88 Changements de l'information professionelle Metformin Stada 500 |
-Metformini hydrochloridum.
- +Chlorhydrate de metformine.
-Excipiens pro compresso obducto.
- +Povidone K 90, stéarate de magnésium; pellicule: hypromellose, macrogol 400, macrogol 6000.
-Traitement du diabète de type 2, notamment chez les patients présentant un excès pondéral, lorsque le régime alimentaire et l'activité physique ne suffisent pas à normaliser la glycémie. Metformine Spirig HC peut être utilisé en monothérapie ou en association avec d'autres antidiabétiques oraux ou de l'insuline.
- +Traitement du diabète de type 2, notamment chez les patients en excès pondéral, lorsque le régime alimentaire et l'activité physique ne suffisent pas à normaliser la glycémie. Metformine Spirig HC peut être utilisé en monothérapie ou en association avec d'autres antidiabétiques oraux ou de l'insuline.
-Pour éviter ou atténuer les troubles gastro-intestinaux, la dose journalière de metformine devrait être répartie sur 2–3 prises individuelles, administrées pendant ou après les repas. Une augmentation progressive de la dose au début du traitement peut améliorer la tolérance gastro-intestinale.
- +Pour éviter ou atténuer les troubles gastro-intestinaux, la dose journalière de metformine devrait être répartie sur 2 - 3 prises individuelles, administrées pendant ou après les repas. Une augmentation progressive des doses au début du traitement peut améliorer la tolérance gastro-intestinale.
-Le traitement devrait commencer avec 500–1000 mg de metformine par jour. En fonction des taux de glycémie, la dose peut être augmentée progressivement de 500 mg tous les 5–7 jours jusqu'au contrôle optimal de la glycémie (dose journalière maximale: 3000 mg). La dose d'entretien moyenne est de 1500 – 2000 mg/jour, la dose journalière optimale étant de 2000 mg. En cas de posologies plus élevées, il est recommandé de répartir la dose journalière sur 3 prises individuelles, matin, midi et soir.
- +Le traitement devrait commencer avec 500 - 1000 mg de metformine par jour. En fonction des taux de glycémie, la dose peut être augmentée progressivement de 500 mg tous les 5 - 7 jours jusqu'au contrôle optimal de la glycémie (dose journalière maximale: 3000 mg). La dose d'entretien moyenne est de 1500 - 2000 mg/jour, la dose journalière optimale étant de 2000 mg. En cas de posologies plus élevées, il est recommandé de répartir la dose journalière sur 3 prises individuelles, matin, midi et soir.
-La dose de metformine nécessaire est, comme en cas de monothérapie, à ajuster par titration individuelle en fonction de la glycémie ou de l'hémoglobine glycosylée (HbA1c) en tenant compte de la tolérance du médicament. Au début d'un traitement par une association, il est conseillé de contrôler attentivement les taux de glycémie
- +La dose de metformine nécessaire est, comme en cas de monothérapie, à ajuster par titration individuelle en fonction de la glycémie ou de l'hémoglobine glycosylée (HbA1c) en tenant compte de la tolérance du médicament. Au début d'un traitement par une association, il est conseillé de contrôler attentivement les taux de glycémie.
-La metformine et l'insuline peuvent être associées pour améliorer le contrôle de la glycémie. Lorsque le contrôle de la glycémie est insuffisant, la posologie habituelle de la metformine peut être complétée par une dose d'insuline administrée le soir (p.ex. insuline intermédiaire).
- +La metformine et l'insuline peuvent être associées pour améliorer le contrôle de la glycémie. Lorsque le contrôle de la glycémie est insuffisant, la posologie habituelle de metformine peut être complétée par une dose d'insuline le soir (p.ex. insuline intermédiaire).
-Au début du traitement par association, le taux de glycémie doit être suivi étroitement. Si la metformine est administrée en plus lors de diabète de type 1, c'est à la dose initiale usuelle de 500–1000 mg, tant que le besoin en insuline est inférieur à 40 unités par jour. Simultanément, la dose d'insuline est diminuée de 2 à 4 unités tous les deux jours. Si les besoins d'insuline dépassent 40 unités par jour, il est recommandé d'initier l'association en milieu hospitalier. La dose d'insuline sera diminuée le premier jour de 30 à 50%; puis progressivement en fonction des données de laboratoires.
