60 Changements de l'information professionelle Escitalopram Spirig HC 10 mg |
-Principe actif: Escitalopramum ut escitaloprami oxalas.
-Excipients: Excipiens pro compresso obducto.
- +Principe actif
- +Escitalopramum ut escitaloprami oxalas.
- +Excipients
- +Excipiens pro compresso obducto.
-Les comprimés pelliculés Escitalopram Spirig HC sont administrés une fois par jour et peuvent être pris indépendamment des repas.
- +Les comprimés pelliculés Escitalopram Spirig HC sont administré une fois par jour et peuvent être pris indépendamment des repas.
- +De plus, on ne dispose d'aucune donnée à long terme sur la sécurité chez l'enfant et l'adolescent concernant la croissance, la maturation et le développement cognitif et comportemental.
- +
-Même après l'arrêt du traitement, les patients doivent être étroitement surveillés car un risque de rechute de dépression (accompagné à nouveau d'un potentiel suicidaire) ou de symptômes de sevrage existe (voir «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables»).
- +Anxiété paradoxale:
- +Certains patients souffrant de trouble panique peuvent présenter une exacerbation des symptômes anxieux en début de traitement par antidépresseur. Cette réaction paradoxale s'estompe généralement au cours des 2 premières semaines de traitement. Il est donc conseillé de débuter le traitement à faible dose afin de réduire le risque de survenue de cet effet anxiogène (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Acathésie/agitation psychomotrice:
- +
-Symptômes de sevrage
-L'arrêt du traitement par Escitalopram Spirig HC doit prévoir une réduction progressive de la dose sur une période de 1–2 semaines pour éviter l'apparition de symptômes de sevrage (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Effets indésirables»).
- +Symptômes de sevrage/arrêt du traitement
- +L'arrêt du traitement par Escitalopram Spirig HC doit prévoir une réduction progressive de la dose sur une période de 1–2 semaines pour éviter l'apparition de symptômes de sevrage. Même après l'interruption du traitement, les patients doivent être étroitement surveillés, car un risque de rechute en dépression (accompagné à nouveau d'un potentiel suicidaire) ou de symptômes de sevrage existe (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Effets indésirables»).
- +Glaucome à angle fermé:
- +Les ISRS dont l'escitalopram peuvent avoir un effet sur le diamètre de la pupille, entraînant une mydriase. Cet effet mydriatique peut réduire l'angle de l'oeil, conduisant à une augmentation de la pression intraoculaire et à un risque de glaucome à angle fermé, en particulier chez les patients prédisposés. L'escitalopram doit donc être utilisé avec précaution chez les patients ayant un glaucome à angle fermé ou des antécédents de glaucome.
- +Fertilité:
- +Des études chez l'animal ont montré que le citalopram affecte la qualité du sperme (voir «Données précliniques»).
- +Des cas rapportés chez l'homme traité par ISRS ont montré que l'effet sur la qualité du sperme est réversible.
- +Un impact sur la fertilité humaine n'a pas été observé à ce jour.
- +
-Cimétidine: l'administration concomitante d'escitalopram avec de la cimétidine (inhibiteur enzymatique non spécifique moyennement puissant) a montré une augmentation modérée (d'environ 70%) des concentrations plasmatiques de l'escitalopram. En conséquence, lors de l'administration concomitante de cimétidine, la prudence est recommandée dans le domaine posologique supérieur de l'escitalopram. Une adaptation posologique peut être nécessaire.
-Ritonavir, kétoconazole: la pharmacocinétique de l'escitalopram subit des modifications parfois statistiquement significatives lors de l'administration concomitante de Ritonavir (inhibiteur du CYP3A4) ou de kétoconazole (inhibiteur puissant du CYP3A4) (p.ex. la Clescitalopram diminue de manière statistiquement significative lors de l'administration concomitante de kétoconazole). La pertinence clinique de cette observation est encore incertaine.
