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Accueil - Information professionnelle sur Dymista Nasenspray - Changements - 03.11.2017
70 Changements de l'information professionelle Dymista Nasenspray
  • -Traitement symptomatique de la rhinite allergique saisonnière et de la rhinoconjonctivite.
  • +Traitement symptomatique de la rhinite allergique saisonnière et de la rhinoconjonctivite saisonnière.
  • -Dymista spray nasal est destiné à une administration nasale.
  • +Dymista spray nasal est destiné à une administration par voie nasale uniquement.
  • -La durée du traitement avec Dymista doit correspondre à la durée de l'exposition à l'allergène. La durée usuelle d'utilisation pour la rhinite allergique aiguë et la rhinoconjonctivite est de 2 semaines.
  • +La durée du traitement par Dymista doit correspondre à la durée de l'exposition à l'allergène. La durée usuelle d'utilisation pour la rhinite allergique aiguë et la rhinoconjonctivite est de 2 semaines.
  • -L'utilisation de Dymista spray nasal chez l'enfant de moins de 12 ans n'est pas recommandée car la sécurité et l'efficacité du médicament n'ont pas été étudiées dans ce groupe d'âges.
  • +L'utilisation de Dymista spray nasal chez l'enfant de moins de 12 ans n'est pas recommandée, car la sécurité et l'efficacité du médicament n'ont pas été étudiées dans ce groupe d'âges.
  • -Il convient de contrôler la croissance à intervalles réguliers chez les adolescents qui reçoivent un traitement prolongé de corticostéroïdes par voie nasale. En cas de ralentissement de la croissance, le traitement doit être reconsidéré et saccompagner dune réduction de la dose de corticostéroïde intranasal à la plus faible dose encore efficace.
  • -Patients gériatriques
  • +Il convient de contrôler la croissance à intervalles réguliers chez les adolescents qui reçoivent un traitement prolongé par des corticostéroïdes administrés par voie nasale. En cas de ralentissement de la croissance, le traitement doit être reconsidéré et s'accompagner d'une réduction de la dose de corticostéroïde intranasal à la plus faible dose encore efficace.
  • +Patients âgés
  • -Insuffisance rénale et hépatique
  • +Insuffisance rénale et insuffisance hépatique
  • -Des effets systémiques des corticostéroïdes administrés par voie nasale peuvent survenir en particulier en cas dadministration à hautes doses sur une période prolongée. Ces effets sont toutefois moins probables qu'avec les corticostéroïdes administrés par voie orale et peuvent varier d'un patient à l'autre ainsi que d'un médicament contenant des corticostéroïdes à l'autre. Les effets systémiques possibles sont un syndrome de Cushing, un faciès cushingoïde, une suppression surrénalienne, un retard de croissance chez l'enfant et l'adolescent, une cataracte, un glaucome et, plus rarement, une série de modifications psychiques ou comportementales, notamment une hyperactivité psychomotrice, des troubles du sommeil, un sentiment d'anxiété, une dépression ou une agressivité (en particulier chez l'enfant).
  • -Chez les patients qui présentent des altérations de lacuité visuelle ou des antécédents d'élévation de la pression oculaire, de glaucome et/ou de cataracte, une surveillance étroite est indiquée.
  • -S'il y a une raison de supposer un déficit de la fonction surrénalienne, le passage d'une corticothérapie systémique à Dymista spray nasal devra alors se faire avec prudence.
  • -Chez les patients atteints de tuberculose ou d'infections non traitées de tout type ou ayant subi récemment une intervention chirurgicale ou une blessure dans la région du nez et de la bouche, on procèdera à une évaluation des bénéfices éventuels et des risques éventuels du traitement avec Dymista spray nasal.
  • -Il convient de traiter de façon appropriée les infections des voies nasales mais elles ne représentent pas une contre-indication spécifique au traitement avec Dymista spray nasal.
