ch.oddb.org
 
Apotheken | Hôpital | Interactions | LiMA | Médecin | Médicaments | Services | T. de l'Autorisation
Accueil - Information professionnelle sur Montelukast Spirig HC 4 - Changements - 29.08.2019
90 Changements de l'information professionelle Montelukast Spirig HC 4
  • -Asthme bronchique chronique chez l'enfant dès 6 ans.
  • +Asthme bronchique chronique chez lenfant dès 6 ans.
  • -a.à titre de monothérapie lors des formes légères ne nécessitant pas l'emploi de stéroïdes;
  • -b.à titre de traitement adjuvant, en même temps que des corticoïdes lors des formes plus sévères.
  • +a) à titre de monothérapie lors des formes légères ne nécessitant pas lemploi de stéroïdes;
  • +b) à titre de traitement adjuvant, en même temps que des corticoïdes lors des formes plus sévères.
  • -Montelukast Spirig HC doit être pris une fois par jour. Pour le traitement de l'asthme, la dose doit être prise le soir avant le coucher. Pour le traitement de la rhinite allergique, la préparation peut être prise soit le matin, soit le soir.
  • -Les patients souffrant d'asthme et de rhinite allergique ne doivent prendre qu'un comprimé par jour le soir.
  • -La posologie chez les patients pédiatriques âgés entre 6 et 14 ans souffrant d'asthme et/ou de rhinite allergique est de un comprimé à mâcher de 5 mg par jour.
  • -La posologie chez les patients pédiatriques âgés entre 2 et 5 ans souffrant d'asthme et/ou de rhinite allergique est de un comprimé à mâcher de 4 mg par jour.
  • -La sécurité et l'efficacité chez les patients pédiatriques de moins de 2 ans n'ont pas été établies.
  • +Montelukast Spirig HC doit être pris une fois par jour. Pour le traitement de lasthme, la dose doit être prise le soir avant le coucher. Pour le traitement de la rhinite allergique, la préparation peut être prise soit le matin, soit le soir.
  • +Les patients souffrant dasthme et de rhinite allergique ne doivent prendre quun comprimé par jour le soir.
  • +La posologie chez les patients pédiatriques âgés entre 6 et 14 ans souffrant dasthme et/ou de rhinite allergique est de un comprimé à mâcher de 5 mg par jour.
  • +La posologie chez les patients pédiatriques âgés entre 2 et 5 ans souffrant dasthme et/ou de rhinite allergique est de un comprimé à mâcher de 4 mg par jour.
  • +La sécurité et lefficacité chez les patients pédiatriques de moins de 2 ans nont pas été établies.
  • -Un effet thérapeutique de Montelukast Spirig HC sur les paramètres du contrôle de l'asthme peut se manifester en l'espace d'un jour. Montelukast Spirig HC comprimés à mâcher peuvent être pris pendant les repas ou en dehors de ceux-ci. Il convient de recommander aux patients de poursuivre le traitement par Montelukast Spirig HC aussi bien lorsque leur asthme est contrôlé que pendant les périodes d'aggravation de leur asthme.
  • -Chez les patients pédiatriques âgés de 2 à 15 ans, les patients souffrant d'insuffisance rénale ou d'insuffisance hépatique légère à modérée, ainsi que chez les patients des deux sexes, aucune adaptation de la dose n'est nécessaire.
  • -Traitement par Montelukast Spirig HC en cas d'association avec d'autres traitements anti-asthmatiques
  • -En cas de besoin, Montelukast Spirig HC peut être ajouté à un traitement anti-asthmatique préexistant par stéroïdes inhalatoires ou par β-agonistes.
  • +Un effet thérapeutique de Montelukast Spirig HC sur les paramètres du contrôle de lasthme peut se manifester en lespace dun jour. Montelukast Spirig HC comprimés à mâcher peuvent être pris pendant les repas ou en dehors de ceux-ci. Il convient de recommander aux patients de poursuivre le traitement par Montelukast Spirig HC aussi bien lorsque leur asthme est contrôlé que pendant les périodes daggravation de leur asthme.
  • +Chez les patients pédiatriques âgés de 2 à 15 ans, les patients souffrant dinsuffisance rénale ou dinsuffisance hépatique légère à modérée, ainsi que chez les patients des deux sexes, aucune adaptation de la dose nest nécessaire.
  • +Traitement par Montelukast Spirig HC en cas dassociation avec dautres traitements anti-asthmatiques
  • +En cas de besoin, Montelukast Spirig HC peut être ajouté à un traitement anti-asthmatique préexistant par stéroïdes inhalatoires ou par ß-agonistes.
  • -Traitement bronchodilatatoire: Montelukast Spirig HC peut être ajouté à un traitement préexistant du patient, si le traitement bronchodilatatoire seul est insuffisant. Lorsqu'une amélioration clinique nette s'est manifestée (généralement après la première dose), le traitement bronchodilatatoire du patient peut être réduit progressivement, selon la tolérance.
  • -Corticostéroïdes inhalatoires: le traitement par Montelukast Spirig HC procure un bénéfice clinique supplémentaire aux patients traités par des corticostéroïdes inhalatoires. Une réduction de la dose de corticostéroïdes peut être envisagée selon l'évolution clinique. La dose devrait être réduite progressivement et sous contrôle médical. Chez certains patients, la dose des corticostéroïdes pourrait être complètement supprimée après une diminution progressive. Montelukast Spirig HC ne devrait pas remplacer brusquement les corticostéroïdes inhalatoires.
  • +Traitement bronchodilatatoire: Montelukast Spirig HC peut être ajouté à un traitement préexistant du patient, si le traitement bronchodilatatoire seul est insuffisant. Lorsquune amélioration clinique nette sest manifestée (généralement après la première dose), le traitement bronchodilatatoire du patient peut être réduit progressivement, selon la tolérance.
  • +Corticostéroïdes inhalatoires: le traitement par Montelukast Spirig HC procure un bénéfice clinique supplémentaire aux patients traités par des corticostéroïdes inhalatoires. Une réduction de la dose de corticostéroïdes peut être envisagée selon lévolution clinique. La dose devrait être réduite progressivement et sous contrôle médical. Chez certains patients, la dose des corticostéroïdes pourrait être complètement supprimée après une diminution progressive. Montelukast Spirig HC ne devrait pas remplacer brusquement les corticostéroïdes inhalatoires.
  • -L'effet du montélukast chez les patients souffrant d'asthme aigu (aggravation rapide du VEMS1) n'a pas fait l'objet d'études. Montelukast Spirig HC ne devrait pas être utilisé pour le traitement des crises aiguës d'asthme. Il convient d'informer les patients du fait qu'ils devraient toujours porter sur eux la médication d'urgence qui convient.
  • +Leffet du montélukast chez les patients souffrant dasthme aigu (aggravation rapide du VEMS1) na pas fait lobjet détudes. Montelukast Spirig HC ne devrait pas être utilisé pour le traitement des crises aiguës dasthme. Il convient dinformer les patients du fait quils devraient toujours porter sur eux la médication durgence qui convient.
  • -Il faut expliquer aux patients que lorsqu'ils utilisent Montelukast Spirig HC, ils doivent demander des conseils médicaux si des bronchodilatateurs inhalatoires de courte durée d'action doivent être utilisés plus souvent qu'habituellement ou si un nombre d'inhalations supérieur au nombre maximal d'inhalations pour un traitement à courte durée d'action par bronchodilatateurs est nécessaire en l'espace de 24 heures.
  • -Des événements neuropsychiatriques ont été rapportés chez des patients sous montélukast. Des rapports post-commercialisation correspondants concernant des enfants, des adolescents et des adultes ont signalé des rêves anormaux, des hallucinations, une agitation y compris un comportement agressif ou hostile, une hyperactivité psychomotrice (y compris une irritabilité de la nervosité et des tremblements, de l'anxiété, des états dépressifs, une désorientation, une perturbation de l'attention, une diminution de la mémoire, des idées et comportements suicidaires, un somnambulisme et des insomnies. Étant donné que d'autres facteurs peuvent avoir contribué à ces manifestations, on ignore s'il existe un rapport causal avec le montélukast. Les patients et/ou les personnes responsables des patients doivent être instruits qu'ils doivent informer le médecin traitant si de telles modifications se produisent. Les risques et les avantages d'une poursuite du traitement devront alors être réévalués.
  • -Dans de rares cas, un ou plusieurs des signes suivants sont apparus chez les patients sous antiasthmatiques, antagonistes des récepteurs des leucotriènes inclus: éosinophilie, éruption cutanée associée à une angéite, aggravation des symptômes pulmonaires, complications cardiaques et/ou neuropathie, parfois sous forme du syndrome de Churg-Strauss, angéite systémique accompagnée d'éosinophilie. Ces cas étaient parfois associés à une réduction ou l'arrêt d'une corticothérapie par voie orale. Bien qu'aucun lien de cause à effet avec l'antagonisme du récepteur des leucotriènes n'ait pu être constaté, une prudence et une surveillance cliniques particulières sont recommandées chez les patients sous Montelukast Spirig HC.
