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Accueil - Information professionnelle sur Jakavi 5 mg - Changements - 23.05.2017
42 Changements de l'information professionelle Jakavi 5 mg
  • -Comprimés à 5 mg, de forme ronde et de couleur blanche.
  • -Comprimés à 10 mg, de forme ronde et de couleur blanche.
  • -Comprimés à 15 mg, de forme ovale et de couleur blanche.
  • -Comprimés à 20 mg, en forme de capsule et de couleur blanche.
  • +Comprimés à 5 mg: de forme ronde, bombée, et de couleur blanche à blanchâtre, portant l'inscription «NVR» sur un côté et «L5» sur l'autre.
  • +Comprimés à 10 mg: de forme ronde, bombée, et de couleur blanche à blanchâtre, portant l'inscription «NVR» sur un côté et «L10» sur l'autre.
  • +Comprimés à 15 mg: de forme ovale, bombée, et de couleur blanche à blanchâtre, portant l'inscription «NVR» sur un côté et «L15» sur l'autre.
  • +Comprimés à 20 mg: de forme oblongue, bombée, et de couleur blanche à blanchâtre, portant l'inscription «NVR» sur un côté et «L20» sur l'autre.
  • -• En cas de numération thrombocytaire inférieure à 50'000/mm3 OU • de neutropénie avec une valeur absolue inférieure à 500/mm3 Le traitement doit être interrompu. Lorsque les valeurs sanguines auront repassé au-dessus de ces seuils, on pourra reprendre le traitement à raison de 5 mg deux fois par jour, avec une augmentation progressive et moyennant une surveillance étroite de la formule sanguine.
  • +·En cas de numération thrombocytaire inférieure à 50'000/mm3 OU ·de neutropénie avec une valeur absolue inférieure à 500/mm3 Le traitement doit être interrompu. Lorsque les valeurs sanguines auront repassé au-dessus de ces seuils, on pourra reprendre le traitement à raison de 5 mg deux fois par jour, avec une augmentation progressive et moyennant une surveillance étroite de la formule sanguine.
  • - 
  • -• En cas de numération thrombocytaire inférieure à 50'000/mm3 OU • En cas de neutropénie avec une valeur absolue inférieure à 500/mm3 OU • En cas de taux d'hémoglobine inférieur à 8 g/dl Le traitement doit être interrompu. Lorsque les valeurs sanguines auront repassé au-dessus de ces seuils, on pourra reprendre le traitement à raison de 5 mg deux fois par jour, avec une augmentation progressive et moyennant une surveillance étroite de la formule sanguine.
  • +·En cas de numération thrombocytaire inférieure à 50'000/mm3 OU ·En cas de neutropénie avec une valeur absolue inférieure à 500/mm3 OU ·En cas de taux d'hémoglobine inférieur à 8 g/dl Le traitement doit être interrompu. Lorsque les valeurs sanguines auront repassé au-dessus de ces seuils, on pourra reprendre le traitement à raison de 5 mg deux fois par jour, avec une augmentation progressive et moyennant une surveillance étroite de la formule sanguine.
  • -Une thérapie par Jakavi ne doit être démarrée que lorsque d'éventuelles infections sévères actives ont été guéries. Les patients doivent être étroitement surveillés concernant des infections bactériennes, mycobactériennes, virales ou fongiques qui devront être traitées de manière appropriée. Des cas de tuberculose ont été rapportés chez les patients qui ont reçu Jakavi pour le traitement d'une MF. La possibilité d'une tuberculose latente ou active doit être prise en considération. Les patients doivent en particulier être avertis du risque d'herpès zoster (zona). L'existence d'infections chroniques ou récidivantes ou encore une exposition récente à une tuberculose requièrent un suivi attentif.