  • +Des effets systémiques des corticostéroïdes administrés par voie nasale peuvent survenir en particulier en cas d'administration à hautes doses sur une période prolongée. Le risque de survenue de ces effets est toutefois moins élevé qu'avec les corticostéroïdes administrés par voie orale et peuvent varier d'un patient à l'autre ainsi que d'un médicament contenant des corticostéroïdes à l'autre. Les effets systémiques possibles sont un syndrome de Cushing, un faciès cushingoïde, une suppression surrénalienne, un retard de croissance chez l'enfant et l'adolescent, une cataracte, un glaucome et, plus rarement, une série de modifications psychiques ou comportementales, notamment une hyperactivité psychomotrice, des troubles du sommeil, une anxiété, une dépression ou une agressivité (en particulier chez l'enfant).
  • +L'administration de corticostéroïdes par voie nasale à des doses supérieures à la dose recommandée peut entraîner une inhibition de la fonction surrénalienne cliniquement significative. Dans des situations de stress ou avant une chirurgie programmée, une administration supplémentaire de corticoïdes par voie générale doit être envisagée si des éléments indiquent que la dose recommandée sera dépassée.
  • +Chez les patients qui présentent des altérations de l'acuité visuelle ou des antécédents d'élévation de la pression oculaire, de glaucome et/ou de cataracte, une surveillance étroite est indiquée.
  • +S'il y a une raison de supposer une altération de la fonction surrénalienne, le passage d'une corticothérapie systémique à Dymista spray nasal devra alors se faire avec prudence.
  • +Dymista spray nasal subissant un effet de premier passage hépatique important, l'exposition systémique au propionate de fluticasone administré par voie intranasale risque d'augmenter chez les patients présentant une maladie hépatique sévère, ce qui peut entraîner une fréquence plus élevée d'effets indésirables systémiques. La prudence est requise en cas d'insuffisance hépatique sévère.
  • +Chez les patients atteints de tuberculose ou d'infections non traitées de tout type ou ayant subi récemment une intervention chirurgicale ou une blessure dans la région du nez et de la bouche, on procèdera à une évaluation des bénéfices éventuels et des risques éventuels du traitement par Dymista spray nasal.
  • +Il convient de traiter de façon appropriée les infections des voies nasales, mais elles ne représentent pas une contre-indication spécifique au traitement par Dymista spray nasal.
  • -L'utilisation concomitante de ritonavir n'est pas recommandée en raison d'une augmentation de l'exposition à la fluticasone (voir «Interactions»).
  • +L'utilisation concomitante de ritonavir n'est pas recommandée en raison du risque d'augmentation de l'exposition systémique à la fluticasone (voir «Interactions»).
  • +Dans les conditions normales d'utilisation, les concentrations plasmatiques de propionate de fluticasone après administration intranasale sont faibles, du fait d'un effet de premier passage hépatique important et d'une clairance systémique élevée par l'intermédiaire du cytochrome P450 3A4 dans l'intestin et le foie. Le risque d'interactions médicamenteuses cliniquement significatives liées à la présence de propionate de fluticasone est faible.
  • +
  • -La prudence est de mise lors de l'administration de propionate de fluticasone à des patients qui prennent simultanément des médicaments qui sont des inhibiteurs très puissants du système du cytochrome P450 3A4 (p.ex. inhibiteurs de protéase comme le ritonavir). Dans une étude d'interaction avec le propionate de fluticasone intranasal chez des volontaires en bonne santé, l'administration de 100 mg de ritonavir deux fois par jour a entraîné une élévation des concentrations plasmatiques de propionate de fluticasone de plusieurs centaines de fois et, par la suite, une réduction considérable des taux sériques de cortisol. Des cas de syndrome de Cushing et de suppression surrénalienne ont été signalés. Cette association doit être évitée, sauf si le bénéfice l'emporte sur le risque accru d'effets secondaires systémiques des glucocorticoïdes (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -D'autres inhibiteurs du cytochrome-P450 3A4 entraînent des augmentations négligeables (érythromycine) à légères (kétoconazole) de l'exposition systémique au propionate de fluticasone, sans baisse notable des taux sériques de cortisol.
