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-·dérivés de l'ergot de seigle: dihydroergotamine, ergométrine, ergotamine
- +·anticonvulsivants, tels que la carbamazépine, l'oxcarbazépine, le phénobarbital, la phénytoïne, le topiramate
-·produits à base de plantes: millepertuis (Hypericum perforatum)
- +·antagonistes des récepteurs de l'endothéline: bosentan
- +·dérivés de l'ergot de seigle: dihydroergotamine, ergométrine, ergotamine
- +·inhibiteurs directs de la thrombine par voie orale: dabigatran
- +·produits à base de plantes: millepertuis (Hypericum perforatum)
-·anticonvulsivants, tels que la carbamazépine, l'oxcarbazépine, le phénobarbital, la phénytoïne, le topiramate
-·inhibiteurs directs de la thrombine par voie orale: dabigatran
-·antagonistes des récepteurs de l'endothéline: bosentan
-Acidose lactique:
-Une acidose lactique, associée habituellement à une stéatose hépatique, a été rapportée après l'administration d'analogues nucléosidiques. Les symptômes précoces (hyperlactatémie symptomatique) incluent entre autres des troubles digestifs bénins (nausées, vomissements et douleurs abdominales), une sensation de malaise général, une perte d'appétit, une perte de poids, des symptômes respiratoires (respiration rapide ou profonde) ou neurologiques (incluant une faiblesse motrice). L'acidose lactique entraîne une mortalité élevée et peut être associée à une pancréatite, une défaillance hépatique ou une défaillance rénale. L'acidose lactique apparaît généralement après quelques voire plusieurs mois de traitement.
-Le traitement par les analogues nucléosidiques doit être arrêté en cas d'hyperlactatémie symptomatique et d'acidose métabolique/lactique, d'hépatomégalie progressive ou d'élévation rapide des transaminases.
-L'administration d'analogues nucléosidiques se fera avec une prudence particulière chez tous les patients (notamment les femmes obèses) ayant une hépatomégalie, une hépatite ou tout autre facteur de risque connu d'atteinte hépatique ou de stéatose hépatique (incluant la prise de certains médicaments ou d'alcool). Les patients co-infectés par le virus de l'hépatite C et traités par l'interféron alpha et la ribavirine présentent vraisemblablement un risque accru.
-Les patients avec un risque élevé devront faire l'objet d'une surveillance étroite.
-Les patients chez lesquels surviennent des symptômes tels que pancréatite, acidose lactique symptomatique et neuropathies associés à une faiblesse musculaire doivent également être étroitement surveillés pendant au moins un mois après l'arrêt de Stribild afin de détecter une récidive de ces symptômes.
-Il est recommandé de calculer la clairance de la créatinine et de déterminer la glycosurie et la protéinurie chez tous les patients avant l'initiation du traitement. Stribild ne doit pas être initié chez les patients présentant une clairance de la créatinine estimée inférieure à 70 ml/min. Il est recommandé de surveiller la fonction rénale (clairance de la créatinine, phosphate sérique, glycosurie et protéinurie) toutes les 4 semaines pendant la première année de traitement, puis tous les 3 mois pendant la durée du traitement par Stribild. Chez les patients présentant un risque d’insuffisance rénale, une surveillance plus fréquente de la fonction rénale est nécessaire.
-Chez tous les patients traités par Stribild présentant une phosphatémie <1,5 mg/dl (0,48 mmol/l) ou une clairance de la créatinine <50 ml/min, la fonction rénale doit à nouveau faire l'objet d'un bilan dans un délai d'une semaine. La glycémie, la kaliémie et la concentration du glucose urinaire devraient également être déterminées (voir «Effets indésirables»). L’interruption du traitement par Stribild doit être envisagée en cas de dégradation progressive de la fonction rénale si aucune autre cause n’a été identifiée.
- +Il est recommandé de calculer la clairance de la créatinine et de déterminer la glycosurie et la protéinurie chez tous les patients avant l'initiation du traitement. Stribild ne doit pas être initié chez les patients présentant une clairance de la créatinine estimée inférieure à 70 ml/min. Il est recommandé de surveiller la fonction rénale (clairance de la créatinine, phosphate sérique, glycosurie et protéinurie) toutes les 4 semaines pendant la première année de traitement, puis tous les 3 mois pendant la durée du traitement par Stribild. Chez les patients présentant un risque d'insuffisance rénale, une surveillance plus fréquente de la fonction rénale est nécessaire.
- +Chez tous les patients traités par Stribild présentant une phosphatémie <1,5 mg/dl (0,48 mmol/l) ou une clairance de la créatinine <50 ml/min, la fonction rénale doit à nouveau faire l'objet d'un bilan dans un délai d'une semaine. La glycémie, la kaliémie et la concentration du glucose urinaire devraient également être déterminées (voir «Effets indésirables»). L'interruption du traitement par Stribild doit être envisagée en cas de dégradation progressive de la fonction rénale si aucune autre cause n'a été identifiée.
