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-Principes actifs: Elvitégravir, cobicistat, emtricitabine et ténofovir disoproxil (sous forme de fumarate).
-Excipients: Lactose monohydraté, Color.: Carmin d'indigo-sel d'aluminium (E132); Excip. pro compresso obducto.
-Un comprimé pelliculé de Stribild contient 10,9 mg de lactose monohydraté.
-Forme galénique et quantité de principe actif par unité
-Comprimés pelliculés à 150 mg d'elvitégravir, 150 mg de cobicistat, 200 mg d'emtricitabine et 245 mg de ténofovir disoproxil (correspondant à 300 mg de fumarate de ténofovir disoproxil).
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- +Principes actifs
- +Elvitégravir, cobicistat, emtricitabine et ténofovir disoproxil (sous forme de fumarate).
- +Excipients
- +Noyau du comprimé: Croscarmellose sodique, hydroxypropyl cellulose, lactose monohydraté (10,9 mg), stéarate de magnésium, cellulose microcristalline, silice colloïdale, laurilsulfate de sodium (E487).
- +Enrobage: laque aluminique d'indigotine (E132), macrogol 3350 (E1521), alcool polyvinylique (partiellement hydrolisé) (E1203), talc (E553b), dioxyde de titane (E171), oxyde de fer jaune (E172).
- +Un comprimé pelliculé de Stribild contient 8,7 mg de sodium.
- +
- +
-Adultes: La dose recommandée de Stribild est d'un comprimé, à prendre une fois par jour avec un repas (voir «Pharmacocinétique»). Les comprimés pelliculés ne doivent pas être croqués ni écrasés.
-Si le patient oublie de prendre une dose de Stribild et s'en aperçoit dans les 18 heures suivant l'heure de prise habituelle, il doit prendre Stribild dès que possible, avec un repas, puis poursuivre le traitement selon son horaire de prise habituel. Si le patient oublie de prendre une dose de Stribild et s'en aperçoit plus de 18 heures après l'heure de prise habituelle, et que l'heure de la dose suivante est proche, le patient ne doit pas prendre la dose oubliée mais simplement reprendre son traitement à la prise suivante selon son horaire habituel.
-Si le patient vomit dans l'heure suivant la prise de Stribild, il doit prendre un autre comprimé. Si le patient vomit plus d'une heure après la prise de Stribild, il n'a pas besoin de prendre une autre dose.
-Enfants et adolescents: L'utilisation de Stribild n'est pas recommandée chez les patients en dessous de 18 ans compte tenu de l'absence de données concernant la sécurité d'emploi et l'efficacité (voir «Pharmacocinétique»).
-Patients âgés: Aucune donnée n'est disponible permettant d'établir une recommandation posologique chez les patients âgés de plus de 65 ans (voir «Mises en garde et précautions» et «Propriétés/Effets»). Stribild doit être administré avec précaution aux patients âgés (voir «Mises en garde et précautions»).
-Insuffisance rénale: Le traitement par Stribild ne doit pas être initié chez les patients présentant une clairance de la créatinine estimée inférieure à 70 ml/min. Le traitement par Stribild doit être arrêté si la clairance de la créatinine estimée diminue en dessous de 50 ml/min lors du traitement par Stribild, car cela nécessite d'adapter l'intervalle entre les administrations de l'emtricitabine et du fumarate de ténofovir disoproxil, ce que ne permet pas le comprimé de l'association fixe (voir «Mises en garde et précautions» et «Pharmacocinétique»).
-Insuffisance hépatique: Aucune adaptation posologique de Stribild n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère (score de Child-Pugh A) ou modérée (score de Child-Pugh B). Stribild n'a pas été étudié chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (score de Child-Pugh C). Par conséquent, Stribild n'est pas recommandé chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (voir «Mises en garde et précautions» et «Pharmacocinétique»).
- +Adultes
- +La dose recommandée de Stribild est d'un comprimé, à prendre une fois par jour avec un repas (voir «Pharmacocinétique»).
- +Instructions posologiques particulières
- +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
- +Aucun ajustement de la posologie de Stribild n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère (score de Child-Pugh A) ou modérée (score de Child-Pugh B). Stribild n'a pas été étudié chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (score de Child-Pugh C). Par conséquent, Stribild n'est pas recommandé chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (voir «Mises en garde et précautions» et «Pharmacocinétique»).
- +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
- +Le traitement par Stribild ne doit pas être initié chez les patients présentant une clairance de la créatinine estimée inférieure à 70 ml/min. Le traitement par Stribild doit être arrêté si la clairance de la créatinine estimée diminue en dessous de 50 ml/min lors du traitement par Stribild, car cela nécessite d'ajuster l'intervalle entre les administrations de l'emtricitabine et du fumarate de ténofovir disoproxil, ce que ne permet pas le comprimé de l'association fixe (voir «Mises en garde et précautions» et «Pharmacocinétique»).
- +Patients âgés
- +Aucune donnée n'est disponible permettant d'établir une recommandation posologique chez les patients âgés de plus de 65 ans (voir «Mises en garde et précautions» et «Propriétés/Effets»). Stribild doit être administré avec précaution aux patients âgés (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Enfants et adolescents
- +L'utilisation de Stribild n'est pas recommandée chez les patients en dessous de 18 ans compte tenu de l'absence de données concernant la sécurité d'emploi et l'efficacité (voir «Pharmacocinétique»).
-Le traitement par cobicistat et elvitégravir pendant la grossesse entraîne une exposition plus faible au cobicistat et à l'elvitégravir (voir «Cinétique pour certains groupes de patients»). Par conséquent, aucun traitement par Stribild ne doit être instauré pendant la grossesse et le traitement des femmes qui débutent une grossesse pendant un traitement par Stribild doit être changé (voir «Grossesse/Allaitement»).
- +Le traitement par cobicistat et elvitégravir pendant la grossesse entraîne une exposition plus faible au cobicistat et à l'elvitégravir (voir «Cinétique pour certains groupes de patients»). Par conséquent, aucun traitement par Stribild ne doit être instauré pendant la grossesse et le traitement des femmes qui débutent une grossesse pendant un traitement par Stribild doit être changé (voir «Grossesse, Allaitement»).
- +Prise retardée
- +Si le patient oublie de prendre une dose de Stribild et s'en aperçoit dans les 18 heures suivant l'heure de prise habituelle, il doit prendre Stribild dès que possible, avec un repas, puis poursuivre le traitement selon son horaire de prise habituel. Si le patient oublie de prendre une dose de Stribild et s'en aperçoit plus de 18 heures après l'heure de prise habituelle, et que l'heure de la dose suivante est proche, le patient ne doit pas prendre la dose oubliée mais simplement reprendre son traitement à la prise suivante selon son horaire habituel.
- +Si le patient vomit dans l'heure suivant la prise de Stribild, il doit prendre un autre comprimé. Si le patient vomit plus d'une heure après la prise de Stribild, il n'a pas besoin de prendre une autre dose.
- +Mode d'administration
- +Les comprimés pelliculés ne doivent pas être croqués ni écrasés.
- +
-Hypersensibilité à l'un des principes actifs ou à l'un des excipients.
-La co-administration de médicaments qui sont des substrats de la glycoprotéine P (P-gp) à faible marge thérapeutique ou dont la clairance est fortement dépendante de CYP3A et pour lesquels les concentrations plasmatiques élevées, sont associés à des évènements graves et/ou mettant en jeu le pronostic vital, est contre-indiquée, De même, la co-administration de médicaments qui sont de puissants inducteurs de CYP3A est contre-indiquée, car il est possible d'aboutir à une perte de la réponse virologique et à une éventuelle résistance à Stribild. La co-administration des médicaments suivants (liste non exhaustive) est contre-indiquée (voir «Interactions»):
- +Hypersensibilité aux principes actifs ou à l'un des excipients.
- +La co-administration de médicaments qui sont des substrats de la glycoprotéine P (P-gp) à faible marge thérapeutique ou dont la clairance est fortement dépendante de CYP3A et pour lesquels les concentrations plasmatiques élevées, sont associés à des évènements graves et/ou mettant en jeu le pronostic vital, est contre-indiquée, De même, la co-administration de médicaments qui sont de puissants inducteurs de CYP3A est contre-indiquée, car il est possible d'aboutir à une perte de la réponse virologique et à une éventuelle résistance à Stribild. La co-administration des médicaments suivants (liste non exhaustive) est contre-indiquée (voir «Interactions»):
-Faiblesse motrice généralisée:
- +Faiblesse motrice généralisée
-Fonction rénale:
- +Fonction rénale
-Le traitement par Stribild doit être arrêté chez les patients qui présentent une clairance de la créatinine confirmée inférieure à 50 ml/min ou une phosphatémie inférieure à 1,0 mg/dl (0,32 mmol/l), car cela nécessite d'adapter l'intervalle entre les administrations de l'emtricitabine et du fumarate de ténofovir disoproxil, ce que ne permet pas le comprimé de l'association fixe (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Pharmacocinétique»).
- +Le traitement par Stribild doit être arrêté chez les patients qui présentent une clairance de la créatinine confirmée inférieure à 50 ml/min ou une phosphatémie inférieure à 1,0 mg/dl (0,32 mmol/l), car cela nécessite d'ajuster l'intervalle entre les administrations de l'emtricitabine et du fumarate de ténofovir disoproxil, ce que ne permet pas le comprimé de l'association fixe (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Pharmacocinétique»).
-Maladie hépatique:
-La sécurité d'emploi et l'efficacité de Stribild n'ont pas été établies chez les patients présentant des troubles préexistants significatifs de la fonction hépatique. La pharmacocinétique de l'emtricitabine n'a pas été étudiée chez les patients présentant une insuffisance hépatique. La pharmacocinétique de l'elvitégravir, du cobicistat et du ténofovir a été étudiée chez les patients présentant une insuffisance hépatique modérée. Stribild n'a pas été étudié chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (score de Child-Pugh C). Aucune adaptation posologique de Stribild n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère (score de Child-Pugh A) ou modérée (score de Child-Pugh B) (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Pharmacocinétique»).
