ch.oddb.org
 
Apotheken | Arzt | Interaktionen | Medikamente | MiGeL | Services | Spital | Zulassungsi.
Home - Fachinformation zu Helvetaxel 20 mg/1 ml - Änderungen - 24.04.2019
80 Änderungen an Fachinfo Helvetaxel 20 mg/1 ml
  • -En association au trastuzumab administré toutes les semaines, la posologie recommandée de docétaxel est de 100 mg/m2 toutes les 3 semaines. La première perfusion de docétaxel a été effectuée le lendemain de la première administration de trastuzumab. Les cures suivantes de docétaxel ont été administrées immédiatement après la fin de la perfusion du trastuzumab si la dose précédente de trastuzumab avait été bien tolérée. Pour trastuzumab, voir l'information professionnelle du produit Herceptin®.
  • +En association au trastuzumab administré toutes les semaines, la posologie recommandée de docétaxel est de 100 mg/m2 toutes les 3 semaines. La première perfusion de docétaxel a été effectuée le lendemain de la première administration de trastuzumab. Les cures suivantes de docétaxel ont été administrées immédiatement après la fin de la perfusion du trastuzumab si la dose précédente de trastuzumab avait été bien tolérée.
  • -·Chimiothérapie d'induction suivie de radiothérapie
  • +Chimiothérapie d'induction suivie de radiothérapie
  • -·Chimiothérapie d'induction suivie de chimio radiothérapie
  • +Chimiothérapie d'induction suivie de chimio radiothérapie
  • +Les patients qui ont déjà subi une réaction d'hypersensibilité au paclitaxel peuvent développer une réaction d'hypersensibilité potentiellement fatale au docétaxel.
  • +
  • -Chez les patients traités par le docétaxel en combinaison avec le cisplatine et le 5-fluorouracil (TCF), une neutropénie fébrile et/ou une infection neutropénique sont apparues à des taux plus faibles lorsque les patients ont reçu du G-CSF en prophylaxie. Dans le traitement adjuvant du cancer du sein, les patients doivent avoir un suivi hématologique, dû au risque de développer une myelodysplasie tardive ou une leucémie myéloide (AML). Après un temps median de suivi de 83 mois, l'AML est apparue chez 3 patients sur 744 (0,4%) qui ont été traités par TAC, et chez 1 patient sur 736 (0,1%) traités par 5-FU/doxorubicine/cyclophosphamide. L'expérience post-marketing a montré que de très rares cas d'AML et de syndrome myelodysplasique ont été rapportés en association avec docétaxel utilisé en combinaison avec d'autres chimiothérapies et/ou radiothérapie.
  • +Chez les patients traités par le docétaxel en combinaison avec le cisplatine et le 5-fluorouracil (TCF), une neutropénie fébrile et/ou une infection neutropénique sont apparues à des taux plus faibles lorsque les patients ont reçu du G-CSF en prophylaxie. Dans le traitement adjuvant du cancer du sein, les patients doivent avoir un suivi hématologique, dû au risque de développer une myelodysplasie tardive ou une leucémie myéloide (AML). Après un temps median de suivi de 83 mois, l'AML est apparue chez 3 patients sur 744 (0,4%) qui ont été traités par TAC, et chez 1 patient sur 736 (0,1%) traités par 5-FU/doxorubicine/cyclophosphamide. L'expérience post-marketing a montré que de très rares cas d'AML et de syndrome myélodysplasique ont été rapportés en association avec docétaxel utilisé en combinaison avec d'autres chimiothérapies et/ou radiothérapie.
  • +Réactions gastro-intestinales:
  • +Des précautions sont recommandées pour les patients neutropéniques qui risquent plus particulièrement de développer des complications gastro-intestinales. Une entérocolite peut se développer à tout moment et peut engendrer le décès dès le premier jour de son apparition. Les patients devraient être étroitement surveillés pour des manifestations précoces de toxicité gastro-intestinale grave, telles que douleurs et sensibilité abdominales précoces, fièvre, diarrhée, avec ou sans neutropénie. Ces symptômes doivent être évalués et traités rapidement.
  • +Des arythmies ventriculaires y compris des tachycardies (parfois fatales) ont été rapportées chez les patients traités avec du docétaxel en combinaison avec des traitements tels que la doxorubicine, le 5-fluorouracile et/ou le cyclophosphamide (voir section «Effets indésirables»).
  • +Une évaluation cardiaque de base est recommandée.
