62 Changements de l'information professionelle Ropinirol Sandoz Retard 2 mg |
-Excipiens pro compresso obducto.
- +2 mg: Hypromellosum, lactosum monohydricum 164,72 mg, silica colloidalis anhydrica, carbomerum, ricini oleum hydrogenatum, magnesii stearas, Pelliculage: hypromellosum, macrogolum 400, titanii dioxidum (E171), ferri oxidum rubrum (E172), ferri oxidum flavum (E172).
- +4 mg: Hypromellosum, lactosum monohydricum 162,44 mg, silica colloidalis anhydrica, carbomerum, ricini oleum hydrogenatum, magnesii stearas, Pelliculage: hypromellosum, macrogolum 400, titanii dioxidum (E171), ferri oxidum rubrum (E172), ferri oxidum flavum (E172), ferri oxidum nigrum (E172).
- +8 mg: Hypromellosum, lactosum monohydricum 157,88 mg, silica colloidalis anhydrica, carbomerum, ricini oleum hydrogenatum, magnesii stearas, Pelliculage: hypromellosum, macrogolum 400, titanii dioxidum (E171), ferri oxidum rubrum (E172), ferri oxidum flavum (E172), ferri oxidum nigrum (E172).
-Traitement de la maladie de Parkinson. Ropinirole Sandoz Retard est efficace en traitement précoce. L'association de Ropinirole Sandoz Retard avec la lévodopa renforce l'effet du traitement, ce qui permet de réduire la dose journalière de lévodopa. Les fluctuations «on-off» et les effets «fin de dose», survenant lors d'un traitement de longue durée par la lévodopa sont diminués par un traitement adjuvant faisant appel à Ropinirole Sandoz Retard.
- +Traitement de la maladie de Parkinson. Ropinirole Sandoz Retard est efficace en traitement précoce. L'association de Ropinirole Sandoz Retard avec la lévodopa renforce l'effet du traitement, ce qui permet de réduire la dose journalière de lévodopa. Les fluctuations «on-off» et les effets «fin de dose» survenant lors d'un traitement de longue durée par la lévodopa sont diminués par un traitement adjuvant faisant appel à Ropinirole Sandoz Retard.
-Il est recommandé de procéder à une titration individuelle de la dose en fonction de l'efficacité et de la tolérance. Ropinirole Sandoz Retard devrait être pris en une seule dose journalière, dans la mesure du possible toujours au même moment de la journée. Les comprimés pelliculés à libération prolongée peuvent être pris pendant, mais aussi en dehors des repas.
-Les comprimés pelliculés à libération prolongée doivent être avalés intacts, c.-à-d. sans être croqués, écrasés ou fractionnés.
- +Il est recommandé de procéder à une titration individuelle de la dose en fonction de l'efficacité et de la tolérance. Ropinirole Sandoz Retard devrait être pris en une seule dose journalière, dans la mesure du possible toujours au même moment de la journée. Les comprimés à libération modifiée peuvent être pris pendant, mais aussi en dehors des repas.
- +Les comprimés à libération modifiée doivent être avalés intacts, c.-à-d. sans être croqués, écrasés ou fractionnés.
-Si un contrôle suffisant des symptômes ne peut être atteint ou que celui-ci ne peut être maintenu à une posologie de 8 mg une fois par jour, il est possible d'augmenter la dose journalière de Ropinirole Sandoz Retard, selon le besoin, par paliers de 2 mg à 4 mg à intervalles d'au moins 2 semaines ou plus. La dose journalière maximale de Ropinirole Sandoz Retard est de 24 mg.
- +Si un contrôle suffisant des symptômes ne peut toujours pas être atteint ou que celui-ci ne peut être maintenu à une posologie de 8 mg une fois par jour, il est possible d'augmenter la dose journalière de Ropinirole Sandoz Retard, par paliers de 2 mg à 4 mg à intervalles d'au moins 2 semaines ou plus. La dose journalière maximale de Ropinirole Sandoz Retard est de 24 mg.