- +Au début du traitement par association, le taux de glycémie doit être suivi étroitement. Si la metformine est administrée en plus lors de diabète de type 1, c'est à la dose initiale usuelle de 500 - 1000 mg, tant que le besoin en insuline est inférieur à 40 unités par jour. Simultanément, la dose d'insuline est diminuée de 2 à 4 unités tous les deux jours. Si les besoins d'insuline dépassent 40 unités par jour, il est recommandé d'initier l'association en milieu hospitalier. La dose d'insuline sera diminuée le premier jour de 30 à 50%; puis progressivement en fonction des données de laboratoire.
-L'administration de metformine a été étudiée chez les enfants à partir de 10 ans. Des données ne sont à la disposition que pour des doses jusqu'à 2000 mg par jour et d'une durée de traitement jusqu'à 4 mois. Metformine Spirig HC ne doit pas être utilisé chez les enfants de moins de 10 ans. La dose initiale est 500 ou 850 mg. La dose maximale recommandée est de 2000 mg, en 2 à 3 doses individuelles.
- +L'administration de metformine a été étudiée chez les enfants à partir de 10 ans. Des données ne sont à disposition que pour des doses jusqu'à 2000 mg par jour et pour une durée de traitement jusqu'à 4 mois. Metformine Spirig HC ne doit pas être utilisé chez les enfants de moins de 10 ans. La dose initiale habituelle est de 500 ou 850 mg. La dose maximale recommandée est de 2000 mg, en 2 à 3 doses individuelles.
-·insuffisance rénale grave (clairance de la créatinine <30 ml/min ou TFGe <30 ml/min/1.73 m2).
- +·insuffisance rénale grave (clairance de la créatinine < 30 ml/min ou TFGe < 30 ml/min/1.73 m2);
-·l'application intravasculaire d'agents de contraste contenant de l'iode en vue d'examens radiologiques peut entraîner une insuffisance rénale et ainsi une accumulation de metformine et une acidose lactique. Le traitement par metformine doit être interrompu 48 h avant un tel examen si la clairance de la créatinine est <60 ml/min ou le TFGe <60 ml/min/1.73 m2. Le traitement par metformine ne doit être poursuivi que si aucune autre aggravation n'a été mise en évidence lors de l'examen de la fonction rénale 48 h après l'examen par agent de contraste (cf. Mises en garde et précautions);
- +·l'application intravasculaire d'agents de contraste contenant de l'iode en vue d'examens radiologiques peut entraîner une insuffisance rénale et ainsi une accumulation de metformine et une acidose lactique. Le traitement par metformine doit être interrompu 48 h avant un tel examen si la clairance de la créatinine est < 60 ml/min ou le TFGe < 60 ml/min/1.73 m2. Le traitement par metformine ne doit être poursuivi que si aucune autre aggravation n'a été mise en évidence lors de l'examen de la fonction rénale 48 h après l'examen par agent de contraste (cf. Mises en garde et précautions);
-L'acidose lactique est caractérisée par une dyspnée acidosique, des douleurs abdominales, une hypothermie suivie d'un état comateux. Le diagnostic est basé sur les analyses de laboratoire suivantes: abaissement du pH sanguin (<7.35), lactacidémie supérieure à 5 mmol/l, élévation du trou anionique et du rapport lactates/pyruvates.
-Devant toute suspicion d'acidose lactique, il faut hospitaliser immédiatement le malade. L'hémodialyse est la mesure la plus efficace pour éliminer aussi bien le lactate que la metformine (cf. Surdosage).Il convient d'informer les patients qu'ils doivent éviter une consommation excessive d'alcool, aiguë ou chronique, car l'alcool potentialise l'effet de la metformine sur le métabolisme du lactate.
- +L'acidose lactique est caractérisée par une dyspnée acidosique, des douleurs abdominales, une hypothermie suivie d'un état comateux. Le diagnostic est basé sur les analyses de laboratoire suivantes: abaissement du pH sanguin (< 7.35), lactacidémie supérieure à 5 mmol/l, élévation du trou anionique et du rapport lactates/pyruvates.
