70 Changements de l'information professionelle Desloratadin Sandoz |
-Principe actif: desloratadine.
-Excipients: colorants: indigotine (E132), Excipiens pro compresso.
- +Principe actif: desloratadinum.
- +Excipients: colorants: indigotine (E132), excipiens pro compresso obducto.
-Traitement symptomatique de l’urticaire.
- +Traitement symptomatique de l'urticaire.
-Desloratadine Sandoz peut être pris aussi bien au moment qu’en dehors des repas pour le soulagement des symptômes associés à la rhinite allergique (incluant les rhinites allergiques intermittente et persistante) et à l’urticaire.
-Le patient doit boire un peu d’eau après la prise.
- +Desloratadine Sandoz peut être pris aussi bien au moment qu'en dehors des repas pour le soulagement des symptômes associés à la rhinite allergique (incluant les rhinites allergiques intermittente et persistante) et à l'urticaire.
- +Le patient doit boire un peu d'eau après la prise.
-On ne dispose d’aucune donnée étayant le traitement d’une rhinite infectieuse par Desloratadine Sandoz.
-La rhinite allergique intermittente (présence de symptômes sur une période inférieure à 4 jours par semaine ou une période inférieure à 4 semaines) doit être traitée en fonction de l’évolution antérieure de la maladie, le traitement pouvant être interrompu après la disparition des symptômes et repris à leur réapparition. En cas de rhinite allergique persistante (présence de symptômes sur une période supérieure ou égale à 4 jours par semaine ou supérieure à 4 semaines), un traitement continu peut être recommandé aux patients pendant la période d’allergie.
- +On ne dispose d'aucune donnée étayant le traitement d'une rhinite infectieuse par Desloratadine Sandoz.
- +La rhinite allergique intermittente (présence de symptômes sur une période inférieure à 4 jours par semaine ou une période inférieure à 4 semaines) doit être traitée en fonction de l'évolution antérieure de la maladie, le traitement pouvant être interrompu après la disparition des symptômes et repris à leur réapparition. En cas de rhinite allergique persistante (présence de symptômes sur une période supérieure ou égale à 4 jours par semaine ou supérieure à 4 semaines), un traitement continu peut être recommandé aux patients pendant la période d'allergie.
-Hypersensibilité au principe actif ou à l’un des excipients.
- +Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients.
-Réactions anaphylactiques: Desloratadine Sandoz n’est pas indiqué pour le traitement d’une réaction anaphylactique. Les patients chez lesquels survient une urticaire aiguë associée à des symptômes respiratoires et circulatoires dans le cadre d’une réaction anaphylactique, doivent être invités à consulter un médecin en urgence.
-L’efficacité et la tolérance des comprimés pelliculés Desloratadine Sandoz n’ont pas été établies à ce jour chez les enfants et adolescents de moins de 12 ans.
- +Réactions anaphylactiques: Desloratadine Sandoz n'est pas indiqué pour le traitement d'une réaction anaphylactique. Les patients chez lesquels survient une urticaire aiguë associée à des symptômes respiratoires et circulatoires dans le cadre d'une réaction anaphylactique, doivent être invités à consulter un médecin en urgence.
- +L'efficacité et la tolérance des comprimés pelliculés Desloratadine Sandoz n'ont pas été établies à ce jour chez les enfants et adolescents de moins de 12 ans.
-Aucune interaction cliniquement significative entre Desloratadine Sandoz et d’autres médicaments n’a été décrite dans le cadre d’études cliniques. La prise concomitante de Desloratadine Sandoz n’a pas potentialisé la diminution des performances induite par l’alcool.
-Dans les études d’interactions à doses répétées, la prise simultanée de 7,5 mg de desloratadine et de kétoconazole ou d’érythromycine a entraîné une faible augmentation de la concentration plasmatique de desloratadine (AUC), respectivement de 39% et 14%. En outre, on a observé une augmentation du métabolite actif, la 3-hydroxy-desloratadine, de 72% avec le kétoconazole et de 40% avec l’érythromycine. Aucune modification de l’ECG n’est survenue.
- +Aucune interaction cliniquement significative entre la desloratadine et d'autres médicaments n'a été décrite dans le cadre d'études cliniques. La prise concomitante de la desloratadine n'a pas potentialisé la diminution des performances induite par l'alcool.
- +Dans les études d'interactions à doses répétées, la prise simultanée de 7,5 mg de desloratadine et de kétoconazole ou d'érythromycine a entraîné une faible augmentation de la concentration plasmatique de desloratadine (AUC), respectivement de 39% et 14%. En outre, on a observé une augmentation du métabolite actif, la 3-hydroxy-desloratadine, de 72% avec le kétoconazole et de 40% avec l'érythromycine. Aucune modification de l'ECG n'est survenue.
