54 Changements de l'information professionelle Amavita Loperamid 2 mg |
-Principe actif:Loperamidi hydrochloridum.
-Excipients:Excipiens pro capsula.
- +Principe actif: Loperamidi hydrochloridum.
- +Excipients: Lactosum, Excipiens pro capsula.
-1 capsule contient: Loperamidi hydrochloridum 2 mg.
- +1 capsule contient: Loperamidi hydrochloridum 2 mg.
-Traitement symptomatique de la diarrhée aiguë et chronique, quelle qu’en soit l’étiologie, dont diarrhée des voyageurs, diarrhée après iléostomie ou résection iléale, diarrhée après radiothérapie, incontinence fécale.
- +Traitement symptomatique de la diarrhée aiguë et chronique, quelle qu'en soit l'étiologie, dont diarrhée des voyageurs, diarrhée après iléostomie ou résection iléale, diarrhée après radiothérapie, incontinence fécale.
-Pendant la diarrhée, chez l’enfant surtout, il faut veiller à un apport hydro-électrolytique suffisant.
- +Pendant la diarrhée, chez l'enfant surtout, il faut veiller à un apport hydro-électrolytique suffisant.
- Enfants6-12 ans Adolescents/Adultes
-Diarrhéeaigue
-Doseinitiale 1 capsule(2 mg) 2 capsules(4 mg)
-Dose d‘entretien après chaque selle liquide jusqu’à la dose journalière max. 1 capsule(2 mg) 1 capsule(2 mg)
-Dosejournalièremaximale 3 capsules (6 mg) par 20 kg de poids corporel 8 capsules(16 mg)
-Diarrhéechronique
-Doseinitiale 1 capsule(2 mg) 2 capsules(4 mg)
-Dose d’entretien Adaptation indiv. de la dose jusqu’à obtention 1–2×/j d’une selle formée 1–3 capsules (2–6 mg) par 20 kg de poids corporel 1–6 capsules(2–12 mg)
-Dosejournalièremaximale 3 capsules(6 mg) par 20 kg corporel 8 capsules(16 mg)
- + Enfants 6-12 ans Adolescents/Adultes
- +Diarrhée aiguë
- +Dose initiale 1 capsule (2 mg) 2 capsules (4 mg)
- +Dose d'entretien après chaque selle liquide jusqu'à la dose journalière max. 1 capsule (2 mg) 1 capsule (2 mg)
- +Dose journalière maximale 3 capsules (6 mg) par 20 kg de poids corporel 8 capsules (16 mg)
- +Diarrhée chronique
- +Dose initiale 1 capsule (2 mg) 2 capsules (4 mg)
- +Dose d'entretien Adaptation indiv. de la dose jusqu'à obtention 1–2×/j d'une selle formée 1–3 capsules (2–6 mg) par 20 kg de poids corporel 1–6 capsules (2–12 mg)
- +Dose journalière maximale 3 capsules (6 mg) par 20 kg corporel 8 capsules (16 mg)
-Interrompre le traitement par Amavita Lopéramide dès que les selles sont à nouveau normales, ou lorsque aucune selle n’est émise pendant plus de 12 heures.
- +Interrompre le traitement par lopéramide dès que les selles sont à nouveau normales, ou lorsqu'aucune selle n'est émise pendant plus de 12 heures.
-Les enfantsâgés de moins de 6 ans ne doivent pas être traites par Amavita Lopéramide.
- +Les enfants âgés de moins de 6 ans ne doivent pas être traités par Amavita Lopéramide.
-Aucune adaptation posologique n’est nécessaire pour les patients âgés.
-Patients atteints d’insuffisance rénale
-Aucune adaptation posologique n’est nécessaire pour les patients atteints d’insuffisance rénale.
- +Aucune adaptation posologique n'est nécessaire pour les patients âgés.
- +Patients atteints d'insuffisance rénale
- +Aucune adaptation posologique n'est nécessaire pour les patients atteints d'insuffisance rénale.
-Bien que pour ce groupe de patients aucune donnée pharmacocinétique ne soit disponible, Amavita Lopéramide doit être utilisé uniquement avec précaution en raison du métabolisme de premier passage réduit (voir «Mises en garde et précautions»).
