50 Changements de l'information professionelle Livazo 1 mg |
-La posologie de 4 mg n’est pas recommandée chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée. Une posologie maximale journalière de 2 mg par jour peut être utilisée sous surveillance étroite (voir rubriques «Mises en garde et précautions» et «Pharmacocinétique»).
- +La posologie de 4 mg n'est pas recommandée chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée. Une posologie maximale journalière de 2 mg par jour peut être utilisée sous surveillance étroite (voir rubriques «Mises en garde et précautions» et «Pharmacocinétique»).
-Aucune adaptation posologique n’est nécessaire en cas d’insuffisance rénale légère; la pitavastatine doit cependant être utilisée avec précaution chez ces patients. Les données disponibles sur l’utilisation de la posologie de 4 mg chez les patients atteints d’insuffisance rénale sont limitées, quel que soit le stade de l’insuffisance rénale. Une posologie de 4 mg sera donc utilisée chez ces patients UNIQUEMENT sous étroite surveillance, après augmentation progressive de la posologie. En revanche, il convient de ne pas dépasser la posologie maximale de 2 mg par jour chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère ainsi que chez les patients sous hémodialyse (voir rubriques «Mises en garde et précautions» et «Pharmacocinétique»).
- +Aucune adaptation posologique n'est nécessaire en cas d’insuffisance rénale légère; la pitavastatine doit cependant être utilisée avec précaution chez ces patients. Les données disponibles sur l’utilisation de la posologie de 4 mg chez les patients atteints d’insuffisance rénale sont limitées, quel que soit le stade de l’insuffisance rénale. Une posologie de 4 mg sera donc utilisée chez ces patients UNIQUEMENT sous étroite surveillance, après augmentation progressive de la posologie. En revanche, il convient de ne pas dépasser la posologie maximale de 2 mg par jour chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère ainsi que chez les patients sous hémodialyse. (voir rubriques «Mises en garde et précautions» et «Pharmacocinétique»).
-Aucune adaptation de la dose n’est nécessaire (voir rubrique «Pharmacocinétique»).
- +Aucune adaptation de la dose n'est nécessaire (voir rubrique «Pharmacocinétique»).
-Comme avec les autres inhibiteurs de la HMG-CoA-réductase (statines), il existe un risque de myalgie, de myopathie et, dans de rares cas, de rhabdomyolyse. Les patients doivent être encouragés à signaler tout symptôme musculaire. La créatine kinase (CK) doit être mesurée chez tout patient présentant une douleur musculaire, une sensibilité ou une faiblesse musculaire, notamment si elle s’accompagne de malaise ou de fièvre.
- +Comme avec les autres inhibiteurs de la HMG-CoA-réductase (statines), il existe un risque de myalgie, de myopathie et, dans de rares cas, de rhabdomyolyse. Les patients doivent être encouragés à signaler tout symptôme musculaire. La créatine kinase (CK) doit être mesurée chez tout patient présentant une douleur musculaire, une sensibilité ou une faiblesse musculaire, notamment si elle s'accompagne de malaise ou de fièvre.
-Comme c’est le cas pour d’autres statines, Livazo doit être prescrit avec précaution chez les patients présentant des facteurs de prédisposition à une rhabdomyolyse. On mesurera l’activité de la CK afin d’établir une valeur initiale de référence dans les situations suivantes:
- +Comme c'est le cas pour d’autres statines, Livazo doit être prescrit avec précaution chez les patients présentant des facteurs de prédisposition à une rhabdomyolyse. On mesurera l’activité de la CK afin d’établir une valeur initiale de référence dans les situations suivantes:
-Comme c’est le cas pour d’autres statines, Livazo doit être utilisé avec prudence chez les patients ayant des antécédents d’affection hépatique ou chez les patients qui consomment régulièrement des quantités considérables d’alcool. Des tests d’exploration de la fonction hépatique doivent être pratiqués chez tous les patients avant l’instauration du traitement par Livazo, puis à intervalles réguliers au cours du traitement. Le traitement par Livazo doit être interrompu chez les patients présentant une élévation prolongée des transaminases sériques (ALAT et ASAT) à des taux dépassant 3 fois la limite normale supérieure.