  • -Les comprimés à mâcher Montelukast Spirig HC de 5 mg et 4 mg contiennent de l'aspartame libérant de la phénylalanine dans le corps (3,368 mg de phénylalanine par comprimé à mâcher de 5 mg et 2,269 mg de phénylalanine par comprimé à mâcher de 4 mg).
  • +Il faut expliquer aux patients que lorsquils utilisent Montelukast Spirig HC, ils doivent demander des conseils médicaux si des bronchodilatateurs inhalatoires de courte durée daction doivent être utilisés plus souvent quhabituellement ou si un nombre dinhalations supérieur au nombre maximal dinhalations pour un traitement à courte durée daction par bronchodilatateurs est nécessaire en lespace de 24 heures.
  • +Des événements neuropsychiatriques ont été rapportés chez des patients sous montélukast. Des rapports post-commercialisation correspondants concernant des enfants, des adolescents et des adultes ont signalé des rêves anormaux, des hallucinations, une agitation y compris un comportement agressif ou hostile, une hyperactivité psychomotrice (y compris une irritabilité de la nervosité et des tremblements), une dysphémie (bégaiement), de lanxiété, des états dépressifs, des symptômes obsessifs-compulsifs, une désorientation, une perturbation de l'attention, une diminution de la mémoire, des idées et comportements suicidaires, un somnambulisme et des insomnies, un tic. Étant donné que dautres facteurs peuvent avoir contribué à ces manifestations, on ignore sil existe un rapport causal avec le montélukast. Les patients et/ou les personnes responsables des patients doivent être instruits quils doivent informer le médecin traitant si de telles modifications se produisent. Les risques et les avantages dune poursuite du traitement devront alors être réévalués.
  • +Dans de rares cas, un ou plusieurs des signes suivants sont apparus chez les patients sous antiasthmatiques, antagonistes des récepteurs des leucotriènes inclus: éosinophilie, éruption cutanée associée à une angéite, aggravation des symptômes pulmonaires, complications cardiaques et/ou neuropathie, parfois sous forme du syndrome de Churg-Strauss, angéite systémique accompagnée déosinophilie. Ces cas étaient parfois associés à une réduction ou l'arrêt d'une corticothérapie par voie orale. Bien quaucun lien de cause à effet avec lantagonisme du récepteur des leucotriènes nait pu être constaté, une prudence et une surveillance cliniques particulières sont recommandées chez les patients sous Montelukast Spirig HC.
  • +Les comprimés à mâcher Montelukast Spirig HC de 5 mg et 4 mg contiennent de laspartame libérant de la phénylalanine dans le corps (3,368 mg de phénylalanine par comprimé à mâcher de 5 mg et 2,269 mg de phénylalanine par comprimé à mâcher de 4 mg).
  • -Montelukast Spirig HC peut être administré en même temps que d'autres médicaments utilisées de manière routinière dans la prophylaxie et le traitement chronique de l'asthme et le traitement de la rhinite allergique. Au cours d'études portant sur d'éventuelles interactions médicamenteuses, la dose clinique recommandée du montélukast n'a pas eu d'effet significatif sur la pharmacocinétique des médicaments suivants: prednisolone, contraceptifs oraux (éthinylestradiol/noréthindrone 35/1), terfénadine, digoxine et warfarine. Aucune étude portant sur d'éventuelles interactions entre le montélukast et les anticoagulants usuels en Suisse (acénocoumarol, phenprocoumone) n'a été effectuée.
  • -L'aire sous la courbe des concentrations plasmatiques (AUC) du montélukast était réduite de 40% environ chez les personnes recevant du phénobarbital en même temps. Aucune adaptation de la dose de Montelukast Spirig HC n'est recommandée.
  • +Montelukast Spirig HC peut être administré en même temps que dautres médicaments utilisées de manière routinière dans la prophylaxie et le traitement chronique de lasthme et le traitement de la rhinite allergique. Au cours détudes portant sur déventuelles interactions médicamenteuses, la dose clinique recommandée du montélukast n'a pas eu deffet significatif sur la pharmacocinétique des médicaments suivants: prednisolone, contraceptifs oraux (éthinylestradiol/noréthindrone 35/1), terfénadine, digoxine et warfarine. Aucune étude portant sur déventuelles interactions entre le montélukast et les anticoagulants usuels en Suisse (acénocoumarol, phenprocoumone) na été effectuée.
  • +L'aire sous la courbe des concentrations plasmatiques (AUC) du montélukast était réduite de 40% environ chez les personnes recevant du phénobarbital en même temps. Aucune adaptation de la dose de Montelukast Spirig HC nest recommandée.
  • -Grossesse/Allaitement
  • -Les études de reproduction chez l'animal n'ont pas démontré de risque pour la fertilité et pour l'embryon ni de risque fœtal, mais on ne dispose pas d'étude contrôlée chez la femme enceinte. L'utilisation de Montelukast Spirig HC chez les femmes enceintes n'a pas été testée.
  • -Des rapports de post-commercialisation ont fait état de rares cas de malformations congénitales des membres chez des enfants dont la mère avait été traitée par le montélukast pendant la grossesse. La plupart de ces mères avaient pris des médicaments supplémentaires pour le traitement de l'asthme durant leur grossesse. Aucun lien causal entre ces événements et le montélukast n'a pu être démontré.
  • +Grossesse/ Allaitement
  • +Les études de reproduction chez l'animal n'ont pas démontré de risque pour la fertilité et pour lembryon ni de risque fœtal, mais on ne dispose pas d'étude contrôlée chez la femme enceinte. Lutilisation de Montelukast Spirig HC chez les femmes enceintes na pas été testée.
  • +Des rapports de post-commercialisation ont fait état de rares cas de malformations congénitales des membres chez des enfants dont la mère avait été traitée par le montélukast pendant la grossesse. La plupart de ces mères avaient pris des médicaments supplémentaires pour le traitement de lasthme durant leur grossesse. Aucun lien causal entre ces événements et le montélukast na pu être démontré.
  • -Utilisation pendant l'allaitement
  • -Le montélukast passe dans le lait maternel des animaux et pour cette raison ne devrait pas être utilisé pendant l'allaitement.
  • +Utilisation pendant lallaitement
  • +Le montélukast passe dans le lait maternel des animaux et pour cette raison ne devrait pas être utilisé pendant lallaitement.
  • -L'influence de Montelukast Spirig HC sur la capacité à conduire ou à utiliser des machines n'a pas fait l'objet d'études particulières.
  • +Linfluence de Montelukast Spirig HC sur la capacité à conduire ou à utiliser des machines na pas fait lobjet détudes particulières.
  • -Les effets indésirables, le plus souvent bénins, n'ont gérnéralement pas nécessité l'interruption du traitement. L'incidence totale des effets secondaires apparus sous montélukast était semblable à celle des effets secondaires apparus sous placebo.
  • -Le montélukast a été testé, dans le cadre d'études cliniques, chez près de 2'600 patients asthmatiques âgés de 15 ans ou plus. Dans le cadre de deux études cliniques contrôlées par placebo de conception similaire, d'une durée de 12 semaines, seules une dyspepsie, des douleurs abdominales et des céphalées associées au médicament ont été rapportées chez des patients traités par le montélukast. En outre, des maux de dents ont été rapportés, mais aucun lien causal avec le médicament n'a été démontré. Le taux d'incidence de ces manifestations ne différait pas de manière significative d'un groupe de traitement à l'autre. Au cours d'études cliniques dont les durées de traitement étaient plus longues, pouvant aller jusqu'à deux ans, aucune différence au niveau du profil des effets indésirables n'est apparue.
  • -Le montélukast a également été testé chez près de 475 patients pédiatriques souffrant d'asthme, âgés de 6 à 14 ans. Au cours d'une étude clinique de 8 semaines, contrôlée par placebo, les seuls effets indésirables associés au médicament rapportés par plus de 1% des patients traités avec montélukast et apparus avec une incidence plus élevée que sous placebo, étaient des céphalées. Le taux d'incidence de ces manifestations ne différait pas de manière significative d'un groupe à l'autre. Au cours d'études cliniques dont les durées de traitement étaient plus longues, pouvant aller jusqu'à six mois, aucune différence au niveau du profil des effets indésirables n'est apparue. Au cours d'études destinées à évaluer le taux de croissance, le profil de sécurité chez les patients pédiatriques s'est avéré consistant par rapport au profil de sécurité du montélukast décrit auparavant.
  • -Le montélukast a également été testé chez 573 patients pédiatriques souffrant d'asthme, âgés de 2 à 5 ans. Dans le cadre d'une étude clinique contrôlée par placebo, de 12 semaines, comme un effet indésirable associé au médicament chez >1% des patients traités avec Singulair et avec une incidence plus élevée que chez les patients sous placebo, une soif a été. Les taux d'incidence de la soif n'étaient pas différents de manière significative entre les deux groupes de traitement.
