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Accueil - Information professionnelle sur Bicalutamid Sandoz eco 50 mg - Changements - 10.05.2018
55 Changements de l'information professionelle Bicalutamid Sandoz eco 50 mg
  • +Mode d'emploi
  • +A avaler une fois par jour indépendamment des repas.
  • -La posologie chez les hommes adultes (y compris les sujets âgés) est de 50 mg une fois par jour indépendamment des repas. Le traitement par Bicalutamide Sandoz eco doit débuter en même temps que le traitement par les analogues de la LH-RH.
  • +La posologie chez les hommes est de 50 mg. Le traitement par Bicalutamide Sandoz eco doit débuter en même temps que le traitement par les analogues de la LH-RH.
  • -La posologie chez les hommes adultes (y compris les sujets âgés) est de 150 mg une fois par jour indépendamment des repas.
  • +La posologie chez les hommes est de 150 mg.
  • -Une adaptation posologique n'est pas nécessaire lors d'affections rénales légères à modérées et d'affections hépatiques légères. Une accumulation accrue de la substance est susceptible de se produire chez les patients atteints d'affection hépatique modérée à sévère. Une accumulation accrue de la substance est susceptible de se produire en cas d'affection hépatique modérée à sévère. C'est pourquoi Bicalutamide Sandoz eco ne devra être utilisé chez ces patients qu'avec prudence et sous surveillance des enzymes hépatiques (voir «Mises en garde et précautions» et «Cinétique pour certains groupes de patients»). Aucune donnée sur la posologie chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère n'est disponible (clearance de la créatinine <20 ml/min) (voir «Cinétique pour certains groupes de patients»).
  • +Patients âgés
  • +Une adaptation posologique en fonction de l'âge n'est pas nécessaire.
  • +Patients présentant une insuffisance rénale
  • +Une adaptation posologique n'est pas nécessaire lors d'affections rénales légères à modérées. Aucune donnée sur la posologie chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère n'est disponible (clairance de la créatinine <20 ml/min) (voir «Cinétique pour certains groupes de patients»).
  • +Patients présentant une insuffisance hépatique
  • +Une adaptation posologique n'est pas nécessaire lors d'affections hépatiques légères. Une accumulation accrue de la substance est susceptible de se produire chez les patients atteints d'affections hépatiques modérées à sévère. C'est pourquoi Bicalutamide Sandoz eco ne doit être utilisé chez ces patients qu'avec prudence et sous surveillance des enzymes hépatiques (voir «Mises en garde et précautions» et «Cinétique pour certains groupes de patients»).
  • -Parce que le bicalutamide subit une métabolisation étendue dans le foie et que certains indices suggèrent une accumulation de bicalutamide chez les patients présentant une affection hépatique sévère, ce produit ne devra être utilisé qu'avec prudence chez les patients présentant une insuffisance hépatique modérée ou sévère. Dans ces cas, une surveillance étroite est nécessaire (voir «Instructions spéciales pour le dosage»). Il est recommandé de réaliser régulièrement des tests biologiques appropriés pendant les 4 premiers mois du traitement, puis par la suite de façon périodique et à l'apparition de symptômes évocateurs d'une perturbation de la fonction hépatique comme par ex. un prurit, des urines foncées, une perte de l'appétit persistante ou un ictère (voir «Effets indésirables»).
  • +Utilisation de Bicalutamide Sandoz eco chez des patients atteints d'affections hépatiques
  • +Parce que le bicalutamide subit une métabolisation étendue dans le foie et que certains indices suggèrent une accumulation du principe actif chez les patients présentant une affection hépatique sévère, bicalutamide ne devra être utilisé qu'avec prudence chez les patients présentant une insuffisance hépatique modérée ou sévère. Dans ces cas, une surveillance étroite est nécessaire. Il est recommandé de réaliser régulièrement des tests biologiques appropriés pendant les 4 premiers mois du traitement, puis par la suite de façon périodique et à l'apparition de symptômes évocateurs d'une perturbation de la fonction hépatique comme par ex. un prurit, des urines foncées, une perte de l'appétit persistante ou un ictère.
  • +Hépatotoxicité
  • -Il est recommandé d'arrêter le traitement lors de la survenue de troubles sévères de la fonction hépatique tels que par ex. un ictère, une élévation des transaminases plasmatiques à plus de 3 fois la normale, des douleurs abdominales, des troubles digestifs inexpliqués ou en cas de non réponse au traitement.
