54 Changements de l'information professionelle Montelukast Spirig HC 10 |
-Excip. pro compresso obducto.
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- +Noyau du comprimé:
- +Lactose monohydraté 100 mg, cellulose microcristalline, croscarmellose sodique, stéarate de magnésium, édétate disodique.
- +Enrobage:
- +Hypromellose, hydroxypropylcellulose, dioxyde de titane (E 171), oxyde de fer jaune (E 172), oxyde de fer rouge (E 172).
- +1 comprimé pelliculé contient 0.845 mg de sodium.
- +Excipients
- +1 comprimé pelliculé contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
- +Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
- +Grossesse
- +
-Utilisation pendant l'allaitement
- +Allaitement
-Montélukast Spirig HC a été testé, dans le cadre d'études cliniques, chez près de 2'600 patients asthmatiques âgés de 15 ans ou plus. Dans le cadre de deux études cliniques contrôlées par placebo de conception similaire, d'une durée de 12 semaines, seules une dyspepsie, des douleurs abdominales et des céphalées associées au médicament ont été rapportées chez des patients traités par le montélukast. En outre, des maux de dents ont été rapportés, mais aucun lien causal avec le médicament n'a été démontré. Le taux d'incidence de ces manifestations ne différait pas de manière significative d'un groupe de traitement à l'autre. Au cours d'études cliniques dont les durées de traitement étaient plus longues, pouvant aller jusqu'à deux ans, aucune différence au niveau du profil des effets indésirables n'est apparue.
- +Montélukast Spirig HC a été testé, dans le cadre d'études cliniques, chez près de 2 600 patients asthmatiques âgés de 15 ans ou plus. Dans le cadre de deux études cliniques contrôlées par placebo de conception similaire, d'une durée de 12 semaines, seules une dyspepsie, des douleurs abdominales et des céphalées associées au médicament ont été rapportées chez des patients traités par le montélukast. En outre, des maux de dents ont été rapportés, mais aucun lien causal avec le médicament n'a été démontré. Le taux d'incidence de ces manifestations ne différait pas de manière significative d'un groupe de traitement à l'autre. Au cours d'études cliniques dont les durées de traitement étaient plus longues, pouvant aller jusqu'à deux ans, aucune différence au niveau du profil des effets indésirables n'est apparue.
-Le montélukast a été étudié pour le traitement de la rhinite allergique saisonnière chez 2'199 patients âgés de 15 ans et plus dans le cadre d'études cliniques. Le montélukast, administré une fois par jour le matin ou le soir, était généralement bien toléré, et a présenté un profil de sécurité similaire à celui du placebo. Dans le cadre d'études cliniques contrôlées par placebo, aucun effet indésirable associé au médicament n'a été observé chez ≥1% des patients traités par le montélukast – et avec une incidence supérieure à celle relevée chez les patients sous placebo. Dans le cadre d'une étude clinique de 4 semaines contrôlée par placebo, le profil de sécurité concordait avec celui d'études de 2 semaines. L'apparition de somnolence était comparable avec le placebo dans toutes les études.
- +Le montélukast a été étudié pour le traitement de la rhinite allergique saisonnière chez 2 199 patients âgés de 15 ans et plus dans le cadre d'études cliniques. Le montélukast, administré une fois par jour le matin ou le soir, était généralement bien toléré, et a présenté un profil de sécurité similaire à celui du placebo. Dans le cadre d'études cliniques contrôlées par placebo, aucun effet indésirable associé au médicament n'a été observé chez ≥1% des patients traités par le montélukast – et avec une incidence supérieure à celle relevée chez les patients sous placebo. Dans le cadre d'une étude clinique de 4 semaines contrôlée par placebo, le profil de sécurité concordait avec celui d'études de 2 semaines. L'apparition de somnolence était comparable avec le placebo dans toutes les études.
