34 Changements de l'information professionelle Bosulif 100 mg |
-Cellulosum microcristallinum, Croscarmellosum natricum, Poloxamera 188, Povidonum, Magnesii stearas, Alcohol polyvinylicus, Titanii dioxidum (E171), Macrogolum 3350, Talcum, Ferrum oxydatum flavum (uniquement pour les comprimés pelliculés à 100 mg et 400 mg), Ferrum oxydatum rubrum (uniquement pour les comprimés pelliculés à 400 mg et 500 mg).
- +Comprimé pelliculé à 100 mg: cellulosum microcristallinum, croscarmellosum natricum, poloxamera 188, povidonum K25, magnesii stearas, alcohol polyvinylicus, titanii dioxidum, macrogolum 3350, talcum, ferrum oxydatum flavum.
- +Teneur en sodium: 0.26 mg par comprimé pelliculé.
- +Comprimé pelliculé à 400 mg: cellulosum microcristallinum, croscarmellosum natricum, poloxamera 188, povidonum K25, magnesii stearas, alcohol polyvinylicus, titanii dioxidum, macrogolum 3350, talcum, ferrum oxydatum flavum, ferrum oxydatum rubrum.
- +Teneur en sodium: 1.04 mg par comprimé pelliculé.
- +Comprimé pelliculé à 500 mg: cellulosum microcristallinum, croscarmellosum natricum, poloxamera 188, povidonum K25, magnesii stearas, alcohol polyvinylicus, titanii dioxidum, macrogolum 3350, talcum, ferrum oxydatum rubrum.
- +Teneur en sodium: 1.31 mg par comprimé pelliculé.
-Bosulif doit être administré par voie orale avec un aliment et de l'eau. Il convient d'éviter la prise avec du jus de pamplemousse (voir «Interactions»). La dose doit être prise chaque jour approximativement à la même heure. En cas d'oubli d'une dose (plus de 12 heures), le patient ne doit pas prendre de dose supplémentaire, mais la dose habituelle prescrite le jour suivant.
-LMC Ph+ nouvellement diagnostiquée en phase chronique
- +Posologie usuelle
- +LMC Ph+ nouvellement diagnostiquée en phase chronique (CP, chronic phase)
-LMC Ph+ en phase chronique ou accélérée ou en crise blastique dans le cas d'une résistance ou d'une intolérance aux traitements antérieurs
- +LMC Ph+ en phase chronique ou accélérée (AP, accelerated phase) ou en crise blastique (BP, blast phase) dans le cas d'une résistance ou d'une intolérance aux traitements antérieurs
-Ajustement de la posologie
-Les recommandations suivantes s'appliquent aux doses initiales de 400 mg comme de 500 mg ainsi qu'à toutes les indications.
- +Les recommandations suivantes s'appliquent aux doses initiales de 400 mg comme de 500 mg ainsi qu'à toutes les indications.
- Une augmentation de la posologie à 400 mg une fois par jour chez le patient présentant un trouble modéré de la fonction rénale ou à 300 mg une fois par jour chez le patient présentant un trouble sévère de la fonction rénale peut être envisagée si le patient ne présente pas d'effets indésirables de 3e degré ou supérieurs et ne montre pas de réponse hématologique, cytogénétique ou moléculaire suffisante. Une augmentation de la posologie à 500 mg une fois par jour chez le patient présentant un trouble modéré de la fonction rénale ou à 400 mg une fois par jour chez le patient présentant un trouble sévère de la fonction rénale peut être envisagée si le patient ne présente pas d'effets indésirables de 3e degré ou supérieurs et ne montre pas de réponse hématologique, cytogénétique ou moléculaire suffisante.
- + Une augmentation de la posologie à 400 mg une fois par jour chez le patient présentant un trouble modéré de la fonction rénale ou à 300 mg une fois par jour chez le patient présentant un trouble sévère de la fonction rénale peut être envisagée si le patient ne présente pas d'effets indésirables de grade ≥3 et ne montre pas de réponse hématologique, cytogénétique ou moléculaire suffisante. Une augmentation de la posologie à 500 mg une fois par jour chez le patient présentant un trouble modéré de la fonction rénale ou à 400 mg une fois par jour chez le patient présentant un trouble sévère de la fonction rénale peut être envisagée si le patient ne présente pas d'effets indésirables de grade ≥3 et ne montre pas de réponse hématologique, cytogénétique ou moléculaire suffisante.
-La sécurité et l'efficacité de Bosulif n'ont pas été étudiées chez les patients de moins de 18 ans.
- +La sécurité et l'efficacité n'ont pas été établies chez les patients de moins de 18 ans.
