54 Changements de l'information professionelle Ropinirol-Mepha retard 2 mg |
-Si un contrôle suffisant des symptômes ne peut être atteint ou que celui-ci ne peut être maintenu à une posologie de 8 mg une fois par jour, il est possible d'augmenter la dose journalière de Ropinirol-Mepha retard, selon le besoin, par paliers de 2 mg à 4 mg à intervalles d'au moins 2 semaines ou plus. La dose journalière maximale de Ropinirol-Mepha retard est de 24 mg.
- +Si un contrôle suffisant des symptômes ne peut toujours pas être atteint ou que celui-ci ne peut être maintenu à une posologie de 8 mg une fois par jour, il est possible d'augmenter la dose journalière de Ropinirol-Mepha retard, selon le besoin, par paliers de 2 mg à 4 mg à intervalles d'au moins 2 semaines ou plus. La dose journalière maximale de Ropinirol-Mepha retard est de 24 mg.
-Au cas où le traitement serait suspendu pour un ou plusieurs jours, une reprise du traitement doit être envisagée avec une titration de la dose (voir plus haut).
- +Dans le cas où le traitement serait suspendu pendant un ou plusieurs jours, une reprise du traitement doit être envisagée avec une titration de la dose (voir plus haut).
-Bien que la clairance du ropinirole chez les patients à partir de 65 ans soit réduite, la posologie peut être ajustée de manière habituelle chez ces patients.
- +Bien que la clairance du ropinirole chez les patients de 65 ans et plus soit réduite, la posologie peut être titrée de manière habituelle chez ces patients.
-Chez les patients souffrant d'insuffisance rénale légère à modérée (clairance de la créatinine de 30 à 50 ml/min), aucun ajustement de la dose n'est requis.
- +Chez les patients souffrant d'insuffisance rénale légère à modérée (clairance de la créatinine de 30 à 50 mL/min), aucun ajustement de la dose n'est requis.
-L'utilisation du ropinirole chez les patients atteints d'insuffisance rénale sévère (clearance de la créatinine inférieure à 30 ml/min) et ne se soumettant pas régulièrement à une dialyse n'a pas été étudiée.
- +L'utilisation du ropinirole chez les patients atteints d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine inférieure à 30 mL/min) et ne se soumettant pas régulièrement à une dialyse n'a pas été étudiée.
-L'administration de Ropinirol-Mepha retard est contreindiquée chez les patients présentant
- +L'administration de Ropinirol-Mepha retard est contre-indiquée chez les patients présentant
-·une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min) sans dialyse régulière (voir «Posologie/Mode d'emploi»)
-·une insuffisance hépatique.
- +·une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 mL/min) sans dialyse régulière (voir «Posologie/Mode d'emploi»)
- +·une insuffisance hépatique
-Le ropinirole a été associé à une somnolence excessive et à des endormissements soudains. On a rapporté occasionnellement des endormissements soudains durant des activités de tous les jours. Dans certains cas, de tels épisodes sont survenus sans signes avertisseurs avant-coureurs ou de façon inconsciente. Les patients doivent en être informés et être avertis de se montrer prudents s'ils conduisent un véhicule à moteur ou utilisent des machines pendant le traitement au ropinirole. Les patients chez lesquels une somnolence excessive et/ou des endormissements soudains se manifestent ne doivent pas conduire des véhicules ou utiliser des machines. On envisagera une réduction de la dose ou un arrêt du traitement (voir «Effets sur l'aptitude à la conduite et l'utilisation de machines» et «Effets indésirables»).
- +Le ropinirole a été associé à une somnolence excessive et à des endormissements soudains. On a rapporté occasionnellement des endormissements soudains durant des activités de tous les jours. Dans certains cas, de tels épisodes sont survenus sans signes avertisseurs avant-coureurs ou de façon inconsciente. Les patients doivent en être informés et être avertis de se montrer prudents s'ils conduisent un véhicule à moteur ou utilisent des machines pendant le traitement par le ropinirole. Les patients chez lesquels une somnolence excessive et/ou des endormissements soudains se manifestent ne doivent pas conduire des véhicules ou utiliser des machines. On envisagera une réduction de la dose ou un arrêt du traitement (voir «Effets sur l'aptitude à la conduite et l'utilisation de machines» et «Effets indésirables»).
-Les patients souffrant de troubles dépressifs graves avec des symptômes psychotiques et délirants et les patients souffrant de troubles psychotiques ou ayant des antécédents de troubles psychotiques ne doivent être traités par les agonistes dopaminergiques qu'après un examen minutieux du rapport bénéfices/risques (voir aussi «Interactions»).