-Le montélukast a été examiné au cours de deux études cliniques de 6 semaines, contrôlées par placebo, chez 3'235 patients adultes et adolescents âgés de 15 ou plus, dans le traitement de la rhinite allergique perannuelle. Le montélukast administré une fois par jour a été généralement bien toléré et a présenté un profil de sécurité similaire à celui observé chez les patients souffrant d'une rhinite allergique saisonnière. Une étude ayant impliqué des contrôles de routine répétés des valeurs de laboratoire a montré, durant le traitement de 6 semaines, des taux d'ALAT élevés chez 8 patients sur 619 sous montélukast par rapport à 0 patients sur 599 sous placebo. Au cours de ces deux études, aucun effet indésirable médicamenteux n'a été observé chez ≥1% des patients traités par le montélukast et avec une incidence supérieure à celle observée chez les patients sous placebo. La fréquence sous montélukast des cas de somnolence était similaire à celle observée sous placebo.
- +Le montélukast a été examiné au cours de deux études cliniques de 6 semaines, contrôlées par placebo, chez 3 235 patients adultes et adolescents âgés de 15 ou plus, dans le traitement de la rhinite allergique perannuelle. Le montélukast administré une fois par jour a été généralement bien toléré et a présenté un profil de sécurité similaire à celui observé chez les patients souffrant d'une rhinite allergique saisonnière. Une étude ayant impliqué des contrôles de routine répétés des valeurs de laboratoire a montré, durant le traitement de 6 semaines, des taux d'ALAT élevés chez 8 patients sur 619 sous montélukast par rapport à 0 patients sur 599 sous placebo. Au cours de ces deux études, aucun effet indésirable médicamenteux n'a été observé chez ≥1% des patients traités par le montélukast et avec une incidence supérieure à celle observée chez les patients sous placebo. La fréquence sous montélukast des cas de somnolence était similaire à celle observée sous placebo.
-Troubles de la circulation sanguine et lymphatique
- +Affections hématologiques et du système lymphatique
-Troubles du système immunitaire
- +Affections du système immunitaire
-Troubles psychiatriques
- +Affections psychiatriques
-Troubles du système nerveux
- +Affections du système nerveux
-Troubles cardiaques
- +Affections cardiaques
-Organes respiratoires (troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux)
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
-Troubles gastro-intestinaux
- +Affections gastro-intestinales
-Troubles hépato-biliaires
- +Affections hépatobiliaires
-Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
-Troubles musculosquelettiques
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
-Troubles généraux et accidents liés au site d'administration
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
-Après l'introduction sur le marché et lors des études cliniques, des rapports faisant état d'un surdosage aigu chez des enfants avec montélukast. Ces rapports incluaient des situations dans lesquelles des adultes et des enfants avaient pris des doses allant jusqu'à 1'000 mg. Les résultats cliniques et de laboratoire observés ne se distinguaient pas du profil de sécurité chez les adultes et les patients pédiatriques. Dans la plupart des rapports sur des surdosages, aucun effet indésirable n'a été rapporté. Les effets indésirables apparus le plus fréquemment étaient conformes au profil de sécurité du montélukast et comprenaient douleurs abdominales, somnolence, soif, céphalées, vomissements et hyperactivité psychomotrice.
- +Après l'introduction sur le marché et lors des études cliniques, des rapports faisant état d'un surdosage aigu chez des enfants avec montélukast. Ces rapports incluaient des situations dans lesquelles des adultes et des enfants avaient pris des doses allant jusqu'à 1 000 mg. Les résultats cliniques et de laboratoire observés ne se distinguaient pas du profil de sécurité chez les adultes et les patients pédiatriques. Dans la plupart des rapports sur des surdosages, aucun effet indésirable n'a été rapporté. Les effets indésirables apparus le plus fréquemment étaient conformes au profil de sécurité du montélukast et comprenaient douleurs abdominales, somnolence, soif, céphalées, vomissements et hyperactivité psychomotrice.