-Lorsque le ropinirole est administré en association avec la lévodopa, la dose de lévodopa peut progressivement être réduite en fonction de la réponse clinique. Dans les études cliniques réalisées chez les patients ayant reçu des comprimés pelliculés à libération prolongée de ropinirole en même temps que la lévodopa, la dose de lévodopa a été progressivement réduite de quelque 30%. Chez les patients atteints de la maladie de Parkinson à un stade avancé et recevant le ropinirole en association avec la lévodopa, des dyskinésies peuvent survenir pendant la titration initiale de la dose de ropinirole. Il a été montré dans le cadre d'études cliniques qu'une réduction de la dose de lévodopa peut entraîner une amélioration des dyskinésies (voir «Effets indésirables»).
-Comme pour d'autres agonistes dopaminergiques, l'arrêt du traitement par le ropinirole doit se faire progressivement en réduisant la dose quotidiennes sur une période d'une semaine (voir «Mises en garde et précautions»).
-Au cas où le traitement serait suspendu pour un ou plusieurs jours, une reprise du traitement doit être envisagée avec une titration de la dose (voir plus haut).
- +Lorsque le ropinirole est administré en association avec la lévodopa, la dose de lévodopa peut progressivement être réduite en fonction de la réponse clinique. Dans les études cliniques réalisées chez les patients ayant reçu des comprimés à libération modifiée de ropinirole en même temps que la lévodopa, la dose de lévodopa a été progressivement réduite d'environ 30%. Chez les patients atteints de la maladie de Parkinson à un stade avancé et recevant le ropinirole en association avec la lévodopa, des dyskinésies peuvent survenir pendant la titration initiale de la dose de ropinirole. Il a été montré dans le cadre d'études cliniques qu'une réduction de la dose de lévodopa peut entraîner une amélioration des dyskinésies (voir «Effets indésirables»).
- +Comme pour d'autres agonistes dopaminergiques, l'arrêt du traitement par le ropinirole doit se faire progressivement en réduisant la dose quotidienne sur une période d'une semaine (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Dans le cas où le traitement serait suspendu pendant un ou plusieurs jours, une reprise du traitement doit être envisagée avec une titration de la dose (voir plus haut).
-Bien que la clairance du ropinirole chez les patients à partir de 65 ans soit réduite, la posologie peut être ajustée de manière habituelle chez ces patients.
- +Bien que la clairance du ropinirole chez les patients de 65 ans et plus soit réduite, la posologie peut être titrée de manière habituelle chez ces patients.
-Chez les patients souffrant d'insuffisance rénale légère à modérée (clairance de la créatinine de 30 à 50 ml/min), aucun ajustement de la dose n'est requis.
- +Chez les patients souffrant d'insuffisance rénale légère à modérée (clairance de la créatinine de 30 à 50 mL/min), aucun ajustement de la dose n'est requis.
-Dans ces cas, la dose initiale recommandée est de 2 mg 1 fois par jour pour les comprimés pelliculés de Ropinirole Sandoz Retard. La dose devrait ensuite être augmentée en fonction de la tolérance et de l'efficacité respectives. La dose maximale recommandée chez les patients se soumettant régulièrement à une dialyse est de 18 mg/jour. Il n'est pas nécessaire d'administrer de doses complémentaires après la dialyse.
-L'utilisation du ropinirole chez les patients atteints d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine inférieure à 30 ml/min) et ne se soumettant pas régulièrement à une dialyse n'a pas été étudiée.
- +Dans ces cas, la dose initiale recommandée est de 2 mg 1 fois par jour pour les comprimés à libération modifiée de Ropinirole Sandoz Retard. La dose devrait ensuite être augmentée en fonction de la tolérance et de l'efficacité respectives. La dose maximale recommandée chez les patients se soumettant régulièrement à une dialyse est de 18 mg/jour. Il n'est pas nécessaire d'administrer de doses complémentaires après la dialyse.
- +L'utilisation du ropinirole chez les patients atteints d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine inférieure à 30 mL/min) et ne se soumettant pas régulièrement à une dialyse n'a pas été étudiée.
-·une hypersensibilité au ropinirole ou à l'un des excipients;
-·une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min) sans dialyse régulière (voir «Posologie/Mode d'emploi»);
-·une insuffisance hépatique.