- +Maladie hépatique
- +La sécurité d'emploi et l'efficacité de Stribild n'ont pas été établies chez les patients présentant des troubles préexistants significatifs de la fonction hépatique. La pharmacocinétique de l'emtricitabine n'a pas été étudiée chez les patients présentant une insuffisance hépatique. La pharmacocinétique de l'elvitégravir, du cobicistat et du ténofovir a été étudiée chez les patients présentant une insuffisance hépatique modérée. Stribild n'a pas été étudié chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (score de Child-Pugh C). Aucun ajustement de la posologie de Stribild n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère (score de Child-Pugh A) ou modérée (score de Child-Pugh B) (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Pharmacocinétique»).
-Patients co-infectés par le VIH et le virus de l'hépatite B (VHB) ou C (VHC):
- +Patients co-infectés par le VIH et le virus de l'hépatite B (VHB) ou C (VHC)
-Exposition in utero: dysfonctionnement mitochondrial:
- +Exposition in utero: dysfonctionnement mitochondrial
-Poids et paramètres métaboliques:
- +Poids et paramètres métaboliques
-Coadministration d'autres médicaments:
- +Coadministration d'autres médicaments
-La co-administration de Stribild et de corticostéroïdes métabolisés par le CYP3A (par exemple le propionate de fluticasone ou d'autres corticostéroïdes pris par voie nasale ou en inhalation) peut augmenter le risque d'effets systémiques des corticostéroïdes comme le syndrome de Cushing et la suppression surrénalienne. Le risque d'insuffisance surrénalienne aiguë/de défaillance surrénalienne peut également être accru après l'arrêt de l'association thérapeutique de Stribild et de ces corticostéroïdes. La co-administration de corticoïdes métabolisés par le CYP3A n'est pas recommandée à moins que les bénéfices potentiels pour le patient soient supérieurs aux risques. Dans ce cas, les patients doivent être surveillés à la recherche d'éventuels effets systémiques des corticostéroïdes. D'autres corticostéroïdes dont le métabolisme est moins dépendant du CYP3A, par exemple la béclométhasone prise par voie intranasale ou en inhalation, doivent être envisagés, en particulier pour l'utilisation à long terme (voir «Interactions»).
-Administration de certains virostatiques de l'hépatite C:
- +La co-administration de Stribild et de corticostéroïdes métabolisés par le CYP3A (par exemple le propionate de fluticasone ou d'autres corticostéroïdes pris par voie nasale ou en inhalation) peut augmenter le risque d'effets systémiques des corticostéroïdes comme le syndrome de Cushing et la suppression surrénalienne. Le risque d'insuffisance surrénalienne aiguë/de défaillance surrénalienne peut également être accru après l'arrêt de l'association thérapeutique de Stribild et de ces corticostéroïdes.
- +La co-administration de corticoïdes métabolisés par le CYP3A n'est pas recommandée à moins que les bénéfices potentiels pour le patient soient supérieurs aux risques. Dans ce cas, les patients doivent être surveillés à la recherche d'éventuels effets systémiques des corticostéroïdes. D'autres corticostéroïdes dont le métabolisme est moins dépendant du CYP3A, par exemple la béclométhasone prise par voie intranasale ou en inhalation, doivent être envisagés, en particulier pour l'utilisation à long terme (voir «Interactions»).
- +Administration de certains virostatiques de l'hépatite C
-Transmission du VIH:
- +Transmission du VIH
-Infections opportunistes:
- +Infections opportunistes
-Syndrome de Restauration Immunitaire:
- +Syndrome de Restauration Immunitaire
-Ostéonécrose:
- +Ostéonécrose
-Effets osseux:
- +Effets osseux
-Patients âgés:
- +Patients âgés
-Excipients:
-Stribild contient du lactose monohydraté. En conséquence, les patients présentant des troubles héréditaires rares d'intolérance au galactose, de déficit en lactase de Lapp ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ne doivent pas prendre ce médicament.
- +Excipients
- +Stribild contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé pelliculé, c.-à-d. que Stribild est essentiellement «sans sodium».
- +Stribild contient 10,9 mg de lactose monohydraté. Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
-Utilisation concomitante contre-indiquée:
- +Utilisation concomitante contre-indiquée
-Utilisation concomitante non recommandée:
- +Utilisation concomitante non recommandée
-Autres interactions:
- +Autres interactions
-Médicament par classe thérapeutique Effets sur la concentration de médicament Rapport moyen (intervalle de confiance à 90%) des paramètres pharmacocinétiques1; Aucun effet = 1,00a Recommandation concernant l'association avec Stribild
- +Médicament par classe thérapeutique Effets sur la concentration de médicament Rapport moyen (intervalle de confiance [IC] à 90%) des paramètres pharmacocinétiques1; Aucun effet = 1,00a Recommandation concernant l'association avec Stribild
-Kétoconazole (200 mg b.i.d.)/Elvitégravir5 (150 mg q.d.)2 Elvitégravir: ↑ ASC: 1,48 (1,36, 1,62) ↑ Cmin: 1,67 (1,48, 1,88) ↔ Cmax: 1,17 (1,04, 1,33) Les concentrations de kétoconazole et/ou de cobicistat peuvent augmenter en cas de coadministration avec Stribild. ↑ Kétoconazole ↑ Cobicistat Quand le kétoconazole est administré avec Stribild, la dose quotidienne maximale de kétoconazole ne doit pas dépasser 200 mg par jour. Des précautions sont nécessaires et une surveillance clinique est recommandée pendant la coadministration.
-Itraconazole3 Voriconazole3 Posaconazole3 Fluconazole3 Les interactions avec les principes actifs de Stribild n'ont pas été étudiées. Les concentrations d'itraconazole, de posaconazole et de fluconazole peuvent augmenter en cas de co-administration avec du cobicistat. Les concentrations de voriconazole peuvent augmenter ou diminuer en cas de co-administration avec Stribild: ↑ Itraconazole ↓↑ Voriconazole ↑ Posaconazole ↑ Fluconazole ↑ Cobicistat ↑ Elvitégravir La coadministration avec Stribild peut nécessiter une surveillance clinique. Quand l'itraconazole est administré avec Stribild, la dose quotidienne maximale d'itraconazole ne doit pas dépasser 200 mg par jour. Il est recommandé d'évaluer le rapport bénéfices/risques pour justifier l'utilisation concomitante du voriconazole et de Stribild.
- +Kétoconazole (200 mg b.i.d.)/Elvitégravir5 (150 mg q.d.)2 Elvitégravir: ↑ ASC: 1,48 (1,36; 1,62) ↑ Cmin: 1,67 (1,48; 1,88) ↔ Cmax: 1,17 (1,04; 1,33) Les concentrations de kétoconazole et/ou de cobicistat peuvent augmenter en cas de coadministration avec Stribild. ↑ Kétoconazole ↑ Cobicistat Quand le kétoconazole est administré avec Stribild, la dose quotidienne maximale de kétoconazole ne doit pas dépasser 200 mg par jour. Des précautions sont nécessaires et une surveillance clinique est recommandée pendant la coadministration.
- +Itraconazole3 Voriconazole3 Posaconazole3 Fluconazole3 Les interactions avec les principes actifs de Stribild n'ont pas été étudiées. Les concentrations d'itraconazole, de posaconazole et de fluconazole peuvent augmenter en cas de co-administration avec du cobicistat. Les concentrations de voriconazole peuvent augmenter ou diminuer en cas de co-administration avec Stribild: ↑ Itraconazole ↓ ou ↑ Voriconazole ↑ Posaconazole ↑ Fluconazole ↑ Cobicistat ↑ Elvitégravir La coadministration avec Stribild peut nécessiter une surveillance clinique. Quand l'itraconazole est administré avec Stribild, la dose quotidienne maximale d'itraconazole ne doit pas dépasser 200 mg par jour. Il est recommandé d'évaluer le rapport bénéfices/risques pour justifier l'utilisation concomitante du voriconazole et de Stribild.
-Rifabutine (150 mg un jour sur deux)/Elvitégravir5 (150 mg q.d.)/Cobicistat (150 mg q.d.) Rifampicine La coadministration de rifabutine, un puissant inducteur du CYP3A, peut provoquer une baisse significative des concentrations plasmatiques de cobicistat et d'elvitégravir et, par conséquent, une perte de l'effet thérapeutique, ainsi que l'apparition d'une résistance. Rifabutine: ↔ ASC: 0,92 (0,83, 1,03) ↔ Cmin: 0,94 (0,85, 1,04) ↔ Cmax: 1,09 (0,98, 1,20) 25-O-désacétylrifabutine ↑ ASC: 6,25 (5,08, 7,69) ↑ Cmin: 4,94 (4,04, 6,04) ↑ Cmax: 4,84 (4,09, 5,74) Elvitégravir: ↔ ASC: 0,79 (0,74, 0,85) ↓ Cmin: 0,33 (0,27, 0,40) ↔ Cmax: 0,91 (0,84, 0,99) La coadministration de Stribild et de rifabutine ou de rifampicine est contre-indiquée.