-Les cystéinyl-leucotriènes (LTC4, LTD4, LTE4) sont des eicosanoïdes inflammatoires puissants, libérés par diverses cellules, y compris les mastocytes et les éosinophiles. Ces importants médiateurs pro-asthmatiques se lient aux récepteurs du cystéinyl-leucotriène-(CysLT). Le récepteur du CysLT de type 1 (CysLT1) se trouve dans les voies respiratoires humaines y compris les cellules musculaires lisses et les macrophages ainsi que sur d'autres cellules pro-inflammatoires (y compris les éosinophiles et certaines cellules souches myéloïdes). Les cystéinyl-leucotriènes ont été associés à la physiopathologie de l'asthme et de la rhinite allergique. Les effets transmis par les leucotriènes lors d'asthme comportent un certain nombre de réactions des voies respiratoires comme une bronchoconstriction, une sécrétion de mucus, une perméabilité vasculaire et le recrutement d'éosinophiles. Lors de rhinite allergique, les cystéinyl-leucotriènes sont libérés par la muqueuse nasale après contact avec un allergène aussi bien au cours de réactions de la phase précoce que de la phase tardive et sont mis en relation avec les symptômes de la rhinite allergique. Lors d'irritation intranasale avec des cystéinyl-leucotriènes, une augmentation de la résistance à la respiration dans le nez et les symptômes d'une obstruction nasale ont été observés.
- +Les cystéinyl-leucotriènes (LTC4, LTD4, LTE4) sont des eicosanoïdes inflammatoires puissants, libérés par diverses cellules, y compris les mastocytes et les éosinophiles. Ces importants médiateurs pro-asthmatiques se lient aux récepteurs du cystéinyl-leucotriène-(CysLT). Le récepteur du CysLT de type 1 (CysLT1) se trouve dans les voies respiratoires humaines y compris les cellules musculaires lisses et les macrophages ainsi que sur d'autres cellules pro-inflammatoires (y compris les éosinophiles et certaines cellules souches myéloïdes). Les cystéinyl-leucotriènes ont été associés à la physiopathologie de l'asthme et de la rhinite allergique. Les effets transmis par les leucotriènes lors d'asthme comportent un certain nombre de réactions des voies respiratoires comme une bronchoconstriction, une sécrétion de mucus, une perméabilité vasculaire et le recrutement d'éosinophiles.
- +Lors de rhinite allergique, les cystéinyl-leucotriènes sont libérés par la muqueuse nasale après contact avec un allergène aussi bien au cours de réactions de la phase précoce que de la phase tardive et sont mis en relation avec les symptômes de la rhinite allergique. Lors d'irritation intranasale avec des cystéinyl-leucotriènes, une augmentation de la résistance à la respiration dans le nez et les symptômes d'une obstruction nasale ont été observés.
-Chez les patients asthmatiques, le montélukast provoque une inhibition marquée des récepteurs des cystéinyl-leucotriènes des voies respiratoires, comme cela a été montré par sa capacité à inhiber la bronchoconstriction provoquée par l'inhalation de LTD4. Des doses faibles de 5 mg provoquent un blocage puissant de la bronchoconstriction induite par le LTD4. Le montélukast provoque une dilatation en l'espace de deux heures après la prise par voie orale; cet effet était additif à la bronchodilatation médiée par un β-agoniste.
- +Chez les patients asthmatiques, le montélukast provoque une inhibition marquée des récepteurs des cystéinyl-leucotriènes des voies respiratoires, comme cela a été montré par sa capacité à inhiber la bronchoconstriction provoquée par l'inhalation de LTD4. Des doses faibles de 5 mg provoquent un blocage puissant de la bronchoconstriction induite par le LTD4. Le montélukast provoque une dilatation en l'espace de deux heures après la prise par voie orale; cet effet était additif à la bronchodilatation médiée par un ß-agoniste.
-Voir «Mécanisme d'action».