- +·une hypersensibilité au ropinirole ou à l'un des excipients
- +·une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 mL/min) sans dialyse régulière (voir «Posologie/Mode d'emploi»)
- +·une insuffisance hépatique
-Le ropinirole a été associé à une somnolence excessive et à des endormissements soudains. On a rapporté occasionnellement des endormissements soudains durant des activités de tous les jours. Dans certains cas, de tels épisodes sont survenus sans signes avertisseurs avant-coureurs ou de façon inconsciente. Les patients doivent en être informés et être avertis de se montrer prudents s'ils conduisent un véhicule à moteur ou utilisent des machines pendant le traitement au ropinirole. Les patients chez lesquels une somnolence excessive et/ou des endormissements soudains se manifestent ne doivent pas conduire des véhicules ou utiliser des machines. On envisagera une réduction de la dose ou un arrêt du traitement (voir «Effets sur l'aptitude à la conduite et l'utilisation de machines» et «Effets indésirables»).
- +Le ropinirole a été associé à une somnolence excessive et à des endormissements soudains. On a rapporté occasionnellement des endormissements soudains durant des activités de tous les jours. Dans certains cas, de tels épisodes sont survenus sans signes avant-coureurs ou de façon inconsciente. Les patients doivent en être informés et être avertis de se montrer prudents s'ils conduisent un véhicule à moteur ou utilisent des machines pendant le traitement par le ropinirole. Les patients chez lesquels une somnolence excessive et/ou des endormissements soudains se manifestent ne doivent pas conduire des véhicules ni utiliser des machines. On envisagera une réduction de la dose ou un arrêt du traitement (voir «Effets sur l'aptitude à la conduite et l'utilisation de machines» et «Effets indésirables»).
-Les patients souffrant de troubles dépressifs graves avec des symptômes psychotiques et délirants et les patients souffrant de troubles psychotiques ou ayant des antécédents de troubles psychotiques ne doivent être traités par les agonistes dopaminergiques qu'après un examen minutieux du rapport bénéfices/risques (voir aussi «Interactions»).
- +Les patients souffrant de troubles dépressifs sévères avec des symptômes psychotiques et délirants et les patients souffrant de troubles psychotiques ou ayant des antécédents de troubles psychotiques ne doivent être traités par les agonistes dopaminergiques qu'après un examen minutieux du rapport bénéfices/risques (voir aussi «Interactions»).
-Des troubles du contrôle des impulsions (incapacité à résister aux impulsions) et des troubles maniaques ont été rapportés chez des patients traités par des principes actifs dopaminergiques, dont le ropinirole. Ainsi, ont été signalés, p.ex. un jeu compulsif pathologique, une augmentation de la libido, y compris une hypersexualité, des achats compulsifs et des fringales (binge eating) (voir «Effets indésirables – Effets indésirables identifiés après la mise sur le marché»). En cas de développement de tels symptômes, il convient d'envisager une réduction de la dose ou un arrêt progressif du traitement, car ces symptômes peuvent ainsi être réversibles. Dans certains cas signalés sous ropinirole, il y avait également d'autres facteurs, par exemple un antécédent de comportement compulsif ou un traitement dopaminergique concomitant. Comme les patients ne perçoivent pas forcément ces symptômes comme anormaux, il convient de les interroger régulièrement, ainsi que leurs soignants, sur l'existence de troubles du contrôle des impulsions.
- +Des troubles du contrôle des impulsions (incapacité à résister aux impulsions) et des troubles maniaques ont été rapportés chez des patients traités par des principes actifs dopaminergiques, dont le ropinirole. Ainsi, ont été signalés, p.ex. une dépendance pathologique au jeu, une augmentation de la libido, y compris une hypersexualité, des achats compulsifs et des fringales (binge eating) (voir «Effets indésirables – Effets indésirables identifiés après la mise sur le marché»). En cas de développement de tels symptômes, il convient d'envisager une réduction de la dose ou un arrêt progressif du traitement, car ces symptômes peuvent ainsi être réversibles. Dans certains cas signalés sous ropinirole, il y avait également d'autres facteurs, par exemple un antécédent de comportement compulsif ou un traitement dopaminergique concomitant. Comme les patients ne perçoivent pas forcément ces symptômes comme anormaux, il convient de les interroger régulièrement, ainsi que leurs soignants, sur l'existence de troubles du contrôle des impulsions.