  • -Les patients montrant une intolérance au lactose doivent savoir que Bicalutamide Sandoz eco 50 mg contient 60 mg de lactose monohydrate, et que Bicalutamide Sandoz eco 150 mg en contient 201 mg.
  • -Aucune étude clinique spécifique sur l'influence de Bicalutamide Sandoz eco sur les anticoagulants oraux n'a été menée. C'est pourquoi les patients qui prennent simultanément Bicalutamide Sandoz eco et des anticoagulants de type coumarinique devront bénéficier d'une surveillance soigneuse (voir «Interactions»).
  • -En clinique, l'arrêt du bicalutamide peut entraîner chez certains patients un syndrome de sevrage des antiandrogènes.
  • -Une réduction de la tolérance au glucose – susceptible d'entraîner un diabète ou une perte du contrôle glycémique dans le cas d'un diabète préexistant – a été observée chez des hommes traités aux analogues de la LH-RH. On considérera donc un contrôle des valeurs glycémiques chez les patients prenant Bicalutamide Sandoz eco en association avec un analogue de la LH-RH.
  • +Il est recommandé d'arrêter le traitement lors de la survenue de troubles sévères de la fonction hépatique (tels que par ex. un ictère, une élévation des transaminases à plus de 3 fois la normale, des douleurs abdominales, des troubles digestifs inexpliqués).
  • +Durée de l'intervalle QT
  • -Un traitement antiandrogène peut entraîner des modifications morphologiques des spermatozoïdes. Pendant le traitement par Bicalutamide Sandoz eco et encore jusqu'à 130 jours après l'arrêt du traitement, les patients et/ou leur partenaire devraient utiliser une méthode contraceptive fiable, même si l'effet du bicalutamide sur la morphologie des spermatozoïdes n'a pas été étudié et qu'aucune modification de ce type n'a été rapportée par des patients ayant reçu bicalutamide.
  • +Interaction avec des anticoagulants
  • +Après la commercialisation de bicalutamide, une augmentation du temps de prothrombine ou de l'INR a été observée chez les patients traités simultanément par des anticoagulants oraux coumariniques (warfarine par ex.). On a rapporté dans certains cas une augmentation du risque d'hémorragie. Aucune étude clinique d'interactions n'a été menée avec les anticoagulants coumariniques. Des études in vitro ont toutefois montré que le bicalutamide peut déplacer la warfarine des sites de liaison aux protéines.
  • +Lorsque bicalutamide est utilisé en même temps que des anticoagulants coumariniques, il est donc recommandé de surveiller étroitement le temps de prothrombine ou l'INR et, le cas échéant, d'envisager un ajustement de la dose d'anticoagulant (voir «Interactions»).
  • +Influence sur la qualité des spermatozoïdes
  • +Un traitement antiandrogène peut entraîner des modifications morphologiques des spermatozoïdes.
  • +Pendant le traitement par Bicalutamide Sandoz eco et encore jusqu'à 130 jours après l'arrêt du traitement, les patients et/ou leur partenaire devraient utiliser une méthode contraceptive fiable, même si l'effet du bicalutamide sur la morphologie des spermatozoïdes n'a pas été étudié et qu'aucune modification de ce type n'a été rapportée par des patients ayant reçu bicalutamide.
  • +En l'absence de réponse au traitement, il est recommandé d'arrêter le traitement par Bicalutamide Sandoz eco.
  • +En clinique, l'arrêt du bicalutamide peut entraîner chez certains patients un syndrome de sevrage des antiandrogènes.
  • +Une réduction de la tolérance au glucose – susceptible d'entraîner un diabète ou une perte du contrôle glycémique dans le cas d'un diabète préexistant – a été observée chez des hommes traités par des analogues de la LH-RH. On considérera donc un contrôle des valeurs glycémiques chez les patients prenant Bicalutamide Sandoz eco en association avec un analogue de la LH-RH.
  • +Les patients montrant une intolérance au lactose doivent savoir que Bicalutamide Sandoz eco 50 mg contient 60 mg de lactose monohydrate, et que Bicalutamide Sandoz eco 150 mg en contient 201 mg.
  • +
  • -Aucune interaction pharmacodynamique ou pharmacocinétique entre Bicalutamide Sandoz eco et les analogues de la LH-RH n'est connue.