- +Voir «Mécanisme d'action»
-Des études séparées sur des adultes ont montré que l'effet clinique de corticostéroïdes inhalatoires peut être complété par le montélukast. Lorsque les deux médicaments sont employés en même temps, la dose du stéroïde peut être réduite. Au cours d'une étude contrôlée par placebo, pendant laquelle les patients recevaient une dose initiale de stéroïdes à inhaler d'environ 1'600 µg par jour, la dose du stéroïde utilisée au cours de la phase d'inclusion a pu être réduite de près de 37%. Le montélukast a permis une réduction supplémentaire de la dose de corticostéroïde inhalatoire de 47%, alors que cette réduction était de 30% dans le groupe sous placebo. Au cours de cette étude, le pourcentage de patients ayant réussi à diminuer les stéroïdes inhalatoires était de 40% sous montélukast et de 29% sous placebo. La majorité des patients ayant besoin en stéroïdes inhalatoires doivent toutefois poursuivre le traitement par les stéroïdes malgré l'association avec le montélukast. Chez les patients avec un besoin établi en stéroïdes inhalatoires, l'effet du montélukast ne suffit pas pour permettre l'arrêt des stéroïdes inhalatoires. Les patients nécessitant des inhalations régulières de β-agonistes à dose fixe ne devraient pas être traités par le montélukast. Au cours d'une autre étude, le montélukast a permis d'obtenir un bénéfice clinique supplémentaire chez un groupe de patients du même type, ayant maintenu l'utilisation de corticostéroïdes inhalatoires (400 µg par jour de béclométhasone), mais n'ayant pas été contrôlés à ce propos. L'arrêt brusque et complet du traitement par la béclométhasone chez les patients ayant reçu aussi bien du montélukast que de la béclométhasone a provoqué, chez certains patients, une aggravation clinique. Tout au plus, pendant un traitement par le montélukast, les stéroïdes inhalatoires ne devraient être arrêtés que progressivement. Chez les patients sensibles à l'aspirine, dont la quasi totalité recevait en même temps des corticostéroïdes inhalatoires et/ou à prendre par voie orale, le montélukast a amélioré de manière significative les paramètres du contrôle de l'asthme.
- +Des études séparées sur des adultes ont montré que l'effet clinique de corticostéroïdes inhalatoires peut être complété par le montélukast. Lorsque les deux médicaments sont employés en même temps, la dose du stéroïde peut être réduite. Au cours d'une étude contrôlée par placebo, pendant laquelle les patients recevaient une dose initiale de stéroïdes à inhaler d'environ 1 600 µg par jour, la dose du stéroïde utilisée au cours de la phase d'inclusion a pu être réduite de près de 37%. Le montélukast a permis une réduction supplémentaire de la dose de corticostéroïde inhalatoire de 47%, alors que cette réduction était de 30% dans le groupe sous placebo. Au cours de cette étude, le pourcentage de patients ayant réussi à diminuer les stéroïdes inhalatoires était de 40% sous montélukast et de 29% sous placebo. La majorité des patients ayant besoin en stéroïdes inhalatoires doivent toutefois poursuivre le traitement par les stéroïdes malgré l'association avec le montélukast. Chez les patients avec un besoin établi en stéroïdes inhalatoires, l'effet du montélukast ne suffit pas pour permettre l'arrêt des stéroïdes inhalatoires. Les patients nécessitant des inhalations régulières de β-agonistes à dose fixe ne devraient pas être traités par le montélukast. Au cours d'une autre étude, le montélukast a permis d'obtenir un bénéfice clinique supplémentaire chez un groupe de patients du même type, ayant maintenu l'utilisation de corticostéroïdes inhalatoires (400 µg par jour de béclométhasone), mais n'ayant pas été contrôlés à ce propos. L'arrêt brusque et complet du traitement par la béclométhasone chez les patients ayant reçu aussi bien du montélukast que de la béclométhasone a provoqué, chez certains patients, une aggravation clinique. Tout au plus, pendant un traitement par le montélukast, les stéroïdes inhalatoires ne devraient être arrêtés que progressivement. Chez les patients sensibles à l'aspirine, dont la quasi totalité recevait en même temps des corticostéroïdes inhalatoires et/ou à prendre par voie orale, le montélukast a amélioré de manière significative les paramètres du contrôle de l'asthme.
