ch.oddb.org
 
Apotheken | Hôpital | Interactions | LiMA | Médecin | Médicaments | Services | T. de l'Autorisation
Accueil - Information professionnelle sur Triamject 20 mg - Changements - 23.11.2018
48 Changements de l'information professionelle Triamject 20 mg
  • -Indications/possibilités d’emploi
  • -- Inflammation persistante d’une ou de plusieurs articulations après un traitement général d’arthropathies inflammatoires chroniques,
  • -- Arthrite lors de pseudogoutte/chondrocalcinose,
  • -- Arthrose active.
  • -Posologie/mode d’emploi
  • +Indications/Possibilités d’emploi
  • +- Inflammation persistante d’une ou de plusieurs articulations après un traitement général d’arthropathies inflammatoires chroniques,
  • +- Arthrite lors de pseudogoutte/chondrocalcinose,
  • +- Arthrose active.
  • +Posologie/Mode d’emploi
  • -Les injections intra-articulaires doivent être considérées comme des interventions articulaires à ciel ouvert et ne doivent être réalisées que dans des conditions d’asepsie strictes. Une seule injection intra-articulaire de Triamject 20 mg est dans la règle suffisante pour soulager efficacement les symptômes. Si une nouvelle injection est jugée nécessaire, elle doit être réalisée au plus tôt après 3 à 4 semaines et le nombre d’injections par articulation doit être limité à 3 ou 4. Un contrôle médical de l’articulation traitée est notamment indiqué après une injection répétée.
  • +Les injections intra-articulaires doivent être considérées comme des interventions articulaires à ciel ouvert et ne doivent être réalisées que dans des conditions d’asepsie strictes. Une seule injection intra-articulaire de Triamject 20 mg est en règle générale suffisante pour soulager efficacement les symptômes. Si une nouvelle injection est jugée nécessaire, elle doit être réalisée au plus tôt après 3 à 4 semaines et le nombre d’injections par articulation doit être limité à 3 ou 4. Un contrôle médical de l’articulation traitée est notamment indiqué après une injection répétée.
  • -Grandes articulations 10 - 20 mg, articulations moyennes 5 - 10 mg, petites articulations 2 - 5 mg d’hexacétonide de triamcinolone.
  • +Grandes articulations: 10 à 20 mg, articulations moyennes: 5 à 10 mg, petites articulations: 2 à 5 mg d’hexacétonide de triamcinolone.
  • -L’administration de 0,5 1 mg/kg de poids corporel d’hexacétonide de triamcinolone est recommandée pour le traitement de grandes articulations (dose maximale de 40 mg). La posologie doit être diminuée en conséquence pour les plus petites articulations.
  • +L’administration de 0,5 à 1 mg/kg de poids corporel d’hexacétonide de triamcinolone est recommandée pour le traitement de grandes articulations (dose maximale de 40 mg). La posologie doit être diminuée en conséquence pour les plus petites articulations.
  • -- neuroarthropathie de Charcot.
  • +neuroarthropathie de Charcot.
  • -- lymphadénite après une vaccination par le BCG,
  • +lymphadénite après une vaccination par le BCG,
  • -L’injection répétée de glucocorticoïdes dans des articulations porteuses peut aggraver les modifications articulaires liées à l’usure. Cette aggravation peut-être due à une hypersollicitation de l’articulation concernée après la disparition des douleurs ou d’autres symptômes. C’est pourquoi il est impératif dans ces cas de respecter les recommandations posologiques indiquées lors d’une injection intra-articulaire répétée.
  • +L’injection répétée de glucocorticoïdes dans des articulations porteuses peut aggraver les modifications articulaires liées à l’usure. Cette aggravation peut être due à une hypersollicitation de l’articulation concernée après la disparition des douleurs ou d’autres symptômes. C’est pourquoi il est impératif dans ces cas de respecter les recommandations posologiques indiquées lors d’une injection intra-articulaire répétée.
  • +L’administration concomitante de Triamject et d’inhibiteurs puissants du CYP3A4 doit être évitée (voir «Interactions»).
  • +
  • -Des troubles psychiques, notamment entre autres des troubles du sommeil/une insomnie, une dépression (parfois grave), une euphorie, des fluctuations de l’humeur, des troubles psychotiques et des troubles de la personnalité peuvent survenir lors de l’utilisation de corticostéroïdes. Une instabilité émotionnelle ou une psychose préexistante peuvent être renforcées par les corticostéroïdes. L’utilisation d’antidépresseurs n’est pas judicieuse et pourrait renforcer les troubles psychiques induits par un traitement par des hormones corticosurrénaliennes.
  • +Des troubles psychiques, entre autres des troubles du sommeil/une insomnie, une dépression (parfois grave), une euphorie, des fluctuations de l’humeur, des troubles psychotiques et des troubles de la personnalité, peuvent survenir lors de l’utilisation de corticostéroïdes. Une instabilité émotionnelle ou une psychose préexistante peuvent être renforcées par les corticostéroïdes. L’utilisation d’antidépresseurs n’est pas judicieuse et pourrait renforcer les troubles psychiques induits par un traitement par des hormones corticosurrénaliennes.
  • -Les inducteurs enzymatiques, p. ex. les barbituriques, la phénytoïne, la primidone et la rifampicine diminuent les effets des glucocorticoïdes.
  • -Les inhibiteurs enzymatiques, notamment les inhibiteurs du CYP3A4 tels que le kétoconazole et le ritonavir peuvent renforcer ou prolonger les effets des glucocorticoïdes.
