60 Changements de l'information professionelle Erivedge |
-Excipiens pro capsula. Les capsules contiennent du lactose.
- +Contenu de la gélule
- +Cellulosum microcristallinum, lactosum monohydricum (71,5 mg par gélule), natrii laurilsulfas, povidonum K29/32, carboxymethylamylum natricum, talcum, magnesii stearas.
- +Enveloppe des gélules
- +Ferrum oxydatum rubrum, ferrum oxydatum nigrum, titanii dioxidum, gelatinum.
- +Encre
- +Lacca, ferrum oxydatum nigrum.
- +Une capsule renferme jusqu'à 1,34 mg de sodium.
-Erivedge 150 mg (1 capsule) se prend une fois par jour pendant ou en-dehors d'un repas.
- +Erivedge 150 mg (1 gélule) se prend une fois par jour pendant ou en-dehors d'un repas.
-Les capsules ne doivent en aucun cas être ouvertes ou partagées. En cas de contact avec le contenu d'une capsule (par ex. en cas de capsule endommagée), il faut se laver les mains pour éviter de contaminer l'environnement.
- +Les gélules ne doivent en aucun cas être ouvertes ou partagées. En cas de contact avec le contenu d'une gélules (par ex. en cas de gélule endommagée), il faut se laver les mains pour éviter de contaminer l'environnement.
-·Brochure d'information des patients «Programme de prévention de la grossesse d'Erivedge®: brochure d'information destinée aux patients prenant Erivedge®».
- +·Brochure d'information des patients «Programme de prévention de la grossesse d'Erivedge: brochure d'information destinée aux patients prenant Erivedge».
-·Brochure destinée aux médecins «Programme de prévention de la grossesse d'Erivedge®: brochure d'information destinée aux médecins prescrivant Erivedge®».
- +·Brochure destinée aux médecins «Programme de prévention de la grossesse d'Erivedge: brochure d'information destinée aux médecins prescrivant Erivedge».
- +Les capsules d'Erivedge contiennent du lactose. Les patients présentant une intolérance au galactose (maladie héréditaire rare), un déficit total en lactase de Lapp ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ne doivent pas prendre ce médicament.
- +Les capsules d'Erivedge contiennent moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par capsule, c.-à-d. qu'elles sont essentiellement «sans sodium».
-Très fréquents: diminution de l'appétit 30% (grade 3: 2%), perte de poids 50% (grade 3: 10%).
-Fréquents: déshydratation 5% (grade 3: 1%).
- +Très fréquents: diminution de l'appétit 30 % (grade 3: 2 %), perte de poids 50 % (grade 3: 10 %).
- +Fréquents: déshydratation 5 % (grade 3: 1 %).
-Très fréquents: dysgueusie 59%, agueusie 11%.
-Fréquents: hypogueusie 9%.
- +Très fréquents: dysgueusie 59 %, agueusie 11 %.
- +Fréquents: hypogueusie 9 %.
-Très fréquents: nausées 35%, diarrhées 33% (grade 3: 2%), constipation 23%, vomissements 17%, dyspepsie 11%.
-Fréquents: douleurs abdominales 7% (grade 3: 1%), douleurs épigastriques 6%.
- +Très fréquents: nausées 35 %, diarrhées 33 % (grade 3: 2 %), constipation 23 %, vomissements 17 %, dyspepsie 11 %.
- +Fréquents: douleurs abdominales 7 % (grade 3: 1 %), douleurs épigastriques 6 %.
-Très fréquents: alopécie 66%.
-Fréquents: madarose 5%, croissance anormale des cheveux 4%.
- +Très fréquents: alopécie 66 %.
- +Fréquents: madarose 5 %, croissance anormale des cheveux 4 %.
-Très fréquents: crampes musculaires 75% (grade 3: 5%), arthralgie 17% (grade 3: < 1%), douleurs des extrémités 10% (grade 3: < 1%).
-Fréquents: douleurs musculosquelettiques 4%, dorsalgies 9% (grade 3: 1%), douleurs musculosquelettiques de la paroi thoracique 8%, myalgie 7% (grade 3: 1%), douleurs au niveau des flancs 4%, augmentation de la créatine kinase dans le sang 2% (grade 4: 1%).
- +Très fréquents: crampes musculaires 75 % (grade 3: 5 %), arthralgie 17 % (grade 3: < 1 %), douleurs des extrémités 10 % (grade 3: < 1 %).
