ch.oddb.org
 
Apotheken | Hôpital | Interactions | LiMA | Médecin | Médicaments | Services | T. de l'Autorisation
Accueil - Information professionnelle sur Esmya - Changements - 06.11.2018
50 Changements de l'information professionelle Esmya
  • -Excipients : Cellulose microcrystalline
  • +Excipients :
  • +Cellulose microcrystalline
  • -pour le traitement temporaire des symptômes liés aux fibromes utérins (uterus myomatosus), dans l’attente d’un traitement définitif du myome (c.-à-d. une intervention chirurgicale appropriée)
  • -pour le traitement intermittent des symptômes modérés à sévères liés aux fibromes utérins, limité à 4 cycles de traitement.
  • -Chez les patientes pour lesquelles un traitement curatif n’est pas envisageable ou n’est pas souhaité, Esmya peut aussi être utilisé en traitement intermittent à long terme. Il n’existe cependant pas de données sur la sécurité et l’efficacité de plus de 4 cycles de traitement d’une durée de 3 mois chacun.
  • +pour un cycle de traitement temporaire (de 3 mois) des symptômes liés aux fibromes utérins (uterus myomatosus), dans l’attente d’un traitement définitif du myome (c.-à-d. une intervention chirurgicale appropriée)
  • +pour le traitement intermittent des symptômes modérés à sévères liés aux fibromes utérins chez les patientes pour lesquelles un traitement chirurgical ne peut pas être envisagé, limité à 4 cycles de traitement de 3 mois.
  • +Chez les patientes pour lesquelles un traitement curatif n’est pas envisageable, Esmya peut aussi être utilisé en traitement intermittent à long terme. Il n’existe cependant pas de données sur la sécurité et l’efficacité de plus de 4 cycles de traitement d’une durée de 3 mois chacun.
  • -Le traitement consiste à prendre un comprimé de 5 mg par voie orale, une fois par jour, pour des périodes de traitement d’une durée maximale de 3 mois sans interruption.
  • -Si répétées, les périodes de traitement doivent être intermittentes. Chaque traitement doit commencer au plus tôt lors de la deuxième menstruation après la fin de la période de traitement précédent. Chaque période de traitement doit débuter au cours de la première semaine d’un cycle menstruel.
  • +Le traitement par Esmya doit être initié et surveillé par des gynécologues.
  • +Un cycle de traitement consiste à prendre un comprimé de 5 mg par voie orale, une fois par jour, pour des périodes de traitement continues d’une durée maximale de 3 mois.
  • +Chaque période de traitement doit débuter au cours de la première semaine d’un cycle menstruel.
  • +Si répétées, les périodes de traitement doivent être intermittentes. Chaque traitement doit commencer au plus tôt lors de la deuxième menstruation après la fin de la période de traitement précédent.
  • -La sécurité et l’efficacité de Esmya n’ont été établies que chez les femmes de 18 ans et plus. Il n’y a pas d’utilisation justifiée d’ulipristal acétate dans la population pédiatrique.
  • +La sécurité et l’efficacité de Esmya n’ont été établies que chez les femmes de 18 ans et plus. L’utilisation d’Esmya n’est pas autorisée chez les adolescentes, et il n’existe aucune indication chez les enfants avant la puberté.
  • -Esmya est indiqué uniquement pour un usage avant la ménopause.
  • +Esmya est autorisé uniquement pour un usage avant la ménopause.
  • -Aucune adaptation de la dose n’est recommandée chez les patientes souffrant d’insuffisance hépatique légère (Child Pugh A). En l’absence de données sur l’utilisation chez les patientes souffrant d’insuffisance hépatique modérée ou sévère, l’utilisation d’ulipristal acétate dans cette population n’est pas recommandée (Child Pugh B et C). (voir « Mises en garde et précautions » et « Pharmacocinétique »).
  • +Esmya est contre-indiqué chez les patientes qui présentent des troubles de la fonction hépatique (voir également la rubrique « Mises en garde et précautions »).
  • +Troubles hépatiques pré-existants.
  • -Utilisation simultanée d’inhibiteurs puissants ou modérés du CYP3A4 (par ex. itraconazole, voriconazole, clarithromycine, érithromycine, ritonavir).
  • -Utilisation simultanée d’inducteurs du CYP3A4 (par ex. barbituriques, carbamazépine, rifabutine, rifampicine, phénytoïne, primidone ou des médicaments phytothérapeutiques contenant du millepertuis).
