ch.oddb.org
 
Apotheken | Hôpital | Interactions | LiMA | Médecin | Médicaments | Services | T. de l'Autorisation
Accueil - Information professionnelle sur Zinforo - Changements - 02.05.2018
86 Changements de l'information professionelle Zinforo
  • -Principe(s) actif(s): Ceftarolinum fosamilum ut Ceftarolinum fosamilum monoacetas monohydricum.
  • +Principe actif: Ceftarolinum fosamilum ut Ceftarolinum fosamilum monoacetas monohydricum.
  • -·Infections compliquées de la peau et des tissus mous, (complicated skin and soft tissue infections; cSSTI)
  • +·Infections compliquées de la peau et des tissus mous (complicated skin and soft tissue infections; cSSTI)
  • -Les ajustements posologiques suivants sont recommandés chez les patients présentant une insuffisance rénale (voir «Mises en garde et précautions» et «Pharmacocinétique»).
  • +Les ajustements posologiques suivants sont recommandés chez les patients présentant une insuffisance rénale (voir «Mises en garde et précautions» et «Pharmacocinétique»):
  • -Hypersensibilité immédiate et sévère (par exemple réaction anaphylactique) à tout autre antibiotique de la famille des bêta-lactamines (par exemple pénicillines ou carbapénèmes).
  • +Hypersensibilité immédiate et sévère (p.ex. réaction anaphylactique) à tout autre antibiotique de la famille des bêta-lactamines (p.ex. pénicillines ou carbapénèmes).
  • -Les patients présentant un antécédent d'hypersensibilité aux céphalosporines, pénicillines ou autres antibiotiques de la famille des bêta-lactamines peuvent aussi être hypersensibles à la ceftaroline fosamil. Avant le début d'un traitement par Zinforo, le patient doit être questionné en détail sur la survenue éventuelle de réactions d'hypersensibilité à des antibiotiques de la famille des bêta-lactamines par le passé. De plus, Zinforo est contre-indiqué chez les patients présentant un antécédent d'hypersensibilité immédiate et sévère (par exemple: réaction anaphylactique) à tout autre antibiotique de la famille des bêta-lactamines (voir «Contre-indication»).
  • +Les patients présentant un antécédent d'hypersensibilité aux céphalosporines, pénicillines ou autres antibiotiques de la famille des bêta-lactamines peuvent aussi être hypersensibles à la ceftaroline fosamil. Avant le début d'un traitement par Zinforo, le patient doit être questionné en détail sur la survenue éventuelle de réactions d'hypersensibilité à des antibiotiques de la famille des bêta-lactamines par le passé. De plus, Zinforo est contre-indiqué chez les patients présentant un antécédent d'hypersensibilité immédiate et sévère (p.ex. réaction anaphylactique) à tout autre antibiotique de la famille des bêta-lactamines (voir «Contre-indication»).
  • -Un test direct à l'antiglobuline (TDA) peut devenir positif lors d'un traitement par céphalosporines. L'incidence des séroconversions de TDA chez les patients recevant du Zinforo était de 11,2% dans les cinq études de phase III poolées (600 mg administrés sur une période de 60 minutes toutes les 12 heures) et de 32,3% dans les études avec 600 mg administrés sur une période de 120 minutes toutes les 8 heures. Aucune hémolyse n'a été observée chez les patients ayant développé un TDA positif sous traitement de ceftaroline fosamil. Cependant, la possibilité qu'une anémie hémolytique survienne lors d'un traitement par céphalosporines incluant Zinforo ne peut être exclue. Cette éventualité devra être explorée chez les patients développant une anémie pendant ou après un traitement par Zinforo.
