58 Changements de l'information professionelle Sayana, Injektionssuspension (104 mg/0.65 ml) |
-Début de l'administration
- +Début de l'administration:
-Autres injections
- +Autres injections:
-Mesures à suivre lorsque l'injection est omise
- +Mesures à suivre lorsque l'injection est omise:
- +·Surpoids: aucun ajustement de la dose en fonction du poids corporel n'est nécessaire (voir «Pharmacocinétique»).
-·Suspicion de grossesse ou grossesse confirmée.
-·Troubles de la fonction hépatique.
-
- +·Troubles de la fonction hépatique.
- +·Porphyrie.
- +·Suspicion de grossesse ou grossesse confirmée.
-·survenue d'un ictère, d'une hépatite ou d'un prurit généralisé
-·indices d'une maladie thromboembolique veineuse
-·infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral
-·céphalées apparaissant pour la première fois, itératives ou anormalement intenses
-·troubles visuels, auditifs ou de l'élocution soudains ou autres troubles sensoriels ainsi qu'autres symptômes pouvant suggérer une ischémie cérébrale
-·forte élévation de la pression artérielle depuis la dernière injection de Sayana, ne pouvant pas être suffisamment contrôlée par des antihypertenseurs
-·immobilisation prolongée (p.ex. après des accidents ou des interventions chirurgicales majeures; 4 à 6 semaines avant des opérations électives)
-·Augmentation de la fréquence des crises d'épilepsie
-·Développement de tumeurs hormonosensibles, induites par le traitement, avérées.
- +·développement de tumeurs hormonosensibles, induites par le traitement, avérées.
- +·survenue d'un ictère, d'une hépatite ou d'un prurit généralisé.
- +·indices d'une maladie thromboembolique veineuse.
- +·infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral.
- +·céphalées apparaissant pour la première fois, itératives ou anormalement intenses.
- +·troubles visuels, auditifs ou de l'élocution soudains ou autres troubles sensoriels ainsi qu'autres symptômes pouvant suggérer une ischémie cérébrale.
- +·forte élévation de la pression artérielle depuis la dernière injection de Sayana, ne pouvant pas être suffisamment contrôlée par des antihypertenseurs.
- +·immobilisation prolongée (p.ex. après des accidents ou des interventions chirurgicales majeures; 4 à 6 semaines avant des opérations électives).
- +·Augmentation de la fréquence des crises d'épilepsie.
- +En cas d'apparition d'un ou de plusieurs des symptômes/facteurs de risque décrits ci-dessous, il convient d'évaluer individuellement le rapport bénéfice/risque de Sayana et d'en discuter avec la femme avant qu'elle décide de l'utiliser. En cas d'aggravation, d'exacerbation ou d'apparition pour la première fois d'un tel symptôme ou facteur de risque, la femme doit consulter son médecin. Le médecin devra alors décider si Sayana doit être arrêté.
-En cas d'apparition d'un ou de plusieurs des symptômes/facteurs de risque décrits ci-dessous, il convient d'évaluer individuellement le rapport bénéfice/risque de Sayana et d'en discuter avec la femme avant qu'elle décide de l'utiliser. En cas d'aggravation, d'exacerbation ou d'apparition pour la première fois d'un tel symptôme ou facteur de risque, la femme doit consulter son médecin. Le médecin devra alors décider si Sayana doit être arrêté.
-Des études épidémiologiques indiquent que le risque d'événements thromboemboliques artériels et veineux est augmenté lors de l'utilisation de contraceptifs hormonaux combinés. En revanche, il est probable que l'utilisation d'un produit purement progestatif (comme Sayana) n'entraîne pas d'augmentation du risque de voir survenir de telles maladies. Sayana doit néanmoins être utilisé avec prudence chez les patientes présentant des antécédents de thrombophlébite ou de maladies thromboemboliques, même s'il n'existe pas d'études cliniques dans une telle population. Les femmes présentant des antécédents de maladies thromboemboliques doivent être informées de l'augmentation éventuelle du risque de récidive.
