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Accueil - Information professionnelle sur Sue 20 - Changements - 01.08.2017
62 Changements de l'information professionelle Sue 20
  • -Commencer la prise le 1er jour du cycle (= 1er jour des règles). Il est également possible de commencer entre le 2e et le 5e jour du cycle; il est alors recommandé, lors du premier cycle, de recourir durant les 7 premiers jours de la prise du comprimé à des méthodes contraceptives supplémentaires non hormonales (à l'exclusion de la méthode d'abstinence périodique selon Ogino-Knaus et de la méthode des températures; p.ex. le préservatif).
  • +Commencer la prise le 1er jour du cycle (= 1er jour des règles). Il est également possible de commencer entre le 2e et le 5e jour du cycle; il est alors recommandé, lors du premier cycle, de recourir durant les 7 premiers jours de la prise du comprimé à des méthodes contraceptives supplémentaires non hormonales (p.ex. le préservatif, mais pas la méthode d'abstinence périodique d'Ogino-Knaus ou la méthode des températures).
  • -Il est préférable de commencer Sue 20 après la prise du dernier comprimé actif du COC (contraceptif oral combiné) précédent, mais au plus tard le jour suivant l'intervalle habituel sans prise de comprimé ou la phase sous placebo.
  • -Dans le cas d'un patch transdermique ou d'un anneau vaginal, on commencera Sue 20 le jour suivant le retrait, mais au plus tard le jour où la nouvelle application du patch ou de l'anneau vaginal aurait dû avoir lieu.
  • +Il est préférable de commencer Sue 20 après la prise du dernier comprimé actif du CHC (contraceptif hormonale combiné) précédent, mais au plus tard le jour suivant l'intervalle habituel sans prise de comprimé ou la phase sous placebo.
  • +Dans le cas d'un patch transdermique ou d'un anneau vaginal, on commencera Sue 20 le jour du retrait du dernier anneau ou du dernier patch, mais au plus tard le jour où la nouvelle application du patch ou de l'anneau vaginal aurait dû avoir lieu.
  • -1.La patiente doit prendre le comprimé pelliculé oublié dès qu'elle se rend compte de son oubli, même si elle doit, de ce fait, prendre 2 comprimés le même jour. Elle devra continuer à prendre quotidiennement les comprimés pelliculés suivants à l'heure habituelle. Elle commencera la prise des comprimés pelliculés de la plaquette suivante immédiatement après la fin de la dernière plaquette, c.-à-d. sans observer la pause de 7 jours. Il est improbable qu'une hémorragie de privation se produise avant la fin de la 2e plaquette, mais de petites pertes sanglantes (spotting) ou des métrorragies pourront se produire plus fréquemment.
  • -Ou
  • -2.La patiente cesse de prendre les comprimés pelliculés de la plaquette en cours. Après une pause de 7 jours au maximum (les jours doubli du comprimé compris), la patiente commencera la plaquette suivante.
  • +1.La patiente doit prendre le comprimé pelliculé oublié dès qu'elle se rend compte de son oubli, même si elle doit, de ce fait, prendre 2 comprimés le même jour. Elle devra continuer à prendre quotidiennement les comprimés pelliculés suivants à l'heure habituelle. Elle commencera la prise des comprimés pelliculés de la plaquette suivante immédiatement après la fin de la dernière plaquette, c.-à-d. sans observer la pause de 7 jours. Il est improbable qu'une hémorragie de privation se produise avant la fin de la 2e plaquette, mais de petites pertes sanglantes (spotting) ou des métrorragies pourront se produire plus fréquemment.Ou
  • +2.La patiente cesse de prendre les comprimés pelliculés de la plaquette en cours. Après une pause de 7 jours au maximum (les jours d'oubli du comprimé compris), la patiente commencera la plaquette suivante.
  • -Emploi chez certains groupes de patientes
  • +Instructions spéciales pour la posologie
  • -Sue 20 est contre-indiqué chez les femmes atteintes d'insuffisance rénale sévère ou de défaillance rénale aiguë. La kaliémie doit être surveillée chez les femmes souffrant d'insuffisance légère à modérée. Voir également la rubrique «Contre-indications».
  • +Sue 20 est contre-indiqué chez les femmes atteintes d'insuffisance rénale sévère ou de défaillance rénale aiguë (voir aussi «Contre-indications»). La kaliémie doit être surveillée chez les femmes souffrant d'insuffisance légère à modérée. Voir également la rubrique «Contre-indications».
