114 Änderungen an Fachinfo Sayana, Injektionssuspension (104 mg/0.65 ml) |
-Macrogolum 3350, Natrii chloridum, Polysorbatum 80, Natrii dihydrogenophosphas monohydricus, Dinatrii phosphas dodecahydricus, Methioninum, Povidonum, conserv.: Methylis parahydroxybenzoas (E 218) 1.04 mg, Propylis parahydroxybenzoas (E 216) 0.1 mg, Aqua ad iniectabilia q.s. ad suspensionem pro 0.65 ml.
- +Macrogolum 3350, natrii chloridum, polysorbatum 80, natrii dihydrogenophosphas monohydricus, dinatrii phosphas dodecahydricus, methioninum, povidonum K 17, methylis parahydroxybenzoas (E 218) 1.04 mg, propylis parahydroxybenzoas (E 216) 0.1 mg, natrii hydroxidum (q.s. ad pH), acidum hydrochloricum (q.s. ad pH), aqua ad iniectabile ad suspensionem pro 0.65 ml.
- +Teneur en sodium totale: 2.16 mg par seringue préremplie.
- +
-En raison du danger de baisse de la densité minérale osseuse (BMD = Bone Mineral Density) chez la femme traitée à long terme par des injections d'acétate de médroxyprogestérone (voir rubrique «Mises en garde et précautions»), une évaluation soigneuse du rapport bénéfices/risques doit être réalisée.
- +En raison du danger de baisse de la densité minérale osseuse (BMD = Bone Mineral Density) chez la femme traitée à long terme par des injections d'acétate de médroxyprogestérone (voir «Mises en garde et précautions»), une évaluation soigneuse du rapport bénéfices/risques doit être réalisée.
-Avant l'emploi, secouer vigoureusement la seringue préremplie de Sayana pour assurer une répartition homogène du principe actif dans la suspension.
-Le médicament doit être injecté lentement jusqu'à ce que la seringue soit complètement vide, ce qui prendra 5 à 7 secondes.
-Le traitement doit être instauré par un médecin ou un professionnel de la santé. Sayana est injecté par voie sous-cutanée dans la face antérieure de la cuisse ou dans l'abdomen. Éviter absolument toute injection intravasculaire accidentelle.
- +Avant l'emploi, secouer vigoureusement la seringue préremplie de Sayana pour assurer une répartition homogène du principe actif dans la suspension. Le médicament doit être injecté lentement jusqu'à ce que la seringue soit complètement vide, ce qui prendra environ 5 à 7 secondes.
- +Le traitement doit être instauré par un médecin ou un autre professionnel de santé. Sayana est injecté par voie sous-cutanée dans la face antérieure de la cuisse ou dans l'abdomen. Toute injection intravasculaire accidentelle doit impérativement être évitée.
-·Si aucun contraceptif n'a été utilisé au cours du mois précédent: pour assurer une protection contraceptive pendant le premier cycle du traitement, l'injection sous-cutanée de 104 mg d'acétate de médroxyprogestérone doit être effectuée au jour 1 du cycle naturel de la femme, soit le premier jour de ses menstruations. L'injection peut également avoir lieu aux jours 2 jusqu'à 5.
-·Remplacement d'une autre méthode contraceptive: en cas de remplacement d'une autre méthode contraceptive par Sayana, il faut veiller à ce que la femme utilise une contraception continue au moment de la première injection et tenir compte du mécanisme d'action des deux méthodes contraceptives.
-·Remplacement d'un autre contraceptif oral combiné (COC), d'un anneau vaginal ou d'un dispositif transdermique: l'injection de Sayana aura lieu le lendemain de la prise du dernier comprimé du contraceptif oral combiné contenant un principe actif. Dans ce cas, l'utilisation additionnelle d'un contraceptif mécanique n'est pas nécessaire. En cas d'utilisation d'un anneau vaginal ou d'un dispositif transdermique, l'injection doit être effectuée le jour du retrait.
-·Remplacement d'un contraceptif purement progestatif (minipilule, implant, DIU libérant un progestatif): en cas de remplacement de la minipilule, l'injection de Sayana peut avoir lieu à n'importe quel jour. En cas de remplacement d'une préparation injectable, d'un implant ou d'un DIU libérant un progestatif, l'injection aura lieu le jour prévu pour la prochaine injection ou le retrait de l'implant ou du DIU libérant un progestatif.
- +·Si aucun contraceptif hormonal n'a été utilisé au cours du mois précédent: pour assurer une protection contraceptive pendant le premier cycle du traitement, l'injection sous-cutanée de 104 mg d'acétate de médroxyprogestérone doit être effectuée au jour 1 du cycle naturel de la femme, soit le premier jour de ses menstruations. L'injection peut également être effectuée aux jours 2 jusqu'à 5.
- +·Remplacement d'une autre méthode contraceptive: en cas de remplacement d'une autre méthode contraceptive par Sayana, il convient de veiller à ce que la protection contraceptive soit continue au moment de la première injection en tenant compte du mécanisme d'action des deux méthodes contraceptives.
- +·Remplacement d'un autre contraceptif oral combiné (COC), d'un anneau vaginal ou d'un dispositif transdermique: l'injection de Sayana doit avoir lieu le lendemain de la prise du dernier comprimé du contraceptif oral combiné contenant le principe actif. Dans ce cas, l'utilisation additionnelle d'un contraceptif mécanique n'est pas nécessaire. En cas d'utilisation d'un anneau vaginal ou d'un dispositif transdermique, l'injection doit être effectuée le jour du retrait.
- +·Remplacement d'un contraceptif purement progestatif (minipilule, implant, DIU libérant un progestatif): en cas de prise de la minipilule, l'injection de Sayana peut avoir lieu n'importe quel jour. En cas de remplacement d'une préparation injectable, d'un implant ou d'un DIU libérant un progestatif, l'injection doit avoir lieu le jour prévu pour la prochaine injection ou le retrait de l'implant ou du DIU libérant un progestatif.
-·Utilisation après un accouchement ou un avortement survenu pendant le deuxième trimestre: Sayana doit être injecté 21-28 jours après la naissance ou l'avortement survenu pendant le deuxième trimestre. Si l'injection a lieu plus tard, la femme doit être incitée à utiliser un contraceptif mécanique additionnel pendant les 7 premiers jours suivant l'injection. Si un rapport sexuel a déjà eu lieu, il faudra exclure l'éventualité d'une grossesse avant l'injection ou attendre les premières règles naturelles de la femme.
-Autres injections:
-Les injections suivantes doivent être effectuées toutes les 12 à 13 semaines. Aucune méthode contraceptive supplémentaire n'est nécessaire dans la mesure où l'injection n'a pas lieu plus de 7 jours après ce délai. L'efficacité de Sayana n'est garantie qu'en cas de respect du schéma posologique recommandé.
- +·Utilisation après un accouchement ou un avortement survenu pendant le deuxième trimestre: Sayana doit être injecté 21 à 28 jours après l'accouchement ou l'avortement survenu pendant le deuxième trimestre. Si l'injection a lieu plus tard, la femme doit être incitée à utiliser un contraceptif mécanique en complément pendant les 7 premiers jours suivant l'injection. Si un rapport sexuel a déjà eu lieu, il faudra exclure l'éventualité d'une grossesse avant l'injection ou attendre les premières règles naturelles.
- +Injections ultérieures:
- +Les injections suivantes doivent être effectuées toutes les 12 à 13 semaines. Aucune méthode contraceptive supplémentaire n'est nécessaire tant que l'injection n'a pas lieu plus de 7 jours après ce délai. L'efficacité de Sayana n'est garantie qu'en cas de respect du schéma posologique recommandé.