  • +Des infections graves bactériennes, mycobactériennes, fongiques, virales et d'autres infections opportunistes, y compris des sepsis, sont survenues chez des patients ayant été traités par Jakavi. Les patients doivent être examinés pour évaluer le risque de développer des infections graves. Les patients doivent être étroitement surveillés à la recherche de signes et de symptômes d'infection et bénéficier immédiatement, le cas échéant, d'un traitement approprié. Une thérapie par Jakavi ne doit être démarrée que lorsque d'éventuelles infections actives graves ont été guéries.
  • +Des cas de tuberculose ont été rapportés chez les patients qui ont reçu Jakavi pour le traitement d'une MF. Avant le début du traitement, les patients doivent être examinés, conformément aux recommandations locales, à la recherche d'une tuberculose active ou inactive («latente»). Les patients doivent être avertis du risque d'herpès zoster (zona). L'existence d'infections chroniques ou récidivantes ou encore une exposition récente à une tuberculose requièrent un suivi attentif.
  • -Des cas de leucoencéphalopathie multifocale progressive (LMP) ont été rapportés sous traitement de la MF par le ruxolitinib. Les médecins doivent donc être attentifs aux symptômes neuropsychiatriques qui pourraient indiquer une LMP.
  • +Des cas de leucoencéphalopathie multifocale progressive (LMP) ont été rapportés sous traitement par le ruxolitinib. Les médecins doivent être attentifs aux symptômes neuropsychiatriques qui pourraient suggérer une LMP. En cas de suspicion de LMP, la prise de Jakavi doit être interrompue jusqu'à ce qu'une LMP ait pu être exclue.
  • +Anomalies lipidiques/taux de lipides augmentés
  • +Le traitement par Jakavi a été associé à une augmentation des paramètres lipidiques, y compris le cholestérol total, le cholestérol des lipoprotéines de haute densité (cholestérol HDL), le cholestérol des lipoprotéines de basse densité (cholestérol LDL) et les triglycérides. Une surveillance des paramètres lipidiques et un traitement des dyslipidémies conformément aux directives cliniques sont recommandés.
  • -Inhibiteurs puissants du CYP3A4: chez des patients sains ayant reçu durant quatre jours deux fois 200 mg par jour de kétoconazole, un puissant inhibiteur du CYP3A4, l’AUC de Jakavi s’est élevée de 91% et la demi-vie a été allongée, passant de 3.7 à 6.0 heures.
  • -Lorsque Jakavi est pris avec des inhibiteurs puissants du CYP3A4, la dose journalière totale de Jakavi sera réduite d’environ 50%.
  • -Les patients doivent être étroitement surveillés pour déceler une éventuelle cytopénie et pour titrer le cas échéant les doses en fonction de l’efficacité et de la sécurité.
  • -Inhibiteurs doubles du CYP2C9 et du CYP3A4 (p.ex. fluconazole): sur la base de la modélisation in silico, une augmentation de 2,9 fois ou 4,3 fois de l’AUC du ruxolitinib est prévue si 200 mg ou 400 mg de fluconazole sont administrés simultanément. Une réduction de la dose de 50% doit être envisagée en cas d’utilisation de médicaments qui sont inhibiteurs doubles du CYP2C9 et du CYP3A4. Eviter l’utilisation concomitante de Jakavi avec des doses de fluconazole supérieures à 200 mg par jour.
  • -Inhibiteurs faibles ou modérés du CYP3A4: chez des sujets sains ayant reçu de l’érythromycine à raison de 500 mg deux fois par jour pendant quatre jours, l’AUC de Jakavi s’est élevée de 27%.
  • -Aucune adaptation des doses n’est donc recommandée. Les patients doivent cependant être étroitement surveillés dès la mise en route d’un traitement par un inhibiteur modéré du CYP3A4, à la recherche d’une éventuelle cytopénie.
  • -Inducteurs du CYP3A4: chez des sujets sains traités durant dix jours par la rifampicine, un inducteur puissant du CYP3A4, à la dose de 100 mg une fois par jour, l’AUC de Jakavi a diminué de 71% et la demi-vie a été raccourcie, passant de 3.3 à 1.7 heures après une dose unique. La concentration des métabolites actifs a augmenté par rapport à la substance mère. L’activité totale est par conséquent restée plus ou moins identique. Aucune adaptation des doses n’est recommandée lors de l’instauration d’un inducteur du CYP3A4. Les patients doivent cependant être étroitement surveillés.