- +Comme c'est le cas pour d’autres statines, Livazo doit être utilisé avec prudence chez les patients ayant des antécédents d’affection hépatique ou chez les patients qui consomment régulièrement des quantités considérables d’alcool. Des tests d’exploration de la fonction hépatique doivent être pratiqués chez tous les patients avant l’instauration du traitement par Livazo, puis à intervalles réguliers au cours du traitement. Le traitement par Livazo doit être interrompu chez les patients présentant une élévation prolongée des transaminases sériques (ALAT et ASAT) à des taux dépassant 3 fois la limite normale supérieure.
-Les symptômes peuvent englober une dyspnée, une toux non productive ainsi qu’une détérioration de l’état général (épuisement, perte de poids et fièvre). En cas de suspicion de pneumopathie interstitielle chez un patient, le traitement de statine doit être interrompu.
- +Les symptômes peuvent englober une dyspnée, une toux non productive ainsi qu'une détérioration de l’état général (épuisement, perte de poids et fièvre). En cas de suspicion de pneumopathie interstitielle chez un patient, le traitement de statine doit être interrompu.
-Certaines données suggèrent que la classe de substances des statines élève la glycémie. Chez certains patients présentant un risque élevé de futur diabète, l’hyperglycémie peut prendre de telles proportions qu’un traitement approprié du diabète est nécessaire. Toutefois, la réduction du risque vasculaire obtenue avec les statines l’emporte sur ce risque et, par conséquent, ce risque ne doit pas être une raison d’arrêter le traitement de statine. Les patients à risque (glycémie à jeun de 5,6 à 6,9 mmol/L, IMC > 30 kg/m2, triglycérides élevés, hypertension) doivent être surveillés sur le plan tant clinique que biochimique, conformément aux directives nationales.
- +Certaines données suggèrent que la classe de substances des statines élève la glycémie. Chez certains patients présentant un risque élevé de futur diabète, l’hyperglycémie peut prendre de telles proportions qu'un traitement approprié du diabète est nécessaire. Toutefois, la réduction du risque vasculaire obtenue avec les statines l’emporte sur ce risque et, par conséquent, ce risque ne doit pas être une raison d’arrêter le traitement de statine. Les patients à risque (glycémie à jeun de 5,6 à 6,9 mmol/L, IMC > 30 kg/m2, triglycérides élevés, hypertension) doivent être surveillés sur le plan tant clinique que biochimique, conformément aux directives nationales.
-Pendant un traitement systémique avec l’acide fusidique auquel il ne peut pas être renoncé, le traitement de Livazo doit être suspendu. Les patients doivent être informés de consulter un médecin sans attendre s’ils constatent des signes de faiblesse musculaire, des douleurs ou une sensibilité musculaires.
- +Pendant un traitement systémique avec l’acide fusidique auquel il ne peut pas être renoncé, le traitement de Livazo doit être suspendu. Les patients doivent être informés de consulter un médecin sans attendre s'ils constatent des signes de faiblesse musculaire, des douleurs ou une sensibilité musculaires.
- +Dans de rares cas, il a été rapporté que les statines avaient provoqué l’apparition d’une myasthenia gravis ou l’exacerbation d’une myasthenia gravis ou d’une myasthénie oculaire pré-existantes (voir «Effets indésirables»).
- +En cas d’aggravation des symptômes, il convient d’interrompre la prise de pitavastatine. Des cas de récidive ont été décrits lors de la (ré-)administration de la même statine ou lors de la prise d’une autre statine.
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-Ciclosporine: Lors de l’administration concomitante d’une dose unique de ciclosporine et de Livazo, les valeurs de l’ASC de la pitavastatine à l’état stationnaire ont été augmentées de 4,6 fois. L’effet de la ciclosporine à l’état stationnaire sur Livazo à l’état stationnaire n’est pas connu. Livazo est donc contre-indiqué chez les patients qui reçoivent la ciclosporine (voir rubrique «Contre-indications»).
