90 Changements de l'information professionelle Levetiracetam Desitin 500 mg/5 mL |
-Principe actif: lévétiracétam.
-Excipients: acétate de sodium trihydrate, chlorure de sodium, acide acétique glacial, eau pour injection.
-Forme galénique et quantité de principe actif par unité
-Ampoule avec solution concentrée pour perfusion à 500 mg/5 ml.
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- +Principes actifs
- +Lévétiracétam.
- +Excipients
- +Acétate de sodium trihydraté, chlorure de sodium, acide acétique glacial, eau pour injection.
- +Levetiracetam DESITIN solution concentrée pour perfusion contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par ampoule.
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- +
-Levetiracetam DESITIN solution concentrée pour perfusion est indiqué en monothérapie dans le traitement des crises partielles avec ou sans généralisation secondaire chez les patients épileptiques à partir de 16 ans.
- +Levetiracetam DESITIN solution concentrée pour perfusion est indiqué en monothérapie dans le traitement des crises focales avec ou sans généralisation secondaire chez les patients épileptiques à partir de 16 ans.
-– des crises partielles avec ou sans généralisation secondaire chez les patients épileptiques à partir de 16 ans.
- +– des crises focales avec ou sans généralisation secondaire chez les patients épileptiques à partir de 16 ans.
-Adultes et adolescents à partir de 16 ans
-Monothérapie
-Le traitement devrait commencer par2× 250 mg/jour et la posologie sera augmentée à 2× 500 mg/jour après 2 semaines. En fonction de la réponse clinique, il est possible de l’augmenter encore par paliers de 2× 250 mg/jour toutes les 2 semaines jusqu' à une dose maximale de 2× 1500 mg/jour.
-Traitement adjuvant
-La posologie initiale est de 500 mg deux fois par jour. Selon l’efficacité clinique et la tolérance, la dose journalière peut être augmentée jusqu’à 1500 mg deux fois par jour. Les augmentations ou diminutions de la posologie peuvent s’effectuer par paliers de 500 mg deux fois par jour toutes les 2 à 4 semaines.
- +Crises focales
- +La posologie recommandée est la même pour la monothérapie (à partir de 16 ans) et le traitement adjuvant, comme décrit cidessous:
- +Toutes les indications:
- +Adultes et adolescents à partir de 16 ans de 50 kg ou plus
- +La posologie initiale est de 500 mg deux fois par jour.
- +Selon l’efficacité clinique et la tolérance, la dose journalière peut être augmentée jusqu’à 1500 mg deux fois par jour. Les augmentations ou diminutions de la posologie peuvent s’effectuer par paliers de 500 mg deux fois par jour toutes les 2 à 4 semaines.
-Recommandations posologiques particulières
- +Instructions posologiques particulières
-Patients âgés
- +Patients âgés (à partir de 65 ans)
-Patients dont la fonction rénale est diminuée
- +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
-Patients dont la fonction hépatique est diminuée
- +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
-Fréquence des crises:
-Une augmentation de plus de 25% de la fréquence des crises a été rapportée chez 14% des patients adultes et pédiatriquesatteints de crises partielles traités para le lévétiracetam et chez 26% des patient adultes et 21% des patients pédiatriques sous placebo.
-Absences:
- +Fréquence des crises
- +Une augmentation de plus de 25% de la fréquence des crises a été rapportée chez 14% des patients adultes et pédiatriques atteints de crises focales traités par le lévétiracétam et par 26% des patients adultes et 21% des patients pédiatriques sous placebo.
- +Absences
-État de mal épileptique:
- +État de mal épileptique
-Hémogramme:
- +Hémogramme
-Réactions cutanées graves:
-Des cas de réactions cutanées susceptibles d’entraîner la mort, dont le syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) et la nécrolyse épidermique toxique (NET, ou syndrome de Lyell), ont été rapportés chez des malades (adultes et enfants) traités au lévétiracétam. Le risque de survenue d’un SSJ ou d’une NET est le plus élevé dans les premières semaines du traitement (déclenchement en moyenne entre le 14e et le 17e jour). Des cas se produisant encore après plus de quatre mois de prise et plus tard ont cependant été observés. Il convient d’informer les patients des signes avant-coureurs et des symptômes de ces effets secondaires graves, et de les surveiller étroitement, en particulier au début du traitement, afin de détecter toute réaction cutanée. Les signes ou symptômes d’un SSJ ou d’une NET (tel un exanthème d’extension progressive, s’accompagnant souvent de vésicules ou de lésions des muqueuses) doivent entraîner l’abandon du traitement au lévétiracétam, sauf si l’exanthème n’est clairement pas d’origine médicamenteuse. L’évolution du SSJ et de la NET dépend très largement de la rapidité du diagnostic et de l’arrêt immédiat de tous les médicaments suspects. Plus le traitement est interrompu tôt, meilleur est le pronostic. La survenue d’un SSJ ou d’une NET provoqués par la prise de lévétiracétam interdit toute administration ultérieure de cette molécule au patientconcerné.