  • -Un nombre cumulé de 426 patients pédiatriques souffrant d'asthme, âgés de 2 à 5 ans, ont été traités par le montélukast durant 3 mois au moins, 230 durant 6 mois ou plus et 63 durant 12 mois ou plus. Aucune modification n'est apparue dans le profil des effets indésirables lors d'un traitement plus long.
  • +Les effets indésirables, le plus souvent bénins, n'ont gérnéralement pas nécessité l'interruption du traitement. Lincidence totale des effets secondaires apparus sous montélukast était semblable à celle des effets secondaires apparus sous placebo.
  • +Le montélukast a été testé, dans le cadre détudes cliniques, chez près de 2 600 patients asthmatiques âgés de 15 ans ou plus. Dans le cadre de deux études cliniques contrôlées par placebo de conception similaire, dune durée de 12 semaines, seules une dyspepsie, des douleurs abdominales et des céphalées associées au médicament ont été rapportées chez des patients traités par le montélukast. En outre, des maux de dents ont été rapportés, mais aucun lien causal avec le médicament na été démontré. Le taux dincidence de ces manifestations ne différait pas de manière significative dun groupe de traitement à lautre. Au cours détudes cliniques dont les durées de traitement étaient plus longues, pouvant aller jusquà deux ans, aucune différence au niveau du profil des effets indésirables nest apparue.
  • +Le montélukast a également été testé chez près de 475 patients pédiatriques souffrant dasthme, âgés de 6 à 14 ans. Au cours dune étude clinique de 8 semaines, contrôlée par placebo, les seuls effets indésirables associés au médicament rapportés par plus de 1% des patients traités avec montélukast et apparus avec une incidence plus élevée que sous placebo, étaient des céphalées. Le taux dincidence de ces manifestations ne différait pas de manière significative dun groupe à lautre. Au cours détudes cliniques dont les durées de traitement étaient plus longues, pouvant aller jusquà six mois, aucune différence au niveau du profil des effets indésirables nest apparue. Au cours d'études destinées à évaluer le taux de croissance, le profil de sécurité chez les patients pédiatriques sest avéré consistant par rapport au profil de sécurité du montélukast décrit auparavant.
  • +Le montélukast a également été testé chez 573 patients pédiatriques souffrant dasthme, âgés de 2 à 5 ans. Dans le cadre dune étude clinique contrôlée par placebo, de 12 semaines, comme un effet indésirable associé au médicament chez >1% des patients traités avec Singulair et avec une incidence plus élevée que chez les patients sous placebo, une soif a été. Les taux dincidence de la soif nétaient pas différents de manière significative entre les deux groupes de traitement.
  • +Un nombre cumulé de 426 patients pédiatriques souffrant dasthme, âgés de 2 à 5 ans, ont été traités par le montélukast durant 3 mois au moins, 230 durant 6 mois ou plus et 63 durant 12 mois ou plus. Aucune modification nest apparue dans le profil des effets indésirables lors dun traitement plus long.
  • -Le montélukast a été étudié pour le traitement de la rhinite allergique saisonnière chez 2'199 patients âgés de 15 ans et plus dans le cadre d'études cliniques. Le montélukast, administré une fois par jour le matin ou le soir, était généralement bien toléré, et a présenté un profil de sécurité similaire à celui du placebo. Dans le cadre d'études cliniques contrôlées par placebo, aucun effet indésirable associé au médicament n'a été observé chez ≥1% des patients traités par le montélukast – et avec une incidence supérieure à celle relevée chez les patients sous placebo. Dans le cadre d'une étude clinique de 4 semaines contrôlée par placebo, le profil de sécurité concordait avec celui d'études de 2 semaines. L'apparition de somnolence était comparable avec le placebo dans toutes les études.
  • +Le montélukast a été étudié pour le traitement de la rhinite allergique saisonnière chez 2 199 patients âgés de 15 ans et plus dans le cadre détudes cliniques. Le montélukast, administré une fois par jour le matin ou le soir, était généralement bien toléré, et a présenté un profil de sécurité similaire à celui du placebo. Dans le cadre détudes cliniques contrôlées par placebo, aucun effet indésirable associé au médicament na été observé chez ≥1% des patients traités par le montélukast – et avec une incidence supérieure à celle relevée chez les patients sous placebo. Dans le cadre dune étude clinique de 4 semaines contrôlée par placebo, le profil de sécurité concordait avec celui détudes de 2 semaines. Lapparition de somnolence était comparable avec le placebo dans toutes les études.
  • -Le montélukast a été examiné dans le cadre d'une étude clinique contrôlée par placebo de 2 semaines chez 280 enfants âgés de 2 à 14 ans, dans le traitement de la rhinite allergique saisonnière. Le montélukast, administré une fois par jour le soir, était généralement bien toléré et présentait un profil de sécurité similaire à celui du placebo. Dans le cadre de cette étude, aucun effet indésirable associé au médicament n'a été observé chez ≥1% des patients traités par le montélukast et avec une incidence supérieure à celle observée chez les patients sous placebo.
  • +Le montélukast a été examiné dans le cadre dune étude clinique contrôlée par placebo de 2 semaines chez 280 enfants âgés de 2 à 14 ans, dans le traitement de la rhinite allergique saisonnière. Le montélukast, administré une fois par jour le soir, était généralement bien toléré et présentait un profil de sécurité similaire à celui du placebo. Dans le cadre de cette étude, aucun effet indésirable associé au médicament n’a été observé chez ≥1% des patients traités par le montélukast et avec une incidence supérieure à celle observée chez les patients sous placebo.
  • -Le montélukast a été examiné au cours de deux études cliniques de 6 semaines, contrôlées par placebo, chez 3'235 patients adultes et adolescents âgés de 15 ou plus, dans le traitement de la rhinite allergique perannuelle. Le montélukast administré une fois par jour a été généralement bien toléré et a présenté un profil de sécurité similaire à celui observé chez les patients souffrant d'une rhinite allergique saisonnière. Une étude ayant impliqué des contrôles de routine répétés des valeurs de laboratoire a montré, durant le traitement de 6 semaines, des taux d'ALAT élevés chez 8 patients sur 619 sous montélukast par rapport à 0 patients sur 599 sous placebo. Au cours de ces deux études, aucun effet indésirable associé au médicament n'a été observé chez ≥1% des patients traités par le montélukast et avec une incidence supérieure à celle observée chez les patients sous placebo. La fréquence sous montélukast des cas de somnolence était similaire à celle observée sous placebo.
  • -Les effets indésirables ci-après ont été rapportés après l'introduction sur le marché:
  • +Le montélukast a été examiné au cours de deux études cliniques de 6 semaines, contrôlées par placebo, chez 3 235 patients adultes et adolescents âgés de 15 ou plus, dans le traitement de la rhinite allergique perannuelle. Le montélukast administré une fois par jour a été généralement bien toléré et a présenté un profil de sécurité similaire à celui observé chez les patients souffrant d'une rhinite allergique saisonnière. Une étude ayant impliqué des contrôles de routine répétés des valeurs de laboratoire a montré, durant le traitement de 6 semaines, des taux dALAT élevés chez 8 patients sur 619 sous montélukast par rapport à 0 patients sur 599 sous placebo. Au cours de ces deux études, aucun effet indésirable associé au médicament n'a été observé chez ≥1% des patients traités par le montélukast et avec une incidence supérieure à celle observée chez les patients sous placebo. La fréquence sous montélukast des cas de somnolence était similaire à celle observée sous placebo.
  • +Les effets indésirables ci-après ont été rapportés après lintroduction sur le marché:
  • -Réactions d'hypersensibilité (y compris anaphylaxie et très rarement infiltration du foie par des éosinophiles). De très rares cas de syndrome de Churg-Strauss (CSS) ont été rapportés dans le cadre du traitement de patients asthmatiques avec montélukast (voir sous «Mises en garde et précautions»).
  • +Réactions dhypersensibilité (y compris anaphylaxie et très rarement infiltration du foie par des éosinophiles). De très rares cas de syndrome de Churg-Strauss (CSS) ont été rapportés dans le cadre du traitement de patients asthmatiques avec montélukast (voir sous «Mises en garde et précautions»).
  • -Rêves anormaux, hallucinations, agitation y compris comportement agressif ou négatif, hyperactivité psychomotrice (y compris irritabilité, nervosité et tremblements), anxiété, dépression, désorientation, perturbation de l'attention, diminution de la mémoire, des idées et comportements suicidaires, somnambulisme, insomnie, tic.
  • +Rêves anormaux, hallucinations, agitation y compris comportement agressif ou négatif, hyperactivité psychomotrice (y compris irritabilité, nervosité et tremblements), dysphémie (bégaiement), anxiété, dépression, désorientation, perturbation de l'attention, diminution de la mémoire, symptômes obsessifs-compulsifs, des idées et comportements suicidaires, somnambulisme, insomnie, tic.
  • -Taux accrus d'ALAT et d'ASAT, très rarement hépatite (y compris lésion hépatique cholestatique, hépatocellulaire et de type «mixed-pattern»).
  • +Taux accrus dALAT et dASAT, très rarement hépatite (y compris lésion hépatique cholestatique, hépatocellulaire et de type «mixed-pattern»).