-Amavita Lopéramide ne doit pas être utilisé en cas de troubles sévères de la fonction hépatique.
- +Bien que pour ce groupe de patients aucune donnée pharmacocinétique ne soit disponible, le lopéramide doit être utilisé uniquement avec précaution en raison du métabolisme de premier passage réduit (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Le lopéramide ne doit pas être utilisé en cas de troubles sévères de la fonction hépatique.
- +Les capsules doivent être avalées avec du liquide.
- +
-Ne pasadministrer les capsules Amavita Lopéramide aux enfants de moins de 6 ans. Ne pas administrer ce médicament en cas d’insuffisance hépatique sévère.
-Amavita Lopéramide est contre-indiqué chez les patients présentant une hypersensibilité connue au principeactif ou à l’un des excipients conformément à la composition.
-Amavita Lopéramide ne doit pas être administré en thérapie primaire chez les patients suivants:
- +Ne pas administrer les capsules Amavita Lopéramide aux enfants de moins de 6 ans. Ne pas administrer ce médicament en cas d'insuffisance hépatique sévère.
- +Amavita Lopéramide est contre-indiqué chez les patients présentant une hypersensibilité connue au principe actif ou à l'un des excipients conformément à la composition.
- +Le lopéramide ne doit pas être administré en thérapie primaire chez les patients suivants:
-·patients souffrant d’une colite ulcéreuse aiguë,
-·patients souffrant d’une entérocolite bactérienne occasionnée par des organismes invasifs y compris par des salmonelles, des shigelles et des campylobacters,
-·patients atteints d’une colite pseudomembraneuse secondaire à la prise d’antibiotiques à large spectre.
-De manière générale, Amavita Lopéramide ne doit pas être utilisé lorsque l’inhibition du péristaltisme est à éviter à cause du risque éventuel de graves complications comme l’iléus, le mégacôlon et le mégacôlon toxique. Il faut interrompre immédiatement la prise de Amavita Lopéramide lorsqu’une constipation, des ballonnements ou un iléus se développent.
-Le traitement de la diarrhée par Amavita Lopéramide est purement symptomatique. À chaque fois que la cause d’une maladie sous-jacente peut être constatée (ou en cas d’indication), un traitement spécifique correspondant doit être appliqué.
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- +·patients souffrant d'une colite ulcéreuse aiguë,
- +·patients souffrant d'une entérocolite bactérienne occasionnée par des organismes invasifs y compris par des salmonelles, des shigelles et des campylobacters,
- +·patients atteints d'une colite pseudomembraneuse secondaire à la prise d'antibiotiques à large spectre.
- +De manière générale, le lopéramide ne doit pas être utilisé lorsque l'inhibition du péristaltisme est à éviter à cause du risque éventuel de graves complications comme l'iléus, le mégacôlon et le mégacôlon toxique. Il faut interrompre immédiatement la prise de lopéramide lorsqu'une constipation, des ballonnements ou un iléus se développent.
-Des troubles hydro-électrolytiques peuvent survenir chez des patients diarrhéiques, spécialement chez le petit enfant. Dans ces cas, la mesure la plus importante est d’assurer une substitution appropriée de liquide et d’électrolytes.
-Si la diarrhée ne s’est pas améliorée après deux jours, interrompre le traitement et procéder à des examens plus poussés.
-Chez les patients atteints du SIDA qui prennent Amavita Lopéramide comme traitement de la diarrhée, la thérapie doit être interrompueaux premiers signes de ballonnements. Dans des cas isolés de patients atteints du SIDA, on a assisté après traitement d’une colite infectieuse au développement d’un mégacôlon toxique occasionné par des agents pathogènes viraux et bactériens.
-Bien qu’aucune donnée pharmacocinétique ne soit disponible pour les patients en insuffisance hépatique, Amavita Lopéramide doit être utilisé uniquement avec précaution en raison du métabolisme de premier passage réduit. Les patients présentant des troubles de la fonction hépatique doivent être soigneusement examinés à la recherche de signes de toxicité du SNC.