- +Ciclosporine: Lors de l’administration concomitante d’une dose unique de ciclosporine et de Livazo, les valeurs de l’ASC de la pitavastatine à l’état stationnaire ont été augmentées de 4,6 fois. L’effet de la ciclosporine à l’état stationnaire sur Livazo à l’état stationnaire n'est pas connu. Livazo est donc contre-indiqué chez les patients qui reçoivent la ciclosporine (voir rubrique «Contre-indications»).
-Niacine: Aucune étude d’interaction lors de l’administration concomitante de Livazo et de niacine n’a été effectuée. Des cas de myopathie et de rhabdomyolyse ont été associés à l’utilisation de niacine en monothérapie. Par conséquent, Livazo doit être administré avec précaution en cas d’utilisation concomitante de niacine.
-Médicaments systémiques à base d’acide fusidique: L’association de statines, y compris de Livazo, avec l’acide fusidique peut entraîner des rhabdomyolyses dont l’évolution peut éventuellement s’avérer fatale. Des cas de rhabdomyolyse (dont quelques-uns mortels) ont été rapportés chez des patients qui prenaient des médicaments à base d’acide fusidique en association avec des statines (voir rubrique «Mises en garde et précautions»). Le mécanisme de cette interaction n’est pas connu.
- +Niacine: Aucune étude d’interaction lors de l’administration concomitante de Livazo et de niacine n'a été effectuée. Des cas de myopathie et de rhabdomyolyse ont été associés à l’utilisation de niacine en monothérapie. Par conséquent, Livazo doit être administré avec précaution en cas d’utilisation concomitante de niacine.
- +Médicaments systémiques à base d’acide fusidique: L’association de statines, y compris de Livazo, avec l’acide fusidique peut entraîner des rhabdomyolyses dont l’évolution peut éventuellement s'avérer fatale. Des cas de rhabdomyolyse (dont quelques-uns mortels) ont été rapportés chez des patients qui prenaient des médicaments à base d’acide fusidique en association avec des statines (voir rubrique «Mises en garde et précautions»). Le mécanisme de cette interaction n'est pas connu.
-L’ézétimibe et ses métabolistes glucuroconjugués inhibent l’absorption du cholestérol d’origine alimentaire et biliaire. L’administration concomitante de Livazo n’a pas eu d’effet sur les concentrations plasmatiques d’ézétimibe ou de ses métabolites glucuroconjugués; de même, l’ézétimibe n’a pas eu d’effet sur les concentrations plasmatiques de pitavastatine.
-Inhibiteurs du CYP3A4: Des études d’interaction avec l’itraconazole et le jus de pamplemousse - des inhibiteurs connus du CYP3A4 - n’ont pas montré d’effet cliniquement important sur les concentrations plasmatiques de pitavastatine.
-La digoxine, un substrat connu de la P-gp, n’a pas présenté d’interaction avec Livazo. Lors d’une administration concomitante, les concentrations de pitavastatine et de digoxine ne se sont pas modifiées de façon notable.
- +L’ézétimibe et ses métabolistes glucuroconjugués inhibent l’absorption du cholestérol d’origine alimentaire et biliaire. L’administration concomitante de Livazo n'a pas eu d’effet sur les concentrations plasmatiques d’ézétimibe ou de ses métabolites glucuroconjugués; de même, l’ézétimibe n'a pas eu d’effet sur les concentrations plasmatiques de pitavastatine.
- +Inhibiteurs du CYP3A4: Des études d’interaction avec l’itraconazole et le jus de pamplemousse - des inhibiteurs connus du CYP3A4 - n'ont pas montré d’effet cliniquement important sur les concentrations plasmatiques de pitavastatine.
- +La digoxine, un substrat connu de la P-gp, n'a pas présenté d’interaction avec Livazo. Lors d’une administration concomitante, les concentrations de pitavastatine et de digoxine ne se sont pas modifiées de façon notable.
- +Fréquence inconnue: myasthenia gravis.
- +Fréquence inconnue: myasthénie oculaire.
