92 Changements de l'information professionelle Dretine 21 |
-Les comprimés doivent être pris dans l’ordre indiqué sur l’emballage, si possible au même moment de la journée et de préférence avec un liquide. Pendant 21 jours consécutifs, prendre un comprimé par jour. Puis, observer une pause de 7 jours sans prise avant d’entamer la plaquette suivante. Pendant cette pause, il se produit généralement une hémorragie de privation, qui débute normalement 2–3 jours après la dernière prise et qui peut se poursuivre jusqu’à ce que la plaquette suivante soit entamée (voir également à ce propos «Conduite à tenir en cas d’irrégularité des saignements»).
-Instauration du traitement
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- +Les comprimés doivent être pris dans l’ordre indiqué sur l’emballage, si possible au même moment de la journée et de préférence avec un liquide. Pendant 21 jours consécutifs, prendre un comprimé par jour. Puis, observer une pause de 7 jours sans prise de comprimé avant d’entamer la plaquette suivante. Pendant cette pause, il se produit généralement une hémorragie de privation, qui débute normalement 2–3 jours après la dernière prise et qui peut se poursuivre jusqu’à ce que la plaquette suivante soit entamée (voir également à ce propos «Conduite à tenir en cas d’irrégularité des saignements»).
-Femmes n’ayant pas utilisé de contraceptif hormonal le mois précédent
- +Femmes n’ayant pas utilisé de contraceptifs hormonaux le mois précédent
-Ajustement de la posologie du fait d’effets indésirables / d’interactions
-Conduite à tenir en cas de troubles gastro-intestinaux
-En cas de troubles gastro-intestinaux sévères – quelle que soit leur cause (c.-à-d. aussi en cas de diarrhée d’origine médicamenteuse, etc.) – l’absorption peut être incomplète et des méthodes de contraception supplémentaires doivent être utilisées.
-En cas de vomissements dans les 3 à 4 heures suivant la prise, se conformer aux règles de base mentionnées au paragraphe «Conduite à tenir en cas d’oubli de la prise». Afin que le schéma habituel de la prise puisse être conservé, la patiente doit prendre le comprimé supplémentaire dans une plaquette de réserve.
-Décalage des règles
-Report des règles à une date ultérieure (prolongation du cycle)
-La patiente doit prendre les comprimés de la plaquette suivante sans respecter la pause sans comprimés. Elle peut ainsi retarder ses règles aussi longtemps qu’elle le désire (mais au maximum jusqu’à la fin de cette deuxième plaquette). Pendant cette période, de légères pertes sanguinolentes ou des métrorragies peuvent se produire. La prise régulière de Dretine 21 est ensuite poursuivie après la pause habituelle de 7 jours.
-Avancée de la date des règles
-La patiente peut avancer le début de ses règles à un autre jour de la semaine en abrégeant, selon son désir, la pause sans prise de comprimés. Plus cette pause est courte, moins l’hémorragie de privation est probable et plus les légères pertes sanguinolentes et les métrorragies sont fréquentes (similairement au report des règles à une date ultérieure).
-Conduite à tenir en cas d’irrégularité des saignements
-Comme c’est le cas pour tous les CHC, des saignements irréguliers (légères pertes sanguinolentes ou métrorragies) peuvent se produire, surtout pendant les premiers mois d’utilisation. C’est pourquoi un bilan diagnostique visant à rechercher la cause de saignements irréguliers ne se justifie qu’après une période d’adaptation de 3 cycles environ. La prise de Dretine 21 doit être poursuivie.
-Si ces irrégularités persistent ou si des saignements irréguliers apparaissent pour la première fois après plusieurs cycles de saignements réguliers, il faudra également envisager des causes non hormonales. Il est recommandé de recourir à des méthodes diagnostiques appropriées en vue d’exclure la possibilité d’une grossesse ou d’une affection maligne. Ces méthodes peuvent comprendre un curetage.
-L’hémorragie de privation peut éventuellement être absente au cours de la pause sans prise de comprimés. Une grossesse est improbable si le CHC a été utilisé selon la posologie prescrite. Si toutefois le CHC n’a pas été utilisé conformément aux prescriptions avant l’absence de la première hémorragie de privation, ou en l’absence de deux hémorragies de privation, il convient d’exclure l’éventualité d’une grossesse avant de poursuivre l’utilisation du CHC.
-Substitution d’une préparation progestative pure (minipilule, injection, implant) ou d’un dispositif intra-utérin (DIU) diffuseur de progestatif par Dretine 21
- +Remplacement d’une préparation progestative seule (minipilule, injection, implant) ou d’un dispositif intra-utérin (DIU) diffuseur de progestatif
-Instructions spéciales pour la posologie
-Après un avortement au premier trimestre de la grossesse
- +Après un avortement dans le 1er trimestre de la grossesse
-La décision quant à la (re)prise d’un CHC tel que Dretine 21 après un avortement au 2ème trimestre de grossesse ou un accouchement doit tenir compte du risque accru d’accidents thromboemboliques veineux pendant la période puerpérale (jusqu’à 12 semaines après l’accouchement ou l’avortement; cf. «Mises en garde et précautions»).
-Dans tous les cas, après un accouchement ou un avortement au 2ème trimestre de grossesse, la prise de Dretine 21 doit débuter au plus tôt entre le 21ème et le 28ème jour. Si le traitement débute plus tard, il est recommandé d’appliquer des méthodes contraceptives supplémentaires non hormonales durant les 7 premiers jours de la prise. Si des rapports sexuels ont eu lieu entre-temps, il convient d’exclure l’éventualité d’une grossesse ou d’attendre les premières règles avant de débuter le traitement.
-Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
-Dretine 21 est contre-indiqué chez les femmes atteintes d’insuffisance hépatique sévère (voir également «Contre-indications»).
-Patients présentant des troubles de la fonction rénale
-Dretine 21 est contre-indiqué chez les femmes atteintes d’insuffisance rénale sévère ou d’insuffisance rénale aiguë (voir aussi «Contre-indications»). La kaliémie doit être surveillée chez les femmes souffrant d’insuffisance légère à modérée.
-Patients âgés
-Dretine 21 n’est pas recommandé après la ménopause.
-Enfants et adolescents
-L’efficacité et la sécurité ont été examinées chez des femmes âgées de 18 ans et plus. Chez les adolescentes (si indication), la posologie recommandée est la même que chez les adultes.
-Prise retardée
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- +La décision quant à la (re)prise d’un CHC tel que Dretine 21 après un avortement au 2e trimestre de grossesse ou un accouchement doit tenir compte du risque accru d’accidents thromboemboliques veineux pendant la période puerpérale (jusqu’à 12 semaines après l’accouchement ou l’avortement; cf. «Mises en garde et précautions»).
- +Dans tous les cas, après un accouchement ou un avortement au 2e trimestre de grossesse, la prise de Dretine 21 doit débuter au plus tôt entre le 21e et le 28e jour. Si le traitement débute plus tard, il est recommandé d’appliquer des méthodes contraceptives supplémentaires non hormonales durant les 7 premiers jours de la prise. Si des rapports sexuels ont eu lieu entre-temps, il convient d’exclure l’éventualité d’une grossesse ou d’attendre les premières règles avant de débuter le traitement.
-Première semaine de prise
- +1re semaine de prise
-Deuxième semaine de prise
- +2e semaine de prise
-Troisième semaine de prise
- +3e semaine de prise
-1.La patiente doit prendre le comprimé oublié aussitôt qu’elle se rend compte de son oubli, même si elle doit de ce fait prendre 2 comprimés le même jour. Elle doit continuer à prendre quotidiennement les comprimés suivants à l’heure habituelle. Elle devra commencer la prise des comprimés de la plaquette suivante immédiatement après la fin de la dernière plaquette, c.-à-d. sans respecter l’intervalle sans comprimés. Il est improbable qu’une hémorragie de privation se produise avant la fin de la 2e plaquette, mais de légères pertes sanguinolentes ou des métrorragies pourront se produire plus fréquemment.
- +a.La patiente doit prendre le comprimé oublié aussitôt qu’elle se rend compte de son oubli, même si elle doit de ce fait prendre 2 comprimés le même jour. Elle doit continuer à prendre quotidiennement les comprimés suivants à l’heure habituelle. Elle devra commencer la prise des comprimés de la plaquette suivante immédiatement après la fin de la dernière plaquette, c.-à-d. sans respecter l’intervalle sans comprimés. Il est improbable qu’une hémorragie de privation se produise avant la fin de la 2e plaquette, mais de légères pertes sanguinolentes ou des métrorragies pourront se produire plus fréquemment.
-2.La patiente doit cesser de prendre les comprimés de la plaquette en cours. Après une pause de 7 jours au maximum (jour de l’oubli du comprimé compris), la patiente commence la plaquette suivante.
- +b.La patiente doit cesser de prendre les comprimés de la plaquette en cours. Après une pause de 7 jours au maximum (jour de l’oubli du comprimé compris), la patiente commence la plaquette suivante.
- +Conduite à tenir en cas de troubles gastro-intestinaux
- +En cas de troubles gastro-intestinaux sévères – quelle que soit leur cause (c.-à-d. aussi en cas de diarrhée d’origine médicamenteuse, etc.) – l’absorption peut être incomplète et des méthodes de contraception supplémentaires doivent être utilisées.
- +En cas de vomissements dans les 3 à 4 heures suivant la prise, se conformer aux règles de base mentionnées au paragraphe «Conduite à tenir en cas d’oubli de la prise». Afin que le schéma habituel de la prise puisse être conservé, la patiente doit prendre le comprimé supplémentaire dans une plaquette de réserve.
- +Décalage de la menstruation
- +Report de la menstruation (allongement du cycle)
- +La patiente doit prendre les comprimés de la plaquette suivante sans respecter la pause sans comprimés. Elle peut ainsi retarder ses règles aussi longtemps qu’elle le désire (mais au maximum jusqu’à la fin de cette deuxième plaquette). Pendant cette période, de légères pertes sanguinolentes ou des métrorragies peuvent se produire. La prise régulière de Dretine 21 est ensuite poursuivie après la pause habituelle de 7 jours.
- +Avance de la menstruation
- +La patiente peut avancer le début de ses règles à un autre jour de la semaine en abrégeant, selon son désir, la pause sans prise de comprimés. Plus cette pause est courte, moins l’hémorragie de privation est probable et plus les légères pertes sanguinolentes et les métrorragies sont fréquentes (similairement au report des règles à une date ultérieure).
- +Conduite à tenir en cas d’irrégularités menstruelles
- +Comme c’est le cas pour tous les CHC, des saignements irréguliers (légères pertes sanguinolentes ou métrorragies) peuvent se produire, surtout pendant les premiers mois d’utilisation. C’est pourquoi un bilan diagnostique visant à rechercher la cause de saignements irréguliers ne se justifie qu’après une période d’adaptation de 3 cycles environ. La prise de Dretine 21 doit être poursuivie.
- +Si ces irrégularités persistent ou si des saignements irréguliers apparaissent pour la première fois après plusieurs cycles de saignements réguliers, il faudra également envisager des causes non hormonales. Il est recommandé de recourir à des méthodes diagnostiques appropriées en vue d’exclure la possibilité d’une grossesse ou d’une affection maligne. Ces méthodes peuvent comprendre un curetage.