  • -Les effets indésirables observés dans les études cliniques ont fait l'objet d'études spécifiques à la recherche d'interactions entre bicalutamide et d'autres médicaments tels que ceux dont le taux de liaison aux protéines est élevé. Au vu de ces résultats, bicalutamide ne semble pas présenter d'interactions avec les autres médicaments fréquemment administrés en même temps, mais aucune étude spécifique sur les interactions n'a été menée.
  • -Dans les études in vitro, un déplacement de la warfarine de sa liaison aux protéines plasmatiques a été mis en évidence. Le temps de prothrombine devra être contrôlé étroitement au début du traitement par bicalutamide chez les patients traités par de dérivés coumariniques (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Des études menées in vitro ont montré que l'énantiomère R inhibe le CYP 3A4 et aussi, à un moindre degré, les CYP 2C9, 2C19 et 2D6. Aux doses allant jusqu'à 150 mg par jour, aucune induction enzymatique ni aucune inhibition du métabolisme de l'antipyrine n'ont été observées.
  • -Une augmentation de l'AUC du midazolam jusqu'à 80% est mesurée après une co-administration avec bicalutamide 50 mg pendant 28 jours. Une telle interaction peut s'avérer pertinente pour les médicaments dont la marge thérapeutique est étroite (par ex. cisapride et ciclosporine). C'est pourquoi la prudence est recommandée lors de la co-administration de tels médicaments avec bicalutamide.
  • +Des études spécifiques d'interactions n'ont pas été menées avec le bicalutamide.
  • +Aucune interaction pharmacodynamique ou pharmacocinétique entre bicalutamide et les analogues de la LH-RH n'est connue.
  • +Interactions pharmacocinétiques
  • +Interactions au niveau des sites de liaison aux protéines: Dans les études in vitro, un déplacement de la warfarine de sa liaison aux protéines plasmatiques a été mis en évidence (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Interactions avec les enzymes du CYP450: Des études menées in vitro ont montré que l'énantiomère R inhibe le CYP 3A4 et aussi, à un moindre degré, les CYP 2C9, 2C19 et 2D6. Aux doses allant jusqu'à 150 mg par jour, aucune induction enzymatique ni aucune inhibition du métabolisme de l'antipyrine n'ont été observées.
  • +Une augmentation de l'AUC du midazolam jusqu'à 80% est mesurée après une co-administration avec bicalutamide 50 mg pendant 28 jours. Une telle interaction peut s'avérer pertinente pour les médicaments dont la marge thérapeutique est étroite (par ex. cisapride ou ciclosporine). C'est pourquoi la prudence est recommandée lors de la co-administration de tels médicaments avec bicalutamide.
  • +Interactions pharmacodynamiques
  • +
  • -Bicalutamide Sandoz eco est destiné uniquement à l'utilisation chez l'homme et est contre-indiqué chez la femme, la femme enceinte ou la femme qui allaite.
  • +Bicalutamide Sandoz eco est destiné uniquement à l'utilisation chez l'homme et est contre-indiqué chez la femme.
  • -Les effets indésirables sont dépendants de la dose et découlent principalement de l'effet pharmacologique de Bicalutamide Sandoz eco. Ils regroupent bouffées de chaleur, gynécomastie et sensibilité des seins au toucher.
  • -Les fréquences des effets indésirables sont définies comme suit: très fréquent (≥1/10), fréquent (<1/10, ≥1/100), occasionnel (<1/100, ≥1/1000), rare (<1/1000, ≥1/10'000), très rare (<1/10'000).
  • -Bicalutamide Sandoz eco 50 mg (en association avec un analogue de la LHRH)
  • -Troubles de la circulation sanguine et lymphatique
  • -Très fréquents: anémie (12,7%).
  • -Système immunitaire
  • -Occasionnels: hypersensibilité, angio-œdème, urticaire.
  • -Troubles vasculaires
  • -Très fréquents: bouffées de chaleur (jusqu'à 49%).
  • +Les effets indésirables sont dépendants de la dose et découlent principalement de l'effet pharmacologique du bicalutamide. Ils regroupent bouffées de chaleur, gynécomastie et sensibilité des seins au toucher.
  • +Les fréquences des effets indésirables sont définies comme suit: très fréquent (≥1/10), fréquent (<1/10, ≥1/100), occasionnel (<1/100, ≥1/1000), rare (<1/1000, ≥1/10'000), très rare (<1/10'000), indéterminé (en se basant essentiellement sur les notifications spontanées dans le cadre de la pharmacovigilance, fréquence exacte impossible à estimer).