- +Devant toute suspicion d'acidose lactique, il faut hospitaliser immédiatement le malade. L'hémodialyse est la mesure la plus efficace pour éliminer aussi bien le lactate que la metformine (cf. Surdosage). Il convient d'informer les patients qu'ils doivent éviter une consommation excessive d'alcool, aiguë ou chronique, car l'alcool potentialise l'effet de la metformine sur le métabolisme du lactate.
-La metformine est contre-indiquée en cas de clairance de la créatinine <30 ml/min ou TFGe <30 ml/min/1.73 m2 (cf. Contre-indications).
- +La metformine est contre-indiquée en cas de clairance de la créatinine < 30 ml/min ou TFGe < 30 ml/min/1.73 m2 (cf. Contre-indications).
-L'application intravasculaire d'agents de contraste contenant de l'iode en vue d'examens radiologiques peut entraîner une insuffisance rénale. Etant donné que ceci peut entraîner une accumulation de metformine et une acidose lactique, le traitement par metformine doit être interrompu 48 h avant un tel examen si la clairance de la créatinine ou le TFG est <60 ml/min ou le TFGe <60 ml/min/1.73 m2. Le traitement par metformine ne doit être poursuivi que si aucune autre aggravation n'a été mise en évidence lors de l'examen de la fonction rénale 48 h après l'examen utilisant des agents de contraste.
- +L'application intravasculaire d'agents de contraste contenant de l'iode en vue d'examens radiologiques peut entraîner une insuffisance rénale. Etant donné que ceci peut entraîner une accumulation de metformine et une acidose lactique, le traitement par metformine doit être interrompu 48 h avant un tel examen si la clairance de la créatinine est < 60 ml/min ou le TFGe < 60 ml/min/1.73 m2. Le traitement par metformine ne doit être poursuivi que si aucune autre aggravation n'a été mise en évidence lors de l'examen de la fonction rénale 48 h après l'examen utilisant des agents de contraste.
-Le traitement par la metformine doit être suspendu 48 heures avant une intervention chirurgicale prévue sous narcose, anesthésie spinale ou péridurale. Le traitement par metformine ne peut être réinstauré qu'au plus tôt 48 heures après l'intervention et seulement après reprise de l'alimentation orale et à condition qu'un contrôle de la fonction rénale n'ait pas révélé d'aggravation.
- +Le traitement par la metformine doit être suspendu 48 heures avant une intervention chirurgicale prévue sous narcose, anesthésie spinale ou péridurale. Le traitement par metformine ne peut être réinstauré qu'au plus tôt 48 heures après l'intervention et seulement après reprise de l'alimentation orale et à condition qu'un contrôle de la fonction rénale n'est pas révélé d'aggravation.
-Réduction de l'effet hypoglycémiant
-Les glucocorticoïdes (voie systémique et locale), les β2 sympathomimétiques, les diurétiques, les phénothiazines (p.ex. chlorpromazine), les hormones thyroïdiennes, les œstrogènes, les contraceptifs oraux, les hormones de substitution, la phénytoïne, l'acide nicotinique, les antagonistes calciques, l'isoniazide et le tétracosactide peuvent augmenter la glycémie.
- +Diminution de l'effet hypoglycémiant
- +Les glucocorticoïdes (voie systémique et locale), les β2-sympathomimétiques, les diurétiques, les phénothiazines (p.ex. chlorpromazine), les hormones thyroïdiennes, les estrogènes, les contraceptifs oraux, les hormones de substitution, la phénytoïne, l'acide nicotinique, les antagonistes calciques, l'isoniazide et le tétracosactide peuvent augmenter la glycémie.
-La nifédipine augmente la concentration plasmatique de la metformine (Cmax de 20%, ASC de 9–20%) par l'augmentation de l'absorption de metformine.
- +La nifédipine augmente la concentration plasmatique de la metformine (Cmax de 20%, ASC de 9 - 20%) par l'augmentation de l'absorption de metformine.
-Renforcement ou réduction de l'effet hypoglycémiant de la metformine
- +Renforcement ou diminution de l'effet hypoglycémiant de la metformine
-Alcool: le risque d'acidose lactique est majoré sous metformine par une intoxication d'alcool aiguë, particulièrement en cas de jeûne antérieur ou en présence de dénutrition ou d'insuffisance hépatique.
