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Accueil - Information professionnelle sur Valsartan HCT Axapharm 80/12.5 mg - Changements - 13.04.2019
124 Changements de l'information professionelle Valsartan HCT Axapharm 80/12.5 mg
  • -Comprimés pelliculés ovales, non sécables, roses. D'un côté est gravé V et de l'autre H.
  • +Comprimés pelliculés ovales, non sécables, roses. Dun côté est gravé V et de lautre H.
  • -Comprimés pelliculés ovales, non sécables, rouges. D'un côté est gravé V et de l'autre H.
  • +Comprimés pelliculés ovales, non sécables, rouges. Dun côté est gravé V et de lautre H.
  • -Comprimés pelliculés ovales, non sécables, oranges. D'un côté est gravé V et de l'autre H.
  • +Comprimés pelliculés ovales, non sécables, oranges. Dun côté est gravé V et de lautre H.
  • -Traitement de l'hypertension essentielle légère à modérée chez les patients insuffisamment contrôlés par une monothérapie.
  • +Traitement de lhypertension essentielle légère à modérée chez les patients insuffisamment contrôlés par une monothérapie.
  • -La posologie recommandée est de 1 comprimé pelliculé de Valsartan HCT Axapharm 80/12.5 mg par jour. En cas de baisse insuffisante de la pression artérielle après 3 à 4 semaines de traitement, la poursuite du traitement par 1 comprimé pelliculé de Valsartan HCT Axapharm 160/12.5 mg par jour peut s'avérer nécessaire. Le traitement par 1 comprimé pelliculé de Valsartan HCT Axapharm 160/25 mg par jour est réservé aux patients qui ont présenté une baisse insuffisante de la pression artérielle sous Valsartan HCT Axapharm 160/12.5 mg. L'effet antihypertenseur maximal est observé au bout de 2-4 semaines.
  • +La posologie recommandée est de 1 comprimé pelliculé de Valsartan HCT Axapharm 80/12.5 mg par jour. En cas de baisse insuffisante de la pression artérielle après 3 à 4 semaines de traitement, la poursuite du traitement par 1 comprimé pelliculé de Valsartan HCT Axapharm 160/12.5 mg par jour peut savérer nécessaire. Le traitement par 1 comprimé pelliculé de Valsartan HCT Axapharm 160/25 mg par jour est réservé aux patients qui ont présenté une baisse insuffisante de la pression artérielle sous Valsartan HCT Axapharm 160/12.5 mg. Leffet antihypertenseur maximal est observé au bout de 2-4 semaines.
  • -Valsartan HCT Axapharm peut être utilisé indépendamment de l'âge du patient.
  • +Valsartan HCT Axapharm peut être utilisé indépendamment de lâge du patient.
  • -Une réduction posologique peut être nécessaire chez les patients présentant une limitation de la fonction rénale. Contenant comme principe actif de l'hydrochlorothiazide, Valsartan HCT Axapharm est contre-indiqué chez les patients présentant une anurie (cf. «Contre-indications») et doit être utilisé avec une prudence particulière chez les patients atteints d'insuffisance rénale sévère (TFG <30 ml/min) (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • -Aucune expérience n'est disponible sur l'utilisation de valsartan chez les patients atteints d'insuffisance rénale terminale (TFG <10 ml/min) ou chez les patients dialysés.
  • +Une réduction posologique peut être nécessaire chez les patients présentant une limitation de la fonction rénale. Contenant comme principe actif de lhydrochlorothiazide, Valsartan HCT Axapharm est contre-indiqué chez les patients présentant une anurie (cf. «Contre-indications») et doit être utilisé avec une prudence particulière chez les patients atteints dinsuffisance rénale sévère (TFG <30 ml/min) (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +Aucune expérience nest disponible sur lutilisation de valsartan chez les patients atteints dinsuffisance rénale terminale (TFG <10 ml/min) ou chez les patients dialysés.
  • -Une réduction posologique peut être nécessaire chez les patients présentant une limitation de la fonction hépatique. Contenant comme principe actif de l'hydrochlorothiazide, Valsartan HCT Axapharm doit être utilisé avec prudence chez les patients atteints d'insuffisance hépatique (cf. «Mises en garde et précautions»). Contenant comme principe actif du valsartan, Valsartan HCT Axapharm est contre-indiqué chez les patients avec cirrhose biliaire et cholestase.
  • -Utilisation chez l'enfant et l'adolescent
  • -L'efficacité et la sécurité du Valsartan HCT Axapharm n'ont pas été étudiées dans le traitement des enfants et des adolescents de moins de 18 ans.
  • +Une réduction posologique peut être nécessaire chez les patients présentant une limitation de la fonction hépatique. Contenant comme principe actif de lhydrochlorothiazide, Valsartan HCT Axapharm doit être utilisé avec prudence chez les patients atteints dinsuffisance hépatique (cf. «Mises en garde et précautions»). Contenant comme principe actif du valsartan, Valsartan HCT Axapharm est contre-indiqué chez les patients avec cirrhose biliaire et cholestase.
  • +Utilisation chez lenfant et ladolescent
  • +Lefficacité et la sécurité du Valsartan HCT Axapharm nont pas été étudiées dans le traitement des enfants et des adolescents de moins de 18 ans.
  • -·Hypersensibilité au valsartan ou à l'hydrochlorothiazide, à l'un des composants de Valsartan HCT Axapharm ou aux dérivés des sulfamidés.
  • -·Valsartan HCT Axapharm est contre-indiqué chez les patients présentant un angio-oedème héréditaire ou chez ceux ayant développé un oedème angioneurotique lors d'un traitement antérieur par un inhibiteur de l'ECA ou un antagoniste des récepteurs de l'angiotensine II.
  • -·Grossesse et allaitement (cf. «Grossesse/Allaitement»).
  • -·Cirrhose biliaire ou cholestase.
  • -·Anurie.
  • -·Administration concomitante d'antagonistes des récepteurs de l'angiotensine (ARA), y compris Valsartan HCT Axapharm, ou d'inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (IEC) avec l'aliskirène chez les patients atteints de diabète sucré (de type 1 ou de type 2) ainsi que chez les patients atteints d'insuffisance rénale (TFG <60 ml/min) (cf. rubrique «Interactions», sous-section «Double blocage du SRAA»).
  • +-Hypersensibilité au valsartan ou à lhydrochlorothiazide, à lun des composants de Valsartan HCT Axapharm ou aux dérivés des sulfamidés.
  • +-Valsartan HCT Axapharm est contre-indiqué chez les patients présentant un angiooedème héréditaire ou chez ceux ayant développé un oedème angioneurotique lors dun traitement antérieur par un inhibiteur de lECA ou un antagoniste des récepteurs de langiotensine II.
  • +-Grossesse et allaitement (cf. «Grossesse/Allaitement»).
  • +-Cirrhose biliaire ou cholestase.
  • +-Anurie.
  • +-Administration concomitante dantagonistes des récepteurs de langiotensine (ARA), y compris Valsartan HCT Axapharm, ou dinhibiteurs de lenzyme de conversion de langiotensine (IEC) avec laliskirène chez les patients atteints de diabète sucré (de type 1 ou de type 2) ainsi que chez les patients atteints dinsuffisance rénale (TFG <60 ml/min) (cf. rubrique «Interactions», sous-section «Double blocage du SRAA»).
  • -Les diurétiques thiazidiques peuvent provoquer une hypokaliémie ou aggraver une hypokaliémie préexistante. En cas de maladies s'accompagnant d'une perte accrue de potassium, les thiazides doivent être administrés avec prudence et sous contrôle régulier de la kaliémie sérique.
  • -Avant de débuter un traitement par des thiazides, il est conseillé de corriger une hypokaliémie. La présence simultanée d'une carence en magnésium peut rendre difficile la correction d'une hypokaliémie. Valsartan HCT Axapharm contenant un inhibiteur des récepteurs de l'angiotensine II, toute substitution de potassium sous traitement par Valsartan HCT Axapharm doit être soigneusement évaluée et réalisée avec prudence. Les concentrations de potassium et de magnésium doivent être contrôlées régulièrement. Tous les patients recevant des diurétiques thiazidiques doivent être surveillés à la recherche d'un déséquilibre électrolytique.
  • +Les diurétiques thiazidiques peuvent provoquer une hypokaliémie ou aggraver une hypokaliémie préexistante. En cas de maladies saccompagnant dune perte accrue de potassium, les thiazides doivent être administrés avec prudence et sous contrôle régulier de la kaliémie sérique.
  • +Avant de débuter un traitement par des thiazides, il est conseillé de corriger une hypokaliémie. La présence simultanée dune carence en magnésium peut rendre difficile la correction dune hypokaliémie. Valsartan HCT Axapharm contenant un inhibiteur des récepteurs de langiotensine II, toute substitution de potassium sous traitement par Valsartan HCT Axapharm doit être soigneusement évaluée et réalisée avec prudence. Les concentrations de potassium et de magnésium doivent être contrôlées régulièrement. Tous les patients recevant des diurétiques thiazidiques doivent être surveillés à la recherche dun déséquilibre électrolytique.
  • -Les diurétiques thiazidiques peuvent provoquer la survenue d'une nouvelle hyponatrémie ou aggraver une hyponatrémie préexistante. Celle-ci peut s'accompagner de symptômes neurologiques (vomissements, confusion, apathie). Les diurétiques thiazidiques ne doivent être administrés qu'après avoir corrigé une hyponatrémie préexistante. Une surveillance régulière de la concentration sérique de sodium est nécessaire.
  • +Les diurétiques thiazidiques peuvent provoquer la survenue dune nouvelle hyponatrémie ou aggraver une hyponatrémie préexistante. Celle-ci peut saccompagner de symptômes neurologiques (vomissements, confusion, apathie). Les diurétiques thiazidiques ne doivent être administrés quaprès avoir corrigé une hyponatrémie préexistante. Une surveillance régulière de la concentration sérique de sodium est nécessaire.
  • -Les diurétiques thiazidiques diminuent l'excrétion urinaire de calcium et peuvent provoquer une augmentation du calcium sérique. Les diurétiques thiazidiques ne doivent être commencés qu'après avoir corrigé une hypercalcémie préexistante ou traité la maladie causale. Une surveillance régulière de la concentration sérique de calcium est nécessaire.
  • +Les diurétiques thiazidiques diminuent lexcrétion urinaire de calcium et peuvent provoquer une augmentation du calcium sérique. Les diurétiques thiazidiques ne doivent être commencés quaprès avoir corrigé une hypercalcémie préexistante ou traité la maladie causale. Une surveillance régulière de la concentration sérique de calcium est nécessaire.