-Aucun effet tératogène n’a été observé dans les études effectuées chez l’animal. L’innocuité du produit pendant la grossesse n’est pas établie. Comme d’autres médicaments, la desloratadine ne doit pas être utilisée pendant la grossesse. Aucun effet nocif n’est attendu chez le foetus en cas de prise accidentelle pendant la grossesse; toutefois, le traitement devra par mesure de précaution, être immédiatement arrêté.
- +Aucun effet tératogène n'a été observé dans les études effectuées chez l'animal. L'innocuité du produit pendant la grossesse n'est pas établie. Comme d'autres médicaments, la desloratadine ne doit pas être utilisée pendant la grossesse. Aucun effet nocif n'est attendu chez le fœtus en cas de prise accidentelle pendant la grossesse; toutefois, le traitement devra par mesure de précaution, être immédiatement arrêté.
-Aucune influence sur l’aptitude à la conduite et à l’utilisation de machines n’a été observée dans les études menées jusqu’à ce jour. Cependant les patients doivent être informés que de très rares cas de somnolence susceptibles d’affecter l’aptitude à conduire des véhicules ou à utiliser des machines ont été rapportés.
- +Aucune influence sur l'aptitude à la conduite et à l'utilisation de machines n'a été observée dans les études menées jusqu'à ce jour. Cependant les patients doivent être informés que de très rares cas de somnolence susceptibles d'affecter l'aptitude à conduire des véhicules ou à utiliser des machines ont été rapportés.
-Très fréquents (>1/10); fréquents >1/100, <1/10); occasionnels (>1/1’000, <1/100); rares (>1/10’000, <1/1’000); très rares (<1/10’000).
- +Très fréquents (≥1/10); fréquents (<1/10, ≥1/100); occasionnels (<1/100, ≥1/1'000); rares (<1/1'000, ≥1/10'000); très rares (<1/10'000).
-Très rares: anaphylaxie, angioedème, prurit, exanthème, urticaire.
- +Très rares: anaphylaxie, angioœdème, prurit, exanthème, urticaire.
-En cas de surdosage massif, il faut procéder à un lavage d’estomac, en plus des mesures symptomatiques habituelles.
-Dans une étude à doses répétées chez l’adulte et l’adolescent, dans laquelle la desloratadine a été administrée à une dose allant jusqu’à 45 mg (9 fois la dose clinique), aucun effet cliniquement significatif n’a pu être observé.
-La desloratadine n’est pas éliminée par hémodialyse et on ignore si elle est éliminée par dialyse péritonéale.
- +En cas de surdosage massif, il faut procéder à un lavage d'estomac, en plus des mesures symptomatiques habituelles.
- +Dans une étude à doses répétées chez l'adulte et l'adolescent, dans laquelle la desloratadine a été administrée à une dose allant jusqu'à 45 mg (9 fois la dose clinique), aucun effet cliniquement significatif n'a pu être observé.
- +La desloratadine n'est pas éliminée par hémodialyse et on ignore si elle est éliminée par dialyse péritonéale.
-Mécanisme d’action
- +Mécanisme d'action
-La desloratadine est un antihistaminique non sédatif, d’action prolongée exerçant un effet antagoniste puissant et sélectif sur les récepteurs H1 périphériques. Après administration orale, la desloratadine bloque sélectivement les récepteurs histaminiques H1 périphériques car elle diffuse très faiblement dans le système nerveux central.
-Lors d’une étude clinique à doses répétées dans laquelle jusqu’à 20 mg par jour de desloratadine ont été administrés pendant 14 jours, aucun effet cardiovasculaire statistiquement ou cliniquement significatif n’a été observé. Dans le cadre d’une étude pharmacologique clinique dans laquelle la desloratadine a été administrée à une dose de 45 mg par jour (neuf fois la dose clinique) pendant dix jours, aucun allongement de l’intervalle QTc n’a été observé. Il n’est pas élucidé à ce jour si ceci concerne aussi les individus métaboliseurs lents (voir «Pharmacocinétique»).
-La desloratadine ne diffuse qu’en faibles quantités dans le système nerveux central. A la posologie recommandée de 5 mg par jour, il n’y a pas eu d’augmentation de l’incidence de la somnolence par rapport au placebo.
-Dans des études cliniques pharmacologiques, la prise concomitante d’alcool n’a pas accentué l’altération des performances induite par l’alcool ni augmenté la somnolence. Les résultats des tests psychomoteurs n’ont pas mis en évidence de différences significatives entre les patients traités par la desloratadine et ceux traités par placebo, que la desloratadine ait été associée à de l’alcool ou non.
- +La desloratadine est un antihistaminique non sédatif, d'action prolongée exerçant un effet antagoniste puissant et sélectif sur les récepteurs H1 périphériques. Après administration orale, la desloratadine bloque sélectivement les récepteurs histaminiques H1 périphériques car elle diffuse très faiblement dans le système nerveux central.