-Effets d'Escitalopram Spirig HC sur la pharmacocinétique d'autres médicaments
- +Cimétidine
- +L'administration concomitante d'escitalopram avec de la cimétidine (inhibiteur enzymatique non spécifique moyennement puissant) a montré une augmentation modérée (d'environ 70%) des concentrations plasmatiques de l'escitalopram. En conséquence, lors de l'administration concomitante de cimétidine, la prudence est recommandée dans le domaine posologique supérieur de l'escitalopram. Une adaptation posologique peut être nécessaire.
- +Ritonavir, kétoconazole
- +La pharmacocinétique de l'escitalopram subit des modifications parfois statistiquement significatives lors de l'administration concomitante de Ritonavir (inhibiteur du CYP3A4) ou de kétoconazole (inhibiteur puissant du CYP3A4) (p.ex. la Clescitalopram diminue de manière statistiquement significative lors de l'administration concomitante de kétoconazole). La pertinence clinique de cette observation est encore incertaine.
- +Effets d'Escitalopram sur la pharmacocinétique d'autres médicaments
-Les études de reproduction chez le rat ont montré des effets toxiques embryonnaires et fœtaux (diminution du poids fœtal et retard réversible de l'ossification). Toutefois, une incidence accrue de malformations n'a pas été observée.
- +Des études chez l'animal ont montré une toxicité sur la reproduction (voir «Données précliniques»).
-Très fréquent: (≥1/10), fréquent: (≥1/100, <1/10), occasionnel: (≥1/1000, <1/100), rare: (≥1/10000, <1/1000).
-Troubles de la circulation sanguine et lymphatique
- +Très fréquent: (≥1/10),
- +fréquent: (≥1/100, <1/10),
- +occasionnel: (≥1/1 000, <1/100),
- +rare: (≥1/10 000, <1/1 000).
- +Affections hématologiques et du système lymphatique
-Troubles du système immunitaire
- +Affections du système immunitaire
-Troubles endocriniens
- +Affections endocriniennes
-Troubles psychiatriques
- +Affections psychiatriques
-Troubles du système nerveux
- +Affections du système nerveux
-Troubles oculaires
- +Affections oculaires
-Troubles de l'oreille et du conduit auditif
-Rare: acouphènes.
-Troubles cardiaques
- +Affections de l'oreille et du labyrinthe
- +Occasionnel: acouphènes.
- +Affections cardiaques
-Troubles vasculaires
- +Affections vasculaires
-Organes respiratoires (troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux)
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
-Troubles gastro-intestinaux
- +Affections gastro-intestinales
-Troubles hépatobiliaires
- +Affections hépatobiliaires
-Troubles cutanés et des tissus souscutanés
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
-Troubles musculosquelettiques, du tissu conjonctif et des os
- +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
-Troubles rénaux et urinaires
- +Fréquence indéterminée: rhabdomyolyse
- +Affections du rein et des voies urinaires:
-Troubles des organes de reproduction et des seins
- +Affections des organes de reproduction et du sein
-Troubles généraux
- +Troubles généraux et anomalie au site d'administration
- +2: Des cas d'idées et de comportements suicidaires ont été rapportés durant le traitement par escitalopram ou peu après son arrêt (voir «Mises en garde et précautions»).
-Efficacité lors de symptômes anxieux associés à la dépression: des essais cliniques menés en double aveugle et contrôlés par placebo ont montré que l'escitalopram conduit à une baisse plus importante du score sur l'échelle d'évaluation de l'anxiété MADRS (tension intérieure, troubles du sommeil) que le placebo. Les résultats d'un autre essai clinique en double aveugle et contrôlé par placebo ont montré l'efficacité supérieure de l'escitalopram par rapport au placebo sur l'échelle Hamilton de l'anxiété (HAMA) et sur l'échelle Hamilton de la dépression (HAMD).
