58 Changements de l'information professionelle Dretine 28 |
-Lactab jaunes:
-Principes actifs: Drospirenonum, Ethinylestradiolum.
-Excipients: Lactosum, Excipiens pro compresso obducto.
-Placebo-Lactab blancs:
-Excipients: Lactosum, Excipiens pro compresso obducto.
-Forme galénique et quantité de principe actif par unité
-21 Lactab jaunes à 3 mg de drospirénone et 0,03 mg d’éthinylestradiol.
-7 Lactab blanc sans principes actifs.
- +Principes actifs
- +Comprimés jaunes:
- +Drospirenonum, Ethinylestradiolum.
- +Excipients
- +Comprimés jaunes:
- +Lactosum, Excipiens pro compresso obducto.
- +Placebocomprimés blancs:
- +Lactosum, Excipiens pro compresso obducto.
-Les Lactab doivent être pris dans l’ordre indiqué sur l’emballage, si possible au même moment de la journée et de préférence avec un liquide. Prendre un Lactab par jour pendant 28 jours consécutifs, en commençant par les Lactab jaunes contenant les principes actifs, suivis des Placebo-Lactab blancs. Une nouvelle plaquette sera entamée le jour suivant la prise du dernier Lactab de la plaquette précédente. Une hémorragie de privation a lieu normalement 2–3 jours après avoir débuté la prise des Placebo-Lactab. Elle peut se poursuivre même après avoir entamé la plaquette suivante (voir également à ce propos «Conduite à tenir en cas d’irrégularité des saignements»).
- +Les comprimés doivent être pris dans l’ordre indiqué sur l’emballage, si possible au même moment de la journée et de préférence avec un liquide. Prendre un comprimé par jour pendant 28 jours consécutifs, en commençant par les comprimés jaunes contenant les principes actifs, suivis des Placebocomprimés blancs. Une nouvelle plaquette sera entamée le jour suivant la prise du dernier comprimé de la plaquette précédente. Une hémorragie de privation a lieu normalement 2–3 jours après avoir débuté la prise des Placebocomprimés. Elle peut se poursuivre même après avoir entamé la plaquette suivante (voir également à ce propos «Conduite à tenir en cas d’irrégularité des saignements»).
- +Instauration du traitement
- +
-Commencer la prise des Lactab le 1er jour du cycle (= 1er jour des règles). Il est également possible de commencer entre le 2e et le 5e jour du cycle; il est dans ce cas recommandé, lors du premier cycle, de recourir durant les 7 premiers jours de la prise à des méthodes contraceptives supplémentaires non hormonales (p.ex. le préservatif, mais pas la méthode d'abstinence périodique d'Ogino-Knaus ou la méthode des températures).
- +Commencer la prise des comprimés le 1er jour du cycle (= 1er jour des règles). Il est également possible de commencer entre le 2e et le 5e jour du cycle; il est dans ce cas recommandé, lors du premier cycle, de recourir durant les 7 premiers jours de la prise à des méthodes contraceptives supplémentaires non hormonales (p.ex. le préservatif, mais pas la méthode d'abstinence périodique d'Ogino-Knaus ou la méthode des températures).
- +Ajustement de la posologie du fait d’effets indésirables / d’interactions
- +Conduite à tenir en cas de troubles gastro-intestinaux
- +En cas de troubles gastro-intestinaux sévères – quelle que soit leur cause (c.-à-d. aussi en cas de diarrhée d’origine médicamenteuse, etc.) – l’absorption peut être incomplète et des méthodes de contraception supplémentaires doivent être utilisées.
- +En cas de vomissements dans les 3 à 4 heures suivant la prise, se conformer aux règles de base mentionnées au paragraphe «Conduite à tenir en cas d’oubli de la prise». Afin que le schéma habituel de la prise puisse être conservé, la patiente doit prendre le comprimé supplémentaire dans une plaquette de réserve.
- +Décalage des règles
- +Report des règles à une date ultérieure (prolongation du cycle)
- +La patiente doit commencer directement la prise des comprimés (contenant les principes actifs) de la plaquette suivante sans respecter l’intervalle placebo. Elle peut ainsi retarder ses règles aussi longtemps qu’elle le désire (mais au maximum jusqu’au dernier comprimé avec principes actifs de cette deuxième plaquette). Pendant cette période, de légères pertes sanguinolentes ou des métrorragies peuvent se produire plus fréquemment. La prise régulière de Dretine 28 est ensuite poursuivie après la phase placebo habituelle.