  • +La prudence est de mise lors de l'administration de propionate de fluticasone à des patients qui prennent simultanément des médicaments qui sont des inhibiteurs très puissants du système du cytochrome P450 3A4 (p.ex. inhibiteurs de protéase comme le ritonavir). Dans une étude d'interactions avec le propionate de fluticasone intranasal chez des volontaires sains, l'administration de 100 mg de ritonavir deux fois par jour a entraîné une élévation des concentrations plasmatiques de propionate de fluticasone de plusieurs centaines de fois et, par la suite, une réduction considérable des taux sériques de cortisol. Depuis le lancement de médicaments contenant du propionate de fluticasone, des interactions cliniquement significatives ont été signalées chez les patients ayant reçu simultanément du propionate de fluticasone administré par voie intranasale ou par inhalation et du ritonavir, celles-ci ayant entraîné des effets systémiques des corticostéroïdes, y compris des cas de syndrome de Cushing et de suppression surrénalienne. Cette association doit donc être évitée, sauf si les bénéfices sont supérieurs au risque accru d'effets secondaires systémiques des corticostéroïdes (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +D'autres inhibiteurs du cytochrome-P450 3A4 entraînent des augmentations négligeables (érythromycine) à légères (kétoconazole) de l'exposition systémique au propionate de fluticasone, sans baisse notable des taux sériques de cortisol. Néanmoins, l'administration concomitante avec un inhibiteur puissant du cytochrome P450 3A4 (p.ex. le kétoconazole) doit être prudente, car elle comporte le risque d'une exposition systémique plus élevée au propionate de fluticasone.
  • -Aucune étude spécifique d'interaction n'a été réalisée avec un spray nasal contenant du chlorhydrate d'azélastine. Des études d'interactions avec de hautes doses orales ont été effectuées. Ces dernières n'ont toutefois guère de pertinence car l'utilisation nasale à la posologie recommandée ne s'accompagne que d'une exposition systémique minime.
  • +Aucune étude spécifique d'interactions n'a été réalisée avec un spray nasal contenant du chlorhydrate d'azélastine. Des études d'interactions avec de hautes doses orales ont été effectuées. Ces dernières n'ont toutefois guère de pertinence pour le spray nasal à base d'azélastine, car l'utilisation nasale à la posologie recommandée n'entraîne qu'une exposition systémique minime.
  • -On ne dispose pas de données respectivement seulement des données limitées sur l'utilisation du chlorhydrate d'azélastine et sur le propionate de fluticasone chez la femme enceinte. Dymista spray nasal ne doit pas être utilisé pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue (voir «Données précliniques»).
  • +Il n'existe pas de données ou seulement des données limitées sur l'utilisation du chlorhydrate d'azélastine et du propionate de fluticasone chez la femme enceinte. Dymista spray nasal ne doit pas être utilisé pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue (voir «Données précliniques»).
  • -On ignore si le chlorhydrate d'azélastine ou le propionate de fluticasone appliqués par voie nasale ou leurs métabolites passent dans le lait maternel. Une utilisation pendant la période d'allaitement n'est donc pas recommandée.
  • +On ignore si le chlorhydrate d'azélastine ou le propionate de fluticasone administrés par voie nasale ou leurs métabolites passent dans le lait maternel. Une utilisation pendant l'allaitement n'est donc pas recommandée.
  • -Dymista spray nasal peut avoir une influence sur l'aptitude à la conduite ou lutilisation de machines.
  • +Dymista spray nasal peut avoir une influence sur l'aptitude à la conduite ou l'utilisation de machines.
  • -Après l'utilisation, on observe fréquemment une dysgueusie, une sensation gustative désagréable spécifique de la substance (souvent due à une faute dans l'utilisation, notamment p.ex. lorsque la tête est inclinée trop loin vers l'arrière lors de l'administration).
  • +Après l'utilisation, on observe fréquemment une dysgueusie, une sensation gustative désagréable spécifique de la substance (souvent due à une erreur d'utilisation, notamment p.ex. lorsque la tête est trop inclinée vers l'arrière lors de l'administration).
  • -Très fréquents (≥1/10), fréquents (<1/10 à ≥1/100), occasionnels (<1/100 à ≥1/1000), rares (<1/1000 à ≥1/10 000), très rares (<1/10 000), cas isolés.
  • -Troubles du système immunitaire
  • +Très fréquents (≥1/10), fréquents (<1/10 et ≥1/100), occasionnels (<1/100 et ≥1/1000), rares (<1/1000 et ≥1/10'000), très rares (<1/10'000), cas isolés.
  • +Affections du système immunitaire
  • -Troubles du système nerveux
  • -Fréquents: céphalées, dysgeusie.
