48 Changements de l'information professionelle Olanpax 2.5 mg |
-Les comprimés pelliculés Olanpax 15 mg contiennent en plus: laque aluminium de carmin indigo E132
-Les comprimés pelliculés Olanpax 20 mg contiennent en plus: oxyde de fer rouge E172.
-Comprimés orodispersibles à 5 mg, 10 mg, 15 mg, 20 mg: mannitol, aspartame, stéarate de magnésium, crospovidone B, lactose monohydraté, hydroxypropylcellulose, arome de citron.
- +Les comprimés pelliculés Olanpax 15 mg contiennent en plus: laque aluminium de carmin indigo E132
- +Les comprimés pelliculés Olanpax 20 mg contiennent en plus: oxyde de fer rouge E172.
- +Comprimés orodispersibles à 5 mg, 10 mg, 15 mg, 20 mg: mannitol, aspartame, stéarate de magnésium, crospovidone B, lactose monohydraté, hydroxypropylcellulose, arôme de citron.
-Des DRESS ont été observées durant l’exposition à l’olanzapine. La DRESS est une combinaison de trois ou plus des symptômes suivants: réaction cutanée (comme une éruption ou une dermatite exfoliative), éosinophilie, fièvre, lymphadénopathie, et une ou plusieurs complications systémiques telles que hépatite, néphrite, pneumonite, myocardite et péricardite. En cas de suspicion de DRESS Olanpax doit être interrompu.
-Lactose: les comprimés pelliculés et les comprimés orodispersibles Olanpax contiennent du lactose.
-Phénylalanine: les comprimés orodispersibles Olanpax contiennent de l'aspartame, qui libère de la phénylalanine.
-Mannitol: les comprimés orodispersibles Olanpax contiennent du mannitol.
- +Des DRESS ont été observées durant l’exposition à l’olanzapine. La DRESS est une combinaison de trois ou plus des symptômes suivants: réaction cutanée (comme une éruption ou une dermatite exfoliative), éosinophilie, fièvre, lymphadénopathie, et une ou plusieurs complications systémiques telles qu’hépatite, néphrite, pneumopathie, myocardite et péricardite. En cas de suspicion de DRESS Olanpax doit être interrompu.
- +Excipients
- +Les comprimés pelliculés et les comprimés orodispersibles Olanpax contiennent du lactose. Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
- +Les comprimés orodispersibles Olanpax contiennent de l'aspartame, qui se métabolise en phénylalanine.
-Fréquent: Eosinophilie, leucopénie, neutropénie.
-Rare: Thrombocytopénie (voir note 7 ci-dessous).
- +Fréquent: éosinophilie, leucopénie, neutropénie.
- +Rare: thrombocytopénie (voir note 7 ci-dessous).
-Occasionnel: Réaction allergique (réaction anaphylactoïde, oedème angioneurotique, prurit ou urticaire).
- +Occasionnel: réaction allergique (p.ex. réaction anaphylactoïde, oedème angioneurotique, prurit ou urticaire).
-Très fréquent: Prise de poids (voir note 1 ci-dessous).
-Fréquent: Augmentation de l’appétit, hyperglycémie (voir note 2 ci-dessous). Augmentation de la triglycéridémie (voir notes 3 et 4 ci-dessous et «Mises en garde et précautions/Hyperlipidémie»). Augmentation de la cholestérolémie (voir notes 3 et 5 ci-dessous et «Mises en garde et précautions/Hyperlipidémie»). Glycosurie.
-Occasionnel: Apparition ou exacerbation d'un diabète, associés parfois à une acidocétose ou un coma, avec une issue fatale pour certains cas (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
-Rare: Hypothermie.
- +Très fréquent: prise de poids (voir note 1 ci-dessous).
- +Fréquent: augmentation de l’appétit, hyperglycémie (voir note 2 ci-dessous). Augmentation de la triglycéridémie (voir notes 3 et 4 ci-dessous et «Mises en garde et précautions/Hyperlipidémie»). Augmentation de la cholestérolémie (voir notes 3 et 5 ci-dessous et «Mises en garde et précautions/Hyperlipidémie»). Glycosurie.
- +Occasionnel: apparition ou exacerbation d'un diabète, associés parfois à une acidocétose ou un coma, avec une issue fatale pour certains cas (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
- +Rare: hypothermie.
-Très fréquents: Somnolence (17.6%). Chez les patients souffrant de la maladie de Parkinson, on a rapporté plus souvent une péjoration des symptômes de Parkinson et des hallucinations.
-Fréquent: Vertiges, acathisie, parkinsonisme, dyskinésie (voir note 6 ci-dessous).