- +Fréquents: douleurs musculosquelettiques 4 %, dorsalgies 9 % (grade 3: 1 %), douleurs musculosquelettiques de la paroi thoracique 8 %, myalgie 7 % (grade 3: 1 %), douleurs au niveau des flancs 4 %, augmentation de la créatine kinase dans le sang 2 % (grade 4: 1 %).
-Très fréquents: aménorrhée 30% (10 des 138 patients atteints d'un carcinome basocellulaire avancé étaient des femmes en âge de procréer. 3 de ces patientes (30%) ont développé une aménorrhée sous traitement) (Grad 3: 20%).
- +Très fréquents: aménorrhée 30 % (10 des 138 patients atteints d'un carcinome basocellulaire avancé étaient des femmes en âge de procréer. 3 de ces patientes (30 %) ont développé une aménorrhée sous traitement) (Grad 3: 20 %).
-Très fréquents: fatigue 47% (grade 3: 6%, grade 4: < 1%).
-Fréquents: asthénie 9% (grade 3: 2%).
- +Très fréquents: fatigue 47 % (grade 3: 6 %, grade 4: < 1 %).
- +Fréquents: asthénie 9 % (grade 3: 2 %).
-Fréquents: augmentation du taux d'enzymes hépatiques 6% (grade 3: 1%)*.
- +Fréquents: augmentation du taux d'enzymes hépatiques 6 % (grade 3: 1 %)*.
-* L'augmentation du taux d'enzymes hépatiques comprend les «termes préférentiels» suivants pour les effets indésirables rapportés: augmentation des taux d'enzymes hépatiques, augmentation de l'aspartate aminotransférase (ASAT), paramètres de la fonction hépatique anormaux, augmentation de la phosphatase alcaline dans le sang, augmentation de la gamma-glutamyltransférase (GGT) et augmentation de la bilirubine dans le sang.
- +* L'augmentation du taux d'enzymes hépatiques comprend les «termes préférentiels» suivants pour les effets indésirables rapportés: augmentation des taux d'enzymes hépatiques, augmentation de l'aspartate aminotransférase (ASAT), paramètres de la fonction hépatique anormaux, augmentation de la phosphatase alcaline dans le sang, augmentation de la gammaglutamyltransférase (GGT) et augmentation de la bilirubine dans le sang.
-Étude observationnelle faisant suite à l'autorisation de mise sur le marché
- +Effets indésirables identifiés après la mise sur le marché
-L'âge médian de l'ensemble des patients était de 62 ans; 45% des patients étaient âgés de plus de 65 ans. La majorité des patients étaient de sexe masculin (61%) et d'origine caucasienne (100%). Une maladie métastatique (mBCC) était présente chez 32% des patients; 68% des patients présentaient un BCC localement avancé (laBCC). Dans la cohorte avec maladie métastatique, presque tous les patients (97%) avaient déjà été traités, y compris par la chirurgie (97%), la radiothérapie (58%) et des traitements systémiques (30%). Dans la cohorte avec maladie localement avancée, presque tous les patients (94%) avaient déjà été traités, y compris par la chirurgie (89%), la radiothérapie (27%) et des traitements systémiques (11%). La durée médiane de suivi de l'ensemble des patients était de 12,9 mois (entre 0,7 à 47,8).
- +L'âge médian de l'ensemble des patients était de 62 ans; 45 % des patients étaient âgés de plus de 65 ans. La majorité des patients étaient de sexe masculin (61 %) et d'origine caucasienne (100 %). Une maladie métastatique (mBCC) était présente chez 32 % des patients; 68 % des patients présentaient un BCC localement avancé (laBCC). Dans la cohorte avec maladie métastatique, presque tous les patients (97 %) avaient déjà été traités, y compris par la chirurgie (97 %), la radiothérapie (58 %) et des traitements systémiques (30 %). Dans la cohorte avec maladie localement avancée, presque tous les patients (94 %) avaient déjà été traités, y compris par la chirurgie (89 %), la radiothérapie (27 %) et des traitements systémiques (11 %). La durée médiane de suivi de l'ensemble des patients était de 12,9 mois (entre 0,7 à 47,8).