- +Avancée de la date des règles
- +La patiente peut avancer le début de ses règles à un autre jour de la semaine en abrégeant, selon son désir, la phase placebo. Plus le nombre de Placebocomprimés omis est élevé, moins l’hémorragie de privation est probable et plus les légères pertes sanguinolentes et les métrorragies sont fréquentes (similairement au report des règles à une date ultérieure).
- +Conduite à tenir en cas d’irrégularité des saignements
- +Comme c’est le cas pour tous les CHC, des saignements irréguliers (légères pertes sanguinolentes ou métrorragies) peuvent se produire, surtout pendant les premiers mois d’utilisation. C’est pourquoi un bilan diagnostique visant à rechercher la cause de saignements irréguliers ne se justifie qu’après une période d’adaptation de 3 cycles environ. La prise de Dretine 28 doit être poursuivie.
- +Si ces irrégularités persistent ou si des saignements irréguliers apparaissent pour la première fois après plusieurs cycles de saignements réguliers, il faudra également envisager des causes non hormonales. Il est recommandé de recourir à des méthodes diagnostiques appropriées en vue d’exclure la possibilité d’une grossesse ou d’une affection maligne. Ces méthodes peuvent comprendre un curetage.
- +L’hémorragie de privation peut éventuellement être absente au cours de l’intervalle placebo (comprimés blancs). Une grossesse est improbable si le CHC a été utilisé selon la posologie prescrite. Si toutefois le CHC n’a pas été pris conformément aux prescriptions avant l’absence de la première hémorragie de privation, ou en l’absence de deux hémorragies de privation, il convient d’exclure l’éventualité d’une grossesse avant de poursuivre l’utilisation du CHC.
- +
-Après un avortement au premier trimestre de la grossesse
- +Instructions posologiques particulièresAprès un avortement au premier trimestre de la grossesse
-Conduite à tenir en cas d’oubli de la prise d’un Lactab jaune contenant les principes actifs
-Si la patiente a oublié de prendre son Lactab quotidien à l’heure habituelle et qu’elle s’en rend compte dans les 12 heures qui suivent, elle doit alors prendre le Lactab immédiatement. Les Lactab suivants seront à nouveau pris à l’heure habituelle. Dans ce cas, l’efficacité du contraceptif n’est pas altérée.
- +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
- +Dretine 28 est contre-indiqué chez les femmes atteintes d’insuffisance hépatique sévère (voir également «Contre-indications»).
- +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
- +Dretine 28 est contre-indiqué chez les femmes atteintes d’insuffisance rénale sévère ou d’insuffisance rénale aiguë (voir aussi «Contre-indications»). La kaliémie doit être surveillée chez les femmes souffrant d’insuffisance légère à modérée.
- +Patients âgés
- +Dretine 28 n’est pas recommandé après la ménopause.
- +Enfants et adolescents
- +L’efficacité et la sécurité ont été examinées chez des femmes âgées de 18 ans et plus. Chez les adolescentes (si indication), la posologie recommandée est la même que chez les adultes.
- +Prise retardée
- +Conduite à tenir en cas d’oubli de la prise d’un comprimé jaune contenant les principes actifs
- +Si la patiente a oublié de prendre son comprimé quotidien à l’heure habituelle et qu’elle s’en rend compte dans les 12 heures qui suivent, elle doit alors prendre le comprimés immédiatement. Les comprimés suivants seront à nouveau pris à l’heure habituelle. Dans ce cas, l’efficacité du contraceptif n’est pas altérée.
-La patiente doit prendre le Lactab oublié aussitôt qu’elle se rend compte de l’oubli, même si elle doit de ce fait prendre 2 Lactab le même jour. Elle devra continuer à prendre quotidiennement les Lactab suivants à l’heure habituelle. Pendant les 7 jours suivants, il lui faudra recourir en plus à une méthode de contraception non hormonale. Si des rapports sexuels ont eu lieu lors les 7 jours précédents, il faut alors envisager l’éventualité d’une grossesse. Plus le nombre de Lactab oubliés est important et plus ces oublis sont proches de l’intervalle placebo, plus le risque d’une grossesse est élevé.