  • +Les inducteurs enzymatiques, p. ex. les barbituriques, la phénytoïne, la primidone et la rifampicine, diminuent les effets des glucocorticoïdes.
  • +Les inhibiteurs enzymatiques, notamment les inhibiteurs du CYP3A4 tels que le kétoconazole et le ritonavir, peuvent renforcer ou prolonger les effets des glucocorticoïdes.
  • +Interactions avec des inhibiteurs puissants du CYP3A4: les corticostéroïdes (y compris la bétaméthasone) sont métabolisés par le CYP3A4. Leur administration concomitante avec des inhibiteurs puissants du CYP3A4 (p. ex. kétoconazole, itraconazole, clarithromycine, ritonavir, produits contenant du cobicistat) peut augmenter l’exposition aux corticostéroïdes et donc le risque d’effets indésirables des corticostéroïdes systémiques. Le bénéfice d’une administration concomitante doit être soigneusement évalué par rapport au risque potentiel d’effets des corticostéroïdes systémiques et dans un tel cas, les patients doivent être surveillés afin de déceler les effets indésirables des corticostéroïdes systémiques.
  • +
  • -La triamcinolone ne doit pas être administrée pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité formelle. Les expérimentations animales ont montré des effets tératogènes. Il n’existe pas d’études contrôlées chez l’être humain. Des troubles de la croissance intrautérine ne peuvent pas être exclus lors d’une utilisation prolongée pendant la grossesse. En cas de traitement en fin de grossesse, il existe un risque d’atrophie des corticosurrénales du fœtus.
  • +La triamcinolone ne doit pas être administrée pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité formelle. Les expérimentations animales ont montré des effets tératogènes. Il n’existe pas d’études contrôlées chez l’être humain. Des troubles de la croissance intra-utérine ne peuvent pas être exclus lors d’une utilisation prolongée pendant la grossesse. En cas de traitement en fin de grossesse, il existe un risque d’atrophie des corticosurrénales du fœtus.
  • -Fréquents ( 1/100 - < 1/10)
  • -Occasionnels ( 1/1000 - < 1/100)
  • -Rares ( 1/10 000 - < 1/1000)
  • -Très rares (<1/10 000)
  • +Fréquents (< 1/10 - ≥ 1/100)
  • +Occasionnels (< 1/100 - ≥ 1/1000)
  • +Rares (< 1/1000 - 1/10 000)
  • +Très rares (< 1/10 000)
  • -Des irritations locales surviennent fréquemment (brève exacerbation de l’inflammation après l’injection, douleurs durant 1 à 3 jours, ce qu’on appelle «post-injection flare»). Des manifestations d’intolérance (sensation de chaleur, rougeur, tuméfaction) sont en outre possibles. Des cas isolés de synovites cristallines ont été rapportés.
  • -Affections endocriniennes:
  • -Cas isolés: suppression surrénalienne, induction d’un syndrome cushingoïde (faciès lunaire, obésité tronculaire),
  • -Troubles de la sécrétion d’hormones sexuelles (aménorrhée, hirsutisme, impuissance) et diminution de la tolérance au glucose, diabète sucré
  • -Troubles du métabolisme et de la nutrition:
  • +Des irritations locales surviennent fréquemment (brève exacerbation de l’inflammation après l’injection, douleurs durant 1 à 3 jours, ce que l’on appelle «post-injection flare»). Des manifestations d’intolérance (sensation de chaleur, rougeur, tuméfaction) sont en outre possibles. Des cas isolés de synovites cristallines ont été rapportés.
  • +Affections endocriniennes
  • +Cas isolés: suppression surrénalienne, induction d’un syndrome cushingoïde (faciès lunaire, obésité tronculaire), troubles de la sécrétion d’hormones sexuelles (aménorrhée, hirsutisme, impuissance) et diminution de la tolérance au glucose, diabète sucré
  • +Troubles du métabolisme et de la nutrition
  • -Affections de la peau et du tissu sous-cutané:
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • -Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif:
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • -Affections psychiatriques:
  • +Affections psychiatriques
  • -Affections du système nerveux:
  • +Affections du système nerveux
  • -Affections gastro-intestinales:
  • +Affections gastro-intestinales
  • -Affections hématologiques et du système lymphatique:
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • -Affections du système immunitaire:
  • +Affections du système immunitaire
  • -Affections oculaires:
  • +Affections oculaires
  • -Alcool de glucocorticoïde affinité relative
  • -pour le récepteur*
  • +Alcool de glucocorticoïde affinité relative pour le récepteur*
  • -Des études sur la toxicité chronique ont été réalisées chez le rat, le chien et le singe. Outre quelques cas de décès, des modifications de la formule sanguine, des troubles de l’équilibre électrolytique, des infections et des modifications hépatiques ont été enregistrées en fonction de la dose, de la durée du traitement et du mode d’administration.
  • +Des études sur la toxicité chronique ont été réalisées chez le rat, le chien et le singe. Outre quelques cas de décès, des modifications de la formule sanguine, des troubles de l’équilibre électrolytique, des infections et des modifications hépatiques ont été enregistrés en fonction de la dose, de la durée du traitement et du mode d’administration.
  • -Conserver à 15-30°C.
  • +Conserver à 15-30 °C.
  • -Juin 2017
  • +Novembre 2018
2025 ©ywesee GmbH
Einstellungen | Aide | FAQ | Identification | Contact | Home