- +Rifabutine (150 mg un jour sur deux)/Elvitégravir5 (150 mg q.d.)/Cobicistat (150 mg q.d.) Rifampicine La coadministration de rifabutine, un puissant inducteur du CYP3A, peut provoquer une baisse significative des concentrations plasmatiques de cobicistat et d'elvitégravir et, par conséquent, une perte de l'effet thérapeutique, ainsi que l'apparition d'une résistance. Rifabutine: ↔ ASC: 0,92 (0,83; 1,03) ↔ Cmin: 0,94 (0,85; 1,04) ↔ Cmax: 1,09 (0,98; 1,20) 25-O-désacétylrifabutine: ↑ ASC: 6,25 (5,08; 7,69) ↑ Cmin: 4,94 (4,04; 6,04) ↑ Cmax: 4,84 (4,09; 5,74) Elvitégravir: ↔ ASC: 0,79 (0,74; 0,85) ↓ Cmin: 0,33 (0,27; 0,40) ↔ Cmax: 0,91 (0,84; 0,99) La coadministration de Stribild et de rifabutine ou de rifampicine est contre-indiquée.
-Lédipasvir/Sofosbuvir (90 mg/400 mg q.d.) + Elvitégravir/Cobicistat (150 mg/150 mg q.d.) Observés: Lédipasvir: ↑ ASC: 1,78 (1,64, 1,94) ↑ Cmin: 1,91 (1,76, 2,08) ↑ Cmax: 1,63 (1,51, 1,75) Sofosbuvir: ↑ ASC: 1,36 (1,21, 1,52) ↑ Cmax: 1,33 (1,14, 1,56) GS-3310076: ↑ ASC: 1,44 (1,41, 1,48) ↑ Cmin: 1,53 (1,47, 1,59) ↑ Cmax: 1,33 (1,22, 1,44) Elvitégravir: ↔ ASC: 1,02 (0,95, 1,09) ↑ Cmin: 1,36 (1,23, 1,49) ↔ Cmax: 0,88 (0,82, 0,95) Cobicistat: ↑ ASC: 1,59 (1,49, 1,70) ↑ Cmin: 4,25 (3,47, 5,22) ↔ Cmax: 1,25 (1,18, 1,32)
-Sofosbuvir/Velpatasvir (400 mg/100 mg q.d.) + Elvitegravir/Cobicistat/ Emtricitabine/Fumarate de ténofovir disoproxil (150 mg/150 mg/200 mg/ 300 mg q.d.) Sofosbuvir: ↔ ASC: 1,24 (1,13, 1,37) ↔ Cmax: 1,01 (0,85, 1,19) GS-3310076: ↔ ASC: 1,35 (1,30, 1,40) ↔ Cmax: 1,13 (1,07, 1,18) ↑ Cmin: 1,45 (1,38, 1,52) Velpatasvir: ↔ ASC: 1,19 (1,06, 1,34) ↔ Cmax: 1,05 (0,93, 1,19) ↑ Cmin: 1,37 (1,22, 1,54) Elvitégravir: ↔ ASC: 0,93 (0,87, 0,99) ↔ Cmax: 0,93 (0,86, 1,00) ↔ Cmin: 0,97 (0,91, 1,04) Cobicistat: ↔ ASC: 1,23 (1,17, 1,29) ↔ Cmax: 1,11 (1,06, 1,17) ↑ Cmin: 1,71 (1,54, 1,90) Emtricitabine: ↔ ASC: 1,01 (0,98, 1,04) ↔ Cmax: 1,02 (0,97, 1,08) ↔ Cmin: 1,06 (1,01, 1,11) Ténofovir: ↔ ASC: 1,35 (1,29, 1,42) ↑ Cmax: 1,36 (1,25, 1,47) ↑ Cmin: 1,45 (1,39, 1,51) Des concentrations plasmatiques accrues de ténofovir, attribuables à l'administration combinée de Stribild et de sofosbuvir/velpatasvir, peuvent augmenter les effets indésirables associés au fumarate de ténofovir disoproxil, y compris les troubles de la fonction rénale. La sécurité d'emploi du fumarate de ténofovir disoproxil administré avec le sofosbuvir/velpatasvir et un booster pharmacocinétique (p.ex. cobicistat) n'a pas été confirmée. L'association doit être administrée avec prudence et avec un suivi fréquent de la fonction rénale (voir «Mises en garde et précautions»).
-Sofosbuvir/Velpatasvir/Voxilaprévir (400 mg/ 100 mg/100 mg + 100 mg q.d.)8 + Emtricitabine/Fumarate de ténofovir disoproxil (200 mg/245 mg q.d.)9 La co-administration avec Stribild pourrait entraîner une exposition accrue au ténofovir. Emtricitabine: ↔ ASC: 0,99 (0,96, 1,03) ↔ Cmax: 0,88 (0,82, 0,94) ↔ Cmin: 1,20 (1,15, 1,26) Ténofovir: ↑ ASC: 1,39 (1,32, 1,46) ↑ Cmax: 1,48 (1,36, 1,61) ↑ Cmin: 1,47 (1,38, 1,56) Des concentrations plasmatiques accrues de ténofovir, attribuables à l'administration combinée de Stribild et sofosbuvir/ velpatasvir/voxilaprévir peuvent augmenter les effets indésirables associés au fumarate de ténofovir disoproxil, y compris les troubles de la fonction rénale. La sécurité d'emploi du fumarate de ténofovir disoproxil administré avec sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir et un booster pharmacocinétique (p.ex. cobicistat) n'a pas été confirmée. L'association doit être administrée avec prudence et avec un suivi fréquent de la fonction rénale (voir «Mises en garde et précautions»).
-Sofosbuvir/Velpatasvir/Voxilaprévir (400 mg/ 100 mg/100 mg + 100 mg q.d.)8 + Elvitégravir/Cobicistat/ (150 mg/150 mg q.d.)10 Sofosbuvir: ↔ ASC: 1,22 (1,12, 1,32) ↑ Cmax: 1,27 (1,09, 1,48) Cmin: N/A GS-3310076: ↑ ASC: 1,43 (1,39, 1,47) ↔ Cmax: 1,28 (1,25, 1,32) Cmin: N/A Velpatasvir: ↔ ASC: 1,16 (1,06, 1,27) ↔ Cmax: 0,96 (0,89, 1,04) ↑ Cmin: 1,46 (1,30, 1,64) Voxilaprévir: ↑ ASC: 2,71 (2,30, 3,19) ↑ Cmax: 1,92 (1,63, 2,26) ↑ Cmin: 4,50 (3,68, 5,50) Elvitégravir: ↔ ASC: 0,94 (0,88, 1,00) ↔ Cmax: 0,79 (0,75, 0,85) ↑ Cmin: 1,32 (1,17, 1,49) Cobicistat: ↑ ASC: 1,50 (1,44, 1,58) ↔ Cmax: 1,23 (1,18, 1,28) ↑ Cmin: 3,50 (3,01, 4,07)
- +Lédipasvir/Sofosbuvir (90 mg/400 mg q.d.) + Elvitégravir/Cobicistat (150 mg/150 mg q.d.) Observés: Lédipasvir: ↑ ASC: 1,78 (1,64; 1,94) ↑ Cmin: 1,91 (1,76; 2,08) ↑ Cmax: 1,63 (1,51; 1,75) Sofosbuvir: ↑ ASC: 1,36 (1,21; 1,52) ↑ Cmax: 1,33 (1,14; 1,56) GS-3310076: ↑ ASC: 1,44 (1,41; 1,48) ↑ Cmin: 1,53 (1,47; 1,59) ↑ Cmax: 1,33 (1,22; 1,44) Elvitégravir: ↔ ASC: 1,02 (0,95; 1,09) ↑ Cmin: 1,36 (1,23; 1,49) ↔ Cmax: 0,88 (0,82; 0,95) Cobicistat: ↑ ASC: 1,59 (1,49; 1,70) ↑ Cmin: 4,25 (3,47; 5,22) ↔ Cmax: 1,25 (1,18; 1,32)
- +Sofosbuvir/Velpatasvir (400 mg/100 mg q.d.) + Elvitegravir/Cobicistat/ Emtricitabine/Fumarate de ténofovir disoproxil (150 mg/150 mg/200 mg/ 300 mg q.d.) Sofosbuvir: ↔ ASC: 1,24 (1,13; 1,37) ↔ Cmax: 1,01 (0,85; 1,19) GS-3310076: ↔ ASC: 1,35 (1,30; 1,40) ↔ Cmax: 1,13 (1,07; 1,18) ↑ Cmin: 1,45 (1,38; 1,52) Velpatasvir: ↔ ASC: 1,19 (1,06; 1,34) ↔ Cmax: 1,05 (0,93; 1,19) ↑ Cmin: 1,37 (1,22; 1,54) Elvitégravir: ↔ ASC: 0,93 (0,87; 0,99) ↔ Cmax: 0,93 (0,86; 1,00) ↔ Cmin: 0,97 (0,91; 1,04) Cobicistat: ↔ ASC: 1,23 (1,17; 1,29) ↔ Cmax: 1,11 (1,06; 1,17) ↑ Cmin: 1,71 (1,54; 1,90) Emtricitabine: ↔ ASC: 1,01 (0,98; 1,04) ↔ Cmax: 1,02 (0,97; 1,08) ↔ Cmin: 1,06 (1,01; 1,11) Ténofovir: ↔ ASC: 1,35 (1,29; 1,42) ↑ Cmax: 1,36 (1,25; 1,47) ↑ Cmin: 1,45 (1,39; 1,51) Des concentrations plasmatiques accrues de ténofovir, attribuables à l'administration combinée de Stribild et de sofosbuvir/velpatasvir, peuvent augmenter les effets indésirables associés au fumarate de ténofovir disoproxil, y compris les troubles de la fonction rénale. La sécurité d'emploi du fumarate de ténofovir disoproxil administré avec le sofosbuvir/velpatasvir et un booster pharmacocinétique (p.ex. cobicistat) n'a pas été confirmée. L'association doit être administrée avec prudence et avec un suivi fréquent de la fonction rénale (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Sofosbuvir/Velpatasvir/ Voxilaprévir (400 mg/100 mg/ 100 mg+100 mg q.d.)8 + Emtricitabine/Fumarate de ténofovir disoproxil (200 mg/245 mg q.d.)9 La co-administration avec Stribild pourrait entraîner une exposition accrue au ténofovir. Emtricitabine: ↔ ASC: 0,99 (0,96; 1,03) ↔ Cmax: 0,88 (0,82; 0,94) ↔ Cmin: 1,20 (1,15; 1,26) Ténofovir: ↑ ASC: 1,39 (1,32; 1,46) ↑ Cmax: 1,48 (1,36; 1,61) ↑ Cmin: 1,47 (1,38; 1,56) Des concentrations plasmatiques accrues de ténofovir, attribuables à l'administration combinée de Stribild et sofosbuvir/velpatasvir/ voxilaprévir peuvent augmenter les effets indésirables associés au fumarate de ténofovir disoproxil, y compris les troubles de la fonction rénale. La sécurité d'emploi du fumarate de ténofovir disoproxil administré avec sofosbuvir/velpatasvir/ voxilaprévir et un booster pharmacocinétique (p.ex. cobicistat) n'a pas été confirmée. L'association doit être administrée avec prudence et avec un suivi fréquent de la fonction rénale (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Sofosbuvir/Velpatasvir/ Voxilaprévir (400 mg/ 100 mg/100 mg+100 mg q.d.)8 + Elvitégravir/Cobicistat/ (150 mg/150 mg q.d.)10 Sofosbuvir: ↔ ASC: 1,22 (1,12; 1,32) ↑ Cmax: 1,27 (1,09; 1,48) Cmin: N/A GS-3310076: ↑ ASC: 1,43 (1,39; 1,47) ↔ Cmax: 1,28 (1,25; 1,32) Cmin: N/A Velpatasvir: ↔ ASC: 1,16 (1,06; 1,27) ↔ Cmax: 0,96 (0,89; 1,04) ↑ Cmin: 1,46 (1,30; 1,64) Voxilaprévir: ↑ ASC: 2,71 (2,30; 3,19) ↑ Cmax: 1,92 (1,63; 2,26) ↑ Cmin: 4,50 (3,68; 5,50) Elvitégravir: ↔ ASC: 0,94 (0,88; 1,00) ↔ Cmax: 0,79 (0,75; 0,85) ↑ Cmin: 1,32 (1,17; 1,49) Cobicistat: ↑ ASC: 1,50 (1,44; 1,58) ↔ Cmax: 1,23 (1,18; 1,28) ↑ Cmin: 3,50 (3,01; 4,07)