  • -·Facteurs de risque majeurs de thrombo-embolie veineuse tels que
  • -·Prédisposition connue, héréditaire ou acquise, telle qu'une résistance à la protéine C activée (PCa) (y compris une mutation du facteur V de Leiden), un déficit en antithrombine III, un déficit en protéine C, un déficit en protéine S
  • -·Présence simultanée de multiples facteurs de risque de thrombo-embolie veineuse, selon tableau sous la rubrique «Mises en garde et précautions»
  • +·Facteurs de risque majeurs de thrombo-embolie veineuse tels que:
  • +·Prédisposition connue, héréditaire ou acquise, telle quune résistance à la protéine C activée (PCa) (y compris une mutation du facteur V de Leiden), un déficit en antithrombine III, un déficit en protéine C, un déficit en protéine S
  • +·Présence simultanée de multiples facteurs de risque de thrombo-embolie veineuse, selon tableau sous la rubrique «Mises en garde et précautions».
  • -·antécédents de migraine avec signes neurologiques focaux
  • -·prédisposition héréditaire ou acquise à la TEA, telle qu'une hyperhomocystéinémie ou la présence d'anticorps anti-phospholipides (anticorps anti-cardiolipine, anticoagulant lupique)
  • -·Présence simultanée de multiples facteurs de risque de TEA, selon tableau sous la rubrique «Mises en garde et précautions»
  • -·Affection hépatique sévère ou antécédent d'affection hépatique sévère, en l'absence de normalisation des tests fonctionnels hépatiques
  • -·Tumeur hépatique (bénigne ou maligne) ou antécédent de tumeur hépatique
  • -·Insuffisance rénale sévère ou aiguë
  • -·Existence ou suspicion dune pathologie maligne dépendante des hormones sexuelles au niveau de lappareil génital ou du sein
  • -·Saignements vaginaux d'origine inconnue
  • -·Grossesse confirmée ou suspicion de grossesse
  • -·Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients de Sue 20
  • +·Antécédents de migraine avec signes neurologiques focaux
  • +·Prédisposition héréditaire ou acquise à la TEA, telle quune hyperhomocystéinémie ou la présence danticorps anti-phospholipides (anticorps anti-cardiolipine, anticoagulant lupique)
  • +·Présence simultanée de multiples facteurs de risque de TEA, selon tableau sous la rubrique «Mises en garde et précautions».
  • +·Affection hépatique sévère ou antécédent daffection hépatique sévère, en labsence de normalisation des tests fonctionnels hépatiques.
  • +·Tumeur hépatique (bénigne ou maligne) ou antécédent de tumeur hépatique;
  • +·Insuffisance rénale sévère ou aiguë;
  • +·Existence ou suspicion d'une pathologie maligne dépendante des hormones sexuelles au niveau de l'appareil génital et du sein
  • +·Saignements vaginaux dorigine inconnue;
  • +·Grossesse confirmée ou suspicion de grossesse;
  • +·Hypersensibilité au principe actif ou à lun des excipients de Sue 20.
  • +Examen médical
  • -Obésité (indice de masse corporelle supérieur à 30 kg/m²) L'augmentation de l'IMC accroît considérablement le risque.Il est particulièrement important d'en prendre compte si d'autres facteurs de risque sont présents.
  • -Immobilisation prolongée, intervention chirurgicale majeure, toute intervention chirurgicale sur les jambes ou le bassin, neurochirurgie ou traumatisme majeur Dans ces situations, il est conseillé de suspendre l'utilisation du dispositif transdermique/de la pilule/de l'anneau (au moins quatre semaines à l'avance en cas de chirurgie programmée) et de ne reprendre le CHC que deux semaines au moins après la complète remobilisation. Une autre méthode de contraception doit être utilisée afin d'éviter une grossesse non désirée.Un traitement anti-thrombotique devra être envisagé si Sue 20 n'a pas été interrompu à l'avance.
  • -Antécédents familiaux (thrombo-embolie veineuse survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans) En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant l'utilisation de Sue 20.Si une thrombophilie est détectée, l'utilisation de CHC comme Sue 20 est contre-indiquée.
  • +Obésité (indice de masse corporelle supérieur à 30 kg/m²) L'augmentation de l'IMC accroît considérablement le risque. Il est particulièrement important d'en prendre compte si d'autres facteurs de risque sont présents.
  • +Immobilisation prolongée, intervention chirurgicale majeure, toute intervention chirurgicale sur les jambes ou le bassin, neurochirurgie ou traumatisme majeur Dans ces situations, il est conseillé de suspendre l'utilisation du dispositif transdermique/de la pilule/de l'anneau (au moins quatre semaines à l'avance en cas de chirurgie programmée) et de ne reprendre le CHC que deux semaines au moins après la complète remobilisation. Une autre méthode de contraception doit être utilisée afin d'éviter une grossesse non désirée. Un traitement anti-thrombotique devra être envisagé si Sue 20 n'a pas été interrompu à l'avance.
  • +Antécédents familiaux (thrombo-embolie veineuse survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans) En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant l'utilisation de Sue 20. Si une thrombophilie est détectée, l'utilisation de CHC comme Sue 20 est contre-indiquée.