- +Lors d'une étude clinique à doses répétées dans laquelle jusqu'à 20 mg par jour de desloratadine ont été administrés pendant 14 jours, aucun effet cardiovasculaire statistiquement ou cliniquement significatif n'a été observé. Dans le cadre d'une étude pharmacologique clinique dans laquelle la desloratadine a été administrée à une dose de 45 mg par jour (neuf fois la dose clinique) pendant dix jours, aucun allongement de l'intervalle QTc n'a été observé. Il n'est pas élucidé à ce jour si ceci concerne aussi les individus métaboliseurs lents (voir «Pharmacocinétique»).
- +La desloratadine ne diffuse qu'en faibles quantités dans le système nerveux central. A la posologie recommandée de 5 mg par jour, il n'y a pas eu d'augmentation de l'incidence de la somnolence par rapport au placebo.
- +Dans des études cliniques pharmacologiques, la prise concomitante d'alcool n'a pas accentué l'altération des performances induite par l'alcool ni augmenté la somnolence. Les résultats des tests psychomoteurs n'ont pas mis en évidence de différences significatives entre les patients traités par la desloratadine et ceux traités par placebo, que la desloratadine ait été associée à de l'alcool ou non.
-Rhinite allergique saisonnière: L’efficacité clinique et la sécurité d’emploi des comprimés de desloratadine ont été étudiées chez plus de 2’300 patients âgés de 12 à 75 ans atteints de rhinite allergique saisonnière. Un total de 1’838 patients ont été inclus dans 4 études cliniques en double aveugle, randomisées et contrôlées par placebo, au cours desquelles ils ont reçu des comprimés de desloratadine à la posologie de 2,5–20 mg/jour sur une durée de 2 à 4 semaines. Les résultats de ces études ont prouvé l’efficacité et la sécurité d’emploi des comprimés à 5 mg de desloratadine dans le traitement de la rhinite allergique saisonnière de l’adulte et de l’adolescent. Dans une étude de recherche de doses, de desloratadine a été étudié à une posologie de 2,5–20 mg/jour. Des doses de 5, 7,5, 10 et 20 mg/jour ont montré des effets supérieurs à ceux du placebo; à des doses supérieures à 5,0 mg, aucun avantage supplémentaire n’a été mis en évidence.
-Dans 2 études d’une durée respective de quatre semaines, englobant 924 patients (âgés de 15 à 75 ans) atteints de façon concomitante de rhinite allergique saisonnière et d’asthme, les comprimés de desloratadine à une posologie de 5 mg par jour ont entraîné une amélioration des symptômes dus à la rhinite, sans retentissement sur les fonctions pulmonaires. Ceci démontre la sécurité d’emploi des comprimés de desloratadine chez l’adulte atteint de façon concomitante de rhinite allergique saisonnière et d’asthme léger à modéré.
- +Rhinite allergique saisonnière
- +L'efficacité clinique et la sécurité d'emploi des comprimés de desloratadine ont été étudiées chez plus de 2'300 patients âgés de 12 à 75 ans atteints de rhinite allergique saisonnière. Un total de 1'838 patients ont été inclus dans 4 études cliniques en double aveugle, randomisées et contrôlées par placebo, au cours desquelles ils ont reçu des comprimés de desloratadine à la posologie de 2,5–20 mg/jour sur une durée de 2 à 4 semaines. Les résultats de ces études ont prouvé l'efficacité et la sécurité d'emploi des comprimés à 5 mg de desloratadine dans le traitement de la rhinite allergique saisonnière de l'adulte et de l'adolescent. Dans une étude de recherche de doses, de desloratadine a été étudié à une posologie de 2,5–20 mg/jour. Des doses de 5, 7,5, 10 et 20 mg/jour ont montré des effets supérieurs à ceux du placebo; à des doses supérieures à 5,0 mg, aucun avantage supplémentaire n'a été mis en évidence.
- +Dans 2 études d'une durée respective de quatre semaines, englobant 924 patients (âgés de 15 à 75 ans) atteints de façon concomitante de rhinite allergique saisonnière et d'asthme, les comprimés de desloratadine à une posologie de 5 mg par jour ont entraîné une amélioration des symptômes dus à la rhinite, sans retentissement sur les fonctions pulmonaires. Ceci démontre la sécurité d'emploi des comprimés de desloratadine chez l'adulte atteint de façon concomitante de rhinite allergique saisonnière et d'asthme léger à modéré.