-Si l'intervalle entre les injections dépasse 14 semaines et si aucune hémorragie spontanée n'a eu lieu durant ce laps de temps, une grossesse devra être exclue avant l'injection suivante.
- +Si l'intervalle entre les injections dépasse 14 semaines et si aucune hémorragie spontanée n'a eu lieu durant ce laps de temps, une grossesse doit être exclue avant l'injection suivante.
-Sayana ne doit pas être utilisé chez les femmes atteintes d'une insuffisance hépatique.
- +Sayana ne doit pas être utilisé chez les femmes atteintes d'insuffisance hépatique.
-Enfants et adolescents
- +Enfants et adolescentes
-Aucun ajustement de la dose en fonction du poids corporel n'est nécessaire (voir «Pharmacocinétique»).
- +Aucun ajustement posologique en fonction du poids corporel n'est nécessaire (voir «Pharmacocinétique»).
-·Thrombophlébite, troubles thromboemboliques aigus.
- +·Thrombophlébite, troubles thromboemboliques actifs.
-·Hypersensibilité à l'acétate de médroxyprogestérone ou à l'un des excipients.
- +·Hypersensibilité à l'acétate de médroxyprogestérone ou à l'un des excipients selon «Composition».
-Le rapport bénéfice/risque du traitement pour la patiente doit être évalué avant la première utilisation, puis régulièrement au cours de l'utilisation. Cette évaluation comprend une anamnèse approfondie (y compris familiale) et un examen général et gynécologique. La fréquence et la nature de ces examens auront lieu conformément aux recommandations suisses en matière de gynécologie et en tenant compte de la situation individuelle de la patiente. Ces examens doivent généralement comprendre une mesure de la pression artérielle, un examen des seins, de l'abdomen et des organes pelviens, y compris frottis cervical systématique.
- +Le rapport bénéfice/risque du traitement pour la patiente doit être évalué avant la première utilisation, puis régulièrement au cours de l'utilisation. Cette évaluation comprend une anamnèse approfondie (y compris familiale) et un examen général et gynécologique. La fréquence et la nature de ces examens seront déterminées conformément aux recommandations suisses en matière de gynécologie et en tenant compte de la situation individuelle de la patiente. Ces examens doivent généralement comprendre une mesure de la pression artérielle, un examen des seins, de l'abdomen et des organes pelviens, y compris un frottis cervical systématique.
-Avant de prescrire Sayana, il faut éclaircir les troubles de la menstruation, comme par exemple une oligoménorrhée ou une aménorrhée.
-Il faut renoncer à l'administration de nouvelles injections de Sayana en présence d'une des contre-indications susmentionnées ou en cas de:
-·développement de tumeurs hormonosensibles, induites par le traitement, avérées.
-·survenue d'un ictère, d'une hépatite ou d'un prurit généralisé.
-·indices d'une maladie thromboembolique veineuse.
-·infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral.
-·céphalées apparaissant pour la première fois, itératives ou anormalement intenses.
-·troubles visuels, auditifs ou de l'élocution soudains ou autres troubles sensoriels ainsi qu'autres symptômes pouvant suggérer une ischémie cérébrale.
-·forte élévation de la pression artérielle depuis la dernière injection de Sayana, ne pouvant pas être suffisamment contrôlée par des antihypertenseurs.
-·immobilisation prolongée (p.ex. après des accidents ou des interventions chirurgicales majeures; 4 à 6 semaines avant des opérations électives).
-·��tats dépressifs graves.
-·augmentation de la fréquence des crises d'épilepsie.
-En cas d'apparition d'un ou de plusieurs des symptômes/facteurs de risque décrits ci-dessous, il convient d'évaluer individuellement le rapport bénéfice/risque de Sayana et d'en discuter avec la femme avant qu'elle décide de l'utiliser. En cas d'aggravation, d'exacerbation ou d'apparition pour la première fois d'un tel symptôme ou facteur de risque, la femme doit consulter son médecin. Le médecin devra alors décider si Sayana doit être arrêté.
- +Avant de prescrire Sayana, tout trouble de la menstruation, tel qu'une oligoménorrhée ou une aménorrhée, doit être clarifié.
- +L'administration de nouvelles injections de Sayana doit être exclue en présence d'une des contre-indications susmentionnées ou en cas de:
- +·Développement de tumeurs hormonosensibles avérées induites par le traitement.
- +·Survenue d'un ictère, d'une hépatite ou d'un prurit généralisé.
- +·Indices d'une maladie thromboembolique veineuse.
- +·Infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral.
- +·Céphalées apparaissant pour la première fois, de manière plus fréquente ou anormalement intenses.
- +·Troubles visuels, auditifs ou de l'élocution aigus ou autres troubles sensoriels ainsi qu'autres symptômes pouvant suggérer une ischémie cérébrale.
- +·Plus forte augmentation de la pression artérielle depuis la dernière injection de Sayana, ne pouvant pas être suffisamment contrôlée par des antihypertenseurs.
- +·Immobilisation prolongée (par ex. après des accidents ou des interventions chirurgicales majeures; 4 à 6 semaines avant des opérations électives).
- +·��tats dépressifs graves.
- +·Augmentation de la fréquence des crises épileptiques.
- +En cas d'apparition d'un ou de plusieurs des symptômes/facteurs de risque décrits ci-dessous, il convient d'évaluer individuellement le rapport bénéfice/risque de Sayana et d'en discuter avec la femme avant qu'elle décide de l'utiliser. En cas d'aggravation, d'exacerbation ou d'apparition pour la première fois d'un tel symptôme ou facteur de risque, la femme doit consulter son médecin. Il appartient alors au médecin de décider si Sayana doit être arrêté.
-La perte de DMO revêt une importance particulière pendant l'adolescence et au début de l'âge adulte, car il s'agit d'une phase cruciale de la croissance osseuse. On ignore si les injections de MPA sont susceptibles de réduire la masse osseuse maximale chez l'adolescente et la jeune femme et d'augmenter le risque de fracture ostéoporotique future.
-La perte de DMO s'accroît avec la durée du traitement. Par conséquent, Sayana ne peut être employé à long terme comme contraceptif (soit pendant plus de deux ans) que lorsque l'usage d'autres contraceptifs est impossible. Il convient d'effectuer une mesure de la densité minérale osseuse lors d'un traitement à long terme par injections de MPA. L'interprétation de cette mesure chez l'adolescente doit tenir compte de l'âge et de la maturation du squelette.
-D'autres méthodes contraceptives doivent être prises en considération chez la femme présentant des facteurs de risque ostéoporotique (p.ex. maladies métaboliques osseuses, abus chronique d'alcool ou de nicotine, anorexie nerveuse, risque marqué d'ostéoporose dans l'anamnèse familiale ou traitement à long terme par d'autres médicaments pouvant réduire la densité osseuse comme p.ex. anticonvulsivants et corticoïdes) car les injections de MPA peuvent accroître encore plus ce risque.
- +La perte de DMO revêt une importance particulière pendant l'adolescence et au début de l'âge adulte, car il s'agit d'une phase cruciale de la croissance osseuse. On ignore si les injections de MPA sont susceptibles de réduire la masse osseuse maximale chez l'adolescente et la jeune femme, et d'augmenter le risque de fractures ostéoporotiques futures.