  • +Un test direct à l'antiglobuline (TDA) peut devenir positif lors d'un traitement par céphalosporines. L'incidence des séroconversions de TDA chez les patients recevant du Zinforo était de 11.2% dans les cinq études de phase III poolées (600 mg administrés sur une période de 60 minutes toutes les 12 heures) et de 32.3% dans les études avec 600 mg administrés sur une période de 120 minutes toutes les 8 heures. Aucune hémolyse n'a été observée chez les patients ayant développé un TDA positif sous traitement de ceftaroline fosamil. Cependant, la possibilité qu'une anémie hémolytique survienne lors d'un traitement par céphalosporines incluant Zinforo ne peut être exclue. Cette éventualité devra être explorée chez les patients développant une anémie pendant ou après un traitement par Zinforo.
  • -Il n'y a pas de données sur la ceftaroline dans le traitement de la CAP dans les groupes de patients suivants: les immunodéprimés, les patients présentant un choc septique/un sepsis sévère, les patients avec une maladie pulmonaire grave sous-jacente, ceux avec un index de sévérité des pneumonies PORT de classe V, et/ou une CAP nécessitant une ventilation à l'admission, les CAP dues au S. aureus résistant à la méticilline ou les patients nécessitant des soins intensifs. La prudence est recommandée lors du traitement de tels patients.
  • -Il n'y a pas de données sur la ceftaroline dans le traitement des infections compliquées de la peau et des tissus mous chez les groupes de patients suivants: les immunodéprimés, les patients présentant un choc septique/un sepsis sévère, des fasciites nécrosantes, des abcès périrectaux et chez les patients avec des brûlures étendues et du 3ème degré. Il existe une expérience limitée dans le traitement des infections du pied chez le diabétique. La prudence est recommandée lors du traitement de tels patients.
  • +Il n'y a pas de données sur la ceftaroline dans le traitement de la pneumonie communautaire dans les groupes de patients suivants: les immunodéprimés, les patients présentant un sepsis sévère/un choc septique, les patients avec une maladie pulmonaire grave sous-jacente, ceux avec un index de sévérité des pneumonies PORT de classe V et/ou une pneumonie communautaire nécessitant une ventilation à l'admission, les pneumonies communautaires dues au S. aureus résistant à la méticilline ou les patients nécessitant des soins intensifs. La prudence est recommandée lors du traitement de tels patients.
  • +Il n'y a pas de données sur la ceftaroline dans le traitement des infections compliquées de la peau et des tissus mous chez les groupes de patients suivants: les immunodéprimés, les patients présentant un sepsis sévère/un choc septique, des fasciites nécrosantes, des abcès périrectaux et chez les patients avec des brûlures étendues et du 3ème degré. Il existe une expérience limitée dans le traitement des infections du pied chez le diabétique. La prudence est recommandée lors du traitement de tels patients.
  • -In vitro, la ceftaroline n'est pas transportée par les pompes à efflux P-gp ou BCRP. Vu que la ceftaroline n'inhibe pas la P-gp, une interaction avec les substrats correspondants tels que par exemple la digoxine est improbable. La ceftaroline est un faible inhibiteur de la BCRP; cet effet est toutefois trop faible pour jouer un rôle clinique. Des études in vitro ont montré que la ceftaroline n'est ni un substrat ni un inhibiteur des transporteurs rénaux d'influx OCT2, OAT1 et OAT3; des interactions avec des médicaments inhibiteurs de la sécrétion rénale active (p.ex. probénécide) ou avec des médicaments substrats de ces transporteurs ne sont donc pas attendues.
  • +In vitro, la ceftaroline n'est pas transportée par les pompes à efflux P-gp ou BCRP. Vu que la ceftaroline n'inhibe pas la P-gp, une interaction avec les substrats correspondants tels que p.ex. la digoxine est improbable. La ceftaroline est un faible inhibiteur de la BCRP; cet effet est toutefois trop faible pour jouer un rôle clinique. Des études in vitro ont montré que la ceftaroline n'est ni un substrat ni un inhibiteur des transporteurs rénaux d'influx OCT2, OAT1 et OAT3; des interactions avec des médicaments inhibiteurs de la sécrétion rénale active (p.ex. probénécide) ou avec des médicaments substrats de ces transporteurs ne sont donc pas attendues.