  • -Troubles généraux et accidents liés au site d'administration
  • +Troubles généraux et accidents liés au site dadministration
  • -Aucune information spécifique relative au surdosage de montélukast n'est disponible. Au cours d'études portant sur l'asthme chronique, le montélukast a été administré à des doses pouvant aller jusqu'à 200 mg/jour, pendant 22 semaines; et au cours d'études à court terme, il a été administré à des doses maximales de 900 mg/jour pendant une semaine environ, sans que des effets secondaires cliniques importants ne soient apparus.
  • -Après l'introduction sur le marché et lors des études cliniques, des rapports faisant état d'un surdosage aigu chez des enfants avec montélukast. Ces rapports incluaient des situations dans lesquelles des adultes et des enfants avaient pris des doses allant jusqu'à 1'000 mg. Les résultats cliniques et de laboratoire observés ne se distinguaient pas du profil de sécurité chez les adultes et les patients pédiatriques. Dans la plupart des rapports sur des surdosages, aucun effet indésirable n'a été rapporté. Les effets indésirables apparus le plus fréquemment étaient conformes au profil de sécurité du montélukast et comprenaient douleurs abdominales, somnolence, soif, céphalées, vomissements et hyperactivité psychomotrice.
  • +Aucune information spécifique relative au surdosage de montélukast nest disponible. Au cours détudes portant sur lasthme chronique, le montélukast a été administré à des doses pouvant aller jusquà 200 mg/jour, pendant 22 semaines; et au cours détudes à court terme, il a été administré à des doses maximales de 900 mg/jour pendant une semaine environ, sans que des effets secondaires cliniques importants ne soient apparus.
  • +Après lintroduction sur le marché et lors des études cliniques, des rapports faisant état dun surdosage aigu chez des enfants avec montélukast. Ces rapports incluaient des situations dans lesquelles des adultes et des enfants avaient pris des doses allant jusqu'à 1 000 mg. Les résultats cliniques et de laboratoire observés ne se distinguaient pas du profil de sécurité chez les adultes et les patients pédiatriques. Dans la plupart des rapports sur des surdosages, aucun effet indésirable na été rapporté. Les effets indésirables apparus le plus fréquemment étaient conformes au profil de sécurité du montélukast et comprenaient douleurs abdominales, somnolence, soif, céphalées, vomissements et hyperactivité psychomotrice.
  • -Les cystéinyl-leucotriènes (LTC4, LTD4, LTE4) sont des eicosanoïdes inflammatoires puissants, libérés par diverses cellules, y compris les mastocytes et les éosinophiles. Ces importants médiateurs pro-asthmatiques se lient aux récepteurs du cystéinyl-leucotriène-(CysLT). Le récepteur du CysLT de type 1 (CysLT1) se trouve dans les voies respiratoires humaines, y compris les cellules musculaires lisses et les macrophages ainsi que sur d'autres cellules pro-inflammatoires (y compris les éosinophiles et certaines cellules souches myéloïdes). Les cystéinyl-leucotriènes ont été associés à la physiopathologie de l'asthme et de la rhinite allergique. Les effets transmis par les leucotriènes lors d'asthme comportent un certain nombre de réactions des voies respiratoires comme une bronchoconstriction, une sécrétion de mucus, une perméabilité vasculaire et le recrutement d'éosinophiles. Lors de rhinite allergique, les cystéinyl-leucotriènes sont libérés par la muqueuse nasale après contact avec un allergène aussi bien au cours de réactions de la phase précoce que de la phase tardive et sont mis en relation avec les symptômes de la rhinite allergique. Lors d'irritation intranasale avec des cystéinyl-leucotriènes, une augmentation de la résistance à la respiration dans le nez et les symptômes d'une obstruction nasale ont été observés.
  • -Le montélukast est une substance dotée de propriétés anti-inflammatoires, capables d'améliorer les paramètres de la réaction inflammatoire asthmatique de manière significative. Des essais biochimiques et pharmacologiques ont montré que le montélukast se lie au récepteur CysLT1 avec une forte affinité et sélectivité (et cela avec une préférence par rapport à d'autres récepteurs pharmacologiquement importants des voies respiratoires, comme le récepteur prostanoïde, cholinergique et β-adrénergique). Le montélukast inhibe efficacement et sans activité agoniste les effets physiologiques du LTC4, du LTD4 et du LTE4 sur le récepteur CysLT1.
  • -Chez les patients asthmatiques, le montélukast provoque une inhibition marquée des récepteurs des cystéinyl-leucotriènes des voies respiratoires, comme cela a été montré par sa capacité à inhiber la bronchoconstriction provoquée par l'inhalation de LTD4. Des doses faibles de 5 mg provoquent un blocage puissant de la bronchoconstriction induite par le LTD4. Le montélukast provoque une dilatation en l'espace de deux heures après la prise par voie orale; cet effet était additif à la bronchodilatation médiée par un β-agoniste.
  • +Les cystéinyl-leucotriènes (LTC4, LTD4, LTE4) sont des eicosanoïdes inflammatoires puissants, libérés par diverses cellules, y compris les mastocytes et les éosinophiles. Ces importants médiateurs pro-asthmatiques se lient aux récepteurs du cystéinyl-leucotriène-(CysLT). Le récepteur du CysLT de type 1 (CysLT1) se trouve dans les voies respiratoires humaines, y compris les cellules musculaires lisses et les macrophages ainsi que sur dautres cellules pro-inflammatoires (y compris les éosinophiles et certaines cellules souches myéloïdes). Les cystéinyl-leucotriènes ont été associés à la physiopathologie de lasthme et de la rhinite allergique. Les effets transmis par les leucotriènes lors dasthme comportent un certain nombre de réactions des voies respiratoires comme une bronchoconstriction, une sécrétion de mucus, une perméabilité vasculaire et le recrutement d'éosinophiles. Lors de rhinite allergique, les cystéinyl-leucotriènes sont libérés par la muqueuse nasale après contact avec un allergène aussi bien au cours de réactions de la phase précoce que de la phase tardive et sont mis en relation avec les symptômes de la rhinite allergique. Lors dirritation intranasale avec des cystéinyl-leucotriènes, une augmentation de la résistance à la respiration dans le nez et les symptômes dune obstruction nasale ont été observés.
  • +Le montélukast est une substance dotée de propriétés anti-inflammatoires, capables daméliorer les paramètres de la réaction inflammatoire asthmatique de manière significative. Des essais biochimiques et pharmacologiques ont montré que le montélukast se lie au récepteur CysLT1 avec une forte affinité et sélectivité (et cela avec une préférence par rapport à dautres récepteurs pharmacologiquement importants des voies respiratoires, comme le récepteur prostanoïde, cholinergique et ß-adrénergique). Le montélukast inhibe efficacement et sans activité agoniste les effets physiologiques du LTC4, du LTD4 et du LTE4 sur le récepteur CysLT1.
  • +Chez les patients asthmatiques, le montélukast provoque une inhibition marquée des récepteurs des cystéinyl-leucotriènes des voies respiratoires, comme cela a été montré par sa capacité à inhiber la bronchoconstriction provoquée par linhalation de LTD4. Des doses faibles de 5 mg provoquent un blocage puissant de la bronchoconstriction induite par le LTD4. Le montélukast provoque une dilatation en lespace de deux heures après la prise par voie orale; cet effet était additif à la bronchodilatation médiée par un ß-agoniste.
  • -Des études cliniques ont montré que le montélukast est efficace chez les adultes et les patients pédiatriques pour le traitement chronique de l'asthme, y compris des symptômes diurnes et nocturnes, pour le traitement des patients asthmatiques sensibles à l'aspirine et pour la bronchoconstriction due à un effort physique. Pour le traitement d'entretien, le montélukast est efficace seul ou en association avec d'autres substances. Le montélukast et les corticostéroïdes inhalatoires peuvent être employés en même temps. Lors de l'administration concomitante de montélukast et de stéroïdes inhalatoires, la dose de ces derniers peut être réduite.
  • +Des études cliniques ont montré que le montélukast est efficace chez les adultes et les patients pédiatriques pour le traitement chronique de lasthme, y compris des symptômes diurnes et nocturnes, pour le traitement des patients asthmatiques sensibles à laspirine et pour la bronchoconstriction due à un effort physique. Pour le traitement dentretien, le montélukast est efficace seul ou en association avec dautres substances. Le montélukast et les corticostéroïdes inhalatoires peuvent être employés en même temps. Lors de ladministration concomitante de montélukast et de stéroïdes inhalatoires, la dose de ces derniers peut être réduite.
  • -Deux études semblables de 12 semaines, contrôlées par placebo et menées en double aveugle sur des patients asthmatiques adultes dès 15 ans ont montré qu'à la dose de 10 mg par jour en une dose unique le soir, le montélukast améliore de manière significative les paramètres de mesure du contrôle de l'asthme, tels que les symptômes de l'asthme, les effets associés à l'asthme, le contrôle de la fonction pulmonaire et le besoin en β-agonistes supplémentaires «en cas de besoin».