  • +Affections du système nerveux
  • +Fréquents: céphalées, dysgueusie (goût désagréable), odeur désagréable.
  • -Troubles oculaires
  • +Affections oculaires*
  • -Organes respiratoires
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • -Très rares: perforation du septum, décollement de la muqueuse.
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • -Rare: sécheresse buccale.
  • -Très rare: nausée.
  • -Troubles cutanés
  • +Très rares: perforation du septum nasal**, érosion de la muqueuse.
  • +Affections gastro-intestinales
  • +Rares: sécheresse buccale.
  • +Très rares: nausée.
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • -Troubles généraux
  • -Très rares: fatigue (abattement, épuisement), faiblesse (voir «Effet sur laptitude à la conduite et lutilisation de machines»).
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • +Très rares: fatigue (abattement, épuisement), faiblesse (voir «Effet sur l'aptitude à la conduite et l'utilisation de machines»).
  • +* Un très petit nombre de notifications spontanées ont été identifiées après traitement prolongé par propionate de fluticasone par voie intranasale.
  • +** Une perforation de la cloison nasale a été rapportée après l'utilisation de corticostéroïdes par voie nasale.
  • +
  • -En cas de surdosage des suites d'une prise orale par mégarde, les résultats d'essais chez l'animal suggèrent qu'il faut s'attendre à des troubles au niveau du système nerveux central (notamment torpeur, confusion, coma, tachycardie et hypotension).
  • +Il n'a pas été observé d'effet sur la fonction de l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien lors de l'administration intranasale de 2 mg de propionate de fluticasone (10 fois la dose quotidienne recommandée) deux fois par jour pendant sept jours à des volontaires sains.
  • +L'administration prolongée de doses supérieures aux doses recommandées peut entraîner une inhibition temporaire de la fonction surrénalienne. Chez ces patients, le traitement par Dymista, spray nasal doit être poursuivi à la plus faible dose encore efficace.
  • +En cas de surdosage suite à une prise orale accidentelle, les résultats d'essais chez l'animal suggèrent qu'il faut s'attendre à des troubles au niveau du système nerveux central (notamment torpeur, confusion, coma, tachycardie et hypotension).
  • -Code ATC: R01AD58.
  • -Mécanisme d'action/Pharmacodynamie
  • +Code ATC: R01AD58
  • +Mécanisme d'action/Pharmacodynamique
  • -Le propionate de fluticasone est un corticostéroïde synthétique triplement fluoré, qui possède une très haute affinité pour le récepteur des glucocorticoïdes et exerce un puissant effet antiinflammatoire; il est par exemple trois à cinq fois plus puissant que la dexaméthasone dans des tests de liaison au récepteur menés avec des récepteurs des glucocorticoïdes humains clonés, ainsi que dans des tests d'expression de gènes.
  • +Le propionate de fluticasone est un corticostéroïde synthétique trifluoré, qui possède une très haute affinité pour le récepteur des glucocorticoïdes et exerce un puissant effet anti-inflammatoire; il est par exemple trois à cinq fois plus puissant que la dexaméthasone dans des tests de liaison au récepteur humain cloné des glucocorticoïdes, ainsi que dans des tests d'expression génique.
  • -L'azélastine, un dérivé de la phtalazinone, est classée comme une substance antiallergique puissante, à longue durée d'action, exerçant une action antagoniste sélective sur les récepteurs H1, stabilisatrice des mastocytes et anti-inflammatoire. Des données d'études (précliniques) in vivo et in vitro montrent que l'azélastine inhibe la synthèse ou la libération de médiateurs chimiques connus pour être impliqués dans les réactions allergiques des phases précoce et tardive, comme p.ex. les leucotriènes, l'histamine, les facteurs d'activation des thrombocytes (platelet-activating factor, PAF) et la sérotonine.
  • -L'effet du spray nasal à l'azélastine intervient plus rapidement quen cas d'administration orale d'antihistaminiques et nasale de corticostéroïdes. On peut observer un soulagement des symptômes nasaux d'allergie dans les 15 minutes qui suivent l'administration.