  • -Il n'y pas de données concernant l'utilisation de la ceftaroline chez les femmes enceintes. Des études chez l'animal avec ceftaroline fosamil menées chez la rate et la lapine ne montrent pas d'effet délétère en ce qui concerne la toxicité de reproduction.
  • -Après administration du médicament pendant et après la gestation chez la rate, aucun effet n'a été constaté sur le poids à la naissance ou sur la croissance des descendants; une légère influence sur le poids du fœtus et un léger ralentissement de l'ossification de l'os interpariétal ont été observés lorsque Zinforo était administré pendant la période d'organogenèse (voir «Données précliniques»). Zinforo ne doit pas être utilisé au cours de la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue et si les avantages potentiels prédominent par rapport au risque possible.
  • +Il n'y pas de données concernant l'utilisation de la ceftaroline chez les femmes enceintes. Des études chez l'animal avec ceftaroline fosamil menées chez la rate et la lapine ne montrent pas d'effet délétère en ce qui concerne la toxicité de reproduction. Après administration du médicament pendant et après la gestation chez la rate, aucun effet n'a été constaté sur le poids à la naissance ou sur la croissance des descendants; une légère influence sur le poids du fœtus et un léger ralentissement de l'ossification de l'os interpariétal ont été observés lorsque Zinforo était administré pendant la période d'organogenèse (voir «Données précliniques»). Zinforo ne doit pas être utilisé au cours de la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue et si les avantages potentiels prédominent par rapport au risque possible.
  • -Dans quatre essais cliniques pivots (2 études de cSSTI et deux études de CAP), 1305 patients adultes ont été traités par Zinforo (600 mg administrés sur une période de 60 minutes toutes les 12 heures).
  • -Les incidences des effets indésirables survenus dans le cadre du traitement dans les études cumulées de phase III sur les cSSTI et sur les CAP étaient similaires dans les groupes sous ceftaroline et les groupes recevant le produit de comparaison (45,7% et 46,7%). Les effets indésirables les plus fréquents, survenus chez ≥3% des patients sous ceftaroline, ont été des diarrhées, des céphalées, des nausées et un prurit; ils étaient généralement d'une intensité légère ou modérée.
  • +Dans quatre études de phase III (2 études de cSSTI et deux études de CAP), 1305 patients adultes ont été traités par Zinforo (600 mg administrés sur une période de 60 minutes toutes les 12 heures).
  • +Les incidences des effets indésirables survenus dans le cadre du traitement dans les études cumulées de phase III sur les cSSTI et sur les CAP étaient similaires dans les groupes sous ceftaroline et les groupes recevant le produit de comparaison (45.7% et 46.7%). Les effets indésirables les plus fréquents, survenus chez ≥3% des patients sous ceftaroline, ont été des diarrhées, des céphalées, des nausées et un prurit; ils étaient généralement d'une intensité légère ou modérée.
  • -Une étude conduite en Asie chez 381 patients adultes avec CAP traités par Zinforo (600 mg administrés par perfusion de 60 minutes toutes les 12 heures) a montré que le profil de sécurité chez ces patients était similaire à celui observé dans les études de phase 3 poolées menées dans les cSSTI et CAP.
  • -Une étude additionnelle (COVERS) chez 506 patients adultes présentant une ICPTM a été conduite (600 mg administrés sur une période de 120 minutes toutes les 8 heures). Les effets indésirables les plus fréquents survenus chez ≥3% des patients traités par Zinforo ont été les nausées, les céphalées et les éruptions cutanées. Le profil de sécurité était similaire à celui observé dans les études poolées de phase III antérieures, à l'exception d'une plus grande incidence d'éruptions cutanées chez les patients asiatiques (voir ci-dessous; très fréquent: 18,5%) et d'une plus grande incidence des séroconversions de TDA (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Les effets indésirables suivants ont été identifiés au cours des essais cliniques menés avec Zinforo. Les effets indésirables sont classés par classe de systèmes d'organes et par fréquence. Les catégories de fréquence se réfèrent aux effets indésirables rapportés dans le cadre des études cumulées de phase III sur les cSSTI et les CAP. Elles sont définies comme suit: très fréquent (≥1/10), fréquent (≥1/100, <1/10), occasionnel (≥1/1'000, <1/100), rare (≥1/10'000, <1/1'000).