- +L’hémorragie de privation peut éventuellement être absente au cours de la pause sans prise de comprimés. Une grossesse est improbable si le CHC a été utilisé selon la posologie prescrite. Si toutefois le CHC n’a pas été utilisé conformément aux prescriptions avant l’absence de la première hémorragie de privation, ou en l’absence de deux hémorragies de privation, il convient d’exclure l’éventualité d’une grossesse avant de poursuivre l’utilisation du CHC.
- +Instructions posologiques particulières
- +Enfants et adolescents
- +L’efficacité et la sécurité de Dretine 21 ont été examinées chez des femmes âgées de 18 ans et plus. Chez les adolescentes (si indiquée), la posologie recommandée est la même que chez les adultes.
- +Patients âgés
- +Dretine 21 n’est pas recommandé après la ménopause.
- +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
- +Dretine 21 ne doit pas être utilisée chez les femmes avec une insuffisance hépatique sévère (voir également «Contre-indications»).
- +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
- +Dretine 21 est contre-indiqué chez les femmes atteintes d’insuffisance rénale sévère ou d’insuffisance rénale aiguë (voir aussi «Contre-indications»). La kaliémie doit être surveillée chez les femmes souffrant d’insuffisance légère à modérée.
- +
-·Utilisation concomitante avec l’association des principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir (médicament pour le traitement de l’hépatite C). On peut reprendre l’administration au plus tôt 2 semaines après l’arrêt de ces médicaments (voir «Mises en garde et précautions» et «Interactions»)
- +·Utilisation concomitante avec l’association des principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir (médicament pour le traitement de l’hépatite C). On peut reprendre la prise au plus tôt 2 semaines après l’arrêt de ces médicaments (voir «Mises en garde et précautions» et «Interactions»)
- +·états dépressifs sévères;
- +
-La décision d’utiliser le médicament doit être prise uniquement après un entretien approfondi avec la patiente, afin de s’assurer qu’elle comprend:
-·Le risque de TEV associé à Dretine 21.
- +La décision de prendre le médicament doit être prise uniquement après un entretien approfondi avec la patiente, afin de s’assurer qu’elle comprend:
- +·Le risque de TEV associé à la prise de Dretine 21.
-Immobilisation prolongée, intervention chirurgicale majeure, toute intervention chirurgicale sur les jambes ou la hanche, neurochirurgie ou traumatisme majeur Dans ces situations, il est conseillé de suspendre l’utilisation des comprimés filmés (au moins quatre semaines à l’avance en cas de chirurgie programmée) et de ne reprendre le CHC que deux semaines au moins après la complète remobilisation. Une autre méthode de contraception doit être utilisée afin d’éviter une grossesse non désirée. Un traitement anti-thrombotique devra être envisagé si Dretine 21 n’a pas été interrompu à l’avance.
-Antécédents familiaux (chaque thromboembolie veineuse survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans) En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant l’utilisation de Dretine 21. Si l’examen révèle une thrombophilie, l’utilisation de CHC comme Dretine 21 est contre-indiquée.
- +Immobilisation prolongée, intervention chirurgicale majeure, toute intervention chirurgicale sur les jambes ou la hanche, neurochirurgie ou traumatisme majeur Dans ces situations, il est conseillé de suspendre la prise des comprimés (au moins quatre semaines à l’avance en cas de chirurgie programmée) et de ne reprendre le CHC que deux semaines au moins après la complète remobilisation. Une autre méthode de contraception doit être utilisée afin d’éviter une grossesse non désirée. Un traitement anti-thrombotique devra être envisagé si Dretine 21 n’a pas été interrompu à l’avance.
- +Antécédents familiaux (chaque thromboembolie veineuse survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans) En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant la prise de Dretine 21. Si l’examen révèle une thrombophilie, la prise de CHC comme Dretine 21 est contre-indiquée.
-La patiente doit être informée qu’en cas d’apparition d’un ou de plusieurs de ces symptômes, elle doit consulter un médecin en urgence et indiquer au personnel médical qu’elle utilise Dretine 21.
- +La patiente doit être informée qu’en cas d’apparition d’un ou de plusieurs de ces symptômes, elle doit consulter un médecin en urgence et indiquer au personnel médical qu’elle prend Dretine 21.
-Antécédents familiaux (thromboembolie artérielle survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans) En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant l’utilisation de Dretine 21. Si l’examen révèle une thrombophilie, l’utilisation de CHC comme Dretine 21 est contre-indiquée.
-Migraine L’accroissement de la fréquence ou de la sévérité des migraines lors de l’utilisation de Dretine 21 (qui peut être le prodrome d’un événement cérébrovasculaire) peut constituer un motif d’arrêt immédiat de Dretine 21.
- +Antécédents familiaux (thromboembolie artérielle survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans) En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant la prise de Dretine 21. Si l’examen révèle une thrombophilie, la prise de CHC comme Dretine 21 est contre-indiquée.
- +Migraine L’accroissement de la fréquence ou de la sévérité des migraines lors de la prise de Dretine 21 peut être le prodrome d’un événement cérébrovasculaire et constituer un motif d’arrêt immédiat de Dretine 21.
-Les femmes doivent être informées qu’en cas d’apparition d’un ou de plusieurs de ces symptômes, elles doivent consulter un médecin en urgence et indiquer au personnel médical qu’elles utilisent Dretine 21.
- +Les femmes doivent être informées qu’en cas d’apparition d’un ou de plusieurs de ces symptômes, elles doivent consulter un médecin en urgence et indiquer au personnel médical qu’elles prennent Dretine 21.
