94 Changements de l'information professionelle Tyarena |
-Exprimer de la plaquette le Lactab du jour correspondant, l'avaler sans le croquer avec un peu de liquide. Prendre ensuite un Lactab chaque jour en suivant la flèche.
-L'oubli d'une pilule (voir «Prise irrégulière»), les vomissements ou autres problèmes intestinaux, dont une diarrhée, certains médicaments (voir «Interactions») ou de très rares troubles métaboliques peuvent atténuer l'efficacité de la contraception. Comme pour tous les inhibiteurs de l'ovulation, il est impossible d'obtenir une efficacité de 100%.
- +Le Lactab correspondant au jour de la semaine doit être sorti de l'emballage et avalé sans être mâché, éventuellement avec un peu de liquide. Les Lactab sont ensuite pris tous les jours en suivant le sens de la flèche.
- +L'oubli d'un Lactab (voir «Prise irrégulière»), des vomissements ou d'autres problèmes intestinaux, dont une diarrhée, la prise concomitante et au long cours de certains médicaments (voir rubrique «Interactions») ou de très rares cas de troubles métaboliques peuvent atténuer l'efficacité de la contraception. Comme pour tous les inhibiteurs de l'ovulation, il est impossible d'obtenir une efficacité de 100%.
-Aucun contraceptif hormonal au préalable (pendant le dernier cycle menstruel)
-Prendre le premier Lactab le premier jour des règles. Si le premier Lactab est pris le premier jour du cycle, la protection anticonceptionnelle est assurée dès le premier jour de même que pendant les 7 jours de pause.
-Si les règles ont commencé, prendre le premier Lactab entre le 2e et le 5e jour, qu'elles aient cessé ou non. Auquel cas il faut prendre d'autres mesures anticonceptionnelles pendant les 7 premiers jours (règle des 7 jours).
-Si les règles durent depuis plus de 5 jours, attendre les prochaines règles avant de commencer à prendre Tyarena.
- +Absence de contraceptif oral antérieur (pendant le dernier cycle menstruel)
- +La prise du premier Lactab doit commencer le premier jour des règles suivantes (menstruation). Si le premier Lactab est bien pris le premier jour du cycle, la protection anticonceptionnelle est assurée dès le premier jour de la prise et se maintient également pendant les 7 jours de pause.
- +Si les règles ont déjà commencé, le premier Lactab doit être pris entre le 2e et le 5e jour du cycle menstruel, que les saignements aient cessé ou non. Dans ce cas, une méthode contraceptive mécanique supplémentaire est nécessaire pendant les 7 premiers jours de la prise (règle des 7 jours).
- +Si les règles ont commencé depuis plus de 5 jours, il faut indiquer à la femme d'attendre les prochaines règles avant de commencer la prise de Tyarena.
-Passage d'une pilule de 22 jours ou d'une autre pilule de 21 jours (pilule combinée)
-Prendre tous les comprimés de l'ancien emballage jusqu'au dernier. Prendre le premier Lactab de Tyarena le jour suivant. Il n'y a alors pas de pause sans pilule et la femme ne doit pas attendre le premier jour de ses prochaines règles. Le premier Lactab de Tyarena peut aussi se prendre le premier jour suivant la pause habituelle, sans qu'il soit nécessaire de prendre d'autres mesures anticonceptionnelles.
-Passage d'une pilule combinée à prendre chaque jour (pilule de 28 jours avec 21 ou 22 pilules actives et 6 ou 7 placebos)
-Commencer à prendre Tyarena le jour suivant la prise de la dernière pilule active de l'emballage «pilule de chaque jour» (c.-à-d. après avoir pris les 21 ou 22 pilules). Il n'y a pas de pause et la femme ne doit pas attendre le premier jour de ses prochaines règles. Il est également possible de commencer Tyarena le jour suivant la prise du dernier placebo. Aucune autre mesure anticonceptionnelle n'est nécessaire.
-Passage d'une pilule ne contenant qu'un gestagène (POP [Progesteron Only Pill] ou minipilule)
-Le passage peut se faire n'importe quel jour. Mais il faut prendre d'autres mesures anticonceptionnelles pendant les 7 premiers jours de prise de Tyarena.
- +Relais d'une pilule de 22 jours ou d'une autre pilule de 21 jours (pilule combinée)
- +Tous les comprimés de l'ancien emballage doivent être pris normalement. Le premier Lactab de Tyarena doit être pris le jour suivant. Dans ce cas, il n'y a pas de pause dans la prise et la femme ne doit pas non plus attendre le premier jour de ses prochaines règles. La prise de Tyarena peut aussi débuter le premier jour qui suit l'intervalle habituel sans comprimé, sans qu'il soit nécessaire d'utiliser une méthode contraceptive supplémentaire.
- +Relais d'une pilule combinée à prendre tous les jours (pilule de 28 jours avec 21 ou 22 comprimés actifs et 6 ou 7 comprimés de placebo)
- +La prise de Tyarena doit commencer le jour suivant la prise du dernier comprimé actif de l'emballage de la «pilule quotidienne» (c.-à-d. après avoir pris les 21 ou 22 pilules). Il n'y a pas de pause dans la prise et la femme ne doit pas attendre non plus le premier jour de ses prochaines règles. Il est également possible de commencer Tyarena le jour suivant la prise du dernier comprimé de placebo. Aucune autre méthode contraceptive n'est nécessaire.
- +Relais d'une pilule progestative pure («POP» [Progesteron Only Pill] ou minipilule)
- +Le passage entre les deux types de pilule peut se faire n'importe quel jour. Cependant, il faut prendre des mesures anticonceptionnelles supplémentaires pendant les 7 premiers jours de prise de Tyarena.
-Passage d'une injection hormonale contraceptive, d'un DIU ou implant libérant un gestagène il est possible de commencer à prendre Tyarena le jour du retrait de l'implant ou du DIU libérant un gestagène, ou le jour prévu pour l'injection. Mais il faut prendre d'autres mesures anticonceptionnelles pendant les 7 premiers jours de prise de Tyarena.
-Après avortement ou interruption de grossesse au 1er trimestre
-Il est possible de commencer de prendre Tyarena immédiatement après un avortement ou une interruption de grossesse au 1er trimestre. Auquel cas aucune autre mesure anticonceptionnelle n'est nécessaire.
-Après un avortement au 2ème trimestre de grossesse ou un accouchement
-La décision quant à la (re)prise d'un CHC tel que Tyarena après un avortement au 2ème trimestre de grossesse ou un accouchement doit tenir compte du risque accru d'accidents thromboemboliques veineux pendant la période puerpérale (jusqu'à 12 semaines après l'accouchement; cf. «Mises en garde et précautions».