  • +Bicalutamide 150 mg (monothérapie) (effets indésirables observés lors de l'association avec des analogues de la LH-RH, voir ci-dessous)
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • +Fréquents: anémie.
  • +Affections du système immunitaire
  • +Occasionnels: hypersensibilité, urticaire, angio-oedème.
  • -Fréquents: diabète sucré, hyperglycémie, prise de poids, perte de poids, perte d'appétit.
  • -Troubles psychiatriques
  • -Fréquents: dépressions.
  • -Système nerveux
  • -Très fréquents: vertiges (10,2%).
  • -Fréquents: somnolence.
  • -Troubles cardiovasculaires
  • -Très fréquents: œdèmes (13,2%).
  • -Fréquents: insuffisance cardiaque, défaillance cardiaque.
  • -Organes respiratoires
  • -Occasionnels: affection pulmonaire interstitielle; des cas de décès ont été rapportés.
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • -Très fréquents: constipation (16,7%), nausées (14,0%), douleurs abdominales (11,5%).
  • -Fréquents: flatulences, dyspepsie.
  • -Troubles hépato-biliaires
  • +Fréquents: prise de poids, perte d'appétit, diabète, hyperglycémie.
  • +Affections psychiatriques
  • +Fréquents: dépressions, diminution de la libido.
  • +Affections du système nerveux
  • +Fréquents: somnolence, vertiges.
  • +Affections vasculaires
  • +Fréquents: bouffées de chaleur.
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • +Occasionnels: affection pulmonaire interstitielle (des cas de décès ont été rapportés).
  • +Affections gastro-intestinales
  • +Fréquents: constipation, dyspepsie, nausées, douleurs abdominales, flatulences.
  • +Affections hépatobiliaires
  • -Rares: défaillance hépatique; des cas de décès ont été rapportés.
  • -Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
  • -Fréquents: exanthème (rash), alopécie, accentuation de la pilosité, hirsutisme, prurit, sécheresse de la peau.
  • -Rares: réactions de photosensibilité
  • -Troubles musculosquelettiques
  • -Très fréquents: douleurs du bassin (13%), douleurs dorsales (15,9%), douleurs thoraciques (11,0%).
  • -Troubles rénaux et urinaires
  • -Très fréquents: hématurie (12,0%).
  • -Troubles des organes de reproduction et des seins
  • -Très fréquents: gynécomastie (~10%), tension mammaire/seins douloureux (<10%).
  • -Fréquents: dysfonction érectile, diminution de la libido.
  • +Rares: défaillance hépatique (des cas de décès ont été rapportés).
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • +Très fréquents: exanthème (10%).
  • +Fréquents: alopécie, prurit, hirsutisme.
  • +Rares: réactions de photosensibilité.
  • +Indéterminés: sécheresse cutanée, augmentation de la pilosité.
  • +Affections musculo-squelettiques, du tissu conjonctif et du tissu osseux
  • +Très fréquents: douleurs dorsales (15,9%), douleurs du bassin (13%), douleurs thoraciques (11%).
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • +Fréquents: hématurie.
  • +Affections des organes de reproduction et du sein
  • +Très fréquents: tension mammaire/seins douloureux (73,7%), gynécomastie (68,8%).
  • +Fréquents: dysfonction érectile.
  • -Bicalutamide Sandoz eco 150 mg (monothérapie)
  • -Troubles de la circulation sanguine et lymphatique
  • -Fréquents: anémie.
  • -Système immunitaire
  • -Occasionnels: hypersensibilité, angio-œdème, urticaire.
  • -Troubles vasculaires
  • -Fréquents: bouffées de chaleur.
  • +Fréquents: oedèmes.
  • +Bicalutamide 50 mg (en association avec un analogue de la LHRH)
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • +Très fréquents: anémie (12,7%).
  • +Affections du système immunitaire
  • +Occasionnels: hypersensibilité, urticaire.
  • +Indéterminés: angio-oedème.
  • -Fréquents: diabète sucré, hyperglycémie, prise de poids, perte d'appétit.
  • -Troubles psychiatriques
  • -Fréquents: dépressions.
  • -Système nerveux
  • -Fréquents: vertiges, somnolence.