-Groupe de Score Modification Comparaison
-traitement initial par rapport par rapport
-(n) moyen* au score au placebo
- (SEM) initial** (valeur p)
- (SEM)
-Desloratadine 14,2 (0,3) –4,3 (0,3) p= <0,01
-5,0 mg (171)
-Placebo (173) 13,7 (0,3) –2,5 (0,3)
-
-* Au début de l’étude, un score total des symptômes nasaux (somme de quatre symptômes isolés) d’au moins 6 et un score total des symptômes non nasaux (somme de quatre symptômes isolés) d’au moins 5 était demandé pour l’inclusion dans l’étude (un score de 0 à 3 était attribué à chaque symptôme: 0= absence de symptômes; 3= symptômes sévères). Le TSS se situe entre 0= absence de symptômes et 24= maximum de symptômes.
- +Groupe de traitement (n) Score initial moyen* (SEM) Modification par rapport au score initial** (SEM) Comparaison par rapport au placebo (valeur p)
- +Desloratadine 5,0 mg (171) 14,2 (0,3) –4,3 (0,3) p= <0,01
- +Placebo (173) 13,7 (0,3) –2,5 (0,3)
- +
- +* Au début de l'étude, un score total des symptômes nasaux (somme de quatre symptômes isolés) d'au moins 6 et un score total des symptômes non nasaux (somme de quatre symptômes isolés) d'au moins 5 était demandé pour l'inclusion dans l'étude (un score de 0 à 3 était attribué à chaque symptôme: 0= absence de symptômes; 3= symptômes sévères). Le TSS se situe entre 0= absence de symptômes et 24= maximum de symptômes.
-En ce qui concerne l’efficacité des comprimés de desloratadine à 5 mg, aucune différence significative entre les sous-groupes de patients, définis en fonction du sexe, de l’âge et de la race, n’a été trouvée.
-Rhinite allergique perannuelle: L’efficacité clinique et la sécurité d’emploi des comprimés de desloratadine à 5 mg ont été étudiées chez plus de 1’300 patients âgés de 12 à 80 ans atteints de rhinite allergique perannuelle. Un total de 685 patients a été inclus dans 2 études cliniques en double aveugle, randomisées et contrôlées par placebo, au cours desquelles ceux-ci ont reçu des comprimés de desloratadine à raison de 5 mg/jour sur une durée de 4 semaines. Dans une de ces études, la prise d’un comprimé de desloratadine à 5 mg une fois par jour a entraîné une réduction prouvée et significative des symptômes de la rhinite allergique perannuelle (Tableau 2).
- +En ce qui concerne l'efficacité des comprimés de desloratadine à 5 mg, aucune différence significative entre les sous-groupes de patients, définis en fonction du sexe, de l'âge et de la race, n'a été trouvée.
- +Rhinite allergique perannuelle: L'efficacité clinique et la sécurité d'emploi des comprimés de desloratadine à 5 mg ont été étudiées chez plus de 1'300 patients âgés de 12 à 80 ans atteints de rhinite allergique perannuelle. Un total de 685 patients a été inclus dans 2 études cliniques en double aveugle, randomisées et contrôlées par placebo, au cours desquelles ceux-ci ont reçu des comprimés de desloratadine à raison de 5 mg/jour sur une durée de 4 semaines. Dans une de ces études, la prise d'un comprimé de desloratadine à 5 mg une fois par jour a entraîné une réduction prouvée et significative des symptômes de la rhinite allergique perannuelle (Tableau 2).
-Groupe de Score Modification Comparaison
-traitement initial par rapport par rapport
-(n) moyen* au score au placebo
- (SEM) initial** (valeur p)
- (SEM)
-Desloratadine 12,37 –4,06 p= 0,01
-5,0 mg (337) (0,18) (0,21)
-Placebo 12,30 –3,27
-(337) (0,18) (0,21)
-
-* Au début de l’étude, un score total des symptômes nasaux (somme de 5 symptômes nasaux isolés et 3 symptômes non nasaux, un score de 0 à 3 étant attribué à chaque symptôme: 0= absence de symptômes; 3= symptômes sévères) d’au moins 10 était exigé pour l’inclusion dans l’étude. Le TSS se situe entre 0= absence de symptômes et 24= maximum de symptômes.
- +Groupe de traitement (n) Score initial moyen* (SEM) Modification par rapport au score initial** (SEM) Comparaison par rapport au placebo (valeur p)
- +Desloratadine 5,0 mg (337) 12,37 (0,18) –4,06 (0,21) p= 0,01
- +Placebo (337) 12,30 (0,18) –3,27 (0,21)
- +
- +* Au début de l'étude, un score total des symptômes nasaux (somme de 5 symptômes nasaux isolés et 3 symptômes non nasaux, un score de 0 à 3 étant attribué à chaque symptôme: 0= absence de symptômes; 3= symptômes sévères) d'au moins 10 était exigé pour l'inclusion dans l'étude. Le TSS se situe entre 0= absence de symptômes et 24= maximum de symptômes.