- +Alcool: le risque d'acidose lactique est majoré sous metformine par une intoxication alcoolique aiguë, particulièrement en cas de jeûne antérieur ou en présence de dénutrition ou d'insuffisance hépatique.
-L'effet de phenprocoumone peut être diminué, car son élimination est accélérée par la metformine.
- +L'effet du phenprocoumone peut être diminué, car son élimination est accélérée par la metformine.
-Un diabète insuffisamment contrôlé pendant la grossesse (dû à la grossesse ou préexistant) est associé à une élévation du risque de malformations congénitales et de la mortalité périnatale.
-L'expérience est très limitée concernant l'utilisation de la metformine chez les femmes enceintes. Les expérimentations animales avec la metformine n'ont pas mis en évidence de risques pour la reproduction (voir Données précliniques).
-La metformine ne doit pas être administrée pendant la grossesse sauf en cas d'absolue nécessité. La glycémie doit être amenée à des valeurs aussi normales que possible avec l'insuline afin de réduire le risque de malformations et de complications supplémentaires pour l'enfant.
- +Le contrôle insuffisant d'un diabète pendant la grossesse (diabète gestationnel ou diabète de type 2 préexistant) augmente d'une part le risque d'hypertension gestationnelle et de pré-éclampsie ainsi que de malformations congénitales et d'autre part la mortalité périnatale.
- +Les études chez l'animal n'ont révélé aucun signe de toxicité sur la reproduction (voir «Données précliniques»).
- +Les vastes données cliniques sur la metformine chez la femme enceinte (plusieurs milliers de grossesses) n'ont pas montré de signes d'effets négatifs sur la grossesse, de risque accru de malformation ou de toxicité fœtale/néonatale de cette substance.
- +L'exposition à la metformine in utero (en particulier au cours des 2e et 3e trimestres) peut entraîner une réduction du poids à la naissance ('small for gestational age'). L'évaluation de la pertinence de cet effet et de son évolution sur le développement des enfants n'est pas entièrement clarifiée. Jusqu'à l'âge de 4 ans, aucun effet négatif sur le développement moteur et social n'a été constaté.
- +En cas d'indication clinique, l'utilisation de la metformine peut être envisagée chez les femmes enceintes ou ayant l'intention de le devenir.
- +Le développement du fœtus doit être étroitement surveillé pour prévenir toute réduction du poids à la naissance. En présence de facteurs de risque de poids réduit à la naissance (par exemple, retard de croissance intra-utérin, tabagisme, insuffisance rénale sévère, faible IMC), le traitement par la metformine doit être interrompu ou ne pas être instauré.
-Les effets indésirables observés lors de l'administration de metformine sont énumérés ci-dessous. Le type et la sévérité des effets indésirables chez les patients pédiatriques (10–16 ans) sont comparables à ceux des adultes. Les effets indésirables les plus souvent observés sont des troubles gastro-intestinaux (voir ci-après). Les fréquences sont définies de manière suivante: très fréquent: ≥10%; fréquent: ≥1%, <10%; occasionnel: ≥0.1%, <1%; rare: ≥0.01%, <0.1%; très rare: <0.01%.
- +Les effets indésirables observés lors de l'administration de metformine sont énumérés ci-dessous. Le type et la sévérité des effets indésirables chez les patients pédiatriques (10 - 16 ans) sont comparables à ceux des adultes. Les effets indésirables les plus souvent observés sont des troubles gastro-intestinaux (voir ci-après). Les fréquences sont définies de manière suivante: très fréquent: ≥10%; fréquent: ≥1%, < 10%; occasionnel: ≥0.1%, < 1%; rare: ≥0.01%, < 0.1%; très rare: < 0.01%.
-Des cas isolés de leucopénie; de thrombopénie et d'anémie hémolytique.
- +Des cas isolés de leucopénie, de thrombopénie et d'anémie hémolytique.
-Très rare: acidose lactique (incidence 3-5 cas/100'000 années-patients, (cf. «Mises en garde et précautions»).
- +Très rare: acidose lactique (incidence 3 - 5 cas/100'000 années-patients, cf. «Mises en garde et précautions»).