-Comme l’essentiel du médicament est métabolisé et que les métabolites ou la fraction non métabolisée sont éliminés par les selles, aucune adaptation posologique n’est nécessaire chez les patients souffrant de troubles de la fonction rénale.
- +Le traitement de la diarrhée par lopéramide est purement symptomatique. À chaque fois que la cause d'une maladie sous-jacente peut être constatée, un traitement spécifique correspondant doit être appliqué.
- +Des troubles hydro-électrolytiques peuvent survenir chez des patients diarrhéiques, spécialement chez le petit enfant. Dans ces cas, la mesure la plus importante est d'assurer une substitution appropriée de liquide et d'électrolytes.
- +Si la diarrhée ne s'est pas améliorée après deux jours, interrompre le traitement et procéder à des examens plus poussés.
- +Chez les patients atteints du SIDA qui reçoivent du lopéramide comme antidiarrhéique le traitement doit être interrompu dès les premiers signes de ballonnements abdominaux.
- +Une constipation avec risque majoré de mégacôlon toxique a pu être observée dans des cas isolés après traitement d'une colite infectieuse d'origine virale ou bactérienne chez ce type de patients.
- +Bien qu'aucune donnée pharmacocinétique ne soit disponible pour les patients en insuffisance hépatique, la prudence s'impose avec le lopéramide en raison du métabolisme de premier passage réduit. Ce médicament doit être utilisé prudemment en cas de troubles de la fonction hépatique, car un relatif surdosage peut alors se produire et entraîner une toxicité vis-à-vis du SNC.
- +Amavita Lopéramide contient du lactose. Les patients souffrant d'intolérance au galactose, d'un déficit en lactase ou de malabsorption du glucose-galactose ne doivent pas prendre ce médicament.
-Des données non cliniques ont montré que le lopéramide est un substrat de la P-glycoprotéine au niveau de la barrière hémato-encéphalique. Dans le cadre de deux études d’interaction cliniques réalisées sur des volontaires sains, l’administration simultanée de lopéramide (dose unique de 16 mg) et de quinidine ou ritonavir, qui sont tous les deux des inhibiteurs de la P-glycoprotéine, aboutit à un doublement voire à untriplement des concentrations plasmatiques du lopéramide. La signification clinique de cette interaction pharmacocinétique entre de fortes doses unitaires de lopéramide (16 mg comparé à la posologie recommandée de 2 à 16 mg au maximum par jour) et des inhibiteurs de la P-glycoprotéine (dont le vérapamil, le kétoconazole) est inconnue.
- +Il ressort de données non cliniques que le lopéramide est un substrat de la glycoprotéine-p.
- +L'administration simultanée de lopéramide (dose unique de 16 mg) et de quinidine ou de ritonavir – tous deux inhibiteurs de la glycoprotéine-p – s'est traduite par un doublement, voire un triplement des taux plasmatiques de lopéramide.
- +On ignore l'importance clinique de cette interaction pharmacocinétique avec les inhibiteurs de la glycoprotéine-p lors d'une utilisation du lopéramide aux posologies recommandées.
- +L'administration simultanée de lopéramide (dose unique de 4 mg) et d'itraconazole, inhibiteur du CYP3A4 et de la glycoprotéine-p, a triplé, voire quadruplé les taux plasmatiques de lopéramide. Dans la même étude, l'inhibiteur du CYP2C8 gemfibrozil a environ doublé les valeurs du lopéramide. Avec une association d'itraconazole et de gemfibrozil, les pics plasmatiques de lopéramide ont quadruplé et l'exposition plasmatique totale a été multipliée par 13. Il n'a pas été observé d'effet opiacé central.
- +L'administration simultanée de lopéramide (dose unique de 16 mg) et de kétoconazole, inhibiteur du CYP3A4 et de la glycoprotéine-p, a quintuplé les taux plasmatiques de lopéramide. Il n'a pas été observé d'effet opiacé central.
- +L'administration simultanée de desmopressine orale s'est traduite par un triplement des taux plasmatiques de desmopressine, ceci étant selon toute vraisemblance à mettre sur le compte d'une motilité gastro-intestinale réduite.
- +Il faut supposer que les médicaments aux propriétés pharmacologiques semblables renforcent l'action du lopéramide, alors que les accélérateurs du transit-gastrointestinal la contrarient.