-Dans tous les cas, après un accouchement ou un avortement au 2ème trimestre de grossesse, la prise de Tyarena doit débuter au plus tôt entre le 21ème et le 28ème jour. Si le traitement débute plus tard, il est recommandé d'appliquer des méthodes contraceptives supplémentaires non hormonales durant les 7 premiers jours de la prise. Si des rapports sexuels ont eu lieu entre-temps, il convient d'exclure l'éventualité d'une grossesse ou d'attendre les premières règles avant de débuter le traitement.
-Interruption de Tyarena
-Après l'interruption de Tyarena, les ovaires reprennent généralement rapidement leur fonction normale, avec possibilité de grossesse. Comme avec d'autres contraceptifs hormonaux, le premier cycle peut être prolongé d'une semaine environ.
- +Il est possible de commencer la prise de Tyarena le jour du retrait de l'implant ou du DIU libérant un progestatif, ou le jour initialement prévu pour l'injection. Il faut prendre des mesures anticonceptionnelles supplémentaires pendant les 7 premiers jours.
- +Après une fausse couche ou une interruption de grossesse au 1er trimestre
- +Il est possible de commencer la prise de Tyarena immédiatement après une fausse couche ou une interruption de grossesse du 1er trimestre. Dans ce cas, aucune autre méthode contraceptive n'est nécessaire.
- +Après un avortement au 2e trimestre de grossesse ou un accouchement
- +La décision quant à la (re)prise d'un CHC tel que Tyarena après un avortement au 2e trimestre de grossesse ou un accouchement doit tenir compte du risque accru d'accidents thromboemboliques veineux pendant la période puerpérale (jusqu'à 12 semaines après l'accouchement; cf. «Mises en garde et précautions».
- +Dans tous les cas, après un accouchement ou un avortement au 2e trimestre de grossesse, la prise de Tyarena doit débuter au plus tôt entre le 21e et le 28e jour. Si le traitement débute plus tard, il est recommandé d'appliquer des méthodes contraceptives supplémentaires non hormonales durant les 7 premiers jours de la prise. Si des rapports sexuels ont eu lieu entre-temps, il convient d'exclure l'éventualité d'une grossesse ou d'attendre les premières règles avant de débuter le traitement.
- +Arrêt de Tyarena
- +Après l'arrêt de Tyarena, le premier cycle peut être allongé d'une semaine environ.
-Si un Lactab a été oublié, mais si le retard peut être comblé en moins de 12 heures, aucune autre mesure anticonceptionnelle n'est nécessaire. Poursuivre la prise de la pilule comme d'habitude.
-Si le retard de la prise d'un Lactab date de plus de 12 heures, la sécurité anticonceptionnelle est atténuée. Prendre le Lactab oublié dès que possible, et poursuivre avec les suivants selon le schéma normal. D'autres mesures sont alors nécessaires pour la contraception, p.ex. préservatifs, pour les 7 jours suivants. Si ces 7 jours vont au-delà de la fin de la plaquette, commencer un nouvel emballage de Tyarena le jour suivant la prise du dernier Lactab de l'ancien emballage, sans aucune pause («règle des 7 jours»). Si les règles ne viennent pas après la fin du nouvel emballage, effectuer un test de grossesse.
- +Si un Lactab a été oublié, mais que le retard peut être rattrapé dans les 12 heures, aucune autre méthode contraceptive n'est nécessaire. La prise du Lactab doit être poursuivie comme d'habitude.
- +Si le retard de la prise d'un Lactab date de plus de 12 heures, la sécurité contraceptive du produit est diminuée. Le dernier Lactab oublié doit être pris dès que possible. Les autres Lactab doivent être pris selon le schéma normal. D'autres mesures contraceptives, p.ex. des préservatifs, sont alors nécessaires pendant les 7 jours suivants. Si ces 7 jours vont au-delà de la fin de l'emballage, commencer un nouvel emballage de Tyarena le jour suivant la prise du dernier Lactab de l'ancien emballage, sans aucune pause («règle des 7 jours»). Si les règles ne viennent pas après la fin du nouvel emballage, effectuer un test de grossesse.
-Groupes de patients particuliers
-Insuffisance rénale: L'acétate de chlormadinone/éthinylestradiol n'a pas été étudié chez les femmes avec insuffisance rénale, et l'on ne peut donc pas procéder à des recommandations de posologie.
-Insuffisance hépatique: Tyarena ne doit pas être utilisé chez la femme souffrant d'insuffisance hépatique.
-Adolescents: L'efficacité et la sécurité de l'acétate de chlormadinone/éthinylestradiol ont été étudiées chez des femmes dès 18 ans. Chez l'adolescente, si l'utilisation est indiquée, la même posologie est recommandée que chez les adultes.
- +Groupes particuliers de patientes
- +Insuffisance rénale: L'acétate de chlormadinone/éthinylestradiol n'a pas été étudié chez les femmes présentant une insuffisance rénale, et l'on ne peut donc pas procéder à des recommandations de posologie.
- +Insuffisance hépatique: Tyarena ne doit pas être utilisé chez les femmes souffrant d'insuffisance hépatique.
- +Adolescentes: L'efficacité et la sécurité de l'acétate de chlormadinone/éthinylestradiol ont été étudiées chez des femmes dès 18 ans. Chez l'adolescente, si l'utilisation est indiquée, la même posologie est recommandée que chez les adultes.
-·Existence ou antécédent d'une hépatopathie sévère s'accompagnant d'anomalies de la fonction hépatique;
-·Existence ou antécédent d'une tumeur hépatique bénigne ou maligne;
-·Existence ou antécédent d'une pathologie maligne dépendante des hormones sexuelles au niveau de l'appareil génital et du sein;
-·Antécédents ou présence d'une pancréatite en relation avec une hypertriglycéridémie sévère;
-·Hémorragies vaginales non diagnostiquées;
-·Suspicion de grossesse ou grossesse confirmée;
-·Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients de Tyarena
- +·Affection hépatique sévère ou antécédent d'affection hépatique sévère, en l'absence de normalisation des tests fonctionnels hépatiques;
- +·Tumeur hépatique (bénigne ou maligne) ou antécédent de tumeur hépatique;
- +·Utilisation concomitante de l'association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir (médicament pour le traitement de l'hépatite C). L'utilisation peut être reprise au plus tôt 2 semaines après l'arrêt de la prise de ces principes actifs (voir «Mises en garde et précautions» et «Interactions»);
- +·Utilisation concomitante de l'association de principes actifs glécaprévir/pibrentasvir (médicament pour le traitement de l'hépatite C);
- +·Tumeur maligne hormonodépendante connue ou suspectée (par exemple appareil génital ou seins);
- +·Présence ou antécédents connus de pancréatite, si elle est ou était associée à une hypertriglycéridémie sévère;
- +·Saignements vaginaux d'origine inconnue;
- +·Grossesse confirmée ou suspicion de grossesse;
- +·Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients de Tyarena.