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-Des élévations de la concentration de créatine kinase à des valeurs > 3 fois la limite normale supérieure ont été rapportées dans des études cliniques contrôlées chez 49 patients sur les 2 800 qui étaient traités par Livazo (1,8 %). Dans le programme d’études cliniques, les valeurs supérieures ou égales à 10 fois la limite normale supérieure et associées à des symptômes musculaires ont été rares et n’ont été observées que chez 1 patient sur les 2 406 patients qui avaient reçu 4 mg de Livazo (0,04 %).
- +Des élévations de la concentration de créatine kinase à des valeurs > 3 fois la limite normale supérieure ont été rapportées dans des études cliniques contrôlées chez 49 patients sur les 2 800 qui étaient traités par Livazo (1,8 %). Dans le programme d’études cliniques, les valeurs supérieures ou égales à 10 fois la limite normale supérieure et associées à des symptômes musculaires ont été rares et n'ont été observées que chez 1 patient sur les 2 406 patients qui avaient reçu 4 mg de Livazo (0,04 %).
-·Troubles de la mémoire.
- +·Perte de mémoire
-·Dépression.
- +·Dépression
-Il n’existe aucun traitement spécifique en cas de surdosage. Un traitement symptomatique sera instauré et des mesures complémentaires pourront s’avérer nécessaires. La fonction hépatique et les valeurs de CK doivent être surveillées. L’hémodialyse présente peu d’intérêt.
- +Il n'existe aucun traitement spécifique en cas de surdosage. Un traitement symptomatique sera instauré et des mesures complémentaires pourront s'avérer nécessaires. La fonction hépatique et les valeurs de CK doivent être surveillées. L’hémodialyse présente peu d’intérêt.
-Dans des études à long terme allant jusqu’à 60 semaines, portant sur l’hypercholestérolémie primaire et la dyslipidémie mixte, l’objectif atteint de l’EAS a été maintenu avec une diminution stable et durable du LDL-cholestérol et les concentrations de HDL-cholestérol ont continué à augmenter. Dans une étude réalisée chez 1 346 patients ayant reçu un traitement de statine pendant 12 semaines (diminution du LDL-cholestérol: 42,3 %, objectif de l’EAS atteint: 69 %, augmentation du HDL-cholestérol: 5,6 %), un traitement complémentaire de 52 semaines avec 4 mg de pitavastatine a entraîné une réduction du LDL-cholestérol de 42,9 %, un objectif de l’EAS atteint dans 74% des cas et une augmentation du HDL-cholestérol de 14,3 %.
-L’effet de la pitavastatine sur la morbidité et la mortalité d’origine cardiovasculaire n’a pas été étudié.
- +Dans des études à long terme allant jusqu'à 60 semaines, portant sur l’hypercholestérolémie primaire et la dyslipidémie mixte, l’objectif atteint de l’EAS a été maintenu avec une diminution stable et durable du LDL-cholestérol et les concentrations de HDL-cholestérol ont continué à augmenter. Dans une étude réalisée chez 1 346 patients ayant reçu un traitement de statine pendant 12 semaines (diminution du LDL-cholestérol: 42,3 %, objectif de l’EAS atteint: 69 %, augmentation du HDL-cholestérol: 5,6 %), un traitement complémentaire de 52 semaines avec 4 mg de pitavastatine a entraîné une réduction du LDL-cholestérol de 42,9 %, un objectif de l’EAS atteint dans 74% des cas et une augmentation du HDL-cholestérol de 14,3 %.
- +L’effet de la pitavastatine sur la morbidité et la mortalité d’origine cardiovasculaire n'a pas été étudié.