  • -Sténose de l'artère rénale
  • -Une grande prudence est recommandée lors de l'utilisation de Valsartan HCT Axapharm chez les patients présentant une sténose de l'artère rénale unie ou bilatérale ou sur un seul rein, car les taux d'urée dans le sang et de créatinine sérique peuvent être augmentés chez de tels patients.
  • +Sténose de lartère rénale
  • +Une grande prudence est recommandée lors de lutilisation de Valsartan HCT Axapharm chez les patients présentant une sténose de lartère rénale uni ou bilatérale ou sur un seul rein, car les taux durée dans le sang et de créatinine sérique peuvent être augmentés chez de tels patients.
  • -La prudence est recommandée lors du traitement de patients atteints d'insuffisance rénale. Lors d'insuffisance rénale sévère (TFG <30 ml/min), les diurétiques thiazidiques peuvent perdre leur efficacité diurétique. L'administration de Valsartan HCT Axapharm à ces patients nécessite une évaluation préalable précise du rapport bénéfice/risque, ainsi que le contrôle des paramètres cliniques et biochimiques.
  • -Chez les patients insuffisants rénaux (TFG <60 ml/min), l'administration concomitante d'ARA, y compris de Valsartan HCT Axapharm, ou d'IEC avec l'aliskirène est contre-indiquée (cf. rubrique «Interactions», sous-section «Double blocage du SRAA»).
  • -Aucune expérience n'est disponible sur l'utilisation de valsartan chez les patients atteints d'insuffisance rénale terminale (TFG <10 ml/min) ou chez les patients dialysés.
  • +La prudence est recommandée lors du traitement de patients atteints dinsuffisance rénale. Lors dinsuffisance rénale sévère (TFG <30 ml/min), les diurétiques thiazidiques peuvent perdre leur efficacité diurétique. Ladministration de Valsartan HCT Axapharm à ces patients nécessite une évaluation préalable précise du rapport bénéfice/risque, ainsi que le contrôle des paramètres cliniques et biochimiques.
  • +Chez les patients insuffisants rénaux (TFG <60 ml/min), ladministration concomitante dARA, y compris de Valsartan HCT Axapharm, ou dIEC avec laliskirène est contre-indiquée (cf. rubrique «Interactions», sous-section «Double blocage du SRAA»).
  • +Aucune expérience nest disponible sur lutilisation de valsartan chez les patients atteints dinsuffisance rénale terminale (TFG <10 ml/min) ou chez les patients dialysés.
  • -La prudence est recommandée lors du traitement de patients atteints d'insuffisance hépatique. Chez ces patients, les thiazides peuvent déclencher des déséquilibres électrolytiques, des encéphalopathies hépatiques ainsi qu'un syndrome hépatorénal. L'administration de Valsartan HCT Axapharm à ces patients nécessite une évaluation préalable précise du rapport bénéfice/risque, ainsi que le contrôle des paramètres cliniques et biochimiques. Valsartan HCT Axapharm est contre-indiqué chez les patients avec cirrhose biliaire et cholestase.
  • +La prudence est recommandée lors du traitement de patients atteints dinsuffisance hépatique. Chez ces patients, les thiazides peuvent déclencher des déséquilibres électrolytiques, des encéphalopathies hépatiques ainsi quun syndrome hépatorénal. Ladministration de Valsartan HCT Axapharm à ces patients nécessite une évaluation préalable précise du rapport bénéfice/risque, ainsi que le contrôle des paramètres cliniques et biochimiques. Valsartan HCT Axapharm est contre-indiqué chez les patients avec cirrhose biliaire et cholestase.
  • -Des angio-œdèmes y compris des gonflements du larynx et de la glotte ayant entraîné une gêne des voies aériennes et/ou un gonflement du visage, des lèvres, du pharynx et/ou de la langue ont été observés chez des patients traités par le valsartan. Certains de ces patients avaient déjà présenté par le passé des angio-œdèmes lors de la prise d'autres médicaments, y compris des inhibiteurs de l'ECA. L'administration de Valsartan HCT Axapharm doit être immédiatement interrompue chez les patients présentant un angio-œdème et Valsartan HCT Axapharm ne doit plus jamais leur être administré.
  • +Des angio-œdèmes y compris des gonflements du larynx et de la glotte ayant entraîné une gêne des voies aériennes et/ou un gonflement du visage, des lèvres, du pharynx et/ou de la langue ont été observés chez des patients traités par le valsartan. Certains de ces patients avaient déjà présenté par le passé des angio-œdèmes lors de la prise dautres médicaments, y compris des inhibiteurs de lECA. Ladministration de Valsartan HCT Axapharm doit être immédiatement interrompue chez les patients présentant un angio-œdème et Valsartan HCT Axapharm ne doit plus jamais leur être administré.
  • -Les diurétiques thiazidiques, y compris l'hydrochlorothiazide, peuvent déclencher ou aggraver un lupus érythémateux systémique.
  • +Les diurétiques thiazidiques, y compris lhydrochlorothiazide, peuvent déclencher ou aggraver un lupus érythémateux systémique.
  • -En raison d'une diminution de la clairance de l'acide urique, Valsartan HCT Axapharm peut augmenter la concentration sérique d'acide urique, provoquer ou aggraver une hyperuricémie et déclencher des crises de goutte chez les patients prédisposés. L'utilisation de Valsartan HCT Axapharm est donc déconseillée chez les patients présentant une hyperuricémie et/ou une goutte.
  • -Les diurétiques thiazidiques y compris l'hydrochlorothiazide peuvent modifier la tolérance au glucose et entraîner une dégradation de l'équilibre métabolique d'un diabète. Les taux sériques de cholestérol et de triglycérides peuvent augmenter lors de l'utilisation d'hydrochlorothiazide.
  • +En raison dune diminution de la clairance de lacide urique, Valsartan HCT Axapharm peut augmenter la concentration sérique dacide urique, provoquer ou aggraver une hyperuricémie et déclencher des crises de goutte chez les patients prédisposés. Lutilisation de Valsartan HCT Axapharm est donc déconseillée chez les patients présentant une hyperuricémie et/ou une goutte.
  • +Les diurétiques thiazidiques y compris lhydrochlorothiazide peuvent modifier la tolérance au glucose et entraîner une dégradation de léquilibre métabolique dun diabète. Les taux sériques de cholestérol et de triglycérides peuvent augmenter lors de lutilisation dhydrochlorothiazide.
  • -La survenue de réactions d'hypersensibilité à l'hydrochlorothiazide est plus probable chez les patients allergiques et asthmatiques.
  • -Myopie aiguë et glaucome secondaire aigu par fermeture de l'angle
  • -L'hydrochlorothiazide, le sulfonamide présent dans Valsartan HCT Axapharm, peut provoquer des réactions idiosyncrasiques susceptibles d'induire une myopie aiguë passagère ou un glaucome aigu par fermeture de l'angle. Ceci se manifeste par une diminution subite de l'acuité visuelle ou des douleurs oculaires aiguës survenant typiquement dans les heures ou semaines suivant le début de la prise du médicament. Non traité, un glaucome aigu par fermeture de l'angle peut entraîner une perte visuelle permanente. Le traitement initial consiste à arrêter le médicament le plus rapidement possible. Des mesures chirurgicales et médicales doivent être envisagées si la pression intraoculaire ne parvient pas à être contrôlée d'une autre manière. Une allergie préexistante aux sulfonamides ou aux pénicillines pourrait être un facteur de risque de survenue d'un glaucome par fermeture de l'angle au cours d'un traitement par l'hydrochlorothiazide.
  • -Patients atteints d'insuffisance cardiaque et ayant des antécédents d'infarctus du myocarde
  • -Chez les patients dont la fonction rénale dépend de l'activité du système rénine-angiotensine-aldostérone (par ex. patients atteints d'insuffisance cardiaque sévère), le traitement par des inhibiteurs de l'ECA ou par des antagonistes des récepteurs de l'angiotensine a été associé à une oligurie et/ou à une azotémie progressive et, dans de rares cas, à une défaillance rénale aiguë et/ou à un décès. La fonction rénale doit toujours être contrôlée lors de l'examen de patients atteints d'insuffisance cardiaque ou ayant déjà souffert d'un infarctus du myocarde.
  • +La survenue de réactions dhypersensibilité à lhydrochlorothiazide est plus probable chez les patients allergiques et asthmatiques.
  • +Myopie aiguë et glaucome secondaire aigu par fermeture de langle
  • +Lhydrochlorothiazide, le sulfonamide présent dans Valsartan HCT Axapharm, peut provoquer des réactions idiosyncrasiques susceptibles dinduire une myopie aiguë passagère ou un glaucome aigu par fermeture de langle. Ceci se manifeste par une diminution subite de lacuité visuelle ou des douleurs oculaires aiguës survenant typiquement dans les heures ou semaines suivant le début de la prise du médicament. Non traité, un glaucome aigu par fermeture de langle peut entraîner une perte visuelle permanente. Le traitement initial consiste à arrêter le médicament le plus rapidement possible. Des mesures chirurgicales et médicales doivent être envisagées si la pression intraoculaire ne parvient pas à être contrôlée dune autre manière. Une allergie préexistante aux sulfonamides ou aux pénicillines pourrait être un facteur de risque de survenue dun glaucome par fermeture de langle au cours dun traitement par lhydrochlorothiazide.
  • +Patients atteints dinsuffisance cardiaque et ayant des antécédents dinfarctus du myocarde
  • +Chez les patients dont la fonction rénale dépend de lactivité du système rénine-angiotensine-aldostérone (par ex. patients atteints dinsuffisance cardiaque sévère), le traitement par des inhibiteurs de lECA ou par des antagonistes des récepteurs de langiotensine a été associé à une oligurie et/ou à une azotémie progressive et, dans de rares cas, à une défaillance rénale aiguë et/ou à un décès. La fonction rénale doit toujours être contrôlée lors de lexamen de patients atteints dinsuffisance cardiaque ou ayant déjà souffert dun infarctus du myocarde.
  • -Il n'existe pas de données sur l'effet du valsartan sur la fertilité humaine. Les études chez le rat n'ont montré aucun effet du valsartan sur la fertilité (cf. «Données précliniques»).
  • +Il nexiste pas de données sur leffet du valsartan sur la fertilité humaine. Les études chez le rat nont montré aucun effet du valsartan sur la fertilité (cf. «Données précliniques»).