-Des cas de défaillance rénale aiguë faisant suite à l’instauration d’un traitement par anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS) à forte dose ou associant plusieurs AINS ont été rapportés chez des patients traités par le fumarate de ténofovir disoproxil et présentant des facteurs de risque d’insuffisance rénale. Si Stribild est administré avec un AINS, il convient d’effectuer une surveillance adéquate de la fonction rénale.
- +Des cas de défaillance rénale aiguë faisant suite à l'instauration d'un traitement par anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS) à forte dose ou associant plusieurs AINS ont été rapportés chez des patients traités par le fumarate de ténofovir disoproxil et présentant des facteurs de risque d'insuffisance rénale. Si Stribild est administré avec un AINS, il convient d'effectuer une surveillance adéquate de la fonction rénale.
-Patients co-infectés par le VIH et le virus de l'hépatite B (VHB) ou C (VHC):
- +Patients co-infectés par le VIH et le virus de l'hépatite B (VHB) ou C (vhc):
-Dysfonctionnement mitochondrial:
-Il a été démontré que les analogues nucléosidiques et nucléotidiques entraînent, in vivo et in vitro, des atteintes mitochondriales plus ou moins sévères. Des cas de dysfonctionnement mitochondrial ont été rapportés chez des nourrissons non infectés par le VIH, exposés in utero et/ou en période post-natale à des analogues nucléosidiques. Les effets indésirables principalement rapportés sont des atteintes hématologiques (anémie, neutropénie) et des troubles métaboliques (hyperlactatémie, hyperlipasémie). Ces effets indésirables sont généralement transitoires. Des troubles neurologiques d'apparition tardive ont été rapportés (hypertonie, convulsions, troubles du comportement). Le caractère transitoire ou permanent de ces troubles neurologiques n'est pas établi à ce jour. Tout enfant exposé in utero à des analogues nucléosidiques ou nucléotidiques, y compris les enfants séronégatifs pour le VIH, devra faire l'objet d'un suivi clinique et biologique ainsi que d'un bilan approfondi à la recherche d'un éventuel dysfonctionnement mitochondrial lors de tout signe ou symptôme évocateur. Ces données ne modifient pas les recommandations nationales actuelles quant à l'utilisation d'un traitement antirétroviral chez la femme enceinte dans la prévention de la transmission verticale du VIH.
-Lipodystrophie et anomalies métaboliques:
-Les traitements par association d'antirétroviraux ont été associés, chez les patients infectés par le VIH, à une redistribution de la masse grasse corporelle (lipodystrophie). Les conséquences à long terme de ces événements ne sont actuellement pas connues. Le mécanisme à l'origine de ces anomalies n'est pas complètement élucidé. L'hypothèse d'une relation entre lipomatose viscérale et inhibiteurs de protéase (IPs) d'une part, et lipoatrophie et inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse (INTIs) d'autre part, a été émise. Le risque de lipodystrophie est majoré par des facteurs individuels du patient tels qu'un âge plus avancé et par des facteurs liés au traitement tels qu'une plus longue durée du traitement antirétroviral avec les anomalies métaboliques qui lui sont associées. L'examen clinique doit comporter une évaluation des signes physiques de redistribution des graisses. Des dosages à jeun des lipides sériques et de la glycémie doivent être envisagés. Si nécessaire, les troubles lipidiques devront être pris cliniquement en charge (voir «Effets indésirables»).
-Le ténofovir étant structurellement proche des analogues nucléosidiques, le risque de lipodystrophie ne peut être exclu. Cependant, des données cliniques à 144 semaines chez des patients naïfs de tout traitement antirétroviral indiquent que le risque de lipodystrophie est plus faible avec le fumarate de ténofovir disoproxil qu'avec la stavudine, administrés en association avec la lamivudine et l'éfavirenz.
- +Exposition in utero: dysfonctionnement mitochondrial:
- +Les analogues nucléos(t)idiques peuvent avoir un effet variable sur la fonction mitochondriale, l'effet le plus marqué étant observé avec la stavudine, la didanosine et la zidovudine. Des cas de dysfonctionnement mitochondrial ont été rapportés chez des nourrissons non infectés par le VIH, exposés in utero et/ou en période post-natale à des analogues nucléosidiques. Il s'agissait principalement de traitements comportant de la zidovudine. Les effets indésirables principalement rapportés étaient des troubles hématologiques (anémie, neutropénie) et des troubles métaboliques (hyperlactatémie, hyperlipasémie). Ces évènements étaient transitoires pour la plupart. Des troubles neurologiques d'apparition tardive ont été rapportés dans de rares cas (hypertonie, convulsions, troubles du comportement). Le caractère transitoire ou permanent de ces troubles neurologiques n'est pas établi à ce jour. Ces données doivent être prises en compte chez tout enfant exposé in utero à des analogues nucléos(t)idiques qui présente des manifestations cliniques sévères d'étiologie inconnue, en particulier des manifestations neurologiques. Chaque enfant exposé in utero à des analogues nucléos(t)idiques, y compris les enfants non infectés par le VIH, doit être examiné sur le plan clinique et des paramètres de laboratoire et doit, en cas de signes ou symptômes significatifs, faire l'objet d'investigations complètes à la recherche de possibles troubles de la fonction mitochondriale. Ces données ne modifient pas les recommandations nationales actuelles quant à l'utilisation d'un traitement antirétroviral chez la femme enceinte dans la prévention d'une transmission materno-fœtale du VIH.