- +Les patients souffrant de troubles dépressifs sévères avec des symptômes psychotiques et délirants et les patients souffrant de troubles psychotiques ou ayant des antécédents de troubles psychotiques ne doivent être traités par les agonistes dopaminergiques qu'après un examen minutieux du rapport bénéfices/risques (voir aussi «Interactions»).
-Des troubles du contrôle des impulsions (incapacité à résister aux impulsions) et des troubles maniaques ont été rapportés chez des patients traités par des principes actifs dopaminergiques, dont le ropinirole. Ainsi, ont été signalés, p.ex. un jeu compulsif pathologique, une augmentation de la libido, y compris une hypersexualité, des achats compulsifs et des fringales (binge eating) (voir «Effets indésirables – Effets indésirables identifiés après la mise sur le marché»). En cas de développement de tels symptômes , il convient d'envisager une réduction de la dose ou un arrêt progressif du traitement, car ces symptômes peuvent ainsi être réversibles. Dans certains cas signalés sous ropinirole, il y avait également d'autres facteurs, par exemple un antécédent de comportement compulsif ou un traitement dopaminergique concomitant.
- +Des troubles du contrôle des impulsions (incapacité à résister aux impulsions) et des troubles maniaques ont été rapportés chez des patients traités par des principes actifs dopaminergiques, dont le ropinirole. Ainsi, ont été signalés, p.ex. une dépendance pathologique au jeu, une augmentation de la libido, y compris une hypersexualité, des achats compulsifs et des fringales (binge eating) (voir «Effets indésirables – Effets indésirables identifiés après la mise sur le marché»). En cas de développement de tels symptômes, il convient d'envisager une réduction de la dose ou un arrêt progressif du traitement, car ces symptômes peuvent ainsi être réversibles. Dans certains cas signalés sous ropinirole, il y avait également d'autres facteurs, par exemple un antécédent de comportement compulsif ou un traitement dopaminergique concomitant.
-Des symptômes évocateurs d'un syndrome malin des neuroleptiques ont été rapportés en cas d'arrêt brutal du traitement dopaminergique. C'est pourquoi il est recommandé d'arrêter progressivement le traitement (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Des symptômes évocateurs d'un syndrome malin des neuroleptiques ont été rapportés en cas d'arrêt brutal du traitement dopaminergique. Il est donc recommandé d'arrêter progressivement le traitement (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
-Le ropinirole est essentiellement métabolisé par l'enzyme cytochrome P450 CYP1A2. Le principe actif non-métabolisé est principalement responsable de l'effet thérapeutique. Une étude pharmacocinétique effectuée chez les patients parkinsoniens a démontré que la ciprofloxacine augmente la Cmax et l'AUC du ropinirole respectivement d'environ 60% et 84%. Par conséquent, une adaptation de la posologie de Ropinirol-Mepha retard est requise lorsque des médicaments inhibiteurs du cytochrome P450 CYP1A2 (p.ex. la ciprofloxacine, l'énoxacine ou la fluvoxamine) sont ajoutés ou arrêtés. Une adaptation de la dose de Ropinirol-Mepha retard peut également être requise lorsque les médicaments induisant le cytochrome P450 CYP1A2 (p.ex. oméprazole ou lansoprazole) sont ajoutés ou arrêtés. Une étude d'interaction portant sur le ropinirole et la théophylline (un substrat du cytochrome P450 CYP1A2), effectuée chez des patients parkinsoniens, n'a montré aucun changement de la pharmacocinétique (ni celle du ropinirole ni celle de la théophylline).
- +Le ropinirole est essentiellement métabolisé par l'enzyme cytochrome P450 CYP1A2. Le principe actif non-métabolisé est principalement responsable de l'effet thérapeutique. Une étude pharmacocinétique effectuée chez les patients parkinsoniens a démontré que la ciprofloxacine augmente la Cmax et l'AUC du ropinirole d'environ 60% respectivement 84%. Par conséquent, une adaptation de la posologie de Ropinirol-Mepha retard est requise lorsque des médicaments inhibiteurs du cytochrome P450 CYP1A2 (p.ex. la ciprofloxacine, l'énoxacine ou la fluvoxamine) sont ajoutés ou arrêtés. Une adaptation de la dose de Ropinirol-Mepha retard peut également être requise lorsque les médicaments induisant le cytochrome P450 CYP1A2 (p.ex. oméprazole ou lansoprazole) sont ajoutés ou arrêtés. Une étude d'interaction portant sur le ropinirole et la théophylline (un substrat du cytochrome P450 CYP1A2), effectuée chez des patients parkinsoniens, n'a montré aucun changement de la pharmacocinétique (ni celle du ropinirole ni celle de la théophylline).