- +Mode d'administration
- +Bosulif doit être administré par voie orale avec un aliment et de l'eau. Il convient d'éviter la prise avec du jus de pamplemousse (voir «Interactions»). La dose doit être prise chaque jour approximativement à la même heure. En cas d'oubli d'une dose (plus de 12 heures), le patient ne doit pas prendre de dose supplémentaire, mais la dose habituelle prescrite le jour suivant.
-Le traitement par bosutinib des patients atteints de LMC peut entraîner une diminution cliniquement significative de la fonction rénale. Dans les études cliniques, une diminution du débit de filtration glomérulaire estimé (DFGe) a été observée chez les patients au cours du traitement par bosutinib. Chez les patients atteints de LMC nouvellement diagnostiquée en phase chronique (chronic phase, CP) et recevant 400 mg, la diminution médiane du DFGe par rapport à la valeur initiale était de 11.1 ml/min/1.73 m2 après 1 an et de 14.1 ml/min/1.73 m2 après 5 ans pour les patients sous traitement. Chez les patients atteints de LMC non traités antérieurement et recevant 500 mg, la réduction médiane du DFGe par rapport à la valeur initiale était de 9.2 ml/min/1.73 m2 après 1 an, de 12.0 ml/min/1.73 m2 après 5 ans et de 16.6 ml/min/1.73 m2 après 10 ans pour les patients sous traitement. Chez les patients en CP et au stade avancé traités au préalable, qui ont reçu 500 mg, la réduction médiane du DFGe était de 7.6 ml/min/1.73 m2 après 1 an, de 12.3 ml/min/1.73 m2 après 5 ans et de 15.9 ml/min/1.73 m2 après 10 ans pour les patients sous traitement. Chez les patients atteints de LMC Ph+ préalablement traités par au moins un ITK et recevant 500 mg, la diminution médiane du DFGe par rapport à la valeur initiale était de 9.2 ml/min/1.73 m2 après 1 an et de 14.5 ml/min/1.73 m2 après 4 ans pour les patients sous traitement.
- +Le traitement par bosutinib des patients atteints de LMC peut entraîner une diminution cliniquement significative de la fonction rénale. Dans les études cliniques, une diminution du débit de filtration glomérulaire estimé (DFGe) a été observée chez les patients au cours du traitement par bosutinib. Chez les patients atteints de LMC nouvellement diagnostiquée en phase chronique (CP) et recevant 400 mg, la diminution médiane du DFGe par rapport à la valeur initiale était de 11.1 ml/min/1.73 m2 après 1 an et de 14.1 ml/min/1.73 m2 après 5 ans pour les patients sous traitement. Chez les patients atteints de LMC non traités antérieurement et recevant 500 mg, la réduction médiane du DFGe par rapport à la valeur initiale était de 9.2 ml/min/1.73 m2 après 1 an, de 12.0 ml/min/1.73 m2 après 5 ans et de 16.6 ml/min/1.73 m2 après 10 ans pour les patients sous traitement. Chez les patients en CP et au stade avancé traités au préalable, qui ont reçu 500 mg, la réduction médiane du DFGe était de 7.6 ml/min/1.73 m2 après 1 an, de 12.3 ml/min/1.73 m2 après 5 ans et de 15.9 ml/min/1.73 m2 après 10 ans pour les patients sous traitement. Chez les patients atteints de LMC Ph+ préalablement traités par au moins un ITK et recevant 500 mg, la diminution médiane du DFGe par rapport à la valeur initiale était de 9.2 ml/min/1.73 m2 après 1 an et de 14.5 ml/min/1.73 m2 après 4 ans pour les patients sous traitement.
- +Sodium
- +Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé pelliculé, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
- +
-Les effets indésirables sont rangés par classe de système d'organes de la classification MedDRA et par fréquence selon la convention suivante: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à <1/10), «occasionnels» (≥1/1'000 à <1/100), «rares» (≥1/10'000 à <1/1'000), «très rares» (<1/10'000), «fréquence inconnue» (la fréquence ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
- +Les effets indésirables sont rangés par classe de système d'organes de la classification MedDRA et par fréquence selon la convention suivante: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à <1/10), «occasionnels» (≥1/1'000 à <1/100), «rares» (≥1/10'000 à <1/1'000), «très rares» (<1/10'000), «fréquence inconnue» (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
-Occasionnels: lésion du foie (y compris PTs lésion induite du foie, lésion hépatocellulaire, lésion du foie).
- +Occasionnels: lésion du foie (y compris PTs lésion hépatique induite par une drogue ou un médicament, lésion hépatocellulaire, lésion du foie).