- +Poids et paramètres métaboliques:
- +Une augmentation du poids corporel et des taux de lipides et de glucose sanguins peut survenir au cours d'un traitement antirétroviral. De telles modifications peuvent être en partie liées à l'amélioration de l'état de santé et au mode de vie. Dans certains cas, un effet du traitement sur les valeurs sanguines lipidiques est établi, alors qu'aucun lien n'a clairement été établi entre la prise de poids et un quelconque traitement. La surveillance des taux de lipides et de glucose sanguins devrait tenir compte des directives en vigueur pour les traitements contre l'infection par le VIH. Les troubles lipidiques devront être pris en charge selon l'évaluation clinique.
-Stribild ne doit pas être administré conjointement à d'autres médicaments contenant l'un de ses principes actifs, de l'emtricitabine, ou du ténofovir disoproxil (sous forme de fumarate). En raison de la similarité entre l'emtricitabine et la lamivudine, Stribild ne doit pas être coadministré avec des médicaments contenant de la lamivudine ou d'autres analogues de la cytidine (voir «Interactions»). En raison des effets similaires du cobicistat et du ritonavir sur le cytochrome P450 (CYP)3A, Stribild ne doit pas être coadministré avec des médicaments ou traitements contenant du ritonavir. Stribild ne doit pas être coadministré avec l'adéfovir dipivoxil.
- +Stribild ne doit pas être administré conjointement à d'autres médicaments contenant l'un de ses principes actifs, de l'emtricitabine, ou du ténofovir disoproxil (sous forme de fumarate) ni à d'autres médicaments contenant du ténofovir alafénamide. En raison de la similarité entre l'emtricitabine et la lamivudine, Stribild ne doit pas être coadministré avec des médicaments contenant de la lamivudine ou d'autres analogues de la cytidine (voir «Interactions»). En raison des effets similaires du cobicistat et du ritonavir sur le cytochrome P450 (CYP)3A, Stribild ne doit pas être coadministré avec des médicaments ou traitements contenant du ritonavir. Stribild ne doit pas être coadministré avec l'adéfovir dipivoxil.
-Administration de certains virostatiques de l’hépatite C:
-En cas de co-administration du fumarate de ténofovir disoproxil avec lédipasvir/sofosbuvir, il est prouvé que les concentrations plasmatiques de ténofovir augmentent, en particulier en cas de traitement concomitant contre l’infection par le VIH à base de fumarate de ténofovir disoproxil et de booster pharmacocinétique (ritonavir ou cobiscistat). La sécurité d’emploi du fumarate de ténofovir disoproxil en cas d’administration de lédipasvir/sofosbuvir et d’un booster pharmacocinétique n’a pas été démontrée. La co-administration de lédipasvir/sofosbuvir et Stribild n’est pas recommandée (voir «Interactions»). Stribild ne doit pas être utilisé en concomitance avec des inhibiteurs de protéase dans le traitement de l’infection par le VHC, à moins de disposer de données d’études d’interaction ou d’expériences cliniques qui appuient une co-administration, comme pour télaprévir (voir «Interactions»).
- +La co-administration de Stribild et de corticostéroïdes métabolisés par le CYP3A (par exemple le propionate de fluticasone ou d'autres corticostéroïdes pris par voie nasale ou en inhalation) peut augmenter le risque d'effets systémiques des corticostéroïdes comme le syndrome de Cushing et la suppression surrénalienne. Le risque d'insuffisance surrénalienne aiguë/de défaillance surrénalienne peut également être accru après l'arrêt de l'association thérapeutique de Stribild et de ces corticostéroïdes.
- +La co-administration de corticoïdes métabolisés par le CYP3A n'est pas recommandée à moins que les bénéfices potentiels pour le patient soient supérieurs aux risques. Dans ce cas, les patients doivent être surveillés à la recherche d'éventuels effets systémiques des corticostéroïdes. D'autres corticostéroïdes dont le métabolisme est moins dépendant du CYP3A, par exemple la béclométhasone prise par voie intranasale ou en inhalation, doivent être envisagés, en particulier pour l'utilisation à long terme (voir «Interactions»).