  • +Veuillez indiquer aux patients de signaler tout rythme cardiaque irrégulier et/ou rapide, essoufflement sévère, vertige et/ou évanouissement.
  • +
  • -Excipients:
  • -La quantité d'éthanol dans Docetaxel Zentiva dans la présentation «concentré pour perfusion, 1Vial» peut être néfaste pour les patients souffrant d'alcoolisme et devrait aussi être pris en compte chez la femme enceinte ou allaitante, chez les enfants et les groupes de patients à risque élevé tels que les patients souffrant d'une maladie du foie ou épileptiques.
  • +Excipients: La quantité d'éthanol dans Docetaxel Zentiva dans la présentation «concentré pour perfusion, 1 Vial» peut être néfaste pour les patients souffrant d'alcoolisme et devrait aussi être pris en compte chez la femme enceinte ou allaitante, chez les enfants et les groupes de patients à risque élevé tels que les patients souffrant d'une maladie du foie ou épileptiques.
  • -Vu ses effets indésirables, le docétaxel peut influencer l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines après son administration. Cependant, les effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines n'ont pas été étudiés. La quantité d'éthanol dans le flacon de Docetaxel Zentiva peut altérer les capacités à conduire des véhicules ou à utiliser des machines.
  • +Les effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines n'ont pas été étudiés. Vu ses effets indésirables, le docétaxel peut influencer l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines après son administration. Les patients doivent donc être avertis de l'impact potentiel des effets indésirables du traitement par docétaxel et de ne pas conduire de véhicule ou utiliser des machines en cas de survenue de ces effets indésirables. La quantité d'éthanol dans le flacon de Docetaxel Zentiva peut altérer les capacités à conduire des véhicules ou à utiliser des machines.
  • -Néoplasmes, bénins et malins (y compris les kystes et les polypes)
  • +Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (incluant kystes et polypes)
  • -Rare: leucémie myeloide aigüe (AML).
  • -Troubles de la circulation sanguine et lymphatique
  • +Occasionnel: leucémie myeloide aigüe (AML), syndrome myélodysplasique.
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • -Troubles du système immunitaire
  • -Très fréquents: réactions d'hypersensibilité (3-26%; G3/4: 1,4-5%).
  • -Rare: choc anaphylactique.
  • +Affections du système immunitaire
  • +Très fréquent: réactions d'hypersensibilité (3-26%; G3/4: 1,4-5%).Rare: choc anaphylactique.
  • +En combinaison avec la capécitabine:
  • +Fréquent: mal de dos 7% (G>3/4: 1%).
  • +En combinaison avec le trastuzumab:
  • +Très fréquent: mal de dos 10% (tout grade).
  • +Cas isolés: réaction d'hypersensibilité.
  • +
  • -Très fréquent: anorexie (17-19%; G3/4: 2%). Des cas d'hyponatrémie ont été rapportés, essentiellement associés à une déshydratation, à des vomissements, à une pneumonie.
  • +Très fréquent: anorexie (17-19%; G3/4: 2%).
  • +Cas isolés: hyponatrémie, hypokaliémie, hypomagnésiémie, hypocalcémie.
  • -Troubles psychiatriques
  • +Affections psychiatriques
  • -Troubles du système nerveux
  • +Affections du système nerveux
  • -Fréquents: vertiges, étourdissements (sans vertige), céphalées, neuropathie périphérique, insomnie, polyneuropathie.
  • +Fréquents: vertiges, étourdissements (sans vertige), céphalées, neuropathie périphérique, insomnie, poly neuropathie.
  • -Troubles oculaires
  • +Affections oculaires
  • -Troubles de l'oreille et du conduit auditif
  • +Affections de l'oreille et du labyrinthe
  • -Troubles cardiovasculaires
  • +Affections cardiaques
  • +En association avec des traitements tels que la doxorubicine, le 5-fluorouracile et/ou le cyclophosphamide:
  • +Fréquence inconnue: arythmies ventriculaires y compris des tachycardies, parfois fatales.
  • -Troubles respiratoires
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales:
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • +Affections gastro-intestinales
  • -Rares: cas de déshydratation faisant suite à des manifestations gastro-intestinales, perforation gastro-intestinale, colite ischémique, colite et entérocolite concomitante d'une neutropénie.
  • -Rares: iléus, obstruction intestinale.
