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Accueil - Information professionnelle sur Levetiracetam-Mepha 500 mg/5 ml - Changements - 23.07.2021
56 Changements de l'information professionelle Levetiracetam-Mepha 500 mg/5 ml
  • -Principe actif: Lévétiracétam.
  • -Excipients: Acétate de sodium trihydraté, chlorure de sodium, acide acétique glacial, eau pour injection.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Flacon ampoule avec concentré pour perfusion à 500 mg/5 ml.
  • +Principes actifs
  • +Lévétiracétam.
  • +Excipients
  • +Acétate de sodium trihydraté, chlorure de sodium, acide acétique glacial, eau pour injection.
  • -Levetiracetam-Mepha concentré pour perfusion est indiqué en monothérapie dans le traitement des crises partielles avec ou sans généralisation secondaire chez les patients à partir de 16 ans avec épilepsie.
  • +Levetiracetam-Mepha concentré pour perfusion est indiqué en monothérapie dans le traitement des crises focales avec ou sans généralisation secondaire chez les patients à partir de 16 ans avec épilepsie.
  • -·des crises partielles avec ou sans généralisation secondaire chez le patient épileptique à partir de 16 ans.
  • +·des crises focales avec ou sans généralisation secondaire chez le patient épileptique à partir de 16 ans.
  • -Adultes et adolescents à partir de 16 ans
  • -Monothérapie
  • -La dose initiale recommandée est de 2× 250 mg/jour et la dose peut être augmentée après 2 semaines à 2× 500 mg/jour. La dose peut être augmentée à nouveau de 2× 250 mg/jour toutes les 2 semaines en fonction de la réponse clinique. La dose maximale est de 2× 1500 mg/jour.
  • -Thérapie en association
  • -La posologie thérapeutique initiale est de 2× 500 mg par jour. Selon l'efficacité clinique et la tolérance, la dose journalière peut être augmentée jusqu'à 2× 1500 mg. Les augmentations ou diminutions de posologie peuvent s'effectuer par paliers de 2× 500 mg/par jour toutes les 2 à 4 semaines.
  • +Crises focales
  • +La posologie recommandée pour la monothérapie (à partir de 16 ans) et la thérapie en association est la même que celle décrite ci-dessous:
  • +Toutes les indications:
  • +Adultes et adolescents à partir de 16 ans de plus de 50 kg de poids corporel:
  • +La posologie thérapeutique initiale est de 2× 500 mg par jour.
  • +Selon l'efficacité clinique et la tolérance, la dose journalière peut être augmentée jusqu'à 2× 1500 mg.
  • +Les augmentations ou diminutions de posologie peuvent s'effectuer par paliers de 2× 500 mg/par jour toutes les 2 à 4 semaines.
  • -Sujets âgés
  • +Sujets âgés (à partir de 65 ans)
  • -CLcr (ml/min) = [140 – âge (années)] × poids (kg) : [72 × créatinine sérique (mg/dl)] (× 0.85 pour la femme).
  • +CLcr (ml/min) = [140 – âge (années)] × poids (kg): [72 × créatinine sérique (mg/dl)] (× 0.85 pour la femme).
  • -14% des patients adultes et enfants présentant des crises partielles sous lévétiracétam ont rapporté une augmentation de plus de 25% de la fréquence des crises, contre respectivement 26% et 21% sous placebo.
  • +14% des patients adultes et enfants présentant des crises focales sous lévétiracétam ont rapporté une augmentation de plus de 25% de la fréquence des crises, contre respectivement 26% et 21% sous placebo.
  • +Réactions psychiatriques et troubles du comportement:
  • +Le lévétiracétam peut provoquer des changements de comportement (par exemple, agression, agitation, colère, anxiété, apathie, dépression, hostilité et irritabilité) et des symptômes psychotiques. Les patients traités au lévétiracétam doivent être surveillés pour détecter les signes et symptômes psychiatriques indiquant un changement significatif de l'humeur et/ou de la personnalité. Si un tel comportement est constaté, le traitement au lévétiracétam doit être adapté ou progressivement interrompu.
  • +Aggravation des crises
  • +Une réaction paradoxale d'aggravation des crises peut être observée surtout au début du traitement ou à l'augmentation de la dose.
  • +Allongement de l'intervalle QT à l'électrocardiogramme
  • +De rares cas d'allongement de l'intervalle QT à l'ECG ont été observés depuis la mise sur le marché. La prudence s'impose lors du traitement de patients présentant un allongement de l'intervalle QTc, de patients traités en association avec des médicaments modifiant l'intervalle QTc, ou de patients présentant une pathologie cardiaque pré-existante ou des troubles électrolytiques.