- +Troubles dépressifs
- +Les dépressions ou humeurs dépressives sont des effets indésirables potentiels connus survenant lors de l'utilisation d'hormones sexuelles, y compris les contraceptifs hormonaux (voir également rubrique «Effets indésirables»). Ces troubles peuvent apparaître peu de temps après le début du traitement. Une dépression peut avoir une évolution grave et représente un facteur de risque de suicide ou de comportement suicidaire. Les utilisatrices de contraceptifs hormonaux doivent donc être informées des symptômes possibles des troubles dépressifs. Il est vivement conseillé d'aviser les utilisatrices de s'adresser immédiatement à un médecin si elles remarquent des variations d'humeur ou autres symptômes de dépression lors de l'utilisation du contraceptif. Les patientes présentant des antécédents de dépression sévère doivent être attentivement surveillées. Si des états dépressifs sévères réapparaissent lors de l'utilisation de Dretine 21, la prise du médicament doit être arrêtée.
-Chez les patientes atteintes d'hépatite C et utilisant un CHC à base d'éthinylestradiol, une augmentation significativement plus fréquente de l'ALT (y compris les cas d'une augmentation de plus du quintuple, dans des cas isolés de plus de 20 fois la limite supérieure de la normale), que chez les patientes uniquement traitées par des principes antiviraux a été observée sous l'utilisation de l'association des principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir (voir «Interactions»). Par conséquent, Dretine 21 doit être arrêté avant l'instauration d'un traitement par cette association de principes actifs. À condition que les paramètres hépatiques soient normaux, l'utilisation de Dretine 21 peut être reprise au plus tôt 2 semaines, mieux encore 4 semaines, après l'arrêt de l'association des principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir. Ce faisant, il faut tenir compte du fait que l'efficacité du CHC peut encore être entravée en cas d'intervalle de moins de 4 semaines en raison des propriétés inductrices des enzymes du ritonavir et, par conséquent, une méthode barrière supplémentaire doit être utilisée (voir rubrique «Interactions/Inducteurs enzymatiques»).
- +Chez les patientes atteintes d'hépatite C et utilisant un CHC à base d'éthinylestradiol, une augmentation significativement plus fréquente de l'ALT (y compris les cas d'une augmentation de plus du quintuple, dans des cas isolés de plus de 20 fois la limite supérieure de la normale), que chez les patientes uniquement traitées par des principes antiviraux a été observée sous l'utilisation de l'association des principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir (voir «Interactions»). Par conséquent, Dretine 21 doit être arrêté avant l'instauration d'un traitement par cette association de principes actifs. À condition que les paramètres hépatiques soient normaux, la prise de Dretine 21 peut être reprise au plus tôt 2 semaines, mieux encore 4 semaines, après l'arrêt de l'association des principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir. Ce faisant, il faut tenir compte du fait que l'efficacité du CHC peut encore être entravée en cas d'intervalle de moins de 4 semaines en raison des propriétés inductrices des enzymes du ritonavir et, par conséquent, une méthode barrière supplémentaire doit être utilisée (voir rubrique «Interactions/Inducteurs enzymatiques»).
-Les affections suivantes peuvent survenir ou être aggravées pendant la grossesse ou l’utilisation d’un CHC, même si les données actuellement disponibles ne permettent pas d’imputer une relation de causalité claire avec l’utilisation d’un CHC:
-ictère et/ou prurit cholestatique; cholélithiase; porphyrie; lupus érythémateux disséminé; syndrome hémolytique et urémique; chorée mineure; herpes gestationis; surdité due à une otosclérose. L’utilisation de CHC a en outre été associée à des cas de maladie de Crohn et de colite ulcéreuse.
- +Les affections suivantes peuvent survenir ou être aggravées pendant la grossesse ou l’utilisation d’un CHC, même si les données actuellement disponibles ne permettent pas d’imputer une relation de causalité claire avec l’utilisation d’un CHC: ictère et/ou prurit cholestatique; cholélithiase; porphyrie; lupus érythémateux disséminé; syndrome hémolytique et urémique; chorée mineure; herpes gestationis; surdité due à une otosclérose. L’utilisation de CHC a en outre été associée à des cas de maladie de Crohn et de colite ulcéreuse.
-Chaque comprimé de Dretine 21 contient 62 mg de lactose. Les patientes souffrant d’une intolérance au galactose, maladie héréditaire rare, d’un déficit en lactase de Lapp ou d’une malabsorption du glucose- et du galactose, et qui suivent un régime sans lactose doivent tenir compte de cette quantité.
- +Dretine 21 contient 62 mg de lactose par comprimé. Les patientes souffrant d’une intolérance au galactose, maladie héréditaire rare, d’un déficit en lactase de Lapp ou d’une malabsorption du glucose- et du galactose, et qui suivent un régime sans lactose doivent tenir compte de cette quantité.
-Interactions pharmacocinétique
-Interférence avec le métabolisme entéro-hépatique
-En cas de prise simultanée et sur une courte durée (jusqu’à 10 jours) d’antibiotiques qui n’interagissent pas avec le système enzymatique du CYP3A4, aucune interaction pharmacocinétique n’est à prévoir. Il est cependant nécessaire d’avertir la patiente que dans certains cas, la maladie (p. ex. maladie vénérienne) contre laquelle l’antibiotique est utilisé peut nécessiter en complément l’utilisation d’une méthode contraceptive mécanique.