  • +Cancer de la peau non-mélanome (CPNM)
  • +Dans deux études épidémiologiques basées sur le registre des cancers national danois, une augmentation du risque de cancer de la peau non mélanome (CPNM) (carcinome basocellulaire et carcinome épidermoïde) associée à une augmentation de l’exposition à une dose cumulée d’hydrochlorothiazide a été constatée. Le risque de CPNM semble augmenter en cas d’une utilisation sur une longue durée (voir rubrique «Propriétés/Effets»). L’effet photosensibilisant de l’hydrochlorothiazide pourrait être impliqué dans le développement du CPNM en tant que mécanisme potentiel.
  • +Les patients qui utilisent l’hydrochlorothiazide doivent être informés du risque de CPNM et doivent être instruits sur la nécessité de contrôler régulièrement si leur peau présente de nouvelles lésions et de signaler immédiatement d’éventuelles modifications suspectes de leur peau. Afin de minimiser le risque de cancer de la peau, il faut conseiller aux patients d’adopter les mesures de prévention possibles telles que par ex. une limitation de l’exposition à la lumière du soleil/aux UV et l’utilisation d’une protection solaire appropriée en cas d’exposition au soleil. Les modifications suspectes de la peau doivent immédiatement être examinées, le cas échéant au moyen d’une analyse histologique de biopsies. Par ailleurs, l’utilisation de l’hydrochlorothiazide doit éventuellement être reconsidérée chez les patients ayant des antécédents de CPNM (voir rubrique «Effets indésirables»).
  • +
  • -Les interactions susceptibles de survenir lors de l'utilisation des deux composants (valsartan et/ou hydrochlorothiazide) de Valsartan HCT Axapharm sont les suivantes:
  • -Une augmentation réversible de la concentration sérique de lithium et une toxicité du lithium ont été observées lors de l'administration concomitante de lithium et d'inhibiteurs de l'ECA, d'antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II ou de thiazidiques. Les thiazidiques réduisant la clairance rénale du lithium, la toxicité du lithium peut être plus élevée après l'utilisation de Valsartan HCT Axapharm. Une surveillance étroite de la concentration sérique de lithium est donc recommandée en cas d'administration concomitante.
  • +Les interactions susceptibles de survenir lors de lutilisation des deux composants (valsartan et/ou hydrochlorothiazide) de Valsartan HCT Axapharm sont les suivantes:
  • +Une augmentation réversible de la concentration sérique de lithium et une toxicité du lithium ont été observées lors de ladministration concomitante de lithium et dinhibiteurs de lECA, dantagonistes des récepteurs de langiotensine II ou de thiazidiques. Les thiazidiques réduisant la clairance rénale du lithium, la toxicité du lithium peut être plus élevée après lutilisation de Valsartan HCT Axapharm. Une surveillance étroite de la concentration sérique de lithium est donc recommandée en cas dadministration concomitante.
  • -L'administration d'AINS et d'inhibiteurs de la COX-2 peut entraîner une diminution de l'effet antihypertenseur des antagonistes des récepteurs de l'angiotensine-ll (ARAll). Chez les patients âgés, les patients insuffisants rénaux et ceux présentant une hypovolémie (aussi sous traitement diurétique), l'administration simultanée d'AINS (ou d'inhibiteurs de la COX-2) et d'un ARAll peut augmenter le risque d'aggravation de la fonction rénale (y compris de défaillance rénale aiguë). La prudence est donc recommandée lors de l'association de ces médicaments chez de tels patients et la fonction rénale doit être contrôlée.
  • -Autres antihypertenseurs: L'utilisation de Valsartan HCT Axapharm renforce l'effet antihypertenseur d'autres médicaments hypotenseurs (par ex. bêtabloquants, vasodilatateurs, inhibiteurs des canaux calciques, inhibiteurs de l'ECA, antagonistes des récepteurs de l'angiotensine (ARA) et inhibiteurs directs de la rénine (IDR)).
  • +Ladministration dAINS et dinhibiteurs de la COX-2 peut entraîner une diminution de leffet antihypertenseur des antagonistes des récepteurs de langiotensinell (ARAll). Chez les patients âgés, les patients insuffisants rénaux et ceux présentant une hypovolémie (aussi sous traitement diurétique), ladministration simultanée dAINS (ou dinhibiteurs de la COX-2) et dun ARAll peut augmenter le risque daggravation de la fonction rénale (y compris de défaillance rénale aiguë). La prudence est donc recommandée lors de lassociation de ces médicaments chez de tels patients et la fonction rénale doit être contrôlée.
  • +Autres antihypertenseurs: Lutilisation de Valsartan HCT Axapharm renforce leffet antihypertenseur dautres médicaments hypotenseurs (par ex. bêtabloquants, vasodilatateurs, inhibiteurs des canaux calciques, inhibiteurs de lECA, antagonistes des récepteurs de langiotensine (ARA) et inhibiteurs directs de la rénine (IDR)).
  • -Double blocage du système rénine-angiotensine-aldostérone avec des ARA, des IEC ou l'aliskirène: L'administration concomitante d'ARA, y compris de Valsartan HCT Axapharm, avec d'autres médicaments agissant sur le SRAA est associée à une augmentation de l'incidence de l'hypotension, des syncopes, de l'hyperkaliémie et de l'insuffisance rénale (y compris d'une défaillance rénale aigüe) par rapport à une monothérapie. Un double blocage du SRAA par l'utilisation concomittante d'un inhibiteur de l'ECA, d'un ARA ou de l'aliskirène n'est par conséquent pas recommandé. Lorsque le traitement avec un double blocage est considéré comme absolument nécessaire, celui-ci doit se faire sous la surveillance d'un spécialiste et en effectuant des contrôles étroits de la fonction rénale, des électrolytes et de la tension artérielle (cf. rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Chez les patients insuffisants rénaux (TFG <60 ml/min), l'utilisation concomitante d'ARA, y compris de Valsartan HCT Axapharm, ou d'IEC avec l'aliskirène est contre-indiquée (cf. rubriques «Mises en garde et précautions» et «Contre-indications»).
  • -L'utilisation concomitante d'ARA, y compris de Valsartan HCT Axapharm, ou d'IEC avec l'aliskirène est contre-indiquée chez les patients atteints de diabète de type 1 ou de type 2 (cf. rubrique «Contre-indications»). Les inhibiteurs d'ECA – y compris le Valsartan HCT Axapharm – et les antagonistes du récepteur de l'angiotensine (ARA) ne devraient pas être utilisés de manière concomitante chez les patients présentant une néphropathie diabétique.
  • -Potassium: L'association thérapeutique d'antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II et d'autres médicaments susceptibles d'augmenter le potassium sérique (par ex. diurétiques d'épargne potassique, produits contenant du potassium, héparine) peut augmenter le risque d'une hyperkaliémie. L'administration de valsartan, un composant de Valsartan HCT Axapharm, doit être prudente dans de tels cas et impose le contrôle de la kaliémie.
  • -Transporteurs: Des études in vitro avec du tissu hépatique humain indiquent que le valsartan est un substrat du transporteur hépatique d'influx OATP1B1 et du transporteur hépatique d'efflux MRP2. C'est pourquoi l'exposition systémique au valsartan peut augmenter en cas d'administration concomitante d'inhibiteurs des transporteurs OATP1B1 (rifampicine, ciclosporine) ou MRP2 (ritonavir).
  • -Aucune interaction cliniquement significative n'a été observée entre le valsartan administré en monothérapie et les médicaments suivants: cimétidine, warfarine, furosémide, digoxine, aténolol, indométacine, hydrochlorothiazide, amlodipine, glibenclamide.
  • +Double blocage du système rénine-angiotensine-aldostérone avec des ARA, des IEC ou laliskirène: Ladministration concomitante dARA, y compris de Valsartan HCT Axapharm, avec dautres médicaments agissant sur le SRAA est associée à une augmentation de lincidence de lhypotension, des syncopes, de lhyperkaliémie et de linsuffisance rénale (y compris dune défaillance rénale aigüe) par rapport à une monothérapie. Un double blocage du SRAA par lutilisation concomitante dun inhibiteur de lECA, dun ARA ou de laliskirène nest par conséquent pas recommandé. Lorsque le traitement avec un double blocage est considéré comme absolument nécessaire, celui-ci doit se faire sous la surveillance dun spécialiste et en effectuant des contrôles étroits de la fonction rénale, des électrolytes et de la tension artérielle (cf. rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Chez les patients insuffisants rénaux (TFG <60 ml/min), lutilisation concomitante dARA, y compris de Valsartan HCT Axapharm, ou dIEC avec laliskirène est contre-indiquée (cf. rubriques «Mises en garde et précautions» et «Contre-indications»).
  • +Lutilisation concomitante dARA, y compris de Valsartan HCT Axapharm, ou dIEC avec laliskirène est contre-indiquée chez les patients atteints de diabète de type 1 ou de type 2 (cf. rubrique «Contre-indications»). Les inhibiteurs dECA – y compris le Valsartan HCT Axapharm – et les antagonistes du récepteur de langiotensine (ARA) ne devraient pas être utilisés de manière concomitante chez les patients présentant une néphropathie diabétique.
  • +Potassium: Lassociation thérapeutique dantagonistes des récepteurs de langiotensine II et dautres médicaments susceptibles daugmenter le potassium sérique (par ex. diurétiques dépargne potassique, produits contenant du potassium, héparine) peut augmenter le risque dune hyperkaliémie. Ladministration de valsartan, un composant de Valsartan HCT Axapharm, doit être prudente dans de tels cas et impose le contrôle de la kaliémie.
  • +Transporteurs: Des études in vitro avec du tissu hépatique humain indiquent que le valsartan est un substrat du transporteur hépatique dinflux OATP1B1 et du transporteur hépatique defflux MRP2. Cest pourquoi lexposition systémique au valsartan peut augmenter en cas dadministration concomitante dinhibiteurs des transporteurs OATP1B1 (rifampicine, ciclosporine) ou MRP2 (ritonavir).
  • +Aucune interaction cliniquement significative na été observée entre le valsartan administré en monothérapie et les médicaments suivants: cimétidine, warfarine, furosémide, digoxine, aténolol, indométacine, hydrochlorothiazide, amlodipine, glibenclamide.
  • -Médicaments ayant une influence sur le taux sérique de potassium ou de magnésium: Les pertes en potassium et/ou en magnésium peuvent être augmentées par l'administration simultanée d'hydrochlorothiazide et de diurétiques kaliurétiques (par ex. furosémide), de glucocorticoïdes, d'ACTH, d'amphotéricine B, de carbénoxolone, de pénicilline G, de salicylates ou d'antiarrythmiques.