- +Réactions psychiatriques et troubles du comportement
- +Le lévétiracétam peut provoquer des troubles du comportement (p. ex. agressivité, agitation, colère, anxiété, apathie, dépression, hostilité et irritabilité) et des symptômes psychotiques. Les patients traités par le lévétiracétam doivent être surveillés afin de détecter des signes et symptômes psychiatriques indiquant un changement important de l’humeur et/ou de la personnalité. Si un tel comportement est constaté, le traitement par le lévétiracétam doit être adapté ou arrêté progressivement.
- +Aggravation des crises
- +Une réaction paradoxale d’aggravation des crises peut être observée surtout au début du traitement ou lors d’une augmentation de la dose.
- +Réactions cutanées graves
- +Des cas de réactions cutanées susceptibles d’entraîner la mort, dont le syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) et la nécrolyse épidermique toxique (NET, ou syndrome de Lyell), ont été rapportés chez des malades (adultes et enfants) traités au lévétiracétam. Le risque de survenue d’un SSJ ou d’une NET est le plus élevé dans les premières semaines du traitement (déclenchement en moyenne entre le 14e et le 17e jour).
- +Des cas se produisant encore après plus de quatre mois de prise et plus tard ont cependant été observés.
- +Il convient d’informer les patients des signes avant-coureurs et des symptômes de ces effets secondaires graves, et de les surveiller étroitement, en particulier au début du traitement, afin de détecter toute réaction cutanée. Les signes ou symptômes d’un SSJ ou d’une NET (tel un exanthème d’extension progressive, s’accompagnant souvent de vésicules ou de lésions des muqueuses) doivent entraîner l’abandon du traitement au lévétiracétam, sauf si l’exanthème n’est clairement pas d’origine médicamenteuse. L’évolution du SSJ et de la NET dépend très largement de la rapidité du diagnostic et de l’arrêt immédiat de tous les médicaments suspects. Plus le traitement est interrompu tôt, meilleur est le pronostic. La survenue d’un SSJ ou d’une NET provoqués par la prise de lévétiracétam interdit toute administration ultérieure de cette molécule au patient concerné.
-Sodium:
-La teneur en sodium par ampoule est d’environ 17,536 mg, ce dont il convient de tenir compte chez les patients suivant un régime pauvre en sodium.
- +Sodium
- +Ce médicament contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par ampoule, c.-à-d. qu’il est essentiellement «sans sodium».
-Il a été démontré in vitro que le lévétiracétam et son métabolite principal n’inhibent l’activité ni des principales isoformes du cytochrome P450 (CYP3A4, 2A6, 2C9, 2C19, 2D6, 2E1 et 1A2) ni de la glucuronyltransférase (UGT1A1 et UGT1A6) ni de l’hydrolase époxyde. Le lévétiracétam n’influence pas non plus la glucuronidation in vitro de l’acide valproïque et na ’exercé qu’un effet faible ou nul sur la conjugaison de l’éthinylestradiol en cultures d’hépatocytes humains. A des concentrations élevées, le lévétiracétam exerce néanmoins une légère induction du CYP2B6 et du CYP3A4; à des concentrations cmax cependant, telles qu’elles ont été observées lors d’une administration répétée de 1500 mg deux fois par jour, ces effets ont été jugés comme étant sans pertinence clinique. Une interactions parinhibition ou induction enzymatique du lévétiracétam avec d’autres substances esttrès improbables. Le probénécide diminue la clairance rénale du métabolite principal mais pas celle du lévétiracétam. La concentration du métabolite principal reste cependant faible. Il est vraisemblable que d’autres substances éliminées par sécrétion tubulaire diminuent également la clairance rénale de ce métabolite. L’effet du lévétiracétam sur le probénécide n’a pas été étudié et l’effet du lévétiracétam sur d’autres principes actifs de sécrétion active, tels que les AINS, les sulfamidés et le méthotrexate est inconnu.