  • -La patiente doit être informée quen cas dapparition dun ou de plusieurs de ces symptômes, elle doitconsulter un médecin en urgence et indiquer au personnel médical quelle utilise Sue 20
  • +La patiente doit être informée qu'en cas d'apparition d'un ou de plusieurs de ces symptômes, elle doitconsulter un médecin en urgence et indiquer au personnel médical qu'elle utilise Sue 20
  • -Obésité (indice de masse corporelle supérieur à 30 kg/m2) L'augmentation de l'IMC accroît considérablement le risque.Il est particulièrement important d'en prendre compte si d'autres facteurs de risque sont présents.
  • -Antécédents familiaux (thrombo-embolie artérielle survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans). En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant l'utilisation de Sue 20.Si une thrombophilie est détectée, l'utilisation de CHC comme Sue 20 est contre-indiquée.
  • +Obésité (indice de masse corporelle supérieur à 30 kg/m2) L'augmentation de l'IMC accroît considérablement le risque. Il est particulièrement important d'en prendre compte si d'autres facteurs de risque sont présents.
  • +Antécédents familiaux (thrombo-embolie artérielle survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans). En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant l'utilisation de Sue 20. Si une thrombophilie est détectée, l'utilisation de CHC comme Sue 20 est contre-indiquée.
  • -Les femmes prenant un contraceptif hormonal ne doivent pas être traitées concomitamment par des préparations à base de millepertuis (Hypericum), étant donné que celui-ci peut diminuer l'effet contraceptif. Des saignements intermenstruels et des cas isolés de grossesses non désirées ont été rapportés (cf. également «Interactions»).
  • -La capacité d'élimination du potassium peut être limitée chez les patientes souffrant d'insuffisance rénale. Dans une étude clinique, la prise de drospirénone n'a pas eu d'effet visible sur la concentration sérique de potassium chez des patientes atteintes d'insuffisance rénale légère à modérée (voir «Pharmacocinétique»). Un risque théorique d'hyperkaliémie peut être supposé chez les patientes souffrant d'insuffisance rénale ainsi que chez les femmes dont le potassium sérique se situait dans les valeurs supérieures de la normale avant le traitement ou prenant des médicaments d'épargne potassique.
  • -Chez les femmes avec hypertriglycéridémie ou antécédents familiaux d'hypertriglycéridémie, l'utilisation de CHC peut augmenter le risque de pancréatite.
  • -Bien qu'une légère augmentation de la tension artérielle pendant la prise de CHC ait été assez fréquemment rapportée, des valeurs élevées cliniquement significatives sont rares. L'effet antiminéralocorticoïde de la drospirénone s'oppose à l'augmentation de la pression artérielle favorisée par l'éthinylestradiol qui peut être observée chez des femmes normotensives prenant d'autres CHC. Si la prise du CHC conduit à une augmentation cliniquement significative de la tension artérielle (confirmée par des mesures répétées), la prise du CHC devra être arrêtée. Dans les cas où l'indication semble justifiée, on pourra envisager la reprise d'un CHC, pour autant que la tension artérielle se soit normalisée (sous traitement).
  • +Les femmes utilisant un contraceptif hormonal ne doivent pas être traitées concomitamment par des préparations à base de millepertuis (Hypericum), étant donné que celui-ci peut diminuer l'effet contraceptif. Des saignements intermenstruels et des cas isolés de grossesses non désirées ont été rapportés (cf. également «Interactions»).
  • +La capacité d'élimination du potassium peut être limitée chez les patientes souffrant d'insuffisance rénale. Dans une étude clinique, la prise de drospirénone n'a pas eu d'effet visible sur la concentration sérique de potassium chez des patientes atteintes d'insuffisance rénale légère à modérée (voir «Propriétés/Effets»). Un risque théorique d'hyperkaliémie peut être supposé chez les patientes souffrant d'insuffisance rénale ainsi que chez les femmes dont le potassium sérique se situait dans les valeurs supérieures de la normale avant le traitement ou prenant des médicaments d'épargne potassique.
  • +Chez les femmes atteintes d'hypertriglycéridémie ou ayant des antécédents familiaux d'hypertriglycéridémie, l'utilisation de CHC peut augmenter le risque de pancréatite.Bien qu'une légère augmentation de la tension artérielle pendant la prise de CHC ait été assez fréquemment rapportée, des valeurs élevées cliniquement significatives sont rares. L'effet antiminéralocorticoïde de la drospirénone s'oppose à l'augmentation de la pression artérielle favorisée par l'éthinylestradiol qui peut être observée chez des femmes normotensives prenant d'autres CHC. Si la prise du CHC conduit à une augmentation cliniquement significative de la tension artérielle (confirmée par des mesures répétées), la prise du CHC devra être arrêtée. Dans les cas où l'indication semble justifiée, on pourra envisager la reprise d'un CHC, pour autant que la tension artérielle se soit normalisée (sous traitement).