-Les examens doivent être répétés à intervalle régulier pendant la durée d'utilisation des CHC. La fréquence et le type d'examen doivent toutefois être déterminés individuellement et se référer aux directives de la Société suisse de gynécologie et d'obstétrique (SSGO). Les contre-indications (p.ex. accident ischémique transitoire) et leurs facteurs de risque (p.ex. anamnèse familiale de thrombose veineuse ou artérielle; voir «Facteurs de risque de TEV» et «Facteurs de risque de TEA») peuvent apparaître pour la première fois en cours d'utilisation d'un CHC et doivent dès lors être recherchés lors de chaque contrôle.
-La patiente doit également être informée que le CHC ne représente pas une protection contre une infection par le VIH (SIDA) et les autres maladies sexuellement transmissibles.
-Motifs imposant l'arrêt immédiat de la médication
- +Les examens doivent être répétés à intervalle régulier pendant la durée d'utilisation des CHC. La fréquence et le type d'examen doivent toutefois être déterminés individuellement et se référer aux directives de la Société suisse de gynécologie et d'obstétrique (SSGO). Les contre-indications (p.ex. accident ischémique transitoire) et les facteurs de risque (p.ex. anamnèse familiale de thrombose veineuse ou artérielle; voir «Facteurs de risque de TEV» et «Facteurs de risque de TEA») peuvent apparaître pour la première fois en cours d'utilisation d'un CHC et doivent dès lors être recherchés lors de chaque contrôle.
- +Motifs imposant l'arrêt immédiat de la prise du médicament
-·maux de tête apparaissant pour la première fois en présentant un caractère de migraine ou se manifestant de façon répétée avec une intensité inhabituelle;
-·troubles soudains visuels, auditifs, du langage ou autres troubles sensoriels;
- +·première manifestation ou exacerbation de céphalées migraineuses et fréquence accrue de céphalées anormalement violentes;
- +·troubles visuels, auditifs, du langage ou autres troubles sensitivo-moteurs d'apparition subite;
-·au moins 4 semaines avant une opération programmée en précision et pendant une immobilisation (p.ex. à la suite d'un accident ou d'une opération);
-·élévation importante de la tension artérielle (lors de mesures répétées);
-·apparition d'un ictère, hépatite, prurit généralisé;
-·fortes douleurs épigastriques ou hépatomégalie;
-·symptômes d'hémorragies intra-abdominales;
-·survenue accrue de crises d'épilepsie.
- +·4 semaines au moins avant une intervention chirurgicale programmée et pendant une immobilisation (p.ex. à la suite d'un accident ou d'une opération);
- +·troubles moteurs (en particulier parésies);
- +·augmentation cliniquement significative de la tension artérielle (confirmée par plusieurs mesures);
- +·apparition d'un ictère, d'une hépatite, d'un prurit généralisé;
- +·violente douleur abdominale haute ou hépatomégalie;
- +·symptômes de saignements intra-abdominaux;
- +·augmentation de la fréquence de crises d'épileptiques.
-Dans les deux cas, le nombre de TEV par année est inférieur à celui attendu pendant la grossesse ou en période post-partum.
-La TEV peut être fatale dans 1 à 2% des cas.
-Très rarement, chez des utilisatrices de CHC, des cas de thrombose veineuse ont été signalés en dehors des membres (p.ex. thrombose des veines sinusales ou thromboses des veines hépatiques, mésentériques, rénales ou rétiniennes).
- +Dans les deux cas, le nombre de TEV par année est inférieur à celui attendu pendant la grossesse ou en période post-partum. La TEV peut être fatale dans 1 à 2% des cas.
- +Très rarement, chez des utilisatrices de CHC, des cas de thrombose veineuse ont été signalés en dehors des membres (p.ex. thromboses des veines sinusales ou thromboses des veines hépatiques, mésentériques, rénales ou rétiniennes).
-·Gonflement unilatéral d'une jambe et/ou d'un pied ou le long d'une veine de la jambe;
-·Douleur ou sensibilité dans une jambe, pouvant n'être ressentie qu'en position debout ou lors de la marche;
-·Sensation de chaleur, rougeur ou changement de la coloration cutanée de la jambe affectée.
- +·gonflement unilatéral d'une jambe et/ou d'un pied ou le long d'une veine de la jambe;
- +·douleur ou sensibilité dans une jambe, pouvant n'être ressentie qu'en position debout ou lors de la marche;
- +·sensation de chaleur, rougeur ou changement de la coloration cutanée de la jambe affectée.
-·Essoufflement soudain inexpliqué, respiration rapide ou détresse respiratoire, intolérance à l'effort;
-·Toux d'apparition soudaine, éventuellement accompagnée d'expectorations sanglantes;
-·Douleur aiguë et soudaine dans la poitrine pouvant s'amplifier à la respiration profonde;
-·Obnubilation sévère, vertiges ou sensation d'angoisse;
-·Tachycardie ou arythmies.
- +·difficulté respiratoire subite et inexpliquée, respiration rapide ou détresse respiratoire, intolérance à l'effort;
- +·toux d'apparition soudaine, éventuellement accompagnée d'expectorations sanglantes;
- +·douleur aiguë et soudaine dans la poitrine pouvant s'amplifier à la respiration profonde;
- +·obnubilation sévère, vertiges ou sensation d'angoisse;
- +·tachycardie ou arythmie.
-Très rarement, chez des utilisatrices de CHC, des cas de thrombose ont été signalés dans d'autres vaisseaux sanguins (p.ex. les artères hépatiques, mésentériques, rénales ou rétiniennes).
- +De très rares cas de thromboses dans d'autres vaisseaux sanguins (tels que les artères hépatiques, mésentériques, rénales ou rétiniennes) ont été observés.
-Autres affections médicales associées à un risque accru de TEA. Hyperhomocystéinémie, lupus érythémateux disséminé, drépanocytose, cancer.
- +Autres affections médicales associées à un risque accru de TEA. Hyperhomocystéinémie, Lupus érythémateux disséminé, drépanocytose, cancer.
-·Perte soudaine de sensibilité ou de force au niveau du visage, d'un bras ou d'une jambe, touchant une moitié du corps;
-·Confusion soudaine;
-·��locution incompréhensible ou difficulté de compréhension;
-·Troubles subits de la vision d'un ou des deux yeux;
-·Troubles subits de la marche;
-·Vertiges;
-·Troubles de l'équilibre ou de la coordination;
-·Céphalées soudaines et sévères, ou de durée inhabituelle, de cause inconnue;
-·Perte de connaissance ou évanouissement avec ou sans épisode convulsif.