  • +Utilisation simultanée d’inhibiteurs puissants ou modérés du CYP3A4 (par ex. itraconazole, voriconazole, posaconazole, clarithromycine, érithromycine, ritonavir, cobicistat).
  • +Utilisation simultanée d’inducteurs du CYP3A4 (par ex. barbituriques, carbamazépine, efavirenz, rifabutine, rifampicine, phénytoïne, primidone ou des médicaments phytothérapeutiques contenant du millepertuis).
  • -En raison de l’absence de données sur la sécurité d’emploi à long terme sans interruption, la durée de chaque période de traitement ne doit pas dépasser 3 mois (voir « Indications » et « Posologie »). Des données suffisantes sur la sécurité et l’efficacité ne sont disponibles que pour une utilisation sur un maximum de 4 cycles de traitement de 3 mois.
  • +En raison de l’absence de données sur la sécurité d’emploi à long terme sans interruption, la durée de chaque période de traitement ne doit pas dépasser 3 mois (voir « Indications / Possibilités d’emploi » et « Posologie / Mode d’emploi »). Des données suffisantes sur la sécurité et l’efficacité ne sont disponibles que pour une utilisation sur un maximum de 4 cycles de traitement de 3 mois.
  • +Toxicité hépatique
  • +Depuis la commercialisation, des cas de lésions hépatiques ont été rapportés. Ces lésions étaient parfois graves, et certains cas d’insuffisance hépatique aiguë ont nécessité une greffe du foie. Telle est la raison pour laquelle des tests de la fonction hépatique doivent être effectués avant le début du traitement. Un traitement sous Esmya ne doit pas être initié si les transaminases (ALAT ou ASAT) sont > 2 × limite supérieure de la normale (LSN).Pendant le traitement, des tests de la fonction hépatique doivent être réalisés au moins une fois par mois au cours des deux premiers cycles de traitement. Pour les cycles de traitement suivants, la fonction hépatique doit être testée une fois avant chaque nouveau cycle de traitement et lorsque cliniquement indiqué.En outre, des tests de la fonction hépatique doivent être effectués 2 à 4 semaines après l’interruption du traitement.
  • +Les patientes qui présentent des taux de transaminases (ASAT ou ALAT) supérieures à trois fois la limite supérieure de la normale au cours du traitement doivent interrompre la prise du médicament et être étroitement surveillées.Si une patiente présente des signes ou des symptômes compatibles avec une lésion hépatique (p. ex. anorexie, nausées, vomissements, douleur de l’hypochondre droit, ictère), le traitement doit être arrêté et des tests de la fonction hépatique doivent être réalisés.
  • +L’apparition de signes nouveaux d’asthénie ou de fatigue peut également révéler une atteinte de la fonction hépatique. Dans ce cas, la patiente devrait informer immédiatement son médecin au sujet de la survenance de ces symptômes, surtout lorsque l’asthénie et la fatigue vont de pair avec d’autres symptômes mentionnés. Si la fonction hépatique ne présente rien d’anormal, le traitement peut être poursuivi sous surveillance étroite dans ces cas de figure. Il convient de souligner toutefois que dans certains cas, les symptômes cliniques sont apparus avant que des analyses de laboratoire aient permis de confirmer une atteinte de la fonction hépatique.
  • +Par précaution, les patientes devraient éviter de consommer de l’alcool pendant le traitement sous Esmya (ainsi que pendant les invervalles entre les cycles de traitement.)
  • +
  • -Une augmentation de l’épaisseur de l’endomètre peut se produire. Chez 10 à 15 % des patientes, un épaississement de l’endomètre (> 16 mm par ultrasons ou IRM à la fin du traitement) a été observé avec l’ulipristal acétate à la fin de la première période de traitement de 3 mois. Au cours des périodes de traitement suivantes, l’épaississement de l’endomètre a été moins souvent observé (4.9 % et 3.5 % de patientes respectivement à la fin de la deuxième et quatrième période de traitement). L’épaississement de l’endomètre est réversible lorsque le traitement s’arrête et la menstruation redémarre. Si l’épaississement de l’endomètre persiste pendant les périodes sans traitement après le retour des règles ou au-delà de 3 mois après la fin des périodes de traitement, il sera recommandé d’examiner le problème selon les pratiques cliniques habituelles (par exemple une biopsie de l’endomètre) afin d’exclure une condition pathologique sous-jacente.