  • +Une étude conduite en Asie chez 381 patients adultes avec CAP traités par Zinforo (600 mg administrés par perfusion de 60 minutes toutes les 12 heures) a montré que le profil de sécurité chez ces patients était similaire à celui observé dans les études de phase III poolées menées dans les cSSTI et CAP.
  • +Une étude additionnelle (COVERS) chez 506 patients adultes présentant une cSSTI a été conduite (600 mg administrés sur une période de 120 minutes toutes les 8 heures). Les effets indésirables les plus fréquents survenus chez ≥3% des patients traités par Zinforo ont été les nausées, les céphalées et les éruptions cutanées. Le profil de sécurité était similaire à celui observé dans les études poolées de phase III antérieures, à l'exception d'une plus grande incidence d'éruptions cutanées chez les patients asiatiques (voir ci-dessous; très fréquent: 18.5%) et d'une plus grande incidence des séroconversions de TDA (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Les effets indésirables suivants ont été identifiés au cours des essais cliniques menés avec Zinforo. Les effets indésirables sont classés par classe de systèmes d'organes et par fréquence. Les catégories de fréquence se réfèrent aux effets indésirables rapportés dans le cadre des études cumulées de phase III sur les cSSTI et les CAP. Elles sont définies comme suit: très fréquent (≥1/10), fréquent (≥1/100, <1/10), occasionnel (≥1/1000, <1/100), rare (≥1/10'000, <1/1000).
  • -Affections hépato-biliaires
  • +Affections hépatobiliaires
  • -Très fréquent: (dans la population asiatique) éruption cutanée (18,5%)
  • +Très fréquent: (dans la population asiatique) éruption cutanée (18.5%).
  • -La ceftaroline est une céphalosporine active contre des bactéries à Gram positif et des bactéries à Gram négatif. Les études in vitro ont montré que les effets bactéricides de la ceftaroline reposent sur sa capacité d'inhiber la synthèse de la paroi bactérienne en se liant aux protéines de liaison aux pénicillines (PLP). En raison de son affinité pour les PLP modifiées trouvées chez ces bactéries, la ceftaroline est également active contre les SARM (Staphylococcus aureus résistants à la méticilline) et les SPNSP (Streptococcus pneumoniae non sensibles à la pénicilline.
  • +La ceftaroline est une céphalosporine active contre des bactéries à Gram positif et des bactéries à Gram négatif. Les études in vitro ont montré que les effets bactéricides de la ceftaroline reposent sur sa capacité d'inhiber la synthèse de la paroi bactérienne en se liant aux protéines de liaison aux pénicillines (PLP). En raison de son affinité pour les PLP modifiées trouvées chez ces bactéries, la ceftaroline est également active contre les Staphylococcus aureus résistants à la méticilline (SARM) et les Streptococcus pneumoniae non sensibles à la pénicilline (SPNSP).
  • -Les études in vitro n'ont démontré aucun antagonisme lors de l'association de la ceftaroline avec d'autres antibiotiques généralement utilisés (par exemple: amikacine, azithromycine, aztréonam, daptomycine, lévofloxacine, linézolide, méropénème, tigécycline et vancomycine).
  • +Les études in vitro n'ont démontré aucun antagonisme lors de l'association de la ceftaroline avec d'autres antibiotiques généralement utilisés (p.ex. amikacine, azithromycine, aztréonam, daptomycine, lévofloxacine, linézolide, méropénème, tigécycline et vancomycine).