-Sur une période de respectivement 12 et 52 semaines, le taux de cholestérol LDL à jeun a diminué de respectivement 31% et 30% dans le groupe de traitement par pitavastatine et de respectivement 21% et 20% dans le groupe de traitement par pravastatine (différence moyenne entre les traitements, méthode des moindres carrés -9,8%, p < 0,0001 à la semaine 12 et -8,4%, p = 0,0007 à la semaine 52). Une différence entre les traitements statistiquement significative a été observée pour chaque paramètre en ce qui concerne le pourcentage moyen de variation entre la valeur initiale et les semaines 12 et 52 pour les critères d’efficacité secondaires du TC, du cholestérol non-HDL et d’Apo B, avec une diminution plus importante dans le groupe de traitement par pitavastatine que dans le groupe de traitement par pravastatine. Aucun nouveau signal de sécurité ou effet indésirable n’a été observé avec la pitavastatine 4 mg. À la semaine 52, un échec virologique (défini par une charge virale d’ARN du VIH-1 > 200 copies/mL et une augmentation > 0,3 log par rapport à la valeur initiale) a été rapporté chez 4 volontaires (3,2%) dans le groupe pitavastatine et 6 volontaires (4,8%) dans le groupe pravastatine, sans différence statistiquement significative entre les traitements.
- +Sur une période de respectivement 12 et 52 semaines, le taux de cholestérol LDL à jeun a diminué de respectivement 31% et 30% dans le groupe de traitement par pitavastatine et de respectivement 21% et 20% dans le groupe de traitement par pravastatine (différence moyenne entre les traitements, méthode des moindres carrés -9,8%, p < 0,0001 à la semaine 12 et -8,4%, p = 0,0007 à la semaine 52). Une différence entre les traitements statistiquement significative a été observée pour chaque paramètre en ce qui concerne le pourcentage moyen de variation entre la valeur initiale et les semaines 12 et 52 pour les critères d’efficacité secondaires du TC, du cholestérol non-HDL et d’Apo B, avec une diminution plus importante dans le groupe de traitement par pitavastatine que dans le groupe de traitement par pravastatine. Aucun nouveau signal de sécurité ou effet indésirable n'a été observé avec la pitavastatine 4 mg. À la semaine 52, un échec virologique (défini par une charge virale d’ARN du VIH-1 > 200 copies/mL et une augmentation > 0,3 log par rapport à la valeur initiale) a été rapporté chez 4 volontaires (3,2%) dans le groupe pitavastatine et 6 volontaires (4,8%) dans le groupe pravastatine, sans différence statistiquement significative entre les traitements.
-La pitavastatine est rapidement absorbée dans le tube digestif supérieur et les concentrations plasmatiques maximales sont obtenues dans l’heure suivant la prise orale. L’absorption n’est pas influencée par la prise d’aliments. Le principe actif sous forme inchangée subit un cycle entéro-hépatique et est absorbé à partir du jéjunum et de l’iléon. La biodisponibilité absolue de la pitavastatine est de 51 %.
- +La pitavastatine est rapidement absorbée dans le tube digestif supérieur et les concentrations plasmatiques maximales sont obtenues dans l’heure suivant la prise orale. L’absorption n'est pas influencée par la prise d’aliments. Le principe actif sous forme inchangée subit un cycle entéro-hépatique et est absorbé à partir du jéjunum et de l’iléon. La biodisponibilité absolue de la pitavastatine est de 51 %.
-Dans le plasma humain, la pitavastatine est liée à des protéines à plus de 99 %, essentiellement à l’albumine et à l’alpha-1-glycoprotéine acide. Le volume de distribution moyen est de 1’33 L. La pitavastatine est transportée dans les hépatocytes (son site d’action et le siège de son métabolisme), grâce à un transport actif faisant intervenir divers transporteurs hépatiques, dont l’OATP1B1 et l’OATP1B3. L’ASC plasmatique est variable, avec un facteur d’environ 4 entre les valeurs les plus faibles et les plus élevées. Des études menées sur le SLCO1B1 (le gène codant pour l’OATP1B1) laissent penser qu’un polymorphisme de ce gène peut être à l’origine d’une grande partie de la variabilité de l’ASC. La pitavastatine n’est pas un substrat de la glycoprotéine p.
