12 Änderungen an Fachinfo Tecfidera 120 mg |
-Après la première dose ainsi qu’à tout moment du traitement, Tecfidera peut donner lieu à une réaction anaphylactique ou à un angio-œdème. Les patients doivent être informés des symptômes possibles tels que difficultés respiratoires, urticaire ou tuméfaction de la langue/de la gorge et savoir qu’ils doivent interrompre le traitement dans de tels cas et immédiatement requérir une assistance médicale.
- +Des cas d’anaphylaxie/réaction anaphylactoïde ont été rapportés après l’administration de Tecfidera. Ces réactions apparaissent généralement après la première dose, mais peuvent également survenir à tout moment au cours du traitement et peuvent être graves et engager le pronostic vital. Les patients doivent être informés des symptômes possibles tels que difficultés respiratoires, urticaire ou tuméfaction de la langue/de la gorge et savoir qu’ils doivent interrompre le traitement dans de tels cas et immédiatement requérir une assistance médicale. Le traitement ne doit pas être repris.
-L'efficacité de vaccinations réalisées pendant un traitement par Tecfidera n'a pas été évaluée dans les études cliniques.
-Une étude pharmacocinétique a été réalisée avec un contraceptif oral combiné et diméthylfumarate (Tecfidera). Diméthylfumarate n’a pas montré d’effet significatif sur le profil pharmacocinétique de la norelgestromine et l’ethinylestradiole. Aucune étude d’interaction n’a été réalisée avec des contraceptifs oraux contenant d’autres progestatifs. Il n’est pas attendu que Tecfidera ait une influence sur l’exposition de celles-ci.
- +Une étude pharmacocinétique a été réalisée avec un contraceptif oral combiné et diméthylfumarate (Tecfidera). Diméthylfumarate n’a pas montré d’effet significatif sur le profil pharmacocinétique de la norelgestromine et l’ethinylestradiole. Aucune étude d’interaction n’a été réalisée avec des contraceptifs oraux contenant d’autres progestatifs. Il n’est pas attendu que Tecfidera ait une influence sur l’exposition de cellesci.
- +Dans le cadre d’une étude clinique, les patients atteints de SEP de forme récurrente-rémittente et traités par Tecfidera ont présenté une réponse immunitaire efficace contre un néoantigène inactivé (primovaccination, vaccin polysaccharidique conjugué contre le méningocoque C), lors d’une administration répétée d’un antigène (nouvelle exposition au vaccin contre le tétanos et la diphtérie) ou contre des antigènes polysaccharidiques (vaccin contre les pneumocoques).
- +Lors de la vaccination contre le tétanos et les pneumocoques, des augmentations des taux d’anticorps numériquement plus faibles ont cependant été documentées dans le groupe sous Tecfidera par rapport au groupe de comparaison constitué de patients sous traitement par des interférons non pégylés. Les patients traités par Tecfidera peuvent recevoir des vaccins inactivés. Il est toutefois recommandé d’effectuer les vaccinations de routine avec des vaccins inactivés si possible avant d’instaurer un traitement par Tecfidera.
- +Il n’existe pas de données cliniques concernant l’efficacité et la sécurité des vaccins vivants atténués chez les patients traités par Tecfidera. Il est possible que les vaccins vivants comportent un plus grand risque infectieux et l’administration aux patients sous Tecfidera n’est pas recommandée.
- +Affections hépatobiliaires
- +Fréquents: augmentation de l’aspartate aminotransférase, augmentation de l’alanine aminotransférase.
-Fréquents: présence d'albumine dans l'urine, augmentation de l'aspartate aminotransférase, augmentation de l'alanine aminotransférase, diminution du nombre de leucocytes.
- +Fréquents: présence d'albumine dans l'urine, diminution du nombre de leucocytes.
-Des modifications rénales ont été observées après administration orale répétée de diméthylfumarate chez la souris, le rat, le chien et le singe. Dans toutes les espèces, des processus de régénération de l'épithélium tubulaire rénal ont été observés, évoquant la présence d'une lésion. Des hyperplasies des tubules rénaux ont été observées chez des rats traités pendant toute leur vie (étude de deux ans). Après administration de doses orales quotidiennes de diméthylfumarate pendant 12 mois, on a observé une atrophie corticale chez le chien et le singe et une nécrose cellulaire isolée ainsi qu'une fibrose interstitielle chez le singe, sans marge de sécurité par rapport à l'exposition clinique. La signification de ces observations pour le risque chez l'être humain n'est pas connue.