  • +
  • -Grossesse/Allaitement
  • +Grossesse, allaitement
  • -Il existe des rapports relatifs à la diminution de la concentration plasmatique du lévétiracétam pendant la grossesse. Cette diminution est nettement plus marquée au cours du troisième trimestre (jusqu'à 60% de la concentration initiale avant le début de la grossesse).
  • +Une diminution de la concentration plasmatique du lévétiracétam a été observée pendant la grossesse. Cette diminution est nettement plus marquée au cours du troisième trimestre (jusqu'à 60% de la concentration initiale avant le début de la grossesse).
  • -Une étude menée chez des adultes et des adolescents présentant des crises myocloniques (âgés de 12 à 65 ans) montre que 33.3% des patients dans le groupe lévétiracétam et 30.0% des patients dans le groupe placebo ont eu des effets indésirables considérés comme liés au traitement. Les effets indésirables rapportés le plus souvent ont été des maux de tête et de la somnolence. La fréquence des effets indésirables chez des patients souffrant de crises myocloniques était plus faible que chez des patients souffrant de crises partielles (33.3% versus 46.4%).
  • +Une étude menée chez des adultes et des adolescents présentant des crises myocloniques (âgés de 12 à 65 ans) montre que 33.3% des patients dans le groupe lévétiracétam et 30.0% des patients dans le groupe placebo ont eu des effets indésirables considérés comme liés au traitement. Les effets indésirables rapportés le plus souvent ont été des maux de tête et de la somnolence. La fréquence des effets indésirables chez des patients souffrant de crises myocloniques était plus faible que chez des patients souffrant de crises focales (33.3% versus 46.4%).
  • -Les données recueillies depuis la commercialisation sont insuffisantes pour déterminer leur incidence dans la population traitée.
  • -Infections et affections parasitaires
  • +Infections et infestations
  • -Expérience après commercialisation: pancytopénie (avec aplasie médullaire dans quelques cas), agranulocytose, leucopénie, neutropénie.
  • -Affections du système immunitaire
  • -Expérience après commercialisation: exanthème médicamenteux avec éosinophilie et symptômes systémiques (syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse [SHM] ou syndrome DRESS [Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms], voir «Mises en garde et précautions»), réaction anaphylactique.
  • +Affections cardiaques
  • +Rare: Allongement de l'intervalle QT (ECG).
  • -Expérience après commercialisation: perte de poids, hyponatrémie.
  • -Expérience après commercialisation: trouble du comportement, rage, accès de panique, anxiété, état de confusion, hallucination, trouble psychotique, idée suicidaire, tentative de suicide, suicide, délire.
  • -Expérience après commercialisation: choréo-athétose, dyskinésie, paresthésie, léthargie, troubles de la marche.
  • -Expérience après commercialisation: pancréatite.
  • -Affections hépatobiliaires
  • -Expérience après commercialisation: insuffisance hépatique, hépatite, anomalies des tests de la fonction hépatique.
  • -Affections du rein et des voies urinaires
  • -Expérience après commercialisation: insuffisance rénale aiguë.
  • -Expérience après commercialisation: nécrolyse épidermique toxique, syndrome de Stevens-Johnson (voir «Mises en garde et précautions»), érythème polymorphe et alopécie (dans plusieurs cas d'alopécie, une amélioration a été observée après l'arrêt du lévétiracétam), angioedème.
  • -Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • -Expérience après commercialisation: faiblesse musculaire, rhabdomyolyse et augmentation du taux de créatine phosphokinase dans le sang¹.
  • +Effets indésirables après commercialisation
  • +Les données recueillies depuis la commercialisation sont insuffisantes pour déterminer leur incidence dans la population traitée.
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • +Pancytopénie (avec aplasie médullaire dans quelques cas), agranulocytose, leucopénie, neutropénie.
  • +Affections du système immunitaire
  • +Exanthème médicamenteux avec éosinophilie et symptômes systémiques (syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse [SHM] ou syndrome DRESS [Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms], voir «Mises en garde et précautions»), réaction anaphylactique.
  • +Troubles du métabolisme et de la nutrition
  • +Perte de poids, hyponatrémie.
  • +Affections psychiatriques
  • +Trouble du comportement, rage, accès de panique, anxiété, état de confusion, hallucination, trouble psychotique, idée suicidaire, tentative de suicide, suicide, délire.
  • +Affections du système nerveux
  • +Choréo-athétose, dyskinésie, paresthésie, léthargie, troubles de la marche, troubles de l'attention, encéphalopathie1, aggravation des crises.
  • +Affections gastro-intestinales
  • +Pancréatite.
  • +Affections hépatobiliaires
  • +Insuffisance hépatique, hépatite, anomalies des tests de la fonction hépatique.
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • +Insuffisance rénale aiguë.
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • +Nécrolyse épidermique toxique, syndrome de Stevens-Johnson (voir «Mises en garde et précautions»), érythème polymorphe et alopécie (dans plusieurs cas d'alopécie, une amélioration a été observée après l'arrêt du lévétiracétam), angiœdème.