  • +Rares: iléus, obstruction intestinale, déshydratation faisant suite à des manifestations gastro-intestinales (y compris perforation gastro-intestinale et entérocolite), entérocolite (y compris colite, colite ischémique et entérocolite neutropénique), parfois fatale
  • -Troubles hépato-biliaires
  • +Affections hépatobiliaires
  • -<2%: ictère, insuffisance hépatique, coma hépatique, hépatotoxicité.
  • +<2%: ictère, insuffisance hépatique, coma hépatique, hépato toxicité.
  • -Système cutané et sous-cutané
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • -Inconnu: Des cas dalopécie permanente ont été rapportés.
  • +Inconnu: Des cas d'alopécie permanente ont été rapportés.
  • -Troubles musculosquelettiques, du tissu conjonctif et des os
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • -Troubles rénaux et urinaires
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • -Troubles fonctionnels de l'appareil reproducteur et du sein
  • +Affections des organes de reproduction et du sein
  • -Troubles généraux et réactions au site d'injection
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • +Fréquence inconnue: réaction de rappel au niveau du site d'injection.
  • -Les effets indésirables les plus fréquents qui ont persisté durant la période de suivi chez les patients du groupe TAC étaient: l'alopécie (92,3%), l'asthénie (31,7%) et l'aménorrhée (27,2%). Parmi ces effets indésirables qui persistaient durant la période de suivi chez plus de 1% des patients, la majorité des évènements ont disparus; cependant, l'aménorrhée (59,9%) et l'œdème lymphatique (54,5%) ont persisté chez les patients TAC.
  • +Dans l'étude TAX316 (voir propriétés/effets), les effets indésirables les plus fréquents commençant en début de traitement et ayant persisté dans la période de suivi chez les patients TAC sont décrits ci-dessous (période de suivi médian de 8 ans). La majorité de ces évènements persistants ont été résolus durant la période de suivi.
  • +Réactions persistantes chez les patients ayant reçu docetaxel en combinaison avec la doxorubicine et le cyclophosphamide. (TAX316) docetaxel 75 mg/m2 + Doxorubicin 50 mg/m2 + Cyclophosphamide 500 mg/m2 n = 744
  • +Type d'évènement Persistant de la période de traitement dans la période de suivi: n (%) En cours à la fin de la période de suivi: n (%)
  • +Alopécie 687 (92.3) 29 (3.9)
  • +Asthénie 236 (31.7) 29 (3.9)
  • +Aménorrhée 202 (27.2) 121 (16.3)
  • +Lymphoedème 11 (1.5) 6 (0.8)
  • +Oedème périphérique 119 (16.0) 19 (2.6)
  • +Neuropathie sensitive périphérique 84 (11.3) 10 (1.3)
  • +
  • +Description de certains effets indésirables:
  • +Tumeurs bénignes,malignes et non précisées (incluant kystes et polypes)
  • +Après 10 ans de suivi dans l'étude TAX316, une leucémie myéloïde aiguë (AML) est apparue dans 3 cas sur 744 (0,4%) chez les patients ayant reçu docétaxel avec doxorubicine et cyclophosphamide (TAC), et chez 1 patient sur 736 (0,1%) ayant reçu fluorouracil avec doxorubicine et cyclophosphamide. Un patient TAC a succombé à une AML durant la période de suivi (temps médian de suivi de 8 ans). Un syndrome myélodysplasique est apparu dans 2 cas sur 744 (0,3%) chez les patients ayant reçu docétaxel avec doxorubicine et cyclophosphamide, et chez un patient sur 736 (0,1%) qui ont reçu fluorouracil avec doxorubicine et cyclophosphamide.
  • +Affections du système immunitaire
  • +Des réactions d'hypersensibilité potentiellement fatales ont été rapportées avec le docétaxel chez les patients ayant expérimenté auparavant une réaction d'hypersensibilité au paclitaxel.
  • +Troubles du métabolisme et de la nutrition:
  • +Des cas de déséquilibre électrolytique ont été rapportés. Des cas d'hyponatrémie ont été rapportés, essentiellement associés à une déshydratation, à des vomissements ou, à une pneumonie. Des cas d'hypokaliémie, d'hypomagnésémie et d'hypocalcémie ont été observés, en général associés à des désordres gastro-intestinaux et en particulier la diarrhée.
  • +Affections gastro-intestinales
  • +De rares cas d'entérocolites, incluant des colites, des colites ischémiques et des entérocolites neutropéniques, ont été rapportés avec une potentielle issue fatale (fréquence inconnue).