- +Il a été démontré in vitro que le lévétiracétam et son métabolite principal n’inhibent l’activité ni des principales isoformes du cytochrome P450 (CYP3A4, 2A6, 2C9, 2C19, 2D6, 2E1 et 1A2) ni de la glucuronyltransférase (UGT1A1 et UGT1A6) ni de l’hydrolase époxyde. Le lévétiracétam n’influence pas non plus la glucuronidation in vitro de l’acide valproïque et na ’exercé qu’un effet faible ou nul sur la conjugaison de l’éthinylestradiol en cultures d’hépatocytes humains. A des concentrations élevées, le lévétiracétam exerce néanmoins une légère induction du CYP2B6 et du CYP3A4; à des concentrations cmax cependant, telles qu’elles ont été observées lors d’une administration répétée de 1500 mg deux fois par jour, ces effets ont été jugés comme étant sans pertinence clinique. Une interaction par inhibition ou induction enzymatique du lévétiracétam avec d’autres substances est très improbable. Le probénécide diminue la clairance rénale du métabolite principal mais pas celle du lévétiracétam. La concentration du métabolite principal reste cependant faible. Il est vraisemblable que d’autres substances éliminées par sécrétion tubulaire diminuent également la clairance rénale de ce métabolite. L’effet du lévétiracétam sur le probénécide n’a pas été étudié et l’effet du lévétiracétam sur d’autres principes actifs de sécrétion active, tels que les AINS, les sulfamidés et le méthotrexate est inconnu.
-Grossesse/Allaitement
- +Grossesse, Allaitement
-Les femmes en âge de procréer doivent être conseillées par un spécialiste. Il est recommandé d’utiliser une méthode de contraception sûre pendant toute la durée du traitement. Si une femme planifie une grossesse, le traitement par le lévétiracétam doit ȇtre reconsidéré. Comme avec d’autres médicaments antiépileptiques, un arrêt soudain de la prise du lévétiracétam doit ȇtre évité, car cela peut provoquer des crises de sevrage et un état de mal épileptique, qui peuvent avoir de graves conséquences pour la femme et l’enfant à naître. Une monothérapie est à privilégier dans la mesure du possible, car un traitement par plusieurs médicaments antiépileptiques pourrait êtres associé– selon sa combinaison à un risque plus élevé de malformations congénitales que la monothérapie.
- +Les femmes en âge de procréer doivent être conseillées par un spécialiste. Il est recommandé d’utiliser une méthode de contraception sûre pendant toute la durée du traitement. Si une femme planifie une grossesse, le traitement par le lévétiracétam doit ȇtre reconsidéré. Comme avec d’autres médicaments antiépileptiques, un arrêt soudain de la prise du lévétiracétam doit ȇtre évité, car cela peut provoquer des crises de sevrage et un état de mal épileptique, qui peuvent avoir de graves conséquences pour la femme et l’enfant à naître. Une monothérapie est à privilégier dans la mesure du possible, car un traitement par plusieurs médicaments antiépileptiques pourrait être associé – selon sa combinaison à un risque plus élevé de malformations congénitales que la monothérapie.
-Une forte proportion des données post-marketing sur les femmes enceintes traitées par le lévétiracétam en monothérapie (plus de 1800 femmes, 1500 femmes ont pris du lévétiracétam au cours du premmier trimestre de la grossesse), n’indique pas d’augmentation du risque de malfomations congénitales sévères. Il n’exites que peu de données sur le développement neurologique chez les enfants exposés in utero à Levetiracetam DESITIN solution concentrée pour perfusion en monothérapie. Les études épidémiologiques actuelles (portant surenviron 100 enfants) n’indiquent pas d’augmentation du risque accru de troubles ou de retards du développement neurologique.
-Le lévétricétam peut être utilisé pendant la gorssesse si, après une évaluation minutieuse, il est considéré comme cliniquement nécessaire. Dans ce cas, la dose efficace la plus faible est recommandée.