- +La perte de DMO s'accroît avec la durée du traitement. Par conséquent, Sayana ne peut être employé à long terme comme contraceptif (soit pendant plus de deux ans) que lorsque l'usage d'autres contraceptifs est impossible. Il convient d'effectuer une mesure de la densité minérale osseuse lors d'un traitement à long terme par injections de MPA. L'interprétation de la mesure de DMO chez l'adolescente doit tenir compte de l'âge et de la maturation du squelette.
- +D'autres méthodes contraceptives doivent être envisagées chez la femme présentant des facteurs de risque ostéoporotique (par ex. maladies métaboliques osseuses, abus chronique d'alcool ou de nicotine, anorexie nerveuse, risque marqué d'ostéoporose dans l'anamnèse familiale ou traitement à long terme par d'autres médicaments pouvant réduire la densité osseuse, tels que les anticonvulsivants et les corticoïdes), car les injections de MPA peuvent accroître encore plus ce risque.
-Les premiers signes d'événements thromboemboliques veineux peuvent être: douleurs intenses ou gonflement d'une jambe, douleurs lancinantes inhabituelles et de cause obscure lors de la respiration ou de la toux, essoufflement, douleur ou sensation d'oppression dans la poitrine.
-Les premiers signes d'événements thromboemboliques artériels peuvent être: douleur thoracique intense soudaine, irradiant ou non dans le bras gauche; difficultés respiratoires soudaines; sensation de faiblesse extrême; première apparition d'une migraine ou toute céphalée inhabituelle, intense et persistante; insensibilité ou manque de force soudains dans le visage, un bras ou une jambe, surtout au niveau d'une moitié du corps; troubles moteurs; perte visuelle soudaine, partielle ou complète; diplopie; difficultés d'élocution ou aphasie; vertiges; collapsus avec ou sans crises convulsives focales; augmentation nette de la pression artérielle.
-Les fumeuses utilisant des contraceptifs hormonaux présentent un risque accru de thromboembolies veineuses, d'infarctus du myocarde et d'accidents vasculaires cérébraux. Le risque augmente avec l'âge et la consommation de cigarettes. Les femmes à partir de l'âge de 35 ans ne doivent donc pas fumer si elles utilisent des méthodes contraceptives hormonales. La présence d'une obésité (BMI >30 kg/m²) ainsi qu'une anamnèse familiale positive augmentent également le risque d'événements thromboemboliques.
-Avec les contraceptifs hormonaux combinés, le risque d'événements thromboemboliques veineux est maximal pendant la première année de l'utilisation. Des données épidémiologiques indiquent que ce risque est augmenté lors de la première utilisation d'un CHC mais aussi lors de la réutilisation du même CHC ou d'un autre CHC (après une pause thérapeutique d'au moins 4 semaines). La pertinence clinique de ces résultats d'études est inconnue pour l'acétate de médroxyprogestérone utilisé seul à titre de contraceptif, sans association avec un composant estrogénique.
-Lors de l'évaluation du rapport bénéfice/risque, en ce qui concerne les risques vasculaires, il faut tenir compte du fait que le traitement approprié des maladies existantes peut diminuer le risque associé de thrombose et que la grossesse est associée à un risque plus élevé que l'utilisation de Sayana.
- +Les premiers signes d'événements thromboemboliques veineux peuvent être: douleurs intenses ou gonflement d'une jambe, douleurs lancinantes inhabituelles et de cause indéterminée lors de la respiration ou de toux, essoufflement, douleur ou sensation d'oppression dans la poitrine.
- +Les premiers signes d'événements thromboemboliques artériels peuvent être: douleurs thoraciques intenses soudaines, irradiant ou non dans le bras gauche; détresse respiratoire soudaine; sensation de faiblesse extrême; première apparition d'une migraine ou toute céphalée inhabituelle, intense et persistante; insensibilité ou manque de force soudains dans le visage, un bras ou une jambe, surtout au niveau d'une moitié du corps; troubles moteurs; perte visuelle soudaine, partielle ou complète; diplopie; difficultés d'élocution ou aphasie; vertiges; collapsus avec ou sans crises convulsives focales; augmentation nette de la pression artérielle.
- +Les fumeuses utilisant des contraceptifs hormonaux présentent un risque accru de thromboembolies veineuses, d'infarctus du myocarde et d'accidents vasculaires cérébraux. Le risque augmente avec l'âge et la quantité de cigarettes consommées. Les femmes à partir de l'âge de 35 ans ne doivent donc pas fumer si elles utilisent des méthodes contraceptives hormonales. La présence d'une obésité (IMC >30 kg/m2) ainsi qu'une anamnèse familiale positive augmentent également le risque d'événements thromboemboliques.
- +Les contraceptifs hormonaux combinés génèrent un risque d'événements thromboemboliques veineux maximal pendant la première année d'utilisation. Des données épidémiologiques indiquent que ce risque est augmenté lors de la première utilisation d'un CHC mais aussi lors de la réutilisation du même ou d'un autre CHC (après une pause thérapeutique d'au moins 4 semaines). La pertinence clinique de ces résultats d'études est inconnue pour l'acétate de médroxyprogestérone utilisé seul à titre de contraceptif, sans association avec un composant estrogénique.
- +Lors de l'évaluation du rapport bénéfice/risque, en ce qui concerne les risques vasculaires, il faut tenir compte du fait que le traitement approprié des maladies existantes peut diminuer le risque associé de thrombose et que la grossesse est associée à un risque plus élevé en comparaison de l'utilisation de Sayana.
-En cas de perte visuelle soudaine, partielle ou complète ou en cas d'exophtalmie, de diplopie ou de migraine d'évolution rapide, le traitement doit être immédiatement arrêté. Si un œdème papillaire ou des lésions vasculaires de la rétine sont diagnostiqués à l'examen, le traitement par Sayana ne doit en aucun cas être repris.
- +En cas de perte visuelle soudaine, qu'elle soit partielle ou complète, ou en cas d'exophtalmie, de diplopie ou de migraine d'évolution rapide, le traitement doit être immédiatement arrêté. Si un œdème papillaire ou des lésions vasculaires de la rétine sont diagnostiqués à l'examen, le traitement par Sayana ne doit en aucun cas être repris.
-Une méta-analyse de 54 études épidémiologiques a révélé une discrète augmentation du risque relatif de cancer du sein diagnostiqué chez les femmes utilisant des CHC (RR=1.24) par rapport aux non-utilisatrices. À l'arrêt du CHC, cette augmentation du risque diminue de façon continue et n'est plus détectable 10 ans après l'arrêt du CHC. Le cancer du sein étant rare avant l'âge de 40 ans, le nombre supplémentaire de cancers du sein diagnostiqués chez les femmes utilisant ou ayant récemment utilisé un CHC est faible par rapport au risque de survenue d'un cancer du sein pendant toute la vie. Les résultats de ces études ne permettent pas d'établir un lien de causalité. L'augmentation du risque de cancer du sein diagnostiqué peut être liée à un dépistage plus précoce du cancer chez les femmes utilisant un CHC (en raison des examens plus fréquents/plus réguliers), aux effets biologiques des CHC ou encore à l'association de ces deux facteurs.
- +Une méta-analyse de 54 études épidémiologiques a révélé une légère augmentation du risque relatif de cancer du sein diagnostiqué chez les femmes utilisant des CHC (RR=1.24) en comparaison des non-utilisatrices. À l'arrêt du CHC, cette augmentation du risque diminue progressivement et n'est plus détectable 10 ans après l'arrêt du CHC. Le cancer du sein étant rare avant l'âge de 40 ans, le nombre supplémentaire de cancers du sein diagnostiqués chez les femmes utilisant ou ayant récemment utilisé un CHC est faible par rapport au risque de survenue d'un cancer du sein pendant toute la vie. Les résultats de ces études ne permettent pas d'établir un lien de causalité. L'augmentation du risque de cancer du sein diagnostiqué peut être liée à un dépistage plus précoce du cancer chez les utilisatrices d'un CHC (en raison des examens plus fréquents/plus réguliers), aux effets biologiques des CHC ou encore à l'association de ces deux facteurs.