  • -Glycoprotéine P et autres transporteurs: une adaptation des doses n’est pas recommandée lorsque Jakavi est administré avec des substances interagissant avec la glycoprotéine P ou d’autres transporteurs.
  • -Interactions avec d’autres médicaments
  • -Substrats du CYP3A4: une étude menée sur des sujets sains a montré avec une valeur moyenne géométrique (et un intervalle de confiance de 90%) de 1,09 (1,03, 1,16) pour AUCinf et 1,14 (1,05, 1,25) pour Cmax, que Jakavi n’avait aucune interaction pharmacocinétique cliniquement significative avec le midazolam administré par voie orale (substrat du CYP3A4).
  • -Contraceptifs oraux: une étude menée sur des sujets sains a montré que Jakavi n’influence pas la pharmacocinétique d’un contraceptif oral qui contient de l’éthinylestradiol et du lénovorgestrel. Par conséquent, l’on ne s’attend pas à ce que l’efficacité contraceptive de cette association soit altérée par l’administration concomitante du ruxolitinib.
  • +Inhibiteurs puissants du CYP3A4: chez des patients sains ayant reçu durant quatre jours deux fois 200 mg par jour de kétoconazole, un puissant inhibiteur du CYP3A4, l'AUC de Jakavi s'est élevée de 91% et la demi-vie a été allongée, passant de 3.7 à 6.0 heures.
  • +Lorsque Jakavi est pris avec des inhibiteurs puissants du CYP3A4, la dose journalière totale de Jakavi sera réduite d'environ 50%.
  • +Les patients doivent être étroitement surveillés pour déceler une éventuelle cytopénie et pour titrer le cas échéant les doses en fonction de l'efficacité et de la sécurité.
  • +Inhibiteurs doubles du CYP2C9 et du CYP3A4 (p.ex. fluconazole): sur la base de la modélisation in silico, une augmentation de 2,9 fois ou 4,3 fois de l'AUC du ruxolitinib est prévue si 200 mg ou 400 mg de fluconazole sont administrés simultanément. Une réduction de la dose de 50% doit être envisagée en cas d'utilisation de médicaments qui sont inhibiteurs doubles du CYP2C9 et du CYP3A4. Eviter l'utilisation concomitante de Jakavi avec des doses de fluconazole supérieures à 200 mg par jour.
  • +Inhibiteurs faibles ou modérés du CYP3A4: chez des sujets sains ayant reçu de l'érythromycine à raison de 500 mg deux fois par jour pendant quatre jours, l'AUC de Jakavi s'est élevée de 27%.
  • +Aucune adaptation des doses n'est donc recommandée. Les patients doivent cependant être étroitement surveillés dès la mise en route d'un traitement par un inhibiteur modéré du CYP3A4, à la recherche d'une éventuelle cytopénie.
  • +Inducteurs du CYP3A4: chez des sujets sains traités durant dix jours par la rifampicine, un inducteur puissant du CYP3A4, à la dose de 100 mg une fois par jour, l'AUC de Jakavi a diminué de 71% et la demi-vie a été raccourcie, passant de 3.3 à 1.7 heures après une dose unique. La concentration des métabolites actifs a augmenté par rapport à la substance mère. L'activité totale est par conséquent restée plus ou moins identique. Aucune adaptation des doses n'est recommandée lors de l'instauration d'un inducteur du CYP3A4. Les patients doivent cependant être étroitement surveillés.
  • +Glycoprotéine P et autres transporteurs: une adaptation des doses n'est pas recommandée lorsque Jakavi est administré avec des substances interagissant avec la glycoprotéine P ou d'autres transporteurs.