- +Une forte proportion des données post-marketing sur les femmes enceintes traitées par le lévétiracétam en monothérapie (plus de 1800 femmes, 1500 femmes ont pris du lévétiracétam au cours du premier trimestre de la grossesse), n’indique pas d’augmentation du risque de malformations congénitales sévères. Il n’existe que peu de données sur le développement neurologique chez les enfants exposés in utero au lévétiracétam en monothérapie. Les études épidémiologiques actuelles (portant sur environ 100 enfants) n’indiquent pas d’augmentation du risque accru de troubles ou de retards du développement neurologique.
- +Le lévétiracétam peut être utilisé pendant la grossesse si, après une évaluation minutieuse, il est considéré comme cliniquement nécessaire. Dans ce cas, la dose efficace la plus faible est recommandée.
-Il existe des rapports relatifs à la diminution de la concentration plasmatique du lévétiracétam pendant la grossesse. Cette diminution est nettement plus marquée durant le troisième trimestre (jusqu’à 60% de la concentration avant le début de la grossesse).
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- +Une diminution de la concentration plasmatique du lévétiracétam a été observée pendant la grossesse. Cette diminution est nettement plus marquée durant le troisième trimestre (jusqu’à 60% de la concentration avant le début de la grossesse).
-Prise pendant l’allaitement
-Le lévétiracétam est excrétédans le lait maternel. L’allaitement n’est pas donc recommandé. Cependant, si le traitement par le lévétiracétam devait ȇtre nécessaire pendant l’allaitement, il faudra évaluer les avantages et les risques du traitement en considérant l’importance de l’allaitement pour le nourrison.
- +Allaitement
- +Le lévétiracétam est excrété dans le lait maternel. L’allaitement n’est pas donc recommandé. Cependant, si le traitement par le lévétiracétam devait ȇtre nécessaire pendant l’allaitement, il faudra évaluer les avantages et les risques du traitement en considérant l’importance de l’allaitement pour le nourrisson.
-L’effet sur l’aptitude à la conduite et l’utilisation de machines n’a pas fait l’objet d’études. En raison d’une possible sensibilité individuelle différente, certains patients peuvent présenter un état de somnolence ou d’autres troubles du système nerveux central en début de traitement ou à la suite d’une augmentation de la dose. C’est pourquoi la prudence est de rigueur lors d’activités nécessitant une grande habileté telles que la conduite d’un véhicule ou l’utilisation de machines.
- +Aucune étude correspondante n’a été effectuée. En raison d’une possible sensibilité individuelle différente, certains patients peuvent présenter un état de somnolence ou d’autres troubles du système nerveux central en début de traitement ou à la suite d’une augmentation de la dose. C’est pourquoi la prudence est de rigueur lors d’activités nécessitant une grande habileté telles que la conduite d’un véhicule ou l’utilisation de machines.
-Les données de sécurité d’emploi et de tolérance recueillies au cours des études concernant les formes orales du lévétiracétam administré en cas de crises partielles indiquent la survenue d’effets indésirables chez 46,4% des patients adultes du groupe lévétiracétam et 42,2% du groupe placebo; 2,4% des patients du groupe lévétiracétam et 2,0% des patients du groupe placebo ont présenté des effets indésirables graves.
- +Les données de sécurité d’emploi et de tolérance recueillies au cours des études concernant les formes orales du lévétiracétam administré en cas de crises focales indiquent la survenue d’effets indésirables chez 46,4% des patients adultes du groupe lévétiracétam et 42,2% du groupe placebo; 2,4% des patients du groupe lévétiracétam et 2,0% des patients du groupe placebo ont présenté des effets indésirables graves.
- +Description de certains effets indésirables
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-Une étude menée chez des adultes et adolescents (de 12 à 65 ans) présentant des crises myocloniques a montré que 33,3% des patients du groupe lévétiracétam et 30,0% des patients du groupe placebo ont eu des effets indésirables considérés comme liés au traitement. Les effets indésirables rapportés le plus souvent étaient les maux de tête et la somnolence. L’incidence des effets indésirables survenant chez les patients atteints de crises myocloniques était plus faible que chez les patients souffrant de crises partielles (33,3% versus 46,4%).
- +Une étude menée chez des adultes et adolescents (de 12 à 65 ans) présentant des crises myocloniques a montré que 33,3% des patients du groupe lévétiracétam et 30,0% des patients du groupe placebo ont eu des effets indésirables considérés comme liés au traitement. Les effets indésirables rapportés le plus souvent étaient les maux de tête et la somnolence. L’incidence des effets indésirables survenant chez les patients atteints de crises myocloniques était plus faible que chez les patients souffrant de crises focales (33,3% versus 46,4%).