-Les dépressions et humeurs dépressives sont connues comme étant des effets indésirables potentiels lors de l'utilisation d'hormones sexuelles, y compris de contraceptifs hormonaux (voir aussi la rubrique «Effets indésirables»). De tels troubles peuvent survenir peu de temps après le début du traitement. La dépression peut être grave et représente un facteur de risque de suicide ou de comportement suicidaire. Les utilisatrices de contraceptifs hormonaux doivent donc être informées des symptômes éventuels des troubles dépressifs. Il faut impérativement conseiller à l'utilisatrice de s'adresser sans délai à un médecin si elle remarque des sautes d'humeur ou d'autres symptômes de dépression au cours de l'utilisation du contraceptif. Les patientes ayant des antécédents de dépression doivent être surveillées attentivement pendant le traitement. En cas d'apparition de dépressions graves pendant le traitement par Sayana, il faut interrompre le traitement.
- +Les dépressions et humeurs dépressives sont connues comme étant des effets indésirables potentiels lors de l'utilisation d'hormones sexuelles, y compris de contraceptifs hormonaux (voir aussi la rubrique «Effets indésirables»). De tels troubles peuvent survenir peu de temps après le début du traitement. La dépression peut être grave et représente un facteur de risque de suicide ou de comportement suicidaire. Les utilisatrices de contraceptifs hormonaux doivent donc être informées des symptômes éventuels des troubles dépressifs. Il faut impérativement conseiller à l'utilisatrice de s'adresser sans délai à un médecin si elle remarque des sautes d'humeur ou d'autres symptômes de dépression au cours de l'utilisation du contraceptif. Les patientes ayant des antécédents de dépression doivent être surveillées attentivement pendant le traitement. En cas d'apparition de dépressions sévères pendant le traitement par Sayana, il faut arrêter le traitement.
-Chez la plupart des femmes, des irrégularités du cycle menstruel sont survenues durant l'utilisation de Sayana. Lorsque l'utilisation a été poursuivie, une aménorrhée complète a été plus fréquemment rapportée. Après l'administration de Sayana, 39% des patientes ont rapporté une absence de menstruation au 6e mois d'utilisation et ce pourcentage était de 56.5% au 12e mois.
-Des métrorragies et des ménorragies peuvent aussi survenir après la prise de Sayana.
- +Chez la plupart des femmes, des anomalies du cycle menstruel sont survenues durant l'utilisation de Sayana. Lorsque l'utilisation a été poursuivie, une aménorrhée complète a été plus fréquemment rapportée. Après l'administration de Sayana, 39% des patientes ont rapporté une absence de menstruation au 6e mois d'utilisation et ce pourcentage était de 56.5% au 12e mois.
- +Des métrorragies et des ménorragies peuvent aussi survenir lors de la prise de Sayana.
-Le traitement par les progestatifs peut provoquer une rétention liquidienne et une prise de poids. Il faut étroitement surveiller les patientes présentant des maladies préexistantes (p.ex. asthme, migraine, troubles de la fonction cardiaque ou rénale, épilepsie) susceptibles de s'aggraver par suite d'une rétention liquidienne.
- +Le traitement par les progestatifs peut provoquer une rétention liquidienne et une prise de poids. Les patientes présentant des maladies préexistantes (par ex. asthme, migraine, troubles de la fonction cardiaque ou rénale, épilepsie) susceptibles de s'aggraver par suite d'une rétention liquidienne doivent être étroitement surveillées.
-Les progestatifs peuvent influencer la résistance périphérique à l'insuline et la tolérance au glucose. Les données disponibles ne donnent toutefois aucun indice montrant qu'il faille modifier le schéma thérapeutique chez les diabétiques qui utilisent un produit progestatif en monothérapie. Il faut néanmoins étroitement surveiller les diabétiques pendant les premiers mois du traitement.
- +Les progestatifs peuvent influencer la résistance périphérique à l'insuline et la tolérance au glucose. Les données disponibles ne fournissent toutefois aucun indice montrant qu'il faille modifier le schéma thérapeutique chez les diabétiques qui utilisent un produit progestatif en monothérapie. Les diabétiques doivent néanmoins ��tre ��troitement surveillées pendant les premiers mois du traitement.
-Les femmes doivent être informées qu'en raison de l'action prolongée de Sayana, une grossesse ne surviendra éventuellement que plusieurs mois après l'arrêt du traitement. Un an après une administration unique de Sayana, 97.4% des patientes présentaient, des taux plasmatiques de progestérone similaires à ceux attendus au moment de l'ovulation. Après la fenêtre thérapeutique de 14 semaines, l'ovulation la plus précoce a été observée après une semaine. Le délai moyen jusqu'à la survenue d'une ovulation a été de 30 semaines.
- +Les utilisatrices doivent être informées qu'en raison de l'action prolongée de Sayana, une grossesse ne surviendra éventuellement que plusieurs mois après l'arrêt du traitement. Un an après une administration unique de Sayana, 97.4% des patientes présentaient des taux plasmatiques de progestérone similaires à ceux attendus au moment de l'ovulation. Après la fenêtre thérapeutique de 14 semaines, l'ovulation la plus précoce a été observée après une semaine. Le délai moyen jusqu'à la survenue d'une ovulation a été de 30 semaines.
-·Comme avec tous les contraceptifs hormonaux faiblement dosés, une maturation folliculaire est possible et le follicule peut parfois devenir plus gros que lors d'un cycle normal. En général, ces follicules hypertrophiques disparaissent spontanément. Ils sont souvent asymptomatiques, mais sont parfois tenus pour responsables de douleurs abdominales légères et exigent, rarement, une intervention chirurgicale.
-·Il faut étroitement surveiller les femmes qui sont simultanément traitées pour une hyperlipidémie.
-·Pendant la grossesse comme pendant l'utilisation de stéroïdes sexuels, on a décrit les maladies et symptômes suivants, pour lesquels une relation avec l'utilisation d'un progestatif n'est pas démontrée: ictère et/ou prurit liés à une cholestase, lithiase biliaire; porphyrie; lupus érythémateux disséminé; syndrome hémolytique et urémique; chorée de Sydenham; herpes gestationis; perte d'audition due à une otospongiose.
-·L'influence d'un traitement au long cours par l'acétate de médroxyprogestérone sur le fonctionnement de l'hypophyse, des ovaires, de l'utérus, des glandes surrénales et du foie n'a pas été analysée systématiquement.
- +·Comme avec tous les contraceptifs hormonaux faiblement dosés, une maturation folliculaire est possible et le follicule peut occasionnellement devenir plus gros que lors d'un cycle normal. En général, ces follicules hypertrophiques disparaissent spontanément. Ils sont souvent asymptomatiques, mais sont parfois tenus pour responsables de douleurs abdominales légères et exigent, dans de rares cas, une intervention chirurgicale.
- +·Les femmes qui sont simultanément traitées pour une hyperlipidémie doivent être étroitement surveillées.