- +Dans le plasma humain, la pitavastatine est liée à des protéines à plus de 99 %, essentiellement à l’albumine et à l’alpha-1-glycoprotéine acide. Le volume de distribution moyen est de 133 L. La pitavastatine est transportée dans les hépatocytes (son site d’action et le siège de son métabolisme), grâce à un transport actif faisant intervenir divers transporteurs hépatiques, dont l’OATP1B1 et l’OATP1B3. L’ASC plasmatique est variable, avec un facteur d’environ 4 entre les valeurs les plus faibles et les plus élevées. Des études menées sur le SLCO1B1 (le gène codant pour l’OATP1B1) laissent penser qu'un polymorphisme de ce gène peut être à l’origine d’une grande partie de la variabilité de l’ASC. La pitavastatine n'est pas un substrat de la glycoprotéine p.
-La concentration plasmatique maximale de la pitavastatine a été diminuée de 43 % en présence d’un repas riche en lipides mais l’ASC n’a été affectée que de façon insignifiante.
- +La concentration plasmatique maximale de la pitavastatine a été diminuée de 43 % en présence d’un repas riche en lipides mais l’ASC n'a été affectée que de façon insignifiante.
-Patients âgés: Dans une étude pharmacocinétique ayant comparé des volontaires sains jeunes et âgés (≥ 65 ans), l’ASC de la pitavastatine était 1,3 fois plus élevée chez les sujets âgés. Cela n’a pas eu de conséquence sur la sécurité ou l’efficacité de Livazo chez les patients âgés dans les essais cliniques.
-Sexe: Dans une étude pharmacocinétique ayant comparé des volontaires sains de sexe masculin et féminin, l’ASC de la pitavastatine était 1,5 fois plus élevée chez les femmes. Cela n’a pas eu de conséquence sur la tolérance ou l’efficacité de Livazo chez les femmes dans les essais cliniques.
-Origine ethnique: Il n’y a pas eu de différence de profil pharmacocinétique de la pitavastatine entre des volontaires sains japonais et caucasiens, lorsque l’âge et le poids corporel ont été pris en considération.
-Enfants et adolescents: Les données pharmacocinétiques chez les enfants et adolescents sont limitées. Dans l’étude NK 104-4.01EU (voir rubrique «Propriétés/Effets»), des prélèvements limités ont montré un effet dose dépendant sur les concentrations plasmatiques de pitavastatine à 1 heure post dose. Des données indiquaient également que les concentrations à 1 heure post dose étaient (inversement) corrélées au poids corporel et qu’elles peuvent être plus élevées chez les enfants que chez les adultes.
- +Patients âgés: Dans une étude pharmacocinétique ayant comparé des volontaires sains jeunes et âgés (≥ 65 ans), l’ASC de la pitavastatine était 1,3 fois plus élevée chez les sujets âgés. Cela n'a pas eu de conséquence sur la sécurité ou l’efficacité de Livazo chez les patients âgés dans les essais cliniques.
- +Sexe: Dans une étude pharmacocinétique ayant comparé des volontaires sains de sexe masculin et féminin, l’ASC de la pitavastatine était 1,5 fois plus élevée chez les femmes. Cela n'a pas eu de conséquence sur la tolérance ou l’efficacité de Livazo chez les femmes dans les essais cliniques.
- +Origine ethnique: Il n'y a pas eu de différence de profil pharmacocinétique de la pitavastatine entre des volontaires sains japonais et caucasiens, lorsque l’âge et le poids corporel ont été pris en considération.
- +Enfants et adolescents:
- +Les données pharmacocinétiques chez les enfants et adolescents sont limitées. Dans l’étude NK 104-4.01EU (voir rubrique «Propriétés/Effets»), des prélèvements limités ont montré un effet dose dépendant sur les concentrations plasmatiques de pitavastatine à 1 heure post dose. Des données indiquaient également que les concentrations à 1 heure post dose étaient (inversement) corrélées au poids corporel et qu’elles peuvent être plus élevées chez les enfants que chez les adultes.
-Les données précliniques issues des études conventionnelles de pharmacologie de sécurité, de toxicologie après administrations répétées, de génotoxicité et de cancérogénicité n’ont pas révélé de risque particulier pour l’homme.