-Les effets indésirables observés au cours d’études et faisant l’objet de rapports de pharmacovigilance figurent ci-après, classés par systèmes d’organes et en fonction de leur fréquence. Pour les études cliniques, la fréquence est définie comme suit: très fréquent: ≥1/10; fréquent: ≥1/100 à <1/10; peu fréquent : ≥1/1000 à <1/100; rare: ≥1/10'000 à <1/1000; très rare: <1/10’000, y compris les cas isolés.
-Les données recueillies depuis la commercialisation sont insuffisantes pour déterminer leur incidence dans la population traitée.
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- +Les effets indésirables observés au cours d’études et faisant l’objet de rapports de pharmacovigilance figurent ci-après, classés par systèmes d’organes et en fonction de leur fréquence. Pour les études cliniques, la fréquence est définie comme suit: très fréquents: ≥1/10; fréquents: ≥1/100 à <1/10; occasionnels: ≥1/1000 à <1/100; rares: ≥1/10 000 à <1/1000; très rares: <1/10 000, y compris les cas isolés.
-Très fréquent: nasopharyngite.
-Rare: infection
- +Très fréquents: nasopharyngite.
- +Rares: infection
-Peu fréquent: thrombocytopénie.
-Expérience après commercialisation: pancytopénie (avec aplasie médullaire dans quelques cas), agranulocytose, leucopénie, neutropénie.
-Affections du système immunitaire
-Expérience après commercialisation: exanthème médicamenteux avec éosinophilie et symptômes systémiques (syndrome d’hypersensibilité médicamenteuse [SHM] ou syndrome DRESS [Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms], voir «Mises en gare et précautions») , réactions anaphylactiques.
- +Occasionnels: thrombocytopénie.
-Fréquent: anorexie.
-Peu fréquent: prise de poids.
-Expérience après commercialisation: perte de poids, hyponatrémie.
- +Fréquents: anorexie.
- +Occasionnels: prise de poids.
-Fréquent: dépression, hostilité, agressivité, insomnie, nervosité, irritabilité.
-Peu fréquent: labilité émotionelle/sautes d’humeur, agitation.
-Rare: troubles de la personnalité, pensées anormales.
-Expérience après commercialisation: trouble ducomportement, colère, accès de panique, anxiété, état de confusion, hallucinations, troubles psychotiques, idées suicidaires, tentative de suicide, suicide, délire.
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- +Fréquents: dépression, hostilité, agressivité, insomnie, nervosité, irritabilité.
- +Occasionnels: labilité émotionnelle/sautes d’humeur, agitation.
- +Rares: troubles de la personnalité, pensées anormales.
-Fréquents: convulsions, étourdissements, céphalées, hyperkinésie, tremblements, troubles de l’équilibre.
-Peu fréquent: amnésie, troubles de la coordination/ataxie, troubles de l’attention, troubles de la mémoire.
-Rare: hyperkinésie.
-Expérience après commercialisation: choréoathétose, dyskinésie, paresthésie, léthargie, trouble de la marche
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- +Fréquents: convulsions, étourdissements, tremblements, troubles de l’équilibre.
- +Occasionnels: amnésie, troubles de la coordination/ataxie, troubles de l’attention, troubles de la mémoire.
- +Rares: hyperkinésie.
-Peu fréquents: diplopie, vision trouble.
- +Occasionnels: diplopie, vision trouble.
-Expérience après commercialisation: pancréatite.
-Affections hépatobiliaires
-Expérience après commercialisation: insuffisance hépatique, hépatite, anomalies des tests de la fonction hépatique.
-Affections du rein et des voies urinaires
-Expérience après commercialisation: lésion rénale aiguë.
-Peu fréquent: eczéma, prurit.
-Expérience après commercialisation: nécrolyse épidermique toxique, syndrome de Stevens-Johnson (voir «Mises en garde et précautions»), érythème polymorphe et alopécie. Dans plusieurs cas d’alopécie, une amélioration a été observée après l’arrêt du lévétiracétam, angio-œdème.
-Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
-Peu fréquents: myalgie.
-Expérience après commercialisation: faiblesse musculaire, rhabdomyolyse et augmentation du taux de créatine phosphokinase dans le sang1.
