138 Changements de l'information professionelle Dretine 21 |
-Lactosum, Excipiens pro compresso obducto
- +Lactosum monohydricum 62 mg, maydis amylum, maydis amylum pregelificatum, crospovidonum, povidonum K 30, polysorbatum 80, magnesii stearas.
- +Pelliculage: poly(alcohol vinylicus), titanii dioxidum (E171), macrogolum 3350, talcum (E553b), ferri oxidum flavum (E172) pro compresso obducto.
-La décision de prescrire Dretine 21 doit être prise en tenant compte des facteurs de risque de la patiente, notamment ses facteurs de risque de thromboembolie veineuse (TEV), ainsi que du risque de TEV associé à Dretine 21 en comparaison aux autres CHC (Contraceptifs Hormonaux Combinés) (voir rubriques «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
- +La décision de prescrire Dretine 21 doit être prise en tenant compte des facteurs de risque de la patiente, notamment ses facteurs de risque de thromboembolie veineuse (TEV), ainsi que du risque de TEV associé à la prise de Dretine 21 en comparaison aux autres CHC (Contraceptifs Hormonaux Combinés) (voir rubriques «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
-Les comprimés doivent être pris dans l’ordre indiqué sur l’emballage, si possible au même moment de la journée et de préférence avec un liquide. Pendant 21 jours consécutifs, prendre un comprimé par jour. Puis, observer une pause de 7 jours sans prise de comprimé avant d’entamer la plaquette suivante. Pendant cette pause, il se produit généralement une hémorragie de privation, qui débute normalement 2–3 jours après la dernière prise et qui peut se poursuivre jusqu’à ce que la plaquette suivante soit entamée (voir également à ce propos «Conduite à tenir en cas d’irrégularité des saignements»).
- +Les comprimés pelliculés doivent être pris dans l’ordre indiqué sur l’emballage, si possible au même moment de la journée et de préférence avec un liquide. Pendant 21 jours consécutifs, prendre un comprimé pelliculé par jour. Puis, observer une pause de 7 jours sans prise de comprimés pelliculés avant d’entamer la plaquette suivante. Pendant cette pause, il se produit généralement une hémorragie de privation, qui débute normalement 2–3 jours après la dernière prise et qui peut se poursuivre alors que la plaquette suivante est déjà entamée (voir également à ce propos «Conduite à tenir en cas d’irrégularité des saignements»).
-Commencer la prise des comprimés le 1er jour du cycle (= 1er jour des règles). Il est aussi possible de commencer du 2e au 5e jour, mais il est alors recommandé d'utiliser d'autres méthodes contraceptives non hormonales en complément (p.ex. des préservatifs, mais pas la méthode d'abstinence périodique d'Ogino-Knaus ou la méthode des températures) pendant les 7 premiers jours de la prise de dragées lors du 1er cycle.
- +Commencer la prise des comprimés pelliculés le 1er jour du cycle (= 1er jour des règles). Il est aussi possible de commencer entre le 2e et le 5e jour du cycle, mais il est alors recommandé d’utiliser d’autres méthodes contraceptives non hormonales en complément (p. ex. des préservatifs, mais pas la méthode d’abstinence périodique d’Ogino-Knaus ou la méthode des températures) pendant les 7 premiers jours de prise lors du 1er cycle.
-Il est préférable de commencer Dretine 21 le jour suivant la prise du dernier comprimé actif du CHC (contraceptif hormonale combiné) précédent, mais au plus tard le jour suivant l’intervalle habituel sans prise de comprimé ou la phase sous placebo.
- +Il est préférable de commencer à prendre Dretine 21 le jour suivant la prise du dernier comprimé actif du CHC (contraceptif hormonal combiné) précédent, mais au plus tard le jour suivant l’intervalle habituel sans prise de comprimé ou la phase sous placebo.
-La substitution de la minipilule par Dretine 21 peut avoir lieu n’importe quel jour. La substitution d’un implant ou d’un DIU diffuseur de progestatif a lieu au plus tôt le jour du retrait de ce dernier. La substitution d’une préparation injectable par Dretine 21 a lieu au moment où l’injection suivante aurait due être effectuée. Dans tous ces cas, il faudra utiliser en plus, durant les 7 premiers jours de la prise, une méthode de contraception non hormonale.
-Après un avortement dans le 1er trimestre de la grossesse
- +La substitution de la minipilule par Dretine 21 peut avoir lieu n’importe quel jour. La substitution d’un implant ou d’un DIU diffuseur de progestatif a lieu au plus tôt le jour du retrait de ce dernier. La substitution d’une préparation injectable par Dretine 21 a lieu au moment où l’injection suivante aurait dû être effectuée. Dans tous ces cas, il faudra utiliser en plus, durant les 7 premiers jours de la prise, une méthode de contraception non hormonale.
- +Après un avortement durant le 1er trimestre de la grossesse
-La décision quant à la (re)prise d’un CHC tel que Dretine 21 après un avortement au 2e trimestre de grossesse ou un accouchement doit tenir compte du risque accru d’accidents thromboemboliques veineux pendant la période puerpérale (jusqu’à 12 semaines après l’accouchement ou l’avortement; cf. «Mises en garde et précautions»).
-Dans tous les cas, après un accouchement ou un avortement au 2e trimestre de grossesse, la prise de Dretine 21 doit débuter au plus tôt entre le 21e et le 28e jour. Si le traitement débute plus tard, il est recommandé d’appliquer des méthodes contraceptives supplémentaires non hormonales durant les 7 premiers jours de la prise. Si des rapports sexuels ont eu lieu entre-temps, il convient d’exclure l’éventualité d’une grossesse ou d’attendre les premières règles avant de débuter le traitement.
- +La décision quant à la (re)prise d’un CHC tel que Dretine 21 après un avortement au 2e trimestre de la grossesse ou un accouchement doit tenir compte du risque accru d’accidents thromboemboliques veineux pendant la période puerpérale (jusqu’à 12 semaines après l’accouchement ou l’avortement; cf. «Mises en garde et précautions»).
- +Dans tous les cas, après un accouchement ou un avortement au 2e trimestre de la grossesse, la prise de Dretine 21 doit débuter au plus tôt entre le 21e et le 28e jour. Si le traitement débute plus tard, il est recommandé d’appliquer des méthodes contraceptives supplémentaires non hormonales durant les 7 premiers jours de la prise. Si des rapports sexuels ont eu lieu entre-temps, il convient d’exclure l’éventualité d’une grossesse ou d’attendre les premières règles avant de débuter le traitement.
-Si la patiente a oublié de prendre son comprimé quotidien à l’heure habituelle et qu’elle s’en rend compte dans les 12 heures qui suivent, elle doit alors prendre le comprimé immédiatement. Les comprimés suivants seront à nouveau pris à l’heure habituelle. Dans ce cas, l’efficacité du contraceptif n’est pas altérée.
- +Si la patiente a oublié de prendre son comprimé pelliculé quotidien à l’heure habituelle et qu’elle s’en rend compte dans les 12 heures qui suivent, elle doit alors prendre le comprimé pelliculé immédiatement. Les comprimés pelliculés suivants seront à nouveau pris à l’heure habituelle. Dans ce cas, l’efficacité du contraceptif n’est pas altérée.
-1.La pause de 7 jours sans prise de comprimés ne doit pas être prolongée.
-2.Une prise régulière sur au moins 7 jours est nécessaire pour réprimer efficacement l’axe hypothalamohypophyso-ovarien.
- +1.La pause de 7 jours sans prise de comprimés pelliculés ne doit pas être prolongée.