  • -Glucosides cardiotoniques (digitaliques): Une hypokaliémie ou une hypomagnésiémie provoquée par des thiazides peut favoriser l'apparition d'arythmies induites par les digitaliques.
  • -Relaxants musculaires squelettiques: Les diurétiques thiazidiques, y compris l'hydrochlorothiazide, potentialisent l'effet des relaxants musculaires squelettiques de type curare.
  • -Antidiabétiques: Les thiazides peuvent modifier la tolérance au glucose. Un ajustement de la posologie de l'insuline et des antidiabétiques oraux peut s'avérer nécessaire.
  • -Allopurinol: L'administration simultanée de diurétiques thiazidiques, y compris l'hydrochlorothiazide, peut augmenter la probabilité de réactions d'hypersensibilité à l'allopurinol.
  • -Amantadine: L'administration simultanée de diurétiques thiazidiques, y compris de l'hydrochlorothiazide, peut augmenter le risque d'effets indésirables dus à l'amantadine.
  • -Diazoxide: Les diurétiques thiazidiques peuvent renforcer l'effet hyperglycémiant du diazoxide.
  • -Antinéoplasiques (par ex. cyclophosphamide, méthotrexate): Le traitement simultané par des diurétiques thiazidiques peut diminuer l'excrétion rénale des médicaments cytotoxiques et augmenter leurs effets myélosuppresseurs.
  • -Anticholinergiques: La biodisponibilité des diurétiques thiazidiques peut être augmentée par l'administration simultanée d'anticholinergiques (par ex. atropine, bipéridène), vraisemblablement suite à une diminution de la motilité gastro-intestinale et à un ralentissement de la vidange gastrique. Inversement, les médicaments prokinétiques tels que le cisapride peuvent diminuer la biodisponibilité des diurétiques thiazidiques.
  • -Méthyldopa: Des cas isolés d'anémie hémolytique ont été décrits suite à l'association de méthyldopa et d'hydrochlorothiazide.
  • -Résines échangeuses d'ions: La coléstyramine ou le colestipol diminuent la résorption des diurétiques thiazidiques, y compris de l'hydrochlorothiazide. C'est pourquoi il convient d'espacer la prise de l'hydrochlorothiazide de l'administration d'une résine échangeuse d'ions. L'intervalle de temps le plus long possible doit être choisi afin de minimiser les interactions.
  • -Vitamine D: L'utilisation simultanée de diurétiques thiazidiques, y compris l'hydrochlorothiazide, et de vitamine D ou de sels de calcium peut entraîner une forte élévation de la calcémie.
  • -Ciclosporine: Le risque d'une hyperuricémie est vraisemblablement accru par l'administration simultanée de ciclosporine et des symptômes de goutte peuvent se manifester.
  • -Sels de calcium: En raison de l'augmentation de la réabsorption tubulaire de calcium, l'administration simultanée de diurétiques de type thiazidique peut entraîner une hypercalcémie.
  • -Médicaments ayant une influence sur le taux sérique de sodium: L'administration simultanée de médicaments tels qu'antidépresseurs, antipsychotiques, antiépileptiques, etc. peut renforcer l'effet hyponatrémiant des diurétiques. La prudence est recommandée en cas d'utilisation à long terme de ces médicaments.
  • -Alcool, barbituriques ou narcotiques: L'administration simultanée de diurétiques thiazidiques et d'alcool, de barbituriques ou de narcotiques peut aggraver une hypotension orthostatique.
  • -Amines hypertensives: L'hydrochlorothiazide peut réduire la réponse aux amines hypertensives telles que la noradrénaline. La pertinence clinique de cette action ne suffit cependant pas à exclure leur utilisation.
  • +Médicaments ayant une influence sur le taux sérique de potassium ou de magnésium: Les pertes en potassium et/ou en magnésium peuvent être augmentées par ladministration simultanée dhydrochlorothiazide et de diurétiques kaliurétiques (par ex. furosémide), de glucocorticoïdes, dACTH, damphotéricine B, de carbénoxolone, de pénicilline G, de salicylates ou dantiarrythmiques.
  • +Glucosides cardiotoniques (digitaliques): Une hypokaliémie ou une hypomagnésiémie provoquée par des thiazides peut favoriser lapparition darythmies induites par les digitaliques.
  • +Relaxants musculaires squelettiques: Les diurétiques thiazidiques, y compris lhydrochlorothiazide, potentialisent leffet des relaxants musculaires squelettiques de type curare.
  • +Antidiabétiques: Les thiazides peuvent modifier la tolérance au glucose. Un ajustement de la posologie de linsuline et des antidiabétiques oraux peut savérer nécessaire.
  • +Allopurinol: Ladministration simultanée de diurétiques thiazidiques, y compris lhydrochlorothiazide, peut augmenter la probabilité de réactions dhypersensibilité à lallopurinol.
  • +Amantadine: Ladministration simultanée de diurétiques thiazidiques, y compris de lhydrochlorothiazide, peut augmenter le risque deffets indésirables dus à lamantadine.
  • +Diazoxide: Les diurétiques thiazidiques peuvent renforcer leffet hyperglycémiant du diazoxide.
  • +Antinéoplasiques (par ex. cyclophosphamide, méthotrexate): Le traitement simultané par des diurétiques thiazidiques peut diminuer lexcrétion rénale des médicaments cytotoxiques et augmenter leurs effets myélosuppresseurs.
  • +Anticholinergiques: La biodisponibilité des diurétiques thiazidiques peut être augmentée par ladministration simultanée danticholinergiques (par ex. atropine, bipéridène), vraisemblablement suite à une diminution de la motilité gastro-intestinale et à un ralentissement de la vidange gastrique. Inversement, les médicaments prokinétiques tels que le cisapride peuvent diminuer la biodisponibilité des diurétiques thiazidiques.
  • +Méthyldopa: Des cas isolés danémie hémolytique ont été décrits suite à lassociation de méthyldopa et dhydrochlorothiazide.
  • +Résines échangeuses dions: La coléstyramine ou le colestipol diminuent la résorption des diurétiques thiazidiques, y compris de lhydrochlorothiazide. Cest pourquoi il convient despacer la prise de lhydrochlorothiazide de ladministration dune résine échangeuse dions. Lintervalle de temps le plus long possible doit être choisi afin de minimiser les interactions.
  • +Vitamine D: Lutilisation simultanée de diurétiques thiazidiques, y compris lhydrochlorothiazide, et de vitamine D ou de sels de calcium peut entraîner une forte élévation de la calcémie.
  • +Ciclosporine: Le risque dune hyperuricémie est vraisemblablement accru par ladministration simultanée de ciclosporine et des symptômes de goutte peuvent se manifester.
  • +Sels de calcium: En raison de laugmentation de la réabsorption tubulaire de calcium, ladministration simultanée de diurétiques de type thiazidique peut entraîner une hypercalcémie.
  • +Médicaments ayant une influence sur le taux sérique de sodium: Ladministration simultanée de médicaments tels quantidépresseurs, antipsychotiques, antiépileptiques, etc. peut renforcer leffet hyponatrémiant des diurétiques. La prudence est recommandée en cas dutilisation à long terme de ces médicaments.
  • +Alcool, barbituriques ou narcotiques: Ladministration simultanée de diurétiques thiazidiques et dalcool, de barbituriques ou de narcotiques peut aggraver une hypotension orthostatique.
  • +Amines hypertensives: Lhydrochlorothiazide peut réduire la réponse aux amines hypertensives telles que la noradrénaline. La pertinence clinique de cette action ne suffit cependant pas à exclure leur utilisation.
  • -En raison du mécanisme d'action des antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, un risque pour l'embryon et le fœtus ne peut pas être exclu. En se basant sur des données rétrospectives, l'utilisation d'inhibiteurs de l'ECA pendant le 1er trimestre a été associée à un risque potentiel de malformations du nouveau-né. Selon certains rapports, la prise de médicaments agissant directement sur le système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA) au cours des 2ème et 3ème trimestres de la grossesse a en outre provoqué des lésions et la mort du fœtus. La perfusion rénale, chez le fœtus humain, dépend du développement du système RAA et commence au cours du 2ème trimestre de la grossesse. C'est pourquoi les risques liés à un traitement par valsartan augmentent pendant les 2ème et 3ème trimestres de la grossesse. Des avortements spontanés, oligoamnios et troubles de la fonction rénale chez le nouveau-né ont été rapportés lorsque des femmes avaient pris du valsartan par mégarde.
  • -Tous les nouveau-nés ayant été exposés au médicament in utero seront soigneusement surveillés pour s'assurer d'une diurèse suffisante, de l'absence d'hyperkaliémie et d'une tension artérielle normale. En cas de besoin, prendre toutes les mesures nécessaires, comme une réhydratation, pour éliminer le médicament de la circulation.
  • -L'exposition in utero à des diurétiques thiazidiques, y compris l'hydrochlorothiazide, peut provoquer un ictère ou une thrombocytopénie chez le fœtus ou le nouveau-né et est éventuellement liée à des effets indésirables autres que ceux connus chez l'adulte.
  • +En raison du mécanisme daction des antagonistes des récepteurs de langiotensine II, un risque pour lembryon et le fœtus ne peut pas être exclu. En se basant sur des données rétrospectives, lutilisation dinhibiteurs de lECA pendant le 1er trimestre a été associée à un risque potentiel de malformations du nouveau-né. Selon certains rapports, la prise de médicaments agissant directement sur le système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA) au cours des 2èmes et 3èmes trimestres de la grossesse a en outre provoqué des lésions et la mort du fœtus. La perfusion rénale, chez le fœtus humain, dépend du développement du système RAA et commence au cours du 2ème trimestre de la grossesse. Cest pourquoi les risques liés à un traitement par valsartan augmentent pendant les 2èmes et 3èmes trimestres de la grossesse. Des avortements spontanés, oligoamnios et troubles de la fonction rénale chez le nouveau-né ont été rapportés lorsque des femmes avaient pris du valsartan par mégarde.
  • +Tous les nouveau-nés ayant été exposés au médicament in utero seront soigneusement surveillés pour sassurer dune diurèse suffisante, de labsence dhyperkaliémie et dune tension artérielle normale. En cas de besoin, prendre toutes les mesures nécessaires, comme une réhydratation, pour éliminer le médicament de la circulation.