- +Occasionnels: eczéma, prurit.
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
- +Occasionnels: myalgie.
-Fréquent: asthénie, fatigue.
-Lésions, intoxications et complications liées aux procédures
-Peu fréquent: blessures.
-Description d’effets indésirables sélectionnés:
-1 La rhabdomyolyse et l’augmentation du taux de créatine phosphokinase dans le sang sont significativement plus fréquentes chez les patients japonais que chez les patients non japonais.
- +Fréquents: asthénie, fatigue.
- +Lésions, intoxications et complications d’interventions
- +Occasionnels: blessures.
- +Effets indésirables identifiés après la mise sur le marché
- +Les données recueillies depuis la commercialisation sont insuffisantes pour déterminer leur incidence dans la population traitée.
- +Affections hématologiques et du système lymphatique
- +Pancytopénie (une aplasie médullaire a été constatée dans quelques cas), agranulocytose, leucopénie, neutropénie.
- +Affections du système immunitaire
- +Exanthème médicamenteux avec éosinophilie et symptômes systémiques (syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse [SHM] ou syndrome DRESS [Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms], voir «Mises en gare et précautions»), réactions anaphylactiques.
- +Troubles du métabolisme et de la nutrition
- +Perte de poids, hyponatrémie.
- +Affections psychiatriques
- +Trouble du comportement, colère, accès de panique, anxiété, état de confusion, hallucinations, troubles psychotiques, pensées suicidaires, tentative de suicide, suicide, délire.
- +Affections du système nerveux
- +Choréoathétose, dyskinésie, paresthésie, léthargie, troubles de la marche, troubles de l’attention, encéphalopathie1, aggravation des crises.
- +Affections gastro-intestinales
- +Pancréatite.
- +Affections hépatobiliaires
- +Insuffisance hépatique, hépatite, anomalies des tests de la fonction hépatique.
- +Affections du rein et des voies urinaires
- +Insuffisance rénale aiguë.
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
- +Nécrolyse épidermique toxique, syndrome de Stevens-Johnson (voir «Mises en garde et précautions»), érythème polymorphe et alopécie (dans plusieurs cas d'alopécie, une amélioration a été observée après l'arrêt du lévétiracétam), angio-œdème.
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
- +Faiblesse musculaire, rhabdomyolyse et augmentation du taux de créatine phosphokinase dans le sang2.
- +Description d’effets secondaires sélectionnés:
- +1 Les cas d’encéphalopathie sont généralement apparus au début du traitement (quelques jours à quelques mois) et étaient réversibles à l’arrêt du traitement.
- +2 La rhabdomyolyse et l’augmentation du taux de créatine phosphokinase dans le sang sont significativement plus fréquentes chez les patients japonais que chez les patients non japonais.
- +L’annonce d’effets secondaires présumés après l’autorisation est d’une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d’effet secondaire nouveau ou grave via le portail d’annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
- +
-Symptômes
- +Signes et symptômes
-Mesures à prendre en cas de surdosage
- +Traitement
-Code ATC: N03AX14
- +Code ATC
- +N03AX14
-Pharmacodynamie
-Le lévétiracétam est inactif dans les modèles classiques de sélection d’anticonvulsifs. Cependant, le lévétiracétam assure, dans de nombreux modèles animaux, une haute protection contre les crises partielles et primaires généralisées, associée à une marge de sécurité particulièrement importante entre les doses thérapeutiques et les doses susceptibles de déclencher des effets secondaires.
- +Pharmacodynamique
- +Le lévétiracétam est inactif dans les modèles classiques de sélection d’anticonvulsifs. Cependant, le lévétiracétam assure, dans de nombreux modèles animaux, une haute protection contre les crises focales et primaires généralisées, associée à une marge de sécurité particulièrement importante entre les doses thérapeutiques et les doses susceptibles de déclencher des effets secondaires.
-Etudes cliniques relatives à la solution concentrée pour perfusion
- +Études cliniques relatives à la solution concentrée pour perfusion
-Pour évaluer la sécurité d’emploi et la tolérance, une étude ouverte à un bras a été menée chez 25 patients recevant des doses de 1000 à 3000 mg/jour de lévétiracétam. Au lieu de la posologie orale usuelle, la même dose de lévétiracétam était administrée en perfusion intraveineuse pendant 15 minutes en traitement adjuvant (deux fois par jour pendant 4 jours) chez des patients adultes atteints de crises partielles. Aucune aggravation des crises n’a été observée durant cette étude clinique ou durant son suivi de courte durée.