-1.diminution ≥30% de la taille des lésions cibles [somme des plus grands diamètres (SGD)] après le début du traitement, objectivée par l'imagerie;
-2.diminution ≥30% de la SGD des dimensions visibles de l'extérieur des lésions cibles après le début du traitement;
-3.guérison complète des ulcérations dans toutes les lésions cibles.
-Au moment de l'analyse primaire, le taux de réponse pour les mBCC était de 30,3% (10/33) et la durée médiane de réponse était de 7,6 mois (IC 95%: 5,62, non évaluable). La plupart des responders avaient répondu jusqu'à la semaine 8. La PFS médiane était de 9,5 mois (IC 95%: 7,36, non évaluable).
-Lors du suivi de 12 mois, le taux de réponse pour les mBCC était de 33,3% (11/33) et la durée médiane de réponse était de 7,6 mois (IC 95%: 5,5, 9,4). La PFS médiane était de 9,5 mois (IC95%: 7,4, 11,1). La survie globale après 2 ans était de 60,3% (IC 95%: 42,6, 78,1). La durée médiane d'OS après un suivi de 30 mois était de 33,4 mois (IC 95%: 18,1, non évaluable).
-Au moment de l'analyse primaire, le taux de réponse pour les laBCC était de 42,9% (27/63) et la durée médiane de réponse était de 7,6 mois (IC 95%: 5,65, 9,66). La plupart des responders avaient répondu jusqu'à la semaine 8. 54% des patients présentaient une réponse histo-pathologique sans indice de BCC après 24 semaines. La PFS médiane était de 9,5 mois (IC 95%: 7,39, 11,93) selon l'évaluation de l'IRF. La durée médiane d'OS n'avait pas encore été atteinte (IC 95%: 17,61, non évaluable). La survie globale après 2 ans était de 85,2% (IC 95%: 75,6, 94,7).
-Lors du suivi de 12 mois, le taux de réponse pour les laBCC était de 47,6% (30/63) et la durée médiane de réponse était de 9,5 mois (IC 95%: 7,4, 21,4). La PFS médiane était de 9,5 mois (IC 95%: 7,4, 14,8).
- +(1) diminution ≥30 % de la taille des lésions cibles [somme des plus grands diamètres (SGD)] après le début du traitement, objectivée par l'imagerie;
- +(2) diminution ≥30 % de la SGD des dimensions visibles de l'extérieur des lésions cibles après le début du traitement;
- +(3) guérison complète des ulcérations dans toutes les lésions cibles.
- +Au moment de l'analyse primaire, le taux de réponse pour les mBCC était de 30,3 % (10/33) et la durée médiane de réponse était de 7,6 mois (IC 95 %: 5,62, non évaluable). La plupart des responders avaient répondu jusqu'à la semaine 8. La PFS médiane était de 9,5 mois (IC 95 %: 7,36, non évaluable).
- +Lors du suivi de 12 mois, le taux de réponse pour les mBCC était de 33,3 % (11/33) et la durée médiane de réponse était de 7,6 mois (IC 95 %: 5,5, 9,4). La PFS médiane était de 9,5 mois (IC95 %: 7,4, 11,1). La survie globale après 2 ans était de 60,3 % (IC 95 %: 42,6, 78,1). La durée médiane d'OS après un suivi de 30 mois était de 33,4 mois (IC 95 %: 18,1, non évaluable).
- +Au moment de l'analyse primaire, le taux de réponse pour les laBCC était de 42,9 % (27/63) et la durée médiane de réponse était de 7,6 mois (IC 95 %: 5,65, 9,66). La plupart des responders avaient répondu jusqu'à la semaine 8. 54 % des patients présentaient une réponse histo-pathologique sans indice de BCC après 24 semaines. La PFS médiane était de 9,5 mois (IC 95 %: 7,39, 11,93) selon l'évaluation de l'IRF. La durée médiane d'OS n'avait pas encore été atteinte (IC 95 %: 17,61, non évaluable). La survie globale après 2 ans était de 85,2 % (IC 95 %: 75,6, 94,7).
- +Lors du suivi de 12 mois, le taux de réponse pour les laBCC était de 47,6 % (30/63) et la durée médiane de réponse était de 9,5 mois (IC 95 %: 7,4, 21,4). La PFS médiane était de 9,5 mois (IC 95 %: 7,4, 14,8).