  • +Lexposition in utero à des diurétiques thiazidiques, y compris lhydrochlorothiazide, peut provoquer un ictère ou une thrombocytopénie chez le fœtus ou le nouveau-né et est éventuellement liée à des effets indésirables autres que ceux connus chez ladulte.
  • -Au cours d'expérimentations animales (rates), on a montré que le valsartan passait dans le lait maternel. L'hydrochlorothiazide traverse le placenta et passe dans le lait maternel. Parce qu'aucune étude n'est disponible chez la femme pendant l'allaitement, une femme qui allaite ne sera pas traitée par Valsartan HCT Axapharm.
  • +Au cours dexpérimentations animales (rates), on a montré que le valsartan passait dans le lait maternel. Lhydrochlorothiazide traverse le placenta et passe dans le lait maternel. Parce quaucune étude nest disponible chez la femme pendant lallaitement, une femme qui allaite ne sera pas traitée par Valsartan HCT Axapharm.
  • -Comme d'autres antihypertenseurs, Valsartan HCT Axapharm peut affecter la capacité de réactions, l'aptitude à la conduite et l'aptitude à utiliser des outils ou des machines. La prudence est recommandée.
  • +Comme dautres antihypertenseurs, Valsartan HCT Axapharm peut affecter la capacité de réactions, laptitude à la conduite et laptitude à utiliser des outils ou des machines. La prudence est recommandée.
  • -Les effets indésirables suivants ont été observés dans 5 études cliniques contrôlées incluant 7616 patients, dont 4372 ont reçu le valsartan en association à l'hydrochlorothiazide.
  • -«Très fréquent» (≥1/10), «fréquent» (<1/10, ≥1/100), «occasionnel» (<1/100, ≥1/1000), «rare» (<1/1000, >1/10'000,), «très rare» (<1/10'000), «fréquence inconnue» (ne peut pas être mesuré avec les dates disponibles).
  • +Les effets indésirables suivants ont été observés dans 5 études cliniques contrôlées incluant 7616 patients, dont 4372 ont reçu le valsartan en association à lhydrochlorothiazide.
  • +«Très fréquent» (≥1/10), «fréquent» (<1/10, ≥1/100), «occasionnel» (<1/100, ≥1/1000), «rare» (<1/1000, >1/10'000,), «très rare» (<1/10'000), «fréquence inconnue» (ne peut pas être mesuré avec les données disponibles).
  • -Fréquence inconnue: œdème pulmonaire d'origine non cardiaque.
  • +Fréquence inconnue: œdème pulmonaire dorigine non cardiaque.
  • -Troubles musculoquelettiques
  • +Troubles musculosquelettiques
  • -Une diminution de la kaliémie de plus de 20% a été constatée chez 3.7% des patients traités par Valsartan HCT Axapharm et chez 3.1% des patients sous placebo.
  • -Lors d'études cliniques contrôlées, une augmentation de la créatinine et une augmentation de l'azote uréique a été observée chez 1.9% resp. 14.7% des patients traités par Valsartan HCT Axapharm et chez 0.4% resp. 6.3% des patients sous placebo.
  • -Les événements suivants ont également été observés au cours des études cliniques menées chez des patients hypertendus, indépendamment de leur lien de causalité avec le médicament de l'étude: hypoesthésie, grippe, insomnie, entorse ligamentaire, claquage musculaire, obstruction nasale, rhinopharyngite, douleurs cervicales, œdème périphérique, obstruction des sinus paranasaux.
  • -Les résultats suivants, observés en relation avec le valsartan en monothérapie, n'ont pas été constatés sous valsartan et hydrochlorothiazide:
  • -Dans de rares cas, une diminution des taux d'hémoglobine et de l'hématocrite peuvent accompagner un traitement par valsartan. Au cours d'études cliniques contrôlées, une baisse significative de l'hématocrite (>20%) chez 0.8% des patients et une baisse des taux d'hémoglobine chez 0.4% des patients ont été observées. En comparaison, ces deux paramètres étaient abaissés chez 0.1% des patients sous placebo.
  • -Une neutropénie est apparue chez 1.9% des patients sous valsartan contre 1.6% sous inhibiteur de l'ECA.
  • -Dans des études cliniques contrôlées, une hausse significative de la concentration sanguine de la créatinine, du potassium et de la bilirubine totale a été observée chez respectivement 0.8%, 4.4% et 6% des patients sous valsartan contre 1.6%, 6.4% et 12.9% des patients sous inhibiteur de l'ECA.
  • +Une diminution de la kaliémie de plus de 20% a été constatée chez 3.7% des patients traités par valsartan et hydrochlorothiazide et chez 3.1% des patients sous placebo.
  • +Lors détudes cliniques contrôlées, une augmentation de la créatinine et une augmentation de lazote uréique a été observée chez 1.9% resp. 14.7% des patients traités par valsartan et hydrochlorothiazide et chez 0.4% resp. 6.3% des patients sous placebo.
  • +Les événements suivants ont également été observés au cours des études cliniques menées chez des patients hypertendus, indépendamment de leur lien de causalité avec le médicament de létude: hypoesthésie, grippe, insomnie, entorse ligamentaire, claquage musculaire, obstruction nasale, rhinopharyngite, douleurs cervicales, œdème périphérique, obstruction des sinus paranasaux.
  • +Les résultats suivants, observés en relation avec le valsartan en monothérapie, nont pas été constatés sous valsartan et hydrochlorothiazide:
  • +Dans de rares cas, une diminution des taux dhémoglobine et de lhématocrite peuvent accompagner un traitement par valsartan. Au cours détudes cliniques contrôlées, une baisse significative de lhématocrite (>20%) chez 0.8% des patients et une baisse des taux dhémoglobine chez 0.4% des patients ont été observées. En comparaison, ces deux paramètres étaient abaissés chez 0.1% des patients sous placebo.
  • +Une neutropénie est apparue chez 1.9% des patients sous valsartan contre 1.6% sous inhibiteur de lECA.
  • +Dans des études cliniques contrôlées, une hausse significative de la concentration sanguine de la créatinine, du potassium et de la bilirubine totale a été observée chez respectivement 0.8%, 4.4% et 6% des patients sous valsartan contre 1.6%, 6.4% et 12.9% des patients sous inhibiteur de lECA.
  • -Aucune surveillance particulière des constantes biologiques n'est nécessaire chez les patients traités par valsartan pour une hypertension essentielle.
  • -Depuis la mise sur le marché de la préparation, la survenue de syncopes, de très rares cas d'angio-oedème, rash et prurit ainsi que d'autres réactions d'hypersensibilité comme la maladie sérique et vascularite ont été rapportés. De très rares cas de troubles de la fonction rénale ont aussi été observés.
  • +Aucune surveillance particulière des constantes biologiques nest nécessaire chez les patients traités par valsartan pour une hypertension essentielle.
  • +Depuis la mise sur le marché de la préparation, la survenue de syncopes, de très rares cas dangiooedème, rash et prurit ainsi que dautres réactions dhypersensibilité comme la maladie sérique et vascularite ont été rapportés. De très rares cas de troubles de la fonction rénale ont aussi été observés.
  • -D'autres événements indésirables ont été rapportés dans le cadre d'études cliniques sur le valsartan, sans qu'une relation de causalité avec le traitement n'ait été établie:
  • +Dautres événements indésirables ont été rapportés dans le cadre détudes cliniques sur le valsartan, sans quune relation de causalité avec le traitement nait été établie:
  • -Un seul cas d'angio-oedème a été décrit.
  • +Un seul cas dangiooedème a été décrit.
  • +Tumeurs bénignes, malignes et non spécifiques (y compris kystes et polypes)
  • +Fréquence inconnue: cancer de la peau non mélanome (carcinome basocellulaire et carcinome épidermoïde).
  • +
  • -Très rare: vasculite nécrosante, réactions d'hypersensibilité.
  • +Très rare: vasculite nécrosante, réactions dhypersensibilité.
  • -Fréquent: hyponatrémie, hypomagnésiémie, hyperuricémie et diminution de l'appétit.
  • +Fréquent: hyponatrémie, hypomagnésiémie, hyperuricémie et diminution de lappétit.
  • -Fréquent: hypotension orthostatique, pouvant être renforcée par l'effet de l'alcool, d'anesthésiques ou de sédatifs.
  • +Fréquent: hypotension orthostatique, pouvant être renforcée par leffet de lalcool, danesthésiques ou de sédatifs.
  • -Fréquent: urticaires et autre formes d'éruptions cutanées.
  • +Fréquent: urticaires et autre formes déruptions cutanées.
  • -Très rare: nécrolyse épidermique toxique, réactions cutanées semblables au lupus érythémateux, réactivation d'un lupus érythémateux cutané.
  • +Très rare: nécrolyse épidermique toxique, réactions cutanées semblables au lupus érythémateux, réactivation dun lupus érythémateux cutané.
  • -Effets indésirables issus de l'expérience post-commercialisation
  • -Les effets indésirables suivants ont été identifiés au cours de l'expérience post-commercialisation. Ces effets ayant été rapportés de manière volontaire à partir d'une population de taille inconnue, il n'est pas toujours possible d'estimer de manière fiable leur fréquence.
  • -Fréquence inconnue: défaillance rénale aiguë, trouble de la fonction rénale, anémie aplasique, érythème multiforme, pyrexie, spasmes musculaires, sensation de faiblesse, myopie aiguë et glaucome aigu par fermeture de l'angle.
  • +Effets indésirables issus de lexpérience post-commercialisation
  • +Les effets indésirables suivants ont été identifiés au cours de lexpérience post-commercialisation. Ces effets ayant été rapportés de manière volontaire à partir dune population de taille inconnue, il nest pas toujours possible destimer de manière fiable leur fréquence.
  • +Fréquence inconnue: défaillance rénale aiguë, trouble de la fonction rénale, anémie aplasique, érythème multiforme, pyrexie, spasmes musculaires, sensation de faiblesse, myopie aiguë et glaucome aigu par fermeture de langle.
  • +Description d’effets indésirables sélectionnés
  • +Cancer de la peau non mélanome (CPNM) (carcinome basocellulaire et carcinome épidermoïde): sur la base des données disponibles issues d’études épidémiologiques, un lien dépendant de la dose cumulée entre l’exposition à l’hydrochlorothiazide et le développement du CPNM a été observé (voir rubriques «Mises en garde et précautions» et «Propriétés/Effets»).
  • +
  • -Un surdosage au valsartan peut s'exprimer sous forme d'une hypotension artérielle prononcée, qui peut à son tour déclencher des troubles de conscience, un collapsus cardio-vasculaire et/ou un choc.