-Lors de l'arrêt du traitement, la dose de ropinirole doit être réduite progressivement (voir «Posologie/Mode d'emploi»). Des effets indésirables non-moteurs peuvent survenir lors de la réduction progressive de la dose ou de l'arrêt des agonistes dopaminergiques y compris le ropinirole. Les symptômes comprennent: insomnie, apathie, anxiété, dépression, épuisement, sueurs et parfois fortes douleurs. Les patients doivent en être informés avant de réduire la dose, puis être surveillés régulièrement. En cas de symptômes persistants, il pourrait s'avérer nécessaire d'augmenter temporairement la dose de ropinirole (voir «Effets indésirables»).
- +Lors de l'arrêt du traitement, la dose de ropinirole doit être réduite progressivement (voir «Posologie/Mode d'emploi»). Des effets indésirables non-moteurs peuvent survenir lors de la réduction progressive de la dose ou de l'arrêt des agonistes dopaminergiques, y compris le ropinirole. Les symptômes comprennent: insomnie, apathie, anxiété, dépression, épuisement, sueurs et parfois fortes douleurs. Les patients doivent en être informés avant de réduire la dose, puis être surveillés régulièrement. En cas de symptômes persistants, il pourrait s'avérer nécessaire d'augmenter temporairement la dose de ropinirole (voir «Effets indésirables»).
-Des symptômes évocateurs d'un syndrome malin des neuroleptiques ont été rapportés en cas d'arrêt brutal du traitement dopaminergique. C'est pourquoi il est recommandé d'arrêter progressivement le traitement (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Des symptômes évocateurs d'un syndrome malin des neuroleptiques ont été rapportés en cas d'arrêt brutal du traitement dopaminergique. Il est donc recommandé d'arrêter progressivement le traitement (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
-Les comprimés pelliculés à libération prolongée Ropinirole Sandoz Retard libèrent le principe actif sur une période de 24 heures. En cas de transit gastro-intestinal accéléré (p.ex. lors de maladies accompagnées de diarrhées, de syndrome du côlon irritable après résection intestinale, lors de la prise de laxatifs), il y a un risque de libération/absorption incomplète du principe actif et, par conséquent, d'excrétion d'une partie de la quantité de principe actif avec les selles. Selon les circonstances, il est aussi possible que des résidus de comprimés soient éliminés avec les selles.
- +Les comprimés à libération modifiée de Ropinirole Sandoz Retard libèrent le principe actif sur une période de 24 heures. En cas de transit gastro-intestinal accéléré (p.ex. lors de maladies accompagnées de diarrhées, de syndrome du côlon irritable après résection intestinale, lors de la prise de laxatifs), il y a un risque de libération/absorption incomplète du principe actif et, par conséquent, d'excrétion d'une partie de la quantité de principe actif avec les selles. Selon les circonstances, il est aussi possible que des résidus de comprimés soient éliminés avec les selles.
- +Excipients revêtant un intérêt particulier
- +Ropinirole Sandoz retard comprimés à libération modifiée contiennent du lactose. Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
- +
-Il n'existe aucune information sur les interactions éventuelles entre le ropinirole et l'alcool. En raison des effets additifs, les patients doivent être mis en garde contre la prise d'alcool pendant le traitement par Ropinirole Sandoz Retard. La prudence s'impose également lorsque les patients prennent d'autres médicaments à effet sédatif conjointement avec Ropinirole Sandoz Retard.
- +Il n'existe aucune information sur les interactions éventuelles entre le ropinirole et l'alcool. En raison des effets additifs potentiels, les patients doivent être mis en garde contre la prise d'alcool pendant le traitement par Ropinirole Sandoz Retard. La prudence s'impose également lorsque les patients prennent d'autres médicaments à effet sédatif conjointement avec Ropinirole Sandoz Retard.
- +Aucune étude correspondante n'a été effectuée.