-L’urticaire chronique idiopathique a été étudiée comme modèle clinique des autres formes d’urticaire parce que les patients chroniques peuvent être plus facilement recrutés prospectivement.
-L’efficacité et la sécurité d’emploi des comprimés de desloratadine à la posologie de 5 mg/jour ont été étudiées chez 416 patients âgés de 12 à 84 ans atteints d’urticaire chronique idiopathique; 211 de ces patients ont reçu desloratadine. Dans deux études cliniques en double aveugle, contrôlées par placebo, randomisées, d’une durée de six semaines, les comprimés de desloratadine ont entraîné une réduction significative de l’intensité du prurit par rapport au placebo lors de l’examen primaire fixé au préalable au bout d’une semaine (Tableau 3). Des critères d’évaluation secondaires ont également été étudiés: au cours de la première semaine de traitement, les comprimés de desloratadine à 5 mg ont diminué les critères secondaires «nombre de papules» et «taille de la papule la plus volumineuse» par rapport au placebo.
- +L'urticaire chronique idiopathique a été étudiée comme modèle clinique des autres formes d'urticaire parce que les patients chroniques peuvent être plus facilement recrutés prospectivement.
- +L'efficacité et la sécurité d'emploi des comprimés de desloratadine à la posologie de 5 mg/jour ont été étudiées chez 416 patients âgés de 12 à 84 ans atteints d'urticaire chronique idiopathique; 211 de ces patients ont reçu desloratadine. Dans deux études cliniques en double aveugle, contrôlées par placebo, randomisées, d'une durée de six semaines, les comprimés de desloratadine ont entraîné une réduction significative de l'intensité du prurit par rapport au placebo lors de l'examen primaire fixé au préalable au bout d'une semaine (Tableau 3). Des critères d'évaluation secondaires ont également été étudiés: au cours de la première semaine de traitement, les comprimés de desloratadine à 5 mg ont diminué les critères secondaires «nombre de papules» et «taille de la papule la plus volumineuse» par rapport au placebo.
-Modifications survenues dans la première semaine d’une étude clinique chez des patients atteints d’urticaire chronique idiopathique
-Groupe de Score Modification Comparaison
-traitement initial par rapport par rapport
-(n) moyen* au score au placebo
- (SEM) initial** (valeur p)
- (SEM)
-Desloratadine 2,19 –1,05 p= <0,01
-5,0 mg (115) (0,04) (0,07)
-Placebo 2,21 –0,52
-(110) (0,04) (0,07)
-
-* Le prurit a été évalué à l’aide d’un score allant de 0 à 3: 0= absence de symptômes; 3= maximum de symptômes.
- +Modifications survenues dans la première semaine d'une étude clinique chez des patients atteints d'urticaire chronique idiopathique
- +Groupe de traitement (n) Score initial moyen* (SEM) Modification par rapport au score initial** (SEM) Comparaison par rapport au placebo (valeur p)
- +Desloratadine 5,0 mg (115) 2,19 (0,04) –1,05 (0,07) p= <0,01
- +Placebo (110) 2,21 (0,04) –0,52 (0,07)
- +
- +* Le prurit a été évalué à l'aide d'un score allant de 0 à 3: 0= absence de symptômes; 3= maximum de symptômes.
-La desloratadine est bien absorbée; la concentration sérique maximale est atteinte environ 3 heures après l’administration. La desloratadine est décelable dans le plasma 30 minutes après l’administration. La biodisponibilité de la desloratadine (Cmax et AUC) est proportionnelle à la dose dans la fourchette comprise entre 5 mg et 20 mg. La biodisponibilité absolue n’est pas connue. La biodisponibilité de la desloratadine est la même après l’administration de 5 mg de desloratadine ou de 10 mg de loratadine.
- +La desloratadine est bien absorbée; la concentration sérique maximale est atteinte environ 3 heures après l'administration. La desloratadine est décelable dans le plasma 30 minutes après l'administration. La biodisponibilité de la desloratadine (Cmax et AUC) est proportionnelle à la dose dans la fourchette comprise entre 5 mg et 20 mg. La biodisponibilité absolue n'est pas connue. La biodisponibilité de la desloratadine est la même après l'administration de 5 mg de desloratadine ou de 10 mg de loratadine.
-La liaison de la desloratadine aux protéines plasmatiques est modérée (83%–87%). Chez les patients souffrant d’insuffisance rénale ou hépatique, la liaison aux protéines de la desloratadine et de la 3-hydroxy-desloratadine est restée inchangée. Il n’existe aucun indice en faveur d’une accumulation cliniquement significative après une prise quotidienne unique de desloratadine (5–20 mg) pendant 14 jours.