-Fréquents: sensation de goût métallique (3%).
- +Fréquent: sensation de goût métallique (3%).
-Très fréquent: troubles gastro-intestinaux (5–15%) p.ex. nausées, vomissements, diarrhée, douleurs abdominales, perte d'appétit.
-Ces symptômes surviennent généralement au début du traitement et disparaissent généralement spontanément.
- +Très fréquent: troubles gastro-intestinaux (5 - 15%) p.ex. nausées, vomissements, diarrhée, douleurs abdominales, perte d'appétit.
- +Ces symptômes surviennent généralement en début de traitement et disparaissent généralement spontanément.
-Même lors de l'administration de doses de metformine extrêmement élevées (jusqu'à 85 g), aucune hypoglycémie n'a été observée, en revanche, une acidose lactique a été constatée dans ces conditions. L'acidose lactique est une urgence médicale et requiert l'hospitalisation du patient (cf. «Mises en garde et précautions»). L'hémodialyse élimine aussi bien le lactate que la metformine.
- +Même lors de l'administration de doses de metformine extrêmement élevées (jusqu'à 85 g), aucune hypoglycémie n'a été observée; en revanche, une acidose lactique a été constatée dans ces conditions. L'acidose lactique est une urgence médicale et requiert l'hospitalisation du patient (cf. «Mises en garde et précautions»). L'hémodialyse élimine aussi bien le lactate que la metformine.
-L'effet hypoglycémiant de la metformine repose principalement sur son action contre l'insulino-résistance au niveau hépatique et musculaire. En présence d'insuline, elle abaisse le taux de glycémie aussi bien basale que postprandiale. La metformine ne stimule pas la sécrétion d'insuline et n'entraîne pas d'hypoglycémie en monothérapie.
- +L'effet hypoglycémiant de la metformine repose principalement sur son action contre l'insulinorésistance au niveau hépatique et musculaire. En présence d'insuline, elle abaisse le taux de glycémie aussi bien basale que postprandiale. La metformine ne stimule pas la sécrétion d'insuline et n'entraîne pas d'hypoglycémie en monothérapie.
-A jeun, la production hépatique de glucose est largement responsable de l'hyperglycémie. La metformine diminue la production hépatique du glucose activée par le phénomène d'insulino-résistance, en inhibant la néoglucogénèse et la glycogénolyse. Elle s'oppose ainsi également à l'action hyperglycémiante du glucagon. Par ces mécanismes, la metformine diminue l'hyperglycémie à jeun.
- +A jeun, la production hépatique de glucose est largement responsable de l'hyperglycémie. La metformine diminue la production hépatique du glucose activée par le phénomène d'insulino-résistance, en inhibant la néoglucogenèse et la glycogénolyse. Elle s'oppose ainsi également à l'action hyperglycémiante du glucagon. Par ces mécanismes, la metformine diminue l'hyperglycémie à jeun.
-Par ailleurs, elle semble être dotée de propriétés fibrinolytiques.
- +Par ailleurs, la metformine est dotée de propriétés fibrinolytiques.
-L'étude prospective, randomisée UKPDS (United Kingdom Prospective Diabetes Study) a permis de démontrer le bénéfice à long terme du contrôle intensif de la glycémie chez le diabétique de type 2. Chez les patients en excès pondéral, le traitement par la metformine (après l'échec de mesures diététiques) a diminué le risque de complications liées au diabète de manière significative, soit de 32%. Sous metformine, 29.8 événements/1000 années-patient ont été constatés, sous thérapie conventionnelle (principalement un régime seul), 43.3 événements/1000 années-patient, p= 0.002. Lors du traitement par des sulfonylurées ou de l'insuline, le risque relatif était réduit de 7% par rapport à la thérapie conventionnelle (40.1 événements/1000 années-patient). Comparée aux sulfonylurées ou à l'insuline, la metformine était donc plus efficace (p= 0.003). De plus, chez les diabétiques de type 2 en excès pondéral, sans cardiopathie symptomatique lors du diagnostic, le traitement par la metformine a diminué le risque relatif d'infarctus du myocarde (de 39%), d'infarctus du myocarde fatals (de 50%) et la mortalité globale (de 36%).