  • +Une augmentation de l’épaisseur de l’endomètre peut se produire. Chez 10 à 15 % des patientes, un épaississement de l’endomètre (> 16 mm par ultrasons ou IRM à la fin du traitement) a été observé avec l’ulipristal acétate à la fin de la première période de traitement de 3 mois. Au cours des périodes de traitement suivantes, l’épaississement de l’endomètre a été moins souvent observé (4.9 % et 3.5 % de patientes respectivement à la fin de la deuxième et quatrième période de traitement). L’épaississement de l’endomètre est réversible lorsque le traitement s’arrête et la menstruation redémarre. Si l’épaississement de l’endomètre persiste pendant les périodes sans traitement après le retour des règles ou au-delà de 3 mois après la fin des périodes de traitement, il sera recommandé d’examiner le problème selon les pratiques cliniques habituelles (par exemple une biopsie de l’endomètre) afin d’exclure toute évolution cliniquement pertinente.
  • -La patiente doit être prévenue du fait que l’ulipristal acétate entraîne généralement une diminution cliniquement significative des saignements menstruels (dans les 10 jours) ou une aménorrhée pendant le traitement. Si les saignements excessifs persistent, la patiente doit en informer son médecin. Les menstruations ré-apparaissent généralement dans les 4 semaines qui suivent la fin de chaque période de traitement et se sont avérées de moins en moins abondantes au fur et à mesure des périodes répétées de traitement.
  • +La patiente doit être prévenue du fait que l’ulipristal acétate entraîne généralement une diminution cliniquement significative des saignements menstruels (dans les 10 jours) ou une aménorrhée. Si les saignements excessifs persistent, la patiente doit en informer son médecin. Les menstruations ré-apparaissent généralement dans les 4 semaines qui suivent la fin de chaque période de traitement et se sont avérées de moins en moins abondantes au fur et à mesure des périodes répétées de traitement.
  • -Insuffisance hépatique
  • -Il n’existe pas d’expérience thérapeutique avec l’ulipristal acétate chez les patientes atteintes d’insuffisance hépatique. On s’attend à ce que l’insuffisance hépatique modifie la clairance de l’ulipristal acétate, ce qui entraînerait une augmentation de l’exposition (voir « Pharmacocinétique »). Ceci est estimé ne pas être cliniquement pertinent pour les patientes atteintes d’une insuffisance hépatique légère. L’ulipristal acétate n’est pas recommandé chez les patientes atteintes d’insuffisance hépatique modérée ou grave (voir « Posologie/mode d’emploi »).
  • -L’utilisation simultanée d’inhibiteurs puissants ou modérés du CYP3A4 (par ex. itraconazole, voriconazole, clarithromycine, érythromycine, ritonavir et le jus de pamplemousse) et de l’ulipristal acétate est contre-indiquée (voir « Interactions). L’utilisation simultanée d’inhibiteurs légers du CYP3A4 et de l’ulipristal acétate n’est pas recommandée.
  • -L’utilisation simultanée de l’ulipristal acétate et d’inducteurs du CYP3A4 (par ex. barbituriques, carbamazépine, rifabutine, rifampicine, phénytoïne, primidone ou des médicaments phytothérapeutiques contenant du millepertuis) est contre-indiquée (voir « Interactions »).
  • +L’utilisation simultanée d’inhibiteurs puissants ou modérés du CYP3A4 (par ex. itraconazole, voriconazole, posaconazole, clarithromycine, érythromycine, ritonavir, cobicistat et le jus de pamplemousse) et de l’ulipristal acétate est contre-indiquée (voir « Interactions). L’utilisation simultanée d’inhibiteurs légers du CYP3A4 et de l’ulipristal acétate n’est pas recommandée.
  • +L’utilisation simultanée de l’ulipristal acétate et d’inducteurs du CYP3A4 (par ex. barbituriques, carbamazépine, efavirenz, rifabutine, rifampicine, phénytoïne, primidone ou des médicaments phytothérapeutiques contenant du millepertuis) est contre-indiquée (voir « Interactions »).
  • -Suite à l’administration de rifampicine, un inducteur puissant du CYP3A4, la Cmax et l’ASC de l’ulipristal acétate ont diminué de 90 % et de 93% respectivement. L’ASC du métabolite actif a diminué de 84% tandis que sa Cmax a diminué de 90-91 %. Une utilisation simultanée d’inducteurs du CYP3A4 (comme barbituriques, carbamazépine, rifabutine, rifampicine, phénytoïne, primidone, millepertuis) et de l’ulipristal acétate est contre-indiquée.
