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Home - Fachinformation zu Ethinylestradiol Chlormadinonacetat Stada - Änderungen - 18.04.2022
46 Änderungen an Fachinfo Ethinylestradiol Chlormadinonacetat Stada
  • -Principes actifs: chlormadinoni acetas, ethinylestradiolum.
  • -Excipients: lactosum, excip. pro compresso obducto.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Comprimés pelliculés: éthinylestradiol 0,03 mg, acétate de chlormadinone 2 mg.
  • +Principes actifs
  • +Chlormadinoni acetas, ethinylestradiolum.
  • +Excipients
  • +Lactosum, excip. pro compresso obducto.
  • -Prendre un comprimé pelliculé chaque jour à la même heure (de préférence le soir) pendant 21 jours consécutifs, puis observer une pause de 7 jours sans prendre de comprimé pelliculé; les règles doivent survenir deux à quatre jours après la prise du dernier comprimé pelliculé. Après la pause de 7 jours, prendre le premier comprimé pelliculé du prochain emballage Sara, et ceci que les règles soient déjà terminées ou durent encore.
  • +Prendre un comprimé pelliculé chaque jour à la même heure (de préférence le soir) pendant 21 jours consécutifs, puis observer une pause de 7 jours sans prendre de comprimé pelliculé; les règles doivent arriver deux à quatre jours après la prise du dernier comprimé pelliculé. Après la pause de 7 jours, prendre le premier comprimé pelliculé du prochain emballage Sara, et ceci que les règles soient déjà terminées ou durent encore.
  • -·Utilisation concomitante de l'association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir (médicament pour le traitement de l'hépatite C). L'utilisation peut être reprise au plus tôt 2 semaines après l'arrêt de la prise de ces principes actifs (voir «Mises en garde et précautions» et «Interactions»);
  • -·Utilisation concomitante de l'association de principes actifs glécaprévir/pibrentasvir (médicament pour le traitement de l'hépatite C);
  • -
  • +·Utilisation concomitante de l'association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir, glécaprévir/pibrentasvir et sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir (médicament pour le traitement de l'hépatite C) (voir «Mises en garde et précautions» et «Interactions»);
  • -Avant le début ou le renouvellement de la prise d'un CHC tel que Sara, il est nécessaire de procéder à une anamnèse personnelle et familiale minutieuse ainsi qu'à un examen général et gynécologique approfondi en prenant en compte les «Contre-indications» et les «Mises en garde et précautions» afin de dépister les affections nécessitant un traitement ainsi que les états à risque, et de pouvoir exclure l'éventualité d'une grossesse. Ces examens comprennent généralement une mesure de la tension artérielle, un examen des seins, de l'abdomen et des organes pelviens avec frottis cytologique du col et examens de laboratoire appropriés.
  • +Avant le début ou le renouvellement de la prise d'un CHC tel que Sara, il est nécessaire de procéder à une anamnèse personnelle et familiale minutieuse ainsi qu'à un examen général et gynécologique approfondi en prenant en compte les «Contreindications» et les «Mises en garde et précautions» afin de dépister les affections nécessitant un traitement ainsi que les états à risque, et de pouvoir exclure l'éventualité d'une grossesse. Ces examens comprennent généralement une mesure de la tension artérielle, un examen des seins, de l'abdomen et des organes pelviens avec frottis cytologique du col et examens de laboratoire appropriés.
  • -·troubles moteurs (en particulier des parésies);
  • +·troubles moteurs (en particulier parésies);
  • -·douleur ou sensation de tension dans une jambe, pouvant n'être ressentie qu'en position debout ou lors de la marche;
  • +·douleur ou sensibilité dans une jambe, pouvant n'être ressentie qu'en position debout ou lors de la marche;
  • -Certains de ces symptômes (p.ex. essoufflement, toux) ne sont pas spécifiques et peuvent être interprétés à tort comme des signes d'événements plus fréquents ou moins sévères (infections respiratoires, p.ex.).
  • +Certains de ces symptômes (p.ex. «essoufflement», «toux») ne sont pas spécifiques et peuvent être interprétés à tort comme des signes d'événements plus fréquents ou moins sévères (infections respiratoires, p.ex.).
  • -Chez les patientes atteintes d'hépatite C qui ont utilisé un CHC contenant de l'éthinylestradiol de façon concomitante lors de l'utilisation de l'association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir employée dans le traitement des infections par le VHC, une augmentation de l'ALAT significativement plus fréquente que chez les patientes uniquement traitées par les principes actifs antiviraux a été rapportée (y compris des cas avec une augmentation à plus de cinq fois la limite supérieure de la normale et dans des cas isolés à plus de 20 fois la limite supérieure de la normale; voir «Interactions»).