- +2.Une prise régulière sur au moins 7 jours est nécessaire pour réprimer efficacement l’axe hypothalamo-hypophyso-ovarien.
-La patiente doit prendre le comprimé oublié aussitôt qu’elle se rend compte de l’oubli, même si elle doit de ce fait prendre 2 comprimés le même jour. Elle devra continuer à prendre quotidiennement les comprimés suivants à l’heure habituelle. Pendant les 7 jours suivants, il lui faudra recourir en plus à une méthode de contraception non hormonale. Si des rapports sexuels ont eu lieu lors les 7 jours précédents, il faut alors envisager l’éventualité d’une grossesse. Plus le nombre de comprimé oubliés est important et plus ces oublis sont proches de l’intervalle sans prise de comprimés, plus le risque d’une grossesse est élevé.
- +La patiente doit prendre le comprimé pelliculé oublié aussitôt qu’elle se rend compte de son oubli, même si elle doit de ce fait prendre 2 comprimés pelliculés le même jour. Elle devra continuer à prendre quotidiennement les comprimés pelliculés suivants à l’heure habituelle. Pendant les 7 jours suivants, il lui faudra recourir en plus à une méthode de contraception non hormonale. Si des rapports sexuels ont eu lieu lors les 7 jours précédents, il faut prendre en considération l’éventualité d’une grossesse. Plus le nombre de comprimés pelliculés oubliés est important et plus ces oublis sont proches de l’intervalle sans prise de comprimés pelliculés, plus le risque d’une grossesse est élevé.
-La patiente doit prendre le comprimé oublié aussitôt qu’elle se rend compte de l’oubli, même si elle doit de ce fait prendre 2 comprimés le même jour. Elle devra continuer à prendre quotidiennement les comprimés suivants à l’heure habituelle. Aucune mesure contraceptive supplémentaire n’est nécessaire à condition que la prise des comprimés ait été régulière pendant les 7 jours précédents. Dans le cas contraire ou si plus d’un comprimé a été oublié, il lui faudra utiliser en plus une méthode de contraception non hormonale durant les 7 jours suivants.
- +La patiente doit prendre le comprimé pelliculé oublié aussitôt qu’elle se rend compte de son oubli, même si elle doit de ce fait prendre 2 comprimés pelliculés le même jour. Elle devra continuer à prendre quotidiennement les comprimés pelliculés suivants à l’heure habituelle. Aucune mesure contraceptive supplémentaire n’est nécessaire, à condition que la prise des comprimés pelliculés ait été régulière pendant les 7 jours précédents. Dans le cas contraire ou si plus d’un comprimé pelliculé a été oublié, il lui faudra utiliser en plus une méthode de contraception non hormonale durant les 7 jours suivants.
-Le risque de grossesse est plus élevé en raison de l’intervalle précédent sans prise de comprimés. Si l’une des deux possibilités de prise suivantes est utilisée, une méthode de contraception supplémentaire n’est pas utile à condition que la prise ait été régulière au cours des 7 jours précédents. Dans le cas contraire, la patiente doit suivre la première des deux possibilités et utiliser une méthode contraceptive supplémentaire non hormonale pendant les 7 jours suivants.
-a.La patiente doit prendre le comprimé oublié aussitôt qu’elle se rend compte de son oubli, même si elle doit de ce fait prendre 2 comprimés le même jour. Elle doit continuer à prendre quotidiennement les comprimés suivants à l’heure habituelle. Elle devra commencer la prise des comprimés de la plaquette suivante immédiatement après la fin de la dernière plaquette, c.-à-d. sans respecter l’intervalle sans comprimés. Il est improbable qu’une hémorragie de privation se produise avant la fin de la 2e plaquette, mais de légères pertes sanguinolentes ou des métrorragies pourront se produire plus fréquemment.
- +Le risque de grossesse est accru en raison de la proximité de l’intervalle sans prise de comprimés pelliculés. Si l’une des deux possibilités de prise suivantes est utilisée, aucune méthode de contraception supplémentaire n’est nécessaire, à condition que la prise ait été régulière au cours des 7 jours précédents. Dans le cas contraire, la patiente doit suivre la première des deux possibilités et utiliser une méthode contraceptive supplémentaire non hormonale pendant les 7 jours suivants.
- +a.La patiente doit prendre le comprimé pelliculé oublié aussitôt qu’elle se rend compte de son oubli, même si elle doit de ce fait prendre 2 comprimés pelliculés le même jour. Elle doit continuer à prendre quotidiennement les comprimés pelliculés suivants à l’heure habituelle. Elle devra commencer la prise des comprimés pelliculés de la plaquette suivante immédiatement après la fin de la dernière plaquette, c.-à-d. sans respecter l’intervalle sans prise de comprimés pelliculés. Il est improbable qu’une hémorragie de privation se produise avant la fin de la 2e plaquette, mais de légères pertes sanguinolentes ou des métrorragies pourront se produire plus fréquemment.
-b.La patiente doit cesser de prendre les comprimés de la plaquette en cours. Après une pause de 7 jours au maximum (jour de l’oubli du comprimé compris), la patiente commence la plaquette suivante.
-Si l’hémorragie de privation ne se produit pas lors de la prochaine pause sans comprimés, il faut envisager l’éventualité d’une grossesse.
- +b.La patiente doit cesser de prendre les comprimés pelliculés de la plaquette en cours. Après un intervalle sans prise de 7 jours au maximum (jours d’oubli du comprimé pelliculé compris), la patiente commence la plaquette suivante.
- +Si l’hémorragie de privation ne se produit pas lors de l’intervalle suivant sans prise de comprimés pelliculés, il faut envisager l’éventualité d’une grossesse.
-En cas de vomissements dans les 3 à 4 heures suivant la prise, se conformer aux règles de base mentionnées au paragraphe «Conduite à tenir en cas d’oubli de la prise». Afin que le schéma habituel de la prise puisse être conservé, la patiente doit prendre le comprimé supplémentaire dans une plaquette de réserve.
- +En cas de vomissements dans les 3 à 4 heures suivant la prise, se conformer aux règles de base mentionnées au paragraphe «Conduite à tenir en cas d’oubli de la prise». Afin que le schéma habituel de la prise puisse être conservé, la patiente doit prendre le comprimé pelliculé supplémentaire dans une plaquette de réserve.
-La patiente doit prendre les comprimés de la plaquette suivante sans respecter la pause sans comprimés. Elle peut ainsi retarder ses règles aussi longtemps qu’elle le désire (mais au maximum jusqu’à la fin de cette deuxième plaquette). Pendant cette période, de légères pertes sanguinolentes ou des métrorragies peuvent se produire. La prise régulière de Dretine 21 est ensuite poursuivie après la pause habituelle de 7 jours.
- +La patiente doit prendre les comprimés pelliculés de la plaquette suivante sans respecter l’intervalle sans prise de comprimés pelliculés. Elle peut ainsi retarder ses règles aussi longtemps qu’elle le désire (mais au maximum jusqu’à la fin de cette deuxième plaquette). Pendant cette période, de légères pertes sanguinolentes ou des métrorragies peuvent se produire. La prise régulière de Dretine 21 est ensuite poursuivie à l’issue de la pause habituelle de 7 jours.
-La patiente peut avancer le début de ses règles à un autre jour de la semaine en abrégeant, selon son désir, la pause sans prise de comprimés. Plus cette pause est courte, moins l’hémorragie de privation est probable et plus les légères pertes sanguinolentes et les métrorragies sont fréquentes (similairement au report des règles à une date ultérieure).