- +
-Les patients devraient être informés de la possibilité d'endormissement soudain sans symptômes avant-coureurs ou d'une somnolence diurne extrême (voir «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables»). Ils doivent être avertis que leur sécurité et celle d'autres personnes est compromise si ces effets indésirables surviennent pendant la conduite de véhicules ou l'utilisation de machines. Il faut déconseiller aux patients d'entreprendre de telles activités au cas où ils souffriraient de somnolence diurne extrême et/ou d'endormissement soudain jusqu'à ce que l'on dispose d'expériences suffisantes à ce sujet.
- +Les patients devraient être informés de la possibilité d'endormissement soudain sans symptômes avant-coureurs ou d'une somnolence diurne extrême (voir «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables»). Ils doivent être avertis que leur sécurité et celle d'autres personnes est compromise si ces effets indésirables surviennent pendant la conduite de véhicules ou l'utilisation de machines. Il faut déconseiller aux patients d'entreprendre de telles activités dans le cas où ils souffriraient de somnolence diurne extrême et/ou d'endormissement soudain jusqu'à ce que l'on dispose d'expériences suffisantes à ce sujet.
-Ci-après, les effets indésirables sont répertoriés par classe d'organe et par fréquence. Les fréquences sont définies selon les catégories suivantes: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 et <1/10), occasionnels (≥1/1000 et <1/100), rares (≥1/10'000 et <1/1000) et très rares (<1/10'000), y compris les cas isolés signalés.
-Effets secondaires survenus dans les études cliniques
- +Ci-après, les effets indésirables sont répertoriés par classe d'organe et par fréquence. Les fréquences sont définies selon les catégories suivantes: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1000 à <1/100), rares (≥1/10'000 à <1/1000) et très rares (<1/10'000), fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
- +Effets secondaires survenus dans les études cliniques:
-Occasionnels réactions psychotiques (à l'exception des hallucinations), y compris idées délirantes, paranoïa, délire. Troubles du contrôle des impulsions. Ont été signalés, p.ex., jeu compulsif pathologique, augmentation de la libido, y compris hypersexualité, achats compulsifs et fringales (binge eating) (voir «Mises en garde et précautions»). Agressivité*
- +Occasionnels réactions psychotiques (à l'exception des hallucinations), y compris idées délirantes, paranoïa, délire. Troubles du contrôle des impulsions. Ont été signalés, p.ex., dépendance pathologique au jeu, augmentation de la libido, y compris hypersexualité, achats compulsifs et fringales (binge eating) (voir «Mises en garde et précautions»). Agressivité*
-Le syndrome de dysrégulation dopaminergique (SDD) est un trouble addictif observé chez certains patients traités par ropinirole. Les patients atteints d'un tel syndrome montrent une utilisation abusive compulsive du médicament dopaminergique au-delà des doses nécessaires pour contrôler les symptômes moteurs de la maladie de Parkinson, ce qui peut entraîner dans certains cas des dyskinésies sévères notamment (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
- +Le syndrome de dysrégulation dopaminergique (SDD) est un trouble addictif observé chez certains patients traités par ropinirole. Les patients atteints d'un tel syndrome montrent une utilisation abusive compulsive du médicament dopaminergique au-delà des doses nécessaires pour contrôler les symptômes moteurs de la maladie de Parkinson, ce qui peut entraîner dans certains cas des dyskinésies sévères (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
-†† Syndrome de sevrage aux agonistes dopaminergiques (incluant insomnie, apathie, anxiété, dépression, fatigue, sueurs et douleurs).
- +†† Syndrome de sevrage aux agonistes dopaminergiques (incluant insomnie, apathie, anxiété, dépression, épuisement, sueurs et douleurs).
-Dans le cadre d'une étude avec permutations en trois phases, effectuée en double aveugle sur une période de 36 semaines chez 161 patients, l'efficacité et la sécurité du ropinirole, comprimés pelliculés à libération prolongée, ont été comparées à celles du ropinirole, comprimés pelliculés, administrés en monothérapie aux sujets atteints de la maladie de Parkinson à des stades précoces (SK&F-101468\168). La différence thérapeutique de modification du score moteur de l'échelle UPDRS (Unified Parkinson's Disease Rating Scale, motor score) par rapport à la valeur initiale (avec une limite d'infériorité de 3 points selon la définition) a servi de paramètre principal de cette étude (dans laquelle la non-infériorité a été étudiée). Il a été mis en évidence que les comprimés pelliculés à libération prolongée de ropinirole n'ont pas été inférieurs aux comprimés pelliculés de ropinirole en ce qui concerne le paramètre principal: après un ajustement approprié des valeurs, la différence moyenne entre le ropinirole, comprimés pelliculés à libération prolongée, et le ropinirole, comprimés pelliculés, était à la fin de l'étude de –0,7 points (IC à 95%: [–1,51, 0,10], p= 0,0842).