-Dans une étude ouverte à bras unique (B1871006) chez des patients présentant une LMC (phase chronique [CP], phase accélérée [AP] ou crise blastique [BP]) et une résistance ou une intolérance à l'imatinib ou à l'imatinib et au dasatinib et/ou au nilotinib, 570 patients ont été traités par 500 mg de bosutinib.
- +Dans une étude ouverte à bras unique (B1871006) chez des patients présentant une LMC en CP, AP ou BP et une résistance ou une intolérance à l'imatinib ou à l'imatinib et au dasatinib et/ou au nilotinib, 570 patients ont été traités par 500 mg de bosutinib.
- Ph+ LMC en phase chronique, traitement préalable par imatinib uniquement Ph+ LMC en phase chronique, traitement préalable par imatinib et dasatinib ou nilotinib Phase accélérée, traitement préalable par imatinib au moins Phase blastique, traitement préalable par imatinib au moins
- + Ph+ LMC en phase chronique, traitement préalable par imatinib uniquement Ph+ LMC en phase chronique, traitement préalable par imatinib et dasatinib ou nilotinib Phase accélérée, traitement préalable par imatinib au moins Crise blastique, traitement préalable par imatinib au moins
-pour intervenants, médiane (fourchette), semainesbDélai jusqu'à la MCyR exclusivement 12.3 (4.0, 346.0) 12.3 (3.9, 550.6) 12.0 (3.9, 144.7) 8.2 (3.9, 25.1)
- +pour intervenants, médiane (fourchette), semainesbDélai jusqu’à la MCyR exclusivement 12.3 (4.0, 346.0) 12.3 (3.9, 550.6) 12.0 (3.9, 144.7) 8.2 (3.9, 25.1)
-Date de consultation des données: étude de phase 1/2: 02 octobre 2015, étude d'extension: 02 septembre 2020. Critères de réponse cytogénétique: une bonne réponse cytogénétique incluait une réponse cytogénétique complète (0% de métaphases Ph+ dans la moelle osseuse ou <1% de cellules positives par hybridation in situ en fluorescence [FISH]) ou partielle (1 à 35%). La réponse cytogénétique était basée sur le pourcentage de métaphases Ph+ parmi ≥20 cellules métaphasiques dans chaque échantillon de moelle osseuse. Une analyse FISH (≥200 cellules) pouvait être utilisée pour les évaluations cytogénétiques après l'examen initial lorsque les métaphases ≥20 n'étaient pas disponibles. Dans l'étude d'extension, une réponse cytogénétique complète a été déduite du RMM lorsqu'une évaluation cytogénétique valide n'était pas disponible à une date donnée. Abréviations: AP = Phase accélérée; BP = Crise blastique; Ph+ = chromosome Philadelphie positif; CP = Phase chronique; LMC = leucémie myéloïde chronique; K.-M. = Kaplan-Meier; n = nombre de patients; NA = non applicable (not applicable); NR = non atteint dans la période d'observation la plus courte (not reached); NE = non estimable (not estimable); IC = Intervalle de confiance; MCyR = bonne réponse cytogénétique; CCyR = réponse cytogénétique complète; CumInc = Incidence Cumulative; BCR-ABL = Breakpoint Cluster Region-Abelson. a inclut les patients (n) avec une évaluation valide de l'examen initial en ce qui concerne la réponse cytogénétique et, en ce qui concerne la réponse moléculaire, uniquement les patients qui ne provenant pas de Chine, d'Afrique du Sud, d'Inde ou de Russie, les échantillons pour l'évaluation moléculaire ne pouvant pas être exportés de ces pays. Ces analyses ont permis d'inclure comme intervenants les patients présentant une réponse lors de l'examen initial et ayant maintenu cette réponse au-delà de l'examen initial. Période d'observation minimale (temps écoulé entre la première dose du dernier patient et la date de consultation des données) 120 mois. b Inclut les patients (n) qui ont obtenu ou maintenu une réponse. c Inclut les patients (n) ayant reçu au moins 1 dose de bosutinib. d Analyse d'incidence cumulative avec ajustement pour le risque concurrent d'arrêt du traitement sans événement. e Non analysé pour les groupes comportant un nombre limité de patients.