- +·Pendant la grossesse comme pendant l'utilisation de stéroïdes sexuels, on a décrit les maladies et symptômes suivants, pour lesquels une relation avec l'utilisation d'un progestatif n'est pas démontrée: ictère et/ou prurit liés à une cholestase, lithiase biliaire; porphyrie; lupus érythémateux systémique; syndrome hémolytique et urémique; chorée de Sydenham; herpes gestationis; perte d'audition due à une otosclérose.
- +·L'influence d'un traitement au long cours par l'acétate de médroxyprogestérone sur le fonctionnement de l'hypophyse, des ovaires, de l'utérus, des glandes surrénales et du foie n'a pas été étudiée systématiquement.
-·Comme Sayana contient du 4-hydroxybenzoate de méthyle et du 4-hydroxybenzoate de propyle, des réactions allergiques et notamment des bronchospasmes (également retardés) sont possibles.
-·Les femmes utilisant Sayana doivent être incitées à ne pas consommer d'alcool ou de nicotine de manière abusive.
-Il faudra signaler à toutes les patientes auxquelles un contraceptif hormonal tel que Sayana est prescrit que celui-ci n'offre aucune protection contre une infection à VIH ou contre d'autres infections sexuellement transmissibles. Il faut conseiller l'usage cohérent de préservatifs, en plus de Sayana, aux femmes issues des groupes à risque correspondants.
-Il est prouvé que la prise régulière d'acide folique avant et pendant une grossesse contribue à prévenir les défauts de fermeture du tube neural (spina bifida, anencéphalie). C'est pourquoi lors de l'arrêt de la contraception hormonale, on recommande la prise continue de 0.4 mg d'acide folique par jour (p.ex. sous forme d'une préparation multivitaminique) en plus d'une alimentation riche en acide folique, à toutes les femmes chez lesquelles une grossesse est possible ou souhaitée.
- +·Les utilisatrices de Sayana doivent être incitées à ne pas consommer d'alcool ou de nicotine de manière abusive.
- +Il faudra signaler à toutes les patientes auxquelles un contraceptif hormonal tel que Sayana est prescrit que celui-ci n'offre aucune protection contre une infection par le VIH ou contre d'autres infections sexuellement transmissibles. Il faut conseiller l'usage cohérent de préservatifs, en plus de Sayana, aux femmes issues des groupes à risque correspondants.
- +Il est prouvé que la prise régulière d'acide folique avant et pendant une grossesse contribue à prévenir les défauts de fermeture du tube neural (spina bifida, anencéphalie). C'est pourquoi lors de l'arrêt de la contraception hormonale, on recommande la prise continue de 0.4 mg d'acide folique par jour (par ex. sous forme d'une préparation multivitaminique) en plus d'une alimentation riche en acide folique, à toutes les femmes chez lesquelles une grossesse est possible ou souhaitée.
- +Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par seringue préremplie, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
- +Ce médicament contient des parahydroxybenzoates. Il peut provoquer des réactions allergiques (éventuellement retardées), et exceptionnellement, des bronchospasmes.
- +
-Effet d'autres médicaments sur la pharmacocinétique de l'acétate de médroxyprogestérone
- +Influence d'autres médicaments sur la pharmacocinétique de l'acétate de médroxyprogestérone
-En outre, les inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse (p.ex. efavirenz, névirapine) peuvent induire le métabolisme des progestatifs. En particulier, avec efavirenz, on a découvert une interaction correspondante avec différents progestatifs, accompagnée d'une diminution de l'AUC de ≥50%. Des interactions avec les progestatifs ont également été décrites avec les inhibiteurs de la protéase du VIH/VHC (p.ex. bocéprévir, nelfinavir, télaprévir). L'administration concomitante de ces principes actifs peut se traduire par une baisse ou une augmentation de la concentration des progestatifs. Il n'existe aucune donnée correspondante pour l'acétate de médroxyprogestérone. Toutefois, il faut s'attendre à des interactions similaires.
-Quand des femmes sont traitées pendant une courte durée par l'un des médicaments susmentionnés ou par un autre médicament inducteur des enzymes hépatiques, elles seront incitées à utiliser un contraceptif mécanique en plus de Sayana, de façon temporaire, soit pendant l'utilisation du traitement concomitant et pendant les 28 jours suivant la fin de ce traitement.
-En cas de traitement prolongé par des médicaments qui induisent les enzymes hépatiques, il faudra utiliser d'autres méthodes contraceptives non hormonales.
-Inhibiteurs du CYP3A4: bien qu'aucune étude d'interaction formelle n'ait été réalisée, on suppose que l'administration concomitante d'inhibiteurs puissants du CYP3A4 augmente la concentration d'acétate de médroxyprogestérone. La co-administration avec des inhibiteurs puissants du CYP3A4 (tels que l'itraconazole, le voriconazole, la clarithromycine, l'atazanavir, l'indinavir, le nelfinavir, le ritonavir, le saquinavir) devrait donc être évitée.
-Effet de l'acétate de médroxyprogestérone sur la pharmacocinétique d'autres médicaments
-Une légère baisse de la clairance plasmatique de la warfarine, un substrat des CYP1A2, CYP2C9 et CYP3A4 a été rapportée après l'administration répétée de 1000 mg d'acétate de médroxyprogestérone. La pertinence clinique de ces observations n'est pas établie pour Sayana.
- +En outre, les inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse (par ex. éfavirenz, névirapine) peuvent induire le métabolisme des progestatifs. En particulier, l'éfavirenz a révélé une interaction correspondante avec différents progestatifs, accompagnée d'une diminution de l'AUC de ≥50%. Des interactions avec les progestatifs ont également été décrites avec les inhibiteurs de la protéase du VIH/VHC (par ex. bocéprévir, nelfinavir, télaprévir). L'administration concomitante de ces principes actifs peut se traduire par une baisse ou une augmentation de la concentration des progestatifs. Il n'existe aucune donnée correspondante pour l'acétate de médroxyprogestérone. Toutefois, il faut s'attendre à des interactions similaires.
- +Lorsque des femmes sont traitées pendant une courte durée par l'un des médicaments susmentionnés ou par un autre médicament inducteur des enzymes hépatiques, elles doivent être incitées à utiliser un contraceptif mécanique en plus de Sayana, de façon temporaire, soit pendant l'utilisation du traitement concomitant et pendant les 28 jours suivant la fin de ce traitement.
- +En cas de traitement prolongé par des médicaments qui induisent les enzymes hépatiques, d'autres méthodes contraceptives non hormonales doivent être utilisées.
- +Inhibiteurs du CYP3A4: bien qu'aucune étude d'interaction formelle n'ait été réalisée, on suppose que l'administration concomitante d'inhibiteurs puissants du CYP3A4 augmente la concentration d'acétate de médroxyprogestérone. La co-administration avec des inhibiteurs puissants du CYP3A4 (tels que l'itraconazole, le voriconazole, la clarithromycine, l'atazanavir, l'indinavir, le nelfinavir, le ritonavir, le saquinavir) doit donc être évitée.
- +Influence de l'acétate de médroxyprogestérone sur la pharmacocinétique d'autres médicaments
- +Une légère baisse de la clairance plasmatique de la warfarine, un substrat des CYP1A2, CYP2C9 et CYP3A4 a été rapportée après l'administration répétée de 1'000 mg d'acétate de médroxyprogestérone. On ignore la pertinence clinique de cette observation pour Sayana.
-L'administration concomitante de Sayana et d'anti-inflammatoires non stéroïdiens ainsi que de vasodilatateurs impose une surveillance en raison du risque accru de développement d'œdèmes.
- +L'administration concomitante de Sayana et d'anti-inflammatoires non stéroïdiens ainsi que de vasodilatateurs doit être surveillée en raison du risque accru de développement d'œdèmes.