- +La liaison de la desloratadine aux protéines plasmatiques est modérée (83%–87%). Chez les patients souffrant d'insuffisance rénale ou hépatique, la liaison aux protéines de la desloratadine et de la 3-hydroxy-desloratadine est restée inchangée. Il n'existe aucun indice en faveur d'une accumulation cliniquement significative après une prise quotidienne unique de desloratadine (5–20 mg) pendant 14 jours.
-La desloratadine est largement métabolisée en 3-hydroxy-desloratadine, son métabolite actif, puis subit une glucuronidation. On ne connaît pas les enzymes responsables du métabolisme de la desloratadine. C’est pourquoi on ne peut pas exclure des interactions avec d’autres médicaments. Des études in vivo avec des inhibiteurs spécifiques du CYP3A4 et du CYP2A6 ont démontré que ces enzymes ne sont pas importantes pour le métabolisme de la desloratadine.
-Chez une partie de la population, la transformation de la desloratadine en 3-hydroxy-desloratadine est nettement ralentie, suite à un polymorphisme phénotypique dans le métabolisme, encore non élucidé. Environ 2% des Caucasiens et plus de 20% des Noirs présentent un rapport AUC DL/3-OH-DL >10 (normal <4) et sont qualifiés de métaboliseurs lents. Après la prise de doses répétées, l’exposition à la desloratadine (AUC) était six fois plus élevée chez des sujets adultes classés métaboliseurs lents que chez des sujets ayant un métabolisme normal. Les répercussions pharmacodynamiques de cette variante, notamment sur l’intervalle QTc, n’ont pas été complètement élucidées jusqu’ici.
-L’exposition à la desloratadine après la prise de doses répétées n’a pas été étudiée chez l’enfant.
- +La desloratadine est largement métabolisée en 3-hydroxy-desloratadine, son métabolite actif, puis subit une glucuronidation. On ne connaît pas les enzymes responsables du métabolisme de la desloratadine. C'est pourquoi on ne peut pas exclure des interactions avec d'autres médicaments. Des études in vivo avec des inhibiteurs spécifiques du CYP 3A4 et du CYP 2A6 ont démontré que ces enzymes ne sont pas importantes pour le métabolisme de la desloratadine.
- +Chez une partie de la population, la transformation de la desloratadine en 3-hydroxy-desloratadine est nettement ralentie, suite à un polymorphisme phénotypique dans le métabolisme, encore non élucidé. Environ 2% des Caucasiens et plus de 20% des Noirs présentent un rapport AUC DL/3-OH-DL >10 (normal <4) et sont qualifiés de métaboliseurs lents. Après la prise de doses répétées, l'exposition à la desloratadine (AUC) était six fois plus élevée chez des sujets adultes classés métaboliseurs lents que chez des sujets ayant un métabolisme normal. Les répercussions pharmacodynamiques de cette variante, notamment sur l'intervalle QTc, n'ont pas été complètement élucidées jusqu'ici.
- +L'exposition à la desloratadine après la prise de doses répétées n'a pas été étudiée chez l'enfant.
-La demi-vie terminale est d’environ 27 h. L’accumulation de la desloratadine a correspondu à sa demi-vie (environ 27 h) et à une administration une fois par jour. Une étude relative à l’équilibre des masses réalisée chez l’homme a montré qu’on retrouvait environ 87% de la dose totale de 14C-desloratadine sous forme de métabolites, répartis de façon équilibrée dans les urines et les fèces. L’analyse de la 3-hydroxy-desloratadine dans le plasma a mis en évidence un tmax et une demi-vie équivalents à ceux de la desloratadine. La desloratadine n’est pas éliminée par hémodialyse.
-Etudes d’interactions
-Dans les études d’interactions à doses répétées, la prise concomitante de 7,5 mg de desloratadine et de kétoconazole ou d’érythromycine a entraîné une faible augmentation de la concentration plasmatique de desloratadine (AUC), respectivement de 39% et 14%. En outre, on a observé une augmentation du métabolite actif, la 3-hydroxy-desloratadine, de 72% avec le kétoconazole et de 40% avec l’érythromycine. Aucune modification de l’ECG n’est survenue. Au cours de la prise concomitante de 5 mg de desloratadine et d’azithromycine, on a observé une augmentation des concentrations sériques maximales de 15% et de l’AUC de 5%. L’azithromycine n’a exercé aucune influence sur les paramètres pharmacocinétiques de la desloratadine.
- +La demi-vie terminale est d'environ 27 h. L'accumulation de la desloratadine a correspondu à sa demi-vie (environ 27 h) et à une administration une fois par jour. Une étude relative à l'équilibre des masses réalisée chez l'homme a montré qu'on retrouvait environ 87% de la dose totale de 14C-desloratadine sous forme de métabolites, répartis de façon équilibrée dans les urines et les fèces. L'analyse de la 3-hydroxy-desloratadine dans le plasma a mis en évidence un tmax et une demi-vie équivalents à ceux de la desloratadine. La desloratadine n'est pas éliminée par hémodialyse.