- +La patiente doit prendre le comprimés oublié aussitôt qu’elle se rend compte de l’oubli, même si elle doit de ce fait prendre 2 comprimés le même jour. Elle devra continuer à prendre quotidiennement les comprimés suivants à l’heure habituelle. Pendant les 7 jours suivants, il lui faudra recourir en plus à une méthode de contraception non hormonale. Si des rapports sexuels ont eu lieu lors les 7 jours précédents, il faut alors envisager l’éventualité d’une grossesse. Plus le nombre de comprimés oubliés est important et plus ces oublis sont proches de l’intervalle placebo, plus le risque d’une grossesse est élevé.
-La patiente doit prendre le Lactab oublié aussitôt qu’elle se rend compte de l’oubli, même si elle doit de ce fait prendre 2 Lactab le même jour. Elle devra continuer à prendre quotidiennement les Lactab suivants à l’heure habituelle. Aucune mesure contraceptive supplémentaire n’est nécessaire à condition que la prise des Lactab ait été régulière pendant les 7 jours précédents. Dans le cas contraire ou si plus d’un Lactab a été oublié, il lui faudra utiliser en plus une méthode de contraception non hormonale durant les 7 jours suivants.
- +La patiente doit prendre le comprimé oublié aussitôt qu’elle se rend compte de l’oubli, même si elle doit de ce fait prendre 2 comprimés le même jour. Elle devra continuer à prendre quotidiennement les comprimés suivants à l’heure habituelle. Aucune mesure contraceptive supplémentaire n’est nécessaire à condition que la prise des comprimés ait été régulière pendant les 7 jours précédents. Dans le cas contraire ou si plus d’un comprimé a été oublié, il lui faudra utiliser en plus une méthode de contraception non hormonale durant les 7 jours suivants.
-1.La patiente doit prendre le Lactab oublié aussitôt qu’elle se rend compte de son oubli, même si elle doit de ce fait prendre 2 Lactab le même jour. Les Lactab suivants doivent être pris à l’heure habituelle jusqu'au dernier Lactab contenant des principes actifs. Il ne faut pas prendre les 7 Placebo-Lactab blancs. La prise des Lactab de la prochaine plaquette doit être débutée le jour suivant la prise du dernier Lactab jaune.
- +1.La patiente doit prendre le comprimé oublié aussitôt qu’elle se rend compte de son oubli, même si elle doit de ce fait prendre 2 comprimés le même jour. Les comprimés suivants doivent être pris à l’heure habituelle jusqu'au dernier comprimé contenant des principes actifs. Il ne faut pas prendre les 7 Placebocomprimés blancs. La prise des comprimés de la prochaine plaquette doit être débutée le jour suivant la prise du dernier comprimé jaune.
-2.La patiente doit cesser de prendre les Lactab de la plaquette en cours. Après une pause de 7 jours au maximum (jour de l’oubli du Lactab compris), la patiente commence la plaquette suivante.
- +2.La patiente doit cesser de prendre les comprimés de la plaquette en cours. Après une pause de 7 jours au maximum (jour de l’oubli du comprimé compris), la patiente commence la plaquette suivante.
-Conduite à tenir en cas de troubles gastro-intestinaux
-En cas de troubles gastro-intestinaux sévères – quelle que soit leur cause (c.-à-d. aussi en cas de diarrhée d’origine médicamenteuse, etc.) – l’absorption peut être incomplète et des méthodes de contraception supplémentaires doivent être utilisées.
-En cas de vomissements dans les 3 à 4 heures suivant la prise, se conformer aux règles de base mentionnées au paragraphe «Conduite à tenir en cas d’oubli de la prise». Afin que le schéma habituel de la prise puisse être conservé, la patiente doit prendre le Lactab supplémentaire dans une plaquette de réserve.
-Décalage des règles
-Report des règles à une date ultérieure (prolongation du cycle)
-La patiente doit commencer directement la prise des Lactab (contenant les principes actifs) de la plaquette suivante sans respecter l’intervalle placebo. Elle peut ainsi retarder ses règles aussi longtemps qu’elle le désire (mais au maximum jusqu’au dernier Lactab avec principes actifs de cette deuxième plaquette). Pendant cette période, de légères pertes sanguinolentes ou des métrorragies peuvent se produire plus fréquemment. La prise régulière de Dretine 28 est ensuite poursuivie après la phase placebo habituelle.