  • -Par rapport au placebo, le montélukast a amélioré de manière statistiquement significative les symptômes diurnes et les réveils nocturnes tels qu'ils ont été décrits par les patients. De même, les événements spécifiques à l'asthme, telles que les crises d'asthme, arrêts du traitement en raison d'une aggravation de l'asthme, les exacerbations d'asthme et les jours exempts d'asthme, étaient moins sérieuses que dans le groupe sous placebo.
  • -Les évaluations globales émises par les patients et les médecins relatives à l'asthme et l'évaluation spécifique à l'asthme de la qualité de vie (dans tous les domaines, y compris dans les activités quotidiennes normales et les symptômes de l'asthme) sont meilleures de manière statistiquement significative que celles issues du groupe placebo. Par rapport au placebo, le montélukast a provoqué une amélioration statistiquement significative du volume expiratoire maximum en une seconde (VEMS1) du matin, du débit expiratoire maximal (DEM) du matin et de l'après-midi et a diminué de manière statistiquement significative l'utilisation de β-agonistes «en cas de besoin».
  • -Un effet a été constaté après la première dose et s'est maintenu pendant l'intervalle de 24 heures entre les doses. Après l'arrêt du traitement par montélukast après 12 semaines, on n'a pas constaté de multiplication des exacerbations de l'asthme.
  • -Par rapport à la béclométhasone inhalatoire (200 µg deux fois par jour appliqués au moyen d'une chambre à inhaler), le montélukast a permis initialement de provoquer une réponse passagère plus forte, mais la béclométhasone a engendré un effet thérapeutique constant moyen plus puissant au cours de l'étude de 12 semaines. L'effet du montélukast est plus faible que celui des stéroïdes inhalatoires.
  • +Deux études semblables de 12 semaines, contrôlées par placebo et menées en double aveugle sur des patients asthmatiques adultes dès 15 ans ont montré quà la dose de 10 mg par jour en une dose unique le soir, le montélukast améliore de manière significative les paramètres de mesure du contrôle de lasthme, tels que les symptômes de lasthme, les effets associés à lasthme, le contrôle de la fonction pulmonaire et le besoin en ß-agonistes supplémentaires «en cas de besoin».
  • +Par rapport au placebo, le montélukast a amélioré de manière statistiquement significative les symptômes diurnes et les réveils nocturnes tels quils ont été décrits par les patients. De même, les événements spécifiques à lasthme, telles que les crises dasthme, arrêts du traitement en raison dune aggravation de lasthme, les exacerbations d'asthme et les jours exempts dasthme, étaient moins sérieuses que dans le groupe sous placebo.
  • +Les évaluations globales émises par les patients et les médecins relatives à lasthme et lévaluation spécifique à lasthme de la qualité de vie (dans tous les domaines, y compris dans les activités quotidiennes normales et les symptômes de lasthme) sont meilleures de manière statistiquement significative que celles issues du groupe placebo. Par rapport au placebo, le montélukast a provoqué une amélioration statistiquement significative du volume expiratoire maximum en une seconde (VEMS1) du matin, du débit expiratoire maximal (DEM) du matin et de laprès-midi et a diminué de manière statistiquement significative lutilisation de ß-agonistes «en cas de besoin».
  • +Un effet a été constaté après la première dose et sest maintenu pendant lintervalle de 24 heures entre les doses. Après larrêt du traitement par montélukast après 12 semaines, on na pas constaté de multiplication des exacerbations de lasthme.
  • +Par rapport à la béclométhasone inhalatoire (200 µg deux fois par jour appliqués au moyen dune chambre à inhaler), le montélukast a permis initialement de provoquer une réponse passagère plus forte, mais la béclométhasone a engendré un effet thérapeutique constant moyen plus puissant au cours de létude de 12 semaines. Leffet du montélukast est plus faible que celui des stéroïdes inhalatoires.
  • -Chez les patients pédiatriques âgés de 6 à 14 ans, l'administration d'un comprimé à mâcher de 5 mg par jour le soir a diminué les exacerbations de l'asthme de manière significative, a amélioré par rapport au placebo les évaluations globales par les patients et l'évaluation par les enfants, spécifique à l'asthme, de leur qualité de vie. Le montélukast a également amélioré de manière significative le VEMS1 matinal et a réduit le l'utilisation journalière total en β-agonistes «en cas de besoin». Le succès thérapeutique a été atteint après la première dose journalière et est resté constant pendant 6 mois avec une administration quotidienne.
  • +Chez les patients pédiatriques âgés de 6 à 14 ans, ladministration dun comprimé à mâcher de 5 mg par jour le soir a diminué les exacerbations de lasthme de manière significative, a amélioré par rapport au placebo les évaluations globales par les patients et lévaluation par les enfants, spécifique à lasthme, de leur qualité de vie. Le montélukast a également amélioré de manière significative le VEMS1 matinal et a réduit le l'utilisation journalière total en ß-agonistes «en cas de besoin». Le succès thérapeutique a été atteint après la première dose journalière et est resté constant pendant 6 mois avec une administration quotidienne.
  • -Deux études cliniques contrôlées n'ont montré quasiment aucune différence entre le montélukast et le placebo en ce qui concerne le taux de croissance de patients pré-pubères pédiatriques atteints d'un asthme léger. Au cours d'une étude ayant inclus des enfants âgés de 6 à 11 ans, le taux de croissance, mesuré sur la base de la croissance en longueur de la jambe, était comparable chez les patients traités par montélukast 5 mg une fois par jour durant trois semaines et les patients sous placebo. Au cours de cette étude, la croissance en longueur de la jambe chez les patients traités par le budénoside (200 μg deux fois par jour) inhalatoire était toutefois significativement plus faible que sous placebo. Au cours d'une étude de 56 semaines ayant inclus des enfants âgés de 6 à 8 ans, la croissance en longueur était similaire chez les patients traités par montélukast 5 mg une fois par jour et ceux traités par le placebo (valeur Least-Square moyenne de 5,67 cm par année (montélukast) et 5,64 cm par année (placebo)). Chez les patients traités par la béclométhasone (200 μg deux fois par jour), la croissance en longueur était toutefois significativement plus petite (valeur Least-Square moyenne de 4,86 cm par année) que chez les patients traités par le placebo (différence de la valeur Least-Square moyenne: -0,78 cm par année (-1,06, -0,49; IC à 95%).
  • +Deux études cliniques contrôlées nont montré quasiment aucune différence entre le montélukast et le placebo en ce qui concerne le taux de croissance de patients pré-pubères pédiatriques atteints d'un asthme léger. Au cours d'une étude ayant inclus des enfants âgés de 6 à 11 ans, le taux de croissance, mesuré sur la base de la croissance en longueur de la jambe, était comparable chez les patients traités par montélukast 5 mg une fois par jour durant trois semaines et les patients sous placebo. Au cours de cette étude, la croissance en longueur de la jambe chez les patients traités par le budénoside (200 μg deux fois par jour) inhalatoire était toutefois significativement plus faible que sous placebo. Au cours d'une étude de 56 semaines ayant inclus des enfants âgés de 6 à 8 ans, la croissance en longueur était similaire chez les patients traités par montélukast 5 mg une fois par jour et ceux traités par le placebo (valeur Least-Square moyenne de 5,67 cm par année (montélukast) et 5,64 cm par année (placebo)). Chez les patients traités par la béclométhasone (200 μg deux fois par jour), la croissance en longueur était toutefois significativement plus petite (valeur Least-Square moyenne de 4,86 cm par année) que chez les patients traités par le placebo (différence de la valeur Least-Square moyenne: -0,78 cm par année (-1,06, -0,49; IC à 95%).
  • -Dans le cadre d'une étude de 12 semaines, contrôlée par placebo, réalisée chez des patients pédiatriques âgés de 2 à 5 ans, la dose de 4 mg de montélukast une fois par jour a amélioré par rapport au placebo les paramètres du contrôle de l'asthme, indépendamment d'un traitement simultané aux stéroïdes à inhaler ou au cromoglycate à inhaler. 60% des patients n'était pas sous un traitement simultané aux stéroïdes à inhaler ou au cromoglycate à inhaler. Par rapport au placebo, le montélukast a amélioré de manière significative plusieurs paramètres exploratoires de l'étude, y compris des symptômes diurnes (toux, respiration sifflante, troubles respiratoires et activité limitée) et les symptômes nocturnes. Le montélukast a diminué de manière significative par rapport au placebo également l'usage de β-agonistes «en cas de besoin» ainsi que l'usage de corticostéroïdes en cas d'urgence. Les patients sous traitement par montélukast présentaient un nombre significativement supérieur de jours sans asthme que les patients sous placebo. L'effet du montélukast sur les crises d'asthme ainsi que les évaluations globales et spécifiques à l'asthme émises par les personnes s'occupant des patients, relatives à la qualité de vie, étaient meilleurs d'un point de vue numérique sous montélukast que sous le placebo, mais n'étaient pas statistiquement significatifs. Un effet a été obtenu après la première dose. En outre, le montélukast a montré par rapport au placebo une diminution statistiquement significative du nombre total des éosinophiles dans le sang par rapport à la valeur initiale (sur la base d'une analyse destinée à tenir compte des valeurs initiales des éosinophiles dans le sang).