-En cas de co-médication de longue durée avec des antibiotiques (p. ex. en cas d’ostéomyélite ou de borréliose), les données d’interaction actuellement disponibles sont insuffisantes. Pour exclure avec certitude toute grossesse, il est dans de tels cas recommandé d’utiliser en complément une méthode contraceptive mécanique pendant la durée de l’antibiothérapie et pendant les 7 jours qui suivent la fin de ce traitement.
-Interactions pharmacodynamiques
-La kaliémie sérique doit être surveillée lors de la prise simultanée de Dretine 21 et de médicaments qui augmentent les concentrations sériques de potassium (antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II, diurétiques d’épargne potassique, antagonistes de l’aldostérone). Cependant, au cours des études portant sur l’interaction entre la drospirénone (combinée à l’oestradiol) et un inhibiteur de l’IEC ou les AINS (p.ex. l’indométhacine), aucune différence cliniquement pertinente ou statistiquement significative n’a été mise en évidence au niveau des concentrations sériques de potassium.
- +Influence d'autres substances sur la pharmacocinétique des contraceptifs hormonaux
-Une induction enzymatique peut déjà être observée après quelques jours seulement. L’induction enzymatique maximale est généralement atteinte au bout de 2 à 3 semaines et peut persister pendant 4 semaines ou plus après l’arrêt de ces médicaments. Les femmes traitées sur une courte période par un de ces médicaments doivent provisoirement utiliser une méthode de contraception non hormonale en complément au CHC ou choisir une autre méthode contraceptive. Une méthode de contraception mécanique doit être poursuivie pendant toute la prise concomitante des médicaments et encore pendant 28 jours après l’arrêt du traitement. Lorsque la prise concomitante d’un inducteur enzymatique dure au-delà de la fin de l’emballage du CHC, il faut passer immédiatement à l’emballage suivant, donc sauter l’intervalle habituel sans prise. En cas de traitement de longue durée avec des médicaments qui entraînent une induction enzymatique hépatique, il convient d’utiliser des méthodes contraceptives non hormonales fiables.
-On sait en outre que différents inhibiteurs de la protéase du VIH/VHC et inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse peuvent entraîner une baisse ou une augmentation des concentrations plasmatiques en estrogènes et progestatifs. Ces modifications peuvent être cliniquement significatives dans certains cas. Les inhibiteurs des protéases en particulier, tels que le ritonavir ou le nelfinavir (y compris leurs associations) sont connus comme étant des inhibiteurs puissants du CYP3A4, mais en cas de co-administration avec des hormones stéroïdiennes, ils peuvent entraîner une induction enzymatique et provoquer une baisse des concentrations plasmatiques en estrogènes et progestatifs.
- +Une induction enzymatique peut déjà être observée après quelques jours seulement. L’induction enzymatique maximale est généralement atteinte au bout de 2 à 3 semaines et peut persister pendant 4 semaines ou plus après l’arrêt de ces médicaments. Les femmes traitées sur une courte période par un de ces médicaments doivent provisoirement utiliser une méthode de contraception non hormonale en complément au CHC ou choisir une autre méthode contraceptive. Une méthode de contraception mécanique doit être poursuivie pendant toute la prise concomitante des médicaments et encore pendant 28 jours après l’arrêt du traitement. Lorsque la prise concomitante d’un inducteur enzymatique dure au-delà de la fin de l’emballage du CHC, il faut passer immédiatement à l’emballage suivant, donc sauter l’intervalle habituel sans prise de comprimés.
- +En cas de traitement de longue durée avec des médicaments qui entraînent une induction enzymatique hépatique, il convient d’utiliser des méthodes contraceptives non hormonales fiables.
- +On sait en outre que différents inhibiteurs de la protéase du VIH/VHC et inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse peuvent entraîner une baisse ou une augmentation des concentrations plasmatiques en estrogènes et progestatifs. Ces modifications peuvent être cliniquement significatives dans certains cas.
- +Les inhibiteurs des protéases en particulier, tels que le ritonavir ou le nelfinavir (y compris leurs associations) sont connus comme étant des inhibiteurs puissants du CYP3A4, mais en cas de co-administration avec des hormones stéroïdiennes, ils peuvent entraîner une induction enzymatique et provoquer une baisse des concentrations plasmatiques en estrogènes et progestatifs.
-Autres interactions
-Interactions au mécanisme inconnu
-Dans des études cliniques, une augmentation de l'ALT significativement plus fréquente (y compris les cas d'une augmentation de plus du quintuple, dans des cas isolés de plus de 20 fois la limite supérieure de la normale [LSN]), que chez les patientes uniquement traitées par des principes antiviraux a été observée sous l'utilisation concomitante d'un CHC contenant de l'éthinylestradiol et de l'association des principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir utilisée dans le traitement des infections à VIH. Par conséquent, Dretine 21 doit être arrêté avant l'instauration d'un traitement par une telle association antivirale (voir également «Mises en garde et précautions»).
-Effet de Dretine 21 sur d’autres médicaments
- +Interférence avec le métabolisme entéro-hépatique
- +En cas de prise simultanée et sur une courte durée (jusqu’à 10 jours) d’antibiotiques qui n’interagissent pas avec le système enzymatique du CYP3A4, aucune interaction pharmacocinétique n’est à prévoir. Il est cependant nécessaire d’avertir la patiente que dans certains cas, la maladie (p. ex. maladie vénérienne) contre laquelle l’antibiotique est utilisé peut nécessiter en complément l’utilisation d’une méthode contraceptive mécanique.
- +En cas de co-médication de longue durée avec des antibiotiques (p. ex. en cas d’ostéomyélite ou de borréliose), les données d’interaction actuellement disponibles sont insuffisantes. Pour exclure avec certitude toute grossesse, il est dans de tels cas recommandé d’utiliser en complément une méthode contraceptive mécanique pendant la durée de l’antibiothérapie et pendant les 7 jours qui suivent la fin de ce traitement.