  • -Troubles cardio-vasculaires
  • -Fréquents: œdèmes.
  • -Organes respiratoires
  • -Occasionnels: affection pulmonaire interstitielle; des cas de décès ont été rapportés.
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • -Fréquents: constipation, flatulences, dyspepsie, nausées, douleurs abdominales.
  • -Troubles hépato-biliaires
  • +Fréquents: perte de poids, hyperglycémie, perte d'appétit, prise de poids, diabète.
  • +Affections psychiatriques
  • +Fréquents: dépressions, diminution de la libido.
  • +Affections du système nerveux
  • +Très fréquents: vertiges (10,2%).
  • +Fréquents: somnolence.
  • +Affections cardiaques
  • +Fréquents: infarctus du myocarde, défaillance cardiaque.
  • +Affections vasculaires
  • +Très fréquents: bouffées de chaleur (jusqu'à 49%).
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • +Occasionnels: affection pulmonaire interstitielle (des cas de décès ont été rapportés).
  • +Affections gastro-intestinales
  • +Très fréquents: constipation (16,7%), nausées (14,0%), douleurs abdominales (11,5%).
  • +Fréquents: dyspepsie, flatulences.
  • +Affections hépatobiliaires
  • -Rares: défaillance hépatique; des cas de décès ont été rapportés.
  • -Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
  • -Très fréquents: exanthème (rash) (10%).
  • -Fréquents: alopécie, accentuation de la pilosité, hirsutisme, prurit, sécheresse de la peau.
  • +Rares: défaillance hépatique (des cas de décès ont été rapportés).
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • +Fréquents: alopécie, sécheresse cutanée, exanthème, prurit, hirsutisme.
  • -Troubles musculosquelettiques
  • -Très fréquents: douleurs du bassin (13%), douleurs dorsales (15,9%), douleurs thoraciques (11,0%).
  • -Troubles rénaux et urinaires
  • -Fréquents: hématurie.
  • -Troubles des organes de reproduction et des seins
  • -Très fréquents: gynécomastie (68,8%), tension mammaire/seins douloureux (73,7%).
  • -Fréquents: dysfonction érectile, diminution de la libido.
  • +Indéterminé: augmentation de la pilosité.
  • +Affections musculo-squelettiques, du tissu conjonctif et du tissu osseux
  • +Très fréquents: douleurs dorsales (15,9%), douleurs du bassin (13%), douleurs thoraciques (11,0%).
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • +Très fréquents: hématurie (12,0%).
  • +Affections des organes de reproduction et du sein
  • +Très fréquents: gynécomastie (env. 10%), tension mammaire/seins douloureux (<10%).
  • +Fréquents: dysfonction érectile.
  • -Très fréquents: asthénie (15%).
  • +Très fréquents: asthénie (22,2%), oedèmes (13,2%).
  • -Aucun cas de surdosage chez l'être humain n'est connu à ce jour. Il n'existe pas d'antidote spécifique et le traitement reste symptomatique.
  • -La réalisation d'une dialyse n'est pas utile, car Bicalutamide Sandoz eco est fortement lié aux protéines et est excrété sous forme de métabolite par voie rénale et biliaire (voir «Métabolisme et Elimination»). Il est indiqué d'adopter des mesures de soutien général, en particulier la surveillance fréquente des fonctions vitales.
  • +Aucun cas de surdosage chez l'être humain n'est connu. Il n'existe pas d'antidote spécifique et le traitement reste symptomatique.
  • +La réalisation d'une dialyse n'est pas utile, car bicalutamide est fortement lié aux protéines et est excrété sous forme de métabolites par voie rénale et biliaire (voir «Pharmacocinétique»). Il est indiqué d'adopter des mesures de soutien général, en particulier la surveillance fréquente des fonctions vitales.
  • -Bicalutamide 150 mg a été examiné dans le cadre d'un programme de 3 études en double aveugle avec contrôle contre placebo menées chez 8113 patients souffrant d'un cancer prostatique localisé (T1-T2, N0-Nx, M0) ou avancé localement (T3-T4, tout stade N, M0; T1-T2, N+, M0) sans métastases. Une analyse combinée des trois études avec utilisation adjuvante de bicalutamide après une prostatectomie radicale ou une radiothérapie (étude 23) ou utilisation de bicalutamide comme traitement adjuvant ou comme traitement de première intention sans prétraitement (watchful waiting) (études 24 et 25) a montré pour une durée médiane d'observation de 9,7 ans une progression de la maladie de 36,6% sous bicalutamide et de 38,1% sous placebo (hazard ratio [= HR] 0,85; [IC à 95% 0,79 à 0,91]) (p= 0,001).