-Sayana est contre-indiqué chez la femme enceinte. Il faut exclure l'éventualité d'une grossesse avant le début du traitement. En cas de début ou de suspicion de grossesse durant le traitement, un médecin devra être immédiatement consulté.
- +Sayana est contre-indiqué chez la femme enceinte. L'éventualité d'une grossesse doit être exclue avant le début du traitement. En cas de début ou de suspicion de grossesse durant le traitement, un médecin doit être immédiatement consulté.
-Chez les enfants issus de grossesses survenues 1 à 2 mois après l'injection i.m. de 150 mg d'acétate de médroxyprogestérone, une réduction du poids de naissance a été rapportée. Le risque absolu est cependant faible, car les grossesses sont inhabituelles lors de l'utilisation de 150 mg d'acétate de médroxyprogestérone. Les études réalisées chez des enfants exposés in utero à l'acétate de médroxyprogestérone et suivis jusqu'à la l'adolescence, n'ont montré aucune altération de la santé de ceux-ci, ni de leur développement physique, intellectuel, sexuel ou social.
-Dans une étude prospective contrôlée, l'incidence des anomalies chromosomiques et de la polydactylie a été légèrement plus élevée chez des nouveau-nés dont les mères avaient reçu de l'acétate de médroxyprogestérone-dépôt avant ou pendant la grossesse que chez les nouveau-nés dont les mères avaient utilisé des contraceptifs oraux ou n'avaient utilisé aucun contraceptif. D'autres études n'ont pas permis de confirmer ces résultats. Les autres anomalies congénitales, typiquement associées à l'exposition aux progestatifs (telles qu'anomalies de fermeture du tube neural, malformations cardiaques ou malformations des extrémités), n'ont pas été observées.
-En cas d'utilisation de Sayana pendant la grossesse ou en cas d'une grossesse pendant l'utilisation, la patiente doit être immédiatement informée du risque potentiel encouru par le fœtus.
- +Chez les enfants issus de grossesses survenues 1 à 2 mois après l'injection i.m. de 150 mg d'acétate de médroxyprogestérone, une réduction du poids de naissance a été rapportée. Le risque absolu est cependant faible, car les grossesses sont inhabituelles lors de l'utilisation de 150 mg d'acétate de médroxyprogestérone. Les études réalisées chez des enfants exposés in utero à l'acétate de médroxyprogestérone et suivis jusqu'à l'adolescence n'ont montré aucune altération de la santé de ceux-ci, ni de leur développement physique, intellectuel, sexuel ou social.
- +Dans une étude prospective contrôlée, l'incidence des anomalies chromosomiques et de la polydactylie a été légèrement plus élevée chez des nouveau-nés dont les mères avaient reçu de l'acétate de médroxyprogestérone-dépôt avant ou pendant la grossesse en comparaison des nouveau-nés dont les mères avaient utilisé des contraceptifs oraux ou n'avaient utilisé aucun contraceptif. D'autres études n'ont pas permis de confirmer ces résultats. Les autres anomalies congénitales typiquement associées à l'exposition aux progestatifs (telles qu'anomalies de fermeture du tube neural, malformations cardiaques ou malformations des extrémités) n'ont pas été observées.
- +En cas d'utilisation de Sayana pendant la grossesse ou en cas de grossesse pendant l'utilisation, la patiente doit être immédiatement informée du risque potentiel encouru par le fœtus.
-La composition, la qualité et la quantité de lait n'ont pas été altérées chez des femmes traitées par 150 mg d'acétate de médroxyprogestérone par voie i. m. pendant l'allaitement. De faibles quantités de principe actif et de ses métabolites ont été détectées dans le lait maternel. Le développement et le comportement de nouveau-nés et d'enfants exposés à l'acétate de médroxyprogestérone par l'intermédiaire du lait maternel ont été surveillés jusqu'à la puberté. Aucun effet défavorable n'a été constaté. Sayana peut donc être utilisé pendant l'allaitement. Dans ce cas, la croissance et le développement de l'enfant devront cependant être attentivement surveillés.
- +La composition, la qualité et la quantité de lait n'ont pas été altérées chez des femmes traitées par 150 mg d'acétate de médroxyprogestérone par voie i. m. pendant l'allaitement. De faibles quantités du principe actif et de ses métabolites ont été détectées dans le lait maternel. Le développement et le comportement de nouveau-nés et d'enfants exposés à l'acétate de médroxyprogestérone par l'intermédiaire du lait maternel ont été étudiés jusqu'à la puberté. Aucun effet défavorable n'a été constaté. Sayana peut donc être utilisé pendant l'allaitement. Dans ce cas, la croissance et le développement de l'enfant doivent cependant être attentivement surveillés.
-Aucune étude correspondante n'a été effectuée. Des effets indésirables comme fatigue, somnolence ou vertiges peuvent toutefois apparaître pendant le traitement par l'acétate de médroxyprogestérone (voir «Effets indésirables»). C'est pourquoi la prudence est recommandée lors de la conduite de véhicules ou lors de l'utilisation de machines.
- +Aucune étude correspondante n'a été effectuée. Des effets indésirables tels que fatigue, envie de dormir ou vertiges peuvent toutefois apparaître pendant le traitement par l'acétate de médroxyprogestérone (voir «Effets indésirables»). C'est pourquoi la prudence est de rigueur lors de la conduite de véhicules et lors de l'utilisation de machines.
-La sécurité de Sayana a été évaluée dans des études cliniques sur environ 2000 femmes. Ci-dessous figurent, par système d'organes et fréquence, les effets indésirables qui ont été observés lors de l'utilisation de Depo-MPA administrée par voie sous-cutanée ou intramusculaire dans les études cliniques ou après commercialisation. Les 3 effets indésirables les plus fréquemment rapportés étaient des céphalées, des métrorragies et une prise de poids.
-Des réactions au site d'injection ont été rapportées sous Sayana chez 6.1% des utilisatrices au total.
- +La sécurité de Sayana a été évaluée dans des études cliniques sur environ 2'000 femmes. Ci-dessous figurent, par système d'organes (MedDRA) et fréquence, les effets indésirables qui ont été observés lors de l'utilisation de Depo-MPA administrée par voie sous-cutanée ou intramusculaire dans les études cliniques ou au cours de la surveillance du marché. Les 3 effets indésirables les plus fréquemment rapportés étaient des céphalées, des métrorragies et une prise de poids.
- +Des réactions au site d'application ont été rapportées sous Sayana chez 6.1% des utilisatrices au total.
-«Très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100, <1/10), «occasionnels» (≥1/1000, <1/100), «rares» (≥1/10'000, <1/1000), «très rares» (<1/10'000), «fréquence inconnue» (basée principalement sur les rapports spontanés de pharmacovigilance et/ou les observations dans le cadre de la MPA administrée par voie i.m.; la fréquence attendue dans le cadre de l'utilisation de Sayana ne peut donc pas être estimée).
- +«Très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à <1/10), «occasionnels» (≥1/1'000 à <1/100), «rares» (≥1/10'000 à <1/1'000), «très rares» (<1/10'000), «fréquence inconnue» (basée principalement sur les rapports spontanés issus de la surveillance du marché et/ou les observations dans le cadre de la MPA administrée par voie i.m.; la fréquence attendue dans le cadre de l'utilisation de Sayana ne peut donc pas être estimée).
-Fréquents: infection urinaire.
- +Fréquents: infection des voies urinaires.
-Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (incl. kystes et polypes)
- +Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (incl kystes et polypes)
-Occasionnels: augmentation de l'appétit, rétention liquidienne, diminution de l'appétit.