  • -Chaque comprimé pelliculé de Sue 20 contient 44 mg de lactose.
  • -Les patientes qui sont atteintes d'une intolérance au galactose, une maladie héréditaire rare, d'un déficit en lactase de Lapp ou d'une malabsorption du glucose-galactose et qui suivent un régime sans lactose doivent tenir compte de ces quantités.
  • +Chaque comprimé pelliculé de Sue 20 contient 44 mg de lactose. Les patientes qui sont atteintes d'une intolérance au galactose, une maladie héréditaire rare, d'un déficit en lactase de Lapp ou d'une malabsorption du glucose-galactose et qui suivent un régime sans lactose doivent tenir compte de ces quantités.
  • -L'induction enzymatique maximale est en général observée après 2 à 3 semaines et peut persister pendant au moins 4 semaines ou plus après l'arrêt de ces médicaments. Les femmes traitées sur une courte période par un de ces médicaments doivent provisoirement utiliser une méthode de contraception non hormonale en complément au CHC ou choisir une autre méthode contraceptive. Une méthode de contraception mécanique doit être poursuivie pendant toute la prise concomitante des médicaments et encore pendant 28 jours après l'arrêt du traitement. Lorsque la prise concomitante d'un inducteur enzymatique dure au-delà de la fin de l'emballage du CHC, il faut passer immédiatement à l'emballage suivant, donc sauter l'intervalle habituel sans prise de comprimés.
  • -En cas de traitement de longue durée avec des médicaments qui entraînent une induction enzymatique hépatique, il convient d'utiliser des méthodes contraceptives non hormonales fiables.
  • +Une induction enzymatique peut déjà être observée après quelques jours seulement.
  • +L'induction enzymatique maximale est en général observée après 2 à 3 semaines et peut persister pendant au moins 4 semaines ou plus après l'arrêt de ces médicaments. Les femmes traitées sur une courte période par un de ces médicaments doivent provisoirement utiliser une méthode de contraception non hormonale en complément au CHC ou choisir une autre méthode contraceptive. Une méthode de contraception mécanique doit être poursuivie pendant toute la prise concomitante des médicaments et encore pendant 28 jours après l'arrêt du traitement. Lorsque la prise concomitante d'un inducteur enzymatique dure au-delà de la fin de l'emballage du CHC, il faut passer immédiatement à l'emballage suivant, donc sauter l'intervalle habituel sans prise de comprimés. En cas de traitement de longue durée avec des médicaments qui entraînent une induction enzymatique hépatique, il convient d'utiliser des méthodes contraceptives non hormonales fiables.
  • -Inhibiteurs forts et modérés du CYP3A comme les antifongiques azolés (p.ex. Itarconazol, Voriconazol, Flucinazol), les macrolides (Clarithromycin, Erythromycin), Diltiazem, Verapamil et le jus de pamplemousse peuvent augmenter les taux plasmatiques des estrogènes et ou des progestatifs et entraîner des effets indésirables plus nombreux.
  • +Inhibiteurs forts et modérés du CYP3A comme les antifongiques azolés (p.ex. itraconazole, voriconazole, fluconazole), les macrolides (clarithromycine, érythromycine), le diltiazem, le vérapamil et le jus de pamplemousse peuvent augmenter les taux plasmatiques des estrogènes et ou des progestatifs et entraîner des effets indésirables plus nombreux.
  • +Dans une étude à doses multiples réalisée avec une association de drospirénone (3 mg/jour) et d'éthinylestradiol (0,02 mg/jour), l'administration concomitante de kétoconazole, un inhibiteur puissant du CYP3A4, a augmenté l'AUC (0-24 h) de la drospirénone d'un facteur 2.68 (IC à 90%: 2.44, 2.95) et celle de l'éthinylestradiol d'un facteur 1.40 (IC à 90%: 1.31, 1.49).
  • +Lorsqu'elles étaient administrées en même temps qu'un contraceptif hormonal combiné contenant 0,035 mg d'éthinylestradiol, des doses d'étoricoxibe comprises entre 60 et 120 mg/jour ont entraîné une multiplication des concentrations plasmatiques d'éthinylestradiol par un facteur situé entre 1.4 et 1.6. La pertinence clinique de ces modifications n'est pas connue.
  • +Les inhibiteurs de l'HMG-CoA-réductase atorvastatine et rosuvastatine sont eux aussi susceptibles d'augmenter les concentrations plasmatiques des hormones sexuelles (augmentation d'environ 20 à 30% de l'AUC des composantes œstrogénique et progestative) et, dans certaines circonstances, d'accroître ainsi la survenue des effets indésirables.