-Clarithromycine Les interactions avec les principes actifs de Stribild n'ont pas été étudiées. Les concentrations de clarithromycine et/ou de cobicistat peuvent être modifiées par la coadministration de Stribild: ↑ Clarithromycine ↑ Cobicistat ↑ Elvitégravir Aucune adaptation posologique de la clarithromycine n'est nécessaire chez les patients présentant une fonction rénale normale ou une insuffisance rénale légère (ClCr 60-90 ml/min). Une surveillance clinique est recommandée chez les patients ayant une ClCr <90 ml/min. Chez les patients présentant une ClCr <60 ml/min, l'utilisation d'autres antibiotiques doit être envisagée.
- +Clarithromycine Les interactions avec les principes actifs de Stribild n'ont pas été étudiées. Les concentrations de clarithromycine et/ou de cobicistat peuvent être modifiées par la coadministration de Stribild: ↑ Clarithromycine ↑ Cobicistat ↑ Elvitégravir Aucun ajustement de la posologie de la clarithromycine n'est nécessaire chez les patients présentant une fonction rénale normale ou une insuffisance rénale légère (ClCr 60-90 ml/min). Une surveillance clinique est recommandée chez les patients ayant une ClCr <90 ml/min. Chez les patients présentant une ClCr <60 ml/min, l'utilisation d'autres antibiotiques doit être envisagée.
-Dexaméthasone Les interactions avec les principes actifs de Stribild n'ont pas été étudiées. La coadministration de dexaméthasone, un inducteur du CYP3A, peut provoquer une baisse significative des concentrations plasmatiques de cobicistat et d'elvitégravir et, par conséquent, une perte de l'effet thérapeutique, ainsi que l'apparition d'une résistance. ↓ Elvitégravir ↓ Cobicistat La coadministration de Stribild et de dexaméthasone, inducteur du CYP3A, est contre-indiquée.
-Corticostéroïdes principalement métabolisés par le CYP3A (notamment bétaméthosone, budésonide, fluticasone, mométasone, prednisone, triamcinolone) Les interactions avec les principes actifs de Stribild n'ont pas été étudiées. Les concentrations plasmatiques de ces médicaments peuvent augmenter s'ils sont administrés avec le cobicistat, ce qui peut probablement provoquer une suppression surrénalienne et une diminution de la concentration de cortisol sérique. L'administration concomitante de Stribild et de corticostéroïdes métabolisés par le CYP3A (par exemple propionate de fluticasone ou autres corticostéroïdes pris en inhalation ou par voie nasale) peut augmenter le risque d'effets systémiques des corticostéroïdes, notamment de syndrome de Cushing et de suppression surrénalienne. La co-administration avec des corticostéroïdes métabolisés par le CYP3A n'est pas recommandée à moins que les bénéfices potentiels pour le patient soient supérieurs aux risques. Dans ce cas, les patients doivent être surveillés à la recherche d'éventuels effets systémiques des corticostéroïdes. D'autres corticostéroïdes dont le métabolisme est moins dépendant du CYP3A, par exemple la béclométhasone prise par voie intranasale ou en inhalation, doivent être envisagés, en particulier pour l'utilisation à long terme.
- +Dexaméthasone Corticostéroïdes principalement métabolisés par le CYP3A (notamment bétaméthosone, budésonide, fluticasone, mométasone, prednisone, triamcinolone) Les interactions avec les principes actifs de Stribild n'ont pas été étudiées. La coadministration de dexaméthasone, un inducteur du CYP3A, peut provoquer une baisse significative des concentrations plasmatiques de cobicistat et d'elvitégravir et, par conséquent, une perte de l'effet thérapeutique, ainsi que l'apparition d'une résistance. ↓ Elvitégravir ↓ Cobicistat Les interactions avec les principes actifs de Stribild n'ont pas été étudiées. Les concentrations plasmatiques de ces médicaments peuvent augmenter s'ils sont administrés avec le cobicistat, ce qui peut probablement provoquer une suppression surrénalienne et une diminution de la concentration de cortisol sérique. La coadministration de Stribild et de dexaméthasone, inducteur du CYP3A, est contre-indiquée. L'administration concomitante de Stribild et de corticostéroïdes métabolisés par le CYP3A (par exemple propionate de fluticasone ou autres corticostéroïdes pris en inhalation ou par voie nasale) peut augmenter le risque d'effets systémiques des corticostéroïdes, notamment de syndrome de Cushing et de suppression surrénalienne. La co-administration avec des corticostéroïdes métabolisés par le CYP3A n'est pas recommandée à moins que les bénéfices potentiels pour le patient soient supérieurs aux risques. Dans ce cas, les patients doivent être surveillés à la recherche d'éventuels effets systémiques des corticostéroïdes. D'autres corticostéroïdes dont le métabolisme est moins dépendant du CYP3A, par exemple la béclométhasone prise par voie intranasale ou en inhalation, doivent être envisagés, en particulier pour l'utilisation à long terme.
-Suspension antiacide contenant du magnésium/de l'aluminium (dose unique de 20 ml)/Elvitégravir5 (dose unique de 50 mg)/Ritonavir (dose unique de 100 mg) Elvitégravir (administration de la suspension antiacide après ± 2 heures): ↔ ASC: 0,80 (0,75, 0,86) ↔ Cmin: 0,80 (0,73, 0,89) ↔ Cmax: 0,79 (0,71, 0,88) Elvitégravir (administration simultanée): ↓ ASC: 0,55 (0,50, 0,60) ↓ Cmin: 0,59 (0,52, 0,67) ↓ Cmax:0,53 (0,47, 0,60) Avec les antiacides, les concentrations plasmatiques d'elvitégravir sont diminuées en raison d'une complexation dans le tractus gastro-intestinal et non de modifications du pH gastrique. Il est recommandé d'administrer Stribild au moins 2 heures avant ou au moins 4 heures après la prise d'antiacides, de préparations de calcium ou de préparations de fer. Pour obtenir des renseignements sur les autres agents antiacides (par exemple antagonistes des récepteurs H2 et inhibiteurs de la pompe à protons), voir „Interactions“, Études conduites avec d'autres médicaments.
- +Suspension antiacide contenant du magnésium/de l'aluminium (dose unique de 20 ml)/Elvitégravir5 (dose unique de 50 mg)/Ritonavir (dose unique de 100 mg) Elvitégravir (administration de la suspension antiacide après ± 2 heures): ↔ ASC: 0,80 (0,75; 0,86) ↔ Cmin: 0,80 (0,73; 0,89) ↔ Cmax: 0,79 (0,71; 0,88) Elvitégravir (administration simultanée): ↓ ASC: 0,55 (0,50; 0,60) ↓ Cmin: 0,59 (0,52; 0,67) ↓ Cmax: 0,53 (0,47; 0,60) Avec les antiacides, les concentrations plasmatiques d'elvitégravir sont diminuées en raison d'une complexation dans le tractus gastro-intestinal et non de modifications du pH gastrique. Il est recommandé d'administrer Stribild au moins 2 heures avant ou au moins 4 heures après la prise d'antiacides, de préparations de calcium ou de préparations de fer. Pour obtenir des renseignements sur les autres agents antiacides (par exemple antagonistes des récepteurs H2 et inhibiteurs de la pompe à protons), voir «Interactions», Études conduites avec d'autres médicaments.