-Il n'existe aucune information sur les interactions éventuelles entre le ropinirole et l'alcool. En raison d'éventuels effets additifs, les patients doivent être mis en garde contre la prise d'alcool pendant le traitement par Ropinirol-Mepha retard. La prudence s'impose également lorsque les patients prennent d'autres médicaments à effet sédatif conjointement avec Ropinirol-Mepha retard.
- +Il n'existe aucune information sur les interactions éventuelles entre le ropinirole et l'alcool. En raison des effets additifs potentiels, les patients doivent être mis en garde contre la prise d'alcool pendant le traitement par Ropinirol-Mepha retard. La prudence s'impose également lorsque les patients prennent d'autres médicaments à effet sédatif conjointement avec Ropinirol-Mepha retard.
- +Aucune étude correspondante n'a été effectuée.
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-Les patients devraient être informés de la possibilité d'endormissement soudain sans symptômes avant-coureurs ou d'une somnolence diurne extrême (voir «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables»). Ils doivent être avertis que leur sécurité et celle d'autres personnes est compromise si ces effets indésirables surviennent pendant la conduite de véhicules ou l'utilisation de machines. Il faut déconseiller aux patients d'entreprendre de telles activités au cas où ils souffriraient de somnolence diurne extrême et/ou d'endormissement soudain jusqu'à ce que l'on dispose d'expériences suffisantes à ce sujet.
- +Les patients devraient être informés de la possibilité d'endormissement soudain sans symptômes avant-coureurs ou d'une somnolence diurne extrême (voir «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables»). Ils doivent être avertis que leur sécurité et celle d'autres personnes est compromise si ces effets indésirables surviennent pendant la conduite de véhicules ou l'utilisation de machines. Il faut déconseiller aux patients d'entreprendre de telles activités dans le cas où ils souffriraient de somnolence diurne extrême et/ou d'endormissement soudain jusqu'à ce que l'on dispose d'expériences suffisantes à ce sujet.
-Ci-après, les effets indésirables sont répertoriés par classe d'organe et par fréquence. Les fréquences sont définies selon les catégories suivantes: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 et <1/10), occasionnels (≥1/1'000 et <1/100), rares (≥1/10'000 et <1/1'000) et très rares (<1/10'000), y compris les cas isolés signalés.
- +Ci-après, les effets indésirables sont répertoriés par classe d'organe et par fréquence. Les fréquences sont définies selon les catégories suivantes: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1'000 à <1/100), rares (≥1/10'000 à <1/1'000) et très rares (<1/10'000), fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
-Très rares réactions d'hypersensibilité (y compris urticaire, angioœdème, éruption cutanée, prurit). Un cas isolé d'anaphylaxie à été rapporté, mais le lien causal avec la prise de ropinirole n'a pas pu être établi.
- +Très rares réactions d'hypersensibilité (y compris urticaire, angioœdème, éruption cutanée, prurit). Un cas isolé d'anaphylaxie a été rapporté, mais le lien causal avec la prise de ropinirole n'a pas pu être établi.
-Occasionnels réactions psychotiques (à l'exception des hallucinations), y compris idées délirantes, paranoïa, délire. Troubles du contrôle des impulsions. Ont été signalés, p.ex., jeu compulsif pathologique, augmentation de la libido, y compris hypersexualité, achats compulsifs et fringales (binge eating) (voir «Mises en garde et précautions»). Agressivité*
- +Occasionnels réactions psychotiques (à l'exception des hallucinations), y compris idées délirantes, paranoïa, délire. Troubles du contrôle des impulsions. Ont été signalés, p.ex., dépendance pathologique au jeu, augmentation de la libido, y compris hypersexualité, achats compulsifs et fringales (binge eating) (voir «Mises en garde et précautions»). Agressivité*
-††Syndrome de sevrage aux agonistes dopaminergiques (incluant insomnie, apathie, anxiété, dépression, épuisement, sueurs et douleurs).
- +††Syndrome de sevrage aux agonistes dopaminergiques (incluant insomnie, apathie, anxiété, dépression, épuisement, sueurs et douleurs)
-Le colorant azoïque E 110 (jaune orangé S) contenu dans les Depotabs de Ropinirol-Mepha retard à 4 mg peut déclencher des réactions d'hypersensibilité au niveau de la peau et des organes respiratoires, en particulier chez les patients souffrant d'asthme, d'urticaire chronique ou d'hypersensibilité aux anti-inflammatoires non stéroïdiens.