- +En cas d'apparition de diarrhées et/ou de vomissements sous traitement antibiotique, se référer aux indications dans le paragraphe «Comportement lors de troubles gastro-intestinaux» dans la rubrique «Posologie/Mode d'emploi».
-Lorsqu'un traitement par Dretine 21 est nouvellement instauré chez une patiente prenant de la lamotrigine, une adaptation de la dose de lamotrigine peut donc être nécessaire, et les concentrations de lamotrigine devraient être surveillées étroitement au début du traitement. En l’occurrence, il peut y avoir une hausse significative du taux de lamotrigine (selon les cas jusqu’à un niveau toxique) lors de l’arrêt de la prise du contraceptif hormonal (ainsi dans certains cas pendant la période de 7 jours sans utilisation).
-Grossesse, allaitement
- +Lors du commencement de la prise de Dretine 21 chez une patiente prenant de la lamotrigine, une adaptation de la dose de lamotrigine peut donc être nécessaire, et les concentrations de lamotrigine devraient être surveillées étroitement au début du traitement. En l’occurrence, il peut y avoir une hausse significative du taux de lamotrigine (selon les cas jusqu’à un niveau toxique) lors de l’arrêt de la prise du contraceptif hormonal (ainsi dans certains cas pendant la période de 7 jours sans utilisation).
- +Interactions pharmacodynamiques
- +La kaliémie sérique doit être surveillée lors de la prise simultanée de Dretine 21 et de médicaments qui augmentent les concentrations sériques de potassium (antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II, diurétiques d’épargne potassique, antagonistes de l’aldostérone). Cependant, au cours des études portant sur l’interaction entre la drospirénone (combinée à l’oestradiol) et un inhibiteur de l’IEC ou les AINS (p.ex. l’indométhacine), aucune différence cliniquement pertinente ou statistiquement significative n’a été mise en évidence au niveau des concentrations sériques de potassium.
- +Interactions au mécanisme inconnu
- +Dans des études cliniques, une augmentation de l'ALT significativement plus fréquente (y compris les cas d'une augmentation de plus du quintuple, dans des cas isolés de plus de 20 fois la limite supérieure de la normale [LSN]), que chez les patientes uniquement traitées par des principes antiviraux a été observée sous l'utilisation concomitante d'un CHC contenant de l'éthinylestradiol et de l'association des principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir utilisée dans le traitement des infections à VIH. Par conséquent, Dretine 21 doit être arrêté avant l'instauration d'un traitement par une telle association antivirale (voir également «Mises en garde et précautions»).
- +Grossesse, Allaitement
-La prise de Dretine 21 est contre-indiquée pendant la grossesse. Il faut donc exclure toute grossesse avant le début du traitement. Si une grossesse survient ou est suspectée lors de l’utilisation de Dretine 21, la prise du médicament doit être arrêtée immédiatement et le médecin consulté.
-Des études expérimentales animales suggèrent des risques pour le fœtus (voir aussi «Données précliniques»). La plupart des études épidémiologiques réalisées jusqu’ici n’ont toutefois montré aucun indice en faveur d’un effet embryotoxique ou tératogène lors de l’utilisation accidentelle de CHC pendant la grossesse.
- +La prise de Dretine 21 est contre-indiquée pendant la grossesse. Il faut donc exclure toute grossesse avant le début de la prise. Si une grossesse survient ou est suspectée lors de la prise de Dretine 21, la prise du médicament doit être arrêtée immédiatement et le médecin consulté.
- +Des études expérimentales animales suggèrent des risques pour le fœtus (voir aussi «Données précliniques»).
- +La plupart des études épidémiologiques réalisées jusqu’ici n’ont toutefois montré aucun indice en faveur d’un effet embryotoxique ou tératogène lors de l’utilisation accidentelle de CHC pendant la grossesse.
-Les effets indésirables les plus graves en rapport avec l’utilisation de CHC sont décrits sous la rubrique «Mises en garde et précautions». Les effets indésirables sérieux incluent en particulier des thromboembolies artérielles et veineuses.
- +Les effets indésirables les plus graves en rapport avec l’utilisation de CHC sont décrits sous la rubrique «Mise en garde et précautions». Les effets indésirables sérieux incluent en particulier des thromboembolies artérielles et veineuses.
-La sécurité des contraceptifs contenant 3 mg de drospirénone et 0,03 mg d’éthinylestradiol a été évaluée dans des études cliniques totalisant n = 4897 femmes. Les effets indésirables observés dans le cadre des études cliniques et de la surveillance postcommercialisation sont résumés ci-dessous par systèmes d’organes et par fréquence.
-Les fréquences sont définies comme suit: fréquent (≥1/100 à <1/10); occasionnel (≥1/1000 à <1/100); rare (≥1/10’000 à <1/1000); fréquence inconnue (la fréquence exacte ne peut être estimée essentiellement sur la base des rapports spontanés issus de la surveillance postcommercialisation).
- +La sécurité de Dretine 21 a été évaluée dans des études cliniques totalisant n = 4897 femmes. Les effets indésirables observés dans le cadre des études cliniques et de la surveillance postcommercialisation sont résumés ci-dessous par systèmes d’organes et par fréquence.
- +Les fréquences sont définies comme suit: fréquents (≥1/100 à <1/10); occasionnels (≥1/1000 à <1/100); rares (≥1/10’000 à <1/1000); fréquence inconnue (la fréquence exacte ne peut être estimée essentiellement sur la base des rapports spontanés issus de la surveillance postcommercialisation).
-Fréquent: candidose vaginale.
