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Accueil - Information professionnelle sur Dorzo-Vision 2 % - Changements - 03.07.2024
82 Changements de l'information professionelle Dorzo-Vision 2 %
  • -Dorzolamidum ut Dorzolamidi Hydrochloridum.
  • +Dorzolamidum ut Dorzolamidi hydrochloridum.
  • -Conserv.: Benzalkonii Chloridum, Excipiens ad solutionem.
  • +Hydroxyethylcellulosum, Mannitolum (E 421), Natrii citras dihydricus (E 331), Benzalkonii chloridum 0,075 mg/ml, Natrii hydroxidum (E 524) aut acidum hydrochloridum dilutum ad pH, Aqua purificata.
  • -Pour une utilisation en traitement unique, le dosage du Dorzo-Vision sera une goutte dans chaque œil affecté, à administrer trois fois par jour.
  • -Pour une utilisation en traitement associé à un bêta-bloquant topique, le dosage du Dorzo-Vision sera une goutte dans chaque œil affecté, à administrer deux fois par jour.
  • -Passage d'un autre antiglaucomateux à la Dorzo-Vision
  • -Si le Dorzo-Vision est utilisé en remplacement dun autre antiglaucomateux, lautre médicament (administré à la dose prescrite) devra être arrêté le jour précédant le début du traitement par le Dorzo-Vision.
  • +Pour une utilisation en traitement unique, le dosage de Dorzo-Vision sera une goutte dans chaque œil affecté, à administrer trois fois par jour.
  • +Pour une utilisation en traitement associé à un bêta-bloquant topique, le dosage de Dorzo-Vision sera une goutte dans chaque œil affecté, à administrer deux fois par jour.
  • +Passage d'un autre antiglaucomateux à Dorzo-Vision
  • +Si Dorzo-Vision est utilisé en remplacement d'un autre antiglaucomateux, l'autre médicament (administré à la dose prescrite) devra être arrêté le jour précédant le début du traitement par Dorzo-Vision.
  • -Si plus dun médicament topique est utilisé au niveau de lœil, les différentes préparations devront être appliquées en respectant un intervalle dau moins dix minutes.
  • +Si plus d'un médicament topique est utilisé au niveau de l'œil, les différentes préparations devront être appliquées en respectant un intervalle d'au moins dix minutes.
  • -La sécurité et lefficacité concernant la diminution de la pression intraoculaire du dorzolamide ont été examinées chez des enfants de moins de six ans atteints dun glaucome ou dhypertension intraoculaire (PIO initiale ≥ 22 mmHg) (voir sous « Propriétés/Effets »).
  • +La sécurité et l'efficacité concernant la diminution de la pression intraoculaire du dorzolamide ont été examinées chez des enfants de moins de six ans atteints d'un glaucome ou d'hypertension intraoculaire (PIO initiale ≥22 mmHg) (voir «Propriétés/Effets»).
  • -Dans les études cliniques effectuées sur le dorzolamide, 44% du nombre total de patients étaient âgés de 65 ans et plus, et 10% de 75 ans et plus. Dans lensemble, aucune différence relative à lefficacité ou à la sécurité na été observée entre ces patients et des patients plus jeunes. On ne peut cependant exclure une plus grande sensibilité vis-à-vis du produit chez certains patients âgés.
  • +Dans les études cliniques effectuées sur le dorzolamide, 44% du nombre total de patients étaient âgés de 65 ans et plus, et 10% de 75 ans et plus. Dans l'ensemble, aucune différence relative à l'efficacité ou à la sécurité n'a été observée entre ces patients et des patients plus jeunes. On ne peut cependant exclure une plus grande sensibilité vis-à-vis du produit chez certains patients âgés.
  • -Remarques concernant lutilisation (voir également sous « Remarques particulières »).
  • -On instruira les patients qu’ils doivent éviter de faire entrer lextrémité du flacon compte-gouttes en contact avec lœil ou les structures avoisinantes.
  • -Pareillement, on informera les patients quune manipulation incorrecte des gouttes ophtalmiques peut entraîner la contamination de celles-ci par des bactéries, ce qui est susceptible de provoquer des infections oculaires. Lutilisation dun collyre contaminé peut conduire à une lésion grave de lœil suivie dune perte de la vision.
  • +Remarques concernant l'utilisation (voir «Remarques particulières»)
  • +Les patients doivent être informés sur la manipulation correcte des flacons et conseillés à éviter de faire entrer l'extrémité du flacon compte-gouttes en contact avec l'œil ou les structures avoisinantes.
  • +Pareillement, on informera les patients qu'une manipulation incorrecte des gouttes ophtalmiques peut entraîner la contamination de celles-ci par des bactéries, ce qui est susceptible de provoquer des infections oculaires. L'utilisation d'un collyre contaminé peut conduire à une lésion grave de l'œil suivie d'une perte de la vision.
  • +Le passage systémique est réduit par une occlusion nasolacrymale ou la fermeture de la paupière pendant 2 minutes. Cette technique peut permettre une diminution des effets indésirables systémiques et une augmentation de l'efficacité locale.
  • +
  • -Le Dorzo-Vision est contre-indiqué chez les patients qui présentent une hypersensibilité à lun des composants du médicament, ou aux sulfonamides en général.
  • +Dorzo-Vision est contre-indiqué chez les patients qui présentent une hypersensibilité à l'un des composants du médicament ou aux sulfonamides en général.
  • -Leffet du dorzolamide na pas été étudié chez les patients présentant un degré élevé dinsuffisance rénale (clearance de la créatinine < 30 ml/min). Etant donné que le dorzolamide et son métabolite sont éliminés surtout par la voie rénale, lutilisation du Dorzo-Vision chez les patients de cette catégorie nest pas recommandée.
  • -Le traitement des patients souffrant dun glaucome aigu avec bloc de langle requiert, en plus de labaissement de la pression intraoculaire, des mesures thérapeutiques supplémentaires. Leffet du dorzolamide na pas été étudié chez ces patients.