  • +L'azélastine, un dérivé de la phtalazinone, est classée comme une substance antiallergique puissante, à longue durée d'action, exerçant une action antagoniste sélective sur les récepteurs H1, stabilisatrice des mastocytes et anti-inflammatoire. Des données d'études (précliniques) in vivo et in vitro montrent que l'azélastine inhibe la synthèse ou la libération de médiateurs chimiques connus pour être impliqués dans les réactions allergiques immédiates et retardées, comme p.ex. les leucotriènes, l'histamine, le facteur d'activation des thrombocytes (platelet-activating factor, PAF) et la sérotonine.
  • +L'effet du spray nasal à l'azélastine intervient plus rapidement qu'en cas d'administration orale d'antihistaminiques et d'administration nasale de corticostéroïdes. On peut observer un soulagement des symptômes nasaux d'allergie dans les 15 minutes qui suivent l'administration.
  • -En comparaison avec un spray nasal de propionate de fluticasone en vente dans le commerce, Dymista spray nasal a permis d'obtenir une importante amélioration des symptômes (50% de diminution du degré de gravité des symptômes nasaux) de manière significativement plus rapide (3 jours ou davantage).
  • +En comparaison avec un spray nasal de propionate de fluticasone du commerce, Dymista spray nasal a permis d'obtenir une importante amélioration des symptômes (50% de diminution du degré de gravité des symptômes nasaux) de manière significativement plus rapide (3 jours ou davantage).
  • -Il n'existe aucune indication d'interactions pharmacocinétiques entre le chlorhydrate d'azélastine et le propionate de fluticasone.
  • -Après administration intranasale de propionate de fluticasone (200 microgrammes/jour), la Cmax la plus élevée, mesurée à l'état stationnaire, sest élevée à 0,017 ng/ml. L'absorption directe au niveau du nez est faible, en raison de la faible solubilité, la majorité de la dose est avalée. Lors d'une administration orale, l'exposition systémique est inférieure à 1%, en raison de la faible absorption et d'un métabolisme présystémique. L'absorption systémique totale résultant de l'absorption nasale et de l'absorption orale de la dose avalée est par conséquent généralement faible.
  • -Après application nasale répétée d'une dose journalière de 0,56 mg de chlorhydrate d'azélastine (correspondant à une nébulisation par narine deux fois par jour), la concentration plasmatique maximale d'azélastine à l'état stationnaire chez des volontaires en bonne santé s’élévait à 0,27 ng/ml environ. Les concentrations du métabolite actif, la N-desméthylazélastine, étaient proches de la limite de détection (0,12 ng/ml) ou inférieures à celle-ci.
  • -Chez des patients atteints de rhinite allergique, la concentration plasmatique moyenne d'azélastine à l'état stationnaire après administration d'une dose journalière totale de 0,56 mg de chlorhydrate d'azélastine (p.ex. deux nébulisations par narine une fois par jour) était d'environ 0,65 ng/ml deux heures après l'administration. Un doublement de la dose journalière totale à 1,12 mg de chlorhydrate d'azélastine (p.ex. deux nébulisations par narine deux fois par jour) se traduit par une concentration plasmatique moyenne d'azélastine à l'état stationnaire de 1,09 ng/ml, ce qui suggère une proportionnalité par rapport à la dose dans le domaine posologique.
  • +Il n'existe aucun indice d'interactions pharmacocinétiques entre le chlorhydrate d'azélastine et le propionate de fluticasone.
  • +Après administration intranasale de propionate de fluticasone (200 microgrammes/jour), la Cmax la plus élevée, mesurée à l'état stationnaire, s'est élevée à 0,017 ng/ml. L'absorption directe au niveau du nez est faible, en raison de la faible solubilité, la majorité de la dose est avalée. Lors d'une administration orale, l'exposition systémique est inférieure à 1%, en raison de la faible absorption et d'un métabolisme présystémique. L'absorption systémique totale résultant de l'absorption nasale et de l'absorption orale de la dose avalée est par conséquent généralement faible.
  • +Après administration nasale répétée d'une dose journalière de 0,56 mg de chlorhydrate d'azélastine (correspondant à une nébulisation dans chaque narine deux fois par jour), la concentration plasmatique maximale d'azélastine à l'état stationnaire chez des volontaires sains s'élevait à 0,27 ng/ml environ. Les concentrations du métabolite actif, la N-desméthylazélastine, étaient proches de la limite de détection (0,12 ng/ml) ou inférieures à celle-ci.