  • +
  • -Les contraceptifs hormonaux peuvent, par différents mécanismes d'interaction, influer également sur la pharmacocinétique de certains autres médicaments: ils peuvent inhiber les enzymes hépatiques microsomaux ou induire la conjugaison hépatique, en particulier la glucuroconjugaison. Les concentrations plasmatiques ou tissulaires d'autres médicaments peuvent par conséquent être soit augmentées (p.ex. la cyclosporine) soit diminuées (p.ex. la lamotrigine, voir ci-dessous). Par ailleurs, l'effet pharmacologique des groupes médicamenteux suivants peut également être influencé: analgésiques, antidépresseurs, antidiabétiques, antimalariques, certaines benzodiazépines, certains béta-bloquants, corticostéroïdes, anticoagulants oraux et théophylline.
  • -Les modifications des taux plasmatiques résultant de ces interactions ne sont pas toujours cliniquement pertinentes.
  • +Les contraceptifs hormonaux peuvent, par différents mécanismes d'interaction, influer également sur la pharmacocinétique de certains autres médicaments: ils peuvent inhiber les enzymes hépatiques microsomaux ou induire la conjugaison hépatique, en particulier la glucuroconjugaison. Les concentrations plasmatiques ou tissulaires d'autres médicaments peuvent par conséquent être soit augmentées (p.ex. la cyclosporine) soit diminuées (p.ex. la lamotrigine, voir ci-dessous). Par ailleurs, l'effet pharmacologique des groupes médicamenteux suivants peut également être influencé: analgésiques, antidépresseurs, antidiabétiques, antimalariques, certaines benzodiazépines, certains béta-bloquants, corticostéroïdes, anticoagulants oraux et théophylline. Les modifications des taux plasmatiques résultant de ces interactions ne sont pas toujours cliniquement pertinentes.
  • +In vitro, l'éthinylestradiol a révélé une inhibition des CYP1A1, CYP1A2, CYP2C19, CYP3A4/5 et CYP2C8. Dans des études cliniques, l'utilisation d'un contraceptif hormonal contenant de l'éthinylestradiol a entraîné une augmentation modérée (p.ex. mélatonine et tizanidine) ou légère (p.ex. théophylline) des concentrations plasmatiques de substrats du CYP1A2, ainsi qu'une augmentation uniquement minime ou absente des concentrations plasmatiques de substrats du CYP3A4 (p.ex. midazolam).
  • +In vitro, la drospirénone a entraîné une inhibition légère à modérée des enzymes CYP1A1, CYP2C9, CYP2C19 et CYP3A4 du cytochrome P450. Sur la base des résultats d'études cliniques d'interactions avec l'oméprazole, la simvastatine et le midazolam utilisés comme substrats marqueurs, une interaction entre 3 mg de drospirénone et le métabolisme d'autres médicaments, lié au cytochrome P450, est cependant improbable.
  • +
  • -Lorsqu'un traitement par Sue 20 est nouvellement instauré chez une patiente prenant de la lamotrigine, une adaptation de la dose de lamotrigine peut donc être nécessaire, et les concentrations de lamotrigine devraient être surveillées étroitement au début du traitement. En l'occurrence, il peut y avoir une hausse significative du taux de lamotrigine (selon les cas jusqu'à un niveau toxique) lors de l'arrêt de la prise du contraceptif hormonal (ainsi dans certains cas pendant la période de 7 jours sans prise).
  • -Sur la base des études d'inhibition in vitro et des études d'interaction in vivo avec des substrats marqueurs comme l'oméprazole, la simvastatine et le midazolam, effectuées sur des sujets d'expérience féminins, l'interaction de 3 mg de drospirénone avec le métabolisme d'autres médicaments est improbable.
  • +Lorsqu'un traitement par Sue 20 est nouvellement instauré chez une patiente prenant de la lamotrigine, une adaptation de la dose de lamotrigine peut donc être nécessaire, et les concentrations de lamotrigine devraient être surveillées étroitement au début du traitement. En l'occurrence, il peut y avoir une hausse significative du taux de lamotrigine (selon les cas jusqu'à un niveau toxique) lors de l'arrêt de la prise du contraceptif hormonal (ainsi dans certains cas pendant la période de 7 jours sans prise)
  • -La kaliémie sérique doit être surveillée lors de la prise concomitante de Sue 20 et de médicaments qui augmentent les concentrations sériques de potassium (antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, diurétiques d'épargne potassique, antagonistes de l'aldostérone). Cependant, au cours des études portant sur l'interaction entre la drospirénone (combinée à l'estradiol) et un inhibiteur de l'ECA ou les AINS (p.ex. l'indométacine), aucune différence significative au niveau clinique ou statistique n'a été mise en évidence au niveau de la kaliémie sérique.