- +Des études épidémiologiques indiquent que le risque d'événements thromboemboliques artériels et veineux est augmenté lors de l'utilisation de contraceptifs hormonaux combinés (CHC). En revanche, il est probable que l'utilisation d'un produit purement progestatif (comme Sayana) n'entraîne pas d'augmentation du risque de voir survenir de telles maladies. Sayana doit néanmoins être utilisé avec prudence chez les patientes présentant des antécédents de thrombophlébite ou de maladies thromboemboliques, même s'il n'existe pas d'études cliniques dans une telle population. Les femmes présentant des antécédents de maladies thromboemboliques doivent être informées de l'augmentation éventuelle du risque de récidive.
-Irrégularités du cycle
-Chez la plupart des femmes, des irrégularités du cycle menstruel sont survenues durant l'utilisation de Sayana. Lorsque l'utilisation a été poursuivie, une aménorrhée complète a été fréquemment rapportée. Après l'administration de Sayana, 39% des patientes ont rapporté une absence de menstruation au 6e mois d'utilisation et ce pourcentage était de 56.5% au 12e mois.
-Des métrorragies et des ménorragies peuvent aussi survenir après la prise de Sayana.
-Les patientes doivent être informées de la possibilité de troubles menstruels et d'un éventuel retard de l'ovulation à l'arrêt du médicament (voir ci-dessous).
-Retard de l'ovulation à l'arrêt de Sayana
-Les femmes doivent être informées qu'en raison de l'action prolongée de Sayana, une grossesse ne surviendra éventuellement que plusieurs mois après l'arrêt du traitement. Un an après une administration unique de Sayana, 97.4% des patientes présentaient, des taux plasmatiques de progestérone similaires à ceux attendus au moment de l'ovulation. Après la fenêtre thérapeutique de 14 semaines, l'ovulation la plus précoce a été observée après une semaine. Le délai moyen jusqu'à la survenue d'une ovulation a été de 30 semaines.
-Cancer du sein
-Une méta-analyse de 54 études épidémiologiques a mis en évidence une discrète augmentation du risque relatif de cancer du sein diagnostiqué chez les femmes utilisant des CHC (RR = 1.24) par rapport aux non-utilisatrices. À l'arrêt du CHC, cette augmentation du risque diminue de façon continue et n'est plus détectable 10 ans après l'arrêt du CHC. Le cancer du sein étant rare avant l'âge de 40 ans, le nombre supplémentaire de cancers du sein diagnostiqués chez les femmes utilisant ou ayant récemment utilisé un CHC est faible par rapport au risque de survenue d'un cancer du sein pendant toute la vie. Les résultats de ces études ne permettent pas d'établir un lien de causalité. L'augmentation du risque de cancer du sein diagnostiqué peut être liée à un dépistage plus précoce du cancer chez les femmes utilisant un CHC (en raison des examens plus fréquents/plus réguliers), aux effets biologiques des CHC ou encore à l'association de ces deux facteurs.
-Il se peut que le risque encouru par les utilisatrices de produits purement progestatifs soit comparable au risque encouru par les utilisatrices de contraceptifs hormonaux combinés, mais les données actuellement disponibles ne permettent pas d'évaluer le risque de façon conclusive et les études épidémiologiques disponibles ont donné des résultats contradictoires.
-En cas de perte visuelle soudaine, partielle ou complète ou en cas d'exophtalmie, de diplopie ou de migraine d'évolution rapide, le traitement doit être immédiatement arrêté. Si un œdème papillaire ou des lésions vasculaires de la rétine sont diagnostiquées à l'examen, le traitement par Sayana ne doit en aucun cas être repris.
- +En cas de perte visuelle soudaine, partielle ou complète ou en cas d'exophtalmie, de diplopie ou de migraine d'évolution rapide, le traitement doit être immédiatement arrêté. Si un œdème papillaire ou des lésions vasculaires de la rétine sont diagnostiqués à l'examen, le traitement par Sayana ne doit en aucun cas être repris.