  • +Chez des patients atteints de rhinite allergique, la concentration plasmatique moyenne d'azélastine à l'état stationnaire après administration d'une dose journalière totale de 0,56 mg de chlorhydrate d'azélastine (p.ex. deux nébulisations dans chaque narine une fois par jour) était d'environ 0,65 ng/ml deux heures après l'administration. Un doublement de la dose journalière totale à 1,12 mg de chlorhydrate d'azélastine (p.ex. deux nébulisations dans chaque narine deux fois par jour) se traduit par une concentration plasmatique moyenne d'azélastine à l'état stationnaire de 1,09 ng/ml, ce qui suggère une proportionnalité par rapport à la dose dans la fourchette posologique.
  • -La clairance systémique du propionate de fluticasone est rapide. Elle se fait principalement par une dégradation en un métabolite carboxylé inactif sous l'action de l'enzyme CYP3A4 du cytochrome P450. En outre, le propionate de fluticasone ingéré subit un important métabolisme de premier passage. Lors de l'administration simultanée d'un inhibiteur puissant du CYP3A4 tel que le kétoconazole ou le ritonavir, la prudence est de mise en raison de léventuelle augmentation de l'exposition systémique au propionate de fluticasone (voir «Mises en garde et précautions» et «Interactions»).
  • +La clairance systémique du propionate de fluticasone est rapide. Elle se fait principalement par une dégradation en un métabolite carboxylé inactif sous l'action de l'enzyme CYP3A4 du cytochrome P450 dans le foie. En outre, le propionate de fluticasone ingéré subit un important métabolisme de premier passage. Lors de l'administration simultanée d'un inhibiteur puissant du CYP3A4 tel que le kétoconazole ou le ritonavir, la prudence est de mise en raison de l'éventuelle augmentation de l'exposition systémique au propionate de fluticasone (voir «Mises en garde et précautions» et «Interactions»).
  • -Le taux d'élimination du propionate de fluticasone administré par voie intraveineuse est linéaire dans le domaine de doses de 250 à 1000 μg et est caractérisé par une clairance plasmatique élevée (CL = 1,1 l/min). La concentration plasmatique maximale diminue d'environ 98% en 3 à 4 heures et seules de faibles concentrations plasmatiques étaient associées à la demi-vie terminale de 7,8 heures. La clairance rénale du propionate de fluticasone est négligeable (<0,2%) et s'élève à moins de 5% pour le métabolite carboxylé. L'élimination a lieu principalement par excrétion biliaire du propionate de fluticasone et de son métabolite.
  • -La demi-vie d'élimination après administration unique d'azélastine s'élève à environ 20 à 25 heures pour l'azélastine et à environ 45 heures pour le métabolite thérapeutiquement actif, la N-desméthylazélastine. L'élimination se fait principalement dans les fèces. L'élimination persistante de faibles quantités de la dose dans les fèces permet de conclure à certain cycle entéro-hépatique.
  • +Le taux d'élimination du propionate de fluticasone administré par voie intraveineuse est linéaire à des doses allant de 250 à 1000 μg et est caractérisé par une clairance plasmatique élevée (CL = 1,1 l/min). La concentration plasmatique maximale diminue d'environ 98% en 3 à 4 heures et seules de faibles concentrations plasmatiques étaient associées à la demi-vie terminale de 7,8 heures. La clairance rénale du propionate de fluticasone est négligeable (<0,2%) et s'élève à moins de 5% pour le métabolite carboxylé. L'élimination a lieu principalement par excrétion biliaire du propionate de fluticasone et de son métabolite.
  • +La demi-vie d'élimination après administration d'une dose unique d'azélastine s'élève à environ 20 à 25 heures pour l'azélastine et à environ 45 heures pour le métabolite thérapeutiquement actif, la N-desméthylazélastine. L'élimination se fait principalement dans les fèces. L'élimination persistante de faibles quantités de la dose dans les fèces indique qu'un cycle entéro-hépatique pourrait intervenir.
  • -Les résultats des études générales de toxicologie ont été similaires aux résultats obtenus avec d'autres glucocorticoïdes et sont associés à une augmentation de l'activité pharmacologique. Aucun effet génotoxique du propionate de fluticasone n'a été observé dans des tests usuels de génotoxicité. En outre, aucune augmentation des fréquences de tumeurs due au traitement n'est apparue dans des études d'inhalation sur deux ans menées avec des rats et des souris.