  • -Leffet du dorzolamide na pas été étudié chez les patients souffrant dune dysfonction hépatique, aussi le Dorzo-Vision ne devrait-il être utilisé chez ces patients quavec précaution.
  • -Le dorzolamide est un sulfonamide, et subit une absorption systémique même en utilisation topique. Cest pourquoi une application topique peut entraîner lapparition deffets indésirables tels quon les connaît de la part des sulfonamides, y compris des réactions graves telles que syndrome de Stevens-Johnson et nécrolyse épidermique toxique. Au cas où apparaîtraient des symptômes dune réaction sévère ou dune hypersensibilité, il faudra interrompre lutilisation du médicament.
  • -Dans les études cliniques, des effets indésirables locaux au niveau de lœil, tels que des conjonctivites et des réactions de la paupière, ont été observés suite à une utilisation chronique du dorzolamide. Certaines de ces réactions présentaient un tableau clinique et un déroulement typiques d’une réaction allergique, et ne se sont améliorées quà partir du moment où lon a interrompu le traitement médicamenteux. Si de telles réactions devaient apparaître, le traitement par le dorzolamide devra être arrêté.
  • -Chez les patients qui reçoivent un inhibiteur oral de lanhydrase carbonique en même temps que le dorzolamide, la possibilité existe dun effet additif des substances sur un phénomène connu: l’inhibition systémique de lanhydrase carbonique. Ladministration simultanée de dorzolamide et dinhibiteurs oraux de lanhydrase carbonique na fait lobjet daucune étude et nest pas recommandée.
  • -Des cas de décollements de la rétine consécutifs à ladministration thérapeutique dinhibiteurs de la production dhumeur aqueuse (p. ex. dorzolamide) après des infiltrations ont été signalés.
  • +L'effet du dorzolamide n'a pas été étudié chez les patients présentant un degré élevé d'insuffisance rénale (clearance de la créatinine < 30 ml/min). Etant donné que le dorzolamide et son métabolite sont éliminés surtout par la voie rénale, l'utilisation de Dorzo-Vision chez les patients de cette catégorie n'est pas recommandée.
  • +Le traitement des patients souffrant d'un glaucome aigu avec bloc de l'angle requiert, en plus de l'abaissement de la pression intraoculaire, des mesures thérapeutiques supplémentaires. L'effet du dorzolamide n'a pas été étudié chez ces patients.
  • +L'effet du dorzolamide n'a pas été étudié chez les patients souffrant d'une dysfonction hépatique, aussi Dorzo-Vision ne devrait-il être utilisé chez ces patients qu'avec précaution.
  • +Le dorzolamide est un sulfonamide, et subit une absorption systémique même en utilisation topique. C'est pourquoi une application topique peut entraîner l'apparition d'effets indésirables tels qu'on les connaît de la part des sulfonamides, y compris des réactions graves telles que syndrome de Stevens-Johnson et nécrolyse épidermique toxique. Au cas où apparaîtraient des symptômes d'une réaction sévère ou d'une hypersensibilité, il faudra interrompre l'utilisation du médicament.
  • +Dans les études cliniques, des effets indésirables locaux au niveau de l'œil, tels que des conjonctivites et des réactions de la paupière, ont été observés suite à une utilisation chronique du dorzolamide. Certaines de ces réactions présentaient un tableau clinique et un déroulement typique d'une réaction allergique, et ne se sont améliorées qu'à partir du moment où l'on a interrompu le traitement médicamenteux. Si de telles réactions devaient apparaître, le traitement par le dorzolamide devra être arrêté.
  • +Chez les patients qui reçoivent un inhibiteur oral de l'anhydrase carbonique en même temps que le dorzolamide, la possibilité existe d'un effet additif des substances sur les effets systémiques connus de l'inhibition de l'anhydrase carbonique. L'administration simultanée de dorzolamide et d'inhibiteurs oraux de l'anhydrase carbonique n'a fait l'objet d'aucune étude et n'est pas recommandée.
  • +Des cas de décollements de la rétine consécutifs à l'administration thérapeutique d'inhibiteurs de la production d'humeur aqueuse (p.ex. dorzolamide) après chirurgie de filtration ont été signalés.
  • -Le Dorzo-Vision na pas été étudié chez les patients porteurs de lentilles de contact. Le chlorure de benzalkonium, agent de conservation contenu dans le collyre Dorzo-Vision, peut être absorbé par les lentilles de contact souples et peut changer leur couleur. Pour cette raison, Dorzo-Vision ne doit pas être appliqué durant le port de ces lentilles. Avant dinstiller les gouttes du collyre, il faut retirer les lentilles de contact et ne les remettre que 15 minutes plus tard.
  • -Le chlorure de benzalkonium peut également provoquer une irritation des yeux, surtout si vous souffrez du syndrôme de lœil sec ou de troubles de la cornée (couche transparente à l’avant de l’œil). En cas de sensation anormale, de picotements ou de douleur dans les yeux après avoir utilisé ce médicament, contactez votre médecin.
  • +Dorzo-Vision n'a pas été étudié chez les patients porteurs de lentilles de contact. Le chlorure de benzalkonium peut être absorbé par les lentilles de contact souples et changer leur couleur. Pour cette raison, Dorzo-Vision ne doit pas être appliqué durant le port de ces lentilles. Avant d'instiller le collyre Dorzo-Vision, il faut retirer les lentilles de contact et ne les remettre que 15 minutes plus tard.
  • +Le chlorure de benzalkonium est connu pour provoquer une irritation des yeux, des symptômes du syndrome de l'œil sec et peut affecter le film lacrymal et la surface de la cornée. Doit être utilisé avec prudence chez les patients atteints d'œil sec et ceux présentant un risque d'endommagement de la cornée. Les patients doivent être surveillés en cas d'utilisation prolongée.
  • +D'après les données limitées disponibles, le profil des effets indésirables chez l'enfant est semblable au profil chez l'adulte.
  • +Toutefois, on observe généralement une réaction plus forte à un stimulus donné chez l'enfant que chez l'adulte. L'irritation peut avoir des effets sur l'observance du traitement chez les enfants.