-·Les symptômes de l'infarctus du myocarde peuvent inclure:
-·Douleurs, malaise, sensation de pression, sensation de pesanteur, sensation de serrement ou de tension dans la poitrine, le bras ou derrière le sternum;
-·Douleurs irradiant dans le dos, la mâchoire, le cou, le bras ou l'estomac;
-·Sensation de réplétion, troubles gastriques ou effort de vomissement;
-·Sueurs, nausées, vomissements ou vertiges;
-·Sensation de grande faiblesse, d'angoisse ou essoufflement;
-·Tachycardie ou arythmies.
-·L'occlusion d'un vaisseau peut engendrer d'autres symptômes:
-·Douleur soudaine, tuméfaction ou cyanose discrète d'une extrémité;
-·Abdomen aigu.
- +·perte soudaine de sensibilité ou de force au niveau du visage, d'un bras ou d'une jambe, touchant une moitié du corps;
- +·confusion soudaine;
- +·��locution incompréhensible ou difficulté de compréhension;
- +·troubles subits de la vision d'un ou des deux yeux;
- +·troubles subits de la marche;
- +·vertiges;
- +·troubles de l'équilibre ou de la coordination;
- +·céphalées soudaines et sévères, ou de durée inhabituelle, de cause inconnue;
- +·perte de connaissance ou évanouissement avec ou sans épisode convulsif.
- +·Les symptômes de l'infarctus du myocarde peuvent inclure
- +·douleurs, malaise, sensation de pression, sensation de pesanteur, sensation de serrement ou de tension dans la poitrine, le bras ou derrière le sternum;
- +·douleurs irradiant dans le dos, la mâchoire, le cou, le bras ou l'estomac;
- +·sensation de réplétion, troubles gastriques ou effort de vomissement;
- +·sueurs, nausées, vomissements ou vertiges;
- +·sensation de grande faiblesse, d'angoisse ou essoufflement;
- +·tachycardie ou arythmies.
- +·L'occlusion d'un vaisseau peut engendrer d'autres symptômes
- +·douleur soudaine, tuméfaction ou cyanose discrète d'une extrémité;
- +·abdomen aigu.
-Une méta-analyse de 54 études épidémiologiques montre que l'utilisation de CHC fait augmenter légèrement le risque de cancer du sein (RR = 1,24). Mais ce risque diminue progressivement après leur arrêt, et n'est plus démontrable 10 ans après l'arrêt. Ces études n'en expliquent pas les causes. L'augmentation du risque observée peut être due à la surveillance clinique régulière de la femme sous CHC permet de poser le diagnostic plus rapidement, ou aux effets biologiques des CHC ou à une combinaison de ces deux facteurs.
-De rares tumeurs hépatiques bénignes, et malignes, encore plus rares, ont été signalées sous CHC, dont les complications peuvent être des hémorragies intra-abdominales potentiellement fatales. En cas de violentes douleurs abdominales supérieures, d'hépatomégalie ou de signes d'hémorragie intra-abdominale, une tumeur hépatique doit être envisagée et la prise de Tyarena doit etre interrompue.
- +Une méta-analyse de 54 études épidémiologiques montre que l'utilisation de CHC fait légèrement augmenter le risque de cancer du sein (RR = 1,24). Ce risque accru est passager et diminue progressivement au cours des 10 années suivant leur arrêt. Ces études n'en expliquent pas les causes. L'augmentation du risque observée peut être due à un diagnostic précoce du cancer du sein chez les utilisatrices de CHC, aux effets biologiques des CHC ou bien à l'association entre ces deux facteurs.
- +De rares tumeurs hépatiques bénignes, et malignes, encore plus rares, ont été signalées sous CHC. Exceptionnellement, ces tumeurs ont induit des hémorragies intra-abdominales potentiellement mortelles. En cas de violentes douleurs abdominales supérieures ne disparaissant pas spontanément, d'hépatomégalie ou de signes d'hémorragie intra-abdominale, une tumeur hépatique doit être envisagée et la prise de Tyarena doit être interrompue.
-Les femmes utilisant un contraceptif hormonal ne doivent pas être traitées en même temps avec une préparation à base de millepertuis (Hypericum), susceptible de réduire la fiabilité contraceptive. Des saignements intermenstruels et des cas isolés de grossesses non désirées ont été rapportés (voir aussi «Interactions»).
- +Les femmes prenant un contraceptif hormonal ne doivent pas être traitées simultanément par des préparations à base de millepertuis (Hypericum), car celui-ci peut diminuer l'action contraceptive. Des saignements intermenstruels et des cas isolés de grossesses non désirées ont été rapportés (voir aussi «Interactions»).
-Des troubles aigus ou chroniques de la fonction hépatique peuvent imposer un arrêt du CHC, jusqu'à ce que les valeurs hépatiques se soient normalisées (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Contre-indications»). La récidive d'un ictère cholestatique apparu pour la première fois pendant une grossesse ou lors d'une prise antérieure d'hormones stéroïdiennes sexuelles, doit faire arrêter la prise du CHC.
-Les estrogènes peuvent augmenter la lithogénicité de la vésicule biliaire. Des cas de cholélithiase et d'autres affections de la vésicule biliaire (p.ex. cholécystite) ont été rapportés chez des femmes sous contraceptifs hormonaux.
-Chez les femmes atteintes d'un angiœdème héréditaire et/ou acquis, les œstrogènes exogènes peuvent induire ou aggraver les symptômes.
-Les affections suivantes peuvent survenir ou être aggravées pendant la grossesse ou l'utilisation d'un CHC, même si les données actuellement disponibles ne permettent pas d'imputer une relation de causalité claire:ictère cholestatique et/ou prurit; lithiase biliaire; porphyrie; lupus érythémateux systémique; syndrome urémique hémolytique; chorée mineure; herpes gestationis; surdité liée à une otosclérose. La prise de CHC a en outre été associée à des cas de maladie de Crohn et de colite ulcéreuse.
-Certaines maladies/situations peuvent être influencées dans le sens négatif par les estrogèness ou les associations estrogèness/gestagènes. Dans les situations suivantes un contrôle particulier est necessaire: endométriose, myomes utérins, mastopathie, dépression, épilepsie, sclérose en plaques, tétanie, insuffisance cardiaque ou rénale, asthme.
-Chez les femmes prédisposées, l'utilisation de CHC peut occasionnellement provoquer un chloasma, qui est encore renforcé par une exposition intense aux rayons solaires. Les femmes qui présentent une tendance au chloasma ne devraient donc pas trop s'exposer au rayonnement UV.
-Les patientes ayant une intolérance au galactose héréditaire, une carence en lactase ou une malabsorption du glucose-galactose ne doivent pas prendre Tyarena, qui contient du lactose.