- +Administration de certains virostatiques de l'hépatite C:
- +En cas de co-administration du fumarate de ténofovir disoproxil avec lédipasvir/sofosbuvir, il est prouvé que les concentrations plasmatiques de ténofovir augmentent, en particulier en cas de traitement concomitant contre l'infection par le VIH à base de fumarate de ténofovir disoproxil et de booster pharmacocinétique (ritonavir ou cobiscistat). La sécurité d'emploi du fumarate de ténofovir disoproxil en cas d'administration de lédipasvir/sofosbuvir et d'un booster pharmacocinétique n'a pas été démontrée. La co-administration de lédipasvir/sofosbuvir et Stribild n'est pas recommandée (voir «Interactions»). Stribild ne doit pas être utilisé en concomitance avec des inhibiteurs de protéase dans le traitement de l'infection par le VHC, à moins de disposer de données d'études d'interaction ou d'expériences cliniques qui appuient une co-administration (voir «Interactions»).
-Bien qu’il ait été démontré que le contrôle virologique d’un traitement antirétroviral réduise sensiblement le risque de transmission du VIH par voie sexuelle, un risque de transmission ne peut être exclu. Des précautions doivent être prises conformément aux recommandations nationales afin de prévenir toute transmission.
- +Bien qu'il ait été démontré que le contrôle virologique d'un traitement antirétroviral réduise sensiblement le risque de transmission du VIH par voie sexuelle, un risque de transmission ne peut être exclu. Des précautions doivent être prises conformément aux recommandations nationales afin de prévenir toute transmission.
-Kétoconazole (200 mg b.i.d.)/Elvitégravir5 (150 mg q.d.)2 Elvitégravir: ASC: ↑ 48% Cmin: ↑ 67% Cmax: ↔ Les concentrations de kétoconazole et/ou de cobicistat peuvent augmenter en cas de coadministration avec Stribild. ↑ Kétoconazole ↑ Cobicistat Quand le kétoconazole est administré avec Stribild, la dose quotidienne maximale de kétoconazole ne doit pas dépasser 200 mg par jour. Des précautions sont nécessaires et une surveillance clinique est recommandée pendant la coadministration.
- +Kétoconazole (200 mg b.i.d.)/Elvitégravir5 (150 mg q.d.)2 Elvitégravir: ASC: ↑ 48% Cmin: ↑ 67% Cmax: ↔ Les concentrations de kétoconazole et/ou de cobicistat peuvent augmenter en cas de coadministration avec Stribild. ↑ Kétoconazole ↑ Cobicistat Quand le kétoconazole est administré avec Stribild, la dose quotidienne maximale de kétoconazole ne doit pas dépasser 200 mg par jour. Des précautions sont nécessaires et une surveillance clinique est recommandée pendant la coadministration.
-Télaprévir (750 mg t.i.d.)/ Elvitégravir (150 mg q.d.)/Cobicistat (150 mg q.d.)4 Télaprévir: ASC: ↔ Cmin: ↔ Cmax: ↔ Elvitégravir: ASC: ↔ Cmin: ↑ 29% Cmax: ↔ Cobicistat: ASC: ↔ Cmin: ↑ 232% Cmax: ↔ Aucune adaptation posologique n'est nécessaire en cas de coadministration de Stribild et de télaprévir.
-Bocéprévir Les interactions n’ont pas été étudiées pour les principes actifs de Stribild. La co-administration avec Stribild n'est pas recommandée.
-Lédipasvir/Sofosbuvir Les interactions avec Stribild n’ont pas été étudiées. La co-administration avec Stribild pourrait entraîner une exposition accrue au ténofovir. Des concentrations plus élevées de ténofovir pourraient renforcer les effets indésirables liés au ténofovir, dont les troubles de la fonction rénale. La sécurité d’emploi du fumarate de ténofovir disoproxil lors de l’administration avec le lédipasvir/sofosbuvir et un booster pharmacocinétique (p. ex. ritonavir ou cobicistat) n’a pas été démontrée. La sécurité d’emploi du fumarate de ténofovir disoproxil dans le cadre d’un traitement avec le lédipasvir/sofosbuvir et Stribild n’a pas été démontrée (voir «Mises en garde et précautions»). La co-administration avec Stribild n’est pas recommandée.
- +Bocéprévir Les interactions n'ont pas été étudiées pour les principes actifs de Stribild. La co-administration avec Stribild n'est pas recommandée.