  • +Un surdosage au valsartan peut sexprimer sous forme dune hypotension artérielle prononcée, qui peut à son tour déclencher des troubles de conscience, un collapsus cardio-vasculaire et/ou un choc.
  • -En raison de sa forte liaison aux protéines plasmatiques, le valsartan ne peut pas être éliminé par hémodialyse. En revanche, l'hydrochlorothiazide peut être éliminé par dialyse.
  • +En raison de sa forte liaison aux protéines plasmatiques, le valsartan ne peut pas être éliminé par hémodialyse. En revanche, lhydrochlorothiazide peut être éliminé par dialyse.
  • -L'hormone active du système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA) est l'angiotensine II. Elle est formée à partir de l'angiotensine I par l'intermédiaire de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (ECA). L'angiotensine II se lie à des récepteurs spécifiques situés dans les membranes cellulaires de divers tissus. Ses effets physiologiques sont variés, avec notamment une action directe et indirecte sur la régulation de la tension artérielle. L'angiotensine II est un vasoconstricteur puissant qui fait directement augmenter la tension artérielle. Elle favorise en outre la rétention sodée et stimule la sécrétion d'aldostérone.
  • -Le valsartan, en administration orale, est un antagoniste efficace et spécifique de l'angiotensine II. Il agit de manière sélective sur le récepteur sous-type AT1 responsable des effets connus de l'angiotensine II. Après blocage des récepteurs AT1 par le valsartan, les taux plasmatiques élevés d'angiotensine II peuvent stimuler les récepteurs libres d'AT2. Ceci semble s'additionner à l'effet antagoniste des récepteurs AT1. Aucune action agoniste partielle sur le récepteur AT1 n'a été mise en évidence pour le valsartan dont l'affinité est environ 20'000 fois plus forte pour le récepteur AT1 que pour le récepteur AT2.
  • -Le valsartan n'a pas d'action inhibitrice sur l'ECA (appelée aussi kininase II) qui convertit l'angiotensine I en angiotensine II et dégrade aussi la bradykinine. Il est peu vraisemblable que les antagonistes de l'angiotensine II provoquent une toux d'irritation dans la mesure où ils n'agissent pas sur l'ECA et ne potentialisent pas l'action de la bradykinine ou de la substance P.
  • -Les études cliniques comparant le valsartan et un inhibiteur de l'ECA ont montré que l'incidence d'une toux sèche était significativement plus faible (p <0.05) chez les patients traités par valsartan que ceux traités par un inhibiteur de l'ECA (2.6% contre 7.9%). Au cours d'une étude clinique incluant des patients avec des antécédents de toux sèche sous inhibiteur de l'ECA, cette toux est apparue chez 19.5% des sujets sous valsartan, chez 19% des sujets sous diurétique thiazidique et chez 68.5% des patients sous inhibiteurs de l'ECA (p <0.05). Dans des études cliniques contrôlées, la fréquence de toux chez les patients traités par le valsartan et l'hydrochlorothiazide en association a été de 2.9%.
  • +Lhormone active du système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA) est langiotensine II. Elle est formée à partir de langiotensine I par lintermédiaire de lenzyme de conversion de langiotensine (ECA). Langiotensine II se lie à des récepteurs spécifiques situés dans les membranes cellulaires de divers tissus. Ses effets physiologiques sont variés, avec notamment une action directe et indirecte sur la régulation de la tension artérielle. Langiotensine II est un vasoconstricteur puissant qui fait directement augmenter la tension artérielle. Elle favorise en outre la rétention sodée et stimule la sécrétion daldostérone.
  • +Le valsartan, en administration orale, est un antagoniste efficace et spécifique de langiotensine II. Il agit de manière sélective sur le récepteur sous-type AT1 responsable des effets connus de langiotensine II. Après blocage des récepteurs AT1 par le valsartan, les taux plasmatiques élevés dangiotensine II peuvent stimuler les récepteurs libres dAT2. Ceci semble sadditionner à leffet antagoniste des récepteurs AT1. Aucune action agoniste partielle sur le récepteur AT1 na été mise en évidence pour le valsartan dont laffinité est environ 20'000 fois plus forte pour le récepteur AT1 que pour le récepteur AT2.
  • +Le valsartan na pas daction inhibitrice sur lECA (appelée aussi kininase II) qui convertit langiotensine I en angiotensine II et dégrade aussi la bradykinine. Il est peu vraisemblable que les antagonistes de langiotensine II provoquent une toux dirritation dans la mesure où ils nagissent pas sur lECA et ne potentialisent pas laction de la bradykinine ou de la substance P.
  • +Les études cliniques comparant le valsartan et un inhibiteur de lECA ont montré que lincidence dune toux sèche était significativement plus faible (p <0.05) chez les patients traités par valsartan que ceux traités par un inhibiteur de lECA (2.6% contre 7.9%). Au cours dune étude clinique incluant des patients avec des antécédents de toux sèche sous inhibiteur de lECA, cette toux est apparue chez 19.5% des sujets sous valsartan, chez 19% des sujets sous diurétique thiazidique et chez 68.5% des patients sous inhibiteurs de lECA (p <0.05). Dans des études cliniques contrôlées, la fréquence de toux chez les patients traités par le valsartan et lhydrochlorothiazide en association a été de 2.9%.
  • -Chez la plupart des patients, l'effet antihypertenseur se manifeste dans les 2 h après une dose orale unique, la réduction tensionnelle maximale étant obtenue dans les 4-6 h. L'effet antihypertenseur persiste pendant les 24 h qui suivent la prise. Une baisse tensionnelle maximale est généralement obtenue en 2-4 semaines après le début du traitement et se maintient pendant le traitement au long cours. L'association de valsartan et d'hydrochlorothiazide permet d'obtenir une réduction supplémentaire significative de la tension artérielle.
  • -L'arrêt du traitement par valsartan n'entraîne pas de brusque montée de la tension artérielle (effet rebond) ou d'autres événements indésirables.
  • -Le valsartan n'influence pas les valeurs à jeun du cholestérol total, des triglycérides ou de la glycémie ni les taux d'acide urique chez l'hypertendu.
  • +Chez la plupart des patients, leffet antihypertenseur se manifeste dans les 2 h après une dose orale unique, la réduction tensionnelle maximale étant obtenue dans les 4-6 h. Leffet antihypertenseur persiste pendant les 24 h qui suivent la prise. Une baisse tensionnelle maximale est généralement obtenue en 2-4 semaines après le début du traitement et se maintient pendant le traitement au long cours. Lassociation de valsartan et dhydrochlorothiazide permet dobtenir une réduction supplémentaire significative de la tension artérielle.
  • +Larrêt du traitement par valsartan nentraîne pas de brusque montée de la tension artérielle (effet rebond) ou dautres événements indésirables.
  • +Le valsartan ninfluence pas les valeurs à jeun du cholestérol total, des triglycérides ou de la glycémie ni les taux dacide urique chez lhypertendu.
  • -Le site d'action principal des diurétiques thiazidiques est la partie initiale du tube contourné distal. On a pu montrer que le cortex rénal contient un récepteur de haute affinité qui représente le site de liaison primaire et d'action des diurétiques thiazidiques qui inhibent le transport du NaCl dans la partie initiale du tube contourné distal. L'action des thiazides résulte de l'inhibition du symport Na+Cl-. L'influence sur la réabsorption électrolytique résulte vraisemblablement d'une occupation du site de liaison Cl- sur un mode compétitif: celle-ci entraîne directement une augmentation de l'excrétion d'ions sodium et chlorure en quantité équivalente. Indirectement, elle provoque une diminution du volume plasmatique et, en conséquence, une élévation de l'activité rénine plasmatique et de la sécrétion d'aldostérone, une augmentation de l'excrétion potassique et une diminution du taux sérique de potassium.
  • -La liaison rénine-aldostérone étant médiée par l'angiotensine II, l'administration simultanée d'un antagoniste du récepteur d'angiotensine II permet de diminuer les pertes potassiques liées à l'utilisation des thiazides.
  • +Le site daction principal des diurétiques thiazidiques est la partie initiale du tube contourné distal. On a pu montrer que le cortex rénal contient un récepteur de haute affinité qui représente le site de liaison primaire et daction des diurétiques thiazidiques qui inhibent le transport du NaCl dans la partie initiale du tube contourné distal. Laction des thiazides résulte de linhibition du symport Na+Cl-. Linfluence sur la réabsorption électrolytique résulte vraisemblablement dune occupation du site de liaison Cl- sur un mode compétitif: celle-ci entraîne directement une augmentation de lexcrétion dions sodium et chlorure en quantité équivalente. Indirectement, elle provoque une diminution du volume plasmatique et, en conséquence, une élévation de lactivité rénine plasmatique et de la sécrétion daldostérone, une augmentation de lexcrétion potassique et une diminution du taux sérique de potassium.
  • +La liaison rénine-aldostérone étant médiée par langiotensine II, ladministration simultanée dun antagoniste du récepteur dangiotensine II permet de diminuer les pertes potassiques liées à l’utilisation des thiazides.
  • +Cancer de la peau non-mélanome
  • +Les données disponibles issues d’études épidémiologiques indiquent un rapport dépendant de la dose cumulée entre l’exposition à l’hydrochlorothiazide et le développement du CPNM. L’une des études comprenant une population de 71'533 cas de carcinome basocellulaire et 8629 cas de carcinome épidermoïde, ainsi que respectivement 1'430'833 et 172'462 personnes dans les populations témoins correspondantes. Une exposition élevée à l’hydrochlorothiazide (dose cumulée ≥50'000 mg) était associée à un OR ajusté de 1.29 (IC à 95%: 1.23-1.35) pour un carcinome basocellulaire et 3.98 (IC à 95%: 3.68-4.31) pour un carcinome épidermoïde. Dans le cas du carcinome basocellulaire comme dans le cas du carcinome épidermoïde, une relation évidente entre dose cumulée et effet a été constatée. Dans une étude supplémentaire, un rapport potentiel entre le carcinome des lèvres (carcinome épidermoïde) et l’exposition à l’hydrochlorothiazide a été démontré: 633 cas de carcinome des lèvres et 63'067 personnes de la population témoin ont été comparés en utilisant une stratégie de «Risk-Set-Sampling». Une relation évidente entre dose cumulée et effet avec une augmentation de l’OR ajusté de 2.1 (IC à 95%: 1.7-2.6) à 3.9 (3.0-4.9) dans le cas d’une dose cumulée élevée (≥25'000 mg) et une augmentation de l’OR ajusté de 7.7 (5.7-10.5) dans le cas de la dose cumulée la plus élevée (≥100'000 mg) a pu être démontrée. Exemple: une dose cumulée de 100'000 mg correspond à l’utilisation quotidienne d’une dose journalière définie de 25 mg sur une période de >10 ans (voir rubrique «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables»).