- +Cancer du sein
- +Une méta-analyse de 54 études épidémiologiques a révélé une discrète augmentation du risque relatif de cancer du sein diagnostiqué chez les femmes utilisant des CHC (RR=1.24) par rapport aux non-utilisatrices. À l'arrêt du CHC, cette augmentation du risque diminue de façon continue et n'est plus détectable 10 ans après l'arrêt du CHC. Le cancer du sein étant rare avant l'âge de 40 ans, le nombre supplémentaire de cancers du sein diagnostiqués chez les femmes utilisant ou ayant récemment utilisé un CHC est faible par rapport au risque de survenue d'un cancer du sein pendant toute la vie. Les résultats de ces études ne permettent pas d'établir un lien de causalité. L'augmentation du risque de cancer du sein diagnostiqué peut être liée à un dépistage plus précoce du cancer chez les femmes utilisant un CHC (en raison des examens plus fréquents/plus réguliers), aux effets biologiques des CHC ou encore à l'association de ces deux facteurs.
- +Il se peut que le risque encouru par les utilisatrices de produits purement progestatifs soit comparable au risque encouru par les utilisatrices de contraceptifs hormonaux combinés, mais les études épidémiologiques disponibles ont donné des résultats contradictoires et les données disponibles ne permettent pas d'évaluer le risque de façon conclusive.
-Diabète
-Les progestatifs peuvent influencer la résistance périphérique à l'insuline et la tolérance au glucose. Les données disponibles ne donnent toutefois aucun indice montrant qu'il faille modifier le schéma thérapeutique chez les diabétiques qui utilisent un produit progestatif en monothérapie. Il faut néanmoins étroitement surveiller les diabétiques pendant les premiers mois du traitement.
- +Irrégularités du cycle
- +Chez la plupart des femmes, des irrégularités du cycle menstruel sont survenues durant l'utilisation de Sayana. Lorsque l'utilisation a été poursuivie, une aménorrhée complète a été plus fréquemment rapportée. Après l'administration de Sayana, 39% des patientes ont rapporté une absence de menstruation au 6e mois d'utilisation et ce pourcentage était de 56.5% au 12e mois.
- +Des métrorragies et des ménorragies peuvent aussi survenir après la prise de Sayana.
- +Les patientes doivent être informées de la possibilité de troubles menstruels et d'un éventuel retard de l'ovulation à l'arrêt du médicament.
- +Diabète
- +Les progestatifs peuvent influencer la résistance périphérique à l'insuline et la tolérance au glucose. Les données disponibles ne donnent toutefois aucun indice montrant qu'il faille modifier le schéma thérapeutique chez les diabétiques qui utilisent un produit progestatif en monothérapie. Il faut néanmoins étroitement surveiller les diabétiques pendant les premiers mois du traitement.
- +Retard de l'ovulation à l'arrêt de Sayana
- +Les femmes doivent être informées qu'en raison de l'action prolongée de Sayana, une grossesse ne surviendra éventuellement que plusieurs mois après l'arrêt du traitement. Un an après une administration unique de Sayana, 97.4% des patientes présentaient, des taux plasmatiques de progestérone similaires à ceux attendus au moment de l'ovulation. Après la fenêtre thérapeutique de 14 semaines, l'ovulation la plus précoce a été observée après une semaine. Le délai moyen jusqu'à la survenue d'une ovulation a été de 30 semaines.
- +
-En cas d'administration concomitante d'acétate de médroxyprogestérone et d'aminoglutéthimide (inducteur du CYP3A4, du CYP2C8/9 et du CYP2C19), les taux plasmatiques d'acétate de médroxyprogestérone ont été réduits de 70% environ. Il existe d'autres exemples d'inducteurs du CYP3A4: barbituriques, bosentan, carbamazépine, felbamate, modafinil, oxcarbazépine, phénytoïne, primidone, rifabutine, rifampicine, ritonavir, topiramate et produits à base de millepertuis (hypericum perforatum).
