18 Changements de l'information professionelle Pioglitazon-Mepha Teva 15 mg |
-OEMéd
-Pioglitazon Actavis est indiqué dans le traitement du 2 e intention du diabète sucré de type 2 (diabète non insulinodépendant) chez des patients dont la glycémie n’est qu’insuffisamment équilibrée par un régime alimentaire et de l’exercice physique.
- +Pioglitazon Actavis est indiqué dans le traitement du 2e intention du diabète sucré de type 2 (diabète non insulinodépendant) chez des patients dont la glycémie n’est qu’insuffisamment équilibrée par un régime alimentaire et de l’exercice physique.
-Dans une méta-analyse d’essais cliniques contrôlés, des cas de cancer de la vessie ont été rapportés plus fréquemment avec la pioglitazone (19 cas pour 12’506 patients, 0,15%) que dans les groupes témoins (7 cas pour 10’212 patients, 0,07%) Risque Relatif (RR) = 2,64 (IC 95%, 1,11–6,31, p= 0,029). Après exclusion des patients chez lesquels l’exposition au médicament étudié a été inférieure à 1 an lors du diagnostic de cancer de la vessie, il restait 7 cas (0,06%) pour le groupe pioglitazone et 2 cas (0,02%) pour le groupe témoin. Les données épidémiologiques disponibles suggèrent également un risque légèrement accru de cancer de la vessie chez les patients diabétiques traités par la pioglitazone, en particulier chez les patients traités pour les plus longues durées et avec les doses cumulées les plus élevées. Un risque possible après un traitement à court terme ne peut être exclu.
- +Dans une méta-analyse d’essais cliniques contrôlés, des cas de cancer de la vessie ont été rapportés plus fréquemment avec la pioglitazone (19 cas pour 12’506 patients, 0,15%) que dans les groupes témoins (7 cas pour 10’212 patients, 0,07%) Risque Relatif (RR) = 2,64 (IC 95%, 1,11–6,31, p= 0,029). Après exclusion des patients chez lesquels l’exposition au médicament étudié a été inférieure à 1 an lors du diagnostic de cancer de la vessie, il restait 7 cas (0,06%) pour le groupe pioglitazone et 2 cas (0,02%) pour le groupe témoin. Les données épidémiologiques disponibles suggèrent également un risque légèrement accru de cancer de la vessie chez les patients diabétiques traités par la pioglitazone, en particulier chez les patients traités pour les plus longues durées et avec les doses cumulées les plus élevées. Un risque possible après un traitement à court terme ne peut être exclu.
-Après l’instauration du traitement par la pioglitazone, il est recommandé de contrôler les enzymes hépatiques à intervalles réguliers. Chez les patients traités par la pioglitazone, un nouveau contrôle des enzymes hépatiques devra être réalisé le plus tôt possible si l’ALAT dépasse plus de trois fois la limite supérieure de la normale. Si le taux d’ALAT reste supérieur à plus de trois fois la limite supérieure de la normale, le traitement doit être arrêté.
- +Après l’instauration du traitement par la pioglitazone, il est recommandé de contrôler les enzymes hépatiques à intervalles réguliers. Chez les patients traités par la pioglitazone, un nouveau contrôle des enzymes hépatiques devra être réalisé le plus tôt possible si l’ALAT dépasse plus de trois fois la limite supérieure de la normale. Si le taux d’ALAT reste supérieur à plus de trois fois la limite supérieure de la normale, le traitement doit être arrêté.
-Une faible diminution du taux d’hémoglobine moyen (réduction relative de 4,0%) et de l’hématocrite (réduction relative de 4,1%) est apparue suite à une hémodilution sous le traitement par la pioglitazone. Lors d’essais cliniques contrôlés avec la pioglitazone, des changements similaires ont été observés avec la metformine (diminution relative de l’hémoglobine de 3 à 4% et de l’hématocrite de 3,6 à 4,1%) et, dans une moindre mesure, sous sulfonylurées (diminution relative de l’hémoglobine de 1 à 2% et de l’hématocrite de 1 à 3,2%).
- +Une faible diminution du taux d’hémoglobine moyen (réduction relative de 4,0%) et de l’hématocrite (réduction relative de 4,1%) est apparue suite à une hémodilution sous le traitement par la pioglitazone. Lors d’essais cliniques contrôlés avec la pioglitazone, des changements similaires ont été observés avec la metformine (diminution relative de l’hémoglobine de 3 à 4% et de l’hématocrite de 3,6 à 4,1%) et, dans une moindre mesure, sous sulfonylurées (diminution relative de l’hémoglobine de 1 à 2% et de l’hématocrite de 1 à 3,2%).
-On a constaté des fractures chez 2,6% des femmes sous pioglitazone par rapport à 1,7% chez les femmes sous traitement de comparaison. Cela correspond à 1,9 fractures pour 100 années-patient sous pioglitazone et 1,1 fractures pour 100 années-patient sous traitement de comparaison. Chez les hommes, on n’observe aucune augmentation du taux de fracture sous pioglitazone par rapport au traitement de comparaison. La plupart des fractures observées chez les femmes sous pioglitazone concernaient l’avant-bras, la main et le poignet et/ou le pied, la cheville, le péroné et le tibia. Il faudrait tenir compte du risque de facture chez les femmes lors d’un traitement de longue durée par la pioglitazone.