- +Fréquents: candidose vaginale.
-Rare: réactions d’hypersensibilité (y compris œdème de Quincke).
- +Rares: réactions d’hypersensibilité (y compris œdème de Quincke).
-Fréquent: variation du poids corporel.
- +Fréquents: variation du poids corporel.
-Fréquent: instabilité émotionnelle, dépression/états dépressifs, modification (essentiellement diminution) de la libido.
- +Fréquents: instabilité émotionnelle, dépression/états dépressifs, modification (essentiellement diminution) de la libido.
-Fréquent: migraine, céphalées.
- +Fréquents: migraine, céphalées.
-Rare: thromboembolie veineuse (p.ex. thrombose veineuse profonde, embolie pulmonaire), thromboembolie artérielle (p.ex. accident ischémique transitoire, accident vasculaire cérébral, infarctus du myocarde).
- +Rares: thromboembolie veineuse (p.ex. thrombose veineuse profonde, embolie pulmonaire), thromboembolie artérielle (p.ex. accident ischémique transitoire, accident vasculaire cérébral, infarctus du myocarde).
-Fréquent: nausées.
-Occasionnel: vomissements, diarrhées.
- +Fréquents: nausées.
- +Occasionnels: vomissements, diarrhées.
-Occasionnel: prurit, acné, chloasma.
- +Occasionnels: prurit, acné, chloasma.
-Fréquent: tensions ou douleurs dans les seins, irrégularité des règles.
-Occasionnel: augmentation de volume des seins, aménorrhée.
-Rare: galactorrhée
- +Fréquents: tensions ou douleurs dans les seins, irrégularité des règles.
- +Occasionnels: augmentation de volume du sein, aménorrhée.
- +Rares: galactorrhée
-Signes et symptômes
-Les symptômes d’un surdosage sont: nausées, vomissements et saignements vaginaux. Ces derniers peuvent également survenir chez les jeunes filles avant la ménarche suite à la prise accidentelle de la préparation.
-Traitement
- +Les symptômes d’un surdosage sont: nausées, vomissements et saignements vaginaux. Ces derniers peuvent également survenir chez les jeunes filles avant la ménarche suite à la prise accidentelle du médicament.
-Code ATC : G03AA12
- +Code ATC
- +G03AA12
-Pas d’information.
- +Voir rubrique «Mécanisme d'action».
-Dans les études cliniques menées chez 3912 femmes ayant pris une préparation combinée contenant de l’éthinylestradiol à 0.03 mg et de la drospirénone à 3 mg pendant 26 cycles au maximum, l’indice de Pearl (erreurs de méthode et de prise) a été de 0,54. Dans la plupart des cas, les grossesses étaient la conséquence d’erreurs de prise du contraceptif ou de troubles de l’absorption liés à des vomissements ou des diarrhées.
- +Dans les études cliniques menées chez 3912 femmes ayant pris Dretine 21 pendant 26 cycles au maximum, l’indice de Pearl (erreurs de méthode et de prise) a été de 0,54.
- +Dans la plupart des cas, les grossesses étaient la conséquence d’erreurs de prise du contraceptif ou de troubles de l’absorption liés à des vomissements ou des diarrhées.
-Ethinylestradiol
-Apr��s administration orale, l’éthinylestradiol est absorbé rapidement et complètement. Des taux sériques maximaux de 54–100 pg/ml environ sont atteints 1–2 heures après administration d’une dose unique. La biodisponibilité absolue est de 45% en moyenne (avec des variations de 20–65%) en raison d’une métabolisation présystémique (effet de premier passage).
-Drospirénone
-Ethinylestradiol
-L’éthinylestradiol est lié très fortement, mais de manière non spécifique, à l’albumine sérique (env. 98,5%) et induit une augmentation de la concentration sérique de la SHBG. Le volume de distribution est d’environ 2,8–8,6 l/kg.
- +��tat d'équilibre (steady state)
- +La pharmacocinétique de la drospirénone n’est pas influencée par les concentrations de SHBG. Pendant la prise quotidienne, les concentrations sériques de la drospirénone sont multipliées par 2 à 3 et l’état d’équilibre est atteint dans la deuxième moitié du cycle de traitement.
-Drospirénone
-Ethinylestradiol
-L’éthinylestradiol subit un métabolisme présystémique aussi bien dans la muqueuse de l’intestin grêle que dans le foie. Dans la muqueuse intestinale grêle, l’éthinylestradiol est conjugué et dans le foie, il est dégradé par un métabolisme de phase I (métabolites principaux: 2-hydroxy-éthinylestradiol et 2-méthoxy-éthinylestradiol) et une conjugaison. La CYP3A4 participe au métabolisme. L’éthinylestradiol et ses métabolites oxydatifs sont essentiellement métabolisés en dérivés glucuronoconjugués et sulfoconjugués.
-Drospirénone
-Ethinylestradiol
-Les taux sériques d’éthinylestradiol diminuent de manière biphasique, avec une demi-vie terminale de 10–20 heures. La clairance totale est d’env. 2,3–7 ml/min/kg. L’éthinylestradiol est entièrement métabolisé et ses métabolites, qui sont éliminés par les urines et la bile dans un rapport de 4:6, ont une demi-vie d’env. 24 heures. Les dérivés conjugués subissent une circulation entéro-hépatique.
-Linéarité/non-linéarité
-Drospirénone
-La pharmacocinétique de la drospirénone n’est pas influencée par les concentrations de SHBG. Pendant la prise quotidienne, les concentrations sériques de la drospirénone sont multipliées par 2 à 3 et l’état d’équilibre est atteint dans la deuxième moitié du cycle de traitement.