- +Des modifications rénales ont été observées après administration orale répétée de diméthylfumarate chez la souris, le rat, le chien et le singe. Dans toutes les espèces, des processus de régénération de l'épithélium tubulaire rénal ont été observés, évoquant la présence d'une lésion. Des hyperplasies des tubules rénaux ont été observées chez des rats traités pendant toute leur vie (étude de deux ans). Après administration de doses orales quotidiennes de diméthylfumarate pendant 11 mois chez le chien, la marge calculée pour l’atrophie corticale a été observée à une exposition correspondant à 3 fois la dose recommandée chez l’homme sur la base de l’ASC. Après administration de doses orales quotidiennes de diméthylfumarate pendant 12 mois chez le singe, une nécrose monocellulaire a été observée à une exposition correspondant à 2 fois la dose recommandée chez l’homme sur la base de l’ASC. Une fibrose interstitielle et une atrophie corticale ont été observées à une exposition correspondant à 6 fois la dose recommandée chez l’homme sur la base de l’ASC. La signification de ces observations pour le risque chez l'être humain n'est pas connue.
-Il a été montré que le diméthylfumarate peut traverser la barrière placentaire et passer dans le sang fœtal chez le rat et le lapin, les rapports entre les concentrations plasmatiques du fœtus et de la mère étant respectivement de 0.48 à 0.64 et 0,1. Aucune malformation n'a été observée chez le rat et le lapin, quelle que soit la dose de diméthylfumarate administrée. L'administration orale de diméthylfumarate à des doses de 25, 100 et 250 mg/kg/jour à des rates gravides pendant la phase de l'organogenèse a entraîné des effets indésirables, un faible poids fœtal et un retard d'ossification (métatarses et phalanges des pattes arrière). La marge de sécurité calculée sur la base du NOAEL par rapport à l'exposition cliniquement significative a été de 1 à 2. Le poids fœtal plus faible et le retard d'ossification ont été considérés comme secondaires à la toxicité maternelle (réduction du poids corporel et de la prise alimentaire).
-L'administration orale de diméthylfumarate à des doses de 25, 75 et 150 mg/kg/jour à des lapines gravides pendant l'organogenèse a entraîné des avortements à la dose de 150 mg/kg/jour et une réduction du poids maternel à la dose de 75 mg/kg/jour. La marge de sécurité calculée sur la base du NOEL par rapport à l'exposition clinique a été de 5.
-L'administration orale de diméthylfumarate à des doses de 25, 100 et 250 mg/kg/jour à des rats pendant la gestation et l'allaitement a entraîné une réduction du poids corporel de la progéniture F1 et un retard de maturation sexuelle chez les mâles de la génération F1 à une exposition (basée sur l'AUC) correspondant à onze fois la dose recommandée. La marge de sécurité calculée sur la base du NOAEL par rapport à l'exposition cliniquement significative a été de 1 à 2. Aucun effet sur la fertilité de la progéniture F1 n'a été observé. La réduction du poids corporel de la progéniture F1 a été considérée comme secondaire à la toxicité maternelle.
- +Il a été montré que le diméthylfumarate peut traverser la barrière placentaire et passer dans le sang fœtal chez le rat et le lapin, les rapports entre les concentrations plasmatiques du fœtus et de la mère étant respectivement de 0.48 à 0.64 et 0,1. Aucune malformation n'a été observée chez le rat et le lapin, quelle que soit la dose de diméthylfumarate administrée. L'administration orale de diméthylfumarate à des doses de 25, 100 et 250 mg/kg/jour à des rates gravides pendant la phase de l'organogenèse a entraîné une réduction du poids corporel de la mère à une exposition correspondant à 4 fois la dose recommandée chez l’homme basée sur l'ASC, un faible poids fœtal et un retard d'ossification (métatarses et phalanges des pattes arrière) à 11 fois la dose recommandée chez l’homme basée sur l’ASC. Le poids fœtal plus faible et le retard d'ossification ont été considérés comme secondaires à la toxicité maternelle (réduction du poids corporel et de la prise alimentaire).
- +L'administration orale de diméthylfumarate à des doses de 25, 75 et 150 mg/kg/jour à des lapines gravides pendant l'organogenèse n’a eu aucun effet sur le développement fœto-embryonnaire et a entraîné une réduction du poids corporel de la mère à une exposition correspondant à 7 fois la dose recommandée chez l’homme et un taux d'avortement accru à 16 fois la dose recommandée chez l'homme basée sur l'ASC.
- +L'administration orale de diméthylfumarate à des doses de 25, 100 et 250 mg/kg/jour à des rats pendant la gestation et l'allaitement a entraîné une réduction du poids corporel de la progéniture F1 et un retard de maturation sexuelle chez les mâles de la génération F1 à une exposition (basée sur l'AUC) correspondant à onze fois la dose recommandée. Aucun effet sur la fertilité de la progéniture F1 n'a été observé. La réduction du poids corporel de la progéniture F1 a été considérée comme secondaire à la toxicité maternelle.
-Incompatibilités
-Non pertinent.
-Juillet 2017.
- +Mai 2018.
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