- +L'étude prospective, randomisée UKPDS (United Kingdom Prospective Diabetes Study) a permis de démontrer le bénéfice à long terme du contrôle intensif de la glycémie chez le diabétique de type 2. Chez les patients en excès pondéral, le traitement par la metformine (après l'échec de mesures diététiques) a diminué le risque relatif de complications liées au diabète de manière significative, soit de 32%. Sous metformine, 29.8 événements/1000 années-patients ont été constatés, sous thérapie conventionnelle (principalement un régime seul), 43.3 événements/1000 années-patients, p = 0.002. Lors du traitement par des sulfonylurées ou l'insuline, le risque relatif était réduit de 7% par rapport à la thérapie conventionnelle (40.1 événements/1000 années-patients). Comparée aux sulfonylurées ou à l'insuline, la metformine était donc plus efficace (p = 0.003). De plus, chez les diabétiques de type 2 en excès pondéral, sans cardiopathie symptomatique lors du diagnostic, le traitement par la metformine a diminué le risque relatif d'infarctus du myocarde (de 39%), d'infarctus du myocarde fatals (de 50%) et la mortalité globale (de 36%).
-La sécurité d'emploi et l'efficacité de la metformine chez les enfants et les adolescents ont été évaluées dans une étude randomisée en double aveugle chez 82 enfants et adolescents âgés de 10–16 ans.La modification du taux de glycémie à jeun a été de – 2.4 mmol/l (–42.9 mg/dl) sous metformine par rapport à +1.2 mmol/l (+21.4 mg/dl) sous placebo (p <0.001). Les taux d'HbA1c moyens étaient significativement plus bas pour la metformine que sous placebo (7.5 vs. 8.6%, p <0,001). La metformine n'a exercé aucune influence négative sur le poids corporel ou le profil lipidique. Les effets secondaires observés chez les enfants et adolescents étaient identiques à ceux constatés chez les adultes sous metformine.
- +La sécurité et l'efficacité de la metformine chez les enfants et les adolescents ont été évaluées dans un essaie randomisé en double aveugle chez 82 enfants et adolescents âgés de 10 - 16 ans. La modification du taux de glycémie à jeun a été de -2.4 mmol/l (-42.9 mg/dl) sous metformine par rapport à +1.2 mmol/l (+21.4 mg/dl) sous placebo (p < 0.001). Les taux d'HbA1c moyens étaient significativement plus bas sous metformine que sous placebo (7.5 vs. 8.6%, p < 0,001). La metformine n'a exercé aucune influence négative sur le poids corporel ou le profil lipidique. Les effets secondaires observés chez les enfants et adolescents étaient identiques à ceux constatés chez les adultes sous metformine.
-Après administration par voie orale de metformine comprimés pelliculés, le Tmax est de 2,5 h, l'absorption est achevée en 6 heures. On suppose que l'absorption intervient principalement dans la partie supérieure du tractus gastro-intestinal La biodisponibilité absolue d'une dose de 500 mg ou de 850 mg de metformine est d'environ 50% à 60% chez le sujet sain. Après administration orale d'une dose unique de 500 à 2500 mg, on a observé une hausse proportionnelle inférieure de la Cmax en relation probablement avec un mécanisme saturable. Aux posologies usuelles de metformine, des concentrations plasmatiques à l'état d'équilibre sont atteintes en 24 à 48 heures, et sont généralement inférieures à 1 µg/ml. Dans les essais cliniques contrôlés, les Cmax observées n'ont pas excédé 4 µg/ml, même aux doses maximales.
- +Après administration orale de metformine comprimés pelliculés, le Tmax est de 2.5 h, l'absorption est achevée en 6 heures. On suppose que l'absorption intervient principalement dans la partie supérieure du tractus gastro-intestinal La biodisponibilité absolue d'une dose de 500 mg ou de 850 mg de metformine est d'environ 50% à 60% chez le sujet sain. Après administration orale d'une dose unique de 500 à 2500 mg, on a observé une hausse proportionnellement inférieure de la Cmax en relation probablement avec un mécanisme saturable. Aux posologies usuelles de metformine, des concentrations plasmatiques à l'état d'équilibre sont atteintes en 24 à 48 heures, et sont généralement inférieures à 1 µg/ml. Dans les essais cliniques contrôlés, les Cmax observées n'ont pas excédé 4 µg/ml, même sous doses maximales.