-Ethinylestradiol
-L’état d’équilibre est atteint dans la deuxième moitié du cycle de traitement, les concentrations sériques d’éthinylestradiol augmentant d’un facteur de 1,4–2,1.
-Troubles de la fonction hépatique
-Drospirénone
-Chez les patientes présentant une insuffisance hépatique modérée, l’AUC de la drospirénone est multipliée par deux, la demi-vie terminale est augmentée d’un facteur 1,8 et la clairance réduite de 50%.
-Ethinylestradiol
-On ne dispose pas de données sur la pharmacocinétique de l’éthinylestradiol chez des femmes atteintes d’insuffisance hépatique.
-Drospirénone
-Ethinylestradiol
-On ne dispose pas de données sur la pharmacocinétique de l’éthinylestradiol chez des femmes atteintes d’insuffisance rénale.
-Polymorphismes génétiques
-Drospirénone
- +Trouble de la fonction hépatique
- +Chez les patientes présentant une insuffisance hépatique modérée, l’AUC de la drospirénone est multipliée par deux, la demi-vie terminale est augmentée d’un facteur 1,8 et la clairance réduite de 50%.
- +Groupes ethniques
- +Absorption
- +Après administration orale, l’éthinylestradiol est absorbé rapidement et complètement. Des taux sériques maximaux de 54–100 pg/ml environ sont atteints 1–2 heures après administration d’une dose unique. La biodisponibilité absolue est de 45% en moyenne (avec des variations de 20–65%) en raison d’une métabolisation présystémique (effet de premier passage).
- +Distribution
- +L’éthinylestradiol est lié très fortement, mais de manière non spécifique, à l’albumine sérique (env. 98,5%) et induit une augmentation de la concentration sérique de la SHBG. Le volume de distribution est d’environ 2,8–8,6 l/kg.
- +État d'équilibre (steady state)
- +L’état d’équilibre est atteint dans la deuxième moitié du cycle de traitement, les concentrations sériques d’éthinylestradiol augmentant d’un facteur de 1,4–2,1.
- +Métabolisme
- +L’éthinylestradiol subit un métabolisme présystémique aussi bien dans la muqueuse de l’intestin grêle que dans le foie. Dans la muqueuse intestinale grêle, l’éthinylestradiol est conjugué et dans le foie, il est dégradé par un métabolisme de phase I (métabolites principaux: 2-hydroxy-éthinylestradiol et 2-méthoxy-éthinylestradiol) et une conjugaison. La CYP3A4 participe au métabolisme. L’éthinylestradiol et ses métabolites oxydatifs sont essentiellement métabolisés en dérivés glucuronoconjugués et sulfoconjugués.
- +Élimination
- +Les taux sériques d’éthinylestradiol diminuent de manière biphasique, avec une demi-vie terminale de 10–20 heures. La clairance totale est d’env. 2,3–7 ml/min/kg. L’éthinylestradiol est entièrement métabolisé et ses métabolites, qui sont éliminés par les urines et la bile dans un rapport de 4:6, ont une demi-vie d’env. 24 heures. Les dérivés conjugués subissent une circulation entéro-hépatique.
- +Cinétique pour certains groupes de patientes
- +On ne dispose pas de données sur la pharmacocinétique de l’éthinylestradiol chez des femmes atteintes d’insuffisance rénale ou hépatique.
-Mutagénicité
-Des études précliniques sur la toxicité après une administration répétée de contraceptifs oraux combinés, sur la génotoxicité et sur le potentiel carcinogène n’ont montré aucun indice suggérant clairement un risque particulier pour l’être humain, bien que des études épidémiologiques aient démontré un risque accru de carcinome hépatique, observé surtout chez des patientes VHB- et VHC-négatives et non atteintes de cirrhose, qui utilisaient les contraceptifs combinés de longue date (>6 ans). Chez l’animal, l’éthinylestradiol a montré, déjà à des doses relativement faibles, un effet létal pour les embryons qui est considéré comme spécifique à l’espèce; des malformations du tractus urogénital et une féminisation des foetus mâles ont été observées. Les substances de type progestatif ont montré chez l’animal un effet létal pour les embryons et, à haute dose, un effet virilisant sur les foetus femelles. L’extrapolation de ces résultats expérimentaux à l’être humain est controversée.
-Toxicité sur la reproduction
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- +Des études précliniques sur la toxicité après une administration répétée de contraceptifs oraux combinés, sur la génotoxicité et sur le potentiel carcinogène n’ont montré aucun indice suggérant clairement un risque particulier pour l’être humain, bien que des études épidémiologiques aient démontré un risque accru de carcinome hépatique, observé surtout chez des patientes VHB- et VHC-négatives et non atteintes de cirrhose, qui utilisaient les contraceptifs combinés de longue date (>6 ans).
- +Chez l’animal, l’éthinylestradiol a montré, déjà à des doses relativement faibles, un effet létal pour les embryons qui est considéré comme spécifique à l’espèce; des malformations du tractus urogénital et une féminisation des foetus mâles ont été observées. Les substances de type progestatif ont montré chez l’animal un effet létal pour les embryons et, à haute dose, un effet virilisant sur les foetus femelles. L’extrapolation de ces résultats expérimentaux à l’être humain est controversée.
-Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l’emballage.
-Conserver dans l’emballage d’origine.
-Dretine 21 : EO 21 (B).
-Dretine 21 : EO 3 × 21 (B).
-Dretine 21 : EO 6 × 21 (B).
- +Dretine 21 : boîte de 21 (B).
- +Dretine 21 : boîte de 3 × 21 (B).
- +Dretine 21 : boîte de 6 × 21 (B).
-Août 2017.
- +Août 2019
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