-Avancée de la date des règles
-La patiente peut avancer le début de ses règles à un autre jour de la semaine en abrégeant, selon son désir, la phase placebo. Plus le nombre de Placebo-Lactab omis est élevé, moins l’hémorragie de privation est probable et plus les légères pertes sanguinolentes et les métrorragies sont fréquentes (similairement au report des règles à une date ultérieure).
-Conduite à tenir en cas d’irrégularité des saignements
-Comme c’est le cas pour tous les CHC, des saignements irréguliers (légères pertes sanguinolentes ou métrorragies) peuvent se produire, surtout pendant les premiers mois d’utilisation. C’est pourquoi un bilan diagnostique visant à rechercher la cause de saignements irréguliers ne se justifie qu’après une période d’adaptation de 3 cycles environ. La prise de Dretine 28 doit être poursuivie.
-Si ces irrégularités persistent ou si des saignements irréguliers apparaissent pour la première fois après plusieurs cycles de saignements réguliers, il faudra également envisager des causes non hormonales. Il est recommandé de recourir à des méthodes diagnostiques appropriées en vue d’exclure la possibilité d’une grossesse ou d’une affection maligne. Ces méthodes peuvent comprendre un curetage.
-L’hémorragie de privation peut éventuellement être absente au cours de l’intervalle placebo (Lactab blancs). Une grossesse est improbable si le CHC a été utilisé selon la posologie prescrite. Si toutefois le CHC n’a pas été pris conformément aux prescriptions avant l’absence de la première hémorragie de privation, ou en l’absence de deux hémorragies de privation, il convient d’exclure l’éventualité d’une grossesse avant de poursuivre l’utilisation du CHC.
-Instructions spéciales pour la posologie
-Enfants et adolescents
-L’efficacité et la sécurité ont été examinées chez des femmes âgées de 18 ans et plus. Chez les adolescentes (si indication), la posologie recommandée est la même que chez les adultes.
-Patientes âgées
-Dretine 28 n’est pas recommandé après la ménopause.
-Insuffisance hépatique
-Dretine 28 est contre-indiqué chez les femmes atteintes d’insuffisance hépatique sévère (voir également «Contre-indications»).
-Insuffisance rénale
-Dretine 28 est contre-indiqué chez les femmes atteintes d’insuffisance rénale sévère ou d’insuffisance rénale aiguë (voir aussi «Contre-indications»). La kaliémie doit être surveillée chez les femmes souffrant d’insuffisance légère à modérée.
-Hypertension artérielle
- +Hypertension artérielle
-Dyslipoprotéinémie
-Valvulopathie cardiaque
-Fibrillation auriculaire
- +Dyslipoprotéinémie
- +Valvulopathie cardiaque
- +Fibrillation auriculaire
-Chaque Lactab jaune contient 62 mg de lactose, chaque Lactab blanc contient 89,5 mg de lactose. Les patientes qui sont atteintes d’une intolérance au galactose, une maladie héréditaire rare, d’un déficit en Lapp-lactase ou d’une malabsorption du glucose-galactose et qui suivent un régime sans lactose doivent tenir compte de ces quantités.
- +Chaque comprimé jaune contient 62 mg de lactose, chaque comprimé blanc contient 89,5 mg de lactose. Les patientes qui sont atteintes d’une intolérance au galactose, une maladie héréditaire rare, d’un déficit en Lapp-lactase ou d’une malabsorption du glucose-galactose et qui suivent un régime sans lactose doivent tenir compte de ces quantités.
-Influence d’autres substances sur la pharmacocinétique des contraceptifs hormonaux
- +Interactions pharmacocinétiques
- +Interférence avec le métabolisme entéro-hépatique
- +En cas de prise simultanée et sur une courte durée (jusqu’à 10 jours) d’antibiotiques qui n’interagissent pas avec le système enzymatique du CYP3A4, aucune interaction pharmacocinétique n’est à prévoir. Il est cependant nécessaire d’avertir la patiente que dans certains cas, la maladie (p. ex. maladie vénérienne) contre laquelle l’antibiotique est utilisé peut nécessiter en complément l’utilisation d’une méthode contraceptive mécanique.