  • -Après administration orale de valsartan, le pic de concentration plasmatique (Cmax) est atteint en l'espace de 2 à 4 heures. La biodisponibilité absolue moyenne du valsartan est de 23% (intervalle: 23 ± 7). La pharmacocinétique du valsartan est linéaire dans l'éventail des doses testées. L'accumulation du valsartan est faible avec une prise par jour. Les concentrations plasmatiques sont similaires chez l'homme et chez la femme.
  • -Une prise au cours d'un repas entraîne une diminution de l'aire sous la courbe de concentration plasmatique (AUC) de 48% et de la Cmax de 59%. Toutefois, les taux plasmatiques sont similaires 8 h après la prise, que le patient ait été à jeun ou non. Cette diminution de l'AUC et de la Cmax ne s'accompagne d'aucune réduction cliniquement significative de l'effet thérapeutique, de sorte que le valsartan peut être pris indépendamment des repas.
  • +Après administration orale de valsartan, le pic de concentration plasmatique (Cmax) est atteint en lespace de 2 à 4 heures. La biodisponibilité absolue moyenne du valsartan est de 23% (intervalle: 23 ± 7). La pharmacocinétique du valsartan est linéaire dans léventail des doses testées. Laccumulation du valsartan est faible avec une prise par jour. Les concentrations plasmatiques sont similaires chez lhomme et chez la femme.
  • +Une prise au cours dun repas entraîne une diminution de laire sous la courbe de concentration plasmatique (AUC) de 48% et de la Cmax de 59%. Toutefois, les taux plasmatiques sont similaires 8 h après la prise, que le patient ait été à jeun ou non. Cette diminution de lAUC et de la Cmax ne saccompagne daucune réduction cliniquement significative de leffet thérapeutique, de sorte que le valsartan peut être pris indépendamment des repas.
  • -La liaison du valsartan aux protéines sériques est forte (94-97%) et a lieu principalement à l'albumine. L'état d'équilibre est atteint en 1 semaine. Après administration intraveineuse de valsartan, le volume de distribution à l'état d'équilibre est d'environ 17 l, ce qui indique qu'il n'y a pas de distribution importante du valsartan dans les tissus.
  • +La liaison du valsartan aux protéines sériques est forte (94-97%) et a lieu principalement à lalbumine. Létat déquilibre est atteint en 1 semaine. Après administration intraveineuse de valsartan, le volume de distribution à létat déquilibre est denviron 17 l, ce qui indique quil ny a pas de distribution importante du valsartan dans les tissus.
  • -Le valsartan ne subit pas de transformation biologique importante, car seuls environ 20% de la dose sont retrouvés sous forme de métabolites. Un métabolite hydroxylé a été identifié dans le plasma à de faibles concentrations (moins de 10% de l'AUC du valsartan). Ce métabolite est inactif sur le plan pharmacologique.
  • +Le valsartan ne subit pas de transformation biologique importante, car seuls environ 20% de la dose sont retrouvés sous forme de métabolites. Un métabolite hydroxylé a été identifié dans le plasma à de faibles concentrations (moins de 10% de lAUC du valsartan). Ce métabolite est inactif sur le plan pharmacologique.
  • -Le valsartan se caractérise par une décroissance cinétique multi-exponentielle (demi-vie plasmatique primaire <1 h et demi-vie plasmatique terminale bêta de 9 h environ). Le valsartan est essentiellement éliminé par les fèces (environ 83% de la dose) et l'urine (environ 13% de la dose), essentiellement sous forme inchangée. Après administration intraveineuse, la clairance plasmatique du valsartan est d'environ 2 l/h et sa clairance rénale de 0.62 l/h (environ 30% de la clairance totale). La demi-vie du valsartan est de 6 h.
  • +Le valsartan se caractérise par une décroissance cinétique multi-exponentielle (demi-vie plasmatique primaire <1 h et demi-vie plasmatique terminale bêta de 9 h environ). Le valsartan est essentiellement éliminé par les fèces (environ 83% de la dose) et lurine (environ 13% de la dose), essentiellement sous forme inchangée. Après administration intraveineuse, la clairance plasmatique du valsartan est denviron 2 l/h et sa clairance rénale de 0.62 l/h (environ 30% de la clairance totale). La demi-vie du valsartan est de 6 h.
  • -L'absorption de l'hydrochlorothiazide administré oralement est rapide (tmax env. 2 h).
  • -Dans le domaine des concentrations thérapeutiques, l'augmentation de l'AUC moyenne est linéaire et proportionnelle à la dose. Par rapport à la prise à jeun, la prise concomitante d'aliments peut provoquer aussi bien une augmentation qu'une diminution de la disponibilité systémique de l'hydrochlorothiazide. Ces effets sont minimes et ont peu de signification clinique.
  • -La biodisponibilité absolue de l'hydrochlorothiazide administré oralement s'élève à env. 70%.
  • +Labsorption de lhydrochlorothiazide administré oralement est rapide (tmax env. 2 h).
  • +Dans le domaine des concentrations thérapeutiques, laugmentation de lAUC moyenne est linéaire et proportionnelle à la dose. Par rapport à la prise à jeun, la prise concomitante daliments peut provoquer aussi bien une augmentation quune diminution de la disponibilité systémique de lhydrochlorothiazide. Ces effets sont minimes et ont peu de signification clinique.
  • +La biodisponibilité absolue de lhydrochlorothiazide administré oralement sélève à env. 70%.
  • -La distribution et l'élimination suivent dans une large mesure une cinétique bi-exponentielle.
  • -Le volume apparent de distribution est de 4-8 l/kg. La liaison de l'hydrochlorothiazide circulant aux protéines sériques, essentiellement à l'albumine sérique, est de 40-70%. L'hydrochlorothiazide s'accumule dans les érythrocytes et y atteint une concentration environ 3 fois plus élevée que dans le plasma.
  • -L'hydrochlorothiazide est essentiellement éliminé sous forme inchangée. Dans la phase d'élimination terminale, l'hydrochlorothiazide est éliminé du plasma avec une demi-vie de 6 à 15 heures en moyenne. La cinétique de l'hydrochlorothiazide est inchangée en cas de prise répétée et son accumulation est minime en prise monoquotidienne.
  • +La distribution et lélimination suivent dans une large mesure une cinétique bi-exponentielle.
  • +Le volume apparent de distribution est de 4-8 l/kg. La liaison de lhydrochlorothiazide circulant aux protéines sériques, essentiellement à lalbumine sérique, est de 40-70%. Lhydrochlorothiazide saccumule dans les érythrocytes et y atteint une concentration environ 3 fois plus élevée que dans le plasma.
  • +Lhydrochlorothiazide est essentiellement éliminé sous forme inchangée. Dans la phase délimination terminale, lhydrochlorothiazide est éliminé du plasma avec une demi-vie de 6 à 15 heures en moyenne. La cinétique de lhydrochlorothiazide est inchangée en cas de prise répétée et son accumulation est minime en prise monoquotidienne.
  • -La disponibilité systémique de l'hydrochlorothiazide est diminuée d'environ 30% lors d'une association au valsartan. La cinétique du valsartan n'est pas notablement affectée par l'association à l'hydrochlorothiazide. L'interaction observée n'a pas d'influence sur l'utilisation du valsartan et de l'hydrochlorothiazide en association, les études cliniques contrôlées ayant montré un effet antihypertenseur marqué et supérieur à celui de chacune des substances prises séparément.
  • +La disponibilité systémique de lhydrochlorothiazide est diminuée denviron 30% lors dune association au valsartan. La cinétique du valsartan nest pas notablement affectée par lassociation à lhydrochlorothiazide. Linteraction observée na pas dinfluence sur lutilisation du valsartan et de lhydrochlorothiazide en association, les études cliniques contrôlées ayant montré un effet antihypertenseur marqué et supérieur à celui de chacune des substances prises séparément.
  • -La concentration de l'hydrochlorothiazide à l'état d'équilibre est plus élevée et la clairance systémique est considérablement ralentie chez les patients âgés par rapport aux jeunes. C'est pourquoi les patients âgés traités par l'hydrochlorothiazide doivent être attentivement surveillés.
  • +La concentration de lhydrochlorothiazide à létat déquilibre est plus élevée et la clairance systémique est considérablement ralentie chez les patients âgés par rapport aux jeunes. Cest pourquoi les patients âgés traités par lhydrochlorothiazide doivent être attentivement surveillés.
  • -Aucune corrélation entre la fonction rénale et la disponibilité systémique du valsartan n'a été mise en évidence, ce qui était prévisible pour une substance dont l'élimination rénale ne représente que 30% de l'élimination plasmatique totale. Par conséquent, une adaptation posologique chez l'insuffisant rénal n'est pas nécessaire (insuffisance rénale grave, cf. «Contre-indications»). Aucune étude n'a été conduite chez les patients dialysés. Du fait de sa forte liaison aux protéines plasmatiques, une élimination du valsartan par dialyse est peu probable.
  • +Aucune corrélation entre la fonction rénale et la disponibilité systémique du valsartan na été mise en évidence, ce qui était prévisible pour une substance dont lélimination rénale ne représente que 30% de lélimination plasmatique totale. Par conséquent, une adaptation posologique chez linsuffisant rénal nest pas nécessaire (insuffisance rénale grave, cf. «Contre-indications»). Aucune étude na été conduite chez les patients dialysés. Du fait de sa forte liaison aux protéines plasmatiques, une élimination du valsartan par dialyse est peu probable.
  • -La clairance rénale de l'hydrochlorothiazide s'effectue aussi bien par filtration passive que par sécrétion active dans le tubule rénal. Comme pour toute substance éliminée presque exclusivement par les reins, la fonction rénale a une influence essentielle sur la cinétique de l'hydrochlorothiazide (cf. «Contre-indications»).
  • -Chez les insuffisants rénaux, les moyennes des concentrations plasmatiques maximales et les valeurs de l'AUC de l'hydrochlorothiazide sont augmentées et son excrétion urinaire est diminuée. Suite à la diminution marquée de la clairance rénale chez les patients atteints d'insuffisance rénale légère à modérée, la demi-vie moyenne d'élimination est pratiquement doublée chez ces patients.