- +Lédipasvir/Sofosbuvir Les interactions avec Stribild n'ont pas été étudiées. La co-administration avec Stribild pourrait entraîner une exposition accrue au ténofovir. Des concentrations plus élevées de ténofovir pourraient renforcer les effets indésirables liés au ténofovir, dont les troubles de la fonction rénale. La sécurité d'emploi du fumarate de ténofovir disoproxil lors de l'administration avec le lédipasvir/sofosbuvir et un booster pharmacocinétique (p.ex. ritonavir ou cobicistat) n'a pas été démontrée. La sécurité d'emploi du fumarate de ténofovir disoproxil dans le cadre d'un traitement avec le lédipasvir/sofosbuvir et Stribild n'a pas été démontrée (voir «Mises en garde et précautions»). La co-administration avec Stribild n'est pas recommandée.
-Télithromycine5 Érythromycine Les interactions avec les principes actifs de Stribild n'ont pas été étudiées. Les concentrations de télithromycine, d'érythromycine et/ou de cobicistat peuvent être modifiées par la coadministration de Stribild: ↑ Elvitégravir ↑ Érythromycine ↑ Télithromycine ↑ Cobicistat Une surveillance clinique est recommandée en cas de co-administration avec Stribild.
- +Télithromycine5 Érythromycine Les interactions avec les principes actifs de Stribild n'ont pas été étudiées. Les concentrations de télithromycine, d'érythromycine et/ou de cobicistat peuvent être modifiées par la coadministration de Stribild: ↑ Elvitégravir ↑ Érythromycine ↑ Télithromycine ↑ Cobicistat Une surveillance clinique est recommandée en cas de co-administration avec Stribild.
-Carbamazépine Oxcarbazépine Phénobarbital Phénytoïne Topiramate Les interactions avec les principes actifs de Stribild n'ont pas été étudiées. La coadministration de phénobarbital, phénytoïne, carbamazépine, topiramate et oxcarbazépine, inducteurs du CYP3A, peut provoquer une baisse significative des concentrations plasmatiques de cobicistat et d'elvitégravir et, par conséquent, une perte de l'effet thérapeutique, ainsi que l'apparition d'une résistance: ↓ Elvitégravir ↓ Cobicistat La coadministration de Stribild et de phénobarbital, phénytoïne, carbamazépine, topiramate et oxcarbazépine, inducteurs du CYP3A, est contre-indiquée.
- +Carbamazépine Oxcarbazépine Phénobarbital Phénytoïne Topiramate Les interactions avec les principes actifs de Stribild n'ont pas été étudiées. La coadministration de phénobarbital, phénytoïne, carbamazépine, topiramate et oxcarbazépine, inducteurs du CYP3A, peut provoquer une baisse significative des concentrations plasmatiques de cobicistat et d'elvitégravir et, par conséquent, une perte de l'effet thérapeutique, ainsi que l'apparition d'une résistance: ↓ Elvitégravir ↓ Cobicistat La coadministration de Stribild et de phénobarbital, phénytoïne, carbamazépine, topiramate et oxcarbazépine, inducteurs du CYP3A, est contre-indiquée.
-Dexaméthasone Fluticasone Budésonide Les interactions avec les principes actifs de Stribild n'ont pas été étudiées. La coadministration de dexaméthasone, un inducteur du CYP3A, peut provoquer une baisse significative des concentrations plasmatiques de cobicistat et d'elvitégravir et, par conséquent, une perte de l'effet thérapeutique, ainsi que l'apparition d'une résistance. ↓ Elvitégravir ↓ Cobicistat La coadministration de propionate de fluticasone, budésonide et Stribild n'est pas recommandée à moins que, pour un patient donné, les bénéfices potentiels soient supérieurs aux risques d'effets indésirables des glucocorticoïdes systémiques. ↑ Fluticasone ↑ Budésonide L'utilisation d'autres glucocorticoïdes doit être envisagée en cas de co-administration avec Stribild. L'utilisation de glucocorticoïdes inhalés ou administrés par voie orale avec Stribild n'est pas recommandée à moins que, pour un patient donné, les bénéfices potentiels soient supérieurs aux risques (y compris le syndrome de Cushing et la suppression surrénale). La coadministration de Stribild et de dexaméthasone, inducteur du CYP3A, est contre-indiquée.
- +Tous les corticoïdes à l'exception des produits à usage cutané
- +Dexaméthasone Les interactions avec les principes actifs de Stribild n'ont pas été étudiées. La coadministration de dexaméthasone, un inducteur du CYP3A, peut provoquer une baisse significative des concentrations plasmatiques de cobicistat et d'elvitégravir et, par conséquent, une perte de l'effet thérapeutique, ainsi que l'apparition d'une résistance. La coadministration de Stribild et de dexaméthasone, inducteur du CYP3A, est contre-indiquée.