- +Le colorant azoïque E110 (jaune orangé S) contenu dans les Depotabs de Ropinirol-Mepha retard à 4 mg peut déclencher des réactions d'hypersensibilité au niveau de la peau et des organes respiratoires, en particulier chez les patients souffrant d'asthme, d'urticaire chronique ou d'hypersensibilité aux anti-inflammatoires non stéroïdiens.
-Dans le cadre d'une étude croisée en trois phases, effectuée en double aveugle sur une période de 36 semaines chez 161 patients, l'efficacité et la sécurité du ropinirole, comprimés enrobés à libération prolongée, ont été comparées à celles du ropinirole, comprimés enrobés, administrés en monothérapie aux sujets atteints de la maladie de Parkinson à des stades précoces (SK&F-101468\168). La différence thérapeutique de modification du score moteur de l'échelle UPDRS (Unified Parkinson's Disease Rating Scale, motor score) par rapport à la valeur initiale (avec une limite d'infériorité de 3 points selon la définition) a servi de paramètre principal de cette étude (dans laquelle la non-infériorité a été étudiée). Il a été mis en évidence que les comprimés enrobés à libération prolongée de ropinirole n'ont pas été inférieurs aux comprimés enrobés de ropinirole en ce qui concerne le paramètre principal: après un ajustement approprié des valeurs, la différence moyenne entre le ropinirole, comprimés enrobés à libération prolongée, et le ropinirole, comprimés enrobés, était à la fin de l'étude de -0,7 points (IC à 95%: [-1,51, 0,10], p= 0,0842).
- +Dans le cadre d'une étude croisée en trois phases, effectuée en double aveugle sur une période de 36 semaines chez 161 patients, l'efficacité et la sécurité du ropinirole, comprimés enrobés à libération prolongée, ont été comparées à celles du ropinirole, comprimés enrobés, administrés en monothérapie aux sujets atteints de la maladie de Parkinson à des stades précoces (SK&F-101468\168). La différence thérapeutique de modification du score moteur de l'échelle UPDRS (Unified Parkinson's Disease Rating Scale, motor score) par rapport à la valeur initiale (avec une limite d'infériorité de 3 points selon la définition) a servi de paramètre principal de cette étude (dans laquelle la non-infériorité a été étudiée). Il a été mis en évidence que les comprimés enrobés à libération prolongée de ropinirole n'ont pas été inférieurs aux comprimés enrobés de ropinirole en ce qui concerne le paramètre principal: après un ajustement approprié des valeurs, la différence moyenne entre le ropinirole, comprimés enrobés à libération prolongée, et le ropinirole, comprimés enrobés, était à la fin de l'étude de -0,7 point (IC à 95%: [-1,51, 0,10], p= 0,0842).
-Dans le cadre d'une étude en double insu, entreprise sur une période de 24 semaines au sein de groupes parallèles et contrôlée par un placebo, l'efficacité et la sécurité du ropinirole, comprimés enrobés à libération prolongée administrés en traitement associé, ont été évaluées chez les patients parkinsoniens chez lesquels le traitement par la lévodopa n'avait pas procuré un contrôle optimal (SK&F-101468\169). La preuve d'une supériorité cliniquement et statistiquement significative par rapport au placebo a été fournie pour les comprimés enrobés à libération prolongée de ropinirole au niveau du paramètre principal; modification de la durée de veille en état «off» par rapport à la valeur initiale (différence thérapeutique moyenne après l'ajustement: -1,7 heures (IC à 95%: [-2,34, -1,09], p <0,0001)).
-La probabilité qu'un patient ayant reçu des comprimés enrobés à libération prolongée de ropinirole soit classé comme répondeur sur l'échelle d'amélioration globale CGI était plus forte que chez les patients sous placebo (42% (83/200) pour les comprimés enrobés à libération prolongée; 14% (27/189) pour le placebo; rapport des probabilités 4,4 (IC à 95%: [2,63, 7,20], p<0,001)). De même, la probabilité qu'un patient ayant reçu des comprimés enrobés à libération prolongée de ropinirole soit classé comme répondeur à l'égard du paramètre principal composite (réduction de 20% par rapport à la valeur initiale en ce qui concerne la dose de lévodopa et la durée dans l'état «off») était plus forte que pour les patients sous placebo (52% (103/200) pour les comprimés enrobés à libération prolongée; 20% (38/190) pour le placebo; (rapport des probabilités 4,3 (IC à 95%: [2,73, 6,78], p<0,001)).