  • +Dans le cadre dune étude de 12 semaines, contrôlée par placebo, réalisée chez des patients pédiatriques âgés de 2 à 5 ans, la dose de 4 mg de montélukast une fois par jour a amélioré par rapport au placebo les paramètres du contrôle de lasthme, indépendamment dun traitement simultané aux stéroïdes à inhaler ou au cromoglycate à inhaler. 60% des patients n'était pas sous un traitement simultané aux stéroïdes à inhaler ou au cromoglycate à inhaler. Par rapport au placebo, le montélukast a amélioré de manière significative plusieurs paramètres exploratoires de létude, y compris des symptômes diurnes (toux, respiration sifflante, troubles respiratoires et activité limitée) et les symptômes nocturnes. Le montélukast a diminué de manière significative par rapport au placebo également lusage de β-agonistes «en cas de besoin» ainsi que lusage de corticostéroïdes en cas durgence. Les patients sous traitement par montélukast présentaient un nombre significativement supérieur de jours sans asthme que les patients sous placebo. Leffet du montélukast sur les crises dasthme ainsi que les évaluations globales et spécifiques à lasthme émises par les personnes soccupant des patients, relatives à la qualité de vie, étaient meilleurs dun point de vue numérique sous montélukast que sous le placebo, mais nétaient pas statistiquement significatifs. Un effet a été obtenu après la première dose. En outre, le montélukast a montré par rapport au placebo une diminution statistiquement significative du nombre total des éosinophiles dans le sang par rapport à la valeur initiale (sur la base dune analyse destinée à tenir compte des valeurs initiales des éosinophiles dans le sang).
  • -Des études séparées sur des adultes ont montré que l'effet clinique de corticostéroïdes inhalatoires peut être complété par le montélukast. Lorsque les deux médicaments sont employés en même temps, la dose du stéroïde peut être réduite. Au cours d'une étude contrôlée par placebo, pendant laquelle les patients recevaient déjà une dose initiale de stéroïdes inhalatoires d'environ 1'600 µg par jour, la dose du stéroïde utilisée au cours de la phase d'inclusion a pu être réduite de près de 37%. Le montélukast a permis une réduction supplémentaire de la dose de corticostéroïde inhalatoire de 47%, alors que cette réduction était de 30% dans le groupe sous placebo. Au cours de cette étude, le pourcentage de patients ayant réussi à diminuer les stéroïdes inhalatoires était de 40% sous montélukast et de 29% sous placebo. La majorité des patients ayant besoin en stéroïdes inhalatoires doivent toutefois poursuivre le traitement par les stéroïdes malgré l'association avec le montélukast. Chez les patients avec un besoin établi en stéroïdes inhalatoires, l'effet du montélukast ne suffit pas pour permettre l'arrêt des stéroïdes inhalatoires. Les patients nécessitant des inhalations régulières de β-agonistes à dose fixe ne devraient pas être traités par le montélukast. Au cours d'une autre étude, le montélukast a permis d'obtenir un bénéfice clinique supplémentaire chez un groupe de patients du même type, ayant maintenu l'utilisation de corticostéroïdes inhalatoires (400 µg par jour de béclométhasone), mais n'ayant pas été contrôlés à ce propos. L'arrêt brusque et complet du traitement par la béclométhasone chez les patients ayant reçu aussi bien du montélukast que de la béclométhasone a provoqué, chez certains patients, une aggravation clinique. Tout au plus, pendant un traitement par montélukast, les stéroïdes inhalatoires ne devraient être arrêtés que progressivement. Chez les patients sensibles à l'aspirine, dont la quasi totalité recevait en même temps des corticostéroïdes inhalatoires et/ou à prendre par voie orale, le montélukast a amélioré de manière significative les paramètres du contrôle de l'asthme.
  • +Des études séparées sur des adultes ont montré que leffet clinique de corticostéroïdes inhalatoires peut être complété par le montélukast. Lorsque les deux médicaments sont employés en même temps, la dose du stéroïde peut être réduite. Au cours dune étude contrôlée par placebo, pendant laquelle les patients recevaient déjà une dose initiale de stéroïdes inhalatoires d'environ 1600 µg par jour, la dose du stéroïde utilisée au cours de la phase dinclusion a pu être réduite de près de 37%. Le montélukast a permis une réduction supplémentaire de la dose de corticostéroïde inhalatoire de 47%, alors que cette réduction était de 30% dans le groupe sous placebo. Au cours de cette étude, le pourcentage de patients ayant réussi à diminuer les stéroïdes inhalatoires était de 40% sous montélukast et de 29% sous placebo. La majorité des patients ayant besoin en stéroïdes inhalatoires doivent toutefois poursuivre le traitement par les stéroïdes malgré lassociation avec le montélukast. Chez les patients avec un besoin établi en stéroïdes inhalatoires, leffet du montélukast ne suffit pas pour permettre larrêt des stéroïdes inhalatoires. Les patients nécessitant des inhalations régulières de β-agonistes à dose fixe ne devraient pas être traités par le montélukast. Au cours dune autre étude, le montélukast a permis dobtenir un bénéfice clinique supplémentaire chez un groupe de patients du même type, ayant maintenu lutilisation de corticostéroïdes inhalatoires (400 µg par jour de béclométhasone), mais nayant pas été contrôlés à ce propos. Larrêt brusque et complet du traitement par la béclométhasone chez les patients ayant reçu aussi bien du montélukast que de la béclométhasone a provoqué, chez certains patients, une aggravation clinique. Tout au plus, pendant un traitement par montélukast, les stéroïdes inhalatoires ne devraient être arrêtés que progressivement. Chez les patients sensibles à laspirine, dont la quasi totalité recevait en même temps des corticostéroïdes inhalatoires et/ou à prendre par voie orale, le montélukast a amélioré de manière significative les paramètres du contrôle de lasthme.
  • -À la dose de 10 mg une fois par jour, le montélukast a prévenu la bronchoconstriction due à un effort physique chez les adultes dès 15 ans. Au cours d'une étude de 12 semaines, le montélukast a diminué de façon significative l'ampleur et la durée de la chute du VEMS1 pendant 60 minutes après un effort, la diminution relative maximale du VEMS1 après un effort physique et le temps de récupération jusqu'à une valeur intérieure de 5% à celle du VEMS1 avant l'effort physique. L'effet est resté constant pendant toute la durée du traitement, ce qui laisse supposer qu'aucun effet de tolérance ne s'est développé. Une étude de type croisé a observé un effet protecteur après 2 doses journalières uniques. Chez des patients pédiatriques âgés de 6 à 14 ans, utilisant le comprimé à mâcher de 5 mg, une étude de type croisé semblable a montré un effet protecteur similaire. Celui-ci s'est maintenu pendant tout l'intervalle entre les doses (24 heures).
  • +À la dose de 10 mg une fois par jour, le montélukast a prévenu la bronchoconstriction due à un effort physique chez les adultes dès 15 ans. Au cours dune étude de 12 semaines, le montélukast a diminué de façon significative lampleur et la durée de la chute du VEMS1 pendant 60 minutes après un effort, la diminution relative maximale du VEMS1 après un effort physique et le temps de récupération jusquà une valeur intérieure de 5% à celle du VEMS1 avant leffort physique. Leffet est resté constant pendant toute la durée du traitement, ce qui laisse supposer quaucun effet de tolérance ne sest développé. Une étude de type croisé a observé un effet protecteur après 2 doses journalières uniques. Chez des patients pédiatriques âgés de 6 à 14 ans, utilisant le comprimé à mâcher de 5 mg, une étude de type croisé semblable a montré un effet protecteur similaire. Celui-ci sest maintenu pendant tout lintervalle entre les doses (24 heures).
  • -Au cours d'études cliniques, le montélukast a empêché la phase précoce et la phase tardive de la bronchoconstriction après une exposition à un antigène. Étant donné que l'infiltration des cellules inflammatoires (éosinophiles) joue un rôle important dans l'asthme, l'effet du montélukast sur les éosinophiles du sang périphérique et dans les voies respiratoires a été testé. Au cours d'études cliniques de phases IIb et III, le montélukast a provoqué une diminution statistiquement significative des éosinophiles du sang périphérique par rapport au placebo, à savoir de près de 15% de la valeur initiale. Au cours d'une période de traitement de 8 semaines chez des patients pédiatriques âgés de 6 à 14 ans, le montélukast a provoqué une baisse de 13% par rapport au placebo des éosinophiles du sang périphérique. Le montélukast a également réduit de manière significative les éosinophiles des voies respiratoires dans le crachat par rapport au placebo. Au cours de cette étude, les éosinophiles présents dans le sang périphérique ont diminué et les critères cliniques du traitement de l'asthme se sont améliorés pendant le traitement par le montélukast.