- +Pour évaluer la sécurité d’emploi et la tolérance, une étude ouverte à un bras a été menée chez 25 patients recevant des doses de 1000 à 3000 mg/jour de lévétiracétam. Au lieu de la posologie orale usuelle, la même dose de lévétiracétam était administrée en perfusion intraveineuse pendant 15 minutes en traitement adjuvant (deux fois par jour pendant 4 jours) chez des patients adultes atteints de crises focales. Aucune aggravation des crises n’a été observée durant cette étude clinique ou durant son suivi de courte durée.
-Etudes cliniques avec la forme d’administration orale
-Traitement adjuvant de crises partielles avec ou sans généralisation secondaire chez des épileptiques adultes et enfants à partir de 4 ans
- +Études cliniques avec la forme d’administration orale
- +Traitement adjuvant de crises focales avec ou sans généralisation secondaire chez des épileptiques adultes et enfants à partir de 4 ans
-Monothérapie de crises partielles avec ou sans généralisation secondaire chez des patients épileptiques à partir de 16 ans
- +Monothérapie de crises focales avec ou sans généralisation secondaire chez des patients épileptiques à partir de 16 ans
-Les patients devaient présenter, soit des crises partielles non provoquées, soit des crises tonico-cloniques généralisées. Ils étaient randomisés pour recevoir 400-1200 mg par jour de carbamazépine CR ou 1000-3000 mg par jour de lévétiracétam. Le traitement pouvait durer jusqu’à 121 semaines en fonction de la réponse. L’absence de crises pendant 6 mois a été obtenue chez 73,0% des patients sous lévétiracétam et chez 72,8% des patients sous carbamazépine CR; la différence absolue calculée entre les traitements était de 0,2% (IC 95%: -7,8; 8,2). Plus de la moitié des patients sont restés exempts de crises pendant 12 mois (56,6% sous lévétiracétam et 58,5% sous carbamazépine CR).
- +Les patients devaient présenter, soit des crises focales non provoquées, soit des crises tonico-cloniques généralisées. Ils étaient randomisés pour recevoir 400-1200 mg par jour de carbamazépine CR ou 1000-3000 mg par jour de lévétiracétam. Le traitement pouvait durer jusqu’à 121 semaines en fonction de la réponse. L’absence de crises pendant 6 mois a été obtenue chez 73,0% des patients sous lévétiracétam et chez 72,8% des patients sous carbamazépine CR; la différence absolue calculée entre les traitements était de 0,2% (IC 95%: -7,8; 8,2). Plus de la moitié des patients sont restés exempts de crises pendant 12 mois (56,6% sous lévétiracétam et 58,5% sous carbamazépine CR).
-Elimination
-La demi-vie plasmatique est de 7,2 heures.
- +Élimination
- +La demi-vie plasmatique chez l’adulte est de 7,2 heures.
- +Troubles de la fonction hépatique
- +Chez les patients présentant une altération légère à modérée de la fonction hépatique, la clairance du lévétiracétam est pratiquement inchangée. En revanche, chez la plupart des patients dont les troubles de la fonction hépatique sont sévères, la clairance du lévétiracétam est diminuée de plus de 50% en raison de la détérioration concomitante de la fonction rénale (voir «Posologie/Mode d’emploi»).
- +Troubles de la fonction rénale
- +La clairance corporelle totale du lévétiracétam et de son métabolite principal est en corrélation avec la clairance de la créatinine. Il est donc recommandé d’adapter la dose journalière d’entretien de Levetiracetam DESITIN en fonction de la clairance de la créatinine chez les patients atteints de troubles modérés à sévères de la fonction rénale (voir «Posologie/Mode d’emploi»).
- +Chez les patients anuriques adultes au stade terminal d’affection rénale, la demi-vie est d’environ 25 heures entre deux séances de dialyse et de 3,1 heures pendant la dialyse. Au cours d’une dialyse classique de 4 heures, 51% de la dose de lévétiracétam sont extraits du plasma.