-Occasionnel: Convulsions, dans la plupart des cas lorsque des antécédents de convulsions ou des facteurs de risque de convulsions ont été rapportés. Dystonie (y compris crises oculogyres), dyskinésie tardive, amnésie, syndrome des jambes sans repos.
-Rare: Syndrome malin des neuroleptiques (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Très fréquent: somnolence (17.6%). Chez les patients souffrant de la maladie de Parkinson, on a rapporté plus souvent une péjoration des symptômes de Parkinson et des hallucinations.
- +Fréquent: vertiges, acathisie, parkinsonisme, dyskinésie (voir note 6 ci-dessous).
- +Occasionnel: convulsions, dans la plupart des cas lorsque des antécédents de convulsions ou des facteurs de risque de convulsions ont été rapportés. Dystonie (y compris crises oculogyres), dyskinésie tardive, amnésie, syndrome des jambes sans repos.
- +Rare: syndrome malin des neuroleptiques (voir «Mises en garde et précautions»).
-Occasionnel: Epistaxis.
- +Occasionnel: épistaxis.
-Occasionnel: Bradycardie, allongement de l’intervalle QTc (voir «Mises en garde et précautions»).
-Rare: Tachycardie ventriculaire/fibrillation, mort subite (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Occasionnel: bradycardie, allongement de l’intervalle QTc (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Rare: tachycardie ventriculaire/fibrillation, mort subite (voir «Mises en garde et précautions»).
-Très fréquent: Hypotension orthostatique (20.7 %).
-Rare: Thromboembolie (y compris embolie pulmonaire et thrombose veineuse profonde) (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Très fréquent: hypotension orthostatique (20.7 %).
- +Rare: thromboembolie (y compris embolie pulmonaire et thrombose veineuse profonde) (voir «Mises en garde et précautions»).
-Fréquent: Effets anticholinergiques légers et transitoires tels que constipation et bouche sèche.
-Occasionnel: Ballonnements, hypersalivation.
-Rare: Pancréatite.
- +Fréquent: effets anticholinergiques légers et transitoires tels que constipation et bouche sèche.
- +Occasionnel: distension abdominale, hypersécrétion salivaire.
- +Rare: pancréatite.
-Fréquent: Elévations transitoires des aminotransférases hépatiques (ASAT, ALAT), particulièrement en début de traitement (voir «Mises en garde et précautions»).
-Rares: Hépatite (y compris lésions hépatocellulaires ou hépatite cholestatique ou forme mixte).
-Très rare: Jaunisse.
- +Fréquent: élévations transitoires des aminotransférases hépatiques (ASAT, ALAT), particulièrement en début de traitement (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Rare: hépatite (y compris lésions hépatocellulaires ou hépatite cholestatique ou forme mixte).
- +Très rare: jaunisse.
-Fréquent: Arthralgie.
-Rare: Rhabdomyolyse.
- +Fréquent: arthralgie.
- +Rare: rhabdomyolyse.
-Fréquent: Exanthème.
-Occasionnel: Réaction de photosensibilité, alopécie.
-Très rare: réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic, DRESS) (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Fréquent: exanthème.
- +Occasionnel: réaction de photosensibilité, alopécie.
- +Très rare: réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms, DRESS) (voir «Mises en garde et précautions»).
-Occasionnel: Incontinence urinaire, rétention urinaire, miction difficile.
- +Occasionnel: incontinence urinaire, rétention urinaire, miction difficile.
-Rare: Priapisme.
- +Rare: priapisme.
-Fréquent: Asthénie, oedème, fatigue, pyrexie.
- +Fréquent: asthénie, oedème, fatigue, pyrexie.
-Très fréquent: Augmentation de la prolactinémie (30.3%) (voir note 8 ci-dessous).
-Fréquent: Phosphatase alcaline augmentée, créatine phosphokinase augmentée, gamma-glutamyltransférase (GGT) augmentée (U/I), uricémie augmentée (µmol/l).
-Occasionnel: Augmentation de la bilirubine totale.
- +Très fréquent: augmentation de la prolactinémie (30.3%) (voir note 8 ci-dessous).
- +Fréquent: phosphatase alcaline augmentée, créatine phosphokinase élevée, gamma-glutamyltransférase (GGT) élevée (U/I), uricémie élevée (µmol/l).
- +Occasionnel: augmentation de la bilirubine totale.
-8 Dans des études cliniques allant jusqu'à 12 semaines, une augmentation de la prolactinémie a été observée chez plus de 30% des patients traités avec l'olanzapine.. Chez la majorité de ces patients, les augmentations étaient généralement légères. Les répercussions cliniques potentiellement associées au niveau mammaire et sur les cycles menstruels (par exemple, aménorrhée, gynécomastie, galactorrhée et grossissement des seins) ont été occasionnelles. Des réactions indésirables potentiellement associées à la fonction sexuelle (par exemple, dysfonction érectile et diminution de la libido) ont été fréquemment observées.