- +Dans le cadre d'une étude avec permutations en trois phases, effectuée en double aveugle sur une période de 36 semaines chez 161 patients, l'efficacité et la sécurité du ropinirole, comprimés à libération modifiée, ont été comparées à celles du ropinirole, comprimés pelliculés, administrés en monothérapie aux sujets atteints de la maladie de Parkinson à des stades précoces (SK&F-101468\168). La différence thérapeutique de modification du score moteur de l'échelle UPDRS (Unified Parkinson's Disease Rating Scale, motor score) par rapport à la valeur initiale (avec une limite d'infériorité de 3 points selon la définition) a servi de paramètre principal de cette étude (dans laquelle la non-infériorité a été étudiée). Il a été mis en évidence que les comprimés à libération modifiée de ropinirole n'ont pas été inférieurs aux comprimés pelliculés de ropinirole en ce qui concerne le paramètre principal: après un ajustement approprié des valeurs, la différence moyenne entre le ropinirole, comprimés à libération modifiée, et le ropinirole, comprimés pelliculés, était à la fin de l'étude de –0,7 points (IC à 95%: [–1,51, 0,10], p= 0,0842).
-Dans le cadre d'une étude en double insu, entreprise sur une période de 24 semaines au sein de groupes parallèles et contrôlée par un placebo, l'efficacité et la sécurité du ropinirole, comprimés pelliculés à libération prolongée administrés en traitement associé, ont été évaluées chez les patients parkinsoniens chez lesquels le traitement par la lévodopa n'avait pas procuré un contrôle optimal (SK&F-101468\169). La preuve d'une supériorité cliniquement et statistiquement significative par rapport au placebo a été fournie pour les comprimés pelliculés à libération prolongée de ropinirole au niveau du paramètre principal: modification de la durée de veille en état «off» par rapport à la valeur initiale (différence thérapeutique moyenne après l'ajustement: –1,7 heures (IC à 95%: [–2,34, –1,09], p <0,0001)).
-La probabilité qu'un patient ayant reçu des comprimés pelliculés à libération prolongée de ropinirole soit classé comme répondeur sur l'échelle d'amélioration globale CGI était plus forte que chez les patients sous placebo (42% (83/200) pour les comprimés pelliculés à libération prolongée; 14% (27/189) pour le placebo; rapport des probabilités 4,4 (IC à 95%: [2,63, 7,20], p <0,001)). De même, la probabilité qu'un patient ayant reçu des comprimés pelliculés à libération prolongée de ropinirole soit classé comme répondeur à l'égard du paramètre principal composite (réduction de 20% par rapport à la valeur initiale en ce qui concerne la dose de lévodopa et la durée dans l'état «off») était plus forte que pour les patients sous placebo (52% (103/200) pour les comprimés pelliculés à libération prolongée; 20% (38/190) pour le placebo; rapport des probabilités 4,3 (IC à 95%: [2,73, 6,78], p <0,001)).
-Les résultats obtenus pour le paramètre principal ont été étayés par la supériorité, significative sur le plan clinique et statistique par rapport au placebo, observée pour les paramètres d'efficacité secondaires, tels que la durée de veille totale en état «on» (1,7 heures (IC à 95%: [1,06, 2,33], p <0,0001)) et la durée de veille totale en état «on» sans dyskinésies gênantes (1,5 heures (IC à 95%: [0,85, 2,13], p <0,0001)). Ce qui importe, c'est le fait que, par rapport aux valeurs initiales, ni les cartes journalières ni les items sur l'échelle UPDRS n'ont fourni d'indice évoquant une détérioration de la durée de veille en état «on» avec des dyskinésies gênantes.