- +Des troubles aigus ou chroniques de la fonction hépatique peuvent imposer un arrêt du CHC, jusqu'à ce que les valeurs hépatiques se soient normalisées. Chez les patientes atteintes d'hépatite C qui ont utilisé un CHC contenant de l'éthinylestradiol de façon concomitante lors de l'utilisation de l'association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir employée dans le traitement des infections par le VHC, une augmentation de l'ALAT significativement plus fréquente que chez les patientes uniquement traitées par les principes actifs antiviraux a été rapportée (y compris des cas avec une augmentation à plus de cinq fois la limite supérieure de la normale et dans des cas isolés à plus de 20 fois la limite supérieure de la normale; voir «Interactions»).
- +La prise de Tyarena doit par conséquent être interrompue avant le début d'un traitement par cette association de principes actifs. À condition que la patiente présente des valeurs hépatiques normales, l'utilisation de Tyarena peut être reprise au plus tôt 2 semaines, mais de préférence 4 semaines, après l'arrêt de l'association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir. Il faut ici toutefois noter que, lors d'un intervalle de moins de 4 semaines, l'efficacité du CHC peut encore être réduite en raison des propriétés d'induction enzymatique du ritonavir et qu'une méthode de barrière additionnelle doit par conséquent être utilisée (voir la rubrique «Interactions/Inducteurs enzymatiques»). Ce point est particulièrement pertinent lorsque l'association ombitasvir/paritaprévir/ritonavir est utilisée avec la ribavirine, un principe actif potentiellement tératogène.
- +Davantage de cas d'augmentation de l'ALAT ont également été observés lors de l'utilisation concomitante de l'association des principes actifs glécaprévir/pibrentasvir et d'un CHC contenant de l'éthinylestradiol. La prise de Tyarena doit par conséquent également être temporairement interrompue lors de l'utilisation de cette association.
- +La récidive d'un ictère cholestatique apparu pour la première fois pendant une grossesse ou lors d'une prise antérieure d'hormones stéroïdiennes sexuelles, doit faire arrêter la prise du CHC.
- +Les estrogènes peuvent augmenter la lithogénicité de la vésicule biliaire. Plusieurs études épidémiologiques ont constaté un risque accru d'affections de la vésicule biliaire (p.ex. cholélithiase, cholécystite; y compris nécessité d'une cholécystéctomie) lors de l'utilisation de contraceptifs hormonaux combinés.
- +Chez les femmes atteintes d'un angiœdème héréditaire et/ou acquis, des estrogènes exogènes peuvent induire ou aggraver les symptômes.
- +Les affections suivantes peuvent survenir ou être aggravées pendant la grossesse ou l'utilisation d'un CHC, même si les données actuellement disponibles ne permettent pas d'imputer une relation de causalité claire avec l'utilisation d'un CHC: ictère et/ou prurit cholestatique; porphyrie; lupus érythémateux disséminé; syndrome hémolytique et urémique; chorée mineure; herpes gestationis; surdité due à une otosclérose. La prise de CHC a en outre été associée à des cas de maladie de Crohn et de colite ulcéreuse.
- +Certaines maladies/situations peuvent être influencées dans le sens négatif par les estrogènes ou les associations estrogènes/progestatifs. Dans les situations suivantes un contrôle particulier est nécessaire: endométriose, myomes de l'utérus, mastopathie, dépressions, épilepsie, sclérose en plaques, tétanie, insuffisance cardiaque ou rénale, asthme.
- +Chez les femmes prédisposées, l'utilisation de CHC peut occasionnellement provoquer un chloasma, qui est encore renforcé par une exposition intense aux rayons solaires. Les femmes présentant une tendance au chloasma ne devraient donc pas s'exposer à des rayonnements UV importants.
- +Les patientes souffrant d'une intolérance au galactose, maladie héréditaire rare, d'un déficit en lactase de Lapp ou d'une malabsorption du glucose et du galactose, ne doivent pas prendre Tyarena, qui contient du lactose.
-Métrorragies et spotting.
-Tous les contraceptifs oraux peuvent provoquer des saignements vaginaux irréguliers (métrorragies/spotting), surtout au cours des premiers cycles.
-C'est pourquoi une évaluation médicale de cycles irréguliers n'a de sens qu'après un temps d'adaptation d'environ 3 cycles. Si pendant la prise de Tyarena les saignements irréguliers persistent ou se produisent après des cycles jusque là réguliers, des examens approfondis sont recommandés afin d'exclure une grossesse ou un dysfonctionnement organique. Une fois ceux-ci exclus, Tyarena pourra être continué ou remplacé par un autre contraceptif.
-L'hémorragie intermenstruelle peut être le signe d'une efficacité contraceptive réduite (voir «Posologie/Mode d'emploi, Prise irrégulière», «Posologie/Mode d'emploi, Conduite à tenir en cas de troubles gastro-intestinaux» et «Interactions»).
-Absence d'hémorragie de privation
-Une hémorragie de privation apparaît normalement après les 21 jours de prise. Mais cette hémorragie peut occasionnellement être absente, surtout au cours des premiers mois, ce qui ne signifie pas que l'effet anticonceptionnel est atténué. S'il n'y a pas d'hémorragie après un cycle au cours duquel aucune pilule n'a été oubliée, la période de 7 jours sans pilule n'a pas été prolongée, aucun autre médicament n'a été pris, il n'y a eu ni diarrhée ni vomissement, une grossesse est très peu probable et il est possible de poursuivre le traitement de Tyarena. Une grossesse doit être exclue au cours des 10 premiers jours. S'il n'y a pas d'hémorragie de privation après 2 cycles successifs, effectuer un examen de contrôle et exclure une grossesse.
-Les femmes sous contraceptif hormonaux ne doivent pas être traitées par des extraits de millepertuis (Hypericum) car l'effet contraceptif peut ne plus être assuré. Des métrorragies et des rares grossesses non desirées ont étés signalées (voir aussi sous «Interactions»).
- +Saignements intermenstruels et spotting
- +Tous les contraceptifs oraux peuvent provoquer des saignements vaginaux irréguliers (saignements intermédiaires/spotting), surtout au cours des premiers cycles.
- +C'est pourquoi une évaluation médicale de cycles irréguliers n'a de sens qu'après une période d'adaptation d'environ trois cycles. Si, pendant la prise de Tyarena les saignements irréguliers persistent ou se produisent après des cycles jusque là réguliers, des examens approfondis sont recommandés afin d'exclure une grossesse ou un dysfonctionnement organique. Une fois ceux-ci exclus, Tyarena pourra être continué ou remplacé par un autre contraceptif.