  • -Des études spécifiques portant sur les interactions avec le collyre dorzolamide nont pas été effectuées. Dans des études cliniques, le dorzolamide a été utilisé en même temps que les médicaments suivants, sans que des interactions naient pu être identifiées: le timolol en collyre, le bétaxolol en collyre, et des médicaments systémiques, tels que des inhibiteurs de lECA, des antagonistes du calcium, des diurétiques, des anti-inflammatoires non stéroïdiens comprenant laspirine, et des hormones (par ex. œstrogènes, insuline, thyroxine).
  • -Le dorzolamide est un inhibiteur de lanhydrase carbonique qui, bien quutilisé localement, subit aussi une absorption systémique. Au cours des études cliniques, on na jamais mis en évidence de relation entre le dorzolamide et la survenue de troubles de léquilibre acido-basique.
  • -Toutefois, de tels troubles ont été rapportés dans le cas dinhibiteurs oraux de lanhydrase carbonique, lesquels ont provoqué dans certains cas des interactions médicamenteuses (p. ex. une toxicité en rapport avec un traitement à haute dose par des salicylates). Aussi doit-on considérer la possibilité que de telles interactions médicamenteuses se produisent chez les patients sous Dorzo-Vision.
  • -Grossesse, Allaitement
  • +Des études spécifiques portant sur les interactions avec le collyre dorzolamide n'ont pas été effectuées. Dans des études cliniques, le dorzolamide a été utilisé en même temps que les médicaments suivants, sans que des interactions n'aient pu être identifiées: le timolol en collyre, le bétaxolol en collyre, et des médicaments systémiques tels que des inhibiteurs de l'ECA, des antagonistes du calcium, des diurétiques, des anti-inflammatoires non stéroïdiens comprenant l'aspirine, et des hormones (p.ex. œstrogènes, insuline, thyroxine).
  • +Le dorzolamide est un inhibiteur de l'anhydrase carbonique qui, bien qu'utilisé localement, subit aussi une absorption systémique. Au cours des études cliniques, on n'a jamais mis en évidence de relation entre le dorzolamide et la survenue de troubles de l'équilibre acido-basique.
  • +Toutefois, de tels troubles ont été rapportés dans le cas d'inhibiteurs oraux de l'anhydrase carbonique, lesquels ont provoqué dans certains cas des interactions médicamenteuses (p.ex. une toxicité en rapport avec un traitement à haute dose par des salicylates). Aussi doit-on considérer la possibilité que de telles interactions médicamenteuses se produisent chez les patients sous Dorzo-Vision.
  • +Grossesse, allaitement
  • -Des études sur ladministration systémique chez lanimal ont montré des effets indésirables pour le fœtus, et il nexiste pas détudes contrôlées chez la femme. Le dorzolamide ne doit pas être utilisé pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue.
  • +Des études sur l'administration systémique chez l'animal ont montré des effets indésirables pour le fœtus, et il n'existe pas d'études contrôlées chez la femme. Le dorzolamide ne doit pas être utilisé pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue.
  • -On ignore si le médicament passe dans le lait maternel. En tenant compte de limportance du médicament pour la mère, il faudra choisir entre linterruption de lallaitement et larrêt du traitement par le Dorzo-Vision.
  • +On ignore si le médicament passe dans le lait maternel. En tenant compte de l'importance du médicament pour la mère, il faudra choisir entre l'interruption de l'allaitement et l'arrêt du traitement par le Dorzo-Vision. Un risque pour le nouveau-né ou l'enfant ne peut être exclu.
  • -Il existe des effets indésirables associés au dorzolamide, tels qu'étourdissements et troubles de la vision, qui peuvent altérer la capacité de conduire un véhicule et/ou dutiliser des machines chez certains patients (voir sous « Effets indésirables »).
  • +Il existe des effets indésirables associés au dorzolamide, tels qu'étourdissements et troubles de la vision, qui peuvent altérer la capacité de conduire un véhicule et/ou d'utiliser des machines chez certains patients (voir «Effets indésirables»).
  • -Le dorzolamide a été examiné chez plus de 1400 patients dans le cadre détudes cliniques contrôlées et non contrôlées. Au cours détudes cliniques de longue durée chez 1108 patients traités par le dorzolamide, seul ou en association avec des bêta-bloquants topiques, la raison la plus fréquente d'un arrêt du traitement par le dorzolamide (env. 3%) ont été des effets indésirables au niveau de lœil, en rapport avec le médicament, en particulier des conjonctivites et des réactions de la paupière.
  • -Les effets indésirables ci-après ont été observés au cours détudes cliniques contrôlées ou après la mise sur le marché de la préparation:
  • -[Très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100, <1/10), occasionnels (≥1/1’000, <1/100), rares (≥1/10‘000, <1/1’000), cas isolés (la fréquence ne peut être estimée au vu des données disponibles)].
  • +Le dorzolamide a été examiné chez plus de 1'400 patients dans le cadre d'études cliniques contrôlées et non contrôlées. Au cours d'études cliniques de longue durée chez 1'108 patients traités par le dorzolamide, seul ou en association avec des bêta-bloquants topiques, la raison la plus fréquente d'un arrêt du traitement par le dorzolamide (env. 3%) ont été des effets indésirables au niveau de l'œil, en rapport avec le médicament, en particulier des conjonctivites et des réactions de la paupière.
  • +Les effets indésirables ci-après ont été observés au cours d'études cliniques contrôlées ou après la mise sur le marché de la préparation. Les effets indésirables sont rangés par classe de système d'organes de la classification MedDRA et par fréquence selon la convention suivante:
  • +«Très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à < 1/10), «occasionnels» (≥1/1'000 à < 1/100), «rares» (≥1/10'000 à < 1/1'000), «fréquence inconnue» (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • -Cas isolés: Palpitations.
  • +Fréquence inconnue: Palpitations, tachycardie.
  • +Affections vasculaires
  • +Fréquence inconnue: Hypertension.