- +En cas de co-médication de longue durée avec des antibiotiques (p. ex. en cas d’ostéomyélite ou de borréliose), les données d’interaction actuellement disponibles sont insuffisantes. Pour exclure avec certitude toute grossesse, il est dans de tels cas recommandé d’utiliser en complément une méthode contraceptive mécanique pendant la durée de l’antibiothérapie et pendant les 7 jours qui suivent la fin de ce traitement.
- +En cas d’apparition de diarrhées et/ou de vomissements sous traitement antibiotique, se référer aux indications dans le paragraphe «Comportement lors de troubles gastro-intestinaux» dans la rubrique «Posologie/Mode d’emploi».
- +Interactions pharmacodynamiques
- +La kaliémie sérique doit être surveillée lors de la prise simultanée de Dretine 28 et de médicaments qui augmentent les concentrations sériques de potassium (antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II, diurétiques d’épargne potassique, antagonistes de l’aldostérone). Cependant, au cours des études portant sur l’interaction entre la drospirénone (combinée à l’oestradiol) et un inhibiteur de l’IEC ou les AINS (p.ex. l’indométhacine), aucune différence cliniquement pertinente ou statistiquement significative n’a été mise en évidence au niveau des concentrations sériques de potassium.
-Une induction enzymatique peut déjà être observée après quelques jours seulement. L’induction enzymatique maximale est géneralement atteinte au bout de 2 à 3 semaines et peut persister pendant 4 semaines ou plus après l’arrêt de ces médicaments. Les femmes traitées sur une courte période par un de ces médicaments doivent provisoirement utiliser une méthode de contraception non hormonale en complément au CHC ou choisir une autre méthode contraceptive. Une méthode de contraception mécanique doit être poursuivie pendant toute la prise concomitante des médicaments et encore pendant 28 jours après l’arrêt du traitement. Lorsque la prise concomitante d’un inducteur enzymatique dure au-delà de la fin de l’emballage du CHC, il faut passer immédiatement après la prise du dernier Lactab contenant du principe actif à l’emballage suivant, donc sauter la prise des 7 Placebo-Lactab.
- +Une induction enzymatique peut déjà être observée après quelques jours seulement. L’induction enzymatique maximale est géneralement atteinte au bout de 2 à 3 semaines et peut persister pendant 4 semaines ou plus après l’arrêt de ces médicaments. Les femmes traitées sur une courte période par un de ces médicaments doivent provisoirement utiliser une méthode de contraception non hormonale en complément au CHC ou choisir une autre méthode contraceptive. Une méthode de contraception mécanique doit être poursuivie pendant toute la prise concomitante des médicaments et encore pendant 28 jours après l’arrêt du traitement. Lorsque la prise concomitante d’un inducteur enzymatique dure au-delà de la fin de l’emballage du CHC, il faut passer immédiatement après la prise du dernier comprimés contenant du principe actif à l’emballage suivant, donc sauter la prise des 7 Placebocomprimés.
-Inhibiteurs forts et modérés du CYP3A comme les antifongiques azolés (p.ex. itraconazole, voriconazole, fluconazole), les macrolides (clarithromycine, érythromycine), diltiazem, vérapamil et le jus de pamplemousse peuvent augmenter les taux plasmatiques des estrogènes et ou des progestatifs et entraîner des effets indésirables plus nombreux.
- +Inhibiteurs forts et modérés du CYP3A4 comme les antifongiques azolés (p.ex. itraconazole, voriconazole, fluconazole), les macrolides (clarithromycine, érythromycine), diltiazem, vérapamil et le jus de pamplemousse peuvent augmenter les taux plasmatiques des estrogènes et ou des progestatifs et entraîner des effets indésirables plus nombreux.
-Interférence avec le métabolisme entéro-hépatique
-En cas de prise simultanée et sur une courte durée (jusqu’à 10 jours) d’antibiotiques qui n’interagissent pas avec le système enzymatique du CYP3A4, aucune interaction pharmacocinétique n’est à prévoir. Il est cependant nécessaire d’avertir la patiente que dans certains cas, la maladie (p. ex. maladie vénérienne) contre laquelle l’antibiotique est utilisé peut nécessiter en complément l’utilisation d’une méthode contraceptive mécanique.