- +Les saignements intermenstruels peuvent être le signe d'une efficacité contraceptive réduite (voir la rubrique «Prise irrégulière», ainsi que «Conduite à tenir en cas de troubles gastro-intestinaux» et la rubrique «Interactions»).
- +Absence de règles
- +Les règles apparaissent normalement après les 21 jours de prise. Ces règles peuvent occasionnellement être absentes, surtout au cours des premiers mois de prise des Lactab, ce qui ne signifie pas toutefois que l'effet anticonceptionnel est atténué. S'il n'y a pas de saignement après un cycle au cours duquel aucun Lactab n'a été oublié, la période de 7 jours sans Lactab n'a pas été prolongée, aucun autre médicament n'a été pris de manière concomitante et il n'y a eu ni vomissement, ni diarrhée, une grossesse est très peu probable et il est possible de poursuivre le traitement par Tyarena. Lors des 10 premiers jours du nouveau cycle, une grossesse doit être exclue. S'il n'y a pas de règles après 2 cycles successifs, un examen de contrôle doit être mené et une grossesse doit être exclue.
- +La patiente doit être informée du fait que la prise d'un CHC ne protège ni d'une infection par le VIH (SIDA) ni d'autres maladies sexuellement transmissibles.
-Afin de connaître les éventuelles interactions, il est recommandé de consulter également l'information professionnelle des médicaments co-administrés.
-Influence d'autres médicaments sur la pharmacocinétique des contraceptifs hormonaux
- +Il est recommandé de consulter également l'information professionnelle des médicaments co-administrés afin de pouvoir évaluer le potentiel d'interactions.
- +Influence d'autres substances sur la pharmacocinétique des contraceptifs hormonaux
-Des interactions peuvent survenir entre contraceptifs hormonaux et médicaments induisant les enzymes microsomales, ce qui peut conduire à une augmentation de la clairance des hormones sexuelles, à une diminution de l'effet contraceptif et à des saignements intermenstruels. Ceci vaut par exemple pour les barbituriques, le bosentan, la carbamazépine, le felbamate, le modafinil, l'oxcarbazépine, la phénytoïne, la primidone, la rifabutine, la rifampicine et le topiramate ainsi que pour les médicaments contenant du millepertuis (Hypericum perforatum).
-L'induction enzymatique maximale est en général observée après 2 à 3 semaines et peut persister pendant au moins 4 semaines après l'arrêt de ces médicaments. Les femmes traitées sur une courte période par un de ces médicaments doivent provisoirement utiliser une méthode de contraception non hormonale en complément au CHC ou choisir une autre méthode contraceptive. Une méthode de contraception mécanique doit être poursuivie pendant toute la prise concomitante des médicaments et encore pendant 28 jours après l'arrêt du traitement. Lorsque la prise concomitante d'un inducteur enzymatique dure au-delà de la fin de l'emballage du CHC, il faut passer immédiatement à l'emballage suivant, donc sauter l'intervalle habituel sans prise de comprimés. Dans ce cas, il ne faut pas s'attendre à des règles avant la fin du deuxième emballage. En l'absence de règles pendant l'intervalle sans prise de comprimés à la fin du deuxième emballage, il est impératif d'exclure toute grossesse avant de poursuivre avec un nouvel emballage.
- +Des interactions peuvent survenir entre contraceptifs hormonaux et médicaments induisant les enzymes microsomales, ce qui peut conduire à une augmentation de la clairance des hormones sexuelles, à une diminution de l'effet contraceptif et à des saignements intermenstruels. Ceci vaut par exemple pour le barbexaclone, les barbituriques, le bosentan, la carbamazépine, le felbamate, la griséofulvine, le modafinil, l'oxcarbazépine, la phénytoïne, la primidone, la rifabutine, la rifampicine, le topiramate, certains inhibiteurs de la protéase (p.ex. ritonavir) ainsi que pour les médicaments contenant du millepertuis (Hypericum perforatum).
- +L'induction enzymatique maximale est en général observée après 2 à 3 semaines et peut persister pendant au moins 4 semaines ou plus après l'arrêt de ces médicaments. Les femmes traitées sur une courte période par un de ces médicaments doivent provisoirement utiliser une méthode de contraception non hormonale en complément au CHC ou choisir une autre méthode contraceptive. Une méthode de contraception mécanique doit être poursuivie pendant toute la prise concomitante des médicaments et encore pendant 28 jours après l'arrêt du traitement. Lorsque la prise concomitante d'un inducteur enzymatique dure au-delà de la fin de l'emballage du CHC, il faut passer immédiatement à l'emballage suivant, donc sauter l'intervalle habituel sans prise de comprimés. Dans ce cas, il ne faut pas s'attendre à des règles avant la fin du deuxième emballage. En l'absence de règles pendant l'intervalle sans prise de comprimés à la fin du deuxième emballage, il est impératif d'exclure toute grossesse avant de poursuivre avec un nouvel emballage.
-Les inhibiteurs forts et modérés du CYP3A comme les antifongiques azolés (p.ex. itraconazole, voriconazole, fluconazole), les macrolides (clarithromycine, érythromycine), diltiazem, vérapamil et le jus de pamplemousse peuvent augmenter les taux plasmatiques des estrogènes et ou des progestatifs et entraîner des effets indésirables plus nombreux.
- +Inhibiteurs forts et modérés du CYP3A4 comme les antifongiques azolés (p.ex. itraconazole, voriconazole, fluconazole), les macrolides (clarithromycine, érythromycine), diltiazem, vérapamil et le jus de pamplemousse peuvent augmenter les taux plasmatiques des estrogènes et ou des progestatifs et entraîner des effets indésirables plus nombreux.
-Les contraceptifs hormonaux peuvent, par différents mécanismes d'interaction, influer également sur la pharmacocinétique de certains autres médicaments: ils peuvent inhiber les enzymes hépatiques microsomales ou induire la conjugaison hépatique, en particulier la glucuroconjugaison. Les concentrations plasmatiques ou tissulaires d'autres médicaments peuvent par conséquent être soit augmentées (p.ex. la ciclosporine) soit diminuées (p.ex. la lamotrigine, voir ci-dessous). Par ailleurs, l'effet pharmacologique des groupes médicamenteux suivants peut également être influencé: analgésiques, antidépresseurs, antidiabétiques, antimalariques, certaines benzodiazépines, certains bêta-bloquants, corticostéroïdes, anticoagulants oraux et théophylline. Les modifications des taux plasmatiques résultant de ces interactions ne sont pas toujours cliniquement pertinentes.