-Metformine Les interactions avec les principes actifs de Stribild n'ont pas été étudiées. Le cobicistat exerce une inhibition réversible sur MATE1 et les concentrations de metformine peuvent augmenter en cas de coadministration avec Stribild. Il est recommandé de surveiller attentivement le patient et d'adapter la posologie de la metformine chez les patients sous Stribild.
- +Metformine Les interactions avec les principes actifs de Stribild n'ont pas été étudiées. Le cobicistat exerce une inhibition réversible sur MATE1 et les concentrations de metformine peuvent augmenter en cas de coadministration avec Stribild. Il est recommandé de surveiller attentivement le patient et d'ajuster la posologie de la metformine chez les patients sous Stribild.
-Méthadone/Elvitégravir5/ Cobicistat R-méthadone: ↔ ASC: 1,07 (0,96, 1,19) ↔ Cmin: 1,10 (0,95, 1,28) ↔ Cmax: 1,01 (0,91, 1,13) S-méthadone: ↔ ASC: 1,00 (0,89, 1,12) ↔ Cmin: 1,02 (0,89, 1,17) ↔ Cmax: 0,96 (0,87, 1,06) Cobicistatb: ASC: ↔ Cmin: ↔ Cmax: ↔ Elvitégravirb: ASC: ↔ Cmin: ↔ Cmax: ↔ Aucune adaptation posologique de la méthadone n'est nécessaire.
- +Méthadone/Elvitégravir5/ Cobicistat R-méthadone: ↔ ASC: 1,07 (0,96; 1,19) ↔ Cmin: 1,10 (0,95; 1,28) ↔ Cmax: 1,01 (0,91; 1,13) S-méthadone: ↔ ASC: 1,00 (0,89; 1,12) ↔ Cmin: 1,02 (0,89; 1,17) ↔ Cmax: 0,96 (0,87; 1,06) Cobicistatb: ASC: ↔ Cmin: ↔ Cmax: ↔ Elvitégravirb: ASC: ↔ Cmin: ↔ Cmax: ↔ Aucun ajustement de la posologie de la méthadone n'est nécessaire.
-Buprénorphine/Naloxone/ Elvitégravir5/Cobicistat Buprénorphine: ↑ ASC: 1,35 (1,18, 1,55) ↑ Cmin: 1,66 (1,43, 1,93) ↔ Cmax: 1,12 (0,98, 1,27) Naloxone: ↓ ASC: 0,72 (0,59, 0,87) ↓ Cmax: 0,72 (0,61, 0,85) Cobicistatb: ASC: ↔ Cmin: ↔ Cmax: ↔ Elvitégravirb: ASC: ↔ Cmin: ↔ Cmax: ↔ Aucune adaptation posologique de la buprénorphine/naloxone n'est nécessaire. Une surveillance clinique est recommandée en cas de co-administration avec Stribild.
- +Buprénorphine/Naloxone/ Elvitégravir5/Cobicistat Buprénorphine: ↑ ASC: 1,35 (1,18; 1,55) ↑ Cmin: 1,66 (1,43; 1,93) ↔ Cmax: 1,12 (0,98; 1,27) Naloxone: ↓ ASC: 0,72 (0,59; 0,87) ↓ Cmax: 0,72 (0,61; 0,85) Cobicistatb: ASC: ↔ Cmin: ↔ Cmax: ↔ Elvitégravirb: ASC: ↔ Cmin: ↔ Cmax: ↔ Aucun ajustement de la posologie de la buprénorphine/naloxone n'est nécessaire. Une surveillance clinique est recommandée en cas de co-administration avec Stribild.
-Drospirénone/éthinylestradiol (dose unique de 3 mg/0,02 mg)/cobicistat (150 mg q.d.)7 Drospirénone/éthinylestradiol (dose unique de 3 mg/0,02 mg)/atazanavir (300 mg q.d.)/cobicistat (150 mg q.d.) Drospirénone/éthinylestradiol (dose unique de 3 mg/0,02 mg)/darunavir (800 mg q.d.)/cobicistat (150 mg q.d.) Les interactions avec Stribild n'ont pas été étudiées. En cas d'administration concomitante avec du cobicistat, la concentration de la drospirénone peut augmenter. Drospirénone: ↑ ASC: 2,30 (2,00, 2,64) ↔ Cmax: 1,12 (1,05, 1,19) Drospirénone: ↑ ASC: 1,58 (1,47, 1,71) ↔ Cmax: 1,15 (1,05, 1,26) En cas de co-administration avec un médicament contenant du cobicistat les concentrations plasmatiques de la drospirénone peuvent être augmentées. Une surveillance clinique est recommandée en raison d'un risque potentiel d'hyperkaliémie. La coadministration de Stribild et d'un contraceptif hormonal oral contenant du norgestimate/de l'éthinylestradiol a entraîné une réduction des concentrations plasmatiques d'éthinylestradiol et une augmentation de norgestimate. La coadministration de Stribild et d'un contraceptif hormonal doit se faire avec prudence. Le contraceptif hormonal doit contenir au moins 30 µg d'éthinylestradiol et de drospirénone ou norgestimate en tant que composant progestatif. Les effets à long terme d'augmentations importantes de l'exposition à la progestérone ne sont pas connus. La coadministration de Stribild avec des contraceptifs oraux ou des contraceptifs hormonaux contenant des progestatifs autres que la drospirénone ou le norgestimate ou moins de 25 µg d'éthinylestradiol n'a pas été étudiée. Les patientes doivent utiliser une autre méthode fiable de contraception (voir «Grossesse/Allaitement»). L'usage de méthodes barrières de contraception ou d'autres méthodes non hormonales doit être envisagé.
-Norgestimate (0,180 mg/0,215 mg q.d.)/Éthinylestradiol (0,025 mg q.d.)/Elvitégravir5 (150 mg q.d.)/Cobicistat (150 mg q.d.)4 Norgestimatec: ↑ ASC: 2,26 (2,15, 2,37) ↑ Cmin: 2,67 (2,43, 2,92) ↑ Cmax: 2,08 (2,00, 2,17) Éthinylestradiolc: ↓ ASC: 0,75 (0,69, 0,81) ↓ Cmin: 0,56 (0,52, 0,61) ↔ Cmax: 0,94 (0,86, 1,04)
- +Drospirénone/éthinylestradiol (dose unique de 3 mg/0,02 mg)/ cobicistat (150 mg q.d.)7 Drospirénone/éthinylestradiol (dose unique de 3 mg/0,02 mg)/atazanavir (300 mg q.d.)/cobicistat (150 mg q.d.) Drospirénone/éthinylestradiol (dose unique de 3 mg/0,02 mg)/darunavir (800 mg q.d.)/cobicistat (150 mg q.d.) Les interactions avec Stribild n'ont pas été étudiées. En cas d'administration concomitante avec du cobicistat, la concentration de la drospirénone peut augmenter. Drospirénone: ↑ ASC: 2,30 (2,00; 2,64) ↔ Cmax: 1,12 (1,05; 1,19) Drospirénone: ↑ ASC: 1,58 (1,47; 1,71) ↔ Cmax: 1,15 (1,05; 1,26) En cas de co-administration avec un médicament contenant du cobicistat les concentrations plasmatiques de la drospirénone peuvent être augmentées. Une surveillance clinique est recommandée en raison d'un risque potentiel d'hyperkaliémie. La coadministration de Stribild et d'un contraceptif hormonal oral contenant du norgestimate/de l'éthinylestradiol a entraîné une réduction des concentrations plasmatiques d'éthinylestradiol et une augmentation de norgestimate. La coadministration de Stribild et d'un contraceptif hormonal doit se faire avec prudence. Le contraceptif hormonal doit contenir au moins 30 µg d'éthinylestradiol et de drospirénone ou norgestimate en tant que composant progestatif. Les effets à long terme d'augmentations importantes de l'exposition à la progestérone ne sont pas connus. La coadministration de Stribild avec des contraceptifs oraux ou des contraceptifs hormonaux contenant des progestatifs autres que la drospirénone ou le norgestimate ou moins de 25 µg d'éthinylestradiol n'a pas été étudiée. Les patientes doivent utiliser une autre méthode fiable de contraception (voir «Grossesse, Allaitement»). L'usage de méthodes barrières de contraception ou d'autres méthodes non hormonales doit être envisagé.
- +Norgestimate (0,180 mg/0,215 mg q.d.)/ Éthinylestradiol (0,025 mg q.d.)/ Elvitégravir5 (150 mg q.d.)/ Cobicistat (150 mg q.d.)4 Norgestimatec: ↑ ASC: 2,26 (2,15; 2,37) ↑ Cmin: 2,67 (2,43; 2,92) ↑ Cmax: 2,08 (2,00; 2,17) Éthinylestradiolc: ↓ ASC: 0,75 (0,69; 0,81) ↓ Cmin: 0,56 (0,52; 0,61) ↔ Cmax: 0,94 (0,86; 1,04)
-Digoxine (dose unique de 0,5 mg)/Cobicistat (plusieurs doses de 150 mg) Digoxinec: ↔ ASC:1,08 (1,00, 1,17) ↑ Cmax:1,41 (1,29, 1,55) Une surveillance clinique et un contrôle des concentrations de digoxine sont recommandés lorsque la digoxine est associée à Stribild. Chez les patients qui prenaient déjà régulièrement de la digoxine au début du traitement par Stribild, une diminution de la dose habituelle auparavant peut être nécessaire. Une surveillance plus fréquente de la concentration de digoxine et un contrôle par ECG sont indiqués.