-En cas de co-médication de longue durée avec des antibiotiques (p. ex. en cas d’ostéomyélite ou de borréliose), les données d’interaction actuellement disponibles sont insuffisantes. Pour exclure avec certitude toute grossesse, il est dans de tels cas recommandé d’utiliser en complément une méthode contraceptive mécanique pendant la durée de l’antibiothérapie et pendant les 7 jours qui suivent la fin de ce traitement.
-En cas d’apparition de diarrhées et/ou de vomissements sous traitement antibiotique, se référer aux indications dans le paragraphe «Comportement lors de troubles gastro-intestinaux» dans la rubrique «Posologie/Mode d’emploi».
- +Autres interactions
- +Interactions au mécanisme inconnu
- +Dans des études cliniques, une augmentation de l'ALT significativement plus fréquente (y compris les cas d'une augmentation de plus du quintuple, dans des cas isolés de plus de 20 fois la limite supérieure de la normale [LSN]), que chez les patientes uniquement traitées par des principes antiviraux a été observée sous l'utilisation concomitante d'un CHC contenant de l'éthinylestradiol et de l'association des principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir utilisée dans le traitement des infections à VIH. Par conséquent, Dretine 28 doit être arrêté avant l'instauration d'un traitement par une telle association antivirale (voir également «Mises en garde et précautions»).
- +Effet de Dretine 28 sur d’autres médicaments
-Interactions pharmacodynamiques
-La kaliémie sérique doit être surveillée lors de la prise simultanée de Dretine 28 et de médicaments qui augmentent les concentrations sériques de potassium (antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II, diurétiques d’épargne potassique, antagonistes de l’aldostérone). Cependant, au cours des études portant sur l’interaction entre la drospirénone (combinée à l’oestradiol) et un inhibiteur de l’IEC ou les AINS (p.ex. l’indométhacine), aucune différence cliniquement pertinente ou statistiquement significative n’a été mise en évidence au niveau des concentrations sériques de potassium.
-Interactions au mécanisme inconnu
-Dans des études cliniques, une augmentation de l'ALT significativement plus fréquente (y compris les cas d'une augmentation de plus du quintuple, dans des cas isolés de plus de 20 fois la limite supérieure de la normale [LSN]), que chez les patientes uniquement traitées par des principes antiviraux a été observée sous l'utilisation concomitante d'un CHC contenant de l'éthinylestradiol et de l'association des principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir utilisée dans le traitement des infections à VIH. Par conséquent, Dretine 28 doit être arrêté avant l'instauration d'un traitement par une telle association antivirale (voir également «Mises en garde et précautions»).
-Grossesse/Allaitement
- +Grossesse, allaitement
- +Grossesse
-Des études expérimentales animales suggèrent des risques pour le foetus (voir aussi «Données précliniques»).
-La plupart des études épidémiologiques réalisées jusqu'ici n'ont toutefois montré aucun indice en faveur d'un effet embryotoxique ou tératogène lors de l'utilisation accidentelle de CHC pendant la grossesse.
- +Des études expérimentales animales suggèrent des risques pour le foetus (voir aussi «Données précliniques»). La plupart des études épidémiologiques réalisées jusqu'ici n'ont toutefois montré aucun indice en faveur d'un effet embryotoxique ou tératogène lors de l'utilisation accidentelle de CHC pendant la grossesse.
- +Allaitement
- +
-Affections gastrointestinales
- +Affections gastro-intestinales
-Affections de la peau et du tissu souscutané
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
- +L’annonce d’effets secondaires présumés après l’autorisation est d’une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d’effet secondaire nouveau ou grave via le portail d’annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
- +
-On ne dispose pas de rapports mentionnant des conséquences sévères suite à un surdosage. Les symptômes d’un surdosage sont: nausées, vomissements et saignements vaginaux. Ces derniers peuvent également survenir chez les jeunes filles avant la ménarche suite à la prise accidentelle de la préparation.
- +On ne dispose pas de rapports mentionnant des conséquences sévères suite à un surdosage.