-L'âge médian des patients était de 72 ans. La plupart des patients étaient des hommes (57%), 8% avait un mBCC et 92% un laBCC. Dans la cohorte avec une affection métastatique, la plupart des patients avaient déjà été traités, y compris par la chirurgie (91%), la radiothérapie (62%) et des traitements systémiques (16%). Dans la cohorte avec une affection localement avancée, la plupart des patients avaient déjà été traités, y compris par la chirurgie (85%), la radiothérapie (28%) et des traitements systémiques (7%). La durée médiane du traitement de l'ensemble des patients était de 8,6 mois (intervalle de 0 à 44,1).
-Parmi les patients de la population évaluable sur le plan de l'efficacité et ayant une maladie mesurable et histologiquement confirmée, 68,5% des patients de la cohorte laBCC et 36,9% des patients de la cohorte mBCC ont répondu au traitement. Chez les patients ayant présenté une réponse confirmée (partielle ou complète), la durée médiane de la réponse a été de 23,0 mois (IC à 95%: 20,4; 26,7) dans la cohorte laBCC et de 13,9 mois (IC à 95%: 9,2; non évaluable) dans la cohorte mBCC. 4,8% des patients de la cohorte mBCC et 33,4% des patients de la cohorte laBCC ont obtenu une réponse complète.
- +L'âge médian des patients était de 72 ans. La plupart des patients étaient des hommes (57 %), 8 % avait un mBCC et 92 % un laBCC. Dans la cohorte avec une affection métastatique, la plupart des patients avaient déjà été traités, y compris par la chirurgie (91 %), la radiothérapie (62 %) et des traitements systémiques (16 %). Dans la cohorte avec une affection localement avancée, la plupart des patients avaient déjà été traités, y compris par la chirurgie (85 %), la radiothérapie (28 %) et des traitements systémiques (7 %). La durée médiane du traitement de l'ensemble des patients était de 8,6 mois (intervalle de 0 à 44,1).
- +Parmi les patients de la population évaluable sur le plan de l'efficacité et ayant une maladie mesurable et histologiquement confirmée, 68,5 % des patients de la cohorte laBCC et 36,9 % des patients de la cohorte mBCC ont répondu au traitement. Chez les patients ayant présenté une réponse confirmée (partielle ou complète), la durée médiane de la réponse a été de 23,0 mois (IC à 95 %: 20,4; 26,7) dans la cohorte laBCC et de 13,9 mois (IC à 95 %: 9,2; non évaluable) dans la cohorte mBCC. 4,8 % des patients de la cohorte mBCC et 33,4 % des patients de la cohorte laBCC ont obtenu une réponse complète.
-La biodisponibilité absolue d'une dose unique de vismodégib est de 31,8%. La biodisponibilité n'est pas influencée par la prise de nourriture. La pharmacocinétique n'est pas dose-proportionnelle.
- +La biodisponibilité absolue d'une dose unique de vismodégib est de 31,8 %. La biodisponibilité n'est pas influencée par la prise de nourriture. La pharmacocinétique n'est pas dose-proportionnelle.
-Le volume de distribution se situe entre 16,4 et 26,6 l. La liaison aux protéines plasmatiques (albumine sérique humaine, glycoprotéine alpha-1 acide) est élevée (99%).
- +Le volume de distribution se situe entre 16,4 et 26,6 l. La liaison aux protéines plasmatiques (albumine sérique humaine, glycoprotéine alpha-1 acide) est élevée (99 %).
-Le vismodégib est métabolisé lentement. Le vismodégib est le principal composant dans le plasma (98%). Les voies métaboliques du vismodégib chez l'homme incluent entre autres l'oxydation, la glucuronidation et la scission du cycle pyridine. Les CYP2C9 et CYP3A4/5 interviennent dans la formation des deux métabolites oxydatifs les plus fréquemment présents dans les fèces.
- +Le vismodégib est métabolisé lentement. Le vismodégib est le principal composant dans le plasma (98 %). Les voies métaboliques du vismodégib chez l'homme incluent entre autres l'oxydation, la glucuronidation et la scission du cycle pyridine. Les CYP2C9 et CYP3A4/5 interviennent dans la formation des deux métabolites oxydatifs les plus fréquemment présents dans les fèces.
-82% de la dose administrée sont retrouvés dans les selles et 4,4% dans les urines.
- +82 % de la dose administrée sont retrouvés dans les selles et 4,4 % dans les urines.