- +Inducteurs du CYP3A4: en cas d'administration concomitante d'acétate de médroxyprogestérone et d'aminoglutéthimide (inducteur du CYP3A4, du CYP2C8/9 et du CYP2C19), les taux plasmatiques d'acétate de médroxyprogestérone ont été réduits de 70% environ. Il existe d'autres exemples d'inducteurs du CYP3A4: barbituriques, bosentan, carbamazépine, felbamate, modafinil, oxcarbazépine, phénytoïne, primidone, rifabutine, rifampicine, topiramate et produits à base de millepertuis (hypericum perforatum).
- +Les inhibiteurs de la protéase tels que le ritonavir ou le nelfinavir (y compris les combinaisons de ces substances) sont connus comme de puissants inhibiteurs du CYP3A4. Co-administrés avec des hormones stéroïdiennes, ils peuvent toutefois avoir des propriétés d'induction enzymatique et ainsi aussi réduire les taux plasmatiques de progestatifs tels que l'acétate de médroxyprogestérone.
- +Inhibiteurs du CYP3A4: bien qu'aucune étude d'interaction formelle n'ait été réalisée, on suppose que l'administration concomitante d'inhibiteurs puissants du CYP3A4 augmente la concentration d'acétate de médroxyprogestérone. La co-administration avec des inhibiteurs puissants du CYP3A4 (tels que l'itraconazole, le voriconazole, la clarithromycine, l'atazanavir, l'indinavir, le nelfinavir, le ritonavir, le saquinavir) devrait donc être évitée.
-Ci-dessous figurent, par système d'organes et fréquence, les effets indésirables qui ont été observés lors de l'utilisation de Sayana dans les études cliniques.
- +Les effets indésirables les plus graves associés à l'utilisation de contraceptifs hormonaux sont décrits dans la rubrique «Mises en garde et précautions» (voir dans cette rubrique).
- +La sécurité de Sayana a été évaluée dans des études cliniques sur environ 2000 femmes. Ci-dessous figurent, par système d'organes et fréquence, les effets indésirables qui ont été observés lors de l'utilisation de la MPA-dépôt administrée par voie sous-cutanée dans les études cliniques. Les 3 effets indésirables les plus fréquemment rapportés étaient des céphalées, des métrorragies et une prise de poids.
- +Effets indésirables post-commercialisation: les effets indésirables ayant une pertinence clinique et qui ont été rapportés après commercialisation de la MPA-dépôt (sous-cutanée) figurent également dans la liste ci-dessous.
- +Des réactions au site d'injection ont été rapportées chez 6.1% des utilisatrices au total.
- +Les effets indésirables rapportés dans le cadre de l'utilisation de MPA-dépôt (150 mg) administrée par voie intramusculaire à des fins contraceptives sont également indiqués (catégorie de «fréquence inconnue»).
-«Très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100, <1/10), «occasionnels» (≥1/1000, <1/100), «rares» (≥1/10'000, <1/1000), «très rares» (<1/10'000).
-Infections
-Fréquents: infection vaginale, infection urinaire, rhinite.
-Circulation sanguine et lymphatique
- +«Très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100, <1/10), «occasionnels» (≥1/1000, <1/100), «rares» (≥1/10'000, <1/1000), «très rares» (<1/10'000), «fréquence inconnue» (basée principalement sur les rapports spontanés de pharmacovigilance et/ou les observations dans le cadre de la MPA administrée par voie i.m.; la fréquence attendue dans le cadre de l'utilisation de Sayana ne peut donc pas être estimée).
- +Infections et infestations
- +Fréquents: infection urinaire.
- +Occasionnels: rhinite.
- +Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (incl. kystes et polypes)
- +Rares: cancer du sein.