- +Efficacité lors de symptômes anxieux associés à la dépression
- +Des essais cliniques menés en double aveugle et contrôlés par placebo ont montré que l'escitalopram conduit à une baisse plus importante du score sur l'échelle d'évaluation de l'anxiété MADRS (tension intérieure, troubles du sommeil) que le placebo. Les résultats d'un autre essai clinique en double aveugle et contrôlé par placebo ont montré l'efficacité supérieure de l'escitalopram par rapport au placebo sur l'échelle Hamilton de l'anxiété (HAMA) et sur l'échelle Hamilton de la dépression (HAMD).
-Les données cumulées de trois études de protocole similaire, menées chez un total de 421 patients traités par l'escitalopram et de 419 patients traités par placebo ont mis en évidence un taux de répondeurs de 47,5% (escitalopram) et de 28,9% (placebo) et une rémission de 37,1% (escitalopram) et de 20,8% (placebo). La persistance de l'effet a été observée après une semaine.
- +Les données cumulées de trois études de protocole similaire, menées chez un total de 421 patients traités par l'escitalopram et de 419 patients traités par placebo ont mis en évidence un taux de répondeurs de 47.5% (escitalopram) et de 28.9% (placebo) et une rémission de 37.1% (escitalopram) et de 20.8% (placebo). La persistance de l'effet a été observée après une semaine.
-Une étude clinique randomisée, en double aveugle a montré que l'escitalopram 20 mg par jour provoque une plus grande réduction du score après 12 semaines sur les échelles suivantes par rapport au placebo: Y-BOCS (Yale-Brown Obsessive Compulsive Scale) score global (différence moyenne: 3,21 points), Y-BOCS sous-échelle obsessions/rituels et NIMH-OCS (National Institute of Mental Health Obsessive Compulsive Scale) score global. Le résultat obtenu avec l'escitalopram 10 mg par jour sur le score global de l'échelle Y-BOCS après 12 semaines était numériquement différent du placebo (différence moyenne: 1,97 points), mais n'atteignait pas la significativité statistique (p= 0,052). Après 24 semaines, les deux doses, soit celle de 10 mg (différence moyenne: 2,56 points) et celle de 20 mg (différence moyenne: 3,55 points) d'escitalopram par jour, étaient supérieures au placebo dans les analyses statistiques (évaluation du critère primaire score global de l'échelle Y-BOCS ainsi que les sous-échelles obsessions/rituels de Y-BOCS et le score global de NIMH-OCS).
- +Une étude clinique randomisée, en double aveugle a montré que l'escitalopram 20 mg par jour provoque une plus grande réduction du score après 12 semaines sur les échelles suivantes par rapport au placebo: Y-BOCS (Yale-Brown Obsessive Compulsive Scale) score global (différence moyenne: 3.21 points), Y-BOCS sous-échelle obsessions/rituels et NIMH-OCS (National Institute of Mental Health Obsessive Compulsive Scale) score global. Le résultat obtenu avec l'escitalopram 10 mg par jour sur le score global de l'échelle Y-BOCS après 12 semaines était numériquement différent du placebo (différence moyenne: 1.97 points), mais n'atteignait pas la significativité statistique (p= 0,052). Après 24 semaines, les deux doses, soit celle de 10 mg (différence moyenne: 2.56 points) et celle de 20 mg (différence moyenne: 3,55 points) d'escitalopram par jour, étaient supérieures au placebo dans les analyses statistiques (évaluation du critère primaire score global de l'échelle Y-BOCS ainsi que les sous-échelles obsessions/rituels de Y-BOCS et le score global de NIMH-OCS).
-L'analyse primaire d'efficacité a montré une efficacité supérieure et statistiquement significative de l'escitalopram par rapport au placebo sur le délai jusqu'à la rechute des troubles obsessionnels compulsifs; le pourcentage de patients ayant une rechute était statistiquement significativement supérieur dans le groupe placebo (52%) par rapport au groupe escitalopram (23%). L'efficacité observée était statistiquement significative, aussi bien dans le groupe de 10 mg (10% de rechutes sous escitalopram contre 35% sous placebo) que dans le groupe de 20 mg (26% de rechutes sous escitalopram contre 54% sous placebo), p= 0,014 et p <0,001.