  • -Rares: Irritations y compris rougeur, douleurs, croûte sur les paupières, myopie passagère (disparaissant après larrêt du traitement), œdème cornéen, décollement de la rétine après chirurgie de filtration.
  • -Cas isolés: Sensation de corps étranger dans lœil.
  • +Rares: Irritations y compris rougeur, douleurs, croûte sur les paupières, myopie passagère (disparaissant après l'arrêt du traitement), œdème cornéen, décollement de la rétine après chirurgie de filtration.
  • +Fréquence inconnue: Sensation de corps étranger dans l'œil.
  • -Cas isolés: Dyspnée.
  • +Fréquence inconnue: Dyspnée.
  • -Rares: Dermatite de contact, syndrome de Stevens-Johnson et nécrolyse épidermique toxique.
  • +Rares: Dermatite de contact, syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique.
  • -Rares: Hypersensibilité: signes et symptômes de réactions locales, y compris de réactions des paupières et de réactions allergiques systémiques, y compris angioedème, urticaire et prurit, éruption cutanée, bronchospasme.
  • +Rares: Hypersensibilité: signes et symptômes de réactions locales, y compris de réactions des paupières et de réactions allergiques systémiques, y compris angioœdème, urticaire et prurit, éruption cutanée, bronchospasme.
  • -Enfants
  • -Les effets secondaires les plus fréquents associés à dorzolamide chez des enfants âgés de < 2 ans étaient des injections conjonctivales (5,4%) et lhypersécrétion (3,6%). Chez les patients âgés de ≥ 2 ans et de < 6 ans, les effets secondaires les plus fréquents associés à dorzolamide étaient des brûlures et des picotements dans les yeux (12,1%), des injections conjonctivales (7,6%), des douleurs oculaires (3%) et une blépharite (3%).
  • -Lannonce deffets secondaires présumés après lautorisation est dune grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion deffet secondaire nouveau ou grave via le portail dannonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +Population pédiatrique
  • +Les effets secondaires les plus fréquents associés à dorzolamide chez des enfants âgés de < 2 ans étaient des injections conjonctivales (5,4%) et l'hypersécrétion (3,6%). Chez les patients âgés de ≥2 ans et de < 6 ans, les effets secondaires les plus fréquents associés à dorzolamide étaient des brûlures et des picotements dans les yeux (12,1%), des injections conjonctivales (7,6%), des douleurs oculaires (3%) et une blépharite (3%).
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • -Aucune donnée nest disponible concernant le surdosage consécutif à une prise accidentelle ou délibérée du médicament chez lêtre humain.
  • -Un surdosage sera suivi dun traitement symptomatique et de soutien. Des déséquilibres électrolytiques pourront se produire, ainsi quune acidose, et, éventuellement, des effets sur le système nerveux central. Les électrolytes sériques (en particulier le potassium) ainsi que le pH sanguin devront être surveillés.
  • -La LD50 orale du médicament est proche de 1320 mg/kg (3960 mg/m²) chez la souris, et aux environs de 1927 mg/kg (11369 mg/m²) chez la ratte.
  • +Aucune donnée n'est disponible concernant le surdosage consécutif à une prise accidentelle ou délibérée du médicament chez l'être humain.
  • +Un surdosage sera suivi d'un traitement symptomatique et de soutien. Des déséquilibres électrolytiques pourront se produire, ainsi qu'une acidose, et, éventuellement, des effets sur le système nerveux central. Les électrolytes sériques (en particulier le potassium) ainsi que le pH sanguin devront être surveillés.
  • +La LD50 orale du médicament est de 1'320 mg/kg (3'960 mg/m²) chez la souris et de 1'927 mg/kg (11'369 mg/m²) chez la rate.
  • -Mécanisme daction
  • -Lanhydrase carbonique (CA) est une enzyme présente dans de nombreux tissus de lorganisme, donc également dans lœil. Chez lhumain, lanhydrase carbonique se trouve sous forme de plusieurs isoenzymes, dont la plus active est la carboanhydrase II (CA-II), qui a été trouvée dabord dans les érythrocytes (Ec), mais également dans dautres tissus. Linhibition de lanhydrase carbonique dans le corps ciliaire de l’oeil diminue la sécrétion dhumeur aqueuse. Il en résulte une diminution de la pression intraoculaire (PIO).
  • -Le collyre Dorzo-Vision contient de l’hydrochlorure de dorzolamide, un inhibiteur de la carboanhydrase II humaine. Utilisé de manière topique au niveau de lœil, le dorzolamide fait baisser la pression intraoculaire, indépendamment de la présence ou non dun glaucome. Lélévation de la pression intraoculaire est lun des principaux facteurs de risque dans la pathogenèse des lésions du nerf optique ou de la perte de champ visuel liée au glaucome. Le dorzolamide fait baisser la pression intraoculaire sans induire de trouble de la vision crépusculaire ou nocturne, de spasme daccommodation ou de contraction de la pupille. Le dorzolamide nagit pas ou na quun effet minimal sur la fréquence du pouls ou la tension artérielle.
  • -Les bêta-bloquants appliqués de manière topique diminuent également la pression intraoculaire par une réduction de la sécrétion dhumeur aqueuse, mais cet effet est atteint par un mécanisme daction différent. Des études ont démontré quune association de dorzolamide et dun bêta-bloquant topique permet dobtenir une diminution supplémentaire de la PIO; cette observation concorde avec les rapports décrivant les effets additifs des bêta-bloquants et des inhibiteurs oraux de lanhydrase carbonique.
  • +Mécanisme d'action
  • +L'anhydrase carbonique (CA) est une enzyme présente dans de nombreux tissus de l'organisme, donc également dans l'œil. Chez l'humain, l'anhydrase carbonique se trouve sous forme de plusieurs isoenzymes, dont la plus active est la carboanhydrase II (CA-II), qui a été trouvée d'abord dans les érythrocytes (Ec), mais également dans d'autres tissus. L'inhibition de l'anhydrase carbonique dans le corps ciliaire de lil diminue la sécrétion d'humeur aqueuse. Il en résulte une diminution de la pression intraoculaire (PIO).