  • -Les concentrations critiques établies par l'European Committee on Antimicrobial Susceptibility Testing (EUCAST) sont présentées ci-dessous
  • +Les concentrations critiques établies par l'European Committee on Antimicrobial Susceptibility Testing (EUCAST) sont présentées ci-dessous:
  • -Streptococcus pneumoniae 0,25 0,25
  • +Streptococcus pneumoniae 0.25 0.25
  • -Haemophilus influenzae 0,03 0,03
  • -Enterobacteriaceae 0,5 0,5
  • -Concentrations critiques non liées à l'espèce2 0,5 0,5
  • +Haemophilus influenzae 0.03 0.03
  • +Enterobacteriaceae 0.5 0.5
  • +Concentrations critiques non liées à l'espèce2 0.5 0.5
  • -Bactéries à Gram positif
  • +Micro-organismes à Gram positif
  • -Bactéries à Gram négatif
  • +Micro-organismes à Gram négatif
  • -Aucun cas de CAP due à un SARM n'a été inclus dans les études. Les données cliniques disponibles ne peuvent pas étayer l'efficacité de la ceftaroline vis-à-vis de souches de S. pneumoniae non sensibles à la pénicilline.
  • -Bactéries à Gram positif
  • +Aucun cas de pneumonie communautaire due à un SARM n'a été inclus dans les études. Les données cliniques disponibles ne peuvent pas étayer l'efficacité de la ceftaroline vis-à-vis de souches de S. pneumoniae non sensibles à la pénicilline.
  • +Micro-organismes à Gram positif
  • -Bactéries à Gram négatif
  • +Micro-organismes à Gram négatif
  • -CE 288/316 (91,1) 280/300 (93,3) -2,2 (-6,6; 2,1)
  • -mITT 304/351 (86,6) 297/347 (85,6) 1,0 (-4,2; 6,2)
  • +CE 288/316 (91.1) 280/300 (93.3) -2.2 (-6.6; 2.1)
  • +mITT 304/351 (86.6) 297/347 (85.6) 1.0 (-4.2; 6.2)
  • -CE 271/294 (92,2) 296/292 (92,1) 0,1 (-4,4; 4,5)
  • -mITT 291/342 (85,1) 289/338 (85,5) -0,4 (-5,8; 5,0)
  • +CE 271/294 (92.2) 296/292 (92.1) 0.1 (-4.4; 4.5)
  • +mITT 291/342 (85.1) 289/338 (85.5) -0.4 (-5.8; 5.0)
  • -Tableau 2: Réponse clinique par agent infectieux chez les patients microbiologiquement analysables des 2 études intégrées de phase III sur les cSSTI)
  • +Tableau 2: Réponse clinique par agent infectieux chez les patients microbiologiquement analysables des 2 études intégrées de phase III sur les cSSTI
  • -Germes à Gram positif 402/431 (93,3) 397/422 (94,1)
  • -Staphylococcus aureus 352/378 (93,1) 336/356 (94,4)
  • -SASM (souches sensibles à la méticilline) 212/228 (93,0) 225/238 (94,5)
  • -SARM (souches résistantes à la méticilline) 142/152 (93,4) 115/122 (94,3)
  • -Streptococcus pyogenes 56/56 (100) 56/58 (96,6)
  • -Streptococcus agalactiae 21/22 (95,5) 18/18 (100)
  • -Streptococcus dysgalactiae 13/13 (100) 15/16 (93,8)
  • -Groupe Streptococcus-anginosusa 12/13 (92,3) 15/16 (93,8)
  • -Germes à Gram négatif 84/95 (88,4) 90/94 (95,7)
  • -Escherichia coli 20/21 (95,2) 19/21 (90,5)
  • -Klebsiella oxytoca 10/12 (83,3) 6/6 (100,0)
  • -Klebsiella pneumoniae 17/18 (94,4) 13/14 (92,9)
  • -Morganella morganii 11/12 (91,7) 5/6 (83,3)