  • +Interactions avec d'autres médicaments
  • +Substrats du CYP3A4: une étude menée sur des sujets sains a montré avec une valeur moyenne géométrique (et un intervalle de confiance de 90%) de 1,09 (1,03, 1,16) pour AUCinf et 1,14 (1,05, 1,25) pour Cmax, que Jakavi n'avait aucune interaction pharmacocinétique cliniquement significative avec le midazolam administré par voie orale (substrat du CYP3A4).
  • +Contraceptifs oraux: une étude menée sur des sujets sains a montré que Jakavi n'influence pas la pharmacocinétique d'un contraceptif oral qui contient de l'éthinylestradiol et du lénovorgestrel. Par conséquent, l'on ne s'attend pas à ce que l'efficacité contraceptive de cette association soit altérée par l'administration concomitante du ruxolitinib.
  • +Les données sur la sécurité d'emploi à long terme (suivi d'une durée allant jusqu'à 5 ans) issues de deux études pivots de phase 3, au cours desquelles 457 patients atteints de MF et traités par le ruxolitinib ont été évalués, y compris les données des patients randomisés dès le début dans le bras sous ruxolitinib (N=301, exposition: de 0,3 à 68,1 mois, exposition moyenne: 33,4 mois) et les données des patients provenant du bras témoin et ayant reçu le ruxolitinib après le cross-over (N=156),indiquent que la fréquence cumulée des événements indésirables a augmenté proportionnellement à la durée de la période de suivi.
  • +D'après ces données mises à jour, une interruption du traitement en raison d'événements indésirables a été observée chez 27,4% des patients traités par le ruxolitinib.
  • +
  • -Les effets indésirables hématologiques (tous grades CTCAE) étaient l'anémie (43.6%) et la thrombopénie (24.5%). Chez 1.8% et respectivement, 5.4% des patients, une anémie ou thrombopénie de grade 3 ou 4 a été rapportée.
  • +Les effets indésirables hématologiques (de tous grades CTCAE; Common Terminology Criteria for Adverse Events) étaient l'anémie (43.6%) et la thrombopénie (24.5%). Chez 1.8% et respectivement, 5.4% des patients, une anémie ou thrombopénie de grade 3 ou 4 a été rapportée.
  • -Très fréquent: infections des voies urinaires (12.6%, fréquent chez les patients PV).
  • -Fréquent: herpès zoster (zona).
  • -Occasionnel: tuberculose (seulement chez les patients MF).
  • +Très fréquents: infections des voies urinaires (12.6%, fréquent chez les patients PV).
  • +Fréquents: herpès zoster (zona), sepsis (seulement chez les patients atteints de MF).
  • +Occasionnels: tuberculose (seulement chez les patients MF).
  • -Très fréquent: anémie (82.4%, grade 3/4: 42.6% (patients MF) et respectivement, occasionnel (patients PV)), thrombopénies (69.8%, grade 3: fréquent, grade 4: fréquent (patients MF) et respectivement, occasionnel (patients PV)), neutropénies (seulement chez les patients MF, 16.6%, grade 3/4: fréquent).
  • +Très fréquents: anémie (82.4%, grade 3/4: 42.6% (patients MF) et respectivement, occasionnels (patients PV)), thrombopénies (69.8%, grade 3: fréquents, grade 4: fréquents (patients MF) et respectivement, occasionnels (patients PV)), neutropénies (seulement chez les patients MF, 16.6%, grade 3/4: fréquents).
  • -Très fréquent: prise de poids (12.3%, fréquent chez les patients PV), hypercholestérolémies (30%, grade 1/2), hypertriglycéridémie (seulement chez les patients PV, 10.0%, grade 1).
  • +Très fréquents: prise de poids (12.3%, fréquent chez les patients PV), hypercholestérolémies (30%, grade 1/2), hypertriglycéridémie (seulement chez les patients PV, 10.0%, grade 1).
  • -Très fréquent: vertiges (15.5%), céphalées (seulement chez les patients MF, 14.0%).
  • +Très fréquents: vertiges (15.5%), céphalées (seulement chez les patients MF, 14.0%).