  • -Au bout d'une durée d'observation médiane de 9,7 ans, avec une mortalité de 31,8% (HR 1,01 [IC à 95% 0,94 à 1,09]), aucune différence de la survie totale n'a été constatée par rapport au placebo. L'analyse exploratoire par sousgroupes (patients avec maladie localisée et patients avec maladie avancée) a révélé certaines tendances.
  • +Bicalutamide 150 mg a été examiné dans le cadre d'un programme de 3 études en double aveugle avec contrôle contre placebo menées chez 8113 patients souffrant d'un cancer prostatique localisé (T1-T2, N0-Nx, M0) ou avancé localement (T3-T4, tout stade N, M0; T1-T2, N+, M0) sans métastases. Une analyse combinée des trois études avec utilisation adjuvante de bicalutamide après une prostatectomie radicale ou une radiothérapie (étude 23) ou utilisation de bicalutamide comme traitement adjuvant ou comme traitement de première intention sans prétraitement (watchful waiting) (études 24 et 25) a montré pour une durée médiane d'observation de 9,7 ans une progression de la maladie de 36,6% sous bicalutamide et de 38,1% sous placebo (hazard ratio [=HR] 0,85; [IC à 95% 0,79 à 0,91]) (p=0,001).
  • +Au bout d'une durée d'observation médiane de 9,7 ans, avec une mortalité de 31,8% (HR 1,01 [IC à 95% 0,94 à 1,09]), aucune différence de la survie totale n'a été constatée par rapport au placebo. L'analyse exploratoire par sous-groupes (patients avec maladie localisée et patients avec maladie avancée) a révélé certaines tendances.
  • -Chez les patients souffrant d'un cancer localement avancé, les événements relatifs à la survie sans progression ont été inférieurs sous bicalutamide par rapport au placebo: 73,1% vs 78,3% (HR 0,67, IC à 95% 0,56 à 0,80) dans le groupe sans autre traitement (watchful waiting), 55,3% vs 71,5% (HR 0,62, IC à 95% 0,47 à 0,83) dans le groupe sous traitement adjuvant et 28,2% vs 30,3% (HR 0,85, IC à 95% 0,71 à 1,01) dans le groupe après prostatectomie radicale. La durée médiane de survie sans progression ne peut pas encore être indiquée. La survie totale n'a été améliorée que dans le sous-groupe traité par radiothérapie, avec 72 vs 82 événements (HR 0,70 [IC à 95% 0,51 à 0,97]) (p= 0,031).
  • +Chez les patients souffrant d'un cancer localement avancé, les événements relatifs à la survie sans progression ont été moins fréquents sous bicalutamide par rapport au placebo: 73,1% vs 78,3% (HR 0,67, IC à 95% 0,56 à 0,80) dans le groupe sans autre traitement (watchful waiting), 55,3% vs 71,5% (HR 0,62, IC à 95% 0,47 à 0,83) dans le groupe sous traitement adjuvant et 28,2% vs 30,3% (HR 0,85, IC à 95% 0,71 à 1,01) dans le groupe après prostatectomie radicale. La survie totale n'a été améliorée que dans le sous-groupe traité par radiothérapie, avec 72 vs 82 événements (HR 0,70 [IC à 95% 0,51 à 0,97]) (p=0,031).
  • -Les patients, après une prostatectomie radicale, ne présentent qu'un faible risque de progression. L'analyse combinée de deux études portant sur le traitement de première intention de 480 patients atteints de cancer de la prostate localisé avancé et non métastatique sans prétraitement (suivi médian de 6,3 ans: mortalité totale de 56%), n'a pas révélé de différence statistiquement significative entre le traitement par bicalutamide 150 mg et une castration chirurgicale ou médicamenteuse sur le plan de la survie globale (HR = 1,05; IC à 95% entre 0,81 et 1,36) ou du temps jusqu'à progression (HR = 1,20; IC à 95% entre 0,96 et 1,51). La non-infériorité n'a pas été démontrée entre les deux traitements.