  • +Le collyre Dorzo-Vision contient de chlorhydrate de dorzolamide, un inhibiteur de la carboanhydrase II humaine. Utilisé de manière topique au niveau de l'œil, le dorzolamide fait baisser la pression intraoculaire, indépendamment de la présence ou non d'un glaucome. L'élévation de la pression intraoculaire est l'un des principaux facteurs de risque dans la pathogenèse des lésions du nerf optique ou de la perte de champ visuel liée au glaucome. Le dorzolamide fait baisser la pression intraoculaire sans induire de trouble de la vision crépusculaire ou nocturne, de spasme d'accommodation ou de contraction de la pupille. Le dorzolamide n'agit pas ou n'a qu'un effet minimal sur la fréquence du pouls ou la tension artérielle.
  • +Les bêta-bloquants appliqués de manière topique diminuent également la pression intraoculaire par une réduction de la sécrétion d'humeur aqueuse, mais cet effet est atteint par un mécanisme d'action différent. Des études ont démontré qu'une association de dorzolamide et d'un bêta-bloquant topique permet d'obtenir une diminution supplémentaire de la PIO; cette observation concorde avec les rapports décrivant les effets additifs des bêta-bloquants et des inhibiteurs oraux de l'anhydrase carbonique.
  • -Voir « Mécanisme d'action ».
  • +Voir «Mécanisme d'action».
  • -Lefficacité du dorzolamide, utilisé trois fois par jour en traitement unique, ou deux fois par jour en traitement associé à des bêta-bloquants topiques, a été démontrée au cours détudes cliniques à grande échelle, dune durée pouvant aller jusquà une année, chez des patients souffrant dun glaucome ou dune hypertension oculaire. Leffet du dorzolamide sur la PIO en traitement unique ou en traitement associé a pu être démontré sur toute une journée, et cette action sest maintenue même sous des traitements à long terme. L’efficacité du médicament en traitement unique de longue durée sest révélée comparable à celle du bétaxolol. Utilisé en association avec des bêta-bloquants topiques, le dorzolamide a entraîné une diminution supplémentaire de la PIO, correspondant à celle obtenue grâce à la pilocarpine 2% administrée quatre fois par jour.
  • -Au cours détudes cliniques, une diminution de la PIO a été obtenue sans entraîner de trouble de léquilibre acido-basique ou de modification des électrolytes concomitants, caractéristiques de lemploi dinhibiteurs oraux de lanhydrase carbonique.
  • +L'efficacité du dorzolamide, utilisé trois fois par jour en traitement unique, ou deux fois par jour en traitement associé à des bêta-bloquants topiques, a été démontrée au cours d'études cliniques à grande échelle, d'une durée pouvant aller jusqu'à une année, chez des patients souffrant d'un glaucome ou d'une hypertension oculaire. L'effet du dorzolamide sur la PIO en traitement unique ou en traitement associé a pu être démontré sur toute une journée, et cette action s'est maintenue même sous des traitements à long terme.
  • +L'efficacité du médicament en traitement unique de longue durée s'est révélée comparable à celle du bétaxolol. Utilisé en association avec des bêta-bloquants topiques, le dorzolamide a entraîné une diminution supplémentaire de la PIO, correspondant à celle obtenue grâce à la pilocarpine 2% administrée quatre fois par jour.
  • +Au cours d'études cliniques, une diminution de la PIO a été obtenue sans entraîner de trouble de l'équilibre acido-basique ou de modification des électrolytes concomitants, caractéristiques de l'emploi d'inhibiteurs oraux de l'anhydrase carbonique.
  • -Une étude de 3 mois, menée en double-aveugle, multicentrique, contrôlée, chez 184 patients pédiatriques (2 cohortes dâge: < 2 ans, n = 83 enfants et ≥ 2 ans mais < 6 ans, n = 101 enfants) atteints de glaucome ou dhypertension intraoculaire (valeur initiale ≥ 22 mmHg) a été réalisé afin dexaminer la sécurité de dorzolamide 3× par jour par rapport au Timolol 0,25% 1× par jour (< 2 ans) resp. Timolol 0,5% 1× par jour (2 à 6 ans). Au cours de cette étude, dorzolamide a généralement été bien toléré et na pas eu deffet sur le taux sérique total de CO2 (un test substitutif du bicarbonate sérique). Au cours de cette étude, le profil de sécurité de dorzolamide chez les patients pédiatriques était comparable à celui de dorzolamide chez les patients adultes.
  • -La valeur initiale de la pression intraoculaire était de 32,6 mmHg chez les patients âgés de < 2 ans et de 28,5 mmHg chez les patients âgés de ≥ 2 ans mais < 6 ans, attribués par randomisation au traitement à dorzolamide. Dans les deux cohortes dâges différents, une diminution significative de la pression intraoculaire a été observée après une semaine de traitement à dorzolamide. A la fin de létude de trois mois, une diminution moyenne de la pression intraoculaire de 20,6% (p < 0,001) a été observée dans le groupe des patients les plus jeunes et de 23,3% (p < 0,001) dans le groupe des patients les plus âgés. Les données concernant la sécurité chez les patients pédiatriques laissent supposer que la diminution observée de la pression intraoculaire moyenne dans le groupe traité au dorzolamide était comparable à la diminution moyenne de la pression intraoculaire dans le groupe traité au timolol, même si un faible avantage numérique a été observé dans le groupe de traitement au timolol.
  • -On ne dispose daucune donnée à long terme concernant lefficacité et la sécurité (> 12 semaines).
  • +Une étude de 3 mois, menée en double-aveugle, multicentrique, contrôlée, chez 184 patients pédiatriques (2 cohortes d'âge: < 2 ans, n = 83 enfants et ≥2 ans mais < 6 ans, n = 101 enfants) atteints de glaucome ou d'hypertension intraoculaire (valeur initiale ≥22 mmHg) a été réalisé afin d'examiner la sécurité de dorzolamide 3× par jour par rapport au timolol 0,25% 1× par jour (< 2 ans) resp. timolol 0,5% 1× par jour (2 à 6 ans). Au cours de cette étude, dorzolamide a généralement été bien toléré et n'a pas eu d'effet sur le taux sérique total de CO2 (un test substitutif du bicarbonate sérique). Au cours de cette étude, le profil de sécurité de dorzolamide chez les patients pédiatriques était comparable à celui de dorzolamide chez les patients adultes.