- +Occasionnels: appétit augmenté, rétention liquidienne, appétit diminué.
-Occasionnels: variations de l'humeur, anorgasmie, troubles émotionnels, nervosité.
- +Occasionnels: sautes d'humeur, anorgasmie, troubles émotionnels, nervosité.
-Rares: somnolence.
- +Rares: envie de dormir.
-Occasionnels: dyspnée, obstruction nasale.
- +Occasionnels: dyspnée, embarras de la respiration nasale.
-Fréquents: douleurs abdominales, nausées.
- +Fréquents: douleur abdominale, nausées.
-Occasionnels: dermatite, alopécie, éruption, urticaire, ecchymoses, hirsutisme, prurit, chloasma, hyperhidrose.
- +Occasionnels: dermatite, alopécie, rash, urticaire, ecchymoses, hirsutisme, prurit, chloasma, hyperhidrose.
-Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
-Fréquents: douleurs dorsales, douleurs dans les extrémités.
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
- +Fréquents: dorsalgie, douleurs dans les extrémités.
-Occasionnels: dysurie, lithiase rénale.
- +Occasionnels: dysurie, néphrolithiase.
-Fréquents: métrorragie, aménorrhée, hémorragie utérine dysfonctionnelle, méno-métrorragies, anomalies du frottis cervical, ménorragie, vaginite, douleur des seins, menstruations irrégulières, dysménorrhée.
-Occasionnels: sensibilité des seins, écoulement vaginal, dyspareunie, sécheresse vulvovaginale, kystes ovariens, prurit génital, syndrome prémenstruel, augmentation du volume mammaire, dysplasie cervicale, galactorrhée, douleurs pelviennes.
- +Fréquents: métrorragie, aménorrhée, hémorragie utérine dysfonctionnelle, ménométrorragie, frottis cervical anormal, ménorragie, vaginite, douleur des seins, menstruations irrégulières, dysménorrhée.
- +Occasionnels: sensibilité mammaire, écoulement vaginal, dyspareunie, sécheresse vulvovaginale, kystes ovariens, prurit génital, syndrome prémenstruel, augmentation du volume mammaire, dysplasie du col utérin, galactorrhée, douleurs pelviennes.
-Sayana contient comme principe actif l'acétate de médroxyprogestérone, un dérivé de la progestérone, le progestatif endogène. À côté de ses propriétés progestatives, l'acétate de médroxyprogestérone déploie également des effets androgéniques, antiestrogéniques, antigonadotrophiques et adrénocorticoïdes.
- +Sayana contient comme principe actif l'acétate de médroxyprogestérone, un dérivé de la progestérone, le progestatif endogène. En plus de ses propriétés progestatives, l'acétate de médroxyprogestérone possède également des propriétés androgéniques, antiestrogéniques, antigonadotrophiques et adrénocorticoïdes.
-L'acétate de médroxyprogestérone inhibe l'axe hypothalamo-hypophyso-gonadique et empêche ainsi la maturation des follicules et l'ovulation. Chez les femmes qui ont une sécrétion normale d'estrogènes, l'acétate de médroxyprogestérone fait passer l'endomètre de la phase folliculaire à la phase sécrétoire. En même temps, la glaire cervicale est modifiée de telle sorte qu'une pénétration et une ascension des spermatozoïdes n'est plus possible.
- +L'acétate de médroxyprogestérone inhibe l'axe hypothalamo-hypophyso-gonadique et empêche ainsi la maturation des follicules et l'ovulation. Chez les femmes qui ont une sécrétion normale d'estrogènes, l'acétate de médroxyprogestérone fait passer l'endomètre de la phase folliculaire à la phase sécrétoire. Parallèlement, la glaire cervicale est modifiée de telle sorte qu'une pénétration et une ascension des spermatozoïdes ne sont plus possibles.
-Dans deux études cliniques réalisées en Europe, en Amérique et en Asie chez un total de 1800 femmes ayant utilisé Sayana pendant un an, l'indice de Pearl (nombre de grossesse pour 100 années-femmes) était de 0. Le taux cumulatif de grossesse était également de 0 après 1 an.
- +Dans deux études cliniques réalisées en Europe, en Amérique et en Asie chez un total de 1'800 femmes ayant utilisé Sayana pendant un an, l'indice de Pearl (nombre de grossesses pour 100 années-femmes) était de 0. Le taux cumulatif de grossesses était également de 0 après 1 an.
-L'effet de Depo-MPA (150 mg en i.m. toutes les 12 semaines) sur la densité minérale osseuse (DMO) a été étudié dans deux études cliniques.
-Dans une étude prospective, non randomisée portant sur des femmes adultes en âge de procréer (n=608 au total), la DMO a été déterminée à différents moments au niveau de la colonne lombaire et du fémur et elle a été comparée entre utilisatrices de Depo-MPA et femmes n'utilisant pas de contraception hormonale. Seules 42 femmes dans le bras Depo-MPA ont été traitées pendant toute la durée prévue de 5 ans. Sous Depo-MPA, la diminution de la DMO était en moyenne de 5-6%, tandis que dans le groupe témoin, aucune modification statistiquement significative de la DMO n'a été observée. Une réduction de la DMO a été en particulier démontrée pendant les deux premières années d'utilisation, après quoi la DMO n'a continué de baisser que légèrement. Ainsi, la diminution moyenne de la DMO au niveau de la colonne lombaire après 1, 2, 3, 4, et 5 ans était de respectivement 2.86%, 4.11%, 4.89%, 4.93% et 5.38%. Les résultats au niveau du col du fémur et de la hanche totale étaient similaires.
- +L'influence de Depo-MPA (150 mg en i.m. toutes les 12 semaines) sur la densité minérale osseuse (DMO) a été étudiée dans deux études cliniques.
- +Dans une étude prospective, non randomisée, portant sur des femmes adultes en âge de procréer (n=608 au total), la DMO a été déterminée à différents moments au niveau de la colonne lombaire et du fémur et elle a été comparée entre utilisatrices de Depo-MPA et femmes n'utilisant pas de contraception hormonale. Seules 42 femmes dans le bras Depo-MPA ont été traitées pendant toute la durée prévue de 5 ans. Sous Depo-MPA, la diminution de la DMO était en moyenne de 5-6%, tandis que dans le groupe témoin, aucune modification statistiquement significative de la DMO n'a été observée. Une réduction de la DMO a été en particulier démontrée pendant les deux premières années d'utilisation, ensuite la densité osseuse n'a continué de baisser que légèrement. Ainsi, la diminution moyenne de la DMO au niveau de la colonne lombaire après 1, 2, 3, 4 et 5 ans était de respectivement 2.86%, 4.11%, 4.89%, 4.93% et 5.38%. Les résultats au niveau du col du fémur et de la hanche totale étaient similaires.
-Les sujets ont fait l'objet d'un suivi jusqu'à 240 semaines après l'arrêt de Depo-MPA. Une récupération de la DMO est survenue au cours du suivi. La durée moyenne jusqu'à un retour à la valeur initiale se situait entre 1.2 ans pour la colonne lombaire et 4.6 ans pour la hanche. Comme chez l'adulte, une durée d'utilisation plus longue a également été mise en relation avec une régénération plus lente dans cette étude. Par ailleurs, la récupération de la DMO était plus lente chez les fumeuses que chez les non-fumeuses.