-L'efficacité du montélukast dans le traitement de la rhinite allergique saisonnière a été examinée dans le cadre d'études randomisées, de conception similaire, contrôlées par placebo, menées en double aveugle, d'une durée de deux semaines, chez 4'924 patients inclus (1'751 patients ont été traités par le montélukast). Au début de l'étude, les patients étaient âgés de 15 ans et plus, et ils présentaient une rhinite allergique saisonnière dans les antécédents, un test cutané positif vis-à-vis d'au moins un allergène saisonnier significatif ainsi que des symptômes actifs d'une rhinite allergique saisonnière.
-Une évaluation combinée des trois études pivots a montré que les comprimés de 10 mg de montélukast, administrés une fois par jour le soir à 1'189 patients, provoquent, par rapport au placebo, une amélioration statistiquement significative dans les domaines suivants: pour le critère principal symptômes nasaux diurnes et les composantes individuelles (nez bouché, rhinorrhée, démangeaisons nasales et éternuements); pour les symptômes nocturnes et leurs composantes individuelles (nez bouché au réveil, difficultés au coucher et réveil durant la nuit); pour les symptômes combinés (composés de symptômes nasaux diurnes et nocturnes); pour l'évaluation globale de la rhinite allergique par le patient et le médecin traitant.
- +L'efficacité du montélukast dans le traitement de la rhinite allergique saisonnière a été examinée dans le cadre d'études randomisées, de conception similaire, contrôlées par placebo, menées en double aveugle, d'une durée de deux semaines, chez 4 924 patients inclus (1 751 patients ont été traités par le montélukast). Au début de l'étude, les patients étaient âgés de 15 ans et plus, et ils présentaient une rhinite allergique saisonnière dans les antécédents, un test cutané positif vis-à-vis d'au moins un allergène saisonnier significatif ainsi que des symptômes actifs d'une rhinite allergique saisonnière.
- +Une évaluation combinée des trois études pivots a montré que les comprimés de 10 mg de montélukast, administrés une fois par jour le soir à 1 189 patients, provoquent, par rapport au placebo, une amélioration statistiquement significative dans les domaines suivants: pour le critère principal symptômes nasaux diurnes et les composantes individuelles (nez bouché, rhinorrhée, démangeaisons nasales et éternuements); pour les symptômes nocturnes et leurs composantes individuelles (nez bouché au réveil, difficultés au coucher et réveil durant la nuit); pour les symptômes combinés (composés de symptômes nasaux diurnes et nocturnes); pour l'évaluation globale de la rhinite allergique par le patient et le médecin traitant.
-L'efficacité du montélukast dans le traitement de la rhinite allergique perannuelle a été examinée dans le cadre de deux études randomisées, de six semaines, contrôlées par placebo, menées en double aveugle, de conception similaire, ayant inclus 3'235 patients (1'632 patients ont été traités par le montélukast). Les patients étaient âgés de 15 à 82 ans, avaient des antécédents de rhinite allergique perannuelle, présentaient un test cutané positif pour les allergènes perannuels significatifs (y compris les acariens, les pellicules cutanées d'animaux et les spores de moisissures) et souffraient de symptômes actifs de rhinite allergique perannuelle au début de l'étude.