  • +La valeur initiale de la pression intraoculaire était de 32,6 mmHg chez les patients âgés de < 2 ans et de 28,5 mmHg chez les patients âgés de ≥2 ans mais < 6 ans, attribués par randomisation au traitement à dorzolamide. Dans les deux cohortes d'âges différents, une diminution significative de la pression intraoculaire a été observée après une semaine de traitement à dorzolamide. A la fin de l'étude de trois mois, une diminution moyenne de la pression intraoculaire de 20,6% (p < 0,001) a été observée dans le groupe des patients les plus jeunes et de 23,3% (p < 0,001) dans le groupe des patients les plus âgés. Les données concernant l'efficacité chez les patients pédiatriques laissent supposer que la diminution observée de la pression intraoculaire moyenne dans le groupe traité au dorzolamide était comparable à la diminution moyenne de la pression intraoculaire dans le groupe traité au timolol, même si un faible avantage numérique a été observé dans le groupe de traitement au timolol.
  • +On ne dispose d'aucune donnée à long terme concernant l'efficacité et la sécurité (> 12 semaines).
  • -Le dorzolamide appliqué de manière topique pénètre la circulation systémique. Dans le but dévaluer la possibilité dune inhibition systémique de lanhydrase carbonique consécutive à une application topique, on a déterminé les concentrations du médicament et de ses métabolites dans les érythrocytes et le plasma, et mesuré linhibition de lanhydrase carbonique dans les érythrocytes. Une utilisation chronique entraîne une accumulation du dorzolamide, conséquence de sa liaison sélective à la CA-II dans les érythrocytes, tandis que des concentrations extrêmement faibles de substance sont maintenues dans le plasma. Quand le dorzolamide était administré per os, dans le but de simuler la charge systémique maximale consécutive à un traitement topique de longue durée au niveau de l'œil, l'état d'équilibre (steady-state) a été atteint en l'espace de 13 semaines. Au steady-state, pratiquement aucune trace de médicament ni de métabolite non lié n'a pu être détectée dans le plasma. L'inhibition de la CA dans les globules rouges n'a pas atteint le degré susceptible d'exercer un effet pharmacologique sur la fonction rénale ou hépatique. Des résultats pharmacologiques semblables ont été obtenus après une utilisation topique chronique du dorzolamide.
  • +Le dorzolamide appliqué de manière topique pénètre la circulation systémique. Dans le but d'évaluer la possibilité d'une inhibition systémique de l'anhydrase carbonique consécutive à une application topique, on a déterminé les concentrations du médicament et de son métabolite dans les érythrocytes et le plasma, et mesuré l'inhibition de l'anhydrase carbonique dans les érythrocytes. Une utilisation chronique entraîne une accumulation du dorzolamide, conséquence de sa liaison sélective à la CA-II dans les érythrocytes, tandis que des concentrations extrêmement faibles de substance sont maintenues dans le plasma.
  • +Quand le dorzolamide était administré per os, dans le but de simuler la charge systémique maximale consécutive à un traitement topique de longue durée au niveau de l'œil, l'état d'équilibre (steady-state) a été atteint en l'espace de 13 semaines. Au steady-state, pratiquement aucune trace de médicament ni de métabolite non lié n'a pu être détectée dans le plasma. L'inhibition de la CA dans les globules rouges n'a pas atteint le degré susceptible d'exercer un effet pharmacologique sur la fonction rénale ou pulmonaire. Des résultats pharmacologiques semblables ont été obtenus après une utilisation topique chronique du dorzolamide.
  • -Le dorzolamide est éliminé en premier lieu par les urines sous forme non modifiée; le métabolite est également excrété dans lurine.
  • +Le dorzolamide est éliminé en premier lieu par les urines sous forme non modifiée; le métabolite est également excrété dans l'urine.
  • -Une fois le traitement terminé, le dorzolamide est éliminé des cellules suivant une cinétique non linéaire, ce qui entraîne dans un premier temps une chute rapide de la concentration du médicament. Il sen suit une phase délimination plus lente, dont la demi-vie est denviron quatre mois.
  • +Une fois le traitement terminé, le dorzolamide est éliminé des globules rouges suivant une cinétique non linéaire, ce qui entraîne dans un premier temps une chute rapide de la concentration du médicament. Il s'en suit une phase d'élimination plus lente, dont la demi-vie est d'environ quatre mois.
  • -Néanmoins, quelques patients âgés insuffisants rénaux (clearance de la créatinine estimée à 30–60 ml/min) ont présenté une concentration plus élevée de métabolite dans les érythrocytes. Ils nont toutefois pas présenté de différences significatives au niveau de linhibition de lanhydrase carbonique, et aucun effet indésirable cliniquement important na pu être directement mis en rapport avec ce résultat.
  • +Néanmoins, quelques patients âgés insuffisants rénaux (clearance de la créatinine estimée à 30–60 ml/min) ont présenté une concentration plus élevée de métabolite dans les érythrocytes. Ils n'ont toutefois pas présenté de différences significatives au niveau de l'inhibition de l'anhydrase carbonique, et aucun effet indésirable cliniquement important n'a pu être directement mis en rapport avec ce résultat.
  • -Chez lanimal, les résultats les plus significatifs suite à ladministration perorale d’hydrochlorure de dorzolamide ont été les conséquences des effets pharmacologiques dune inhibition systémique de lanhydrase carbonique. Parmi ces résultats, certains étaient spécifiques à lespèce animale et/ou la conséquence dune acidose métabolique.
  • +Chez l'animal, les résultats les plus significatifs suite à l'administration perorale de chlorhydrate de dorzolamide ont été les conséquences des effets pharmacologiques d'une inhibition systémique de l'anhydrase carbonique. Parmi ces résultats, certains étaient spécifiques à l'espèce animale et/ou la conséquence d'une acidose métabolique.