- +Affections hématologiques et du système lymphatique
-Système immunitaire
- +Affections du système immunitaire
-Troubles endocriniens
- +Fréquence inconnue: réactions anaphylactiques, réactions anaphylactoïdes, angioœdème.
- +Affections endocriniennes
-Occasionnels: augmentation ou diminution de l'appétit, rétention liquidienne, perte de poids.
-Troubles psychiatriques
-Fréquents: diminution de la libido, dépression, irritabilité, anxiété, troubles affectifs.
-Occasionnels: anorgasmie, variations de l'humeur, troubles émotionnels, nervosité.
-Système nerveux
- +Occasionnels: augmentation de l'appétit, rétention liquidienne, diminution de l'appétit.
- +Rares: perte de poids.
- +Affections psychiatriques
- +Fréquents: diminution de la libido, dépression, troubles affectifs, irritabilité, anxiété.
- +Occasionnels: variations de l'humeur, anorgasmie, troubles émotionnels, nervosité.
- +Affections du système nerveux
-Occasionnels: migraine, paresthésies, syncopes.
- +Occasionnels: migraine, syncopes, paresthésies.
-Troubles oculaires
- +Affections oculaires
-Oreille
- +Affections de l'oreille et du labyrinthe
-Troubles cardiaques/vasculaires
-Occasionnels: bouffées de chaleur, hypertension, varices, angor.
- +Affections cardiaques
- +Occasionnels: angor.
-Organes respiratoires
-Fréquents: dyspnée, obstruction nasale, épistaxis.
-Troubles gastro-intestinaux
- +Affections vasculaires
- +Occasionnels: hypertension, bouffées de chaleur, varices.
- +Fréquence inconnue: événements thromboemboliques veineux.
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
- +Occasionnels: dyspnée, obstruction nasale.
- +Rares: épistaxis.
- +Affections gastro-intestinales
-Occasionnels: ballonnements, diarrhée, dyspepsie, douleurs dentaires, vomissements, constipation, gastrite.
-Rares: colite, ulcère gastrique, œsophagite de reflux, hémorroïdes, syndrome du côlon irritable, stomatite, gingivite, rectorragies.
-Troubles hépato-biliaires
- +Occasionnels: diarrhée, dyspepsie, vomissements, constipation, gastrite, syndrome du côlon irritable, ballonnements.
- +Rares: colite, ulcère gastrique, œsophagite de reflux, hémorroïdes, gingivite, stomatite, rectorragies.
- +Affections hépatobiliaires
-Troubles cutanés
- +Fréquence inconnue: bilirubine augmentée.
- +Des rares cas d'ictère cholestatique ont été rapportés dans le cadre de l'utilisation de médroxyprogestérone administrée par voie intramusculaire à des fins contraceptives.
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
-Occasionnels: éruption, prurit, urticaire, dermatite, alopécie, hirsutisme, chloasma, ecchymoses.
-Rares: séborrhée, psoriasis, paronychie.
-Troubles musculosquelettiques
-Fréquents: douleurs dorsales, douleurs dans les jambes.
- +Occasionnels: dermatite, alopécie, éruption, urticaire, ecchymoses, hirsutisme, prurit, chloasma, hyperhidrose.
- +Rares: séborrhée, psoriasis.
- +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
- +Fréquents: douleurs dorsales, douleurs dans les extrémités.
-Troubles rénaux et urinaires
-Occasionnels: dysurie, lithiase rénale, polyurie.
-Organes de reproduction et seins
-Fréquents: menstruations anormales (par ex. métrorragies/menstruations irrégulières, aménorrhée, ménorragie, méno-métrorragies), douleur/sensibilité des seins, dysménorrhée, anomalies du frottis cervical.
-Occasionnels: leucorrhée, sécheresse vulvovaginale, prurit génital, modifications de la taille des seins, douleurs pelviennes, dyspareunie, kystes ovariens, syndrome prémenstruel, galactorrhée, tumeur mammaire, dysplasie cervicale.