  • -La prise de Sara doit par conséquent être interrompue avant le début d'un traitement par cette association de principes actifs. À condition que la patiente présente des valeurs hépatiques normales, l'utilisation de Sara peut être reprise au plus tôt 2 semaines, mais de préférence 4 semaines, après l'arrêt de l'association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir. Il faut ici toutefois noter que, lors d'un intervalle de moins de 4 semaines, l'efficacité du CHC peut encore être réduite en raison des propriétés d'induction enzymatique du ritonavir et qu'une méthode de barrière additionnelle doit par conséquent être utilisée (voir la rubrique «Interactions/Inducteurs enzymatiques»). Ce point est particulièrement pertinent lorsque l'association ombitasvir/paritaprévir/ritonavir est utilisée avec la ribavirine, un principe actif potentiellement tératogène.
  • -Davantage de cas d'augmentation de l'ALAT ont également été observés lors de l'utilisation concomitante de l'association des principes actifs glécaprévir/pibrentasvir et d'un CHC contenant de l'éthinylestradiol. La prise de Sara doit par conséquent également être temporairement interrompue lors de l'utilisation de cette association.
  • -
  • +Chez les patientes atteintes d'hépatite C qui ont utilisé un CHC contenant de l'éthinylestradiol de façon concomitante lors de l'utilisation de l'association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir, avec ou sans dasabuvir, une augmentation de l'ALAT significativement plus fréquente que chez les patientes uniquement traitées par les principes actifs antiviraux a été observée (y compris des cas avec une augmentation à plus de cinq fois la limite supérieure de la normale et dans des cas isolés à plus de 20 fois la limite supérieure de la normale; voir «Interactions»). Des élévations similaires de l'ALAT ont également été observées sous des médicaments anti-VHC contenant du glécaprévir/pibrentasvir ou du sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir.
  • +La prise de Sara doit par conséquent être interrompue avant le début d'un traitement par ces associations de principes actifs. À condition que la patiente présente des valeurs hépatiques normales, l'utilisation de Sara peut être reprise au plus tôt 2 semaines, mais de préférence 4 semaines, après l'arrêt des associations de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir, glécaprévir/pibrentasvir ou sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir. Il faut ici toutefois noter que, lors d'un intervalle de moins de 4 semaines, l'efficacité du CHC peut encore être réduite en raison des propriétés d'induction enzymatique du ritonavir et qu'une méthode de barrière additionnelle doit par conséquent être utilisée (voir la rubrique «Interactions/Inducteurs enzymatiques»). Ce point est particulièrement pertinent lorsque l'association ombitasvir/paritaprévir/ritonavir est utilisée avec la ribavirine, un principe actif potentiellement tératogène.
  • -Inhibiteurs forts et modérés du CYP3A comme les antifongiques azolés (p.ex. itraconazole, voriconazole, fluconazole), les macrolides (clarithromycine, érythromycine), diltiazem, vérapamil et le jus de pamplemousse peuvent augmenter les taux plasmatiques des estrogènes et ou des progestatifs et entraîner des effets indésirables plus nombreux.
  • +Inhibiteurs forts et modérés du CYP3A4 comme les antifongiques azolés (p.ex. itraconazole, voriconazole, fluconazole), les macrolides (clarithromycine, érythromycine), diltiazem, vérapamil et le jus de pamplemousse peuvent augmenter les taux plasmatiques des estrogènes et ou des progestatifs et entraîner des effets indésirables plus nombreux.
  • -Influence des contraceptifs hormonaux sur la pharmacocinétique d'autres médicaments
  • +Influence des contraceptifs hormonaux sur la pharmacocinétique d'autres substances
  • -Dans les études cliniques, une augmentation de l'ALAT (y compris des cas avec une augmentation à plus de cinq fois la limite supérieure de la normale [LSN] et dans des cas isolés à plus de 20 fois la LSN) était significativement plus fréquente lors d'une utilisation concomitante de CHC contenant de l'éthinylestradiol et de l'association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir, que chez les patientes uniquement traitées par les principes actifs antiviraux. La prise de Sara doit donc être interrompue avant un traitement par cette association antivirale (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Davantage d'augmentations de l'ALAT ont également été observées lors de l'utilisation concomitante d'un CHC contenant de l'éthinylestradiol et de l'association des principes actifs glécaprévir/pibrentasvir et la prise de Sara doit par conséquent également être interrompue avant un traitement par cette association anti-VHC (voir «Contre-indications»).