- +Dans le cadre d'une étude en double insu, entreprise sur une période de 24 semaines au sein de groupes parallèles et contrôlée par un placebo, l'efficacité et la sécurité du ropinirole, comprimés à libération modifiée administrés en traitement associé, ont été évaluées chez les patients parkinsoniens chez lesquels le traitement par la lévodopa n'avait pas procuré un contrôle optimal (SK&F-101468\169). La preuve d'une supériorité cliniquement et statistiquement significative par rapport au placebo a été fournie pour les comprimés à libération modifiée de ropinirole au niveau du paramètre principal: modification de la durée de veille en état «off» par rapport à la valeur initiale (différence thérapeutique moyenne après l'ajustement: –1,7 heure (IC à 95%: [–2,34, –1,09], p <0,0001)).
- +La probabilité qu'un patient ayant reçu des comprimés à libération modifiée de ropinirole soit classé comme répondeur sur l'échelle d'amélioration globale CGI était plus forte que chez les patients sous placebo (42% (83/200) pour les comprimés à libération modifiée; 14% (27/189) pour le placebo; rapport des probabilités 4,4 (IC à 95%: [2,63, 7,20], p <0,001)). De même, la probabilité qu'un patient ayant reçu des comprimés à libération modifiée de ropinirole soit classé comme répondeur à l'égard du paramètre principal composite (réduction de 20% par rapport à la valeur initiale en ce qui concerne la dose de lévodopa et la durée dans l'état «off») était plus forte que pour les patients sous placebo (52% (103/200) pour les comprimés à libération modifiée; 20% (38/190) pour le placebo; rapport des probabilités 4,3 (IC à 95%: [2,73, 6,78], p <0,001)).
- +Les résultats obtenus pour le paramètre principal ont été étayés par la supériorité, significative sur le plan clinique et statistique par rapport au placebo, observée pour les paramètres d'efficacité secondaires, tels que la durée de veille totale en état «on» (1,7 heure (IC à 95%: [1,06, 2,33], p <0,0001)) et la durée de veille totale en état «on» sans dyskinésies gênantes (1,5 heure (IC à 95%: [0,85, 2,13], p <0,0001)). Ce qui importe, c'est le fait que, par rapport aux valeurs initiales, ni les cartes journalières ni les items sur l'échelle UPDRS n'ont fourni d'indice évoquant une détérioration de la durée de veille en état «on» avec des dyskinésies gênantes.
-D'importantes fluctuations interindividuelles ont été observées au niveau des paramètres pharmacocinétiques, tant avec les comprimés pelliculés à libération prolongée. La biodisponibilité du ropinirole est d'environ 50% (36 à 57%), tant pour les comprimés pelliculés à libération prolongée.
- +D'importantes fluctuations interindividuelles ont été observées au niveau des paramètres pharmacocinétiques, tant avec les comprimés à libération modifiée. La biodisponibilité du ropinirole est d'environ 50% (36 à 57%), tant pour les comprimés à libération modifiée.
-Après administration orale de ropinirole, comprimés pelliculés à libération prolongée, les taux plasmatiques n'augmentent que lentement, la durée moyenne (valeur médiane) jusqu'à l'obtention de la Cmax étant de 6 h.
-Dans une étude évaluant l'état d'équilibre chez des patients parkinsoniens ayant reçu 12 mg de ropinirole comprimés pelliculés à libération prolongée 1 fois par jour, un repas riche en graisses a augmenté l'exposition systémique au ropinirole, ce qui s'est traduit par une augmentation moyenne de l'AUC de 20% et de la Cmax de 44%. Le Tmax a été retardé de 3,0 heures. Dans les études réalisées sur la sécurité et l'efficacité du ropinirole comprimés pelliculés à libération prolongée, il a pourtant été demandé aux patients de prendre le médicament de l'étude sans se préoccuper de la prise de repas.
- +Après administration orale de ropinirole, comprimés à libération modifiée, les taux plasmatiques n'augmentent que lentement, la durée moyenne (valeur médiane) jusqu'à l'obtention de la Cmax étant de 6 h.