- +Corticostéroïdes principalement métabolisés par le CYP3A (notamment bétaméthosone, budésonide, fluticasone, mométasone, prednisone, triamcinolone) ↓ Elvitégravir ↓ Cobicistat Les interactions avec les principes actifs de Stribild n'ont pas été étudiées. Les concentrations plasmatiques de ces médicaments peuvent augmenter s'ils sont administrés avec le cobicistat, ce qui peut probablement provoquer une suppression surrénalienne et une diminution de la concentration de cortisol sérique. L'administration concomitante de Stribild et de corticostéroïdes métabolisés par le CYP3A (par exemple propionate de fluticasone ou autres corticostéroïdes pris en inhalation ou par voie nasale) peut augmenter le risque d'effets systémiques des corticostéroïdes, notamment de syndrome de Cushing et de suppression surrénalienne. La co-administration avec des corticostéroïdes métabolisés par le CYP3A n'est pas recommandée à moins que les bénéfices potentiels pour le patient soient supérieurs aux risques. Dans ce cas, les patients doivent être surveillés à la recherche d'éventuels effets systémiques des corticostéroïdes. D'autres corticostéroïdes dont le métabolisme est moins dépendant du CYP3A, par exemple la béclométhasone prise par voie intranasale ou en inhalation, doivent être envisagés, en particulier pour l'utilisation à long terme.
-Des cas d'acidose lactique, d'hépatomégalie sévère avec stéatose et de lipodystrophie ont été associés au fumarate de ténofovir disoproxil et à l'emtricitabine (voir «Mises en garde et précautions» et ci-dessous).
-Rares: acidose lactique1,4
- +Rares: acidose lactique1
-Occasionnels: pancréatite1,4
- +Occasionnels: pancréatite1
-Rares: stéatose hépatique1,4, hépatite1
- +Rares: stéatose hépatique1, hépatite1
-5 Cet effet indésirable a été identifié dans le cadre de la pharmacovigilance post-commercialisation pour l’emtricitabine ou le fumarate de ténofovir disoproxil, mais n'a pas été observé lors des études cliniques randomisées contrôlées chez des adultes ou des patients pédiatriques infectés par le VIH menées sur l'emtricitabine, ni lors des études cliniques randomisées contrôlées menées sur le fumarate de ténofovir disoproxil ou dans le cadre du programme d'accès étendu au fumarate de ténofovir disoproxil. La catégorie de fréquence a été estimée d'après un calcul statistique basé sur le nombre total de patients exposés à l'emtricitabine lors des études cliniques randomisées contrôlées (n = 1'563) ou au fumarate de ténofovir disoproxil dans les études cliniques randomisées contrôlées et dans le cadre du programme d'accès étendu au fumarate de ténofovir disoproxil (n = 7'319).
-Insuffisance rénale: Étant donné que Stribild peut provoquer des lésions rénales, il est recommandé de surveiller la fonction rénale (voir «Mises en garde et précautions»). La tubulopathie rénale proximale s’est généralement résolue ou améliorée après l’arrêt du fumarate de ténofovir disoproxil. Cependant, chez certains patients, la diminution de la clairance de la créatinine ne s’est pas totalement résolue malgré l’arrêt du fumarate de ténofovir disoproxil. Les patients présentant un risque d’insuffisance rénale (comme les patients présentant déjà des facteurs de risque rénaux, un stade avancé de la maladie liée au VIH ou ceux recevant un traitement concomitant par des médicaments néphrotoxiques), présentent un risque plus élevé de récupération incomplète de la fonction rénale malgré l’arrêt du fumarate de ténofovir disoproxil (voir «Mises en garde et précautions»).
- +5 Cet effet indésirable a été identifié dans le cadre de la pharmacovigilance post-commercialisation pour l'emtricitabine ou le fumarate de ténofovir disoproxil, mais n'a pas été observé lors des études cliniques randomisées contrôlées chez des adultes ou des patients pédiatriques infectés par le VIH menées sur l'emtricitabine, ni lors des études cliniques randomisées contrôlées menées sur le fumarate de ténofovir disoproxil ou dans le cadre du programme d'accès étendu au fumarate de ténofovir disoproxil. La catégorie de fréquence a été estimée d'après un calcul statistique basé sur le nombre total de patients exposés à l'emtricitabine lors des études cliniques randomisées contrôlées (n = 1'563) ou au fumarate de ténofovir disoproxil dans les études cliniques randomisées contrôlées et dans le cadre du programme d'accès étendu au fumarate de ténofovir disoproxil (n = 7'319).
- +Insuffisance rénale: Étant donné que Stribild peut provoquer des lésions rénales, il est recommandé de surveiller la fonction rénale (voir «Mises en garde et précautions»). La tubulopathie rénale proximale s'est généralement résolue ou améliorée après l'arrêt du fumarate de ténofovir disoproxil. Cependant, chez certains patients, la diminution de la clairance de la créatinine ne s'est pas totalement résolue malgré l'arrêt du fumarate de ténofovir disoproxil. Les patients présentant un risque d'insuffisance rénale (comme les patients présentant déjà des facteurs de risque rénaux, un stade avancé de la maladie liée au VIH ou ceux recevant un traitement concomitant par des médicaments néphrotoxiques), présentent un risque plus élevé de récupération incomplète de la fonction rénale malgré l'arrêt du fumarate de ténofovir disoproxil (voir «Mises en garde et précautions»).