- +Etudes d'interactions
- +Dans les études d'interactions à doses répétées, la prise concomitante de 7,5 mg de desloratadine et de kétoconazole ou d'érythromycine a entraîné une faible augmentation de la concentration plasmatique de desloratadine (AUC), respectivement de 39% et 14%. En outre, on a observé une augmentation du métabolite actif, la 3-hydroxy-desloratadine, de 72% avec le kétoconazole et de 40% avec l'érythromycine. Aucune modification de l'ECG n'est survenue. Au cours de la prise concomitante de 5 mg de desloratadine et d'azithromycine, on a observé une augmentation des concentrations sériques maximales de 15% et de l'AUC de 5%. L'azithromycine n'a exercé aucune influence sur les paramètres pharmacocinétiques de la desloratadine.
-Influence de l’alimentation
-Une étude à dose unique de 7,5 mg de desloratadine n’a pas montré d’influence de l’alimentation (petit-déjeuner hypercalorique riche en graisses) sur la pharmacocinétique de la desloratadine.
-Dans une autre étude, le jus de pamplemousse n’a pas eu d’influence sur la biodisponibilité de la desloratadine.
- +Influence de l'alimentation
- +Une étude à dose unique de 7,5 mg de desloratadine n'a pas montré d'influence de l'alimentation (petit-déjeuner hypercalorique riche en graisses) sur la pharmacocinétique de la desloratadine.
- +Dans une autre étude, le jus de pamplemousse n'a pas eu d'influence sur la biodisponibilité de la desloratadine.
-On ne dispose d’aucune expérience relative à l’administration répétée de la desloratadine chez des patients souffrant d’insuffisance rénale. Chez des patients présentant une insuffisance rénale stable de différents degrés, l’AUC de la desloratadine était multipliée par 1,5 voire 2,5 après une dose unique et la concentration de la 3-hydroxy-desloratadine était modifiée de manière minimale. La desloratadine n’était éliminée qu’en faible proportion (0,3%) par l’hémodialyse. Par ailleurs, la liaison aux protéines plasmatiques de la desloratadine et de la 3-hydroxy-desloratadine n’était pas modifiée en cas d’affections rénales; par conséquent la concentration du principe actif libre n’était pas non plus modifiée.
- +On ne dispose d'aucune expérience relative à l'administration répétée de la desloratadine chez des patients souffrant d'insuffisance rénale. Chez des patients présentant une insuffisance rénale stable de différents degrés, l'AUC de la desloratadine était multipliée par 1,5 voire 2,5 après une dose unique et la concentration de la 3-hydroxy-desloratadine était modifiée de manière minimale. La desloratadine n'était éliminée qu'en faible proportion (0,3%) par l'hémodialyse. Par ailleurs, la liaison aux protéines plasmatiques de la desloratadine et de la 3-hydroxy-desloratadine n'était pas modifiée en cas d'affections rénales; par conséquent la concentration du principe actif libre n'était pas non plus modifiée.
-Chez les patients souffrant d’une insuffisance hépatique modérée, l’aire sous la courbe (AUC) peut être multipliée par un facteur allant jusqu’à 3. La liaison aux protéines plasmatiques de la desloratadine et de la 3-hydroxy-desloratadine n’était pas modifiée chez les patients atteints d’une affection hépatique. La fréquence des effets indésirables n’était pas augmentée lors d’un traitement de 10 jours au maximum et chez des patients atteints d’une atteinte hépatique modérée (Child B).
- +Chez les patients souffrant d'une insuffisance hépatique modérée, l'aire sous la courbe (AUC) peut être multipliée par un facteur allant jusqu'à 3. La liaison aux protéines plasmatiques de la desloratadine et de la 3-hydroxy-desloratadine n'était pas modifiée chez les patients atteints d'une affection hépatique. La fréquence des effets indésirables n'était pas augmentée lors d'un traitement de 10 jours au maximum et chez des patients atteints d'une atteinte hépatique modérée (Child B).
-Dans des études séparées à dose unique, les valeurs de l’AUC et de la Cmax chez les patients pédiatriques étaient, aux doses recommandées, comparables à celles trouvées chez les adultes recevant 5 mg de desloratadine.
- +Dans des études séparées à dose unique, les valeurs de l'AUC et de la Cmax chez les patients pédiatriques étaient, aux doses recommandées, comparables à celles trouvées chez les adultes recevant 5 mg de desloratadine.