- +La patiente peut avancer le début de ses règles à un autre jour de la semaine en abrégeant, selon son désir, l’intervalle sans prise de comprimés pelliculés. Plus cet intervalle est court, moins une hémorragie de privation est probable et plus les légères pertes sanguinolentes et les métrorragies survenant pendant la prise de la plaquette suivante sont fréquentes (comme lors d’un report des règles).
-Si ces irrégularités persistent ou si des saignements irréguliers apparaissent pour la première fois après plusieurs cycles de saignements réguliers, il faudra également envisager des causes non hormonales. Il est recommandé de recourir à des méthodes diagnostiques appropriées en vue d’exclure la possibilité d’une grossesse ou d’une affection maligne. Ces méthodes peuvent comprendre un curetage.
-L’hémorragie de privation peut éventuellement être absente au cours de la pause sans prise de comprimés. Une grossesse est improbable si le CHC a été utilisé selon la posologie prescrite. Si toutefois le CHC n’a pas été utilisé conformément aux prescriptions avant l’absence de la première hémorragie de privation, ou en l’absence de deux hémorragies de privation, il convient d’exclure l’éventualité d’une grossesse avant de poursuivre l’utilisation du CHC.
- +Si ces irrégularités persistent ou si des saignements irréguliers apparaissent pour la première fois après plusieurs cycles de saignements réguliers, il faudra également envisager des causes non hormonales. Il est recommandé de recourir à des méthodes diagnostiques appropriées en vue d’exclure la possibilité d’une grossesse ou d’une affection maligne. Ces méthodes peuvent inclure un curetage.
- +L’hémorragie de privation peut faire défaut au cours de l’intervalle sans prise de comprimés pelliculés. Une grossesse est improbable si le CHC a été utilisé selon la posologie prescrite. Si toutefois le CHC n’a pas été utilisé conformément aux prescriptions avant l’absence de la première hémorragie de privation, ou en l’absence de deux hémorragies de privation, il convient d’exclure l’éventualité d’une grossesse avant de poursuivre l’utilisation du CHC.
-Patients âgés
- +Patientes âgées
-Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
-Dretine 21 ne doit pas être utilisée chez les femmes avec une insuffisance hépatique sévère (voir également «Contre-indications»).
-Patients présentant des troubles de la fonction rénale
- +Patientes présentant des troubles de la fonction hépatique
- +Dretine 21 ne doit pas être utilisé chez les femmes avec une insuffisance hépatique sévère (voir également «Contre-indications»).
- +Patientes présentant des troubles de la fonction rénale
-oFacteurs de risque majeurs de thromboembolie veineuse tels
-§qu’une prédisposition connue, héréditaire ou acquise, telle qu’une résistance à la protéine C activée (PCa) (y compris une mutation du facteur V de Leiden), un déficit en antithrombine III, un déficit en protéine C, un déficit en protéine S
- +oFacteurs de risque majeurs de thromboembolie veineuse tels qu’une prédisposition connue, héréditaire ou acquise, telle qu’une résistance à la protéine C activée (PCa) (y compris une mutation du facteur V de Leiden), un déficit en antithrombine III, un déficit en protéine C, un déficit en protéine S
-·Utilisation concomitante avec l’association des principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir, glécaprévir/pibrentasvir et sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir (médicament pour le traitement de l’hépatite C) (voir «Mises en garde et précautions» et «Interactions»)
- +·Utilisation concomitante avec l’association des principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir, glécaprévir/pibrentasvir et sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir (médicaments pour le traitement de l’hépatite C) (voir «Mises en garde et précautions» et «Interactions»)
-·Existence ou suspicion d'une pathologie maligne dépendante des hormones sexuelles au niveau de l'appareil génital et du sein
- +·Existence ou suspicion d’une pathologie maligne dépendante des hormones sexuelles au niveau de l’appareil génital et du sein
-Les examens doivent être répétés à intervalle régulier pendant la durée d’utilisation des CHC. Le type et la fréquence d’examen doivent toutefois être déterminés individuellement et se référer aux directives de la Société suisse de gynécologie et d’obstétrique (SSGO). Les contre-indications (p. ex. accident ischémique transitoire) et les facteurs de risque (p.ex. anamnèse familiale de thrombose veineuse ou artérielle ; voir «Facteurs de risque de TEV» et «Facteurs de risque de TEA») peuvent apparaître pour la première fois en cours d’utilisation d’un CHC et doivent dès lors être recherchés lors de chaque contrôle.
- +Les examens doivent être répétés à intervalle régulier pendant la durée d’utilisation des CHC. Le type et la fréquence d’examen doivent toutefois être déterminés individuellement et se référer aux directives de la Société suisse de gynécologie et d’obstétrique (SSGO). Les contre-indications (p. ex. accident ischémique transitoire) et les facteurs de risque (p. ex. anamnèse familiale de thrombose veineuse ou artérielle; voir «Facteurs de risque de TEV» et «Facteurs de risque de TEA») peuvent apparaître pour la première fois en cours d’utilisation d’un CHC et doivent dès lors être recherchés lors de chaque contrôle.
-·Première apparition ou exacerbation de maux de tête de type migraineux ou survenue plus fréquente de maux de tête d’une intensité inhabituelle;
- +·première apparition ou exacerbation de maux de tête de type migraineux ou survenue plus fréquente de maux de tête d’une intensité inhabituelle;
-·4 semaines au moins avant une intervention chirurgicale programmée et pendant une immobilisation (p.ex. à la suite d’un accident ou d’une opération);
- +·4 semaines au moins avant une intervention chirurgicale programmée et pendant une immobilisation (p. ex. à la suite d’un accident ou d’une opération);
-La décision de prendre le médicament doit être prise uniquement après un entretien approfondi avec la patiente, afin de s’assurer qu’elle comprend:
- +La décision d’utiliser le médicament doit être prise uniquement après un entretien approfondi avec la patiente, afin de s’assurer qu’elle comprend:
-·Comment ses facteurs de risque personnels préexistants influent sur ce risque?
- +·Comment ses facteurs de risque personnels préexistants influent sur ce risque.
-Environ 2 femmes sur 10'000 n’utilisant pas de CHC et qui ne sont pas enceintes développeront une TEV au cours d’une année. Le risque peut toutefois être considérablement plus élevé, selon les facteurs de risque individuels (voir ci-dessous).
-A partir des données épidémiologiques, il est possible d’estimer que 9 à 12 femmes sur 10'000 utilisant un CHC contenant de la drospirénone développeront une TEV au cours d’une année. En comparaison, ce nombre est estimé à 5 à 7 par année pour 10'000 femmes utilisant un CHC contenant du lévonorgestrel.
- +Environ 2 femmes sur 10 000 n’utilisant pas de CHC et qui ne sont pas enceintes développeront une TEV au cours d’une année. Le risque peut toutefois être considérablement plus élevé, selon les facteurs de risque individuels (voir ci-dessous).
- +À partir des données épidémiologiques, il est possible d’estimer que 9 à 12 femmes sur 10 000 utilisant un CHC contenant de la drospirénone développeront une TEV au cours d’une année. En comparaison, ce nombre est estimé à 5 à 7 par année pour 10 000 femmes utilisant un CHC contenant du lévonorgestrel.
-La TEV peut être fatale dans 1 à 2 % des cas.
- +La TEV peut être fatale dans 1 à 2% des cas.