- +Dans le cadre d'une étude en double insu, entreprise sur une période de 24 semaines au sein de groupes parallèles et contrôlée par un placebo, l'efficacité et la sécurité du ropinirole, comprimés enrobés à libération prolongée administrés en traitement associé, ont été évaluées chez les patients parkinsoniens chez lesquels le traitement par la lévodopa n'avait pas procuré un contrôle optimal (SK&F-101468\169). La preuve d'une supériorité cliniquement et statistiquement significative par rapport au placebo a été fournie pour les comprimés enrobés à libération prolongée de ropinirole au niveau du paramètre principal; modification de la durée de veille en état «off» par rapport à la valeur initiale (différence thérapeutique moyenne après l'ajustement: -1,7 heure (IC à 95%: [-2,34, -1,09], p <0,0001)).
- +La probabilité qu'un patient ayant reçu des comprimés enrobés à libération prolongée de ropinirole soit classé comme répondeur sur l'échelle d'amélioration globale CGI était plus forte que chez les patients sous placebo (42% (83/200) pour les comprimés enrobés à libération prolongée; 14% (27/189) pour le placebo; rapport des probabilités 4,4 (IC à 95%: [2,63, 7,20], p<0,001)). De même, la probabilité qu'un patient ayant reçu des comprimés enrobés à libération prolongée de ropinirole soit classé comme répondeur à l'égard du paramètre principal composite (réduction de 20% par rapport à la valeur initiale en ce qui concerne la dose de lévodopa et la durée dans l'état «off») était plus forte que pour les patients sous placebo (52% (103/200) pour les comprimés enrobés à libération prolongée; 20% (38/190) pour le placebo; rapport des probabilités 4,3 (IC à 95%: [2,73, 6,78], p<0,001)).
-Le ropinirole est essentiellement dégradé par oxydation. Dans le modèle animal, le métabolite principal (le composé de N-despropyl) est au moins 100 fois moins actif que le ropinirole.
- +Le ropinirole est essentiellement dégradé par oxydation. Dans le modèle animal, le métabolite principal (le composé de N-despropyle) est au moins 100 fois moins actif que le ropinirole.
-Aucune adaptation de la dose n'est nécessaire pour les patients parkinsoniens dont la fonction rénale est légèrement ou moyennement réduite (clairance de la créatinine de 30–50 ml/min).
-Chez les patients atteints d'une néphropathie au stade terminal et se soumettant régulièrement à une dialyse, la clairance du ropinirole après administration orale est réduite de 30% environ. La dose maximale recommandée est de 18 mg/jour (voir «Posologie/Mode d'emploi; insuffisance rénale»).
- +Aucune adaptation de la dose n'est nécessaire pour les patients parkinsoniens dont la fonction rénale est légèrement ou moyennement réduite (clairance de la créatinine de 30–50 mL/min).
- +Chez les patients atteints d'une néphropathie au stade terminal et se soumettant régulièrement à une dialyse, la clairance du ropinirole après administration orale est réduite de 30% environ. La dose maximale recommandée est de 18 mg/jour (voir «Posologie/Mode d'emploi; Patients présentant des troubles de la fonction rénale»).
-Chez les patients à partir de 65 ans, la clairance du ropinirole après administration orale est réduite de 15% par rapport aux patients plus jeunes. Néanmoins, aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez le patient âgé.
- +Chez les patients âgés de 65 ans et plus, la clairance du ropinirole après administration orale est réduite de 15% par rapport aux patients plus jeunes. Néanmoins, aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez le patient âgé.
-Chez les animaux d'expérimentation, le ropinirole est bien toléré dans la fourchette thérapeutique de 15 à 50 mg/kg (15 mg/kg (singe), 20 mg/kg (souris) et 50 mg/kg (rat), ce qui correspond respectivement à 0,9, 0,4 et 2,8 fois l'ASC humaine moyenne à la dose maximale recommandée chez l'homme [Maximum Recommended Human Dose, MRHD]). Le profil toxicologique est déterminé principalement par l'activité pharmacologique du médicament (modifications du comportement, hypoprolactinémie, baisse de la tension artérielle et du pouls, ptôsis et salivation).
- +Chez les animaux d'expérimentation, le ropinirole est bien toléré dans la fourchette thérapeutique de 15 à 50 mg/kg (15 mg/kg (singe), 20 mg/kg (souris) et 50 mg/kg (rat), ce qui correspond respectivement à 0,9, 0,4 et 2,8 fois l'ASC humaine moyenne à la dose maximale recommandée chez l'homme [Maximum Recommended Human Dose, MRHD]). Le profil toxicologique est déterminé principalement par l'activité pharmacologique du médicament (modifications du comportement, hypoprolactinémie, baisse de la tension artérielle et du pouls, ptosis et salivation).
-Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
-Décembre 2020
-Numéro de version interne: 9.1
- +Novembre 2021.
- +Numéro de version interne: 10.1
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