  • +De rares cas de déshydratation ont été rapportés suite à des évènements gastro-intestinaux incluant des entérocolites et des perforations intestinales. De rares cas d'iléus et d'occlusion intestinale ont été rapportés.
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration:
  • +La réaction de rappel au niveau du site d'injection (Injection site recall reaction) est une récidive de la réaction cutanée sur un site d'extravasation antérieure suite à l'administration de docétaxel sur un site différent). Cette réaction a été observée sur le site d'une extravasation précédente.
  • -Dans une étude ouverte de phase III, 1'491 femmes atteintes de cancer du sein avec atteinte ganglionnaire opérable ont été traitées soit par docétaxel 75 mg/m2, doxorubicine 50 mg/m2 et cyclophosphamide 500 mg/m2 (TAC) soit par 5-fluorouracil 500 mg/m2, doxorubicine 50 mg/m2 et cyclophosphamide 500 mg/m2 (FAC). Le traitement a été instauré dans les 60 jours suivant l'opération et comprenait 6 cycles TAC ou FAC, suivis de tamoxifène prévu durant 5 ans. Les patientes ayant subi une lumpectomie (15,9%) ou une résection de quadrant (24,9%) ont subi une radiothérapie après la chimiothérapie. La moitié des patientes ayant subi une mastectomie ont suivi une radiothérapie. 5 ans après randomisation, 23,1% des femmes dans le groupe TAC (n=745) et 30,4% des femmes dans le groupe FAC (n=746) présentaient une rechute ou une seconde tumeur (11,5% du taux de rechute, dont n=7 versus 8 avec tumeur dans l'autre sein). Dans la majorité des cas, il s'agissait de métastases éloignées, hasard ratio 0,72 (95% CI 0,59, 0,88), p=0,001. Lors de l'analyse de sous-groupes, le hasard ratio était de 0,61 (0,46, 0,82) pour 1-3 ganglions positifs et de 0,83 (0,66, 1,08) pour ≥4 ganglions positifs. Les femmes pré ménopausées présentaient de meilleurs résultats que les femmes post ménopausées; les patientes présentant un index de performance de 100% (Karnofsky) et ayant reçu une radiothérapie adjuvante présentaient également un avantage. Deux analyses intermédiaires et 1 analyse finale ont été effectuées. Lanalyse finale a été effectuée quand tous les patients ont passé leur visite de suivi à 10 ans (à lexception de la survenue dun évènement DFS ou perdus de vue avant). La survie sans maladie (DFS) était le critère primaire defficacité et la survie globale (OS) était le critère secondaire defficacité. Lanalyse finale a été effectuée avec un suivi médian de 96 mois. Une DFS significativement plus longue a été démontrée dans le groupe TAC en comparaison avec le groupe FAC. Lincidence des rechutes à 10 ans était réduite dans le bras TAC en comparaison avec le groupe FAC (39% vs 45%), à savoir une réduction du risque absolu de 6% (p=0.0043). L'OS à 10 ans était également significativement plus longue dans le bras TAC en comparaison avec le bras FAC (76% vs 68%), à savoir une réduction du risque absolu de décès de 7% (p=0,002).
  • -Docetaxel Zentiva en association au trastuzumab après traitement avec doxorubicine et cyclophosphamide (AC→TH) ou docétaxel en association au trastuzumab et carboplatine (TCH) (traitement adjuvant de patients ayant un cancer du sein opérable surexprimant HER2)
  • -L'efficacité et la sécurité de docétaxel en combinaison avec trastuzumab a été étudié pour le traitement adjuvant de patients avec un cancer opérable dont les tumeurs surexpriment HER2 (node positive et high risk node negative). Au total, 3'222 patientes on été randomisées et 3'174 ont été traitées avec AC-T vs AC→TH ou TCH.