-Dans une étude de cohorte rétrospective (n=41'876) reposant sur des données du «General Practice Research Database» (GPRD), le risque de fractures osseuses pendant la durée moyenne de suivi de 5 ans était supérieur chez les utilisatrices de Depo-MPA par rapport aux non-utilisatrices (taux d'incidence de 1.41; intervalle de confiance à 95%: 1.35-1.47). On ignore si le risque accru est imputable à Depo-MPA ou à des différences de facteurs liés au mode de vie, qui exercent également une influence sur le risque de fractures. Dans le groupe des utilisatrices de Depo-MPA, le risque de fractures n'était pas significativement supérieur après le début de l'utilisation, par rapport au risque avant le début du traitement (RR 1.08; IC à 95%: 0.92, 1.26). L'étude ne permet pas de conclure si l'utilisation de Depo-MPA pourrait avoir une influence sur le taux de fractures ultérieur.
-Dans une étude croisée publiée (Watson et al. 2006), le risque de fractures sous Depo-MPA a été spécifiquement examiné dans une population de femmes en âge de procréer présentant des «developmental disabilities» (p.ex. paralysie cérébrale, arriération mentale, épilepsie, autisme) (c'est-à-dire une population dont le risque de fractures était déjà accru). Dans cette étude, on a retrouvé un risque significativement augmenté de fractures ostéoporotiques pour les utilisatrices (actuelles ou passées) de Depo-MPA (OR=2.4; IC à 95% 1.3-4.4).
- +Les sujets ont fait l'objet d'un suivi jusqu'à 240 semaines après l'arrêt de Depo-MPA. Une récupération de la DMO est survenue au cours du suivi. La durée moyenne jusqu'à un retour à la valeur initiale se situait entre 1.2 an pour la colonne lombaire et 4.6 ans pour la hanche. Comme chez l'adulte, une durée d'utilisation plus longue a également été mise en relation avec une régénération plus lente dans cette étude. Par ailleurs, la récupération de la DMO était plus lente chez les fumeuses que chez les non-fumeuses.
- +Dans une étude de cohorte rétrospective (n=41'876) reposant sur des données de la «General Practice Research Database» (GPRD), le risque de fractures osseuses pendant la durée moyenne de suivi de 5 ans était supérieur chez les utilisatrices de Depo-MPA par rapport aux non-utilisatrices (taux d'incidence de 1.41; intervalle de confiance à 95%: 1.35-1.47). On ignore si le risque accru est imputable à Depo-MPA ou à des différences de facteurs liés au mode de vie, qui exercent également une influence sur le risque de fractures. Dans le groupe des utilisatrices de Depo-MPA, le risque de fractures n'était pas significativement supérieur après le début de l'utilisation, par rapport au risque avant le début du traitement (RR 1.08; IC à 95%: 0.92, 1.26). L'étude ne permet pas de conclure si l'utilisation de Depo-MPA pourrait avoir une influence sur le taux de fractures ultérieur.
- +Dans une étude croisée publiée (Watson et al. 2006), le risque de fractures sous Depo-MPA a été spécifiquement étudié dans une population de femmes en âge de procréer présentant des «developmental disabilities» (par ex. paralysie cérébrale, arriération mentale, épilepsie, autisme) (c'est-à-dire une population dont le risque de fractures était déjà accru). Dans cette étude, on a constaté un risque significativement augmenté de fractures ostéoporotiques pour les utilisatrices (actuelles ou passées) de Depo-MPA (OR=2.4; IC à 95% 1.3-4.4).
-La pharmacocinétique de l'acétate de médroxyprogestérone n'a pas été évalué chez des patientes atteintes de troubles de la fonction hépatique. Cependant, les hormones stéroïdiennes ne sont généralement qu'insuffisamment métabolisées chez les patients présentant des troubles sévères de la fonction hépatique.
- +La pharmacocinétique de l'acétate de médroxyprogestérone n'a pas été étudiée chez des patientes atteintes de troubles de la fonction hépatique. Cependant, les hormones stéroïdiennes ne sont généralement qu'insuffisamment métabolisées chez les patientes présentant des troubles sévères de la fonction hépatique.
-La pharmacocinétique de l'acétate de médroxyprogestérone n'a pas été évalué chez des patientes atteintes de troubles de la fonction rénale.
-Enfants et adolescents
-La pharmacocinétique de l'acétate de médroxyprogestérone a été étudiée uniquement chez l'adulte.
- +La pharmacocinétique de l'acétate de médroxyprogestérone n'a pas été étudiée chez des patientes atteintes de troubles de la fonction rénale.
- +Enfants et adolescentes
- +La pharmacocinétique de l'acétate de médroxyprogestérone a été étudiée uniquement chez les adultes.
-Les effets du poids corporel sur la pharmacocinétique de l'acétate de médroxyprogestérone ont été évalués dans un groupe de 42 femmes ayant un indice de masse corporel (Body Mass Index - BMI) compris entre 18.2 et 46.0 kg/m2. L'AUC0-91 pour l'acétate de médroxyprogestérone a été respectivement de 68.5, 74.8 et 61.8 ng x j/ml chez les femmes présentant un BMI ≤25 kg/m2, >25 et ≤30 kg/m2, et >30 kg/m2. La Cmax moyenne de la médroxyprogestérone a été respectivement de 1.65 ng/ml, 1.76 ng/ml et 1.40 ng/ml dans les catégories de BMI indiquées. La fourchette des concentrations minimales (Cmin) et de la demi-vie de l'acétate de médroxyprogestérone a été comparable dans les 3 groupes de BMI.
- +Les effets du poids corporel sur la pharmacocinétique de l'acétate de médroxyprogestérone ont été étudiés dans un groupe de 42 femmes ayant un indice de masse corporel (IMC) compris entre 18.2 et 46.0 kg/m2. L'AUC0-91 pour l'acétate de médroxyprogestérone a été respectivement de 68.5, 74.8 et 61.8 ng x jour/ml chez les femmes présentant un IMC ≤25 kg/m2, >25 et ≤30 kg/m2 et >30 kg/m2. La Cmax moyenne de la médroxyprogestérone a été respectivement de 1.65 ng/ml, 1.76 ng/ml et 1.40 ng/ml dans les catégories d'IMC indiquées. La fourchette des concentrations minimales (Cmin) et de la demi-vie de l'acétate de médroxyprogestérone a été comparable dans les 3 groupes d'IMC.
-La solution injectable ne doit pas être mélangée avec d'autres liquides ou substances.
- +La suspension injectable ne doit pas être mélangée avec d'autres liquides ou substances.
-Les concentrations plasmatiques d'estrogènes, de progestérone, de gonadotrophines et d'hydrocortisone, le taux urinaire de prégnandiol, les tests de la tolérance au glucose, du fonctionnement de la glande thyroïde, le test à la métyrapone, la prothrombine et les facteurs de coagulation VII, VIII, IX et X.
- +Les concentrations plasmatiques d'estrogènes, de progestérone, de gonadotrophines et d'hydrocortisone, le taux urinaire de prégnandiol, la tolérance au glucose, le test du fonctionnement de la glande thyroïde, le test à la métyrapone, la prothrombine et les facteurs de coagulation VII, VIII, IX et X.
-Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
-La préparation est destinée à un prélèvement unique. Après l'ouverture du récipient, le contenu doit être utilisé immédiatement, jeter les restes éventuels.
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
- +Stabilité après ouverture
- +La préparation est destinée à un prélèvement unique. Après l'ouverture du récipient, le contenu doit être utilisé immédiatement, les restes éventuels doivent être jetés.
-Conserver hors de portée des enfants.
- +Tenir hors de portée des enfants.
-Juin 2020.
-LLD V024
- +Mars 2021.
- +LLD V026
|
|