  • +Germes à Gram positif 402/431 (93.3) 397/422 (94.1)
  • +Staphylococcus aureus 352/378 (93.1) 336/356 (94.4)
  • +SASM (souches sensibles à la méticilline) 212/228 (93.0) 225/238 (94.5)
  • +SARM (souches résistantes à la méticilline) 142/152 (93.4) 115/122 (94.3)
  • +Streptococcus pyogenes 56/56 (100) 56/58 (96.6)
  • +Streptococcus agalactiae 21/22 (95.5) 18/18 (100)
  • +Streptococcus dysgalactiae 13/13 (100) 15/16 (93.8)
  • +Groupe Streptococcus-anginosusa 12/13 (92.3) 15/16 (93.8)
  • +Germes à Gram négatif 84/95 (88.4) 90/94 (95.7)
  • +Escherichia coli 20/21 (95.2) 19/21 (90.5)
  • +Klebsiella oxytoca 10/12 (83.3) 6/6 (100.0)
  • +Klebsiella pneumoniae 17/18 (94.4) 13/14 (92.9)
  • +Morganella morganii 11/12 (91.7) 5/6 (83.3)
  • -Ces études ont inclus au total 1240 adultes nécessitant une hospitalisation et un traitement par voie IV suite à un diagnostic de CAP reposant sur une radiographie du thorax ou sur la présence d'infiltrats pulmonaires progressifs et de signes et symptômes cliniques d'une CAP. Les principaux critères d'exclusion ont englobé entre autres les infections par des germes présentant une résistance connue ou supposée à la ceftaroline et à la ceftriaxone (par exemple germes atypiques ou Pseudomonas spp.). Les patients chez lesquels une infection à SARM était établie ou confirmée étaient également exclus à cause du manque d'efficacité de la ceftriaxone contre ces germes. En outre, l'étude a également exclu les patients immunosupprimés, les patients présentant une septicémie sévère/un choc septique et les patients atteints d'une maladie pulmonaire préexistante sévère. Environ 38% des patients présentaient un score PORT de IV et 30% souffraient d'une CAP sévère d'après les critères modifiés de l'ATS (American Thoracic Society). La majorité des patients (75%) souffrait d'un SRIS, dont 36% avec hypoxie, 19% avec épanchement pleural et 28% avec infiltrats multilobaires. Les comorbidités les plus fréquentes étaient une atteinte pulmonaire structurelle (~ 25%), un diabète (~ 15%), une insuffisance cardiaque (~ 33%) et une insuffisance rénale (~ 50%; ClCr ≤80 ml/min). La durée du traitement était de 5 à 7 jours; 48% des patients avaient au moins 65 ans.
  • -La population mITT (population en intention de traiter modifiée) pour l'analyse de l'efficacité (mITTE) a inclus tous les patients qui avaient reçu au moins une dose du médicament de l'étude utilisé pour le groupe auquel ils étaient assignés par randomisation et qui appartenaient aux classes de risque PORT III ou IV. La population cliniquement analysable (CE) a inclus tous les patients de la population mITTE ayant suffisamment adhéré au protocole de l'étude. Le critère primaire d'efficacité était défini comme la réponse clinique lors de la visite de TOC (test of cure) dans les populations co-primaires CE et mITTE (voir le tableau ci-dessous).