- +Signes et symptômes
- +Les symptômes d’un surdosage sont: nausées, vomissements et saignements vaginaux. Ces derniers peuvent également survenir chez les jeunes filles avant la ménarche suite à la prise accidentelle de la préparation.
- +Traitement
- +
-Code ATC: G03AA12
- +Code ATC : G03AA12
- +Pharmacodynamique
- +Pas d’information.
- +
-Drospirénone
- +Drospirenon
- +Ethinylestradiol
- +Après administration orale, l’éthinylestradiol est absorbé rapidement et complètement. Des taux sériques maximaux de 54–100 pg/ml environ sont atteints 1–2 heures après administration d’une dose unique. La biodisponibilité absolue est de 45% en moyenne (avec des variations de 20–65%) en raison d’une métabolisation présystémique (effet de premier passage).
- +Drospirénone
-État d’équilibre (steady state)
-La pharmacocinétique de la drospirénone n’est pas influencée par les concentrations de SHBG. Pendant la prise quotidienne, les concentrations sériques de la drospirénone sont multipliées par 2 à 3 et l’état d’équilibre est atteint dans la deuxième moitié du cycle de traitement.
- +Ethinylestradiol
- +L’éthinylestradiol est lié très fortement, mais de manière non spécifique, à l’albumine sérique (env. 98,5%) et induit une augmentation de la concentration sérique de la SHBG. Le volume de distribution est d’environ 2,8–8,6 l/kg.
-La drospirénone est presque complètement métabolisée. Les principaux métabolites plasmatiques sont la forme acide de la drospirénone, formée par l’ouverture du cycle lactone, et le 4,5-dihydro-drospirénone-3-sulfate, formé par réduction puis sulfatation. La drospirénone est aussi soumise à un métabolisme oxydatif catalysé par le CYP3A4.
-Aucune interaction n’a été constatée lors de l’administration simultanée de drospirénone et d’éthinylestradiol.
- +Drospirénone
- +La drospirénone est presque complètement métabolisée. Les principaux métabolites plasmatiques sont la forme acide de la drospirénone, formée par l’ouverture du cycle lactone, et le 4,5-dihydro-drospirénone-3-sulfate, formé par réduction puis sulfatation. La drospirénone est aussi soumise à un métabolisme oxydatif catalysé par le CYP3A4. Aucune interaction n’a été constatée lors de l’administration simultanée de drospirénone et d’éthinylestradiol.
- +Ethinylestradiol
- +L’éthinylestradiol subit un métabolisme présystémique aussi bien dans la muqueuse de l’intestin grêle que dans le foie. Dans la muqueuse intestinale grêle, l’éthinylestradiol est conjugué et dans le foie, il est dégradé par un métabolisme de phase I (métabolites principaux: 2-hydroxy-éthinylestradiol et 2-méthoxy-éthinylestradiol) et une conjugaison. La CYP3A4 participe au métabolisme. L’éthinylestradiol et ses métabolites oxydatifs sont essentiellement métabolisés en dérivés glucuronoconjugués et sulfoconjugués.
- +Drospirénone
- +
-Cinétique chez certains groupes de patientes
-Patientes avec insuffisance rénale
-À l’état d’équilibre, les taux sériques de drospirénone chez les femmes avec insuffisance rénale légère (clairance de la créatinine [CLcr] 50–80 ml/min) étaient comparables aux valeurs mesurées dans le groupe à fonction rénale normale (CLcr >80 ml/min). Chez des femmes souffrant d’insuffisance rénale modérée (CLcr 30–50 ml/min), les taux sériques de drospirénone (AUC0–24h) étaient en moyenne de 37% plus élevés que chez les femmes ayant une fonction rénale normale.
-Patientes avec insuffisance hépatique
- +Ethinylestradiol
- +Les taux sériques d’éthinylestradiol diminuent de manière biphasique, avec une demi-vie terminale de 10–20 heures. La clairance totale est d’env. 2,3–7 ml/min/kg. L’éthinylestradiol est entièrement métabolisé et ses métabolites, qui sont éliminés par les urines et la bile dans un rapport de 4:6, ont une demi-vie d’env. 24 heures. Les dérivés conjugués subissent une circulation entéro-hépatique.