  • +La kaliémie sérique doit être surveillée lors de la prise concomitante de Sue 20 et de médicaments qui augmentent les concentrations sériques de potassium (antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, diurétiques d'épargne potassique, antagonistes de l'aldostérone). Cependant, au cours des études portant sur l'interaction entre la drospirénone (combinée à l'estradiol) et un inhibiteur de l'ECA ou les AINS (p.ex. l'indométacine), aucune différence significative au niveau clinique pertinente ou statistique n'a été mise en évidence au niveau de la kaliémie sérique.
  • -Les effets indésirables les plus graves en rapport avec la prise de CHC sont décrits dans la rubrique «Mises en garde et précautions» (voir la rubrique). Les effets indésirables sérieux incluent en particulier des thrombo-embolies artérielles et veineuses.
  • -Les effets indésirables suivants ont été observés sous éthinylestradiol 20 μg/drospirénone 3 mg:
  • -Infections
  • -Occasionnels: candidose (y compris vaginale), infections à Herpès simplex, cystite, vaginite.
  • -Néoplasmes
  • -Occasionnels: cancer du sein, kystes ovariens.
  • -Système immunitaire
  • -Occasionnels: réactions d'hypersensibilité, angio-œdème.
  • +Les effets indésirables les plus graves en rapport avec l'utilisation de CHC sont décrits dans la rubrique «Mises en garde et précautions» (voir la rubrique). Les effets indésirables sérieux incluent en particulier des thromboembolies artérielles et veineuses.
  • +La sécurité d'éthinylestradiol 20 μg/drospirénone 3 mg a été évaluée dans des études cliniques totalisant n=963 femmes. Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés sous éthinylestradiol 20 μg/drospirénone 3 mg sont des douleurs et des affections mammaires. Ils sont observés chez >6% des utilisatrices.
  • +Les effets indésirables observés dans le cadre des études cliniques et de la surveillance postcommercialisation sont résumés ci-dessous par systèmes d'organes et par fréquence. Les fréquences sont définies comme suit: fréquent (≥1/100 à <1/10); occasionnel (≥1/1'000 à <1/100); rare (≥1/10'000 à <1/1'000); fréquence inconnue (la fréquence exacte ne peut être estimée essentiellement sur la base des rapports spontanés issus de la surveillance postcommercialisation).
  • +Infections et infestations
  • +Fréquents: mycose vulvovaginale.
  • +Affections du système immunitaire
  • +Fréquence inconnue: réactions d'hypersensibilité.
  • -Occasionnels: œdèmes, soif exagérée, perte de poids, augmentation de l'appétit.
  • -Troubles psychiatriques
  • -Fréquents: labilité émotionnelle, dépression.
  • -Occasionnels: baisse de la libido, nervosité, troubles du sommeil.
  • -Rares: augmentation de la libido.
  • -Système nerveux
  • +Affections psychiatriques
  • +Fréquents: dépression/humeur dépressive, nervosité, labilité émotionnelle, diminution ou perte de la libido.
  • +Affections du système nerveux
  • -Occasionnels: paresthésies, vertiges, migraine.
  • -Troubles oculaires
  • -Rares: mauvaise tolérance des lentilles de contact.
  • -Troubles cardiaques et vasculaires
  • -Occasionnels: extrasystoles, hypertension, tachycardie, varices, bouffées de chaleur.
  • -Rare: thrombo-embolie veineuse (p.ex. thrombose veineuse profonde, embolie pulmonaire), thrombo-embolie artérielle (p.ex. accident ischémique transitoire, accident vasculaire cérébral, infarctus du myocarde).
  • -Organes respiratoires
  • -Occasionnels: pharyngite.
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • -Fréquents: douleurs abdominales, nausées.
  • -Occasionnels: constipation, diarrhée, gastroentérite, vomissements.
  • -Troubles cutanés
  • -Fréquents: acné.
  • -Occasionnels: sécheresse de la peau, éruption cutanée, séborrhée, prurit, urticaire, alopécie.
  • -Rares: érythème noueux, érythème multiforme.
  • -Troubles musculosquelettiques
  • -Occasionnels: crampes musculaires, cervicalgies, douleurs dans les extrémités.
  • -Troubles des organes de reproduction et des seins
  • -Fréquents: dysménorrhée, métrorragie, augmentation de volume des seins, douleurs et tensions mammaires.
  • -Occasionnels: aménorrhée, saignements entre les règles, leucorrhée, ménorragie, sécheresse vaginale, trouble vulvo-vaginal, altérations fibrokystiques du sein, lactation, douleurs abdominales, frottis cervical (PAP) suspect.
  • +Occasionnels: migraine, troubles du sommeil.