  • +Dans une étude ouverte de phase III, 1'491 femmes atteintes de cancer du sein avec atteinte ganglionnaire opérable ont été traitées soit par docétaxel 75 mg/m2, doxorubicine 50 mg/m2 et cyclophosphamide 500 mg/m2 (TAC) soit par 5-fluorouracil 500 mg/m2, doxorubicine 50 mg/m2 et cyclophosphamide 500 mg/m2 (FAC). Le traitement a été instauré dans les 60 jours suivant l'opération et comprenait 6 cycles TAC ou FAC, suivis de tamoxifène prévu durant 5 ans. Les patientes ayant subi une lumpectomie (15,9%) ou une résection de quadrant (24,9%) ont subi une radiothérapie après la chimiothérapie. La moitié des patientes ayant subi une mastectomie ont suivi une radiothérapie. 5 ans après randomisation, 23,1% des femmes dans le groupe TAC (n=745) et 30,4% des femmes dans le groupe FAC (n=746) présentaient une rechute ou une seconde tumeur (11,5% du taux de rechute, dont n=7 versus 8 avec tumeur dans l'autre sein). Dans la majorité des cas, il s'agissait de métastases éloignées, hasard ratio 0,72 (95% CI 0,59, 0,88), p=0,001. Lors de l'analyse de sous-groupes, le hasard ratio était de 0,61 (0,46, 0,82) pour 1-3 ganglions positifs et de 0,83 (0,66, 1,08) pour ≥4 ganglions positifs. Les femmes pré ménopausées présentaient de meilleurs résultats que les femmes post ménopausées; les patientes présentant un index de performance de 100% (Karnofsky) et ayant reçu une radiothérapie adjuvante présentaient également un avantage. Deux analyses intermédiaires et 1 analyse finale ont été effectuées. L'analyse finale a été effectuée quand tous les patients ont passé leur visite de suivi à 10 ans (à l'exception de la survenue d'un évènement DFS ou perdus de vue avant). La survie sans maladie (DFS) était le critère primaire d'efficacité et la survie globale (OS) était le critère secondaire d'efficacité. L'analyse finale a été effectuée avec un suivi médian de 96 mois. Une DFS significativement plus longue a été démontrée dans le groupe TAC en comparaison avec le groupe FAC. L'incidence des rechutes à 10 ans était réduite dans le bras TAC en comparaison avec le groupe FAC (39% vs 45%), à savoir une réduction du risque absolu de 6% (p=0.0043).
  • +L'OS à 10 ans était également significativement plus longue dans le bras TAC en comparaison avec le bras FAC (76% vs 68%), à savoir une réduction du risque absolu de décès de 7% (p=0,002).
  • +Docetaxel Zentiva en association au trastuzumab après traitement avec doxorubicine et cyclophosphamide (AC→TH) ou docétaxel en association au trastuzumab et carboplatine (TCH) (traitement adjuvant de patients ayant un cancer du sein opérable surexprimant HER2).
  • +L'efficacité et la sécurité de docétaxel en combinaison avec trastuzumab a été étudié pour le traitement adjuvant de patients avec un cancer opérable dont les tumeurs surexpriment HER2 (node positive et high risk node negative). Au total, 3'222 patientes ont été randomisées et 3'174 ont été traitées avec AC-T vs AC→TH ou TCH.
  • -Les résultats de la deuxième analyse intermédiaire, établie avec un suivi médian de 36 mois, démontrent que le schéma AC à TH respectivement TCH appliqué comme traitement adjuvant, à des patients avec un cancer du sein opérable HER-2 positifs, prolonge statistiquement DFS et OS, en comparaison avec le bras contrôle (AC-T); DFS: HR 0,61 (0,49-0,77) p<0,001 respectivement 0,67 (0,54-0,83) p=0.0003; OS: HR 0,58 (0,40-0,83) p=0,0024 respectivement 0,66 (0,47-0,93) p=0,0182.
  • +Les résultats de la deuxième analyse intermédiaire, établie avec un suivi médian de 36 mois, démontrent que le schéma ACTH respectivement TCH appliqué comme traitement adjuvant, à des patients avec un cancer du sein opérable HER-2 positifs, prolonge statistiquement DFS et OS, en comparaison avec le bras contrôle (AC-T); DFS: HR 0,61 (0,49-0,77) p<0,001 respectivement 0,67 (0,54-0,83) p=0.0003; OS: HR 0,58 (0,40-0,83) p=0,0024 respectivement 0,66 (0,47-0,93) p=0,0182.
  • -·Le temps jusqu'à progression était significativement plus long dans le bras contenant docétaxel (37,3 semaines) que dans le bras de contrôle (31,9 semaines), p=0,0138.
  • -·Le taux de réponse global était significativement plus élevé dans le bras contenant docétaxel (59,3%) que dans le bras de contrôle (46,5%), p=0,009.
  • -·La médiane du temps moyen jusqu'à la progression était significativement plus longue dans le bras contenant docétaxel (25,6 semaines) que dans le bras de contrôle (23,7 semaines), p=0,0479.
  • +·Le temps jusqu'à progression était significativement plus long dans le bras contenant docétaxel (37,3 semaines) que dans le bras de contrôle (31,9 semaines), p = 0,0138.