- +Les contraceptifs hormonaux peuvent, par différents mécanismes d'interaction, influer également sur la pharmacocinétique de certains autres médicaments: ils peuvent inhiber les enzymes hépatiques microsomales ou induire la conjugaison hépatique, en particulier la glucuroconjugaison. Les concentrations plasmatiques ou tissulaires d'autres médicaments peuvent par conséquent être soit augmentées (p.ex. la cyclosporine) soit diminuées (p.ex. la lamotrigine, voir ci-dessous). Par ailleurs, l'effet pharmacologique des groupes médicamenteux suivants peut également être influencé: analgésiques, antidépresseurs, antidiabétiques, antimalariques, certaines benzodiazépines, certains bêta-bloquants, corticostéroïdes, anticoagulants oraux et théophylline. Les modifications des taux plasmatiques résultant de ces interactions ne sont pas toujours cliniquement pertinentes.
- +Interactions avec un mécanisme inconnu
- +Dans les études cliniques, une augmentation de l'ALAT (y compris des cas avec une augmentation à plus de cinq fois la limite supérieure de la normale [LSN] et dans des cas isolés à plus de 20 fois la LSN) était significativement plus fréquente lors d'une utilisation concomitante de CHC contenant de l'éthinylestradiol et de l'association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir, que chez les patientes uniquement traitées par les principes actifs antiviraux. La prise de Tyarena doit donc être interrompue avant un traitement par cette association antivirale (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Davantage d'augmentations de l'ALAT ont également été observées lors de l'utilisation concomitante d'un CHC contenant de l'éthinylestradiol et de l'association des principes actifs glécaprévir/pibrentasvir et la prise de Tyarena doit par conséquent également être interrompue avant un traitement par cette association anti-VHC (voir «Contre-indications»).
- +
-Le médicament ne doit pas être pris pendant l'allaitement, car il peut réduire la production de lait et modifier sa qualité; d'autre part, de faibles concentrations du principe actif peuvent être mesurées dans le lait. Si possible, une méthode non hormonale de contraception doit être utilisée jusqu'au sevrage complet de l'enfant.
- +Le médicament ne doit pas être pris pendant l'allaitement, car il peut réduire la production de lait et modifier sa qualité; d'autre part, de faibles concentrations du principe actif peuvent être mesurées dans le lait. Des méthodes de contraception non hormonales devront si possible être utilisées jusqu'à ce que la mère ait complètement cessé d'allaiter.
-Les effets indésirables les plus graves en rapport avec la prise de CHC sont décrits dans la rubrique «Mises en garde et précautions» (voir la rubrique). Les effets indésirables sérieux incluent en particulier des thromboembolies artérielles et veineuses.
-Les effets indésirables les plus fréquemment observés (plus de 20%) au cours des études cliniques menées sur le chormadinone/éthinylestradiol sont des saignements irréguliers et des spottings, des céphalées et des douleurs mammaires.
- +Les effets indésirables les plus graves en rapport avec la prise de CHC sont décrits dans la rubrique « Mises en garde et précautions » (voir la rubrique). Les effets indésirables sérieux incluent en particulier des thromboembolies artérielles et veineuses.
- +Les effets indésirables les plus fréquemment observés (plus de 20%) au cours des études cliniques menées sur le chormadinone/éthinylestradiol sont des saignements intermenstruels et des spottings, des céphalées et des douleurs mammaires.
-Peu fréquents ≥1/1000, <1/100.
- +Occasionnels ≥1/1000, <1/100.
-Peu fréquents: réactions d'hypersensibilité au produit y compris des réactions allergiques.
-Affections endocriniennes
-Peu fréquents: modifications des concentrations lipidiques sériques et hypertriglycéridémie.
- +Occasionnels: réactions d'hypersensibilité au produit y compris des réactions allergiques.
- +Troubles métaboliques et nutritionnels
- +Occasionnels: modifications des concentrations lipidiques sériques et hypertriglycéridémie.
-Affections de l'oreille et labyrinthe
-Rares: acouphènes, perte auditive brutale.
- +Affections de l'oreille et du labyrinthe
- +Rares: perte auditive brutale, acouphènes.
-Rares: hypertension artérielle, hypotension artérielle, collapsus, varices, thromboembolie veineuse (p.ex. thrombose veineuse profonde, embolie pulmonaire), thromboembolie artérielle (p.ex. accident ischémique transitoire, accident vasculaire cérébral, infarctus du myocarde).
- +Rares: thromboembolie veineuse (p.ex. thrombose veineuse profonde, embolie pulmonaire), thromboembolie artérielle (p.ex. accident ischémique transitoire, accident vasculaire cérébral, infarctus du myocarde), hypertension, hypotension, collapsus cardio-vasculaire, varices.
-Très fréquents: nausée.
-Fréquents: vomissement.
-Peu fréquents: douleurs abdominales, flatulence, diarrhée.
- +Très fréquents: nausées.
- +Fréquents: vomissements.
- +Occasionnels: douleurs abdominales, flatulence, diarrhée.
-Peu fréquents: anomalies pigmentaires, chloasma, peau sèche, alopécie.
-Rares: urticaire, eczéma, érythème, aggravation d'un psoriasis, prurit, hirsutisme.
- +Occasionnels: anomalies pigmentaires, chloasma, alopécie, peau sèche.
- +Rares: urticaire, eczéma, érythème, prurit, aggravation d'un psoriasis, hirsutisme.
-Affections musculo-squelettiques
- +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
-Peu fréquents: dorsalgies, myalgies.
- +Occasionnels: dorsalgies, myalgies.
-Très fréquents: fluor vaginalis, dysménorrhée, aménorrhée.
- +Très fréquents: écoulement vaginal, dysménorrhée, aménorrhée.
-Peu fréquents: galactorrhée, fibroadénomes du sein, candidose génitale, kystes ovariens.
-Rares: vulvovaginite; augmentation de volume des seins, ménorragie, syndrome prémenstruel.
-Troubles généraux
-Fréquents: fatigue, oedèmes, prise de poids.
-Peu fréquents: baisse de la libido, sudation.
- +Occasionnels: galactorrhée, fibroadénomes du sein, candidose génitale, kystes ovariens.
- +Rares: augmentation de volume des seins, vulvovaginite, ménorragie, syndrome prémenstruel.
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
- +Fréquents: fatigue, œdèmes, prise de poids.
- +Occasionnels: baisse de la libido, sudation.
-Il n'y a aucune information sur des effets toxiques graves d'un surdosage. Si un enfant avale un grand nombre de pilules Tyarena, il est peu probable qu'il présente de graves problèmes. Les symptômes suivants son possibles: nausée, vomissement et saignement vaginal chez la fillette. Un contrôle de l'équilibre hydroélectrolytique n'est nécessaire que dans de rares cas.
- +Il n'y a aucune information sur des effets toxiques graves d'un surdosage. Les symptômes suivants peuvent survenir: nausées, vomissements et légers saignements vaginaux. Ces derniers peuvent également survenir après la prise accidentelle du médicament chez les jeunes filles avant la ménarche.