  • +Affections cardiaques/Affections vasculaires
  • +Rares: thromboembolie veineuse (p.ex. thrombose veineuse profonde, embolie pulmonaire), thromboembolie artérielle (p.ex. accident ischémique transitoire, accident vasculaire cérébral, infarctus du myocarde).
  • +Affections gastro-intestinales
  • +Fréquents: nausées, douleurs abdominales, vomissements.
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • +Occasionnels: sécheresse de la peau, urticaire.
  • +Fréquence inconnue: érythème noueux.
  • +Affections des organes de reproduction et du sein
  • +Fréquents: douleurs et autres affections mammaire, saignements utérins irréguliers, saignements du tractus génital sans caractérisation plus précise, pertes vaginales, augmentation du volume des seins.
  • +Occasionnels: douleurs abdominales, sécheresse vaginale, galactorrhée.
  • -Occasionnels: transpiration accrue, asthénie.
  • -À part cela, les effets indésirables suivants ont été rapportés chez des utilisatrices d'autres contraceptifs hormonaux combinés (cf. également «Mises en garde et précautions»):
  • -hypertriglycéridémie, altérations de la tolérance au glucose, anxiété, agitation, agressivité, épilepsie, dégradation de l'ouïe en raison d'une otosclérose, pancréatite (surtout chez des femmes présentant une hypertriglycéridémie), colite ulcéreuse, maladie de Crohn, troubles de la fonction hépatique, lithiase biliaire, ictère cholestatique, tumeurs du foie, porphyrie, syndrome hémolytique et urémique, hirsutisme, douleurs dans le bas-ventre, dysplasie cervicale, augmentation du volume de myomes utérins, rétention liquidienne, détérioration d'un lupus érythémateux disséminé ou d'une chorée de Sydenham.
  • +Occasionnels: oedèmes.
  • +À part cela, les effets indésirables suivants ont été rapportés chez des utilisatrices d'autres CHC (cf. «Mises en garde et précautions»):
  • +Infections urinaires, modifications fibrokystiques du sein, carcinome mammaire, oedème de Quincke, augmentation de l'appétit, hyperlipidémie, modifications de la tolérance au glucose, anxiété, agitation, agressivité, vertiges, dégradation de l'ouïe en raison d'une otosclérose, hypertension, diarrhée, constipation, pancréatite (surtout chez des femmes présentant une hypertriglycéridémie), troubles de la fonction hépatique, lithiase biliaire, ictère cholestatique, tumeurs ou hyperplasie nodulaire focale du foie, éruption cutanée, prurit, séborrhée, acné, alopécie, chloasma, hirsutisme, érythème multiforme, purpura vasculaire (points rouges cutanés), crampes musculaires, dysménorrhée, aménorrhée, kystes ovariens, augmentation du volume de myomes utérins, dysplasie cervicale, aggravation d'un lupus érythémateux disséminé ou d'une chorée de Sydenham.
  • -Mécanisme d'action et pharmacodynamie
  • +Mécanisme d'action
  • -Pour éthinylestradiol 20 μg/drospirénone 3 mg, le Pearl Index a été de 0,31 avec une limite supérieure de l'intervalle de confiance à 97,5% de 0,91.
  • +Efficacité clinique
  • +Dans les études cliniques menées chez n=936 femmes, le Pearl Index pour éthinylestradiol 20 μg/drospirénone 3 mg a été de 0.31 avec une limite supérieure de l'intervalle de confiance à 97.5% de 0.91.
  • -Après administration orale, la drospirénone est rapidement et presque complètement résorbée. Des taux plasmatiques maximaux de 35 ng/ml sont atteints dans un délai d'environ 1–2 heures après administration orale d'une dose unique. La biodisponibilité absolue est de 76–85%. La prise concomitante de nourriture n'influence pas la biodisponibilité, qui est identique à celle observée après la prise de drospirénone à jeun.
  • +Après administration orale, la drospirénone est rapidement et presque complètement résorbée. Des taux sériques maximaux de 35 ng/ml sont atteints dans un délai d'environ 1–2 heures après administration orale d'une dose unique. La biodisponibilité absolue est de 76–85%. La prise concomitante de nourriture n'influence pas la biodisponibilité, qui est identique à celle observée après la prise de drospirénone à jeun.
  • -La drospirénone est presque complètement métabolisée. Les principaux métabolites plasmatiques sont la forme acide de la drospirénone, formée par l'ouverture du cycle lactone, et le 4,5-dihydro-drospirénone-3-sulfate. Ces deux métabolites sont formés sans l'intervention du système du cytochrome P450. Des données in vitro indiquent que la drospirénone n'est que faiblement métabolisée par le CYP3A4.
  • -Aucune interaction n'a été constatée lors de l'administration concomitante de drospirénone et d'éthinylestradiol.