  • +·Le taux de réponse global était significativement plus élevé dans le bras contenant docétaxel (59,3%) que dans le bras de contrôle (46,5%), p = 0,009.
  • +·La médiane du temps moyen jusqu'à la progression était significativement plus longue dans le bras contenant docétaxel (25,6 semaines) que dans le bras de contrôle (23,7 semaines), p = 0,0479.
  • -Sans modifier la survie globale (docétaxel 15 mois vs doxorubicine 14 mois, p=0,38) ou la survie sans progression (docétaxel 27 semaines vs doxorubicine 23 semaines, p=0,54), le docétaxel augmente le taux de réponse (52% vs 37%, p=0,01) et réduit le délai d'obtention de la réponse (12 semaines vs 23 semaines, p=0007).
  • -Chez les patientes en échec d'une chimiothérapie avec anthracycline, le docétaxel (100 mg/m2 toutes les 3 semaines) a été comparé à une association à base de mitomycine et vinblastine (12 mg/m2 toutes les 6 semaines et 6 mg/m2 toutes les 3 semaines). Le docétaxel accroît le taux de réponse (33% vs 12%, p <0,0001), la survie sans progression (19 semaines vs 11 semaines, p=0,0004 et la survie globale (11 mois vs 9 mois, p=0,01).
  • +Sans modifier la survie globale (docétaxel 15 mois vs doxorubicine 14 mois, p = 0,38) ou la survie sans progression (docétaxel 27 semaines vs doxorubicine 23 semaines, p = 0,54), le docétaxel augmente le taux de réponse (52% vs 37%, p = 0,01) et réduit le délai d'obtention de la réponse (12 semaines vs 23 semaines, p = 0007).
  • +Chez les patientes en échec d'une chimiothérapie avec anthracycline, le docétaxel (100 mg/m2 toutes les 3 semaines) a été comparé à une association à base de mitomycine et vinblastine (12 mg/m2 toutes les 6 semaines et 6 mg/m2 toutes les 3 semaines). Le docétaxel accroît le taux de réponse (33% vs 12%, p <0,0001), la survie sans progression (19 semaines vs 11 semaines, p = 0,0004 et la survie globale (11 mois vs 9 mois, p = 0,01).
  • -Voir l'information destinée aux professionnels du trastuzumab (Herceptin®).
  • +Voir l'information destinée aux professionnels du trastuzumab.
  • -La survie, l'objectif principal d'efficacité, était plus longue dans le bras Tax/Cis que dans le bras contrôle (11,3 vs 10,1 mois, p=0,044). Le taux de survie était de 46% vs 41% à 1 an et de 21% vs 14% à 2 ans. Le taux de réponse était significativement plus élevé dans le bras Tax/Cis que dans le bras de contrôle (31,6% vs 24,5%, p=0,029). La différence entre les 2 groupes pour le temps médian jusqu'à la progression n'était pas statistiquement significative (22 vs 23 semaines, p=0,617).
  • -La qualité de vie globale (p=0,064) est améliorée dans le bras Tax/Cis par rapport au bras de contrôle. Les patients ont utilisé dans les 2 bras la même quantité d'analgésiques mais ont atteint, dans le bras Tax/Cis, un meilleur contrôle de la douleur (p=0,033), ont perdu moins de poids (p <0,001) et avaient un meilleur indice de performance de Karnofsky (p=0,028).
  • +La survie, l'objectif principal d'efficacité, était plus longue dans le bras Tax/Cis que dans le bras contrôle (11,3 vs 10,1 mois, p = 0,044). Le taux de survie était de 46% vs 41% à 1 an et de 21% vs 14% à 2 ans. Le taux de réponse était significativement plus élevé dans le bras Tax/Cis que dans le bras de contrôle (31,6% vs 24,5%, p = 0,029). La différence entre les 2 groupes pour le temps médian jusqu'à la progression n'était pas statistiquement significative (22 vs 23 semaines, p = 0,617).
  • +La qualité de vie globale (p = 0,064) est améliorée dans le bras Tax/Cis par rapport au bras de contrôle. Les patients ont utilisé dans les 2 bras la même quantité d'analgésiques mais ont atteint, dans le bras Tax/Cis, un meilleur contrôle de la douleur (p = 0,033), ont perdu moins de poids (p <0,001) et avaient un meilleur indice de performance de Karnofsky (p = 0,028).