  • -Tableau 3 Taux de guérison clinique lors de la visite de TOC au bout de 5 à 7 jours de traitement dans les 2 études de phase III sur les CAP
  • +Ces études ont inclus au total 1240 adultes nécessitant une hospitalisation et un traitement par voie IV suite à un diagnostic de CAP reposant sur une radiographie du thorax ou sur la présence d'infiltrats pulmonaires progressifs et de signes et symptômes cliniques d'une CAP. Les principaux critères d'exclusion ont englobé entre autres les infections par des germes présentant une résistance connue ou supposée à la ceftaroline et à la ceftriaxone (p.ex. germes atypiques ou Pseudomonas spp.). Les patients chez lesquels une infection à SARM était établie ou confirmée étaient également exclus à cause du manque d'efficacité de la ceftriaxone contre ces germes. En outre, l'étude a également exclu les patients immunosupprimés, les patients présentant une septicémie sévère/un choc septique et les patients atteints d'une maladie pulmonaire préexistante sévère. Environ 38% des patients présentaient un score PORT de IV et 30% souffraient d'une CAP sévère d'après les critères modifiés de l'ATS (American Thoracic Society). La majorité des patients (75%) souffrait d'un SRIS, dont 36% avec hypoxie, 19% avec épanchement pleural et 28% avec infiltrats multilobaires. Les comorbidités les plus fréquentes étaient une atteinte pulmonaire structurelle (~ 25%), un diabète (~ 15%), une insuffisance cardiaque (~ 33%) et une insuffisance rénale (~ 50%; ClCr ≤80 ml/min). La durée du traitement était de 5 à 7 jours; 48% des patients avaient au moins 65 ans.
  • +La population en intention de traiter modifiée pour l'analyse de l'efficacité (MITTE) a inclus tous les patients qui avaient reçu au moins une dose du médicament de l'étude utilisé pour le groupe auquel ils étaient assignés par randomisation et qui appartenaient aux classes de risque PORT III ou IV. La population cliniquement analysable (CE) a inclus tous les patients de la population MITTE ayant suffisamment adhéré au protocole de l'étude. Le critère primaire d'efficacité était défini comme la réponse clinique lors de la visite de TOC (test of cure) dans les populations co-primaires CE et MITTE (voir le tableau ci-dessous).
  • +Tableau 3: Taux de guérison clinique lors de la visite de TOC au bout de 5 à 7 jours de traitement dans les 2 études de phase III sur les CAP
  • -CE 194/224 (86,6) 183/234 (78,2) 8,4 (1,4; 15,4)
  • -mITTE 244/291 (83,8) 233/300 (77,7) 6,2 (-0,2; 12,6)
  • +CE 194/224 (86.6) 183/234 (78.2) 8.4 (1.4; 15.4)
  • +MITTE 244/291 (83.8) 233/300 (77.7) 6.2 (-0.2; 12.6)
  • -CE 193/235 (82,1) 166/215 (77,2) 4,9 (-2,5; 12,5)
  • -mITTE 235/289 (81,3) 206/273 (75,5) 5,9 (-1,0; 12,7)
  • +CE 193/235 (82.1) 166/215 (77.2) 4.9 (-2.5; 12.5)
  • +MITTE 235/289 (81.3) 206/273 (75.5) 5.9 (-1.0; 12.7)
  • -La réponse clinique constatée lors de la visite de TOC par germe d'infection chez les patients microbiologiquement analysables est présentée ci-dessous:
  • +La réponse clinique constatée lors de la visite de TOC par germe d'infection chez les patients microbiologiquement analysables est présentée ci-dessous.
  • -Streptococcus pneumoniae 54/63 (85,7) 41/59 (69,5)
  • -Staphylococcus aureus (uniquement souches sensibles à la méticilline) 18/25 (72,0) 14/25 (56,0)
  • +Streptococcus pneumoniae 54/63 (85.7) 41/59 (69.5)
  • +Staphylococcus aureus (uniquement souches sensibles à la méticilline) 18/25 (72.0) 14/25 (56.0)
  • -Haemophilus influenzae 15/18 (83,3) 17/20 (85,0)
  • -Haemophilus parainfluenzae 16/16 (100,0) 15/17 (88,2)
  • -Escherichia coli 10/12 (83,3) 9/12 (75,0)
  • -Klebsiella pneumoniae 13/13 (100,0) 10/12 (83,3)
  • +Haemophilus influenzae 15/18 (83.3) 17/20 (85.0)
  • +Haemophilus parainfluenzae 16/16 (100.0) 15/17 (88.2)
  • +Escherichia coli 10/12 (83.3) 9/12 (75.0)
  • +Klebsiella pneumoniae 13/13 (100.0) 10/12 (83.3)
  • -La non infériorité de ceftaroline 600 mg par rapport à ceftriaxone 2 g a été prouvée aussi bien dans les populations CE que mITT (tableaux 5 et 6). En se basant sur les critères préalablement définis (limite inférieure de l'intervalle de confiance à 95% pour la différence des taux de réponse supérieure à 0%), la non infériorité de ceftaroline 600 mg par rapport à ceftriaxone 2 g a aussi été démontrée en Asie chez les patients adultes CAP classes de risque PORT III/IV.