-Lipides, lipodystrophie et anomalies métaboliques: Les traitements par association d'antirétroviraux ont été associés à des anomalies métaboliques telles que l'hypertriglycéridémie, l'hypercholestérolémie, la résistance à l'insuline, l'hyperglycémie et l'hyperlactatémie (voir «Mises en garde et précautions»).
-Les traitements par association d'antirétroviraux ont été associés, chez les patients infectés par le VIH, à une redistribution de la masse grasse corporelle (lipodystrophie), incluant une perte du tissu adipeux sous-cutané périphérique et facial, une augmentation de la masse grasse intra-abdominale et viscérale, une hypertrophie mammaire et une accumulation de la masse grasse au niveau dorso-cervical (bosse de bison) (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Paramètres métaboliques: Une augmentation du poids corporel et des taux de lipides et de glucose sanguins peut survenir au cours d'un traitement antirétroviral (voir «Mises en garde et précautions»).
-Acidose lactique et hépatomégalie sévère avec stéatose: Une acidose lactique, associée habituellement à une stéatose hépatique, a été rapportée après l'administration d'analogues nucléosidiques. Le traitement par les analogues nucléosidiques doit être arrêté en cas d'hyperlactatémie symptomatique et d'acidose métabolique/lactique, d'hépatomégalie progressive ou d'élévation rapide des transaminases (voir «Mises en garde et précautions»).
-Dans une analyse combinée portant sur des patients naïfs de tout traitement antirétroviral ayant reçu un traitement par Stribild dans les études de phase 3 GS-US-236-0102 et GS-US-236-0103 jusqu'à la semaine 144, un génotypage a été effectué sur les isolats plasmatiques de VIH-1 issus de tous les patients présentant un échec virologique confirmé ou un taux d'ARN du VIH-1 >400 copies/ml à la semaine 48, à la semaine 96, à la semaine 144 ou au moment de l'arrêt précoce du médicament à l'étude. À partir de la semaine 144, on a observé l'apparition d'une ou de plusieurs substitutions primaires associée(s) à la résistance à l'elvitégravir, à l'emtricitabine ou au ténofovir chez 18 des 42 patients pour lesquels des données génotypiques obtenues à partir d'isolats prélevés à l'initiation de l'étude et au moment de l'échec thérapeutique du traitement par Stribild étaient évaluables (2,6%, 18 patients sur 701). Parmi les 18 patients chez lesquels une résistance virale est apparue, cette apparition s'est produite jusqu'à la semaine 48 chez 13 d'entre eux, entre la semaine 48 et la semaine 96 chez 3 d'entre eux et entre la semaine 96 et la semaine 144 de traitement chez 2 d'entre eux. Les substitutions rencontrées étaient M184V/I (n = 17) et K65R (n = 5) de la transcriptase inverse et E92Q (n = 9), N155H (n = 5), Q148R (n = 3), T66I (n = 2) et T97A (n = 1) de l'intégrase. Dans des cas isolés, d'autres substitutions de l'intégrase sont apparues en plus d'une substitution primaire à l'origine de la résistance à l'INSTI: H51Y, L68V, G140C, S153A, E157Q et G163R. La plupart des patients ayant développé des substitutions à l'origine d'une résistance à l'elvitégravir ont développé des substitutions à l'origine d'une résistance à la fois à l'emtricitabine et à l'elvitégravir. Dans l'analyse phénotypique des isolats issus des patients de la population de l'analyse de résistance, 13/42 patients (31%) avaient des isolats du VIH-1 présentant une réduction de la sensibilité à l'elvitégravir, 17/42 patients (40%) avaient une réduction de la sensibilité à l'emtricitabine et 2/42 patients (5%) avaient une réduction de la sensibilité au ténofovir.