  • -Fréquent: flatulences (seulement chez les patients MF), constipation (seulement chez les patients PV).
  • +Fréquents: flatulences (seulement chez les patients MF), constipation (seulement chez les patients PV).
  • -Très fréquent: élévations de l'alanine-aminotransférase (27.2%, tous grades CTCAE), élévations de l'aspartate-aminotransférase (20.9%, tous grades CTCAE).
  • +Très fréquents: élévations de l'alanine-aminotransférase (27.2%, tous grades CTCAE), élévations de l'aspartate-aminotransférase (20.9%, tous grades CTCAE).
  • -Très fréquent: hématomes (seulement chez les patients MF, 21.6%).
  • +Très fréquents: hématomes (seulement chez les patients MF, 21.6%).
  • -Fréquent: hypertension (seulement chez les patients PV).
  • +Fréquents: hypertension (seulement chez les patients PV).
  • +Description d'effets indésirables médicamenteux sélectionnés
  • +Infections
  • +Dans les études pivots de phase 3 portant sur la MF, des cas d'infection des voies urinaires de grades 3 et 4 ont été constatés chez 1,0% des patients, des cas d'herpès zoster (zona) chez 4,3% des patients et des cas de tuberculose chez 1,0% des patients. Dans les études cliniques de phase 3, un sepsis a été rapporté chez 3,0% des patients. Une période de suivi prolongée des patients ayant été traités par le ruxolitinib n'a mis en évidence aucune tendance de la fréquence des cas de sepsis à augmenter au cours du temps.
  • +
  • -COMFORT-II était une étude randomisée en protocole ouvert avec 219 patients, randomisée dans un rapport de 2:1 sous Jakavi versus «meilleur traitement disponible». Le meilleur traitement disponible était choisi par l'investigateur sur une base individuelle en fonction de chaque patient. Dans le groupe recevant le meilleur traitement disponible, 47% des patients ont été mis sous hydroxyurée et 16% sous glucocorticoïde. Le critère d'efficacité primaire était la proportion de patients présentant une réduction de ≥35% du volume de la rate à la semaine 48 versus valeur initiale, mesurée par CT ou IRM.
  • -Les critères secondaires comprenaient la durée du maintien de la réduction de ≥35% du volume de la rate versus sa valeur initiale et la survie globale. Dans COMFORT-I, 50% des patients présentaient une myélofibrose primaire. D'autres patients avaient une myélofibrose dans le cadre d'une complication de polycythémie vraie (31%) ou d'une thrombocytémie essentielle (18%).
  • +COMFORT-II était une étude randomisée en protocole ouvert avec 219 patients. Les patients ont été randomisés dans un rapport de 2:1 entre Jakavi et le «meilleur traitement disponible». Le meilleur traitement disponible était choisi par l'investigateur sur une base individuelle en fonction de chaque patient. Dans le groupe recevant le meilleur traitement disponible, 47% des patients ont été mis sous hydroxyurée et 16% sous glucocorticoïde. Le critère d'efficacité primaire était la proportion de patients présentant une réduction de ≥35% du volume de la rate à la semaine 48 versus valeur initiale, mesurée par CT ou IRM.
  • +Les critères secondaires comprenaient la durée du maintien de la réduction de ≥35% du volume de la rate versus sa valeur initiale et la survie globale.
  • +Dans COMFORT-I, 50% des patients présentaient une myélofibrose primaire. D'autres patients avaient une myélofibrose dans le cadre d'une complication de polycythémie vraie (31%) ou d'une thrombocytémie essentielle (18%).