- +Un contrôle de l'équilibre hydroélectrolytique ainsi que de la fonction hépatique n'est nécessaire que dans de rares cas.
-Code ATC: G03AA
- +Code ATC: G03AA15
-L'éthinylestradiol fait augmenter le taux de SHBG (sex hormone-binding globulin) et diminue par là la quantité de testostérone libre dans le sang.
-Le gestagène acétate de chlormadinone ne contrebalance pas cet effet, car l'acétate de chlormadinone n'exerce aucun effet androgénique partiel.
- +L'éthinylestradiol augmente la SHBG (globuline liant les hormones sexuelles) et diminue ainsi la quantité de testostérone libre dans le sang.
- +Le progestatif acétate de chlormadinone ne contrebalance pas cet effet, car l'acétate de chlormadinone n'exerce aucun effet androgénique partiel.
-La dose journalière la plus faible d'acétate de chlormadinone inhibant l'ovulation est de 1,7 mg. La pleine dose de transformation endométriale est de 25 mg par cycle.
- +La dose journalière la plus faible d'acétate de chlormadinone inhibant l'ovulation est d'1,7 mg. La pleine dose de transformation endométriale est de 25 mg par cycle.
-Résorption
-L'acétate de chlormadinone (CMA) est résorbé rapidement et pratiquement totalement après son administration orale. La biodisponibilité systémique du CMA est élevée, car il n'est pas soumis à un effet de premier passage. Les concentrations plasmatiques atteignent leur pic après 1–2 heures.
-L'éthinylestradiol (EE) est résorbé rapidement et pratiquement totalement après son administration orale; ses pics de concentration plasmatique sont atteints après 1,5 heures. Du fait de son métabolisme présystémique, sa biodisponibilité absolue n'est que d'environ 40% et subit de très importantes variations (20–65%).
- +Absorption
- +L'acétate de chlormadinone (CMA) est absorbé rapidement et pratiquement totalement après son administration orale. La biodisponibilité systémique du CMA est élevée, car il n'est pas soumis à un métabolisme de premier passage. Les concentrations plasmatiques atteignent leur pic après 1 à 2 heures.
- +L'éthinylestradiol (EE) est absorbé rapidement et pratiquement totalement après son administration orale; ses pics de concentration plasmatique sont atteints après 1,5 heures. Du fait de sa conjugaison présystémique et de son métabolisme de premier passage dans le foie, sa biodisponibilité absolue n'est que d'environ 40% et subit de très importantes variations (20 à 65%).
-Acétate de chlormadinone (CMA): plusieurs étapes d'oxydation et de réduction, et la conjugaison à l'acide glucuronique et au sulfate donnent de très nombreux métabolites. Dans le plasma humain, les principaux métabolites sont le 3α- et le 3β-hydroxy-CMA, dont les demi-vies biologiques ne sont pas fondamentalement différentes de celle du CMA non métabolisé. Les métabolites 3-hydroxy- ont une activité antiandrogène et gestagène comparable à celle du CMA lui-même. A part ces métabolites 3-hydroxy-, il y a notamment le 2α-hydroxy-CMA et des métabolites dihydroxy-. Ces métabolites se retrouvent dans l'urine principalement sous forme conjuguée.
- +Acétate de chlormadinone (CMA): plusieurs étapes d'oxydation et de réduction, et la conjugaison à l'acide glucuronique et au sulfate donnent de très nombreux métabolites. Dans le plasma humain, les principaux métabolites sont le 3α- et le 3β-hydroxy-CMA, dont les demi-vies biologiques ne sont pas fondamentalement différentes de celle du CMA non métabolisé. Les métabolites 3-hydroxy- ont une activité antiandrogène comparable à celle du CMA lui-même. Ces métabolites se retrouvent dans l'urine principalement sous forme conjuguée.
-L'acétate de chlormadinone (CMA) est éliminé du plasma après une demi-vie moyenne d'environ 34 heures (après une dose unique) et d'environ 36–39 heures (après doses répétées). Après administration orale, le CMA et ses métabolites sont éliminés en proportions semblables dans les urines et les selles.
-Ethinylestradiol (EE): la demi-vie plasmatique moyenne de l'EE est d'env. 12–25 heures. L'EE est éliminé sous la forme de ses métabolites dans les urines et les selles selon un quotient 2:3.
-Cinétique chez des groupes de patients particuliers
- +L'acétate de chlormadinone (CMA) est éliminé du plasma après une demi-vie moyenne d'environ 34 heures (après une dose unique) et d'environ 36 à 39 heures (après des doses répétées). Après administration orale, le CMA et ses métabolites sont éliminés en proportions semblables dans les urines et les selles.
- +Ethinylestradiol (EE): la demi-vie plasmatique moyenne de l'EE est d'env. 12 à 14 heures. L'EE est éliminé sous la forme de ses métabolites dans les urines et les selles selon un quotient 2:3.
- +Cinétique chez certains groupes de patientes
-L'administration de contraceptifs oraux peut fausser les résultats de certains examens de laboratoire, dont les paramètres biochimiques des fonctions du foie, de la thyroïde et des surrénales, la concentration plasmatique des protéines vectrices et des fractions lipidiques ou lipoprotéiniques, les paramètres du métabolisme des hydrates de carbone, les paramètres de la coagulation et de la fibrinolyse. La vitesse de sédimentation peut être accélérée. Une augmentation des concentrations sériques de cuivre et de fer de même que de la phosphatase alcaline leucocytaire a été décrite.
- +L'administration de contraceptifs oraux peut fausser les résultats de certains examens de laboratoire, dont les paramètres biochimiques des fonctions du foie, de la corticosurrénale et de la thyroïde, la concentration plasmatique des protéines vectrices (p.ex. SHBG, lipoprotéines), les paramètres du métabolisme des hydrates de carbone, les paramètres de la coagulation et de la fibrinolyse. La vitesse de sédimentation peut être accélérée. Une augmentation des concentrations sériques de cuivre et de fer de même que de la phosphatase alcaline leucocytaire a été décrite.
-Ce médicament ne peut pas être utilisé au-delà de la date indiqué par «EXP» (= expiration) sur l'emballage.
-Conserver dans l'emballage d'origine et à température ambiante (15–25 °C).
- +Ce médicament ne peut pas être utilisé au-delà de la date indiquée par «EXP» (= expiration) sur l'emballage.
- +Conserver dans l'emballage d'origine et à température ambiante (15–25°C).
-Emballages de 21, 3 × 21 et 6 × 21 Lactab (B)
- +Emballages de 21, 3 × 21 et 6 × 21 Lactab. (B)
-Septembre 2015.
-Numéro de version interne: 4.2
- +Octobre 2018.
- +Numéro de version interne: 5.2
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