-Immobilisation prolongée, intervention chirurgicale majeure, toute intervention chirurgicale sur les jambes ou la hanche, neurochirurgie ou traumatisme majeur Dans ces situations, il est conseillé de suspendre la prise des comprimés (au moins quatre semaines à l’avance en cas de chirurgie programmée) et de ne reprendre le CHC que deux semaines au moins après la complète remobilisation. Une autre méthode de contraception doit être utilisée afin d’éviter une grossesse non désirée. Un traitement anti-thrombotique devra être envisagé si Dretine 21 n’a pas été interrompu à l’avance.
- +Immobilisation prolongée, intervention chirurgicale majeure, toute intervention chirurgicale sur les jambes ou la hanche, neurochirurgie ou traumatisme majeur Dans ces situations, il est conseillé de suspendre la prise des comprimés pelliculés (au moins quatre semaines à l’avance en cas de chirurgie programmée) et de ne reprendre le CHC que deux semaines au moins après la complète remobilisation. Une autre méthode de contraception doit être utilisée afin d’éviter une grossesse non désirée. Un traitement anti-thrombotique devra être envisagé si Dretine 21 n’a pas été interrompu à l’avance.
-Autres affections médicales associées à un risque accru de TEV Lupus érythémateux disséminé, syndrome hémolytique et urémique, maladies inflammatoires chroniques intestinales (maladie de Crohn ou rectocolite hémorragique), drépanocytose, affections malignes.
-Âge En particulier au-delà de 35 ans
- +Autres affections médicales associées à un risque accru de TEV Lupus érythémateux disséminé, syndrome hémolytique et urémique, maladies inflammatoires chroniques intestinales (maladie de Crohn ou colite ulcéreuse), drépanocytose, affections malignes.
- +Âge En particulier au-delà de 35 ans.
-Remarque: l’immobilisation temporaire, y compris les trajets aériens >4 heures, peut également constituer un facteur de risque de TEV, en particulier chez les femmes présentant d’autres facteurs de risque.
- +Remarque: l’immobilisation temporaire, y compris les trajets aériens > 4 heures, peut également constituer un facteur de risque de TEV, en particulier chez les femmes présentant d’autres facteurs de risque.
-oGonflement unilatéral d’une jambe ou le long d’une veine de la jambe;
- +ogonflement unilatéral d’une jambe ou le long d’une veine de la jambe;
-oDifficulté respiratoire subite et inexpliquée, respiration rapide ou détresse respiratoire, intolérance à l'effort;
- +odifficulté respiratoire subite et inexpliquée, respiration rapide ou détresse respiratoire, intolérance à l’effort;
-Âge En particulier au-delà de 35 ans
- +Âge En particulier au-delà de 35 ans.
-Autres affections médicales associées à un risque accru de TEA Hyperhomocystéinémie, Lupus érythémateux disséminé, drépanocytose, affections malignes.
- +Autres affections médicales associées à un risque accru de TEA Hyperhomocystéinémie, lupus érythémateux disséminé, drépanocytose, affections malignes.
-Les femmes doivent être informées qu’en cas d’apparition d’un ou de plusieurs de ces symptômes, elles doivent consulter un médecin en urgence et indiquer au personnel médical qu’elles prennent Dretine 21.
- +La patiente doit être informée qu’en cas d’apparition d’un ou de plusieurs de ces symptômes, elle doit consulter un médecin en urgence et indiquer au personnel médical qu’elle prend Dretine 21.
-oPerte soudaine de sensibilité ou de force au niveau du visage, d’un bras ou d’une jambe, touchant notamment une moitié du corps;
- +operte soudaine de sensibilité ou de force au niveau du visage, d’un bras ou d’une jambe, touchant notamment une moitié du corps;
-oDouleur soudaine, tuméfaction ou cyanose discrète d’une extrémité;
- +odouleur soudaine, tuméfaction ou légère cyanose d’une extrémité;
-Les dépressions ou humeurs dépressives sont des effets indésirables potentiels connus survenant lors de l'utilisation d'hormones sexuelles, y compris les contraceptifs hormonaux (voir également rubrique «Effets indésirables»). Ces troubles peuvent apparaître peu de temps après le début du traitement. Une dépression peut avoir une évolution grave et représente un facteur de risque de suicide ou de comportement suicidaire. Les utilisatrices de contraceptifs hormonaux doivent donc être informées des symptômes possibles des troubles dépressifs. Il est vivement conseillé d'aviser les utilisatrices de s'adresser immédiatement à un médecin si elles remarquent des variations d'humeur ou autres symptômes de dépression lors de l'utilisation du contraceptif. Les patientes présentant des antécédents de dépression sévère doivent être attentivement surveillées. Si des états dépressifs sévères réapparaissent lors de l'utilisation de Dretine 21, la prise du médicament doit être arrêtée.
- +Les dépressions ou humeurs dépressives sont des effets indésirables potentiels connus survenant lors de l’utilisation d’hormones sexuelles, y compris les contraceptifs hormonaux (voir également rubrique «Effets indésirables»). Ces troubles peuvent apparaître peu de temps après le début du traitement. Une dépression peut avoir une évolution grave et représente un facteur de risque de suicide ou de comportement suicidaire. Les utilisatrices de contraceptifs hormonaux doivent donc être informées des symptômes possibles des troubles dépressifs. Il est vivement conseillé d’aviser les utilisatrices de s’adresser immédiatement à un médecin si elles remarquent des variations d’humeur ou autres symptômes de dépression lors de l’utilisation du contraceptif. Les patientes présentant des antécédents de dépression sévère doivent être attentivement surveillées. Si des états dépressifs sévères réapparaissent lors de l’utilisation de Dretine 21, la prise du médicament doit être arrêtée.
-Chez les patientes atteintes d'hépatite C et utilisant un CHC à base d'éthinylestradiol, une augmentation significativement plus fréquente de l'ALT (y compris les cas d'une augmentation de plus du quintuple, dans des cas isolés de plus de 20 fois la limite supérieure de la normale), que chez les patientes uniquement traitées par des principes antiviraux a été observée sous l'utilisation de l'association des principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir (voir «Interactions»). Des augmentations de l'ALT similaires ont également été observées sous les médicaments anti-VHC qui contenaient du glécaprévir/pibrentasvir ou du sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir. Par conséquent, Dretine 21 doit être arrêté avant l'instauration d'un traitement par ces associations de principes actifs. À condition que les paramètres hépatiques soient normaux, la prise de Dretine 21 peut être reprise au plus tôt 2 semaines, mieux encore 4 semaines, après l'arrêt des associations de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir, glécaprévir/pibrentasvir ou sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir. Ce faisant, il faut tenir compte du fait que l'efficacité du CHC peut encore être entravée en cas d'intervalle de moins de 4 semaines en raison des propriétés inductrices des enzymes du ritonavir et, par conséquent, une méthode barrière supplémentaire doit être utilisée (voir rubrique «Interactions/Inducteurs enzymatiques»).
-Les estrogènes peuvent augmenter la lithogénicité de la vésicule biliaire. Des cas de cholélithiase et d’autres affections de la vésicule biliaire (p. ex. cholécystite) ont été rapportés chez des femmes sous contraceptifs hormonaux.
-Chez les femmes atteintes d'un angioedème héréditaire et/ou acquis, des estrogènes exogènes peuvent induire ou aggraver les symptômes.