  • -L'hydrochlorothiazide peut être éliminée par dialyse.
  • +La clairance rénale de lhydrochlorothiazide seffectue aussi bien par filtration passive que par sécrétion active dans le tubule rénal. Comme pour toute substance éliminée presque exclusivement par les reins, la fonction rénale a une influence essentielle sur la cinétique de lhydrochlorothiazide (cf. «Contre-indications»).
  • +Chez les insuffisants rénaux, les moyennes des concentrations plasmatiques maximales et les valeurs de lAUC de lhydrochlorothiazide sont augmentées et son excrétion urinaire est diminuée. Suite à la diminution marquée de la clairance rénale chez les patients atteints dinsuffisance rénale légère à modérée, la demi-vie moyenne délimination est pratiquement doublée chez ces patients.
  • +Lhydrochlorothiazide peut être éliminée par dialyse.
  • -Dans une étude pharmacocinétique chez des patients présentant une insuffisance hépatique faible à modérée, la concentration de valsartan était environ deux fois plus élevée que chez des volontaires sains. Aucune donnée n'existe pour des patients atteints d'insuffisance hépatique grave (cf. «Contre-indications»).
  • -Les maladies hépatiques comprenant une limitation légère à modérée de la fonction hépatique n'ont en général pas d'influence notable sur la pharmacocinétique de l'hydrochlorothiazide.
  • +Dans une étude pharmacocinétique chez des patients présentant une insuffisance hépatique faible à modérée, la concentration de valsartan était environ deux fois plus élevée que chez des volontaires sains. Aucune donnée nexiste pour des patients atteints dinsuffisance hépatique grave (cf. «Contre-indications»).
  • +Les maladies hépatiques comprenant une limitation légère à modérée de la fonction hépatique nont en général pas dinfluence notable sur la pharmacocinétique de lhydrochlorothiazide.
  • -Il ne ressort des différentes études précliniques menées auprès de plusieurs espèces animales aucun résultat indiquant que les doses thérapeutiques de valsartan:hydrochlorothiazide ne doivent pas être utilisées chez l'être humain.
  • +Il ne ressort des différentes études précliniques menées auprès de plusieurs espèces animales aucun résultat indiquant que les doses thérapeutiques de valsartan:hydrochlorothiazide ne doivent pas être utilisées chez lêtre humain.
  • -Sur base des études classiques pour la pharmacologie de sécurité, la génotoxicité, la carcinogénicité et la fertilité, et mise à part une toxicité fœtale chez le lapin, les données précliniques ne laissent présager aucun danger particulier pour l'homme.
  • -Toxicité chronique: Lors des études précliniques de sécurité, l'administration de doses élevées de valsartan (200-600 mg/kg de poids corporel/jour) chez le rat a entraîné une diminution des paramètres relatifs aux globules rouges (érythrocytes, hémoglobine, hématocrite) et des modifications de l'hémodynamique rénale (légère augmentation des taux sanguins d'urée ainsi qu'hyperplasie tubulaire rénale et basophilie chez des animaux mâles). Ces doses chez le rat (200 et 600 mg/kg/jour) représentent environ 6 à 18 fois la dose recommandée pour l'être humain sur la base de mg/m² (le calcul repose sur une dose orale de 320 mg/jour et un patient de 60 kg). Des doses similaires chez les ouistitis ont entraîné des modifications semblables, mais plus sévères, en particulier au niveau des reins où les modifications ont évolué vers une néphropathie avec augmentation des taux d'urée et de créatinine. En outre, une hypertrophie des cellules rénales juxtaglomérulaires a été observée dans les deux espèces. Toutes ces modifications résultent probablement de l'effet pharmacologique du valsartan, qui provoque une hypotension persistante, particulièrement chez les ouistitis. L'hypertrophie des cellules rénales juxtaglomérulaires ne semble pas être pertinente aux doses thérapeutiques chez l'être humain.
  • -Toxicité de reproduction: Le valsartan n'a aucun effet indésirable sur la performance de reproduction de rats mâles et femelles à des doses orales de jusqu'à 200 mg/kg/jour. Au cours des études sur le développement embryofœtal (segment II) menées chez la souris, le rat et le lapin, une fœtotoxicité a été observée parallèlement à une toxicité maternelle, à des doses de valsartan ≥600 mg/kg/jour chez le rat et 10 mg/kg/jour chez le lapin. Dans une étude de toxicité sur le développement périnatal et postnatal (segment III), les ratons dont les parents avaient reçu 600 mg/kg/jour durant le dernier trimestre et pendant la lactation ont présenté une légère diminution du taux de survie et un léger retard de développement.
  • -Mutagénicité: Aucun potentiel mutagène n'a pu être établi pour le valsartan, que ce soit au niveau génique ou au niveau chromosomique dans différentes études standards in vitro et in vivo de génotoxicité.
  • -Carcinogénicité: Il ne ressort aucun indice de carcinogénicité lors de l'administration du valsartan avec la nourriture à des dosages de jusqu'à 160 et respectivement, 200 mg/kg/jour pendant 2 ans à des souris et des rats.
  • +Sur base des études classiques pour la pharmacologie de sécurité, la génotoxicité, la carcinogénicité et la fertilité, et mise à part une toxicité fœtale chez le lapin, les données précliniques ne laissent présager aucun danger particulier pour lhomme.
  • +Toxicité chronique: Lors des études précliniques de sécurité, ladministration de doses élevées de valsartan (200-600 mg/kg de poids corporel/jour) chez le rat a entraîné une diminution des paramètres relatifs aux globules rouges (érythrocytes, hémoglobine, hématocrite) et des modifications de lhémodynamique rénale (légère augmentation des taux sanguins durée ainsi quhyperplasie tubulaire rénale et basophilie chez des animaux mâles). Ces doses chez le rat (200 et 600 mg/kg/jour) représentent environ 6 à 18 fois la dose recommandée pour lêtre humain sur la base de mg/m² (le calcul repose sur une dose orale de 320 mg/jour et un patient de 60 kg). Des doses similaires chez les ouistitis ont entraîné des modifications semblables, mais plus sévères, en particulier au niveau des reins où les modifications ont évolué vers une néphropathie avec augmentation des taux durée et de créatinine. En outre, une hypertrophie des cellules rénales juxtaglomérulaires a été observée dans les deux espèces. Toutes ces modifications résultent probablement de leffet pharmacologique du valsartan, qui provoque une hypotension persistante, particulièrement chez les ouistitis. Lhypertrophie des cellules rénales juxtaglomérulaires ne semble pas être pertinente aux doses thérapeutiques chez lêtre humain.
  • +Toxicité de reproduction: Le valsartan na aucun effet indésirable sur la performance de reproduction de rats mâles et femelles à des doses orales de jusquà 200 mg/kg/jour. Au cours des études sur le développement embryofœtal (segment II) menées chez la souris, le rat et le lapin, une fœtotoxicité a été observée parallèlement à une toxicité maternelle, à des doses de valsartan ≥600 mg/kg/jour chez le rat et 10 mg/kg/jour chez le lapin. Dans une étude de toxicité sur le développement périnatal et postnatal (segment III), les ratons dont les parents avaient reçu 600 mg/kg/jour durant le dernier trimestre et pendant la lactation ont présenté une légère diminution du taux de survie et un léger retard de développement.
  • +Mutagénicité: Aucun potentiel mutagène na pu être établi pour le valsartan, que ce soit au niveau génique ou au niveau chromosomique dans différentes études standards in vitro et in vivo de génotoxicité.
  • +Carcinogénicité: Il ne ressort aucun indice de carcinogénicité lors de ladministration du valsartan avec la nourriture à des dosages de jusquà 160 et respectivement, 200 mg/kg/jour pendant 2 ans à des souris et des rats.
  • -Dans les études de mutagénicité, de clastogénité, de capacité de reproduction et de carcinogénicité, les résultats se sont avérés négatifs pour l'hydrochlorothiazide.
  • -L'hydrochlorothiazide ne s'est pas avéré tératogène et n'a pas eu d'effet sur la fertilité et la conception. Aucun potentiel tératogène n'a été mis en évidence chez trois espèces animales étudiées, qui avaient reçu au moins 10 fois la dose recommandée pour l'homme de 1 mg/kg environ. Une prise de poids réduite chez de jeunes rats allaités a été attribuée aux doses élevées (15 fois la dose clinique pour l'homme) et à l'effet diurétique de l'hydrochlorothiazide, avec les conséquences correspondantes sur la production de lait.
  • +Dans les études de mutagénicité, de clastogénité, de carcinogénicité et de capacité de reproduction, les résultats se sont avérés négatifs pour l’hydrochlorothiazide.
  • +Mutagénicité: Le potentiel mutagène a été évalué au moyen d’une série de tests in vitro et in vivo. Alors que les examens in vitro ont abouti à quelques résultats de test positifs, tous les résultats des examens in vivo ont été négatifs. L’hydrochlorothiazide a augmenté la formation de dimères de pyrimidines induite par les UVA in vitro et sur la peau de souris après administration orale. Ceci permet de conclure qu’aucun potentiel mutagène pertinent n’existe in vivo, bien que l’hydrochlorothiazide puisse renforcer les effets génotoxiques de la lumière UVA.
  • +Carcinogénicité: D’après les données expérimentales disponibles, il ne ressort aucun indice d’un effet cancérigène de l’hydrochlorothiazide chez le rat et la souris (des tumeurs hépatocellulaires chez la souris n’ont été observées que chez des souris mâles traitées avec des doses élevées; la fréquence n’a pas dépassé la fréquence observée dans les cas témoins historiques).
  • +Toxicité pour la reproduction: L’hydrochlorothiazide ne sest pas avéré être tératogène et na pas eu deffet sur la fertilité et la conception. Aucun potentiel tératogène na été mis en évidence chez trois espèces animales étudiées, qui avaient reçu au moins 10 fois la dose recommandée pour lhomme de 1 mg/kg environ. Une prise de poids réduite chez de jeunes rats allaités a été attribuée aux doses élevées (15 fois la dose clinique pour lhomme) et à leffet diurétique de lhydrochlorothiazide, avec les conséquences correspondantes sur la production de lait.
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP.» sur l'emballage.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP.» sur lemballage.
  • -Conserver Valsartan HCT Axapharm pas au-dessus de 30 °C dans l'emballage original.
  • +Conserver Valsartan HCT Axapharm pas au-dessus de 30°C dans lemballage original.
  • -Septembre 2015.
  • +Janvier 2019.
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