- +Digoxine (dose unique de 0,5 mg)/Cobicistat (plusieurs doses de 150 mg) Digoxinec: ↔ ASC: 1,08 (1,00; 1,17) ↑ Cmax: 1,41 (1,29; 1,55) Une surveillance clinique et un contrôle des concentrations de digoxine sont recommandés lorsque la digoxine est associée à Stribild. Chez les patients qui prenaient déjà régulièrement de la digoxine au début du traitement par Stribild, une diminution de la dose habituelle auparavant peut être nécessaire. Une surveillance plus fréquente de la concentration de digoxine et un contrôle par ECG sont indiqués.
-Édoxaban Les interactions avec les principes actifs de Stribild n'ont pas été étudiées. La co-administration de Stribild peut entraîner une augmentation des concentrations plasmatiques d'édoxaban ce qui peut générer un risque hémorragique accru. ↑ Édoxaban Un suivi clinique et/ou une adaptation de la posologie sont recommandées lors de la coadministration de Stribild et d'édoxaban. Il convient d'observer l'information professionnelle de l'édoxaban et de ses interactions avec les inhibiteurs de la P-gp.
- +Édoxaban Les interactions avec les principes actifs de Stribild n'ont pas été étudiées. La co-administration de Stribild peut entraîner une augmentation des concentrations plasmatiques d'édoxaban ce qui peut générer un risque hémorragique accru. ↑ Édoxaban Un suivi clinique et/ou un ajustement de la posologie sont recommandés lors de la coadministration de Stribild et d'édoxaban. Il convient d'observer l'information professionnelle de l'édoxaban et de ses interactions avec les inhibiteurs de la P-gp.
-Rosuvastatine (dose unique de 10 mg)/Elvitégravir5 (dose unique de 150 mg)/Cobicistat (dose unique de 150 mg) Elvitégravir: ↔ ASC: 1,02 (0,91, 1,14) ↔ Cmin: 0,98 (0,83, 1,15) ↔ Cmax: 0,94 (0,83, 1,07) Rosuvastatine: ↑ ASC: 1,38 (1,14, 1,67) ↑ Cmin: 1,43 (1,08, 1,89) ↑ Cmax: 1,89 (1,48, 2,42) En cas de coadministration de Stribild, le traitement doit commencer avec la plus faible dose de rosuvastatine et être augmenté en fonction de l'effet clinique et sous surveillance de la sécurité (par exemple myopathie).
-Atorvastatine (dose unique de 10 mg)/elvitégravir (150 mg q.d.)/cobicistat (150 mg q.d.)/emtricitabine (200 mg q.d.)/ténofovir alafénamide (10 mg q.d.) Atorvastatine: ↑ ASC: 2,60 (2,31, 2,93) ↑ Cmax: 2,32 (1,91, 2,82) Elvitégravir: ↔ ASC: 0,92 (0,87, 0,98) ↔ Cmin: 0,88 (0,81, 0,96) ↔ Cmax: 0,91 (0,85, 0,98) En cas de co-administration avec elvitégravir et cobicistat les concentrations d'atorvastatine sont augmentées. En cas de co-administration de Stribild il est recommandé de commencer le traitement avec la dose la plus faible d'atorvastatine et de l'augmenter en fonction de l'effet clinique et sous surveillance de la sécurité (p.ex. myopathie). La dose d'atorvastatine ne doit pas excéder 20 mg par jour.
-Pitavastatine Pravastatine Fluvastatine Les interactions avec les principes actifs de Stribild n'ont pas été étudiées. Les concentrations de pitavastatine, pravastatine ou fluvastatine peuvent augmenter en cas de co-administration avec de l'elvitégravir et du cobicistat. Des adaptations posologiques ne sont pas nécessaires en cas de co-administration avec Stribild. En cas de co-administration avec Stribild une surveillance de la sécurité (p.ex. myopathie) est recommandée.
- +Rosuvastatine (dose unique de 10 mg)/ Elvitégravir5 (dose unique de 150 mg)/ Cobicistat (dose unique de 150 mg) Elvitégravir: ↔ ASC: 1,02 (0,91; 1,14) ↔ Cmin: 0,98 (0,83; 1,15) ↔ Cmax: 0,94 (0,83; 1,07) Rosuvastatine: ↑ ASC: 1,38 (1,14; 1,67) ↑ Cmin: 1,43 (1,08; 1,89) ↑ Cmax: 1,89 (1,48; 2,42) En cas de coadministration de Stribild, le traitement doit commencer avec la plus faible dose de rosuvastatine et être augmenté en fonction de l'effet clinique et sous surveillance de la sécurité (par exemple myopathie).
- +Atorvastatine (dose unique de 10 mg)/elvitégravir (150 mg q.d.)/cobicistat (150 mg q.d.)/emtricitabine (200 mg q.d.)/ténofovir alafénamide (10 mg q.d.) Atorvastatine: ↑ ASC: 2,60 (2,31; 2,93) ↑ Cmax: 2,32 (1,91; 2,82) Elvitégravir: ↔ ASC: 0,92 (0,87; 0,98) ↔ Cmin: 0,88 (0,81; 0,96) ↔ Cmax: 0,91 (0,85; 0,98) En cas de co-administration avec elvitégravir et cobicistat les concentrations d'atorvastatine sont augmentées. En cas de co-administration de Stribild il est recommandé de commencer le traitement avec la dose la plus faible d'atorvastatine et de l'augmenter en fonction de l'effet clinique et sous surveillance de la sécurité (p.ex. myopathie). La dose d'atorvastatine ne doit pas excéder 20 mg par jour.
- +Pitavastatine Pravastatine Fluvastatine Les interactions avec les principes actifs de Stribild n'ont pas été étudiées. Les concentrations de pitavastatine, pravastatine ou fluvastatine peuvent augmenter en cas de co-administration avec de l'elvitégravir et du cobicistat. Des ajustements de la posologie ne sont pas nécessaires en cas de co-administration avec Stribild. En cas de co-administration avec Stribild une surveillance de la sécurité (p.ex. myopathie) est recommandée.
-Sertraline10 Elvitégravir: ↔ ASC: 0,94 (0,89, 0,98) ↔ Cmax: 0,88 (0,82, 0,93) ↔ Cmin: 0,99 (0,93, 1,05) Cobicistat: ↔ ASC: 1,00 (0,97, 1,03) ↔ Cmax: 1,06 (1,01, 1,10) ↔ Cmin: 0,87 (0,79, 0,95) Emtricitabine: ↔ ASC: 0,84 (0,81, 0,88) ↔ Cmax: 0,90 (0,82, 0,98) ↔ Cmin: 0,94 (0,90, 0,99) Ténofovir: ↔ ASC: 1,02 (1,00, 1,04) ↔ Cmax: 1,10 (1,00, 1,21) ↔ Cmin: 1,01 (0,99, 1,03) Sertraline: ↔ ASC: 0,93 (0,77, 1,13) ↔ Cmax: 1,14 (0,94, 1,38) Aucune adaptation posologique de la sertraline n'est nécessaire.
- +Sertraline10 Elvitégravir: ↔ ASC: 0,94 (0,89; 0,98) ↔ Cmax: 0,88 (0,82; 0,93) ↔ Cmin: 0,99 (0,93; 1,05) Cobicistat: ↔ ASC: 1,00 (0,97; 1,03) ↔ Cmax: 1,06 (1,01; 1,10) ↔ Cmin: 0,87 (0,79; 0,95) Emtricitabine: ↔ ASC: 0,84 (0,81; 0,88) ↔ Cmax: 0,90 (0,82; 0,98) ↔ Cmin: 0,94 (0,90; 0,99) Ténofovir: ↔ ASC: 1,02 (1,00; 1,04) ↔ Cmax: 1,10 (1,00; 1,21) ↔ Cmin: 1,01 (0,99; 1,03) Sertraline: ↔ ASC: 0,93 (0,77; 1,13) ↔ Cmax: 1,14 (0,94; 1,38) Aucun ajustement de la posologie de la sertraline n'est nécessaire.
-b Les expositions étaient consistantes avec les données historiques
-c Limites «no effect» entre 80% - 125%
- +b Les expositions étaient consistantes avec les données historiques
- +c Limites «no effect» entre 80%-125%
-Études conduites avec d'autres médicaments:
- +Études conduites avec d'autres médicaments
-Femmes en âge de procréer/contraception chez les hommes et les femmes:
- +Femmes en âge de procréer/Contraception chez l'homme et la femme
-Grossesse:
-Il n'existe pas de données cliniques ou il existe des données cliniques limitées sur l'utilisation de Stribild chez la femme enceinte. Cependant, un nombre modéré de données chez la femme enceinte (entre 300 et 1'000 grossesses) n'a mis en évidence aucune malformation ni effet toxique pour le fœtus ou le nouveau-né associés à l'emtricitabine et au fumarate de ténofovir disoproxil.
- +Grossesse
- +Il n'existe pas de données cliniques ou il existe des données cliniques limitées sur l'utilisation de Stribild chez la femme enceinte. Cependant, un nombre modéré de données chez la femme enceinte (entre 300 et 1000 grossesses) n'a mis en évidence aucune malformation ni effet toxique pour le fœtus ou le nouveau-né associés à l'emtricitabine et au fumarate de ténofovir disoproxil.
-De plus faibles expositions à l’elvitégravir et au cobicistat ont été rapportées pendant les deuxième et troisième trimestres de la grossesse. La diminution de la concentration de cobicistat peut ne pas fournir un effet stimulant pharmacocinétique suffisant. L’exposition diminuée à l’elvitégravir peut entraîner un risque accru d’échec thérapeutique et de transmission de l’infection par le VIH de la mère à l’enfant. En conséquence de ces expositions diminuées (voir «Cinétique pour certains groupes de patients»), un traitement par Stribild ne doit pas être instauré pendant la grossesse et le traitement des femmes qui débutent une grossesse pendant un traitement par Stribild doit être changé pour un autre traitement du VIH (voir «Posologie/Mode d’emploi»).