  • +Les patients, après une prostatectomie radicale, ne présentent qu'un faible risque de progression. L'analyse combinée de deux études portant sur le traitement de première intention de 480 patients atteints de cancer de la prostate localisé avancé et non métastatique sans prétraitement (suivi médian de 6,3 ans, mortalité totale de 56%), n'a pas révélé de différence statistiquement significative entre le traitement par bicalutamide 150 mg et une castration chirurgicale ou médicamenteuse sur le plan de la survie globale (HR=1,05; IC à 95% entre 0,81 et 1,36) ou du temps jusqu'à progression (HR=1,20; IC à 95% entre 0,96 et 1,51). La non-infériorité n'a pas été démontrée entre les deux traitements.
  • - cmax [ng/ml] tmax [h] AUC0-∞ [µg h/ml]
  • + Cmax [ng/ml] tmax [h] AUC0-∞ [µg h/ml]
  • -Bicalutamide (R) 741 1445 29 27 165 321
  • -Bicalutamide (S) 66,1 150 2,5 3 2,2 4,04
  • +(R)-Bicalutamide 741 1445 29 27 165 321
  • +(S)-Bicalutamide 66,1 150 2,5 3 2,2 4,04
  • -Les métabolites du bicalutamide sont éliminés approximativement à parts égales par voie rénale (36%) et biliaire (43%). Les métabolites urinaires principaux sont des glucuroconjugués du bicalutamide et de l'hydroxy-bicalutamide. L'hydroxy-bicalutamide est inactif. Du fait de la structure chimique de la molécule, un effet androgène du glucuroconjugué de bicalutamide n'est également pas escompté. Le bicalutamide et l'hydroxy-bicalutamide se retrouvent dans les fèces, vraisemblablement après clivage enzymatique des glucuroconjugués correspondants sous l'action de la flore intestinale. La demi-vie plasmatique moyenne de l'énantiomère (S) est de 1,3 jour, alors que celle de l'énantiomère (R) est de l'ordre de 5,75 jours. Compte tenu de sa demi-vie prolongée, l'énantiomère (R) présente un facteur d'accumulation approximatif de 10 pour une administration quotidienne de la dose prescrite (1× 50 mg/jour ou 1× 150 mg/jour).
  • +Les métabolites du bicalutamide sont éliminés approximativement à parts égales par voie rénale (36%) et biliaire (43%). Les métabolites urinaires principaux sont des glucuroconjugués du bicalutamide et de l'hydroxy-bicalutamide. L'hydroxy-bicalutamide est pharmacologiquement inactif. Du fait de la structure chimique de la molécule, un effet androgène du glucuroconjugué de bicalutamide n'est également pas escompté. Le bicalutamide et l'hydroxy-bicalutamide se retrouvent dans les fèces, vraisemblablement après clivage enzymatique des glucuroconjugués correspondants sous l'action de la flore intestinale. La demi-vie plasmatique moyenne de l'énantiomère (S) est de 1,3 jour, alors que celle de l'énantiomère (R) est de l'ordre de 5,75 jours. Compte tenu de sa demi-vie prolongée, l'énantiomère (R) présente un facteur d'accumulation approximatif de 10 pour une administration quotidienne de la dose prescrite (1× 50 mg/jour ou 1× 150 mg/jour).
  • -La pharmacocinétique n'est pas influencée par l'âge. De même, les affections rénales légères ou modérées ou les affections hépatiques légères ne paraissent pas influencer la pharmacocinétique. Toutefois, certains signes indiquent un ralentissement de l'élimination de l'énantiomère (R) chez les patients présentant une insuffisance hépatique modérée ou sévère (voir «Instructions posologiques particulières» et «Mises en garde et précautions»). Aucune donnée sur la posologie chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <20 ml/min) n'est disponible.
  • +Patients âgés
  • +La pharmacocinétique n'est pas influencée par l'âge.
  • +Patients atteints d'insuffisance rénale
  • +Les affections rénales légères ou modérées ne paraissent pas influencer la pharmacocinétique. Aucune donnée sur la pharmacocinétique chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <20 ml/min) n'est disponible.
  • +Patients atteints d'insuffisance hépatique
  • +Les affections hépatiques légères ne paraissent pas influencer la pharmacocinétique. Toutefois, certains signes indiquent un ralentissement de l'élimination de l'énantiomère (R) chez les patients présentant une insuffisance hépatique modérée ou sévère (voir «Instructions posologiques particulières» et «Mises en garde et précautions»).