-Des signes de toxicité rénale ont été observés chez le singe à des expositions supérieures à celles atteintes chez l’homme adulte recevant une dose journalière maximale de 4 mg. L’excrétion urinaire joue cependant un rôle beaucoup plus important chez le singe que chez d’autres espèces animales. Des études in vitro avec des microsomes hépatiques montrent qu’un métabolite spécifique aux singes pourrait être impliqué dans ce processus. Il est peu probable que les effets rénaux observés chez le singe aient une pertinence clinique pour l’homme. Cependant, le risque d’effets indésirables rénaux ne peut être totalement exclu.
-La pitavastatine n’a eu aucun effet sur la fertilité ou la reproduction et il n’y a eu aucun signe de potentiel tératogène. Cependant, une toxicité maternelle a été observée aux fortes doses. Une étude réalisée chez le rat a montré une mortalité maternelle au terme ou autour du terme, accompagnée de la mort des fœtus et des nouveau-nés, à des doses de 1 mg/kg/jour (environ 4 fois plus que la plus forte dose chez l’homme, sur la base de l’ASC). Une étude réalisée chez les rats juvéniles (traitement du jour 28 au jour 56 après la naissance) n’a montré aucun effet sur les paramètres de développement, fonctionnels ou neurologiques jusqu’à une dose de pitavastatine de 7,5 mg/kg/jour. Une dose de 15 mg/kg/jour a été associée à une diminution du poids corporel et de la prise alimentaire; cet effet était complètement réversible dans la phase de récupération. Les effets de la pitavastatine sur le foie, le pré-estomac et la thyroïde chez les animaux recevant des doses d’au moins 7,5 mg/kg/jour ou 15 mg/kg/jour sont comparables aux résultats obtenus chez les rats adultes. Les effets sur le pré-estomac et la thyroïde ne sont pas considérés comme cliniquement pertinents; les modifications du foie observées dans l’étude ne sont pas considérées comme indésirables.
- +Les données précliniques issues des études conventionnelles de pharmacologie de sécurité, de toxicologie après administrations répétées, de génotoxicité et de cancérogénicité n'ont pas révélé de risque particulier pour l’homme.
- +Des signes de toxicité rénale ont été observés chez le singe à des expositions supérieures à celles atteintes chez l’homme adulte recevant une dose journalière maximale de 4 mg. L’excrétion urinaire joue cependant un rôle beaucoup plus important chez le singe que chez d’autres espèces animales. Des études in vitro avec des microsomes hépatiques montrent qu'un métabolite spécifique aux singes pourrait être impliqué dans ce processus. Il est peu probable que les effets rénaux observés chez le singe aient une pertinence clinique pour l’homme. Cependant, le risque d’effets indésirables rénaux ne peut être totalement exclu.
- +La pitavastatine n'a eu aucun effet sur la fertilité ou la reproduction et il n'y a eu aucun signe de potentiel tératogène. Cependant, une toxicité maternelle a été observée aux fortes doses. Une étude réalisée chez le rat a montré une mortalité maternelle au terme ou autour du terme, accompagnée de la mort des fœtus et des nouveau-nés, à des doses de 1 mg/kg/jour (environ 4 fois plus que la plus forte dose chez l’homme, sur la base de l’ASC). Une étude réalisée chez les rats juvéniles (traitement du jour 28 au jour 56 après la naissance) n'a montré aucun effet sur les paramètres de développement, fonctionnels ou neurologiques jusqu'à une dose de pitavastatine de 7,5 mg/kg/jour. Une dose de 15 mg/kg/jour a été associée à une diminution du poids corporel et de la prise alimentaire; cet effet était complètement réversible dans la phase de récupération. Les effets de la pitavastatine sur le foie, le pré-estomac et la thyroïde chez les animaux recevant des doses d’au moins 7,5 mg/kg/jour ou 15 mg/kg/jour sont comparables aux résultats obtenus chez les rats adultes. Les effets sur le pré-estomac et la thyroïde ne sont pas considérés comme cliniquement pertinents; les modifications du foie observées dans l’étude ne sont pas considérées comme indésirables.
-Conserver hors de la portée des enfants.
- +Conserver hors de portée des enfants.
-Mars 2021
- +Juin 2023
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