- +Linéarité/non-linéarité
- +Drospirénone
- +La pharmacocinétique de la drospirénone n’est pas influencée par les concentrations de SHBG. Pendant la prise quotidienne, les concentrations sériques de la drospirénone sont multipliées par 2 à 3 et l’état d’équilibre est atteint dans la deuxième moitié du cycle de traitement.
- +Ethinylestradiol
- +L’état d’équilibre est atteint dans la deuxième moitié du cycle de traitement, les concentrations sériques d’éthinylestradiol augmentant d’un facteur de 1,4–2,1.
- +Cinétique pour certains groupes de patients
- +Troubles de la fonction hépatique
- +Drospirénone
- +
-Groupes ethniques
- +Ethinylestradiol
- +On ne dispose pas de données sur la pharmacocinétique de l’éthinylestradiol chez des femmes atteintes d’insuffisance hépatique.
- +Troubles de la fonction rénale
- +Drospirénone
- +À l’état d’équilibre, les taux sériques de drospirénone chez les femmes avec insuffisance rénale légère (clairance de la créatinine [CLcr] 50–80 ml/min) étaient comparables aux valeurs mesurées dans le groupe à fonction rénale normale (CLcr >80 ml/min). Chez des femmes souffrant d’insuffisance rénale modérée (CLcr 30–50 ml/min), les taux sériques de drospirénone (AUC0–24h) étaient en moyenne de 37% plus élevés que chez les femmes ayant une fonction rénale normale.
- +Ethinylestradiol
- +On ne dispose pas de données sur la pharmacocinétique de l’éthinylestradiol chez des femmes atteintes d’insuffisance rénale.
- +Polymorphismes génétiques
- +Drospirénone
-Éthinylestradiol
-Absorption
-Après administration orale, l’éthinylestradiol est absorbé rapidement et complètement. Des taux sériques maximaux de 54–100 pg/ml environ sont atteints 1–2 heures après administration d’une dose unique. La biodisponibilité absolue est de 45% en moyenne (avec des variations de 20–65%) en raison d’une métabolisation présystémique (effet de premier passage).
-Distribution
-L’éthinylestradiol est lié très fortement, mais de manière non spécifique, à l’albumine sérique (env. 98,5%) et induit une augmentation de la concentration sérique de la SHBG. Le volume de distribution est d’environ 2,8–8,6 l/kg.
-État d’équilibre (steady state)
-L’état d’équilibre est atteint dans la deuxième moitié du cycle de traitement, les concentrations sériques d’éthinylestradiol augmentant d’un facteur de 1,4–2,1.
-Métabolisme
-L’éthinylestradiol subit un métabolisme présystémique aussi bien dans la muqueuse de l’intestin grêle que dans le foie. Dans la muqueuse intestinale grêle, l’éthinylestradiol est conjugué et dans le foie, il est dégradé par un métabolisme de phase I (métabolites principaux: 2-hydroxy-éthinylestradiol et 2-méthoxy-éthinylestradiol) et une conjugaison. La CYP3A4 participe au métabolisme. L’éthinylestradiol et ses métabolites oxydatifs sont essentiellement métabolisés en dérivés glucuronoconjugués et sulfoconjugués.
-Élimination
-Les taux sériques d’éthinylestradiol diminuent de manière biphasique, avec une demi-vie terminale de 10–20 heures. La clairance totale est d’env. 2,3–7 ml/min/kg. L’éthinylestradiol est entièrement métabolisé et ses métabolites, qui sont éliminés par les urines et la bile dans un rapport de 4:6, ont une demi-vie d’env. 24 heures. Les dérivés conjugués subissent une circulation entéro-hépatique.
-Cinétique chez certains groupes de patientes
-On ne dispose pas de données sur la pharmacocinétique de l’éthinylestradiol chez des femmes atteintes d’insuffisance rénale ou hépatique.
- +Ethinylestradiol
- +Mutagénicité
- +Toxicité sur la reproduction
-Remarques concernant le stockage
-Conserver Dretine 28 à température ambiante (15–25 °C).
-Tenir hors de portée des enfants.
- +Remarques particulières concernant le stockage
- +Conserver à température ambiante (15-25°C).
- +Conserver dans l’emballage d’origine.
- +Conserver hors de portée des enfants.
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