-Aucun indice ne suggère des effets tératogènes ou embryotoxiques du lopéramide. Amavita Lopéramide ne doit être administré à la femme enceinte qu’en casde nécessité absolue.
-Le lopéramide passe en faible quantité dans le lait maternel, raison pour laquelle Amavita Lopéramide ne doit pas être utilisé pendant l’allaitement.
- +Aucun indice ne suggère des effets tératogènes ou embryotoxiques du lopéramide. Le lopéramide ne doit être administré à la femme enceinte qu'en cas de nécessité absolue.
- +Le lopéramide passe en faible quantité dans le lait maternel, raison pour laquelle le lopéramide ne doit pas être utilisé pendant l'allaitement.
-Dans le cadre d’une diarrhée traitée par Amavita Lopéramide peuvent apparaître de la fatigue, des crises de vertige et des états d’obnubilation. C’est pourquoi la prudence est recommandée lors de la conduite de véhicules et du maniement de machines (voir «Effets indésirables»).
- +Dans le cadre d'une diarrhée traitée par lopéramide peuvent apparaître de la fatigue, des crises de vertige et des états d'obnubilation. C'est pourquoi la prudence est recommandée lors de la conduite de véhicules et du maniement de machines (voir «Effets indésirables»).
-Données provenant d’études cliniques
-Les événements indésirables rapportés ont été listés indépendamment de l’évaluation des liens de causalité par les médecins investigateurs.
-Événements indésirables chez des patients atteints de diarrhée aiguë
-Le tableau suivant dresse la liste des événements indésirables apparus avec une incidence égale ou supérieure à 1%.
-Les événements rapportés sont survenus au moins aussi souvent chez les patients traités par chlorhydrate delopéramide que chez les patients sous traitement placebo.
-Diarrhée aiguë
- Chlorhydrate delopéramide Placebo
-Nombredepatientstraités 231 236
-Troubles gastro-intestinaux
-Constipation 2,6% 0,8%
-
-Les événements indésirables suivants apparus avec une incidence égale ou supérieure à 1% sont survenus chez les patients sous placebo plus souvent que chez les patients traités par chlorhydrate de lopéramide: xérostomie, flatulence, crampes abdominales etcoliques.
-Événements indésirables chez des patients atteints de diarrhée chronique
-Le tableau suivant dresse la liste des événements indésirables apparus avec une incidence égale ou supérieure à 1%.
-Les événements rapportés sont survenus au moins aussi souvent chez les patients traités par chlorhydrate de lopéramide que chez les patients sous traitement placebo.
-Diarrhée chronique
- Chlorhydrate delopéramide Placebo
-Nombredepatientstraités 285 277
-Troubles gastro-intestinaux
-Constipation 5,3% 0,0%
-Système nerveux
-Crisesde vertige 1,4% 0,7%
-
-Les événements indésirables suivants apparus avec une incidence égale ou supérieure à 1% sont survenus chez les patients sous placebo plus souvent que chez les patients traités par chlorhydrate de lopéramide: nausées, vomissements, céphalées, météorisme, douleurs abdominales, crampes abdominales et coliques.
-Événements indésirables issus de 76 études contrôlées et non contrôlées réalisées sur des patients atteints de diarrhée aiguë ou chronique
-Le tableau suivant dresse la liste des événements indésirablesapparus dans toutes les études avec une incidence égale ou supérieure à 1%.
- Diarrhéeaiguë Diarrhéechronique Toutes lesétudes*
-Nombredepatientstraités 1913 1371 3740
-Troubles gastro-intestinaux
-Nausée 0,7% 3,2% 1,8%
-Constipation 1,6% 1,9% 1,7%
-Crampes abdominales 0,5% 3,0% 1,4%
-
-* Tous les patients de toutes les études, y compris les études dans lesquelles il n’a pas été précisé si l’événement indésirable est apparu chez des patients atteints de diarrhée aiguë ou chronique.
-Expériences post-marketing
-Les fréquences indiquées ne reflètent que le «reporting rate» des déclarations spontanées et ne représentent pas les véritables incidences ou fréquences qui ont été observées au cours des examens cliniques ou des études épidémiologiques.