-Le volume de distribution moyen se situe à 63–276 l.
- +Le volume de distribution moyen se situe à 63 - 276 l.
-La metformine est excrétée dans l'urine sous forme inchangée. La clairance rénale est supérieure à >400 ml/min, et donc 3.5 fois plus élevée que la clairance de la créatinine ou le TFGe. L'élimination intervient principalement par sécrétion tubulaire active. Après administration orale, la demi-vie d'élimination plasmatique est d'environ 6.5 heures. Mesurée dans le sang complet, la demi-vie se situe à près de 17.6 heures.
-En cas de fonction rénale normale, la metformine ne s'accumule pas dans l'organisme à la posologie usuelle recommandée (1500–2000 mg).
- +La metformine est excrétée dans l'urine sous forme inchangée. La clairance rénale est supérieure à 400 ml/min, et donc environ 3.5 fois plus élevée que la clairance de la créatinine ou le TFGe. L'élimination intervient donc principalement par sécrétion tubulaire active. Après administration orale, la demi-vie d'élimination plasmatique est d'environ 6.5 heures. Mesurée dans le sang complet, la demi-vie se situe à environ 17.6 heures.
- +En cas de fonction rénale normale, la metformine ne s'accumule pas dans l'organisme à la posologie usuelle recommandée (1500 - 2000 mg).
-Des données issues d'études précliniques, basées sur des essais portant sur la sécurité pharmacologique, la toxicité après administration répétée, la génotoxicité, la carcinogénicité et la toxicité de reproduction n'ont fourni aucun indice suggérant des risques particuliers pour l'application chez l'homme.
- +Des données issues d'études précliniques, basées sur des essais portant sur la sécurité pharmacologique, la toxicité après administration répétée, la génotoxicité, la carcinogénicité et la toxicité pour la reproduction n'ont fourni aucun indice suggérant des risques particuliers pour l'application chez l'homme.
-Tous les résultats de tests (test d'Ames, test de mutation génétique, test d'aberrations chromosomiques, test micro-nucléique) ont montré que la metformine n'a pas d'effet mutagène ou clastogène.
- +Tous les résultats de tests (tests d'Ames, de mutation génétique, d'aberrations chromosomiques, micro-nucléique) ont montré que la metformine n'a pas d'effet mutagène ou clastogène.
-La metformine n'est pas carcinogène chez les rongeurs à des doses allant jusqu'à 900 mg/kg/jour (rat) ou 1'500 mg/kg/jour (souris).
-Toxicité de reproduction
-La metformine n'a aucune influence sur la fertilité, ne montre pas d'effet tératogène et n'influence pas le développement du nouveau-né.
- +La metformine n'est pas carcinogène chez les rongeurs à des doses allant jusqu'à 900 mg/kg/jour (rat) ou 1500 mg/kg/jour (souris).
- +Toxicité sur la reproduction
- +La metformine n'a aucune influence sur la fertilité, ne présente pas d'effet tératogène et n'influence pas le développement du nouveau-né.
-Le médicament ne peut être utilisé au-delà de la date imprimée sur l'emballage avec la mention «EXP».
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
-Conserver le médicament hors de portée des enfants, et à température ambiante (15–25 °C).
- +Conserver hors de portée des enfants et à température ambiante (15 - 25 °C).
-62304 (Swissmedic).
- +62304 (Swissmedic)
-Metformine Spirig HC 500: emballage à 50 comprimés pelliculés [B]
-Metformine Spirig HC 850: emballages à 30 et 100 comprimés pelliculés [B]
-Metformine Spirig HC 1000: emballages à 60 et 120 comprimés pelliculés [B]
- +Metformine Spirig HC 500 mg: emballage de 50 comprimés pelliculés [B]
- +Metformine Spirig HC 850 mg: emballages de 30 et 100 comprimés pelliculés [B]
- +Metformine Spirig HC 1000 mg: emballages de 60 et 120 comprimés pelliculés [B]
-Spirig HealthCare SA, 4622 Egerkingen.
- +Spirig HealthCare SA, 4622 Egerkingen
-Janvier 2020.
- +Juillet 2021
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