  • +La drospirénone est presque complètement métabolisée. Les principaux métabolites plasmatiques sont la forme acide de la drospirénone, formée par l'ouverture du cycle lactone, et le 4,5-dihydro-drospirénone-3-sulfate, formé par réduction puis sulfatation. La drospirénone est aussi soumise à un métabolisme oxydatif catalysé par le CYP3A4.
  • -À l'état d'équilibre, les taux sériques de drospirénone chez les femmes présentant une insuffisance rénale légère (clairance de la créatinine [CLcr] 50–80 ml/min.) étaient comparables aux valeurs mesurées chez les femmes présentant une fonction rénale normale (CLcr >80 ml/min.). Chez des femmes présentant une insuffisance rénale modérée (CLcr: 30–50 ml/min.), les taux sériques de drospirénone (ASC0–infini) étaient en moyenne 37% plus élevés que chez les femmes présentant une fonction rénale normale. Les taux sériques de potassium n'ont pas été notablement influencés.
  • +À l'état d'équilibre, les taux sériques de drospirénone dans le groupe avec insuffisance rénale légère (clairance de la créatinine CLcr: 50–80 ml/min) étaient comparables aux valeurs mesurées dans le groupe à fonction rénale normale (CLcr >80 ml/min). Chez des femmes souffrant d'insuffisance rénale modérée (clairance de la créatinine CLcr: 30–50 ml/min), les taux sériques de drospirénone (AUC0-infini) étaient en moyenne 37% plus élevés que chez les femmes ayant une fonction rénale normale.
  • -Après administration orale, l'éthinylestradiol est résorbé rapidement et complètement. Des taux plasmatiques maximaux d'env. 54–100 pg/ml sont atteints 1–2 heures après administration d'une dose unique. La biodisponibilité absolue est en moyenne d'environ 45% (avec des variations de 20–65%) en raison d'un métabolisme présystémique (effet de premier passage) important.
  • +Après administration orale, l'éthinylestradiol est résorbé rapidement et complètement. Des taux sériques maximaux d'env. 54–100 pg/ml sont atteints 1–2 heures après administration d'une dose unique. La biodisponibilité absolue est en moyenne d'environ 45% (avec des variations de 20–65%) en raison d'un métabolisme présystémique (effet de premier passage) important.
  • -L'éthinylestradiol subit un métabolisme présystémique aussi bien dans la muqueuse de l'intestin grêle que dans le foie. Dans la muqueuse de l'intestin grêle, l'éthinylestradiol est conjugué et dans le foie, il est dégradé par un métabolisme de phase I (métabolites principaux: 2-hydroxy-éthinylestradiol et 2-méthoxy-éthinylestradiol) et une conjugaison. Les glucuronoconjugués et sulfoconjugués de l'éthinylestradiol ainsi que les métabolites de la phase I subissent une circulation entéro-hépatique. Le CYP3A4 participe au métabolisme.
  • +L'éthinylestradiol subit un métabolisme présystémique aussi bien dans la muqueuse du grêle que dans le foie. Dans la muqueuse intestinale grêle, l'éthinylestradiol est conjugué et dans le foie, il est dégradé par un métabolisme de phase I (métabolites principaux: 2-hydroxy-éthinylestradiol et 2-méthoxy-éthinylestradiol) et une conjugaison. Le CYP3A4 participe au métabolisme. L'éthinylestradiol et ses métabolites oxydatifs sont essentiellement métabolisés en dérivés glucuronoconjugués et sulfoconjugués.
  • -Les taux sériques d'éthinylestradiol diminuent de manière biphasique, avec une demi-vie terminale de 10–20 heures. La clairance totale est d'env. 2,3–7 ml/min/kg. L'éthinylestradiol est entièrement métabolisé et ses métabolites, qui sont éliminés par l'urine et la bile dans un rapport de 4:6, ont une demi-vie d'env. 24 heures.
  • +Les taux sériques d'éthinylestradiol diminuent de manière biphasique, avec une demi-vie terminale de 10–20 heures. La clairance totale est d'env. 2.3–7 ml/min/kg. L'éthinylestradiol est entièrement métabolisé et ses métabolites, qui sont éliminés par l'urine et la bile dans un rapport de 4:6, ont une demi-vie d'env. 24 heures. Les dérivés conjugués subissent une circulation entéro-hépatique.
  • -Sue 20 comprimés pelliculés 1 × 21. (B)
  • -Sue 20 comprimés pelliculés 3 × 21. (B)
  • -Sue 20 comprimés pelliculés 6 × 21. (B)
  • +Sue 20 comprimés pelliculés 1× 21. (B)
  • +Sue 20 comprimés pelliculés 3× 21. (B)
  • +Sue 20 comprimés pelliculés 6× 21. (B)
  • -Septembre 2015.
  • +Décembre 2015.
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