  • +Au cours détudes cliniques, le montélukast a empêché la phase précoce et la phase tardive de la bronchoconstriction après une exposition à un antigène. Étant donné que linfiltration des cellules inflammatoires (éosinophiles) joue un rôle important dans lasthme, leffet du montélukast sur les éosinophiles du sang périphérique et dans les voies respiratoires a été testé. Au cours d'études cliniques de phases IIb et III, le montélukast a provoqué une diminution statistiquement significative des éosinophiles du sang périphérique par rapport au placebo, à savoir de près de 15% de la valeur initiale. Au cours dune période de traitement de 8 semaines chez des patients pédiatriques âgés de 6 à 14 ans, le montélukast a provoqué une baisse de 13% par rapport au placebo des éosinophiles du sang périphérique. Le montélukast a également réduit de manière significative les éosinophiles des voies respiratoires dans le crachat par rapport au placebo. Au cours de cette étude, les éosinophiles présents dans le sang périphérique ont diminué et les critères cliniques du traitement de l'asthme se sont améliorés pendant le traitement par le montélukast.
  • -L'efficacité du montélukast dans le traitement de la rhinite allergique saisonnière a été examinée dans le cadre d'études randomisées, de conception similaire, contrôlées par placebo, menées en double aveugle, d'une durée de deux semaines, chez 4'924 patients inclus (1'751 patients ont été traités par le montélukast). Au début de l'étude, les patients étaient âgés de 15 ans et plus, et ils présentaient une rhinite allergique saisonnière dans les antécédents, un test cutané positif vis-à-vis d'au moins un allergène saisonnier significatif ainsi que des symptômes actifs d'une rhinite allergique saisonnière.
  • -Une évaluation combinée des trois études pivots a montré que les comprimés de 10 mg de montélukast, administrés une fois par jour le soir à 1'189 patients, provoquent, par rapport au placebo, une amélioration statistiquement significative dans les domaines suivants: pour le critère principal symptômes nasaux diurnes et les composantes individuelles (nez bouché, rhinorrhée, démangeaisons nasales et éternuements); pour les symptômes nocturnes et leurs composantes individuelles (nez bouché au réveil, difficultés au coucher et réveil durant la nuit); pour les symptômes combinés (composés de symptômes nasaux diurnes et nocturnes); pour l'évaluation globale de la rhinite allergique par le patient et le médecin traitant.
  • +Lefficacité du montélukast dans le traitement de la rhinite allergique saisonnière a été examinée dans le cadre détudes randomisées, de conception similaire, contrôlées par placebo, menées en double aveugle, dune durée de deux semaines, chez 4 924 patients inclus (1 751 patients ont été traités par le montélukast). Au début de létude, les patients étaient âgés de 15 ans et plus, et ils présentaient une rhinite allergique saisonnière dans les antécédents, un test cutané positif vis-à-vis dau moins un allergène saisonnier significatif ainsi que des symptômes actifs dune rhinite allergique saisonnière.
  • +Une évaluation combinée des trois études pivots a montré que les comprimés de 10 mg de montélukast, administrés une fois par jour le soir à 1 189 patients, provoquent, par rapport au placebo, une amélioration statistiquement significative dans les domaines suivants: pour le critère principal symptômes nasaux diurnes et les composantes individuelles (nez bouché, rhinorrhée, démangeaisons nasales et éternuements); pour les symptômes nocturnes et leurs composantes individuelles (nez bouché au réveil, difficultés au coucher et réveil durant la nuit); pour les symptômes combinés (composés de symptômes nasaux diurnes et nocturnes); pour lévaluation globale de la rhinite allergique par le patient et le médecin traitant.
  • - Montélukast 10 mg Placebo Contrôle actif† (Loratadine 10 mg)
  • + Montélukast 10 mg Placebo Contrôle actif† (Loratadine 10 mg)
  • -† Les études n'ont pas été conçues pour une comparaison statistique entre le montélukast et le contrôle actif (loratadine).
  • -Dans le cadre d'une étude séparée de 4 semaines, lors de laquelle le montélukast a été administré une fois par jour le matin, l'efficacité durant les deux premières semaines était significativement différente de celle du placebo et concordait avec l'effet durant les études avec une administration le soir. En outre, l'effet durant les 4 semaines concordait avec les résultats sur 2 semaines.
  • +† Les études nont pas été conçues pour une comparaison statistique entre le montélukast et le contrôle actif (loratadine).
  • +Dans le cadre dune étude séparée de 4 semaines, lors de laquelle le montélukast a été administré une fois par jour le matin, lefficacité durant les deux premières semaines était significativement différente de celle du placebo et concordait avec leffet durant les études avec une administration le soir. En outre, leffet durant les 4 semaines concordait avec les résultats sur 2 semaines.
  • -L'efficacité du montélukast dans le traitement de la rhinite allergique perannuelle a été examinée dans le cadre de deux études randomisées, de six semaines, contrôlées par placebo, menées en double aveugle, de conception similaire, ayant inclus 3'235 patients (1'632 patients ont été traités par le montélukast). Les patients étaient âgés de 15 à 82 ans, avaient des antécédents de rhinite allergique perannuelle, présentaient un test cutané positif pour les allergènes perannuels significatifs (y compris les acariens, les pellicules cutanées d'animaux et les spores de moisissures) et souffraient de symptômes actifs de rhinite allergique perannuelle au début de l'étude.
  • -Au cours d'une étude, le traitement de 1'000 patients par des comprimés de 10 mg de montélukast a permis, par rapport au placebo, une amélioration statistiquement significative du principal critère d'évaluation «Daytime Nasal Symptom Score» et des composantes individuelles du critère d'évaluation (nez bouché, écoulement nasal et éternuements). Le montélukast a permis, par rapport au placebo, une amélioration également ressentie par le patient de la rhinite allergique, mesurée sur la base des critères secondaires «Global Evaluation of Allergic Rhinitis by Patient» et «Rhinoconjunctivitis Quality-of-Life overall score» (moyenne de l'évaluation des 7 domaines activité, sommeil, symptômes non nasaux et non oculaires, problèmes pratiques, symptômes nasaux, symptômes oculaires et sentiments). Au cours d'une deuxième étude, le montélukast n'a pas montré d'amélioration statistiquement significative par rapport au placebo du principal critère d'évaluation, qui comprenait les valeurs moyennes de chacune des composantes comme le nez bouché, les rhinorrhées, les éternuements et les démangeaisons. Au cours d'une analyse post-hoc, la moyenne de 3 composants individuels sélectionnés (nez bouché, rhinorrhée et éternuements) était toutefois meilleure pour le montélukast que pour le placebo.
  • +L'efficacité du montélukast dans le traitement de la rhinite allergique perannuelle a été examinée dans le cadre de deux études randomisées, de six semaines, contrôlées par placebo, menées en double aveugle, de conception similaire, ayant inclus 3 235 patients (1 632 patients ont été traités par le montélukast). Les patients étaient âgés de 15 à 82 ans, avaient des antécédents de rhinite allergique perannuelle, présentaient un test cutané positif pour les allergènes perannuels significatifs (y compris les acariens, les pellicules cutanées d'animaux et les spores de moisissures) et souffraient de symptômes actifs de rhinite allergique perannuelle au début de l'étude.
  • +Au cours d'une étude, le traitement de 1 000 patients par des comprimés de 10 mg de montélukast a permis, par rapport au placebo, une amélioration statistiquement significative du principal critère d'évaluation «Daytime Nasal Symptom Score» et des composantes individuelles du critère d'évaluation (nez bouché, écoulement nasal et éternuements). Le montélukast a permis, par rapport au placebo, une amélioration également ressentie par le patient de la rhinite allergique, mesurée sur la base des critères secondaires «Global Evaluation of Allergic Rhinitis by Patient» et «Rhinoconjunctivitis Quality-of-Life overall score» (moyenne de l'évaluation des 7 domaines activité, sommeil, symptômes non nasaux et non oculaires, problèmes pratiques, symptômes nasaux, symptômes oculaires et sentiments). Au cours d'une deuxième étude, le montélukast n'a pas montré d'amélioration statistiquement significative par rapport au placebo du principal critère d'évaluation, qui comprenait les valeurs moyennes de chacune des composantes comme le nez bouché, les rhinorrhées, les éternuements et les démangeaisons. Au cours d'une analyse post-hoc, la moyenne de 3 composants individuels sélectionnés (nez bouché, rhinorrhée et éternuements) était toutefois meilleure pour le montélukast que pour le placebo.
  • -Après administration par voie orale, le montélukast est rapidement et presque entièrement absorbé. Les concentrations plasmatiques maximales moyennes chez les adultes après administration à jeun du comprimé à mâcher de 5 mg sont atteintes au bout de 2 heures. La biodisponibilité moyenne après administration par voie orale est de 73%. La prise de nourriture n'a pas d'effet clinique important lors d'une administration de longue durée.
  • -Avec les comprimés à mâcher de 4 mg, la Cmax chez les patients pédiatriques âgés de 2 à 5 ans est atteinte 2 heures après l'administration à jeun.
  • -La sécurité et l'efficacité ont été démontrées dans le cadre d'études cliniques au cours desquelles les comprimés à mâcher de 4 mg et de 5 mg ont été administrés sans tenir compte du moment de la prise de nourriture.