  • -Au cours détudes sur la reproduction avec le chlorhydrate de dorzolamide, aucun effet indésirable na été observé chez des rats du sexe masculin et féminin ayant reçu respectivement 188 fois et 94 fois la dose ophtalmique maximale recommandée chez lêtre humain.
  • +Au cours d'études sur la reproduction avec le chlorhydrate de dorzolamide, aucun effet indésirable n'a été observé chez des rats du sexe masculin et féminin ayant reçu respectivement 188 fois et 94 fois la dose ophtalmique maximale recommandée chez l'être humain.
  • -Au cours détudes sur la toxicité pour le développement chez des rats, aucune malformation fœtale associée au traitement nest apparue à des doses orales de chlorhydrate de dorzolamide inférieures à 10/mg/kg/jour (correspondant à 125 fois la dose ophtalmique maximale recommandée chez lêtre humain). Des études portant sur les effets nuisibles au développement, chez des lapins ayant reçu par voie orale des doses de chlorhydrate de dorzolamide ≥ 2,5 mg/kg/jour (31 fois la dose ophtalmique maximale recommandée chez lêtre humain), ont mis en évidence des malformations vertébrales. Ces malformations se sont manifestées seulement aux doses provoquant une acidose métabolique qui a donné lieu à une réduction du gain pondéral chez les mères et à une diminution du poids chez les foetus. Ces malformations, observées seulement aux doses toxiques pour la mère, semblent représenter un effet caractéristique de la classe médicamenteuse relié à des modifications des équilibres électrolytique et acido-basique: une diminution du taux de HCO3ˉ veineux, une baisse du pH veineux et une diminution de la kaliémie. Aucune malformation associée au traitement na été observée à la dose de 1,0 mg/kg/jour (13 fois la dose ophtalmique maximale recommandée chez lhumain). Lacétazolamide, un inhibiteur oral de lanhydrase carbonique, entraîne, chez les rats et les lapins, des malformations squelettiques selon un mécanisme similaire.
  • -Au cours dune étude sur le chlorhydrate de dorzolamide chez des rates qui allaitent, une diminution du gain pondéral de 5% à 7% a été observée pendant la période de lactation chez la progéniture des rates qui avaient reçu par voie orale une dose de chlorhydrate de dorzolamide de 7,5 mg/kg/jour (94 fois la dose ophtalmique maximale recommandée chez lêtre humain). Un léger retard du développement postnatal (éruption des incisives, canalisation vaginale et ouverture des yeux), attribuable à la réduction du poids fœtal, a été observé chez la progéniture des rates qui avaient reçu une dose de 7,5 mg/kg/jour (soit 94 fois la dose ophtalmique maximale recommandée chez lêtre humain).
  • +Au cours d'études sur la toxicité pour le développement chez des rats, aucune malformation fœtale associée au traitement n'est apparue à des doses orales de chlorhydrate de dorzolamide inférieures à 10 mg/kg/jour (correspondant à 125 fois la dose ophtalmique maximale recommandée chez l'être humain). Des études portant sur les effets nuisibles au développement, chez des lapins ayant reçu par voie orale des doses de chlorhydrate de dorzolamide ≥2,5 mg/kg/jour (31 fois la dose ophtalmique maximale recommandée chez l'être humain), ont mis en évidence des malformations vertébrales. Ces malformations se sont manifestées seulement aux doses provoquant une acidose métabolique qui a donné lieu à une réduction du gain pondéral chez les mères et à une diminution du poids chez les fœtus. Ces malformations, observées seulement aux doses toxiques pour la mère, semblent représenter un effet caractéristique de la classe médicamenteuse relié à des modifications des équilibres électrolytique et acido-basique: une diminution du taux de HCO3- veineux, une baisse du pH veineux et une diminution de la kaliémie. Aucune malformation associée au traitement n'a été observée à la dose de 1,0 mg/kg/jour (13 fois la dose ophtalmique maximale recommandée chez l'humain). L'acétazolamide, un inhibiteur oral de l'anhydrase carbonique, entraîne, chez les rats et les lapins, des malformations squelettiques selon un mécanisme similaire.
  • +Au cours d'une étude sur le chlorhydrate de dorzolamide chez des rates qui allaitent, une diminution du gain pondéral de 5% à 7% a été observée pendant la période de lactation chez la progéniture des rates qui avaient reçu par voie orale une dose de chlorhydrate de dorzolamide de 7,5 mg/kg/jour (94 fois la dose ophtalmique maximale recommandée chez l'être humain). Un léger retard du développement postnatal (éruption des incisives, canalisation vaginale et ouverture des yeux), attribuable à la réduction du poids fœtal, a été observé chez la progéniture des rates qui avaient reçu une dose de 7,5 mg/kg/jour (soit 94 fois la dose ophtalmique maximale recommandée chez l'être humain).
  • -Le chlorhydrate de dorzolamide sest révélé dépourvu deffet potentiel mutagène selon les évaluations effectuées à laide des cinq examens suivants: (1) épreuves cytogéniques in vivo (souris) à des doses pouvant atteindre 500 mg/kg/jour (6250 fois la dose ophtalmique maximale recommandée chez lhumain); (2) recherche daberrations chromosomiques in vitro; (3) épreuve par élution alcaline; (4) épreuve V-79 (à des doses pouvant atteindre 10 µM) et (5) épreuve dAmes, au cours de laquelle la concentration de chlorhydrate de dorzolamide la plus élevée, soit 10000 µg/plaque, na pas été reliée à une augmentation dau moins le double du nombre de révertants dans les souches de S. typhimurium et de E. coli utilisées pour les tests.