-Au cours d'une étude, le traitement de 1'000 patients par des comprimés de 10 mg de montélukast a permis, par rapport au placebo, une amélioration statistiquement significative du principal critère d'évaluation «Daytime Nasal Symptom Score» et des composantes individuelles du critère d'évaluation (nez bouché, écoulement nasal et éternuements). Le montélukast a permis, par rapport au placebo, une amélioration également ressentie par le patient de la rhinite allergique, mesurée sur la base des critères secondaires «Global Evaluation of Allergic Rhinitis by Patient» et «Rhinoconjunctivitis Quality-of-Life overall score» (moyenne de l'évaluation des 7 domaines activité, sommeil, symptômes non nasaux et non oculaires, problèmes pratiques, symptômes nasaux, symptômes oculaires et sentiments). Au cours d'une deuxième étude, le montélukast n'a pas montré d'amélioration statistiquement significative par rapport au placebo du principal critère d'évaluation, qui comprenait les valeurs moyennes de chacune des composantes comme le nez bouché, les rhinorrhées, les éternuements et les démangeaisons. Au cours d'une analyse post-hoc, la moyenne de 3 composants individuels sélectionnés (nez bouché, rhinorrhée et éternuements) était toutefois meilleure pour le montélukast que pour le placebo.
- +L'efficacité du montélukast dans le traitement de la rhinite allergique perannuelle a été examinée dans le cadre de deux études randomisées, de six semaines, contrôlées par placebo, menées en double aveugle, de conception similaire, ayant inclus 3 235 patients (1 632 patients ont été traités par le montélukast). Les patients étaient âgés de 15 à 82 ans, avaient des antécédents de rhinite allergique perannuelle, présentaient un test cutané positif pour les allergènes perannuels significatifs (y compris les acariens, les pellicules cutanées d'animaux et les spores de moisissures) et souffraient de symptômes actifs de rhinite allergique perannuelle au début de l'étude.
- +Au cours d'une étude, le traitement de 1 000 patients par des comprimés de 10 mg de montélukast a permis, par rapport au placebo, une amélioration statistiquement significative du principal critère d'évaluation «Daytime Nasal Symptom Score» et des composantes individuelles du critère d'évaluation (nez bouché, écoulement nasal et éternuements). Le montélukast a permis, par rapport au placebo, une amélioration également ressentie par le patient de la rhinite allergique, mesurée sur la base des critères secondaires «Global Evaluation of Allergic Rhinitis by Patient» et «Rhinoconjunctivitis Quality-of-Life overall score» (moyenne de l'évaluation des 7 domaines activité, sommeil, symptômes non nasaux et non oculaires, problèmes pratiques, symptômes nasaux, symptômes oculaires et sentiments). Au cours d'une deuxième étude, le montélukast n'a pas montré d'amélioration statistiquement significative par rapport au placebo du principal critère d'évaluation, qui comprenait les valeurs moyennes de chacune des composantes comme le nez bouché, les rhinorrhées, les éternuements et les démangeaisons. Au cours d'une analyse post-hoc, la moyenne de 3 composants individuels sélectionnés (nez bouché, rhinorrhée et éternuements) était toutefois meilleure pour le montélukast que pour le placebo.
-Patients âgés: biodisponibilité 61%, tmax 2,8 heures ± 1 heure, l'AUC ne diffère pas de celle des jeunes adultes de manière significative, CI 31 ml/min., t½ = 6,6 heures.
- +Troubles de la fonction hépatique
- +Patients âgés
- +Biodisponibilité 61%, tmax 2,8 heures ±1 heure, l'AUC ne diffère pas de celle des jeunes adultes de manière significative, CI 31 ml/min., t½= 6,6 heures.
-Conserver le médicament, à température ambiante (15-25 °C), dans l'emballage d'origine à l'abri de la lumière et hors de la portée des enfants.
- +Conserver le médicament, à température ambiante (15-25° C), dans l'emballage d'origine à l'abri de la lumière et hors de la portée des enfants
-Spirig HealthCare SA, 4622 Egerkingen.
- +Spirig HealthCare SA, 4622 Egerkingen
-Septembre 2019.
- +Septembre 2019
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