- +Chez les patientes atteintes d’hépatite C et utilisant un CHC à base d’éthinylestradiol, une augmentation significativement plus fréquente de l’ALT (y compris des cas d’augmentation de plus du quintuple, dans des cas isolés de plus de 20 fois la limite supérieure de la normale) que chez les patientes uniquement traitées par des principes actifs antiviraux a été observée lors de l’utilisation de l’association des principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir (voir «Interactions»). Des augmentations de l’ALT similaires ont également été observées avec des médicaments anti-VHC qui contenaient du glécaprévir/pibrentasvir ou du sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir. Par conséquent, Dretine 21 doit être arrêté avant l’instauration d’un traitement par ces associations de principes actifs. À condition que les paramètres hépatiques soient normaux, la prise de Dretine 21 peut être reprise au plus tôt 2 semaines, mieux encore 4 semaines, après l’arrêt des associations de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir, glécaprévir/pibrentasvir ou sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir. Ce faisant, il faut tenir compte du fait que l’efficacité du CHC peut encore être entravée en cas d’intervalle de moins de 4 semaines en raison des propriétés inductrices des enzymes du ritonavir et, par conséquent, une méthode barrière supplémentaire doit être utilisée (voir rubrique «Interactions/Inducteurs enzymatiques»).
- +Les œstrogènes peuvent augmenter la lithogénicité de la vésicule biliaire. Des cas de cholélithiase et d’autres affections de la vésicule biliaire (p. ex. cholécystite) ont été rapportés chez des femmes sous contraceptifs hormonaux.
- +Chez les femmes atteintes d’un angiœdème héréditaire et/ou acquis, des œstrogènes exogènes peuvent induire ou aggraver les symptômes.
-La prise régulière d’acide folique avant et pendant une grossesse contribue à prévenir les défauts de fermeture du tube neural (Spina bifida, anencéphalie). Hormis une alimentation riche en acide folique, une supplémentation continue de 0,4 mg par jour (p.ex. par une préparation polyvitaminée) est dès lors recommandée pour toutes les femmes à l’arrêt de la contraception hormonale s’il y a souhait ou possibilité de grossesse.
-Dretine 21 contient 62 mg de lactose par comprimé. Les patientes souffrant d’une intolérance au galactose, maladie héréditaire rare, d’un déficit en lactase de Lapp ou d’une malabsorption du glucose- et du galactose, et qui suivent un régime sans lactose doivent tenir compte de cette quantité.
- +La prise régulière d’acide folique avant et pendant une grossesse contribue à prévenir les défauts de fermeture du tube neural (Spina bifida, anencéphalie). Hormis une alimentation riche en acide folique, une supplémentation continue de 0,4 mg par jour (p. ex. par une préparation polyvitaminée) est dès lors recommandée pour toutes les femmes à l’arrêt de la contraception hormonale s’il y a souhait ou possibilité de grossesse.
- +Dretine 21 contient du lactose. Les patientes présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne devraient pas prendre ce médicament.
-Influence d'autres substances sur la pharmacocinétique des contraceptifs hormonaux
- +Influence d’autres substances sur la pharmacocinétique des contraceptifs hormonaux
-Des interactions peuvent survenir entre contraceptifs hormonaux et médicaments induisant les enzymes microsomales, ce qui peut conduire à une augmentation de la clairance des hormones sexuelles, à une diminution de l’effet contraceptif et à des saignements intermenstruels. Ceci vaut par exemple pour les barbituriques, le bosentan, la carbamazépine, le felbamate, le modafinil, l'oxcarbazépine, la phénytoïne, la primidone, la rifabutine, la rifampicine et le topiramate ainsi que pour les médicaments contenant du millepertuis (Hypericum perforatum).
-Une induction enzymatique peut déjà être observée après quelques jours seulement. L’induction enzymatique maximale est généralement atteinte au bout de 2 à 3 semaines et peut persister pendant 4 semaines ou plus après l’arrêt de ces médicaments. Les femmes traitées sur une courte période par un de ces médicaments doivent provisoirement utiliser une méthode de contraception non hormonale en complément au CHC ou choisir une autre méthode contraceptive. Une méthode de contraception mécanique doit être poursuivie pendant toute la prise concomitante des médicaments et encore pendant 28 jours après l’arrêt du traitement. Lorsque la prise concomitante d’un inducteur enzymatique dure au-delà de la fin de l’emballage du CHC, il faut passer immédiatement à l’emballage suivant, donc sauter l’intervalle habituel sans prise de comprimés.
- +Des interactions peuvent survenir entre contraceptifs hormonaux et médicaments induisant les enzymes microsomales, ce qui peut conduire à une augmentation de la clairance des hormones sexuelles, à une diminution de l’effet contraceptif et à des saignements intermenstruels. Ceci vaut par exemple pour les barbituriques, le bosentan, la carbamazépine, le felbamate, le modafinil, l’oxcarbazépine, la phénytoïne, la primidone, la rifabutine, la rifampicine et le topiramate ainsi que pour les médicaments contenant du millepertuis (Hypericum perforatum).
- +Une induction enzymatique peut déjà être observée après quelques jours seulement. L’induction enzymatique maximale est généralement atteinte au bout de 2 à 3 semaines et peut persister pendant 4 semaines ou plus après l’arrêt de ces médicaments. Les femmes traitées sur une courte période par un de ces médicaments doivent provisoirement utiliser une méthode de contraception non hormonale en complément au CHC ou choisir une autre méthode contraceptive. Une méthode de contraception mécanique doit être poursuivie pendant toute la prise concomitante des médicaments et encore pendant 28 jours après l’arrêt du traitement. Lorsque la prise concomitante d’un inducteur enzymatique se prolonge au-delà de la fin de la plaquette du CHC en cours, il convient de passer immédiatement à la plaquette de CHC suivante, c.-à-d. de ne pas respecter l’intervalle habituel sans prise de comprimés pelliculés.
-On sait en outre que différents inhibiteurs de la protéase du VIH/VHC et inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse peuvent entraîner une baisse ou une augmentation des concentrations plasmatiques en estrogènes et progestatifs. Ces modifications peuvent être cliniquement significatives dans certains cas.
-Les inhibiteurs des protéases en particulier, tels que le ritonavir ou le nelfinavir (y compris leurs associations) sont connus comme étant des inhibiteurs puissants du CYP3A4, mais en cas de co-administration avec des hormones stéroïdiennes, ils peuvent entraîner une induction enzymatique et provoquer une baisse des concentrations plasmatiques en estrogènes et progestatifs.
- +On sait en outre que différents inhibiteurs de la protéase du VIH/VHC et inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse peuvent entraîner une baisse ou une augmentation des concentrations plasmatiques en œstrogènes et progestatifs. Ces modifications peuvent être cliniquement significatives dans certains cas.
- +Les inhibiteurs des protéases en particulier, tels que le ritonavir ou le nelfinavir (y compris leurs associations) sont connus comme étant des inhibiteurs puissants du CYP3A4, mais en cas de co-administration avec des hormones stéroïdiennes, ils peuvent entraîner une induction enzymatique et provoquer une baisse des concentrations plasmatiques en œstrogènes et progestatifs.
-Inhibiteurs forts et modérés du CYP3A4 comme les antifongiques azolés (p.ex. itraconazole, voriconazole, fluconazole), les macrolides (clarithromycine, érythromycine), diltiazem, vérapamil et le jus de pamplemousse peuvent augmenter les taux plasmatiques des estrogènes et/ou des progestatifs et entraîner des effets indésirables plus nombreux.
-Dans une étude à doses multiples réalisée avec une association de drospirénone (3 mg/jour) et d'éthinylestradiol (0,02 mg/jour), l'administration concomitante de kétoconazole, un inhibiteur puissant du CYP3A4, a augmenté l'AUC (0-24h) de la drospirénone d'un facteur 2,68 (IC à 90%: 2,44, 2,95) et celle de l'éthinylestradiol d'un facteur 1,40 (IC à 90%: 1,31, 1,49).