-Troubles généraux et accidents liés au site d'administration
-Fréquents: fatigue, réactions au site d'injection (douleurs, sensibilité à la pression ou à la douleur, gonflement, hématomes, atrophie ou lypodystrophie persistante, se traduisant par la formation de creux, de nodules ou de fossettes).
-Occasionnels: sensation de faiblesse, transpiration accrue, douleur thoracique, fièvre.
-Depuis la commercialisation, des réactions anaphylactiques, une tachycardie ainsi que de rares cas d'ostéoporose, y compris de fractures ostéoporotiques, ont été rapportés chez des patientes ayant reçu 150 mg de MPA en injection i.m.
- +Fréquence inconnue: diminution de la densité minérale osseuse (sous 150 mg de MPA, y compris cas de fractures ostéoporotiques).
- +Affections du rein et des voies urinaires
- +Occasionnels: dysurie, lithiase rénale.
- +Rares: polyurie.
- +Affections des organes de reproduction et du sein
- +Fréquents: métrorragie, aménorrhée, hémorragie utérine dysfonctionnelle, méno-métrorragies, anomalies du frottis cervical, ménorragie, vaginite, douleur des seins, menstruations irrégulières, dysménorrhée.
- +Occasionnels: sensibilité des seins, écoulement vaginal, dyspareunie, sécheresse vulvovaginale, kystes ovariens, prurit génital, syndrome prémenstruel, augmentation du volume mammaire, dysplasie cervicale, galactorrhée, douleurs pelviennes.
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
- +Fréquents: fatigue, réactions au site d'injection (telles que douleurs/sensibilité, nodule/bosse ou atrophie persistante/formation de creux et de fossettes).
- +Occasionnels: asthénie, fièvre, douleur thoracique.
- +Rares: lipodystrophie au site d'injection.
- +Fréquence inconnue: œdèmes (périphériques).
-Le délai entre l'administration sous-cutanée de l'acétate de médroxyprogestérone et l'atteinte du taux thérapeutique est relativement court. La Cmax (concentration maximale) moyenne est atteinte environ une semaine après l'injection. Après une injection sous-cutanée unique, elle s'élève à 1.5 ng/ml (fourchette comprise entre 0.5 et 3.0 ng/ml).
- +La Cmax (concentration maximale) moyenne est atteinte environ une semaine après l'injection sous-cutanée. Après une injection sous-cutanée unique, elle s'élève à 1.5 ng/ml (fourchette comprise entre 0.5 et 3.0 ng/ml).
- +L'acétate de médroxyprogestérone traverse la barrière placentaire et passe dans le lait maternel.
- +
-L'acétate de médroxyprogestérone est essentiellement métabolisé dans le foie par les enzymes du P450. Le métabolisme concerne essentiellement une réduction du cycle A et/ou de la chaîne latérale, l'élimination du groupe acétyle, l'hydroxylation en position 2, 6 et 21 ou une association de ces réactions, et entraîne ainsi la formation de plus de 10 métabolites.
- +L'acétate de médroxyprogestérone est essentiellement métabolisé dans le foie par les enzymes du P450. Le métabolisme concerne essentiellement une réduction du cycle A et/ou de la chaîne latérale, l'élimination du groupe acétyle, l'hydroxylation en position 2, 6 et 21 ou une association de ces réactions, et entraîne ainsi la formation de plus de 10 métabolites. Les métabolites sont ensuite conjugués avec l'acide glucuronique et les sulfates.
-Après une injection s.c., la demi-vie terminale de l'acétate de médroxyprogestérone est d'environ 40 jours. Les concentrations résiduelles d'acétate de médroxyprogestérone à la fin de l'intervalle posologique (3 mois) de Sayana sont généralement inférieures à 0.5 ng/ml. La plupart des métabolites de l'acétate de médroxyprogestérone sont excrétés dans les urines sous forme de glucuro-conjugués et seule une faible proportion est éliminée dans les urines sous forme de sulfates.