  • +Après administration par voie orale, le montélukast est rapidement et presque entièrement absorbé. Les concentrations plasmatiques maximales moyennes chez les adultes après administration à jeun du comprimé à mâcher de 5 mg sont atteintes au bout de 2 heures. La biodisponibilité moyenne après administration par voie orale est de 73%. La prise de nourriture na pas deffet clinique important lors dune administration de longue durée.
  • +Avec les comprimés à mâcher de 4 mg, la Cmax chez les patients pédiatriques âgés de 2 à 5 ans est atteinte 2 heures après ladministration à jeun.
  • +La sécurité et lefficacité ont été démontrées dans le cadre détudes cliniques au cours desquelles les comprimés à mâcher de 4 mg et de 5 mg ont été administrés sans tenir compte du moment de la prise de nourriture.
  • -Plus de 99% du montélukast sont liés aux protéines plasmatiques. Le volume de distribution du montélukast à l'état d'équilibre varie entre 8 et 11 litres. Des études chez le rat avec du montélukast marqué radioactivement ont montré que le passage à travers la barrière hémato-encéphalique est minime. Par ailleurs, des concentrations minimes de montélukast marqué radioactivement ont été détectées dans tous les autres tissus 24 heures après l'administration.
  • +Plus de 99% du montélukast sont liés aux protéines plasmatiques. Le volume de distribution du montélukast à létat déquilibre varie entre 8 et 11 litres. Des études chez le rat avec du montélukast marqué radioactivement ont montré que le passage à travers la barrière hémato-encéphalique est minime. Par ailleurs, des concentrations minimes de montélukast marqué radioactivement ont été détectées dans tous les autres tissus 24 heures après ladministration.
  • -Le montélukast est largement métabolisé. Des études cliniques ont montré qu'aux doses thérapeutiques, les concentrations plasmatiques des métabolites du montélukast ne sont pratiquement pas détectables chez les adultes et les enfants à l'état d'équilibre.
  • -Des études in vitro, au cours desquelles des microsomes hépatiques humains ont été utilisés, indiquent que les cytochromes P4503A4, 2C8 et 2C9 sont impliqués dans le métabolisme du montélukast. Sur la base de résultats issus d'expériences in vitro supplémentaires menées sur des microsomes hépatiques humains, les concentrations plasmatiques thérapeutiques du montélukast n'ont montré aucun effet d'inhibition sur les cytochromes P450 3A4, 2C9, 1A2, 2A6, 2C19 ou 2D6.
  • +Le montélukast est largement métabolisé. Des études cliniques ont montré quaux doses thérapeutiques, les concentrations plasmatiques des métabolites du montélukast ne sont pratiquement pas détectables chez les adultes et les enfants à l'état déquilibre.
  • +Des études in vitro, au cours desquelles des microsomes hépatiques humains ont été utilisés, indiquent que les cytochromes P4503A4, 2C8 et 2C9 sont impliqués dans le métabolisme du montélukast. Sur la base de résultats issus dexpériences in vitro supplémentaires menées sur des microsomes hépatiques humains, les concentrations plasmatiques thérapeutiques du montélukast nont montré aucun effet dinhibition sur les cytochromes P450 3A4, 2C9, 1A2, 2A6, 2C19 ou 2D6.
  • -La clairance plasmatique du montélukast est approximativement de 45 ml/min. et la demi-vie plasmatique se situe entre 2,7 et 5,5 heures. Après administration par voie orale d'une dose de montélukast marqué radioactivement, 86% de la radioactivité ont pu être détectés dans les selles accumulées pendant 5 jours, et moins de 0,2% a été retrouvé dans les urines. Vu l'évaluation de la biodisponibilité orale du montélukast, ces résultats indiquent que l'élimination du montélukast et de ses métabolites ne se fait quasiment que par voie biliaire.
  • +La clairance plasmatique du montélukast est approximativement de 45 ml/min. et la demi-vie plasmatique se situe entre 2,7 et 5,5 heures. Après administration par voie orale dune dose de montélukast marqué radioactivement, 86% de la radioactivité ont pu être détectés dans les selles accumulées pendant 5 jours, et moins de 0,2% a été retrouvé dans les urines. Vu lévaluation de la biodisponibilité orale du montélukast, ces résultats indiquent que lélimination du montélukast et de ses métabolites ne se fait quasiment que par voie biliaire.
  • -Patients âgés: biodisponibilité 61%, tmax 2,8 heures ± 1 heure, l'AUC ne diffère pas de celle des jeunes adultes de manière significative, CI 31 ml/min, t½ = 6,6 heures.
  • +Patients âgés: biodisponibilité 61%, tmax 2,8 heures ±1 heure, l'AUC ne diffère pas de celle des jeunes adultes de manière significative, CI 31 ml/min, t½ = 6,6 heures.
  • -Aucune adaptation de la dose n'est nécessaire pour les patients âgés ou les patients souffrant d'insuffisance rénale ou d'insuffisance hépatique légère à modérée. Aucune donnée clinique relative à l'emploi chez des patients souffrant d'une insuffisance hépatique sévère (score Child-Pugh >9) n'est disponible.
  • +Aucune adaptation de la dose nest nécessaire pour les patients âgés ou les patients souffrant dinsuffisance rénale ou dinsuffisance hépatique légère à modérée. Aucune donnée clinique relative à lemploi chez des patients souffrant dune insuffisance hépatique sévère (score Child-Pugh >9) nest disponible.
  • -Les signes de toxicité chez les animaux comprenaient une sécrétion de salive, des symptômes gastro-intestinaux, des selles molles et un déséquilibre ionique. Ces signes sont apparus à des doses ayant entraîné une exposition systémique 17 fois plus élevée que celle apparue à la dose employée en usage clinique. Les effets secondaires chez le singe se sont manifestés à des doses de 150 mg/kg/jour (>232 fois l'exposition systémique par rapport à la dose clinique). Dans le cadre d'études sur l'animal, le montélukast n'a pas influencé la fertilité ou la capacité de reproduction lors d'une exposition systémique ayant dépassé de plus de 24 fois l'exposition systémique lors d'un emploi clinique. Une légère diminution du poids corporel a été constatée chez la progéniture lors de l'étude sur la fertilité chez des rats du sexe féminin à des doses de 200 mg/kg/jour (>69 fois l'exposition systémique par rapport à l'emploi clinique). Dans le cadre d'études chez des lapins, une incidence plus élevée d'ossifications incomplètes a été observée par rapport au groupe de contrôle ayant dépassé de plus de 24 fois l'exposition systémique lors de l'emploi clinique. Aucune anomalie n'a été observée chez le rat. Le montélukast traverse la barrière placentaire et passe dans le lait maternel des animaux. Le montélukast ne s'est pas avéré mutagène dans le cadre d'essais in vitro ou in vivo, et n'est pas tumorigène chez les rongeurs. Il a été démontré que le montélukast n'est pas phototoxique.
  • +Les signes de toxicité chez les animaux comprenaient une sécrétion de salive, des symptômes gastro-intestinaux, des selles molles et un déséquilibre ionique. Ces signes sont apparus à des doses ayant entraîné une exposition systémique 17 fois plus élevée que celle apparue à la dose employée en usage clinique. Les effets secondaires chez le singe se sont manifestés à des doses de 150 mg/kg/jour (>232 fois lexposition systémique par rapport à la dose clinique). Dans le cadre détudes sur lanimal, le montélukast na pas influencé la fertilité ou la capacité de reproduction lors dune exposition systémique ayant dépassé de plus de 24 fois lexposition systémique lors dun emploi clinique. Une légère diminution du poids corporel a été constatée chez la progéniture lors de létude sur la fertilité chez des rats du sexe féminin à des doses de 200 mg/kg/jour (>69 fois lexposition systémique par rapport à lemploi clinique). Dans le cadre détudes chez des lapins, une incidence plus élevée dossifications incomplètes a été observée par rapport au groupe de contrôle ayant dépassé de plus de 24 fois lexposition systémique lors de lemploi clinique. Aucune anomalie na été observée chez le rat. Le montélukast traverse la barrière placentaire et passe dans le lait maternel des animaux. Le montélukast ne sest pas avéré mutagène dans le cadre dessais in vitro ou in vivo, et nest pas tumorigène chez les rongeurs. Il a été démontré que le montélukast nest pas phototoxique.
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur lemballage.
  • -Conserver le médicament, à température ambiante (15-25 °C), dans l'emballage d'origine à l'abri de la lumière et hors de la portée des enfants.
  • +Conserver le médicament, à température ambiante (15-25° C), dans lemballage dorigine à labri de la lumière et hors de la portée des enfants.
  • -Présentation
  • +Présentations
  • -Spirig HealthCare SA, 4622 Egerkingen.
  • +Spirig HealthCare SA, 4622 Egerkingen
  • -Septembre 2016.
  • +Avril 2019
2025 ©ywesee GmbH
Einstellungen | Aide | FAQ | Identification | Contact | Home