-L'élimination rénale du vismodégib administré par voie orale est faible (< 5%). Par conséquent, il est peu probable qu'une insuffisance rénale ait un impact cliniquement significatif sur les propriétés pharmacocinétiques du vismodégib. Une analyse PC de population chez des patients atteints d'insuffisance rénale légère (ClCr indexée sur la surface corporelle (SC) 50 à 80 ml/min, n = 58), modérée (ClCr indexée sur la SC 30 à 50 ml/min, n = 16) et sévère (ClCr indexée sur la SC < 30 ml/min, n = 1) n'a pas révélé d'influence cliniquement significative de l'insuffisance rénale sur les propriétés pharmacocinétiques du vismodégib.
- +L'élimination rénale du vismodégib administré par voie orale est faible (< 5 %). Par conséquent, il est peu probable qu'une insuffisance rénale ait un impact cliniquement significatif sur les propriétés pharmacocinétiques du vismodégib. Une analyse PC de population chez des patients atteints d'insuffisance rénale légère (ClCr indexée sur la surface corporelle (SC) 50 à 80 ml/min, n = 58), modérée (ClCr indexée sur la SC 30 à 50 ml/min, n = 16) et sévère (ClCr indexée sur la SC< 30 ml/min, n = 1) n'a pas révélé d'influence cliniquement significative de l'insuffisance rénale sur les propriétés pharmacocinétiques du vismodégib.
-Toxicité à long terme
- +Toxicité en cas d'administration répétée
-Mutagénicité
- +Génotoxicité
-Dans une étude sur le développement embryo-fœtal, dans laquelle des rates portantes ont reçu quotidiennement du vismodégib durant l'organogenèse, le vismodégib a passé la barrière placentaire et s'est avéré fortement toxique ou tératogène pour l'embryon. Chez les fœtus de femelles portantes traitées par 10 mg/kg/jour (correspondant à 20% de l'exposition AUC0-24h estimée à l'état spermicid stationnaire sous la dose recommandée chez l'homme), on a observé des malformations, en particulier des anomalies crânio-faciales, un périnée ouvert et des orteils manquants ou fusionnés. L'incidence des troubles ou des variations du développement fœtal et des ossifications incomplètes ou des non-ossifications des éléments sternaux, des corps des vertèbres cervicales ou des phalanges proximales et des griffes était également augmentée sous des doses de 10 mg/kg/jour. Le vismodégib était létal pour l'embryon à des doses de ≥60 mg/kg/jour (autrement dit 2,8 fois l'exposition AUC0-24h à l'état stationnaire sous la dose recommandée chez l'homme).
- +Dans une étude sur le développement embryo-fœtal, dans laquelle des rates portantes ont reçu quotidiennement du vismodégib durant l'organogenèse, le vismodégib a passé la barrière placentaire et s'est avéré fortement toxique ou tératogène pour l'embryon. Chez les fœtus de femelles portantes traitées par 10 mg/kg/jour (correspondant à 20 % de l'exposition AUC0-24h estimée à l'état spermicid stationnaire sous la dose recommandée chez l'homme), on a observé des malformations, en particulier des anomalies crânio-faciales, un périnée ouvert et des orteils manquants ou fusionnés. L'incidence des troubles ou des variations du développement fœtal et des ossifications incomplètes ou des non-ossifications des éléments sternaux, des corps des vertèbres cervicales ou des phalanges proximales et des griffes était également augmentée sous des doses de 10 mg/kg/jour. Le vismodégib était létal pour l'embryon à des doses de ≥60 mg/kg/jour (autrement dit 2,8 fois l'exposition AUC0-24h à l'état stationnaire sous la dose recommandée chez l'homme).
-Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
-Elimination
-Après la fin du traitement ou après le dépassement de la date de péremption, les médicaments non utilisés doivent être retournés au site de remise dans leur emballage (médecin ou pharmacien), pour être éliminés de manière appropriée.
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
-Conserver le récipient bien fermé pour le protéger de l'humidité.
- +Conserver le récipient bien fermé dans son carton pour le protéger de l'humidité.
- +Elimination
- +Après la fin du traitement ou après le dépassement de la date de péremption, les médicaments non utilisés doivent être retournés au site de remise dans leur emballage (médecin ou pharmacien), pour être éliminés de manière appropriée.
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-Erivedge capsules de 150 mg: 28 [A].
- +Erivedge gélules de 150 mg: 28 [A].
-Mai 2022.
- +Août 2022.
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