  • -Grossesse/Allaitement
  • +Dans les études cliniques, une augmentation de l'ALAT (y compris des cas avec une augmentation à plus de cinq fois la limite supérieure de la normale [LSN] et dans des cas isolés à plus de 20 fois la LSN) était significativement plus fréquente lors d'une utilisation concomitante de CHC contenant de l'éthinylestradiol et de l'association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir, employée dans le traitement des infections par le VHC, que chez les patientes uniquement traitées par les principes actifs antiviraux. Des élévations similaires de l'ALAT ont également été observées sous des médicaments anti-VHC contenant du glécaprévir/pibrentasvir ou du sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir. La prise de Sara doit donc être interrompue avant un traitement par cette association antivirale (voir aussi «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
  • +Grossesse, allaitement
  • -Les effets indésirables les plus fréquemment observés (plus de 20%) au cours des études cliniques menées sur l'éthinylestradio/l'acétate de chlormadinone sont des saignements irréguliers et des spottings, des céphalées et des douleurs mammaires.
  • +Les effets indésirables les plus fréquemment observés (plus de 20%) au cours des études cliniques menées sur l'éthinylestradio/l'acétate de chlormadinone sont des saignements intermenstruels et des spottings, des céphalées et des douleurs mammaires.
  • -Affections cardiaques
  • +Affections cardiaques et vasculaire
  • -Occasionnels: douleurs abdominales, flatulences, diarrhée.
  • +Occasionnels: douleurs abdominales, flatulence, diarrhée.
  • -Code ATC: G03AA15
  • +Code ATC
  • +G03AA15
  • +Mécanisme d'action
  • +
  • -L'acétate de chlormadinone (CMA) est absorbé rapidement et pratiquement totalement après son administration orale. La biodisponibilité systémique du CMA est élevée, car il n'est pas soumis à un effet de premier passage. Les concentrations plasmatiques atteignent leur pic après 1–2 heures.
  • +L'acétate de chlormadinone (CMA) est absorbé rapidement et pratiquement totalement après son administration orale. La biodisponibilité systémique du CMA est élevée, car il n'est pas soumis à un métabolisme de premier passage. Les concentrations plasmatiques atteignent leur pic après 1–2 heures.
  • -Ethinylestradiol (EE): Les concentrations plasmatiques d'EE données dans la littérature se caractérisent par une très grande variabilité. Env. 98% de l'EE sont liés aux protéines plasmatiques, presque exclusivement à l'albumine.
  • +Ethinylestradiol (EE): Les concentrations plasmatiques d'EE données dans la littérature se caractérisent par une très grande variabilité. Env. 98% de l'EE est lié aux protéines plasmatiques, presque exclusivement à l'albumine.
  • -Acétate de chlormadinone (CMA): Plusieurs étapes d'oxydation et de réduction et la conjugaison à l'acide glucuronique et aux sulfates donnent de très nombreux métabolites. Dans le plasma humain, les principaux métabolites sont le 3α-hydroxy-CMA et le 3β-hydroxy-CMA dont les demi-vies biologiques ne sont pas fondamentalement différentes de celle du CMA non métabolisé. Les métabolites 3-hydroxy ont une activité antiandrogène comparable à celle du CMA lui-même. Ces métabolites se retrouvent dans l'urine principalement sous forme conjuguée. Le clivage enzymatique donne comme métabolites principalement le 2α-hydroxy-CMA, mais également le 3-hydroxy-CMA et le dihydroxy-CMA.
  • +Acétate de chlormadinone (CMA): Plusieurs étapes d'oxydation et de réduction et la conjugaison à l'acide glucuronique et au sulfate donnent de très nombreux métabolites. Dans le plasma humain, les principaux métabolites sont le 3α-hydroxy-CMA et le 3β-hydroxy-CMA, dont les demi-vies biologiques ne sont pas fondamentalement différentes de celle du CMA non métabolisé. Les métabolites 3-hydroxy ont une activité antiandrogène comparable à celle du CMA lui-même. Ces métabolites se retrouvent dans l'urine principalement sous forme conjuguée. Le clivage enzymatique donne comme métabolites principalement le 2α-hydroxy-CMA, mais également le 3-hydroxy-CMA et le dihydroxy-CMA.
  • -Elimination
  • -L'acétate de chlormadinone (CMA) est éliminé du plasma après une demi-vie moyenne d'environ 34 heures (après une dose unique) et d'environ 36–39 heures (après doses répétées). Après administration orale, le CMA et ses métabolites sont éliminés en proportions semblables dans les urines et les selles.
  • +Élimination
  • +L'acétate de chlormadinone (CMA) est éliminé du plasma après une demi-vie moyenne d'environ 34 heures (après une dose unique) et d'environ 36–39 heures (après des doses répétées). Après administration orale, le CMA et ses métabolites sont éliminés en proportions semblables dans les urines et les selles.
  • -Cinétique pour certains groupes de patients
  • +Cinétique pour certains groupes de patientes
  • -La nature et l'importance de ces effets dépendent de la nature et de la dose des hormones administrées.
  • +La nature et l'importance de ces effets dépend de la nature et de la dose de l'hormone administrée.
  • -Stabilité/Remarques concernant le stockage:
  • +Stabilité/Remarques particulières concernant le stockage:
  • -Mai 2019
  • +Août 2021
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