasmatiques.
  • +Les effets secondaires survenus chez le rat et dans une moindre mesure chez la souris après exposition aux doses utilisées en thérapeutique humaine et qui, n'ont pas été observés dans les essais cliniques mais pourraient être pertinents pour l’utilisation clinique, concernaient des modifications hépatiques suggérant une réaction d'adaptation, comme p. ex. augmentation du poids du foie, hypertrophie centrolobulaire, infiltration adipeuse et élévation des enzymes hépatiques plasmatiques.
  • -Septembre 2016
  • +Décembre 2017
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