-Lorsqu'elles étaient administrées en même temps qu'un contraceptif hormonal combiné contenant 0,035 mg d'éthinylestradiol, des doses d'étoricoxib comprises entre 60 et 120 mg/jour ont entraîné une multiplication des concentrations plasmatiques d'éthinylestradiol par un facteur situé entre 1,4 et 1,6. La pertinence clinique de ces modifications n'est pas connue.
-Les inhibiteurs de l'HMG-CoA-réductase atorvastatine et rosuvastatine sont eux aussi susceptibles d'augmenter les concentrations plasmatiques des hormones sexuelles (augmentation d'environ 20 à 30% de l'AUC des composantes oestrogénique et progestative) et, dans certaines circonstances, d'accroître ainsi la survenue des effets indésirables.
- +Inhibiteurs forts et modérés du CYP3A4 comme les antifongiques azolés (p. ex. itraconazole, voriconazole, fluconazole), les macrolides (clarithromycine, érythromycine), le diltiazem, le vérapamil et le jus de pamplemousse peuvent augmenter les taux plasmatiques des œstrogènes et/ou des progestatifs et entraîner des effets indésirables plus nombreux.
- +Dans une étude à doses multiples réalisée avec une association de drospirénone (3 mg/jour) et d’éthinylestradiol (0,02 mg/jour), l’administration concomitante de kétoconazole, un inhibiteur puissant du CYP3A4, a augmenté l’AUC(0-24h) de la drospirénone d’un facteur 2,68 (IC à 90%: 2,44-2,95) et celle de l’éthinylestradiol d’un facteur 1,40 (IC à 90%: 1,31-1,49).
- +Lorsqu’elles étaient administrées en même temps qu’un contraceptif hormonal combiné contenant 0,035 mg d’éthinylestradiol, des doses d’étoricoxib comprises entre 60 et 120 mg/jour ont entraîné une multiplication des concentrations plasmatiques d’éthinylestradiol par un facteur situé entre 1,4 et 1,6. La pertinence clinique de ces modifications n’est pas connue.
- +Les inhibiteurs de l’HMG-CoA-réductase atorvastatine et rosuvastatine sont eux aussi susceptibles d’augmenter les concentrations plasmatiques des hormones sexuelles (augmentation d’environ 20 à 30% de l’AUC des composantes œstrogénique et progestative) et, dans certaines circonstances, d’accroître ainsi la survenue des effets indésirables.
-En cas d'apparition de diarrhées et/ou de vomissements sous traitement antibiotique, se référer aux indications dans le paragraphe «Comportement lors de troubles gastro-intestinaux» dans la rubrique «Posologie/Mode d'emploi».
- +En cas d’apparition de diarrhées et/ou de vomissements sous traitement antibiotique, se référer aux indications dans le paragraphe «Comportement lors de troubles gastro-intestinaux» dans la rubrique «Posologie/Mode d’emploi».
-Les contraceptifs hormonaux peuvent, par différents mécanismes d’interaction, influer également sur la pharmacocinétique de certains autres médicaments: ils peuvent inhiber les enzymes hépatiques microsomaux ou induire la conjugaison hépatique, en particulier la glucuroconjugaison. Les concentrations plasmatiques ou tissulaires d’autres médicaments peuvent par conséquent être soit augmentées (p.ex. la cyclosporine) soit diminuées (p.ex. la lamotrigine, voir ci-dessous). Par ailleurs, l’effet pharmacologique des groupes médicamenteux suivants peut également être influencé: analgésiques, antidépresseurs, antidiabétiques, antimalariques, certaines benzodiazépines, certains bétabloquants, corticostéroïdes et anticoagulants oraux. Les modifications des taux plasmatiques résultant de ces interactions ne sont pas toujours cliniquement pertinentes.
-In vitro, l'éthinylestradiol a révélé une inhibition des CYP1A1, CYP1A2, CYP2C19, CYP3A4/5 et CYP2C8. Dans des études cliniques, l'utilisation d'un contraceptif contenant de l'éthinylestradiol a entraîné une augmentation modérée (p.ex. mélatonine et tizanidine) ou légère (p.ex. théophylline) des concentrations plasmatiques de substrats du CYP1A2, ainsi qu'une augmentation uniquement minime ou absente des concentrations plasmatiques de substrats du CYP3A4 (p.ex. midazolam).
-In vitro, la drospirénone a entraîné une inhibition légère à modérée des enzymes CYP1A1, CYP2C9, CYP2C19 et CYP3A4 du cytochrome P450. Sur la base des résultats d'études cliniques d'interactions avec l'oméprazole, la simvastatine et le midazolam utilisés comme substrats marqueurs, une interaction entre 3 mg de drospirénone et le métabolisme d'autres médicaments, lié au cytochrome P450, est cependant improbable.
- +Les contraceptifs hormonaux peuvent, par différents mécanismes d’interaction, influer également sur la pharmacocinétique de certains autres médicaments: ils peuvent inhiber les enzymes hépatiques microsomaux ou induire la conjugaison hépatique, en particulier la glucuroconjugaison. Les concentrations plasmatiques ou tissulaires d’autres médicaments peuvent par conséquent être soit augmentées (p. ex. la cyclosporine) soit diminuées (p. ex. la lamotrigine, voir ci-dessous). Par ailleurs, l’effet pharmacologique des groupes médicamenteux suivants peut également être influencé: analgésiques, antidépresseurs, antidiabétiques, antimalariques, certaines benzodiazépines, certains béta-bloquants, corticostéroïdes et anticoagulants oraux. Les modifications des taux plasmatiques résultant de ces interactions ne sont pas toujours cliniquement pertinentes.
- +In vitro, l’éthinylestradiol a révélé une inhibition des CYP1A1, CYP1A2, CYP2C19, CYP3A4/5 et CYP2C8. Dans des études cliniques, l’utilisation d’un contraceptif contenant de l’éthinylestradiol a entraîné une augmentation modérée (p. ex. mélatonine et tizanidine) ou légère (p. ex. théophylline) des concentrations plasmatiques de substrats du CYP1A2, ainsi qu’une augmentation uniquement minime ou absente des concentrations plasmatiques de substrats du CYP3A4 (p. ex. midazolam).
- +In vitro, la drospirénone a entraîné une inhibition légère à modérée des enzymes CYP1A1, CYP2C9, CYP2C19 et CYP3A4 du cytochrome P450. Sur la base des résultats d’études cliniques d’interactions avec l’oméprazole, la simvastatine et le midazolam utilisés comme substrats marqueurs, une interaction entre 3 mg de drospirénone et le métabolisme d’autres médicaments, lié au cytochrome P450, est cependant improbable.
-Une étude sur l'interaction avec la lamotrigine, un antiépileptique, et un contraceptif oral combiné (0.03 mg d'éthinylestradiol/0.15 mg de lévonorgestrel) a montré une hausse significative de la clairance de la lamotrigine et une diminution significative des taux plasmatiques de lamotrigine lorsque ces médicaments sont administrés en même temps. Une telle diminution des concentrations plasmatiques peut s'accompagner d'une réduction du contrôle des crises. On ignore cependant dans quelle mesure ces résultats sont transposables à d’autres contraceptifs combinés contenant un autre composant progestatif et/ou une autre dose d’estrogène. Mais on peut partir du principe que ces préparations présentent un profil d’interactions comparable.
-Lors du commencement de la prise de Dretine 21 chez une patiente prenant de la lamotrigine, une adaptation de la dose de lamotrigine peut donc être nécessaire, et les concentrations de lamotrigine devraient être surveillées étroitement au début du traitement. En l’occurrence, il peut y avoir une hausse significative du taux de lamotrigine (selon les cas jusqu’à un niveau toxique) lors de l’arrêt de la prise du contraceptif hormonal (ainsi dans certains cas pendant la période de 7 jours sans utilisation).