- +Données provenant d'études cliniques
- +Adultes et enfants ≥12 ans
- +La sécurité d'emploi du lopéramide a été évaluée chez 3076 adultes et enfants ≥12 ans dans le cadre de 31 études cliniques contrôlées et non contrôlées avec le lopéramide pour le traitement de la diarrhée. Sur ce total, 26 études (N= 2755) s'intéressaient à la diarrhée aiguë et 5 (N= 312) à la diarrhée chronique.
- +Les effets indésirables observés le plus fréquemment (incidence ≥1%) dans les études cliniques du lopéramide sur la diarrhée aiguë étaient la constipation (2,7%), les ballonnements (1,7%), les céphalées (1,2%) et les nausées (1,1%). Dans les études cliniques sur la diarrhée chronique, les effets indésirables observés le plus fréquemment (incidence ≥1%) étaient les ballonnements (2,8%), la constipation (2,2%), les nausées (1,2%) et les vertiges (1,2%).
- +Les effets indésirables suivants du médicament ont été observés en cas d'administration de lopéramide HCl lors d'études cliniques chez l'adulte et l'enfant ≥12 ans (diarrhée aiguë et chronique).
- +Leur fréquence est indiquée comme suit: très fréquent (≥1/10), fréquent (<1/10, ≥1/100), occasionnel (<1/100, ≥1/1000), rare (<1/1000, ≥1/10'000), très rare (<1/10'000).
- +Troubles du système nerveux
- +Fréquents: céphalées, vertiges.
- +Troubles gastro-intestinaux
- +Fréquents: constipation, nausées, ballonnements.
- +Occasionnels: douleurs abdominales, gêne abdominale, sécheresse buccale, épigastralgie, vomissements, dyspepsie.
- +Rares: distention abdominale.
- +Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
- +Occasionnel: éruption cutanée.
- +Population pédiatrique
- +La sécurité d'emploi du lopéramide a été évaluée chez 607 enfants d'âge compris entre 10 jours et 13 ans dans le cadre de 13 études cliniques contrôlées et non contrôlées avec le lopéramide pour le traitement de la diarrhée aiguë. Le profil d'effets indésirables dans cette population de patients était de manière générale comparable à celui observé à l'occasion des études cliniques du lopéramide chez l'adulte et l'enfant ≥12 ans.
- +Données PMS
- +Les effets indésirables suivants ont été constatés postérieurement à la mise sur le marché du lopéramide:
- +Troubles du système immunitaire
- +Réaction d'hypersensibilité, réaction anaphylactique (y compris choc anaphylactique), réaction anaphylactoïde.
-Très rare:crises de vertige, obnubilation, perturbation de la conscience, perte de connaissance.
- +Troubles de la coordination, restriction de la conscience, hypertension, perte de conscience, somnolence, stupeur.
- +Troubles oculaires
- +Myosis.
-Très rare:douleurs abdominales, iléus, météorisme, nausées, constipation, vomissements, ballonnements, mégacôlon y compris le mégacôlon toxique (voir «Mises en garde et précautions»), dyspepsie.
-Peau
-Très rare:exanthème, urticaire et prurit.
-Rapports isolés d’angio-oedème, de formations de vésicules, comprenant le syndrome de Stevens-Johnson, érythème multiforme, nécrolyse épidermique toxique.
-Reins et voies urinaires
-Rapports isolés de rétention urinaire.
-Système immunitaire
-Rapports isolés de réactions allergiques et, dans certains cas, de graves réactions d’hypersensibilité comprenant un chocanaphylactique et des réactions anaphylactiques.
-Autres
-Quelques événements indésirables, relevés au cours d’études cliniques et d’expériences post-marketing en rapport avec le lopéramide, sont souvent des symptômes de la diarrhée d’origine (douleurs abdominales/malaise, nausées, vomissements, xérostomie, fatigue, obnubilation, crises de vertige, constipation et flatulence). Ces symptômes sont souvent difficiles à distinguer des événements indésirables.
- +Iléus (y compris iléus paralytique), mégacôlon (y compris mégacôlon toxiquea).