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-Patients dont la fonction rénale est diminuée
-La clairance corporelle totale du lévétiracétam et de son métabolite principal est en corrélation avec la clairance de la créatinine. Il est donc recommandé d’adapter la dose journalière d’entretien en fonction de la clairance de la créatinine chez les patients atteints de troubles modérés à sévères de la fonction rénale (voir «Posologie/Mode d’emploi»).
-Chez les patients anuriques adultes au stade terminal d’affection rénale, la demi-vie est d’environ 25 heures entre deux séances de dialyse et de 3,1 heures pendant la dialyse. Au cours d’une dialyse classique de 4 heures, 51% de la dose de lévétiracétam sont extraits du plasma.
-Patients dont la fonction hépatique est diminuée
-Chez les patients présentant une altération légère à modérée de la fonction hépatique, la clairance du lévétiracétam est pratiquement inchangée. En revanche, chez la plupart des patients dont les troubles de la fonction hépatique sont sévères, la clairance du lévétiracétam est diminuée de plus de 50% en raison de la détérioration concomitante de la fonction rénale (voir «Posologie/Mode d’emploi»).
-Sur la base d’études conventionnelles de tolérance pharmacologique, de génotoxicité et du potentiel carcinogène, les données précliniques n’ont pas mis en évidence de risque particulier pour l’homme. Les études effectuées chez la souris et le rat n’ont pas montré de potentiel carcinogène du lévétiracétam. Les effets secondaires survenus chez les rats et dans une moindre mesure chez les souris après exposition aux doses utilisées en thérapeutique humaine, et qui n’ont pas été observés lors d’études cliniques mais pourraient ȇtre pertinents pour l’utilisation clinique, étaient des modifications hépatiques suggérantune réponse d’adaptation, p. ex. augmentation du poids du foie, hypertrophie centrolobulaire, infiltration adipeuse et élévation des enzymes hépatiquesplasmatiques.
- +Sur la base d’études conventionnelles de tolérance pharmacologique, de génotoxicité et du potentiel carcinogène, les données précliniques n’ont pas mis en évidence de risque particulier pour l’homme.
- +Carcinogénicité
- +Les études effectuées chez la souris et le rat n’ont pas montré de potentiel carcinogène du lévétiracétam.
- +Autres données
- +Les effets secondaires survenus chez les rats et dans une moindre mesure chez les souris après exposition aux doses utilisées en thérapeutique humaine, et qui n’ont pas été observés lors d’études cliniques mais pourraient ȇtre pertinents pour l’utilisation clinique, étaient des modifications hépatiques suggérant une réponse d’adaptation, p. ex. augmentation du poids du foie, hypertrophie centrolobulaire, infiltration adipeuse et élévation des enzymes hépatiques plasmatiques.
- +Toxicité sur la reproduction
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-Levetiracetam DESITIN solution concentrée pour perfusion ne peut être mélangé qu’aux médicaments mentionnés à la rubrique «Remarques concernant la manipulation».
- +Ce médicament ne peut être mélangé qu’aux médicaments mentionnés sous «Remarques concernant la manipulation».
-Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient. Levetiracetam DESITIN solution concentrée pour perfusion ne contient pas d’agent conservateur, il faut l’utiliser immédiatement après ouverture de l’ampoule. Tout produit non utilisé doit être éliminé. La stabilité chimique et physique de la solution prête à l’emploi (voir ci-après «Remarques concernant la manipulation») a été démontrée pour une durée de 24 h à 2-8°C. Il faut cependant l’utiliser immédiatement après dilution pour des raisons microbiologiques.
-Remarques concernant le stockage
-Conserver à température ambiante (15-25°C) dans l’emballage original et hors de portée des enfants.
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
- +Stabilité après ouverture
- +Levetiracetam DESITIN solution concentrée pour perfusion doit être utilisé immédiatement après ouverture de l’ampoule. Tout produit non utilisé doit être éliminé.
- +La préparation ne contient pas de conservateur. La stabilité chimique et physique «in use» de la solution prête à l’emploi (voir ci-après «Remarques concernant la manipulation») a été démontrée pendant 24 h à 2-8°C. Pour des raisons microbiologiques, la préparation prête à l’emploi doit être utilisée immédiatement après dilution/reconstitution.
- +Remarques particulières concernant le stockage
- +Conserver à température ambiante (15-25°C).
- +Conserver dans l’emballage d’origine.
- +Conserver hors de portée des enfants.
-Décembre 2018
- +Juin 2020
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