  • -Dans des expérimentations animales, il a été constaté que des glucocorticoïdes ont provoqué des malformations, y compris des palatoschizis et des retards de croissance.
  • +Les résultats des études générales de toxicologie ont été similaires aux résultats obtenus avec d'autres glucocorticoïdes et sont associés à une augmentation de l'activité pharmacologique. Aucun effet génotoxique du propionate de fluticasone n'a été observé dans des tests usuels de génotoxicité. En outre, aucune augmentation des fréquences de tumeurs due au traitement n'est apparue dans des études d'inhalation sur deux ans menées chez des rats et des souris.
  • +Dans des expérimentations animales, il a été constaté que des glucocorticoïdes ont provoqué des malformations, y compris des palatoschizis et des retards de croissance intra-utérins.
  • -Dans une série de tests in vitro et in vivo, l'azélastine n'a montré aucun potentiel génotoxique, ni aucun potentiel cancérogène chez le rat et la souris. Chez des rats mâles et femelles, l'azélastine a entraîné une diminution de l’indice de fertilité proportionnelle à la dose, à des doses orales supérieures à 3 mg/kg/jour. Dans des études de toxicité chronique, aucune modification due à la substance dans les organes de reproduction des mâles et des femelles n'est toutefois apparue. Des effets embryotoxiques et tératogènes chez le rat, la souris et le lapin ne sont apparus qu'à des doses toxiques pour la mère (des malformations du squelette ont par exemple été constatées chez le rat et le lapin à une dose de 68,6 mg/kg/jour).
  • +Dans une série de tests in vitro et in vivo, l'azélastine n'a montré aucun potentiel génotoxique, ni aucun potentiel cancérogène chez le rat et la souris. Chez des rats mâles et femelles, l'azélastine a entraîné une diminution proportionnelle à la dose de l'indice de fertilité, à des doses orales supérieures à 3 mg/kg/jour. Dans des études de toxicité chronique, aucune modification due à la substance dans les organes de reproduction des mâles et des femelles n'est toutefois apparue. Des effets embryotoxiques et tératogènes chez le rat, la souris et le lapin ne sont apparus qu'à des doses toxiques pour la mère (des malformations du squelette ont par exemple été constatées chez le rat et le lapin à une dose de 68,6 mg/kg/jour).
  • -Conserver à température ambiante (15 à 25 °C).
  • +Conserver à température ambiante (15 à 25 °C) et hors de la portée des enfants.
  • -Avant l'emploi, agiter le flacon pendant environ 5 secondes puis retirer le capuchon de protection. Avant la première utilisation, on préparera Dymista spray nasal à l'emploi en appuyant et relâchant cinq fois la pompe. Si Dymista spray nasal n'a pas été utilisé pendant plus de 7 jours, il faut à nouveau le préparer pour l'emploi, en appuyant et relâchant la pompe aussi souvent que nécessaire pour obtenir une nébulisation fine.
  • +Avant l'emploi, agiter le flacon pendant environ 5 secondes puis retirer le capuchon de protection. Avant la première utilisation, il convient d'amorcer Dymista spray nasal en appuyant et relâchant cinq fois la pompe. Si Dymista spray nasal n'a pas été utilisé pendant plus de 7 jours, il faut à nouveau l'amorcer, en appuyant et relâchant la pompe aussi souvent que nécessaire pour obtenir une nébulisation fine.
  • -Après s'être nettoyé le nez, nébuliser la suspension une fois dans chaque narine, en tenant la tête inclinée vers l'avant (voir notice d'emballage). Après l'emploi, essuyer la pointe du nébuliseur et remettre le capuchon de protection.
  • +Après s'être nettoyé le nez, nébuliser la suspension une fois dans chaque narine, en tenant la tête inclinée vers l'avant (voir notice d'emballage). Après l'emploi, essuyer l'embout du nébuliseur et remettre le capuchon de protection.
  • -Spray nasal de 17 ml. [B]
  • +Spray nasal de 17 ml (correspondant à 120 nébulisations). [B]
  • -Janvier 2013.
  • +Mai 2017.
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