- +Après une injection s.c., la demi-vie terminale de l'acétate de médroxyprogestérone est d'environ 40 jours. Les concentrations résiduelles d'acétate de médroxyprogestérone à la fin de l'intervalle posologique (3 mois) de Sayana sont généralement inférieures à 0.5 ng/ml. La plupart des métabolites de l'acétate de médroxyprogestérone sont excrétés dans les urines sous forme de glucuro-conjugués et seule une faible proportion est éliminée dans les urines sous forme de sulfates. Seul environ 1% de la dose administrée est éliminé sous forme inchangée.
-Insuffisance hépatique: l'acétate de médroxyprogestérone n'a pas été évalué chez des patientes atteintes de troubles de la fonction hépatique. Cependant, les hormones stéroïdiennes ne sont généralement qu'insuffisamment métabolisées chez les patients présentant des troubles sévères de la fonction hépatique.
-Insuffisance rénale: l'acétate de médroxyprogestérone n'a pas été évalué chez des patientes atteintes de troubles de la fonction rénale.
-Effet du poids corporel: aucun ajustement de la dose de Sayana en fonction du poids corporel n'est nécessaire. Les effets du poids corporel sur la pharmacocinétique de l'acétate de médroxyprogestérone ont été évalués dans un groupe de 42 femmes ayant un indice de masse corporel (Body Mass Index - BMI) compris entre 18.2 et 46.0 kg/m2. L'AUC0-91 pour l'acétate de médroxyprogestérone a été respectivement de 68.5, 74.8 et 61.8 ng × j/ml chez les femmes présentant un BMI ≤25 kg/m2, >25 et ≤30 kg/m2, et >30 kg/m2. La Cmax moyenne de la médroxyprogestérone a été respectivement de 1.65 ng/ml, 1.76 ng/ml et 1.40 ng/ml dans les catégories de BMI indiquées. La fourchette des concentrations minimales (Cmin) et de la demi-vie de l'acétate de médroxyprogestérone a été comparable dans les 3 groupes de BMI.
- +Population pédiatrique: la pharmacocinétique de l'acétate de médroxyprogestérone a été étudiée uniquement chez l'adulte.
- +Insuffisance hépatique: la pharmacocinétique de l'acétate de médroxyprogestérone n'a pas été évalué chez des patientes atteintes de troubles de la fonction hépatique. Cependant, les hormones stéroïdiennes ne sont généralement qu'insuffisamment métabolisées chez les patients présentant des troubles sévères de la fonction hépatique.
- +Insuffisance rénale: la pharmacocinétique de l'acétate de médroxyprogestérone n'a pas été évalué chez des patientes atteintes de troubles de la fonction rénale.
- +Effet du poids corporel: Les effets du poids corporel sur la pharmacocinétique de l'acétate de médroxyprogestérone ont été évalués dans un groupe de 42 femmes ayant un indice de masse corporel (Body Mass Index - BMI) compris entre 18.2 et 46.0 kg/m2. L'AUC0-91 pour l'acétate de médroxyprogestérone a été respectivement de 68.5, 74.8 et 61.8 ng × j/ml chez les femmes présentant un BMI ≤25 kg/m2, >25 et ≤30 kg/m2, et >30 kg/m2. La Cmax moyenne de la médroxyprogestérone a été respectivement de 1.65 ng/ml, 1.76 ng/ml et 1.40 ng/ml dans les catégories de BMI indiquées. La fourchette des concentrations minimales (Cmin) et de la demi-vie de l'acétate de médroxyprogestérone a été comparable dans les 3 groupes de BMI.
-Sayana: 1 seringue préremplie à 104 mg/0.65 ml (B)
- +Sayana: 1 seringue préremplie à 104 mg/0.65 ml. (B)
-Octobre 2014.
-LLD V012
- +Mai 2017.
- +LLD V013
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