- +Une étude sur l’interaction avec la lamotrigine, un antiépileptique, et un contraceptif oral combiné (0,03 mg d’éthinylestradiol/0,15 mg de lévonorgestrel) a montré une augmentation cliniquement significative de la clairance de la lamotrigine et une diminution significative correspondante des taux plasmatiques de lamotrigine lorsque ces médicaments étaient administrés en même temps. Une telle diminution des concentrations plasmatiques peut s’accompagner d’une réduction du contrôle des crises. On ignore cependant dans quelle mesure ces résultats sont transposables à d’autres contraceptifs combinés contenant un autre composant progestatif et/ou une autre dose d’œstrogène. Mais on peut partir du principe que ces préparations présentent un profil d’interactions comparable.
- +Lors du commencement de la prise de Dretine 21 chez une patiente prenant de la lamotrigine, une adaptation de la dose de lamotrigine peut donc être nécessaire, et les concentrations de lamotrigine devraient être surveillées étroitement au début du traitement. En l’occurrence, il peut y avoir une hausse significative du taux de lamotrigine (selon les cas jusqu’à un niveau toxique) lors de l’arrêt de la prise du contraceptif hormonal (ainsi que dans certains cas pendant la période de 7 jours sans utilisation).
-La kaliémie sérique doit être surveillée lors de la prise simultanée de Dretine 21 et de médicaments qui augmentent les concentrations sériques de potassium (antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II, diurétiques d’épargne potassique, antagonistes de l’aldostérone). Cependant, au cours des études portant sur l’interaction entre la drospirénone (combinée à l’oestradiol) et un inhibiteur de l’IEC ou les AINS (p.ex. l’indométhacine), aucune différence cliniquement pertinente ou statistiquement significative n’a été mise en évidence au niveau des concentrations sériques de potassium.
- +La kaliémie sérique doit être surveillée lors de la prise simultanée de Dretine 21 et de médicaments qui augmentent les concentrations sériques de potassium (antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II, diurétiques d’épargne potassique, antagonistes de l’aldostérone). Cependant, au cours des études portant sur l’interaction entre la drospirénone (combinée à l’œstradiol) et un inhibiteur de l’IEC ou les AINS (p. ex. l’indométhacine), aucune différence cliniquement pertinente ou statistiquement significative n’a été mise en évidence au niveau des concentrations sériques de potassium.
-Dans des études cliniques, une augmentation de l'ALT significativement plus fréquente (y compris les cas d'une augmentation de plus du quintuple, dans des cas isolés de plus de 20 fois la limite supérieure de la normale [LSN]), que chez les patientes uniquement traitées par des principes antiviraux a été observée sous l'utilisation concomitante d'un CHC contenant de l'éthinylestradiol et de l'association des principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir utilisée dans le traitement des infections à VIH. Des augmentations de l'ALT similaires ont également été observées sous les médicaments anti-VHC qui contenaient du glécaprévir/pibrentasvir ou du sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir. Par conséquent, Dretine 21 doit être arrêté avant l'instauration d'un traitement par une telle association antivirale (voir également «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
-Grossesse, Allaitement
- +Dans des études cliniques, une augmentation de l’ALT significativement plus fréquente (y compris des cas d’augmentation de plus du quintuple, dans des cas isolés de plus de 20 fois la limite supérieure de la normale [LSN]) que chez les patientes uniquement traitées par des principes actifs antiviraux a été observée lors de l’utilisation concomitante d’un CHC contenant de l’éthinylestradiol et de l’association des principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir utilisée dans le traitement des infections à VIH. Des augmentations de l’ALT similaires ont également été observées avec des médicaments anti-VHC qui contenaient du glécaprévir/pibrentasvir ou du sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir. Par conséquent, Dretine 21 doit être arrêté avant l’instauration d’un traitement par une telle association antivirale (voir également «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
- +Grossesse/Allaitement
-Aucune étude portant sur l’aptitude à la conduite et à l’utilisation de machines n’a été effectuée.
- +Aucune étude portant sur l’aptitude à la conduite et l’utilisation de machines n’a été effectuée.
-Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés sous Dretine 21 sont des nausées et des douleurs mammaires. Ils sont observés chez >6% des utilisatrices.
- +Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés sous Dretine 21 sont des nausées et des douleurs mammaires. Ils sont observés chez > 6% des utilisatrices.
-Les fréquences sont définies comme suit: fréquents (≥1/100 à <1/10); occasionnels (≥1/1000 à <1/100); rares (≥1/10’000 à <1/1000); fréquence inconnue (la fréquence exacte ne peut être estimée essentiellement sur la base des rapports spontanés issus de la surveillance postcommercialisation).
- +Les fréquences sont définies comme suit: fréquents (≥1/100 à <1/10); occasionnels (≥1/1000 à <1/100); rares (≥1/10 000 à <1/1000); fréquence inconnue (la fréquence exacte ne peut être estimée essentiellement sur la base des rapports spontanés issus de la surveillance postcommercialisation).
-Rares: thromboembolie veineuse (p.ex. thrombose veineuse profonde, embolie pulmonaire), thromboembolie artérielle (p.ex. accident ischémique transitoire, accident vasculaire cérébral, infarctus du myocarde).
- +Rares: thromboembolie veineuse (p. ex. thrombose veineuse profonde, embolie pulmonaire), thromboembolie artérielle (p. ex. accident ischémique transitoire, accident vasculaire cérébral, infarctus du myocarde).
-Infections urinaires, appétit accru, hypertriglycéridémie, modifications de la tolérance au glucose, nervosité, anxiété, agitation, agressivité, troubles du sommeil, épilepsie, dégradation de l’ouïe en raison d’une otosclérose, hypertension, constipation, pancréatite (surtout chez des femmes présentant une hypertriglycéridémie), colite ulcéreuse, maladie de Crohn, troubles de la fonction hépatique, lithiase biliaire, ictère cholestatique, tumeurs du foie, porphyrie, syndrome hémolytique et urémique, alopécie, hirsutisme, crampes musculaires, douleurs abdominales, dysménorrhée, modifications fibrokystiques du sein, dysplasie cervicale, kystes ovariens, augmentation du volume de myomes utérins, rétention liquidienne, oedèmes, aggravation d’un lupus érythémateux disséminé ou d’une chorée de Sydenham.
- +Infections urinaires, appétit accru, hypertriglycéridémie, modifications de la tolérance au glucose, nervosité, anxiété, agitation, agressivité, troubles du sommeil, épilepsie, dégradation de l’ouïe en raison d’une otosclérose, hypertension, constipation, pancréatite (surtout chez des femmes présentant une hypertriglycéridémie), colite ulcéreuse, maladie de Crohn, troubles de la fonction hépatique, lithiase biliaire, ictère cholestatique, tumeurs du foie, porphyrie, syndrome hémolytique et urémique, alopécie, hirsutisme, crampes musculaires, douleurs abdominales, dysménorrhée, modifications fibrokystiques du sein, dysplasie cervicale, kystes ovariens, augmentation du volume de myomes utérins, rétention liquidienne, œdèmes, aggravation d’un lupus érythémateux disséminé ou d’une chorée de Sydenham.