- +8 Dans des études cliniques allant jusqu'à 12 semaines, une augmentation de la prolactinémie a été observée chez plus de 30% des patients traités avec l'olanzapine. Chez la majorité de ces patients, les augmentations étaient généralement légères. Les répercussions cliniques potentiellement associées au niveau mammaire et sur les cycles menstruels (par exemple, aménorrhée, gynécomastie, galactorrhée et grossissement des seins) ont été occasionnelles. Des réactions indésirables potentiellement associées à la fonction sexuelle (par exemple, dysfonction érectile et diminution de la libido) ont été fréquemment observées.
-L’olanzapine est un neuroleptique atypique avec une action antimaniaque et stabilisatrice de l’humeur, présentant une affinité pour le 5HT2A/2C, le 5HT3 et le 5HT6, la dopamine D4, D3, D1, D2, les récepteurs muscariniques cholinergiques (m1–m5), les récepteurs adrénergiques α1 et les récepteurs histaminiques H1. Des études cliniques observant le comportement des patients réalisées avec l’olanzapine concordent avec les profils de liaisons aux récepteurs.
- +L’olanzapine est un neuroleptique atypique doté d’un effet antimaniaque et thymorégulateur, présentant une affinité pour les récepteurs 5HT2A/2C, 5HT3, 5HT6, dopaminergiques D4, D3, D1, D2, muscariniques cholinergiques (m1–m5), les récepteurs adrénergiques α1 et les récepteurs histaminiques H1. Les études de comportement réalisées avec l’olanzapine concordent avec les profils de liaisons aux récepteurs.
-Dans une étude PET avec des doses uniques de 10 mg chez des volontaires sains, l’olanzapine donnait une meilleure saturation des récepteurs 5HT2A que des récepteurs dopaminergiques D2. La saturation D2 était inférieure à celle observée avec les neuroleptiques conventionnels. Ce type d’action peut expliquer le faible taux d’effets secondaires extrapyramidaux et de dyskinésies tardives observés avec olanzapine au cours des études cliniques, tout autant que son effet favorable sur la symptomatique négative et positive.
- +Dans une étude PET avec des doses uniques de 10 mg chez les volontaires sains, l’olanzapine a entraîné une occupation des récepteurs 5HT2A supérieure à celle des récepteurs dopaminergiques D2. L’occupation D2 était inférieure à celle observée avec les neuroleptiques conventionnels. Ce type d’action peut expliquer le faible taux d’effets secondaires extrapyramidaux et de dyskinésies tardives observés avec l’olanzapine au cours des études cliniques, ainsi que l’effet favorable de l’olanzapine sur la symptomatique négative et positive.
-Après administration per os, l’olanzapine est bien absorbée et le pic plasmatique est atteint dans un intervalle de 5 à 8 heures. L’absorption n’est pas influencée par les repas.
- +Après administration orale, l’olanzapine est bien résorbée et le pic plasmatique est atteint dans un intervalle de 5 à 8 heures. La résorption n’est pas influencée par les repas.
-La liaison de l’olanzapine aux protéines plasmatiques atteignait environ 93% pour des concentrations situées entre 7 et 1’000 ng/ml. L’olanzapine se lie essentiellement à l’albumine et aux glycoprotéines acides α1.
- +La liaison de l’olanzapine aux protéines plasmatiques atteint environ 93% pour l’intervalle de concentrations situées entre 7 et 1’000 ng/ml environ. L’olanzapine se lie essentiellement à l’albumine et aux glycoprotéines acides α1.
-L’olanzapine est métabolisée dans le foie, par conjugaison et oxydation. Le métabolite principal est le glucuronide-10-N, qui ne passe pas la barrière hémato-encéphalique. Les cytochromes P450-CYP1A2 et P450-CYP2D6 sont responsables de la formation prédominante des métabolites N-desméthyl et 2-hydroxyméthyl, qui n’ont aucune activité pharmacologique in vivo.
- +L’olanzapine est métabolisée dans le foie, par conjugaison et oxydation. Le métabolite principal est le glucuronide-10-N, qui ne passe pas la barrière hémato-encéphalique. Les cytochromes P450-CYP1A2 et P450-CYP2D6 sont responsables de la formation prédominante des métabolites N-desméthyl et 2-hydroxyméthyl, qui sont dépourvus d’activité pharmacologique in vivo.
-Décembre 2019
- +Février 2020.
- +Numéro de version interne: 10.1
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