  • +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
  • +Faiblesse musculaire, rhabdomyolyse et augmentation du taux de créatine phosphokinase dans le sang2.
  • -¹ La rhabdomyolyse et l'augmentation du taux de créatine phosphokinase dans le sang sont significativement plus fréquentes chez les patients japonais que chez les patients non japonais.
  • +1 Les cas d'encéphalopathie sont généralement apparus au début du traitement (quelques jours à quelques mois) et étaient réversibles après l'arrêt du traitement.
  • +2 La rhabdomyolyse et l'augmentation du taux de créatine phosphokinase dans le sang sont significativement plus fréquentes chez les patients japonais que chez les patients non japonais.
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +
  • -Symptômes
  • +Signes et symptômes
  • -Mesures à prendre en cas de surdosage
  • +Traitement
  • -Code ATC: N03AX14
  • +Code ATC
  • +N03AX14
  • -Pharmacodynamie
  • -Le lévétiracétam est inactif dans les modèles de screening classiques pour inhibiteurs des convulsions. Cependant, le lévétiracétam assure une haute protection contre les crises dans de nombreux modèles animaux de crises partielles et de crises primaires généralisées, associée à une marge de sécurité particulièrement importante entre les doses thérapeutiques et les doses pouvant provoquer des effets secondaires.
  • +Pharmacodynamique
  • +Le lévétiracétam est inactif dans les modèles de screening classiques pour inhibiteurs des convulsions. Cependant, le lévétiracétam assure une haute protection contre les crises dans de nombreux modèles animaux de crises focales et de crises primaires généralisées, associée à une marge de sécurité particulièrement importante entre les doses thérapeutiques et les doses pouvant provoquer des effets secondaires.
  • -Pour évaluer la sécurité et la tolérance, on a conduit une étude ouverte, à un bras, sur une population de 25 patients recevant des doses intraveineuses de lévétiracétam de 1000 mg/jour à 3000 mg/jour. À la place de la dose orale habituelle, on a administré en traitement adjuvant la même dose de lévétiracétam (2 fois par jour pendant 4 jours) par voie intraveineuse pendant 15 minutes à des patients adultes souffrant de crises partielles. On n'a pas observé d'aggravation des crises pendant cet essai clinique ni pendant la période de suivi de courte durée.
  • +Pour évaluer la sécurité et la tolérance, on a conduit une étude ouverte, à un bras, sur une population de 25 patients recevant des doses intraveineuses de lévétiracétam de 1000 mg/jour à 3000 mg/jour. À la place de la dose orale habituelle, on a administré en traitement adjuvant la même dose de lévétiracétam (2 fois par jour pendant 4 jours) par voie intraveineuse pendant 15 minutes à des patients adultes souffrant de crises focales. On n'a pas observé d'aggravation des crises pendant cet essai clinique ni pendant la période de suivi de courte durée.
  • -En association dans le traitement de crises partielles avec ou sans généralisation secondaire chez l'adulte ou l'enfant à partir de 4 ans présentant une épilepsie
  • +En association dans le traitement de crises focales avec ou sans généralisation secondaire chez l'adulte ou l'enfant à partir de 4 ans présentant une épilepsie
  • -Monothérapie dans le traitement des crises partielles avec ou sans généralisation secondaire chez les patients à partir de 16 ans avec épilepsie
  • +Monothérapie dans le traitement des crises focales avec ou sans généralisation secondaire chez les patients à partir de 16 ans avec épilepsie
  • -Les patients devaient avoir des crises partielles non provoquées ou des crises généralisées tonico-cloniques. Les patients étaient randomisés pour recevoir carbamazépine CR 400–1200 mg/jour ou lévétiracétam 1000–3000 mg/jour. La durée du traitement pouvait aller jusqu'à 121 semaines en fonction de la réponse thérapeutique. 73.0% des patients sous lévétiracétam et 72.8% des patients traités par carbamazépine CR ont été libres de crise pendant 6 mois; la différence absolue ajustée entre les traitements était de 0.2% (IC 95%: –7.8 8.2). Plus de la moitié des sujets sont restés libres de crise pendant 12 mois (56.6% et 58.5% des patients sous lévétiracétam et sous carbamazépine CR respectivement).
  • +Les patients devaient avoir des crises focales non provoquées ou des crises généralisées tonico-cloniques. Les patients étaient randomisés pour recevoir carbamazépine CR 400–1200 mg/jour ou lévétiracétam 1000–3000 mg/jour. La durée du traitement pouvait aller jusqu'à 121 semaines en fonction de la réponse thérapeutique. 73.0% des patients sous lévétiracétam et 72.8% des patients traités par carbamazépine CR ont été libres de crise pendant 6 mois; la différence absolue ajustée entre les traitements était de 0.2% (IC 95%: –7.8 8.2). Plus de la moitié des sujets sont restés libres de crise pendant 12 mois (56.6% et 58.5% des patients sous lévétiracétam et sous carbamazépine CR respectivement).