- +Dans une étude évaluant l'état d'équilibre chez des patients parkinsoniens ayant reçu 12 mg de ropinirole comprimés à libération modifiée 1 fois par jour, un repas riche en graisses a augmenté l'exposition systémique au ropinirole, ce qui s'est traduit par une augmentation moyenne de l'AUC de 20% et de la Cmax de 44%. Le Tmax a été retardé de 3,0 heures. Dans les études réalisées sur la sécurité et l'efficacité du ropinirole comprimés à libération modifiée, il a pourtant été demandé aux patients de prendre le médicament de l'étude sans se préoccuper de la prise de repas.
-Aucune adaptation de la dose n'est nécessaire pour les patients parkinsoniens dont la fonction rénale est légèrement ou moyennement réduite (clairance de la créatinine de 30–50 ml/min).
-Chez les patients atteints d'une néphropathie au stade terminal et se soumettant régulièrement à une dialyse, la clairance du ropinirole après administration orale est réduite de 30% environ. La dose maximale recommandée est de 18 mg/jour (voir «Posologie/Mode d'emploi; insuffisance rénale»).
- +Aucune adaptation de la dose n'est nécessaire pour les patients parkinsoniens dont la fonction rénale est légèrement ou moyennement réduite (clairance de la créatinine de 30–50 mL/min).
- +Chez les patients atteints d'une néphropathie au stade terminal et se soumettant régulièrement à une dialyse, la clairance du ropinirole après administration orale est réduite de 30% environ. La dose maximale recommandée est de 18 mg/jour (voir «Posologie/Mode d'emploi; Patients présentant des troubles de la fonction rénale»).
-Chez les patients à partir de 65 ans, la clairance du ropinirole après administration orale est réduite de 15% par rapport aux patients plus jeunes. Néanmoins, aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez le patient âgé.
- +Chez les patients âgés de 65 ans et plus, la clairance du ropinirole après administration orale est réduite de 15% par rapport aux patients plus jeunes. Néanmoins, aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez le patient âgé.
-Chez les animaux d'expérimentation, le ropinirole est bien toléré dans la fourchette thérapeutique de 15 à 50 mg/kg (15 mg/kg (singe), 20 mg/kg (souris) et 50 mg/kg (rat), ce qui correspond respectivement à 0,9, 0,4 et 2,8 fois l'ASC humaine moyenne à la dose maximale recommandée chez l'homme [Maximum Recommended Human Dose, MRHD]). Le profil toxicologique est déterminé principalement par l'activité pharmacologique du médicament (modifications du comportement, hypoprolactinémie, baisse de la tension artérielle et du pouls, ptôsis et salivation).
- +Chez les animaux d'expérimentation, le ropinirole est bien toléré dans la fourchette thérapeutique de 15 à 50 mg/kg (15 mg/kg (singe), 20 mg/kg (souris) et 50 mg/kg (rat), ce qui correspond respectivement à 0,9, 0,4 et 2,8 fois l'ASC humaine moyenne à la dose maximale recommandée chez l'homme [Maximum Recommended Human Dose, MRHD]). Le profil toxicologique est déterminé principalement par l'activité pharmacologique du médicament (modifications du comportement, hypoprolactinémie, baisse de la tension artérielle et du pouls, ptosis et salivation).
-Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur emballage.
-Ropinirole Sandoz Retard, comprimés pelliculés à libération prolongée à 2 mg: emballages de 28 comprimés pelliculés à libération prolongée. [B]
-Ropinirole Sandoz Retard, comprimés pelliculés à libération prolongée à 4 mg: emballages de 28 comprimés pelliculés à libération prolongée. [B]
-Ropinirole Sandoz Retard, comprimés pelliculés à libération prolongée à 8 mg: emballages de 28 comprimés pelliculés à libération prolongée. [B]
- +Ropinirole Sandoz Retard, comprimés à libération modifiée à 2 mg: emballages de 28 comprimés à libération modifiée. [B]
- +Ropinirole Sandoz Retard, comprimés à libération modifiée à 4 mg: emballages de 28 comprimés à libération modifiée. [B]
- +Ropinirole Sandoz Retard, comprimés à libération modifiée à 8 mg: emballages de 28 comprimés à libération modifiée. [B]
-Décembre 2020
- +Novembre 2021
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