-Le potentiel cancérigène de la desloratadine a été examiné au cours d’une étude menée chez la souris et au cours d’une étude menée avec la loratadine chez le rat. La loratadine a été administrée avec la nourriture lors d’une étude réalisée chez le rat pendant 2 ans, à une dose allant jusqu’à 25 mg/kg/jour. Cette dose correspond à une exposition systémique à la desloratadine et à ses métabolites (représentée par l’AUC) environ 30 fois supérieure à celle obtenue chez l’être humain avec la dose journalière recommandée. Une augmentation significative de l’incidence des tumeurs hépatocellulaires (adénomes et carcinomes) a été observée chez les animaux mâles ayant reçu 10 mg/kg/jour de loratadine ainsi que chez les animaux mâles et femelles ayant reçu 25 mg/kg/jour de loratadine. L’exposition présumée à la desloratadine et aux métabolites de la loratadine chez le rat ayant reçu 10 mg/kg/jour, correspond à environ 7 fois l’AUC obtenue chez l’être humain avec la dose journalière recommandée. La pertinence clinique de ces observations pour une administration de desloratadine de longue durée est inconnue.
-Une étude menée chez la souris pendant 2 ans avec des doses allant jusqu’à 16 mg/kg/jour pour les mâles et jusqu’à 32 mg/kg/jour pour les femelles, n’a mis en évidence aucune augmentation significative de l’incidence des tumeurs, quelles qu’elles soient. L’exposition estimée à la desloratadine et aux métabolites de la loratadine chez la souris recevant ces doses correspond à une AUC environ 12 fois supérieure pour les mâles et environ 27 fois supérieure pour les femelles à celle obtenue chez l’être humain avec la dose orale quotidienne recommandée.
- +Le potentiel cancérigène de la desloratadine a été examiné au cours d'une étude menée chez la souris et au cours d'une étude menée avec la loratadine chez le rat. La loratadine a été administrée avec la nourriture lors d'une étude réalisée chez le rat pendant 2 ans, à une dose allant jusqu'à 25 mg/kg/jour. Cette dose correspond à une exposition systémique à la desloratadine et à ses métabolites (représentée par l'AUC) environ 30 fois supérieure à celle obtenue chez l'être humain avec la dose journalière recommandée. Une augmentation significative de l'incidence des tumeurs hépatocellulaires (adénomes et carcinomes) a été observée chez les animaux mâles ayant reçu 10 mg/kg/jour de loratadine ainsi que chez les animaux mâles et femelles ayant reçu 25 mg/kg/jour de loratadine. L'exposition présumée à la desloratadine et aux métabolites de la loratadine chez le rat ayant reçu 10 mg/kg/jour, correspond à environ 7 fois l'AUC obtenue chez l'être humain avec la dose journalière recommandée. La pertinence clinique de ces observations pour une administration de desloratadine de longue durée est inconnue.
- +Une étude menée chez la souris pendant 2 ans avec des doses allant jusqu'à 16 mg/kg/jour pour les mâles et jusqu'à 32 mg/kg/jour pour les femelles, n'a mis en évidence aucune augmentation significative de l'incidence des tumeurs, quelles qu'elles soient. L'exposition estimée à la desloratadine et aux métabolites de la loratadine chez la souris recevant ces doses correspond à une AUC environ 12 fois supérieure pour les mâles et environ 27 fois supérieure pour les femelles à celle obtenue chez l'être humain avec la dose orale quotidienne recommandée.
-Des études réalisées chez des rats à qui on a administré des doses par kg de poids corporel 34 fois supérieures à la dose clinique recommandée chez l’homme, n’ont pas montré d’influence de la desloratadine sur la fertilité. A des doses très élevées, on a toutefois observé une diminution de la fertilité chez les rats mâles.
- +Des études réalisées chez des rats à qui on a administré des doses par kg de poids corporel 34 fois supérieures à la dose clinique recommandée chez l'homme, n'ont pas montré d'influence de la desloratadine sur la fertilité. A des doses très élevées, on a toutefois observé une diminution de la fertilité chez les rats mâles.
-Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «Exp.» sur le récipient.
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
-Conserver le médicament dans l’emballage original, à temperature ambiante (15–25 °C), à l’abri de l’humidité et hors de la portée de la portée des enfants.
- +Conserver dans l'emballage original, à température ambiante (15–25 °C), à l'abri de l'humidité et hors de la portée des enfants.
-Desloratadine Sandoz cpr pell 10. (B)
-Desloratadine Sandoz cpr pell 30. (B)
-Desloratadine Sandoz cpr pell 50. (B)
- +Desloratadine Sandoz: emballages de 10, 30 ou 50 comprimés pelliculés [B]
-Sandoz Pharmaceuticals SA, Risch.
-Domicile
-Rotkreuz.
- +Sandoz Pharmaceuticals SA, Risch; domicile: Rotkreuz.
-Juin 2010.
- +Mars 2015.
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