- +Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
- +Angio-oedème, exanthème bulleux (y compris syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique et érythème polymorphe), prurit, urticaire.
- +Troubles rénaux et urinaires
- +Rétention urinaire.
- +Troubles généraux
- +Fatigue.
- +a Voir «Mises en garde et précautions».
-Le traitement est symptomatique et de soutien. Chez un patient qui n’a pas vomi, pratiquer un lavage gastrique avant d’administrer du charbon actif qui, administré dans les 3 heures suivant la prise de lopéramide, en réduit la résorption. Le naloxone peut être administré comme antidote en présence de symptômes de surdosage. Parce que l’effet de Amavita Lopéramide dure plus longtemps que celui du naloxone (1–3heures), l’administration répétée de naloxone peut être indiquée. Surveiller étroitement le patient pendant 48 heures au minimum en raison de l’éventualité d’une dépression du SNC.
- +Le traitement est symptomatique et de soutien. Chez un patient qui n'a pas vomi, pratiquer un lavage gastrique avant d'administrer du charbon actif qui, administré dans les 3 heures suivant la prise de lopéramide, en réduit la résorption. Le naloxone peut être administré comme antidote en présence de symptômes de surdosage. Parce que l'effet de lopéramide dure plus longtemps que celui du naloxone (1–3 heures), l'administration répétée de naloxone peut être indiquée. Surveiller étroitement le patient pendant 48 heures au minimum en raison de l'éventualité d'une dépression du SNC.
-Amavita Lopéramide est un antidiarrhéique de synthèse à usage oral très efficace.
-Sa liaison aux récepteurs µ des opiacés de la paroi intestinale est très forte, et il se distingue par une entrée en action rapide et une durée d’action prolongée.
-Amavita Lopéramide bloque la libération d’acétylcholine et de prostaglandine, ce qui freine le péristaltisme propulsif et prolonge le transit intestinal.
-Il augmente en outre le tonus du sphincter anal, ce qui diminue l’incontinence et les épreintes.
-Du fait de son affinité élevée pour la paroi intestinale et de son métabolisme de premier passage important, le lopéramide ne parvient qu’en faible quantité dans la circulation systémique.
-Dans une étude clinique multicentrique, randomisée en double aveugle menée en 1975 auprès de 213 patientes et patients souffrant de diarrhée aiguë ayant reçu du lopéramide, un placébo ou un autre médicament contre la diarrhée, plus de la moitié des 56 patientes et patients du groupe traité avec le lopéramide ne présentaient plus de selles informes environ deux heures aprèsla prise d’une dose de 4 mg de lopéramide (soit 2 capsules). Les études cliniques relatives à la diarrhée ont confirmé cette action très rapide du lopéramide.
- +Le lopéramide est un antidiarrhéique de synthèse à usage oral très efficace.
- +Sa liaison aux récepteurs µ des opiacés de la paroi intestinale est très forte, et il se distingue par une entrée en action rapide et une durée d'action prolongée.
- +Le lopéramide bloque la libération d'acétylcholine et de prostaglandine, ce qui freine le péristaltisme propulsif et prolonge le transit intestinal.
- +Il augmente en outre le tonus du sphincter anal, ce qui diminue l'incontinence et les épreintes.
- +Dans une étude clinique multicentrique, randomisée en double aveugle menée en 1975 auprès de 213 patientes et patients souffrant de diarrhée aiguë ayant reçu du lopéramide, un placébo ou un autre médicament contre la diarrhée, plus de la moitié des 56 patientes et patients du groupe traité avec le lopéramide ne présentaient plus de selles informes environ deux heures après la prise d'une dose de 4 mg (soit 2 capsules). Les études cliniques relatives à la diarrhée ont confirmé cette action très rapide du lopéramide.
-Résorption
-Après administration orale, le lopéramide des capsules Amavita Lopéramide est rapidement absorbé par la muqueuse gastro-intestinale. Les pics de concentration plasmatique se mesurent 4 h environ après l’administration.
-Leur amplitude est faible (1–3 ng/ml après administration de 4 mg) du fait de l’important métabolisme depremier passage du lopéramide.