  • -Dans COMFORT-I, 41.9% (IC95 34.1%, 50.1%) des patients du groupe Jakavi présentaient une réduction du volume de la rate à la semaine 24 de ≥35% par rapport à la valeur initiale contre 0.7% (IC95 0%, 3.6%) dans le groupe placebo (p<0.0001). Dans COMFORT-II, 28.5% (IC95 21.3%, 36.6%) des patients du groupe Jakavi présentaient une réduction du volume de la rate à la semaine 48 de ≥35% par rapport à la valeur initiale contre 0% (IC95 0%, 5%) dans le groupe sous meilleur traitement existant (p<0.0001). A la semaine 24, 31.9% vs. 0% (p <0.0001) des sujets présentaient une réduction de ≥35% du volume de la rate dans cette étude. La réduction du volume de la rate par rapport à la valeur initiale était indépendante de la présence ou non de la mutation JAK2V617F. Classé en fonction de la maladie de base, le taux de réponse à 24 semaines était de 38.6% et 25.0% en cas de myélofibrose primaire, de 50.0% et 39.6% en cas de myélofibrose secondaire à une PV préexistante et 37.1% et 40.0% en cas de myélofibrose secondaire à une thrombocytémie essentielle préexistante dans COMFORT-I et COMFORT-II respectivement.
  • -A 48 semaines, le taux de réponse était de 18.4% en cas de myélofibrose primaire, de 41.7% en cas de myélofibrose sur PV et de 35% en cas de myélofibrose sur thrombocytémie essentielle préexistante dans COMFORT-II.
  • +Dans COMFORT-I, 41.9% (IC95 34.1%, 50.1%) des patients du groupe Jakavi présentaient une réduction du volume de la rate à la semaine 24 de ≥35% par rapport à la valeur initiale contre 0.7% (IC95 0%, 3.6%) dans le groupe placebo (p<0.0001). Dans COMFORT-II, 28.5% (IC95 21.3%, 36.6%) des patients du groupe Jakavi présentaient une réduction du volume de la rate à la semaine 48 de ≥35% par rapport à la valeur initiale contre 0% (IC95 0%, 5%) dans le groupe sous meilleur traitement existant (p<0.0001). A la semaine 24, 31.9% vs. 0% (p <0.0001) des sujets présentaient une réduction de ≥35% du volume de la rate dans cette étude. La réduction du volume de la rate par rapport à la valeur initiale était indépendante de la présence ou non de la mutation JAK2V617F. Classé en fonction de la maladie de base, le taux de réponse à 24 semaines était de 38.6% et 25.0% en cas de myélofibrose primaire, de 50.0% et 39.6% en cas de myélofibrose secondaire à une PV préexistante et 37.1% et 40.0% en cas de myélofibrose secondaire à une thrombocytémie essentielle préexistante dans COMFORT-I et COMFORT-II respectivement. À 48 semaines, le taux de réponse était de 18.4% en cas de myélofibrose primaire, de 41.7% en cas de myélofibrose sur PV et de 35% en cas de myélofibrose sur thrombocytémie essentielle préexistante dans COMFORT-II.
  • -La survie globale médiane n'est pas encore atteinte actuellement. Dans COMFORT I et COMFORT II, le risque de mortalité globale était plus faible pour le ruxolitinib après un suivi moyen d'environ 3 ans: HR 0.69 (IC à 95% 0.46-1.029; p=0.067) et HR 0.48 (IC à 95% 0.28-0.95; p=0.009).
  • -Le traitement par Jakavi a amélioré les symptômes associés à la maladie et la qualité de vie (QOL). On n'a pas documenté d'amélioration de l'histologie de la moelle osseuse sur le plan de la myélofibrose.
  • +Dans COMFORT I et COMFORT II, le risque de mortalité globale était plus faible pour le ruxolitinib après un suivi moyen d'environ 3 ans: HR 0.69 (IC à 95% 0.46-1.029; p=0.067) et HR 0.48 (IC à 95% 0.28-0.95; p=0.009).
  • +À la fin de l'étude COMFORT I, une réduction de 30,7% du risque de mortalité globale avait pu être maintenue après une durée médiane de suivi de 61,7 mois (HR 0,693; IC à 95%: 0,503-0,956, p=0,025). À la fin de l'étude COMFORT II également, la réduction du risque de mortalité globale après une durée médiane de suivi de 55,9 mois était cohérente avec celle observée dans COMFORT I (HR 0,67, IC à 95%: 0,44-1,02, p=0,062).