- +On a constaté des fractures chez 2,6% des femmes sous pioglitazone par rapport à 1,7% chez les femmes sous traitement de comparaison. Cela correspond à 1,9 fractures pour 100 années-patient sous pioglitazone et 1,1 fractures pour 100 années-patient sous traitement de comparaison. Chez les hommes, on n’observe aucune augmentation du taux de fracture sous pioglitazone par rapport au traitement de comparaison. La plupart des fractures observées chez les femmes sous pioglitazone concernaient l’avant-bras, la main et le poignet et/ou le pied, la cheville, le péroné et le tibia. Il faudrait tenir compte du risque de facture chez les femmes lors d’un traitement de longue durée par la pioglitazone.
-Après administration par voie orale de pioglitazone radiomarquée chez l’homme, la fraction marquée a été retrouvée essentiellement dans les fèces (55%) et à un moindre degré dans les urines (45%). M-III n’est pas éliminé par les reins.
- +Après administration par voie orale de pioglitazone radiomarquée chez l’homme, la fraction marquée a été retrouvée essentiellement dans les fèces (55%) et à un moindre degré dans les urines (45%). M-III n’est pas éliminé par les reins.
-Aucun potentiel génotoxique n’a été observé dans une longue série d’essais de génotoxicité in vivo et in vitro. Une incidence accrue d’hyperplasies (chez le mâle et la femelle rat) et de tumeurs (chez le rat mâle) de l’épithélium de la vessie a été observée chez les rats traités par la pioglitazone (durant 2 ans au maximum). La formation ou la présence de calculs urinaires entraînant une irritation et une hyperplasie est considérée comme le mécanisme de base de la carcinogénicité observée chez le rat mâle. Une étude de mécanisme de 24 mois chez le rat mâle a montré que l’administration de pioglitazone entraînait une augmentation de l’incidence des modifications hyperplasiques de la vessie. Une acidification de l’urine par l’adjonction de NH 4 Cl à la pioglitazone dans le cadre d’un régime a réduit significativement l’incidence des tumeurs, sans toutefois la supprimer. La présence de microcristaux a exacerbé la réaction hyperplasique, bien qu’elle n’ait pas été considérée comme étant la cause principale des modifications hyperplasiques. Une importance des résultats carcinogènes observés chez le rat mâle ne peut pas être exclue pour l’homme. Aucune réponse tumorigène n’a été observée chez les souris des deux sexes. L’hyperplasie de la vessie n’a pas été observée chez les chiens ou les singes traités pendant une période pouvant aller jusqu’à 12 mois.
- +Aucun potentiel génotoxique n’a été observé dans une longue série d’essais de génotoxicité in vivo et in vitro. Une incidence accrue d’hyperplasies (chez le mâle et la femelle rat) et de tumeurs (chez le rat mâle) de l’épithélium de la vessie a été observée chez les rats traités par la pioglitazone (durant 2 ans au maximum). La formation ou la présence de calculs urinaires entraînant une irritation et une hyperplasie est considérée comme le mécanisme de base de la carcinogénicité observée chez le rat mâle. Une étude de mécanisme de 24 mois chez le rat mâle a montré que l’administration de pioglitazone entraînait une augmentation de l’incidence des modifications hyperplasiques de la vessie. Une acidification de l’urine par l’adjonction de NH4Cl à la pioglitazone dans le cadre d’un régime a réduit significativement l’incidence des tumeurs, sans toutefois la supprimer. La présence de microcristaux a exacerbé la réaction hyperplasique, bien qu’elle n’ait pas été considérée comme étant la cause principale des modifications hyperplasiques. Une importance des résultats carcinogènes observés chez le rat mâle ne peut pas être exclue pour l’homme. Aucune réponse tumorigène n’a été observée chez les souris des deux sexes. L’hyperplasie de la vessie n’a pas été observée chez les chiens ou les singes traités pendant une période pouvant aller jusqu’à 12 mois.
-Présentations
- Quantité CHF SM Catégories de remb.
-PIOGLITAZON Actavis cpr 15 mg 28 pce 38.85 B LS G (LIM)
-98 pce 95.40 B LS G (LIM)
-PIOGLITAZON Actavis cpr 30 mg 28 pce 46.95 B LS G (LIM)
-98 pce 123.35 B LS G (LIM)
-PIOGLITAZON Actavis cpr 45 mg 28 pce 53.10 B LS G (LIM)
-98 pce 144.70 B LS G (LIM)
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- +Présentation
- +Pioglitazon Actavis cpr 15 mg 28. (B)
- +Pioglitazon Actavis cpr 15 mg 98. (B)
- +Pioglitazon Actavis cpr 30 mg 28. (B)
- +Pioglitazon Actavis cpr 30 mg 98. (B)
- +Pioglitazon Actavis cpr 45 mg 28. (B)
- +Pioglitazon Actavis cpr 45 mg 98. (B)
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-Actavis Switzerland SA, 8105 Regensdorf.
- +Mepha Pharma AG, Basel.
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