- +Absorption
- +Une grande partie du lopéramide ingéré est absorbée au niveau intestinal, mais sa biodisponibilité systémique ne se situe, en raison d'un effet de premier passage prononcé, qu'aux alentours de 0,3%. Les concentrations plasmatiques maximales sont mesurées environ 4 heures après la prise.
-Les études effectuées chez le rat ont montré que le lopéramide possède une grande affinité pour la paroi intestinale, et qu’il se lie préférentiellement aux récepteurs de la couche musculaire longitudinale.
-La concentration de lopéramide dans le sang n’est pas suffisante pour qu’il pénètre dans le système nerveux central.
-La liaison aux protéines plasmatiques est de l’ordre de 95%, essentiellement à l’albumine.
-Aucune manifestation d’accoutumance ou d’accumulationn’a été observée même après la prise régulière et à long terme de Amavita Lopéramide, à la posologie recommandée.
- +Les études effectuées chez le rat ont montré que le lopéramide possède une grande affinité pour la paroi intestinale, et qu'il se lie préférentiellement aux récepteurs de la couche musculaire longitudinale.
- +La concentration de lopéramide dans le sang n'est pas suffisante pour qu'il pénètre dans le système nerveux central.
- +La liaison aux protéines plasmatiques est de l'ordre de 95%, essentiellement à l'albumine. D'après des données non cliniques, le lopéramide est un substrat de la glycoprotéine-p.
- +Aucune manifestation d'accoutumance ou d'accumulation n'a été observée même après la prise régulière et à long terme de lopéramide, à la posologie recommandée.
-La N-déméthylationoxydative est la voie de dégradation la plus importante.
- +La N-déméthylation oxydative est la principale voie de dégradation du lopéramide, essentiellement médiée par le CYP3A4 et le CYP2C8. A cause du très important effet de premier passage, les taux plasmatiques de principe actif inchangé se maintiennent extrêmement bas.
-Le lopéramide inchangé et les métabolites principaux sont pour l’essentiel éliminés par les selles. Le lopéramide n’est pas éliminé dans l’urine. Sa demi-vie plasmatique se situe entre 9et 14 h, en moyenne autour de 11 h.
- +La demi-vie plasmatique du lopéramide s'établit dans la fourchette de 9 à 14 heures, avec une valeur moyenne de 11 heures environ. Le lopéramide inchangé et les métabolites principaux sont pour l'essentiel éliminés par les selles. Le lopéramide n'est pas éliminé dans l'urine.
- +Enfants et adolescents
- +Aucune étude pharmacocinétique n'a été réalisée chez des patients de pédiatrie. On suppose toutefois une analogie de la pharmacocinétique et des interactions avec d'autres médicaments au sein de cette population de patients avec celles observées dans la population adulte.
-Le lopéramide n’était pas génotoxique dans plusieurs étudesin vivoetin vitro. Aucun potentiel cancérigène n’a été constaté. Dans des études de reproduction réalisées chez le rat avec de très fortes doses de lopéramide (40 mg/kg/jour = 240 fois la dose maximale humaine), une diminution de la fertilité et de la survie du foetus ontété observées en liaison avec des symptômes de toxicité chez la mère. Des doses plus faibles n’ont eu aucun effet sur la santé de la mère ou du foetus et n’ont pas influencé le développement périnatal et postnatal.
- +Le lopéramide n'était pas génotoxique dans plusieurs études in vivo et in vitro. Aucun potentiel cancérigène n'a été constaté. Lors des études de reproduction réalisées chez la rate gravide et/ou allaitant, des doses très élevées de lopéramide (40 mg/kg/jour = 240 fois la posologie maximale humaine) ont eu pour conséquence des manifestations toxiques chez les mères, une baisse de leur fertilité et une survie réduite des foetus/de la progéniture. A des doses moindres, il n'y a pas eu d'effet sur la santé tant maternelle que foetale et pas d'influence sur le développement péri- et postnatal.
-Conserver à température ambiante (15–25 °C) à l’abri de la lumière et tenir hors de portée des enfants.
- +Conserver à température ambiante (15–25 °C) à l'abri de la lumière et tenir hors de portée des enfants.
-Juin2010.
- +Décembre 2011.
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