  • +La durée médiane de survie globale n'a pas encore été atteinte dans le bras sous Jakavi. Le traitement par Jakavi a amélioré les symptômes associés à la maladie et la qualité de vie (QOL). On n'a pas documenté d'amélioration de l'histologie de la moelle osseuse sur le plan de la myélofibrose.
  • -L'étude a atteint son objectif primaire et dans le groupe Jakavi, un nombre plus élevé de patients a atteint le critère primaire combiné ainsi que chacune de ses composantes individuelles. Sous Jakavi, significativement plus de patients (20.9%) ont atteint une réponse primaire que lorsque l'on utilise le meilleur traitement disponible (BAT) (0.9%) (p<0.0001). La valeur de contrôle hct était atteinte par 60% des patients dans le bras Jakavi et 19.6% des patients dans le bras BAT, et une réduction du volume de la rate de ≥35% a été établie chez 38.2% des patients du bras Jakavi ainsi que chez 0.9% des patients du bras BAT. La probabilité que la réponse primaire sous Jakavi persiste pendant au moins 80 semaines depuis le moment de la réponse, se situait à 92%.
  • -De même, les deux critères secondaires principaux ont été atteints: la proportion de patients avec rémission hématologique complète se situait sous Jakavi à 23.6% et sous BAT, à 8.9% (p=0.0028), et la proportion de patients avec réponse primaire durable à la semaine 48 se situait sous Jakavi à 19.1% et sous BAT à 0.9% (p<0.0001). La probabilité que la rémission hématologique complète sous Jakavi persiste pendant au moins 80 semaines depuis le moment de la réponse, se situait à 69%.
  • +L'étude a atteint son objectif primaire et dans le groupe Jakavi, un nombre plus élevé de patients a atteint le critère primaire combiné ainsi que chacune de ses composantes individuelles. Sous Jakavi, significativement plus de patients (23%) ont atteint une réponse primaire que lorsque l'on utilise le meilleur traitement disponible (BAT) (0.9%) (p<0.0001). La valeur de contrôle hct était atteinte par 60% des patients dans le bras Jakavi et 18,75% des patients dans le bras BAT, et une réduction du volume de la rate de ≥35% a été établie chez 40% des patients du bras Jakavi ainsi que chez 0.9% des patients du bras BAT. La probabilité que la réponse primaire sous Jakavi persiste pendant au moins 80 semaines depuis le moment de la réponse, se situait à 92%.
  • +De même, les deux critères secondaires principaux ont été atteints: la proportion de patients avec rémission hématologique complète se situait sous Jakavi à 23.6% et sous BAT, à 8,0% (p=0,0013), et la proportion de patients avec réponse primaire durable à la semaine 48 se situait sous Jakavi à 20% et sous BAT à 0.9% (p<0.0001). La probabilité que la rémission hématologique complète sous Jakavi persiste pendant au moins 80 semaines depuis le moment de la réponse, se situait à 69%.
  • +Des analyses supplémentaires de l'étude RESPONSE à la semaine 80 ont évalué la constance de la réponse dans le bras sous Jakavi. 83% des patients de ce bras étaient encore sous traitement à la semaine 80 de cette période d'observation. Parmi les patients ayant présenté une réponse primaire à la semaine 32, cette réponse a pu être maintenue chez 80% d'entre eux pendant au moins 48 semaines après la réponse initiale.
  • +
  • -Le volume moyen de distribution à l'équilibre (steady state) était d'environ 75 l chez des patients MF et PV.
  • +Le volume moyen de distribution à l'équilibre (steady state) est de 72 l avec une variabilité interindividuelle de 29,4% chez les patients atteints de MF et de 75 l avec une variabilité interindividuelle de 22,6% chez les patients atteints de PV.
  • -Octobre 2016.
  • +Mai 2017.
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