- +L'analyse primaire d'efficacité a montré une efficacité supérieure et statistiquement significative de l'escitalopram par rapport au placebo sur le délai jusqu'à la rechute des troubles obsessionnels compulsifs; le pourcentage de patients ayant une rechute était statistiquement significativement supérieur dans le groupe placebo (52%) par rapport au groupe escitalopram (23%). L'efficacité observée était statistiquement significative, aussi bien dans le groupe de 10 mg (10% de rechutes sous escitalopram contre 35% sous placebo) que dans le groupe de 20 mg (26% de rechutes sous escitalopram contre 54% sous placebo), p= 0.014 et p <0.001.
-La demi-vie d'élimination (t) après administration de doses multiples est d'environ 30 heures, la clairance plasmatique orale (Cloral) est d'environ 0,6 l/min. (t).
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- +La demi-vie d'élimination (t½β) après administration de doses multiples est d'environ 30 heures, la clairance plasmatique orale (Cloral) est d'environ 0,6 l/min. (t½β).
- +Patients âgés (>65 ans):
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-Affections hépatiques: chez les patients ayant une limitation légère à modérée de la fonction hépatique (classes A et B de Child-Pugh), la demi-vie était environ deux fois plus longue et l'AUC était augmentée d'environ 60% par rapport aux valeurs observées chez les patients présentant une fonction hépatique normale (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
-Affections rénales: pour cause d'expérience insuffisante en la matière, la sécurité d'emploi de l'escitalopram n'est pas établie lors d'insuffisance rénale. Dans le cadre d'études portant sur le citalopram racémique, une demi-vie plus longue et une légère augmentation du taux plasmatique ont été mesurées chez les patients ayant une fonction rénale réduite (Clcr 10–53 ml/min.). Les concentrations plasmatiques des métabolites n'ont pas été mesurées, elles sont éventuellement augmentées.
-Polymorphisme: chez les mauvais métaboliseurs du CYP2C19, les taux plasmatiques d'escitalopram mesurés étaient deux fois plus élevés que chez les bons métaboliseurs. Chez les mauvais métaboliseurs du CYP2D6, aucune modification significative du taux plasmatique n'a été observée.
- +Affections hépatiques:
- +Chez les patients ayant une limitation légère à modérée de la fonction hépatique (classes A et B de Child-Pugh), la demi-vie était environ deux fois plus longue et l'AUC était augmentée d'environ 60% par rapport aux valeurs observées chez les patients présentant une fonction hépatique normale (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Affections rénales:
- +Pour cause d'expérience insuffisante en la matière, la sécurité d'emploi de l'escitalopram n'est pas établie lors d'insuffisance rénale. Dans le cadre d'études portant sur le citalopram racémique, une demi-vie plus longue et une légère augmentation du taux plasmatique ont été mesurées chez les patients ayant une fonction rénale réduite (Clcr 10–53 ml/min.). Les concentrations plasmatiques des métabolites n'ont pas été mesurées, elles sont éventuellement augmentées.
- +Polymorphisme:
- +Chez les mauvais métaboliseurs du CYP2C19, les taux plasmatiques d'escitalopram mesurés étaient deux fois plus élevés que chez les bons métaboliseurs. Chez les mauvais métaboliseurs du CYP2D6, aucune modification significative du taux plasmatique n'a été observée.
- +Des études chez l'animal ont montré que le citalopram entraîne une diminution des indices de fécondité et de gestation, ainsi qu'une diminution du nombre de nidation, des tubes séminifères endommagés et un sperme anormal.
- +Aucune donnée chez l'animal relative à ce sujet n'est disponible pour l'escitalopram.
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-Spirig HealthCare SA, 4622 Egerkingen.
- +Spirig HealthCare SA, 4622 Egerkingen/Suisse.
-Mai 2013.
- +Mars 2017.
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