  • -Dans une étude de phase III, 1'006 patients souffrant d'un cancer de la prostate métastatique hormonorésistant ont été randomisés et traités soit par du docétaxel 75 mg/m2 (i.v. toutes les 3 semaines pour 10 cycles), soit par du docétaxel 30 mg/m2 (i.v. toutes les semaines pendant les 5 premières semaines de 5 cycles de 6 semaines), soit par de la mitoxantrone 12 mg/m2 (i.v. toutes les 3 semaines pour 10 cycles). Les 3 groupes ont reçu, en plus, 5 mg de prednisone/prednisolone p.o. deux fois par jour de manière continue. Les patients traités par le docétaxel toutes les 3 semaines ont montré une amélioration significative de la durée de survie, comparés à ceux qui avaient été traités par la mitoxantrone (18,9 vs 16,5 mois, p=0,009). Aucun avantage de survie significatif n'a été observé dans le groupe recevant le docétaxel chaque semaine (17,4 vs 16,5 mois, p=0,362).
  • +Dans une étude de phase III, 1'006 patients souffrant d'un cancer de la prostate métastatique hormonorésistant ont été randomisés et traités soit par du docétaxel 75 mg/m2 (i.v. toutes les 3 semaines pour 10 cycles), soit par du docétaxel 30 mg/m2 (i.v. toutes les semaines pendant les 5 premières semaines de 5 cycles de 6 semaines), soit par de la mitoxantrone 12 mg/m2 (i.v. toutes les 3 semaines pour 10 cycles). Les 3 groupes ont reçu, en plus, 5 mg de prednisone/prednisolone p.o. deux fois par jour de manière continue. Les patients traités par le docétaxel toutes les 3 semaines ont montré une amélioration significative de la durée de survie, comparés à ceux qui avaient été traités par la mitoxantrone (18,9 vs 16,5 mois, p=0,009). Aucun avantage de survie significatif n'a été observé dans le groupe recevant le docétaxel chaque semaine (17,4 vs 16,5 mois, p = 0,362).
  • -·Chimiothérapie d'induction suivie de radiothérapie
  • +Chimiothérapie d'induction suivie de radiothérapie
  • -Le critère d'évaluation primaire de cette étude, la survie sans progression (PFS), a été plus longue dans le bras TCF en comparaison avec le bras CF, p=0,0042 (PFS médian: 11,4 versus 8,3 mois respectivement), avec une durée globale médiane de suivi de 33,7 mois. La survie globale médiane fut aussi significativement plus longue en faveur du bras TCF en comparaison avec le bras CF (survie globale médiane: 18,6 vs 14,5 mois respectivement), avec une réduction du risque de mortalité de 28%, p=0,0128. Le taux de réponse à la chimiothérapie était de 67,8% pour TCF vs 53,6% pour CF (p=0,006).
  • -·Chimiothérapie d'induction suivie de chimio radiothérapie
  • -Dans l'étude Tax324, 501 patients présentant un carcinome de l'épithélium pavimenteux au niveau ORL localement avancé et un statut de performance (échelle OMS) de 0 ou 1, étaient randomisés dans l'un des deux bras de traitement. La population de l'étude incluait des patients dont la tumeur était techniquement non résécable, des patients avec une faible probabilité de curabilité chirurgicale et des patients destinés à une préservation d'organe. Le critère d'évaluation primaire était la survie globale. Les patients du bras docétaxel ont reçu du docétaxel (T) 75 mg/m2 en perfusion intraveineuse à J1 suivi de cisplatine (P) 100 mg/m2 administré en perfusion intraveineuse d'une durée de 30 minutes à 3 heures, suivi de 5-fluorouracil (F) 1'000 mg/m2/jour en perfusion intraveineuse continue de J1 à J4. Les cycles étaient répétés toutes les 3 semaines à raison de 3 cycles. Après un intervalle minimal de 3 semaines et inférieur à 8 semaines, tous les patients n'ayant pas présenté de progressions devaient recevoir une radiothérapie de 70 Gy pour 7 semaines. Durant la radiothérapie, du carboplatine (AUC 1,5) était administré de façon hebdomadaire en perfusion intraveineuse d'une heure pour un maximum de 7 doses. Tous les patients du bras docétaxel de l'étude ont reçu une prophylaxie antibiotique. La survie globale, critère d'évaluation primaire, était significativement plus longue dans le bras contenant le docétaxel que dans le bras PF (70,6 mois versus 30,1 mois, p=0,006, RR = 0,70, intervalle de confiance à 95% (95% IC) = 0,54-0,90) et une suivie global médian de 41,9 mois. La survie sans progression, critère d'évaluation secondaire, a montré une réduction de 29% du risque de progression ou de décès et une amélioration de 22 mois de la SSP médiane (35,5 mois pour TPF et 13,1 mois pour PF). La significativité statistique était atteinte avec un RR = 0,71; 95% IC 0,56-0,90; p=0,004.