- +Dans une analyse combinée portant sur des patients naïfs de tout traitement antirétroviral ayant reçu un traitement par Stribild dans les études de phase 3 GS-US-236-0102 et GS-US-236-0103 jusqu'à la semaine 144, un génotypage a été effectué sur les isolats plasmatiques de VIH-1 issus de tous les patients présentant un échec virologique confirmé ou un taux d'ARN du VIH-1>400 copies/ml à la semaine 48, à la semaine 96, à la semaine 144 ou au moment de l'arrêt précoce du médicament à l'étude. À partir de la semaine 144, on a observé l'apparition d'une ou de plusieurs substitutions primaires associée(s) à la résistance à l'elvitégravir, à l'emtricitabine ou au ténofovir chez 18 des 42 patients pour lesquels des données génotypiques obtenues à partir d'isolats prélevés à l'initiation de l'étude et au moment de l'échec thérapeutique du traitement par Stribild étaient évaluables (2,6%, 18 patients sur 701). Parmi les 18 patients chez lesquels une résistance virale est apparue, cette apparition s'est produite jusqu'à la semaine 48 chez 13 d'entre eux, entre la semaine 48 et la semaine 96 chez 3 d'entre eux et entre la semaine 96 et la semaine 144 de traitement chez 2 d'entre eux. Les substitutions rencontrées étaient M184V/I (n = 17) et K65R (n = 5) de la transcriptase inverse et E92Q (n = 9), N155H (n = 5), Q148R (n = 3), T66I (n = 2) et T97A (n = 1) de l'intégrase. Dans des cas isolés, d'autres substitutions de l'intégrase sont apparues en plus d'une substitution primaire à l'origine de la résistance à l'INSTI: H51Y, L68V, G140C, S153A, E157Q et G163R. La plupart des patients ayant développé des substitutions à l'origine d'une résistance à l'elvitégravir ont développé des substitutions à l'origine d'une résistance à la fois à l'emtricitabine et à l'elvitégravir. Dans l'analyse phénotypique des isolats issus des patients de la population de l'analyse de résistance, 13/42 patients (31%) avaient des isolats du VIH-1 présentant une réduction de la sensibilité à l'elvitégravir, 17/42 patients (40%) avaient une réduction de la sensibilité à l'emtricitabine et 2/42 patients (5%) avaient une réduction de la sensibilité au ténofovir.
- Étude GS-US-236-0102 Étude GS-US-236-0103
-Stribild n = 348 EFV/FTC/TDF n = 352 Stribild n = 353 ATV/r + FTC/TDF n = 355
- + Étude GS-US-236-0102 Étude GS-US-236-0103
- + Stribild n = 348 EFV/FTC/TDF n = 352 Stribild n = 353 ATV/r + FTC/TDF n = 355
-Étude GS-US-236-0102 Étude GS-US-236-0103 Étude GS-US-236-0102 Étude GS-US-236-0103
-Stribild n = 348 EFV/ FTC/ TDF n = 352 Stribild n = 353 ATV/r + FTC/ TDF n = 355 Stribild n = 348 EFV/ FTC/ TDF n = 352 Stribild n = 353 ATV/r + FTC/ TDF n = 355
-Succès virologique ARN du VIH-1 <50 copies/ml 88% 84% 90% 87% 80% 75% 78% 75%
- + Étude GS-US-236-0102 Étude GS-US-236-0103 Étude GS-US-236-0102 Étude GS-US-236-0103
- + Stribild n = 348 EFV/ FTC/ TDF n = 352 Stribild n = 353 ATV/r + FTC/ TDF n = 355 Stribild n = 348 EFV/ FTC/ TDF n = 352 Stribild n = 353 ATV/r + FTC/ TDF n = 355
- +Succès virologique ARN du VIH-1<50 copies/ml 88% 84% 90% 87% 80% 75% 78% 75%
-Absence de données virologiques dans la fenêtre de la semaine 48 ou de la semaine 144
-Arrêt du médicament de l'étude en raison de la survenue d'effets indésirables (EI) ou du décès du patientd 3% 5% 3% 5% 6% 8% 6% 8%
- +Absence de données virologiques dans la fenêtre de la semaine 48 ou de la semaine 144
- +Arrêt du médicament de l'étude en raison de la survenue d'évènements indésirables (EI) ou du décès du patientd 3% 5% 3% 5% 6% 8% 6% 8%
-c Inclut les patients avec ≥50 copies/ml dans la fenêtre de la semaine 48 ou de la semaine 144, les patients ayant arrêté le traitement prématurément à cause d'une perte ou d'un manque d'efficacité, les patients ayant arrêté le traitement pour des raisons sans rapport avec un effet indésirable, un décès, une perte ou un manque d'efficacité et qui avaient une charge virale ≥50 copies/ml au moment de l'arrêt.
-d Inclut les patients qui ont arrêté le traitement à cause d'un effet indésirable ou du décès à tout moment de l'étude entre le jour 1 et la fin de la fenêtre, si cela a entraîné l'absence de données virologiques sur le traitement pendant cette période.
- +c Inclut les patients avec ≥50 copies/ml dans la fenêtre de la semaine 48 ou de la semaine 144, les patients ayant arrêté le traitement prématurément à cause d'une perte ou d'un manque d'efficacité, les patients ayant arrêté le traitement pour des raisons sans rapport avec un évènement indésirable, un décès, une perte ou un manque d'efficacité et qui avaient une charge virale ≥50 copies/ml au moment de l'arrêt.
- +d Inclut les patients qui ont arrêté le traitement à cause d'un évènement indésirable ou du décès à tout moment de l'étude entre le jour 1 et la fin de la fenêtre, si cela a entraîné l'absence de données virologiques sur le traitement pendant cette période.
-Mars 2016.
- +Avril 2017.
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