-Dretine 21 contient une association d’éthinylestradiol et de drospirénone, un progestatif exerçant une action antiandrogène et antiminéralocorticoïde. La drospirénone n’exerce aucun effet de type androgène, estrogène, glucocorticoïde ou antiglucocorticoïde. Elle n’inhibe pas l’augmentation dépendante de l’éthinylestradiol de la SHBG (sex hormone-binding globulin). En tenant compte des propriétés antiminéralocorticoïdes et antiandrogènes, la drospirénone présente donc un profil biochimique et pharmacologique proche de celui de la progestérone naturelle.
- +Dretine 21 contient une association d’éthinylestradiol et de drospirénone, un progestatif exerçant une action antiandrogène et antiminéralocorticoïde. La drospirénone n’exerce aucun effet de type androgène, œstrogène, glucocorticoïde ou antiglucocorticoïde. Elle n’inhibe pas l’augmentation dépendante de l’éthinylestradiol de la SHBG (sex hormone-binding globulin). En tenant compte des propriétés antiminéralocorticoïdes et antiandrogènes, la drospirénone présente donc un profil biochimique et pharmacologique proche de celui de la progestérone naturelle.
-La drospirénone, qui est dotée d’une activité antiminéralocorticoïde, peut empêcher la rétention sodique liée au traitement par des estrogènes. Le traitement avec la drospirénone n’a toutefois pas montré d’influence cliniquement pertinente sur la concentration sérique du potassium chez les patients avec une fonction rénale réduite.
- +La drospirénone, qui est dotée d’une activité antiminéralocorticoïde, peut empêcher la rétention sodique liée au traitement par des œstrogènes. Le traitement avec la drospirénone n’a toutefois pas montré d’influence cliniquement pertinente sur la concentration sérique du potassium chez les patients avec une fonction rénale réduite.
-État d'équilibre (steady state)
- +État d’équilibre (steady state)
-Cinétique pour certains groupes de patients
- +Cinétique pour certains groupes de patientes
-À l’état d’équilibre, les taux sériques de drospirénone chez les femmes avec insuffisance rénale légère (clairance de la créatinine CLcr: 50–80 ml/min) étaient comparables aux valeurs mesurées dans le groupe à fonction rénale normale (CLcr >80 ml/min). Chez des femmes souffrant d’insuffisance rénale modérée (clairance de la créatinine CLcr: 30–50 ml/min), les taux sériques de drospirénone (AUC0–24h) étaient en moyenne de 37% plus élevés que chez les femmes ayant une fonction rénale normale.
- +À l’état d’équilibre, les taux sériques de drospirénone chez les femmes avec insuffisance rénale légère (clairance de la créatinine CLcr: 50–80 ml/min) étaient comparables aux valeurs mesurées dans le groupe à fonction rénale normale (CLcr > 80 ml/min). Chez des femmes souffrant d’insuffisance rénale modérée (clairance de la créatinine CLcr: 30–50 ml/min), les taux sériques de drospirénone (AUC0–24h) étaient en moyenne de 37% plus élevés que chez les femmes ayant une fonction rénale normale.
-Ethinylestradiol
- +Éthinylestradiol
-État d'équilibre (steady state)
- +État d’équilibre (steady state)
-L’éthinylestradiol subit un métabolisme présystémique aussi bien dans la muqueuse de l’intestin grêle que dans le foie. Dans la muqueuse intestinale grêle, l’éthinylestradiol est conjugué et dans le foie, il est dégradé par un métabolisme de phase I (métabolites principaux: 2-hydroxy-éthinylestradiol et 2méthoxy-éthinylestradiol) et une conjugaison. La CYP3A4 participe au métabolisme. L’éthinylestradiol et ses métabolites oxydatifs sont essentiellement métabolisés en dérivés glucuronoconjugués et sulfoconjugués.
- +L’éthinylestradiol subit un métabolisme présystémique aussi bien dans la muqueuse de l’intestin grêle que dans le foie. Dans la muqueuse intestinale grêle, l’éthinylestradiol est conjugué et dans le foie, il est dégradé par un métabolisme de phase I (métabolites principaux: 2-hydroxy-éthinylestradiol et 2-méthoxy-éthinylestradiol) et une conjugaison. La CYP3A4 participe au métabolisme. L’éthinylestradiol et ses métabolites oxydatifs sont essentiellement métabolisés en dérivés glucuronoconjugués et sulfoconjugués.
-Des études précliniques sur la toxicité après une administration répétée de contraceptifs oraux combinés, sur la génotoxicité et sur le potentiel carcinogène n’ont montré aucun indice suggérant clairement un risque particulier pour l’être humain, bien que des études épidémiologiques aient démontré un risque accru de carcinome hépatique, observé surtout chez des patientes VHB- et VHC-négatives et non atteintes de cirrhose, qui utilisaient les contraceptifs combinés de longue date (>6 ans).
-Chez l’animal, l’éthinylestradiol a montré, déjà à des doses relativement faibles, un effet létal pour les embryons qui est considéré comme spécifique à l’espèce; des malformations du tractus urogénital et une féminisation des foetus mâles ont été observées. Les substances de type progestatif ont montré chez l’animal un effet létal pour les embryons et, à haute dose, un effet virilisant sur les foetus femelles. L’extrapolation de ces résultats expérimentaux à l’être humain est controversée.
- +Des études précliniques sur la toxicité après une administration répétée de contraceptifs oraux combinés, sur la génotoxicité et sur le potentiel carcinogène n’ont montré aucun indice suggérant clairement un risque particulier pour l’être humain, bien que des études épidémiologiques aient démontré un risque accru de carcinome hépatique, observé surtout chez des patientes VHB- et VHC-négatives et non atteintes de cirrhose, qui utilisaient les contraceptifs combinés de longue date (> 6 ans).
- +Chez l’animal, l’éthinylestradiol a montré, déjà à des doses relativement faibles, un effet létal pour les embryons qui est considéré comme spécifique à l’espèce; des malformations du tractus urogénital et une féminisation des fœtus mâles ont été observées. Les substances de type progestatif ont montré chez l’animal un effet létal pour les embryons et, à haute dose, un effet virilisant sur les fœtus femelles. L’extrapolation de ces résultats expérimentaux à l’être humain est controversée.
-Les stéroïdes contraceptifs peuvent modifier les résultats de certains examens de laboratoire, tels que les paramètres biochimiques hépatiques et thyroïdiens, de la fonction corticosurrénalienne et rénale, les taux plasmatiques des protéines de transport (p.ex. de la corticosteroid binding globuline) et les fractions lipidiques ou lipoprotéiniques, les paramètres du métabolisme glucidique et les paramètres de la coagulation sanguine et de la fibrinolyse. Ces modifications se situent en général dans les limites de la normale correspondante. La drospirénone peut influencer la concentration plasmatique de la rénine et de l’aldostérone.
- +Les stéroïdes contraceptifs peuvent modifier les résultats de certains examens de laboratoire, tels que les paramètres biochimiques hépatiques et thyroïdiens, de la fonction corticosurrénalienne et rénale, les taux plasmatiques des protéines de transport (p. ex. de la corticosteroid binding globuline) et les fractions lipidiques ou lipoprotéiniques, les paramètres du métabolisme glucidique et les paramètres de la coagulation sanguine et de la fibrinolyse. Ces modifications se situent en général dans les limites de la normale correspondante. La drospirénone peut influencer la concentration plasmatique de la rénine et de l’aldostérone.
-Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l’emballage.
- +Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l’emballage.
-Conserver à température ambiante (15-25°C).
- +Conserver à température ambiante (15-25 °C).
-Dretine 21: emballage multiple 63 (3 × 21) [B].
- +Dretine 21: emballage multiple de 63 (3 × 21) [B].
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