  • +Suite à l’administration de rifampicine, un inducteur puissant du CYP3A4, la Cmax et l’ASC de l’ulipristal acétate ont diminué de 90 % et de 93% respectivement. L’ASC du métabolite actif a diminué de 84% tandis que sa Cmax a diminué de 90-91 %. Une utilisation simultanée d’inducteurs du CYP3A4 (comme barbituriques, carbamazépine, efavirenz, rifabutine, rifampicine, phénytoïne, primidone, millepertuis) et de l’ulipristal acétate est contre-indiquée.
  • -La sécurité de l’ulipristal acétate a été évaluée chez 1053 femmes souffrant de fibromes utérins, traitées avec 5 mg ou 10 mg d’ulipristal acétate au cours des études de phase III. L‘effet le plus fréquemment observé dans les essais cliniques était l’aménorrhée (79,42 %), qui est considérée comme un résultat souhaitable par la majorité des patientes (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +La sécurité de l’ulipristal acétate a été évaluée chez 1053 femmes souffrant de fibromes utérins, traitées avec 5 mg ou 10 mg d’ulipristal acétate au cours des études de phase III. L‘effet le plus fréquemment observé dans les essais cliniques était l’aménorrhée (79%), qui est considérée comme un résultat souhaitable par la majorité des patientes (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Basés sur les données regroupées de quatre études de phase III chez des patientes souffrant de fibromes utérins traitées pendant une ou plusieurs périodes de traitement de 3 mois, les effets indésirables suivants ont été rapportés. Les effets indésirables énumérés ci-après sont classés en fonction des fréquences et des classes de systèmes d’organes. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquent (≥ 1/10), fréquent (≥1/100 à <1/10), peu fréquent (≥1/1000 à < 1/100), rare (≥1/10000 à < 1/1000), très rare (<1/10000).
  • -Troubles du système immunitaire
  • +Basés sur les données regroupées de quatre études de phase III chez des patientes souffrant de fibromes utérins traitées pendant une ou plusieurs périodes de traitement de 3 mois, les effets indésirables suivants ont été rapportés. Les effets indésirables énumérés ci-après sont classés en fonction des classes de systèmes d’organes et des fréquences. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquent (≥ 1/10), fréquent (≥1/100 à <1/10), peu fréquent (≥1/1000 à < 1/100), rare (≥1/10000 à < 1/1000), très rare (<1/10000), inconnu (il s’agit essentiellement d’annonces spontanées provenant de la surveillance du marché, la fréquence de ces effets indésirables ne peut pas être évaluée précisément).
  • +Affections du système immunitaire
  • -Troubles du système endocrinien
  • +Affections endocriniennes
  • -Très fréquent : céphalées (13.2%)
  • +Très fréquent : céphalées (13%)
  • -Troubles vasculaires :
  • +Affections cardiaques :
  • +Peu fréquent : palpitations
  • +Affections vasculaires :
  • -Peu fréquent: palpitations
  • -Troubles hépato-biliaires
  • +Affections hépatobiliaires
  • +Inconnu : insuffisance hépatique
  • +
  • -Très fréquent : épaississement de l’endomètre (10,8 %)
  • +Très fréquent : épaississement de l’endomètre (11 %)
  • -Code ATC :G03XB02.
  • +Code ATC : G03XB02.
  • -Dans l’étude 1, une différence statistiquement significative a été observée au niveau de la diminution de la perte de sang menstruel chez les patientes traitées par ulipristal acétate par rapport à celles sous placebo. Avec 5 mg d’ulipristal acétate, le taux de réponse était de 91.5 % contre seulement 18.8 % avec le placebo (p<0.001). Pour la majorité des patientes, il y avait déjà une réduction significative de l’intensité des saignements pendant la première semaine de traitement. A la fin du traitement on observait une aménorrhée dans 73.4 % des cas avec 5 mg d’ulipristal acétate contre 6.3 % pour le placebo. La correction de l’anémie arrivait plus rapidement et plus efficacement qu’avec le fer seul. De même, les patientes traitées par ulipristal acétate présentaient une diminution plus importante de la taille du myome, telle qu’évaluée par IRM (réduction du volume total de tous les fibromes de 21.2 % sous ulipristal acétate contre une augmentation de 3.0 % avec le placebo, p=0.002). La dose de 10 mg, également étudiée, n’a pas montré de bénéfice supplémentaire.