  • +La non infériorité de ceftaroline 600 mg par rapport à ceftriaxone 2 g a été prouvée aussi bien dans les populations CE que MITT (tableaux 5 et 6). En se basant sur les critères préalablement définis (limite inférieure de l'intervalle de confiance à 95% pour la différence des taux de réponse supérieure à 0%), la non infériorité de ceftaroline 600 mg par rapport à ceftriaxone 2 g a aussi été démontrée en Asie chez les patients adultes CAP classes de risque PORT III/IV.
  • -mITT n 381 382
  • +MITT n 381 382
  • -La liaison de la ceftaroline aux protéines est faible (d'environ 20%) et il n'y a pas de distribution de ceftaroline dans les érythrocytes. Le volume médian de distribution de la ceftaroline à l'état d'équilibre chez des hommes adultes sains à la suite d'une dose unique intraveineuse de 600 mg de ceftaroline fosamil radiomarqué était de 20,3 litres, c'est-à-dire similaire au volume de liquide extracellulaire.
  • +La liaison de la ceftaroline aux protéines est faible (d'environ 20%) et il n'y a pas de distribution de ceftaroline dans les érythrocytes. Le volume médian de distribution de la ceftaroline à l'état d'équilibre chez des hommes adultes sains à la suite d'une dose unique intraveineuse de 600 mg de ceftaroline fosamil radiomarqué était de 20.3 l, c'est-à-dire similaire au volume de liquide extracellulaire.
  • -La demi-vie moyenne d'élimination terminale de la ceftaroline chez des adultes sains est de 2,5 heures environ.
  • +La demi-vie moyenne d'élimination terminale de la ceftaroline chez des adultes sains est de 2.5 heures environ.
  • -Après la dilution
  • +Après la dilution:
  • -Conserver à des températures ne dépassant pas 30 °C.
  • +Conserver à des températures au-dessous de 30 °C.
  • -·Une solution injectable de chlorure de sodium 9 mg/ml (0,9%), ou
  • +·Une solution injectable de chlorure de sodium 9 mg/ml (0.9%), ou
  • -·Une solution injectable de chlorure de sodium 4,5 mg/ml (0,45%) et de dextrose 25 mg/ml (2,5%) ou
  • +·Une solution injectable de chlorure de sodium 4.5 mg/ml (0.45%) et de dextrose 25 mg/ml (2.5%) ou
  • -Une poche pour perfusion de 250 ml, 100 ml ou 50 ml peut être utilisée pour préparer la perfusion, en se basant sur les besoins en volume du patient.
  • -Le temps total entre le début de la reconstitution et la fin de la préparation de la perfusion intraveineuse ne doit pas excéder 30 minutes.
  • +Une poche pour perfusion de 250 ml, 100 ml ou 50 ml peut être utilisée pour préparer la perfusion, en se basant sur les besoins en volume du patient. Le temps total entre le début de la reconstitution et la fin de la préparation de la perfusion intraveineuse ne doit pas excéder 30 minutes.
  • -Emballage à 10 flacons [A]
  • +Emballage à 10 flacons-ampoules [A].
  • -AstraZeneca AG, 6301 Zug.
  • -
  • +Pfizer PFE Switzerland GmbH, Zürich.
  • +LLD V001
  • +
2025 ©ywesee GmbH
Einstellungen | Aide | FAQ | Identification | Contact | Home