  • +Absorption
  • +
  • -La demi-vie plasmatique est de 7.2 heures.
  • +La demi-vie plasmatique chez les adultes est de 7.2 heures.
  • +Troubles de la fonction hépatique
  • +Chez les patients avec altération de la fonction hépatique légère à modérée, la clairance du lévétiracétam est pratiquement inchangée. Par contre, chez la plupart des patients atteints d'une affection hépatique sévère, la clairance du lévétiracétam est diminuée de plus de 50% en raison d'une détérioration concomitante de la fonction rénale (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Troubles de la fonction rénale
  • +La clairance corporelle totale du lévétiracétam et de son métabolite principal est en corrélation avec la clairance de la créatinine. C'est pourquoi un ajustement du dosage d'entretien journalier de lévétiracétam en fonction de la clairance de la créatinine est recommandé chez les patients présentant des troubles de la fonction rénale modérés à graves (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Chez les patients anuriques adultes en stade terminal d'affection rénale, la demi-vie est d'environ 25 heures entre deux séances de dialyse et de 3.1 heures pendant la dialyse. Au cours d'une dialyse classique de 4 heures, 51% de la dose de lévétiracétam sont éliminés du plasma.
  • +
  • -L'efficacité et la sécurité du concentré pour perfusion de lévétiracétam n'ont pas été examinées chez les enfants et les adolescents de <16 ans. C'est pourquoi on ne dispose que de données issues d'études relatives aux formes d'administration orales (cf. Information professionnelle de Levetiracetam-Mepha Teva Lactab et Levetiracetam-Mepha solution buvable).
  • -Patients dont la fonction rénale est diminuée
  • -La clairance corporelle totale du lévétiracétam et de son métabolite principal est en corrélation avec la clairance de la créatinine. C'est pourquoi un ajustement du dosage d'entretien journalier de lévétiracétam en fonction de la clairance de la créatinine est recommandé chez les patients présentant des troubles de la fonction rénale modérés à graves (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Chez les patients anuriques adultes en stade terminal d'affection rénale, la demi-vie est d'environ 25 heures entre deux séances de dialyse et de 3.1 heures pendant la dialyse. Au cours d'une dialyse classique de 4 heures, 51% de la dose de lévétiracétam sont éliminés du plasma.
  • -Patients dont la fonction hépatique est diminuée
  • -Chez les patients avec altération de la fonction hépatique légère à modérée, la clairance du lévétiracétam est pratiquement inchangée. Par contre, chez la plupart des patients atteints d'une affection hépatique sévère, la clairance du lévétiracétam est diminuée de plus de 50% en raison d'une détérioration concomitante de la fonction rénale (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +L'efficacité et la sécurité du concentré pour perfusion de lévétiracétam n'ont pas été examinées chez les enfants et les adolescents de <16 ans. C'est pourquoi on ne dispose que de données issues d'études relatives aux formes d'administration orales (cf. Information professionnelle de Levetiracetam-Mepha Teva
  • +comprimés pelliculés et Levetiracetam-Mepha solution buvable).
  • -Levetiracetam-Mepha concentré pour perfusion ne doit pas être mélangé avec d'autres médicaments sauf ceux mentionnés sous «Remarques concernant la manipulation».
  • +Ce médicament ne doit pas être mélangé avec d'autres médicaments sauf ceux mentionnés sous «Remarques concernant la manipulation».
  • -Le concentré pour perfusion Levetiracetam-Mepha ne contient pas de conservateurs. Le produit doit être utilisé immédiatement après ouverture du flacon. Toute solution non utilisée doit être jetée. La stabilité chimique et physique de la solution prête à l'emploi (voir ci-dessous «Remarques concernant la manipulation») a été démontrée pour une durée de 24 h à une température de 25°C. D'un point de vue microbiologique, le produit doit être utilisé immédiatement après dilution.
  • -Remarques concernant le stockage
  • +Le concentré pour perfusion Levetiracetam-Mepha ne contient pas de conservateurs.
  • +Le produit doit être utilisé immédiatement après ouverture du flacon.
  • +Toute solution non utilisée doit être jetée.
  • +La stabilité chimique et physique de la solution prête à l'emploi (voir ci-dessous «Remarques concernant la manipulation») a été démontrée pour une durée de 24 h à une température de 25°C. D'un point de vue microbiologique, le produit doit être utilisé immédiatement après dilution.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • -Décembre 2018.
  • -Numéro de version interne: 7.1
  • +Février 2021.
  • +Numéro de version interne: 9.1
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