  • +Le chlorhydrate de dorzolamide s'est révélé dépourvu d'effet potentiel mutagène selon les évaluations effectuées à l'aide des cinq examens suivants: (1) épreuves cytogéniques in vivo (souris) à des doses pouvant atteindre 500 mg/kg/jour (6'250 fois la dose ophtalmique maximale recommandée chez l'humain); (2) recherche d'aberrations chromosomiques in vitro; (3) épreuve par élution alcaline; (4) épreuve V-79 (à des doses pouvant atteindre 10 µM) et (5) épreuve d'Ames, au cours de laquelle la concentration de chlorhydrate de dorzolamide la plus élevée, soit 10'000 µg/plaque, n'a pas été reliée à une augmentation d'au moins le double du nombre de révertants dans les souches de S. typhimurium et de E. coli utilisées pour les tests.
  • -Au cours dune étude de deux ans, lors de laquelle des rats Sprague-Dawley du sexe masculin et féminin ont reçu du chlorhydrate de dorzolamide par voie orale, des papillomes vésicaux ont été observés chez des rats du sexe masculin dans le groupe sous la dose la plus élevée, de 20 mg/kg/jour (correspondant à 250 fois la dose ophtalmique maximale recommandée chez lêtre humain). Chez les rats ayant reçu une dose orale équivalent à peu près à 12 fois la dose ophtalmique maximale recommandée chez lêtre humain, aucun papillome na été observé. Au cours dune étude de 21 mois réalisée chez des rats du sexe féminin et masculin, aucune tumeur associée au traitement na été observée à des doses orales pouvant aller jusquà 75 mg/kg/jour (correspondant à environ 900 fois la dose ophtalmique maximale recommandée chez lêtre humain).
  • -La fréquence plus élevée de papillomes vésicaux chez des rats du sexe masculin dans le groupe à haute dose est un effet spécifique à la classe des inhibiteurs de lanhydrase carbonique chez les rats et attribuable à une augmentation du taux de sodium, du taux de potassium, du pH et de cristaux dans lurine – toutes ces modifications étant dues à des inhibiteurs de lanhydrase carbonique. Les rats sont particulièrement prédisposés à lapparition de papillomes en réponse à la présence de corps étrangers, de substances provoquant une cristallurie et de sels de sodium dans divers composés, qui sont inertes lorsquils sont administrés sous forme de sels de calcium.
  • -Aucune modification dans lépithélium de la vessie na été observée chez des chiens qui ont reçu par voie orale pendant un an des doses de dorzolamide de 2 mg/kg/jour ou chez des singes qui ont reçu par voie orale pendant un mois des doses de dorzolamide de 50 mg/kg/jour (des modifications de lépithélium de la vessie sont survenues en moins dun mois chez des rats après ladministration de doses par voie orale). En outre, les singes qui avaient reçu par voie topique ophtalmique une dose de 0,4 mg/kg/jour (environ 5 fois la dose ophtalmique maximale recommandée chez lhumain) pendant un an nont présenté aucune modification de lépithélium vésical.
  • +Au cours d'une étude de deux ans, lors de laquelle des rats Sprague-Dawley du sexe masculin et féminin ont reçu du chlorhydrate de dorzolamide par voie orale, des papillomes vésicaux ont été observés chez des rats du sexe masculin dans le groupe sous la dose la plus élevée, de 20 mg/kg/jour (correspondant à 250 fois la dose ophtalmique maximale recommandée chez l'être humain). Chez les rats ayant reçu une dose orale équivalent à peu près à 12 fois la dose ophtalmique maximale recommandée chez l'être humain, aucun papillome n'a été observé. Au cours d'une étude de 21 mois réalisée chez des souris du sexe féminin et masculin, aucune tumeur associée au traitement n'a été observée à des doses orales pouvant aller jusqu'à 75 mg/kg/jour (correspondant à environ 900 fois la dose ophtalmique maximale recommandée chez l'être humain).
  • +La fréquence plus élevée de papillomes vésicaux chez des rats du sexe masculin dans le groupe à haute dose est un effet spécifique à la classe des inhibiteurs de l'anhydrase carbonique chez les rats et attribuable à une augmentation du taux de sodium, du taux de potassium, du pH et de cristaux dans l'urine – toutes ces modifications étant dues à des inhibiteurs de l'anhydrase carbonique. Les rats sont particulièrement prédisposés à l'apparition de papillomes en réponse à la présence de corps étrangers, de substances provoquant une cristallurie et de sels de sodium dans divers composés, qui sont inertes lorsqu'ils sont administrés sous forme de sels de calcium.
  • +Aucune modification dans l'épithélium de la vessie n'a été observée chez des chiens qui ont reçu par voie orale pendant un an des doses de dorzolamide de 2 mg/kg/jour ou chez des singes qui ont reçu par voie orale pendant un mois des doses de dorzolamide de 50 mg/kg/jour (des modifications de l'épithélium de la vessie sont survenues en moins d'un mois chez des rats après l'administration de doses par voie orale). En outre, les singes qui avaient reçu par voie topique ophtalmique une dose de 0,4 mg/kg/jour (environ 5 fois la dose ophtalmique maximale recommandée chez l'humain) pendant un an n'ont présenté aucune modification de l'épithélium vésical.
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention « EXP » sur lemballage.
  • +Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • -Dorzo-Vision ne doit pas être utilisé plus dun mois après louverture du flacon.
  • +Dorzo-Vision ne doit pas être utilisé plus d'un mois après l'ouverture du flacon. Conserver le flacon bien fermé.
  • -Tenir hors de la portée des enfants.
  • -Conserver à l'abri de la lumière et à température ambiante (15–25 °C). Conserver le flacon bien fermé.
  • +Conserver à température ambiante (15–25 °C).
  • +Conserver hors de portée des enfants.
  • +Conserver le flacon dans son carton pour le protéger de la lumière.
  • -Dorzo-Vision, collyre 1 x 5 ml. (B).
  • -Dorzo-Vision, collyre 3 x 5 ml. (B).
  • +Dorzo-Vision, collyre 1 flacon compte-gouttes de 5 ml (B).
  • +Dorzo-Vision, collyre 3 flacons compte-gouttes de 5 ml (B).
  • -OmniVision AG, 8212 Neuhausen
  • +OmniVision AG, 8212 Neuhausen.
  • -Mai 2020
  • +Mars 2023.
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