-Allaitement:
- +De plus faibles expositions à l'elvitégravir et au cobicistat ont été rapportées pendant les deuxième et troisième trimestres de la grossesse. La diminution de la concentration de cobicistat peut ne pas fournir un effet stimulant pharmacocinétique suffisant. L'exposition diminuée à l'elvitégravir peut entraîner un risque accru d'échec thérapeutique et de transmission de l'infection par le VIH de la mère à l'enfant. En conséquence de ces expositions diminuées (voir «Cinétique pour certains groupes de patients»), un traitement par Stribild ne doit pas être instauré pendant la grossesse et le traitement des femmes qui débutent une grossesse pendant un traitement par Stribild doit être changé pour un autre traitement du VIH (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Allaitement
-Les effets indésirables rapportés avec Stribild lors des études cliniques de phase 3 GS-US-236-0102 et GS-US-236-0103, ainsi que les effets indésirables survenus lors du traitement par emtricitabine et fumarate de ténofovir disoproxil en association avec d'autres antirétroviraux, provenant des études cliniques et de l'expérience post-commercialisation, sont présentés dans le tableau 2 ci-dessous par classe d'organes et fréquence la plus élevée qui ait été observée. Au sein de chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés suivant un ordre décroissant de gravité. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100, <1/10), occasionnels (≥1/1'000, <1/100) ou rares (≥1/10'000, <1/1'000).
- +Les effets indésirables rapportés avec Stribild lors des études cliniques de phase 3 GS-US-236-0102 et GS-US-236-0103, ainsi que les effets indésirables survenus lors du traitement par emtricitabine et fumarate de ténofovir disoproxil en association avec d'autres antirétroviraux, provenant des études cliniques et de l'expérience post-commercialisation, sont présentés dans le tableau 2 ci-dessous par classe d'organes et fréquence la plus élevée qui ait été observée. Au sein de chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés suivant un ordre décroissant de gravité. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100, <1/10), occasionnels (≥1/1000, <1/100) ou rares (≥1/10 000, <1/1000).
-Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif:
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif:
-5 Cet effet indésirable a été identifié dans le cadre de la pharmacovigilance post-commercialisation pour l'emtricitabine ou le fumarate de ténofovir disoproxil, mais n'a pas été observé lors des études cliniques randomisées contrôlées chez des adultes ou des patients pédiatriques infectés par le VIH menées sur l'emtricitabine, ni lors des études cliniques randomisées contrôlées menées sur le fumarate de ténofovir disoproxil ou dans le cadre du programme d'accès étendu au fumarate de ténofovir disoproxil. La catégorie de fréquence a été estimée d'après un calcul statistique basé sur le nombre total de patients exposés à l'emtricitabine lors des études cliniques randomisées contrôlées (n = 1'563) ou au fumarate de ténofovir disoproxil dans les études cliniques randomisées contrôlées et dans le cadre du programme d'accès étendu au fumarate de ténofovir disoproxil (n = 7'319).
- +5 Cet effet indésirable a été identifié dans le cadre de la pharmacovigilance post-commercialisation pour l'emtricitabine ou le fumarate de ténofovir disoproxil, mais n'a pas été observé lors des études cliniques randomisées contrôlées chez des adultes ou des patients pédiatriques infectés par le VIH menées sur l'emtricitabine, ni lors des études cliniques randomisées contrôlées menées sur le fumarate de ténofovir disoproxil ou dans le cadre du programme d'accès étendu au fumarate de ténofovir disoproxil. La catégorie de fréquence a été estimée d'après un calcul statistique basé sur le nombre total de patients exposés à l'emtricitabine lors des études cliniques randomisées contrôlées (n = 1563) ou au fumarate de ténofovir disoproxil dans les études cliniques randomisées contrôlées et dans le cadre du programme d'accès étendu au fumarate de ténofovir disoproxil (n = 7319).
- +Description de certains effets indésirables
- +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
- +
-Code ATC: J05AR09
-Mécanisme d'action/pharmacodynamique:
- +Code ATC
- +J05AR09
- +Mécanisme d'action
-Le cobicistat est un inhibiteur sélectif, basé sur le mécanisme des cytochromes P450 de la sous-famille du CYP3A. L'inhibition par le cobicistat du métabolisme médié par le CYP3A augmente l'exposition systémique aux substrats du CYP3A comme l'elvitégravir, la biodisponibilité étant limitée alors et la demi-vie écourtée en raison du métabolisme CYP3A-dépendant.
- +Le cobicistat est un inhibiteur sélectif, basé sur le mécanisme des cytochromes P450 de la sous-famille du CYP3A. L'inhibition par le cobicistat du métabolisme médié par le CYP3A augmente l'exposition systémique aux substrats du CYP3A comme l'elvitégravir, la biodisponibilité étant limitée alors et la demi-vie écourtée en raison du métabolisme CYP3Adépendant.
-Activité antivirale in vitro:
- +Pharmacodynamique
- +Activité antivirale in vitro
-Résistance:
- +Résistance
-Résistance chez les patients infectés par le VIH-1 naïfs de tout traitement:
- +Résistance chez les patients infectés par le VIH-1 naïfs de tout traitement
-Effets sur l'électrocardiogramme:
- +Effets sur l'électrocardiogramme
-Chez les patients infectés par le VIH-1 naïfs de tout traitement:
-Les données d'efficacité de Stribild reposent sur l'analyse des données recueillies à la semaine 144 des 2 études randomisées de phase 3, activement controlées et en double aveugle (GS-US-236-0102 et GS-US-236-0103) et menées chez des patients infectés par le VIH-1 naïfs de tout traitement (n = 1'408).
- +Chez les patients infectés par le VIH-1 naïfs de tout traitement
- +Les données d'efficacité de Stribild reposent sur l'analyse des données recueillies à la semaine 144 des 2 études randomisées de phase 3, activement controlées et en double aveugle (GS-US-236-0102 et GS-US-236-0103) et menées chez des patients infectés par le VIH-1 naïfs de tout traitement (n = 1408).
-Pourcentage de patients avec une charge virale >100'000 copies/ml 33 40
-Moyenne du taux initial de CD4+ (intervalle), cellules/mm3 386 (3-1'348) 370 (5-1'132)
- +Pourcentage de patients avec une charge virale >100 000 copies/ml 33 40
- +Moyenne du taux initial de CD4+ (intervalle), cellules/mm3 386 (3-1348) 370 (5-1132)
- Stribild n = 348 EFV/ FTC/ TDF n = 352 Stribild n = 353 ATV/r + FTC/TDF n = 355 Stribild n = 348 EFV/ FTC/TDF n = 352 Stribild n = 353 ATV/r + FTC/TDF n = 355
- + Stribild n = 348 EFV/ FTC/ TDF n = 352 Stribild n = 353 ATV/r + FTC/ TDF n = 355 Stribild n = 348 EFV/ FTC/ TDF n = 352 Stribild n = 353 ATV/r + FTC/ TDF n = 355
-Absence de données virologiques dans la fenêtre de la semaine 48 ou de la semaine 144
- +Absence de données virologiques dans la fenêtre de la semaine 48 ou de la semaine 144
-b La fenêtre de la semaine 144 est comprise entre le jour 967 et le jour 1'050 (inclus).
- +b La fenêtre de la semaine 144 est comprise entre le jour 967 et le jour 1050 (inclus).
-Absorption:
- +Absorption
-Distribution:
-L'elvitégravir est lié à 98-99% aux protéines plasmatiques humaines. Dans l'intervalle de concentrations compris entre 1 ng/ml et 1'600 ng/ml, la liaison est indépendante de la concentration du médicament. Le rapport moyen entre les concentrations plasmatique et sanguine du médicament était de 1,37. Le cobicistat est lié à 97-98% aux protéines plasmatiques humaines et le rapport moyen entre les concentrations plasmatique et sanguine du médicament était de 2.
- +Distribution
- +L'elvitégravir est lié à 98-99% aux protéines plasmatiques humaines. Dans l'intervalle de concentrations compris entre 1 ng/ml et 1600 ng/ml, la liaison est indépendante de la concentration du médicament. Le rapport moyen entre les concentrations plasmatique et sanguine du médicament était de 1,37. Le cobicistat est lié à 97-98% aux protéines plasmatiques humaines et le rapport moyen entre les concentrations plasmatique et sanguine du médicament était de 2.
-Métabolisme:
- +Métabolisme
-Élimination:
- +Élimination
-Cinétique pour certains groupes de patients:
-Âge, sexe et origine ethnique:
- +Cinétique pour certains groupes de patients
- +Âge, sexe et origine ethnique
-Insuffisance rénale:
-Une étude sur la pharmacocinétique de l'elvitégravir potentialisé par le cobicistat a été menée chez des patients non infectés par le VIH-1 présentant une insuffisance rénale grave (clairance de la créatinine inférieure à 30 ml/min). Aucune différence cliniquement pertinente concernant la pharmacocinétique de l'elvitégravir ou du cobicistat n'a été observée entre les patients présentant une insuffisance rénale grave et les sujets en bonne santé. Par conséquent, aucune adaptation posologique de l'elvitégravir ou du cobicistat n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance rénale. Les propriétés pharmacocinétiques de l'emtricitabine et du ténofovir sont modifiées chez les patients présentant une insuffisance rénale. Chez les patients dont la clairance de la créatinine était inférieure à 50 ml/min ou atteints d'une insuffisance rénale terminale devant être dialysés, la Cmax et l'ASC de l'emtricitabine et du ténofovir étaient augmentées (voir «Mises en garde et précautions»).