  • +Le critère d'évaluation primaire de cette étude, la survie sans progression (PFS), a été plus longue dans le bras TCF en comparaison avec le bras CF, p = 0,0042 (PFS médian: 11,4 versus 8,3 mois respectivement), avec une durée globale médiane de suivi de 33,7 mois. La survie globale médiane fut aussi significativement plus longue en faveur du bras TCF en comparaison avec le bras CF (survie globale médiane: 18,6 vs 14,5 mois respectivement), avec une réduction du risque de mortalité de 28%, p = 0,0128. Le taux de réponse à la chimiothérapie était de 67,8% pour TCF vs 53,6% pour CF (p = 0,006).
  • +Chimiothérapie d'induction suivie de chimio radiothérapie
  • +Dans l'étude Tax324, 501 patients présentant un carcinome de l'épithélium pavimenteux au niveau ORL localement avancé et un statut de performance (échelle OMS) de 0 ou 1, étaient randomisés dans l'un des deux bras de traitement. La population de l'étude incluait des patients dont la tumeur était techniquement non résécable, des patients avec une faible probabilité de curabilité chirurgicale et des patients destinés à une préservation d'organe. Le critère d'évaluation primaire était la survie globale. Les patients du bras docétaxel ont reçu du docétaxel (T) 75 mg/m2 en perfusion intraveineuse à J1 suivi de cisplatine (P) 100 mg/m2 administré en perfusion intraveineuse d'une durée de 30 minutes à 3 heures, suivi de 5-fluorouracil (F) 1'000 mg/m2/jour en perfusion intraveineuse continue de J1 à J4. Les cycles étaient répétés toutes les 3 semaines à raison de 3 cycles. Après un intervalle minimal de 3 semaines et inférieur à 8 semaines, tous les patients n'ayant pas présenté de progressions devaient recevoir une radiothérapie de 70 Gy pour 7 semaines. Durant la radiothérapie, du carboplatine (AUC 1,5) était administré de façon hebdomadaire en perfusion intraveineuse d'une heure pour un maximum de 7 doses. Tous les patients du bras docétaxel de l'étude ont reçu une prophylaxie antibiotique. La survie globale, critère d'évaluation primaire, était significativement plus longue dans le bras contenant le docétaxel que dans le bras PF (70,6 mois versus 30,1 mois, p = 0,006, RR = 0,70, intervalle de confiance à 95% (95% IC) = 0,54-0,90) et une suivie global médian de 41,9 mois. La survie sans progression, critère d'évaluation secondaire, a montré une réduction de 29% du risque de progression ou de décès et une amélioration de 22 mois de la SSP médiane (35,5 mois pour TPF et 13,1 mois pour PF). La significativité statistique était atteinte avec un RR = 0,71; 95% IC 0,56-0,90; p = 0,004.
  • -Insuffisance hépatique: chez les patients (n=23) présentant des valeurs de laboratoire élevées (ALAT, ASAT ≥1,5 fois la limite supérieure de la normale et phosphatase alcaline ≥2,5 fois la limite supérieure de la normale), la clairance a diminué en moyenne de 27% (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Insuffisance hépatique: chez les patients (n = 23) présentant des valeurs de laboratoire élevées (ALAT, ASAT ≥1,5 fois la limite supérieure de la normale et phosphatase alcaline ≥2,5 fois la limite supérieure de la normale), la clairance a diminué en moyenne de 27% (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -D'un point de vue microbiologique, la dilution doit être réalisée dans des conditions aseptiques.
  • -Dans le cas où les flacons perforables sont stockés au réfrigérateur, garder les flacons nécessaires à température ambiante (25 °C) 5 minutes avant l'utilisation.
  • +D'un point de vue microbiologique, la dilution doit être réalisée dans des conditions aseptiques. Dans le cas où les flacons perforables sont stockés au réfrigérateur, garder les flacons nécessaires à température ambiante (25 °C) 5 minutes avant l'utilisation.
  • -Mai 2017.
  • +Juillet 2018.
2025 ©ywesee GmbH
Einstellungen | Hilfe | FAQ | Anmeldung | Kontakt | Home