  • -Le bicalutamide s'est avéré non mutagène dans des tests in vitro et non clastogène dans des tests in vitro et in vivo. Les études visant l'oncogénicité du bicalutamide ont été menées pendant 2 ans sur le rat et la souris femelles et mâles. Le bicalutamide y était administré par voie orale à raison de 5, 15 ou 75 mg/kg par jour. Certaines modifications organiques ont été observées, vraisemblablement dues à l'activité antiandrogène du bicalutamide. Ces modifications comptent des tumeurs bénignes des cellules interstitielles du testicule (cellules de Leydig) chez le rat mâle et des adénocarcinomes utérins chez le rat femelle. Jusqu'ici, rien n'indique l'apparition d'hyperplasie des cellules de Leydig chez les patients sous traitement par bicalutamide. Les tumeurs utérines sont sans pertinence pour l'indication présente.
  • +Le bicalutamide s'est avéré non mutagène dans des tests in vitro et non clastogène dans des tests in vitro et in vivo. Les études visant la carcinogénicité du bicalutamide ont été menées pendant 2 ans sur le rat et la souris femelles et mâles. Le bicalutamide y était administré par voie orale à raison de 5, 15 ou 75 mg/kg par jour. Certaines modifications organiques ont été observées, vraisemblablement dues à l'activité antiandrogène du bicalutamide. Ces modifications comptent des tumeurs bénignes des cellules interstitielles du testicule (cellules de Leydig) chez le rat mâle et des adénocarcinomes utérins chez le rat femelle. Jusqu'ici, rien n'indique l'apparition d'hyperplasie des cellules de Leydig chez les patients sous traitement par bicalutamide. Les tumeurs utérines sont sans pertinence pour l'indication présente.
  • +Un effet de classe connu des antiandrogènes est l'atrophie des tubes séminifères dans les testicules. Cet effet a été observé chez toutes les espèces examinées. Dans une étude de 6 mois menée chez des rats, l'atrophie testiculaire était réversible 4 mois après la fin de la période d'administration (à des doses correspondant à environ 1,5 fois ou 0,6 fois la concentration thérapeutique chez l'être humain (50 mg ou 150 mg)). Dans une étude de 12 mois menée chez des rats, l'atrophie n'était pas réversible 24 semaines après la période d'administration (à des doses correspondant à environ 2 fois ou 0,9 fois la concentration thérapeutique recommandée chez l'être humain (50 mg ou 150 mg)). Chez des chiens, l'incidence de l'atrophie testiculaire était, après une période de traitement de 12 mois (à des doses correspondant à 7 fois ou 3 fois la concentration thérapeutique recommandée chez l'être humain (50 mg ou 150 mg)), la même chez les chiens traités que chez les chiens témoins après une période de récupération de 6 mois.
  • +
  • -L'administration du bicalutamide peut provoquer une inhibition de la spermatogenèse. L'effet à long terme du bicalutamide sur la fertilité masculine n'a pas été étudié. Chez le rat mâle sous bicalutamide à la posologie de 250 mg/kg/jour (inférieure à la dose thérapeutique maximale de 150 mg recommandée), l'intervalle précoïtal et le temps jusqu'à un accouplement fructueux étaient plus longs lors du premier accouplement. Aucun effet sur la fertilité n'a été observé après un accouplement fructueux. Ces effets n'étaient plus présents 7 semaines après la fin d'une période de traitement de 11 semaines.
  • +L'administration du bicalutamide peut provoquer une inhibition de la spermatogenèse. L'effet à long terme du bicalutamide sur la fertilité masculine n'a pas été étudié. Chez le rat mâle sous bicalutamide à la posologie de 250 mg/kg/jour (inférieure à la dose thérapeutique maximale de 150 mg recommandée), l'intervalle précoïtal et le temps jusqu'à un accouplement fructueux étaient plus longs lors du premier accouplement. Aucun effet sur la fertilité n'a été observé après un accouplement fructueux. Ces effets n'étaient plus présents 7 semaines après la fin d'une période de traitement de 11 semaines. Dans les études menées chez les animaux, une diminution réversible de la fertilité du mâle a été observée. Chez l'homme, on ne peut par conséquent pas exclure une période d'hypofertilité limitée dans le temps ou une période d'infertilité.
  • -Décembre 2016.
  • +Décembre 2017.
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