-Insuffisance hépatique:
-L'elvitégravir et le cobicistat sont, tous les deux, principalement métabolisés et éliminés par le foie. Une étude sur la pharmacocinétique de l'elvitégravir potentialisé par le cobicistat a été menée chez des patients non infectés par le VIH-1 présentant une insuffisance hépatique modérée. Aucune différence cliniquement pertinente concernant la pharmacocinétique de l'elvitégravir ou du cobicistat n'a été observée entre les patients présentant une insuffisance hépatique modérée et les sujets sains. Aucune adaptation posologique de l'elvitégravir ou du cobicistat n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée. L'effet d'une insuffisance hépatique sévère sur la pharmacocinétique de l'elvitégravir ou du cobicistat n'a pas été étudié. La pharmacocinétique de l'emtricitabine n'a pas été étudiée chez les patients présentant une insuffisance hépatique; cependant, comme l'emtricitabine n'est pas métabolisée par les enzymes hépatiques de manière significative, l'impact de l'insuffisance hépatique doit être limité. Aucune modification cliniquement pertinente de la pharmacocinétique du ténofovir n'a été observée chez les patients présentant une insuffisance hépatique. Par conséquent, aucune adaptation posologique du fumarate de ténofovir disoproxil n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique.
-Coinfection par le virus de l'hépatite B et/ou de l'hépatite C:
- +Troubles de la fonction hépatique
- +L'elvitégravir et le cobicistat sont, tous les deux, principalement métabolisés et éliminés par le foie. Une étude sur la pharmacocinétique de l'elvitégravir potentialisé par le cobicistat a été menée chez des patients non infectés par le VIH-1 présentant une insuffisance hépatique modérée. Aucune différence cliniquement pertinente concernant la pharmacocinétique de l'elvitégravir ou du cobicistat n'a été observée entre les patients présentant une insuffisance hépatique modérée et les sujets sains. Aucun ajustement de la posologie de l'elvitégravir ou du cobicistat n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée. L'effet d'une insuffisance hépatique sévère sur la pharmacocinétique de l'elvitégravir ou du cobicistat n'a pas été étudié. La pharmacocinétique de l'emtricitabine n'a pas été étudiée chez les patients présentant une insuffisance hépatique; cependant, comme l'emtricitabine n'est pas métabolisée par les enzymes hépatiques de manière significative, l'impact de l'insuffisance hépatique doit être limité. Aucune modification cliniquement pertinente de la pharmacocinétique du ténofovir n'a été observée chez les patients présentant une insuffisance hépatique. Par conséquent, aucun ajustement de la posologie du fumarate de ténofovir disoproxil n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique.
- +Coinfection par le virus de l'hépatite B et/ou de l'hépatite C
- +Troubles de la fonction rénale
- +Une étude sur la pharmacocinétique de l'elvitégravir potentialisé par le cobicistat a été menée chez des patients non infectés par le VIH-1 présentant une insuffisance rénale grave (clairance de la créatinine inférieure à 30 ml/min). Aucune différence cliniquement pertinente concernant la pharmacocinétique de l'elvitégravir ou du cobicistat n'a été observée entre les patients présentant une insuffisance rénale grave et les sujets en bonne santé. Par conséquent, aucun ajustement de la posologie de l'elvitégravir ou du cobicistat n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance rénale. Les propriétés pharmacocinétiques de l'emtricitabine et du ténofovir sont modifiées chez les patients présentant une insuffisance rénale. Chez les patients dont la clairance de la créatinine était inférieure à 50 ml/min ou atteints d'une insuffisance rénale terminale devant être dialysés, la Cmax et l'ASC de l'emtricitabine et du ténofovir étaient augmentées (voir «Mises en garde et précautions»).
-b p <0.10 en comparaison avec la période post-partum
- +b p <0,10 en comparaison avec la période post-partum
-L'elvitégravir a donné des résultats négatifs lors d'un test de mutagénicité bactérienne in vitro (test d'Ames) et lors d'un test du micronoyau in vivo chez le rat à des doses allant jusqu'à 2'000 mg/kg. Au cours d'un test d'aberration chromosomique in vitro, l'elvitégravir a donné des résultats négatifs en présence d'un système d'activation métabolique. On a cependant observé une réponse équivoque en l'absence d'activation.
- +L'elvitégravir a donné des résultats négatifs lors d'un test de mutagénicité bactérienne in vitro (test d'Ames) et lors d'un test du micronoyau in vivo chez le rat à des doses allant jusqu'à 2000 mg/kg. Au cours d'un test d'aberration chromosomique in vitro, l'elvitégravir a donné des résultats négatifs en présence d'un système d'activation métabolique. On a cependant observé une réponse équivoque en l'absence d'activation.
-Une baisse de la durée du potentiel d'action et des effets inotropes négatifs ont été observés dans des études ex vivo sur le cobicistat et des tissus cardiaques isolés de lapin sans écart de sécurité par rapport à l'exposition clinique. Des études in vivo menées chez le chien suggèrent que le cobicistat présente un faible potentiel de prolongation de l'intervalle QT et qu'il peut prolonger légèrement l'intervalle PR et provoquer une faible réduction de la fonction ventriculaire gauche à des concentrations au moins 11 fois supérieures à l'exposition obtenue chez l'homme pour la dose quotidienne recommandée de 150 mg (voir „Propriétés/Effets“, Effets sur l'électrocardiogramme).
- +Une baisse de la durée du potentiel d'action et des effets inotropes négatifs ont été observés dans des études ex vivo sur le cobicistat et des tissus cardiaques isolés de lapin sans écart de sécurité par rapport à l'exposition clinique. Des études in vivo menées chez le chien suggèrent que le cobicistat présente un faible potentiel de prolongation de l'intervalle QT et qu'il peut prolonger légèrement l'intervalle PR et provoquer une faible réduction de la fonction ventriculaire gauche à des concentrations au moins 11 fois supérieures à l'exposition obtenue chez l'homme pour la dose quotidienne recommandée de 150 mg (voir «Propriétés/Effets», Effets sur l'électrocardiogramme).
-Les études précliniques sur le fumarate de ténofovir disoproxil à des doses supérieures ou égales aux doses thérapeutiques utilisées chez l'homme, conduites chez le rat, le chien et le singe, ont révélé des effets toxiques sur les os et les reins, ainsi qu'une diminution de la concentration de phosphate sérique. La toxicité osseuse a été diagnostiquée comme étant une ostéomalacie (singes) et une réduction de la densité minérale osseuse (rats et chiens). Le fumarate de ténofovir disoproxil était mutagène dans le test du lymphome in vitro chez la souris, tandis que le test de mutagénicité bactérienne (test d'Ames) a donné des résultats négatifs. Le test du micronoyau in vivo réalisé chez une souris mâle à des doses atteignant 2'000 mg/kg de fumarate de ténofovir disoproxil était négatif. Le fumarate de ténofovir disoproxil n'a montré aucun potentiel carcinogène lors d'une étude de carcinogenicité à long terme par voie orale chez le rat. Une étude de carcinogénicité à long terme par voie orale chez la souris a révélé une faible incidence de tumeurs du duodénum probablement liée à la concentration locale accrue dans le tractus gastro-intestinal du fait de la dose élevée de 600 mg/kg/jour. Le mécanisme à la base du développement de ces tumeurs chez la souris est incertain, de même que sa pertinence potentielle pour l'homme. Dans les études de toxicité péri- et post-natales, le fumarate de ténofovir disoproxil a réduit l'indice de viabilité et le poids des animaux à la naissance à des doses toxiques pour la mère.
- +Les études précliniques sur le fumarate de ténofovir disoproxil à des doses supérieures ou égales aux doses thérapeutiques utilisées chez l'homme, conduites chez le rat, le chien et le singe, ont révélé des effets toxiques sur les os et les reins, ainsi qu'une diminution de la concentration de phosphate sérique. La toxicité osseuse a été diagnostiquée comme étant une ostéomalacie (singes) et une réduction de la densité minérale osseuse (rats et chiens). Le fumarate de ténofovir disoproxil était mutagène dans le test du lymphome in vitro chez la souris, tandis que le test de mutagénicité bactérienne (test d'Ames) a donné des résultats négatifs. Le test du micronoyau in vivo réalisé chez une souris mâle à des doses atteignant 2000 mg/kg de fumarate de ténofovir disoproxil était négatif. Le fumarate de ténofovir disoproxil n'a montré aucun potentiel carcinogène lors d'une étude de carcinogenicité à long terme par voie orale chez le rat. Une étude de carcinogénicité à long terme par voie orale chez la souris a révélé une faible incidence de tumeurs du duodénum probablement liée à la concentration locale accrue dans le tractus gastro-intestinal du fait de la dose élevée de 600 mg/kg/jour. Le mécanisme à la base du développement de ces tumeurs chez la souris est incertain, de même que sa pertinence potentielle pour l'homme. Dans les études de toxicité péri- et post-natales, le fumarate de ténofovir disoproxil a réduit l'indice de viabilité et le poids des animaux à la naissance à des doses toxiques pour la mère.
- +Incompatibilités
- +Non pertinent.
- +
-Remarques concernant le stockage
-Tenir hors de portée des enfants. Ne pas conserver au-dessus de 30 °C.
-Conserver dans l'emballage d'origine, pour le protéger de l'humidité.
-Le flacon est muni d'une fermeture de sécurité enfants et contient un dessiccant en gel de silice. Conserver le flacon soigneusement fermé.
- +Remarques particulières concernant le stockage
- +Tenir hors de portée des enfants.
- +Ne pas conserver au-dessus de 30 °C.
- +Conserver dans l'emballage d'origine, pour protéger le contenu de l'humidité.
- +Conserver le flacon soigneusement fermé.
- +Le flacon est muni d'une fermeture de sécurité enfants et contient un dessiccant en gel de silice.
-62673 (Swissmedic).
- +62673 (Swissmedic)
-Gilead Sciences Switzerland Sàrl, Steinhausen.
- +Gilead Sciences Switzerland Sàrl, Steinhausen
-Mars 2019.
- +Septembre 2019
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