- +Date de consultation des données: étude de phase 1/2: 02 octobre 2015, étude d’extension: 02 septembre 2020. Critères de réponse cytogénétique: une bonne réponse cytogénétique incluait une réponse cytogénétique complète (0% de métaphases Ph+ dans la moelle osseuse ou <1% de cellules positives par hybridation in situ en fluorescence [FISH]) ou partielle (1 à 35%). La réponse cytogénétique était basée sur le pourcentage de métaphases Ph+ parmi ≥20 cellules métaphasiques dans chaque échantillon de moelle osseuse. Une analyse FISH (≥200 cellules) pouvait être utilisée pour les évaluations cytogénétiques après l’examen initial lorsque les métaphases ≥20 n’étaient pas disponibles. Dans l’étude d’extension, une réponse cytogénétique complète a été déduite du RMM lorsqu’une évaluation cytogénétique valide n’était pas disponible à une date donnée. Abréviations: AP = Phase accélérée; BP = Crise blastique; Ph+ = chromosome Philadelphie positif; LMC = leucémie myéloïde chronique; K.-M. = Kaplan-Meier; n = nombre de patients; NA = non applicable (not applicable); NR = non atteint dans la période d’observation la plus courte (not reached); NE = non estimable (not estimable); IC = Intervalle de confiance; MCyR = bonne réponse cytogénétique; CCyR = réponse cytogénétique complète; CumInc = Incidence Cumulative. a Inclut les patients (n) avec une évaluation valide de l’examen initial en ce qui concerne la réponse cytogénétique et, en ce qui concerne la réponse moléculaire, uniquement les patients qui ne provenant pas de Chine, d’Afrique du Sud, d’Inde ou de Russie, les échantillons pour l’évaluation moléculaire ne pouvant pas être exportés de ces pays. Ces analyses ont permis d’inclure comme intervenants les patients présentant une réponse lors de l’examen initial et ayant maintenu cette réponse au-delà de l’examen initial. Période d’observation minimale (temps écoulé entre la première dose du dernier patient et la date de consultation des données) 120 mois. b Inclut les patients (n) qui ont obtenu ou maintenu une réponse. c Inclut les patients (n) ayant reçu au moins 1 dose de bosutinib. d Analyse d’incidence cumulative avec ajustement pour le risque concurrent d’arrêt du traitement sans événement.
-Troubles de la fonction rénaleChez les patients présentant un trouble modéré ou sévère de la fonction rénale, l'AUC était augmentée de 35% et 60% respectivement, par rapport aux volontaires sains.
- +Troubles de la fonction rénale
- +Chez les patients présentant un trouble modéré ou sévère de la fonction rénale, l'AUC était augmentée de 35% et 60% respectivement, par rapport aux volontaires sains.
-Les études de toxicité en administration répétée menées sur des rats pendant une période allant jusqu'à 6 mois et sur des chiens pendant une période allant jusqu'à 9 mois ont révélé que le tractus gastro-intestinal était le principal organe cible pour la toxicité du bosutinib. Les signes cliniques de la toxicité étaient entre autres des modifications des selles et s'accompagnaient d'une diminution de la prise de nourriture ainsi que d'une diminution du poids corporel ayant conduit occasionnellement au décès ou à l'euthanasie élective. Des perforations intestinales, des abcès cryptiques, des ulcères hémorragiques, des œdèmes et des vomissements ont aussi été observés. Une comparaison des expositions a révélé que les expositions ne conduisant à aucun effet indésirable dans les études de 6 à 9 mois chez les rats et les chiens correspondaient aux expositions observées chez l'homme après une dose clinique de 400 mg ou de 500 mg (sur la base d'une AUC non liée dans chaque espèce).
- +Les études de toxicité en administration répétée menées sur des rats pendant une période allant jusqu'à 6 mois et sur des chiens pendant une période allant jusqu'à 9 mois ont révélé que le tractus gastrointestinal était le principal organe cible pour la toxicité du bosutinib. Les signes cliniques de la toxicité étaient entre autres des modifications des selles et s'accompagnaient d'une diminution de la prise de nourriture ainsi que d'une diminution du poids corporel ayant conduit occasionnellement au décès ou à l'euthanasie élective. Des perforations intestinales, des abcès cryptiques, des ulcères hémorragiques, des œdèmes et des vomissements ont aussi été observés. Une comparaison des expositions a révélé que les expositions ne conduisant à aucun effet indésirable dans les études de 6 à 9 mois chez les rats et les chiens correspondaient aux expositions observées chez l'homme après une dose clinique de 400 mg ou de 500 mg (sur la base d'une AUC non liée dans chaque espèce).
-Comprimés pelliculés à 100 mg: 28 [A]
-Comprimés pelliculés à 400 mg: 28 [A]
-Comprimés pelliculés à 500 mg: 28 [A]
- +Comprimés pelliculés à 100 mg: 28. [A]
- +Comprimés pelliculés à 400 mg: 28. [A]
- +Comprimés pelliculés à 500 mg: 28. [A]
-Août 2022.
-LLD V025
- +Février 2023.
- +LLD V028
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