  • +Dans l’étude 1, une différence statistiquement significative a été observée au niveau de la diminution de la perte de sang menstruel chez les patientes traitées par ulipristal acétate par rapport à celles sous placebo. Avec 5 mg d’ulipristal acétate, le taux de réponse était de 91.5 % contre 18.8 % avec le placebo (p<0.001). Pour la majorité des patientes, il y avait déjà une réduction significative de l’intensité des saignements pendant la première semaine de traitement. A la fin du traitement on observait une aménorrhée dans 73.4 % des cas avec 5 mg d’ulipristal acétate contre 6.3 % pour le placebo. La correction de l’anémie arrivait plus rapidement et plus efficacement qu’avec le fer seul. De même, les patientes traitées par ulipristal acétate présentaient une diminution plus importante de la taille du myome, telle qu’évaluée par IRM (réduction du volume total de tous les fibromes de 21.2 % sous ulipristal acétate contre une augmentation de 3.0 % avec le placebo, p=0.002). La dose de 10 mg, également étudiée, n’a pas montré de bénéfice supplémentaire.
  • -La taille des trois plus grands myomes a été évaluée par échographie à la fin du traitement (semaine 13) et pendant encore 25 semaines sans traitement pour les patientes n’ayant pas subi d’hystérectomie ou de myomectomie. La diminution de la taille du myome sous ulipristal acétate était moins importante qu’avec le comparateur, mais cette réduction du volume a été maintenue plus longtemps qu’après le traitement avec l’analogue du GnRH.
  • +Le volume des trois plus grands myomes a été évalué par échographie à la fin du traitement (semaine 13) et pendant encore 25 semaines sans traitement pour les patientes n’ayant pas subi d’hystérectomie ou de myomectomie. La diminution de volume du myome sous ulipristal acétate était moins importante qu’avec le comparateur, mais cette réduction a été maintenue plus longtemps qu’après le traitement avec l’analogue du GnRH.
  • -Dans toutes les études de Phase III y compris les études de traitement répété séquentiel, 7 cas d’hyperplasie ont été observés au total sur 789 patientes ayant des biopsies évaluables (0,89 %). La vaste majorité est revenue spontanément à un endomètre normal après le retour des règles pendant les périodes sans traitement. L’incidence des hyperplasies n’a pas été augmentée avec des cycles répétés de traitement. La fréquence observée est en ligne avec les groupes contrôle ainsi que la prévalence rapportée dans la littérature pour les femmes pré-ménopausées symptomatiques de cette tranche d’âge (moyenne de 40 ans).
  • +Dans toutes les études de Phase III y compris les études de traitement répété séquentiel, 7 cas d’hyperplasie de l’endomètre ont été observés au total sur 789 patientes ayant des biopsies évaluables (0,89 %). La vaste majorité est revenue spontanément à un endomètre normal après le retour des règles pendant les périodes sans traitement. L’incidence des hyperplasies n’a pas été augmentée avec des cycles répétés de traitement. La fréquence observée est en ligne avec les groupes contrôle ainsi que la prévalence rapportée dans la littérature pour les femmes pré-ménopausées symptomatiques de cette tranche d’âge (moyenne de 40 ans).
  • -Insuffisance hépatique ou rénale : aucune étude pharmacocinétique avec l’ulipristal acétate n’a été effectuée chez des femmes présentant une altération de la fonction rénale ou hépatique. En raison du métabolisme par le CYP450, on s’attend à ce qu’une insuffisance hépatique modifie la clairance de l’ulipristal acétate, entraînant une exposition plus importante (voir « Posologie/mode d’emploi » et « Mises en garde et précautions»).
  • +Insuffisance hépatique : aucune étude pharmacocinétique avec l’ulipristal acétate n’a été effectuée chez des femmes présentant une altération de la fonction hépatique. Cependant, pour des raisons cliniques, l’utilisation d’Esmya est contre-indiquée chez les patientes qui présentent des lésions hépatiques pré-existantes (voir également la rubrique « Mises en garde et précautions »).
  • +Insuffisance rénale : aucune étude pharmacocinétique avec l’ulipristal acétate n’a été effectuée chez des femmes présentant une altération de la fonction rénale. (voir « Posologie/mode d’emploi »).
  • -Décembre 2016
  • +Août 2018
2025 ©ywesee GmbH
Einstellungen | Aide | FAQ | Identification | Contact | Home